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n° 00811Françoise, mariée 2 enfants15/08/00
Jacqueline 2
critères:  fh fhh fplusag couleurs extracon grossexe hotel intermast fellation cunnilingu fgode préservati pénétratio sandwich fdanus fsodo
31274 caractères      
Auteur : Françoise1      Série : L'amour noir - 04


Jacqueline … Suite de Mohamed et Selim


Jacqueline - 2ième partie


MERCREDI


Mon radio-réveil ou plutôt ma télé-réveil me tire d’un sommeil très lourd mais aussi réparateur, vite à la douche la journée va être encore dure. J’entends des coups à la porte et après une enveloppe est glissée dessous, c’est un mot de Jacqueline : nous faisons une petite fête ce soir à la maison et je serais très contente de vous accueillir, bonne journée, à ce soir 19 heures. J’avais prévu aller ce soir avec mes collègues au restaurant pour la fin de stage. Que choisir ? Un repas sympa où bien sûr on ne va parler qu’essentiellement boulot ou faire la nouba avec mes nouveaux amis, le travail ou le sexe ? Je verrais ce soir suivant mon humeur.


La matinée se passe bien et il est déjà midi. Le repas est pris ensemble dans le restaurant de mon hôtel car la salle de conférence où se déroule mon stage ne se trouve pas tellement loin de là. Arrivée au dessert j’aperçois mon ami Didier dehors qui essaie de regarder par les fenêtres du restaurant pour me voir, je suppose. Il me voit et avec son index il me fait signe de monter.


Que me veut-il ? Il a à la main un sac Tati.


Je m’éclipse et monte à ma chambre. Devant la porte il m’attend et me fait signe de rentrer.



Il pose sur le lit son sac Tati et sort plein d’accessoires. Il prend une poignée en bois et la fixe sur une autre pièce faite de plusieurs parties. Il visse la poignée et la tourne.



Devant ses yeux volontaires et sa voix autoritaire, il parle comme un artisan menuisier qui prend les mesures d’un meuble, j’ôte mon slip et m’assois sur le bord du lit. Il sort une capote anglaise et la pose sur son objet.



Il me force à me coucher sur le dos mes pieds posant par terre. Il soulève ma jupe légère qui est assez ample.



Le braquemart, je ne sais pas son nom mais comment l’appeler ? entre dans mon vagin et il fait des mouvements de va-et-vient.



Il tourne encore la poignée, je sens que c’est presque bon. Encore un petit peu et c’est parfait. Il s’arrête, sort son objet, regarde sur un index gradué.



Il me remet son objet et pousse aussi loin qu’il peut. Arrivé bien au fond du vagin bien posé sur le col de l’utérus, il me demande de le maintenir et pousse une toise sur la poignée, comme on mesure notre hauteur chez le médecin. Il retire l’objet de mon corps et regarde les graduations sur la poignée puis il marque sur un bout de papier toutes les cotes.



Je me redresse du lit, il me rendra folle ce gamin, je mouille encore, moi les fesses à l’air et lui tout habillé entre mes jambes. Assise au bord du lit je ramasse mon slip, je le regarde, il n’est pas très net avec des auréoles d’humidité dans le fond, mon corps suinte beaucoup, pas étonnant avec ce que je lui impose. Je vais en changer mais comme j’en fais une consommation assez importante je décide de le laver. Didier me regarde, en prenant ma culotte je me dirige dans la salle de bain.


Je suis toujours le cul nu. En lavant ma culotte dans le lavabo, je sens deux mains qui soulèvent ma jupe et remonte le long de mes hanches. Elles les caressent puis remonte sur mon ventre puis vers mon sexe. Didier prend avec ses deux mains mes lèvres intimes, les écarte et titille mon clitoris avec ses pouces. Ses mains m’abandonnèrent et après un très court moment mis par le jeune pour se déculotter il revint à la charge mais en plus des mains qui faisaient la navette entre mon ventre, mon clito et mes hanches je sens très distinctement son membre en érection à l’entrée de ma grotte. Etant de la même grandeur que moi il n’a aucun mal à me pénétrer. Sitôt en moi il donne de grands coups de boutoir et me laboure à grande vitesse.



Et mettant mes mains en arrière je les pose sur ses fesses en l’attirant vers moi et le repoussant.



Il me baise maintenant à une allure plus lente. Je ressens beaucoup mieux son membre hyper-tendu qui du fait de la position de mon baiseur, décrit un arc de cercle dans mon sexe. En frottant sur la cicatrice de mon périnée occasionnée lors de mon accouchement, son membre me procure des sensations très fortes. Il me fait défaillir, je sens le plaisir arriver et lui reprenant les fesses j’accélère le va-et-vient, sentant qu’il va éjaculer au plus profond de moi je le maintien fortement. Que c’est bon, les giclées de sperme qui viennent s’écraser sur le col, j’ai les jambes flageolantes et je me cramponne au lavabo. Didier est toujours rivé en moi, même après sa décharge il bande encore, il s’arrête et reprend doucement ses mouvements dans mon sexe, il est increvable.


Après quelques minutes je sens son membre reprendre de la vigueur. Il ne va tout de même pas recommencer, j’ai mon stage dans je ne sais pas combien de temps, je n’ai plus la notion de temps. Il recommence à me faire du bien, son pistonnage me comble d’aise. Il s’amuse à faire sortir son pénis de ma chatte et à me baiser avec son membre très raide. Son action sur le périnée me tue. Il dérape à plusieurs reprises et je sens le gland frôler mon anus. Est-ce intentionnel ? Veut-il me tester ? Je ne sais que penser aussi après un nouveau dérapage je sens très nettement le gland se positionner sur mon petit œillet rose, il s’arrête et après quelques poussées il entre en moi, facilité en cela par les effluves abondants sortant de mon vagin. Il reprend sa progression, je sens ses couilles battrent sur mes fesses, il est déchaîné, pas moyen de le stopper. Il souffle et dénudant mon corsage il empoigne mes seins par-dessus le fin soutien-gorge en soie il en pince le bout. Je suis au comble de la jouissance, j’ai des éclairs partout. Je sens son membre cracher en moi ainsi maintenue avec un pieu dans le cul je ne risque pas de tomber heureusement car mes jambes ont du mal à me supporter.


Après une rapide toilette j’ai remis une autre petite culotte blanche celle-là mais j’ai pris la précaution d’y mettre une serviette hygiénique car le foutre de mon jeune amant même après la douche corporelle aussi bien que vaginale continue encore à couler le long de mes cuisses.


Mon arrivée au stage en presque passée inaperçue car c’était déjà la pause.



Il est 16 heures le stage s’achève, je n’ai pas encore pris de décision pour ce soir. Du lieu de la conférence à mon hôtel il y juste un peu plus d’un quart d’heure de marche je réfléchirais pendant ce temps là. Ma collègue de Lyon, Céline avec qui je m’entends bien, d’ailleurs je mange avec elle le midi et bois mon café à la pause aussi, m’attend à la porte du centre de conférence.



Arrivée à l’hôtel je prends une douche et j’hésite sur ma tenue vestimentaire. Il fait chaud en ce début septembre, j’opte pour des dessous coordonnés en soie rose, je les adore car mon soutien-gorge me remonte bien les seins, et pour un ensemble jupe veste fleuri. Ça sonne à la porte, c’est Céline, elle rentre et s’assois sur une chaise.



Elle est vêtue d’un tailleur assez strict, avec un corsage blanc en dessous. Je lui recommande de rester comme cela, elle est très bien, mais la veste de tailleur étant boutonnée presque jusqu’en haut, à mon point de vue elle peut très bien enlever son corsage.



Elle ôte sa veste puis son corsage. Elle soupèse ses seins, elle me dit qu’elle les trouve trop gros et que ses 3 maternités ne l’ont pas arrangée. Effectivement elle doit faire du 105 C ou D mais elle est encore une très belle femme, un peu de ride bien sur et pas de ventre.



Elle remet sa veste de tailleur et le reboutonne jusqu’en haut. Je m’approche d’elle et en défait deux elle est un peu réticente mais en fin de compte elle accepte.



Elle ouvre sa jupe portefeuille et me montre ses bas qui tiennent tous seuls sans porte-jarretelles et me dévoile son slip coordonné avec son soutien-gorge.



Sur mon refus nous partons. Nous marchons bras dessus bras dessous, je sens un léger tremblement, je la rassure. C’est Jacqueline qui nous accueille à la porte, elle nous embrasse. Je lui présente Céline et nous rentrons dans la maison. Avant de pénétrer dans la pièce principale je prends Jacqueline par le bras et lui murmure à l’oreille les problèmes de Céline, elle opine de la tête et nous dit de la suivre dans la salle aux objets érotiques. Devant tant des merveilles Céline ouvre grand ses yeux, Jacqueline lui présente un œuf et lui met dans la main, qu’est-ce vous en pensez ? C’est notre nouveau type toujours en bois évidé mais au milieu nous avons placé un vibreur miniature de téléphone et la ficelle sert aussi à activer le système.



Puis saisissant un godemiché, elle me le donne. C’est aussi une nouveauté, nos artisans innovent, il est équipé de deux mini-vibreurs à chaque bout pour bien exciter le vagin et en même temps le clitoris.



Elle nous entraîne maintenant dans une grande salle où plusieurs personnes se trouvent déjà, toutes noires nous sommes seulement les seules blanches. Cette salle se compose d’une scène au milieu et d’innombrables poufs autour.



Sur la scène plusieurs groupes se succèdent. Le groupe des jeunes hommes seulement habillés par une sorte de cache-sexe nous fait admirer leurs torses luisants, ils se démènent sur la piste entraînés par un adulte qui leur sert de maître de cérémonie, un certain Arsène, joli brun de mâle. Celui des jeunes filles habillées de la même façon mais avec en plus un pagne, se trémoussent aussi leurs seins dénudés se balançant au rythme de la musique. Nous avons eu droit à trois heures de spectacle et de musiques ininterrompues, il est temps de rentrer.


Tout le monde s’embrasse en se quittant, Jacqueline nous demande l’heure de notre train pour nous dire un dernier au revoir.



Du fait Arsène et un autre de ses camarades nous prennent par le bras et en chantant (doucement il est presque minuit) nous entraînent sur le chemin du retour. Il ne fait pas froid dans cette nuit de septembre, à cause de la soirée ou de la présence de nos amis à nos côtés. En chemin la main de Jean (le copain d’Arsène, joli mâle pas très grand mais assez râblé) qui me tient le bras se déplace autour de ma taille et me caresse les hanches. Bof ! Pour la dernière nuit de liberté sans contrainte, car demain c’est le retour dans mes foyers et le ronron quotidien, je me laisse aller. Moi aussi je lui prends la taille et même je lui caresse les fesses, je n’en reviens pas moi si réservée que je puisse me permettre cela. En me retournant je vois que Céline est dans le même état d’esprit que moi, ils se tiennent collés l’un à l’autre, en passant dans un endroit plus sombre Jean s’arrête, se retourne vers moi, m’attire à lui et m’enlaçant m’embrasse sur la bouche. Je lui rends son baiser sa langue pénètre ma bouche, sa main se déplace et se faufile sous ma jupe, ses doigts se frottent sur mon slip puis essayent de s’immiscer en dessous, je l’aide un peu en levant légèrement une jambe. Ça y est ses doigts me pénètrent, je mouille abondamment, deux doigts sont dans mon vagin et triturent mon clitoris. Il ne va pas me faire l’amour en plein air ! A minuit bien sur, cachés par des arbres mais dans une rue où les voitures circulent encore. Je m’écarte et lui enlève la main.



Jean me prend par la main, Céline fait de même avec Arsène et après des ruses de sioux et pas mal de détours nous nous retrouvons dans l’ascenseur, arrivés près de nos chambres j’échange avec mon amie un bonsoir souriant, la nuit va être rude.


Mes mains tremblent un peu, j’ouvre la porte et nous voici maintenant que tous les deux. J’aurais préféré prendre l’autre noir, mais si ça se trouve celui là va me faire jouir comme jamais. Jean m’enlace et m’embrasse goulûment, il essaye de déboutonner mon corsage mais le voyant un peu empêtré je le repousse et décide de me déshabiller toute seule, il en fait autant. Nous voici tout nus, ma vue se porte sur son sexe un peu en érection mais pas encore au top, il est énorme, pas en grosseur mais en longueur, il arrive presque aux genoux. Je vais déguster mais j’adore les longs membres rien que d’y penser mon esprit s’excite. Je lui prends sa bite dans la main et en le tirant un peu l’entraîne vers le lit. Bonne idée qu’ils ont eue de me donner un grand lit plutôt que deux lits jumeaux.


Je le pousse et le couche sur le dos. Il se laisse faire, je l’enjambe et me positionne sur ses cuisses. Je soupèse ses petites boules d’une main et de l’autre je décalotte le gland, je le prends dans la bouche et lui fais une fellation, cela commence à faire son effet, je le sens bouger faisant avancer son membre au-devant de ma langue, il bande à mort. J’arrête et me redresse, j’avance sur son ventre et me saisissant de son pénis je le positionne sur ma grotte et hop ! Mon vagin l’aspire. Oh ! Je n’en vois pas le bout, son sexe longiligne me pénètre, je descends doucement, il ne va jamais rentrer en entier. Effectivement arrivé en buttée sur mon col un bon morceau reste encore en dehors. Etant maître de la situation je le pistonne à ma cadence, mon plaisir est de bien sentir au plus profond de moi son sexe, aussi j’arrête les va-et-vient et bouge seulement le bassin je sens le plaisir arriver, un orgasme me foudroie, un autre arrive et sa bite se met à enfler et à cracher, je sens le flot de son sperme m’inonder et un troisième orgasme me transperce. Que je suis bien !


J’allonge mes jambes et me colle contre sa poitrine, nous nous embrassons, Jean met ses bras autour de mes épaules et m’attire contre lui. Mes seins dont le bout sont très gros et très sensibles sont écrasés sur son torse. Je m’écarte un peu juste histoire de les faire balancer pour exciter un petit peu plus les bouts. Je ressens toujours son sexe en moi, j’essaye de ne pas le faire ressortir, je m’emboîte bien sur lui. Je repense à mon mari, lui sitôt après l’amour son membre est tellement recroquevillé comme un escargot rentrant dans sa coquille qu’il sort tout de suite de mon corps et j’en suis assez frustrée. Peut-être du fait de la longueur de son sexe Jean est toujours fiché en moi, et après un court moment de repos je fais bouger les muscles vaginaux et compresse son gland. Mon action de massage interne fait déjà son effet, quelle impression de sentir grandir en soi à nouveau son membre. Jean recommence à bouger, mais sa position en dessous de moi le prive de la conduite de l’amour ou alors son image de mâle en souffre il me retourne sur le côté et me faisant face en me soulevant une jambe il reprend son pitonnage.


Sa main m’écarte une cuisse et de l’autre main il me prend le clitoris entre son doigt et le pouce, il le triture, mon vagin dégouline je suis mouillée ça coule entre mes cuisses, à chaque poussée les mouvements de son sexe dans mon corps fait des bruits incongrus mais je m’en fous je suis trop bien ! Il est increvable j’ai le temps de jouir plusieurs fois et lui continue toujours son va-et-vient. Il s’arrête et se retire de moi.



Jean me met sur le dos et effectivement sur ma demande prend un sein dans la bouche en faisant tournoyer sa langue autour de mon téton et se positionne sur l’autre sein en me pelotant et pinçant l’autre téton entre le pouce et l’index. Mes seins sont très sensibles et son action me comble d’aise. Sa main se déplace sur mon ventre, me caresse le nombril puis descend sur mon pubis, je maintiens sa tête sur mon sein et remonte mes talons sous mes fesses en écartant bien les cuisses, je suis bien ! Ses doigts se promènent sur mon clito sur ma vulve trempée et aidés par les flots de mon vagin masse l’entrée de mon anus. Ils tournent autour de mon petit trou et Jean avec le pouce dans ma grotte en le faisant tourner place son index sur mon cul et après quelques massages délicats me l’introduit. Je suis surprise de son action, j’ai un moment de sursaut je resserre les cuisses instinctivement mais Jean me maintien fermement, son doigt tourne dans mon cul, je suis vaincue je desserre les jambes, je ne suis pas tellement une adepte de la sodomie mais je comprends qu’un homme puisse en avoir envie.


Jean enlève sa main et me retourne sur le ventre, ça y est je vais y passer. Effectivement il se met à genoux entre mes jambes et s’appuyant sur ses bras le long de mon corps il retombe sur moi lentement, je sens son gland sur mon anus. Dans ma tête je me dis que je vais l’aider sinon il va me faire trop mal, aussi je prends son membre et le positionne à l’entrée de mon cul, il est impatient.



Je me détends et introduit son sexe, quelle facilité ! Bien sur aidé par mes effluves intimes et son sperme sa bite poursuit son chemin dans mon antre. Je me sens envahie il me transperce, ses couilles maintenant battent sur mes fesses il ahane et souffle de plus en plus. Ses mains sur mes hanches accélèrent le mouvement, mes fesses claquent à chaque poussée je sens son gland grossir et ses giclées de sperme se répandre dans mon cul, il prend mes seins dans ses paumes, les pétrit les malaxe, des éclairs m’éblouissent c’est le pied ! Quel baiseur ! Toujours emmanchés l’un dans l’autre nous nous couchons sur le flanc ses bras m’encerclent, je me sens en sécurité mon dos en contact avec son torse. Je lui prends les mains qui se reposent sur mon ventre et les positionne sur mes seins et après je m’endors. Je ne sais pas combien de temps je me suis assoupie. Des coups résonnent à la porte j’ai du mal à ouvrir les yeux c’est Jean qui se lève, d’après les paroles que je perçois c’est Arsène qui ayant fini avec mon amie Céline veut repartir chez lui.



Je m’aperçois bien que je suis dans une position très incorrecte, nue sur le dos les bras en croix et les jambes écartées mais je n’ai pas le courage de bouger aussi quand Arsène pénètre dans la chambre il ne peut s’empêcher de siffler d’admiration. Je suis crevée, je ne me sens pas le courage de recommencer une autre série de baise mais mon corps me dit le contraire. Aussi voyant Arsène se déshabiller je me lève.



C’est vrai que l’eau de la douche me fait du bien, mon corps entier est engourdi, mes seins me font mal et toutes les parties sexuelles sexe et anus sont endolories. Je suis restée au moins une demi-heure sous les caresses apaisantes de l’eau, je me sèche et quand même je me retrouve excitée par mon avenir proche, dans ma tête je repense à mes multiples aventures, que puis-je espérer de plus ? Que vont-ils me faire ? Je prends une serviette de bain pour me couvrir puis je la jette sur la baignoire, ce n’est pas la peine de se montrer pudique à ce moment. Ils m’attendent à la sortie de la salle de bain aussi nus l’un que l’autre, ils veulent me prendre le bras mais je les repousse. Du calme ! J’empoigne leur sexe dans les mains, de beaux engins. Celui d’Arsène est plus gros, plus trapu, pas question qu’il m’encule il va me déchirer. Il m’attire sur lui me presse sur son torse, son membre est déjà en érection je le sens sur moi. Il me soulève par le dessous de mes cuisses, il va me baiser debout ! Effectivement il me hisse un peu mais ayant mis mes bras autour de son cou et les siennes sous mes fesses son sexe bien droit a du mal à me l’introduire, aussi c’est Jean qui passant derrière moi lui prend sa pine et qui me la met dans le vagin. D’ailleurs Jean aide son ami en me tenant derrière sous les épaules et suit les mouvements, il en profite aussi de m’introduire l’index dans le cul, je sens bien que derrière moi Jean essaye de m’enculer mais visiblement il a du mal à m’introduire son membre n’étant pas visiblement de la même grandeur.



Me maintenant solidement par la taille et moi ayant mes jambes nouées dans son dos et toujours emmanchée il m’emporte sur le lit. Il me pose délicatement aidé par Jean, se met sur le dos et me positionne sur lui. Arsène me prend les fesses à pleine main, me soulève et me descends à son rythme, je me laisse faire, je ne suis qu’un jouet entre leurs mains. En me soulevant il écarte mes fesses.



Jean à genoux derrière moi se mouille les doigts dans la bouche et m’humidifie l’orifice, puis saisissant son membre il se met en position sur mon anus et pousse progressivement, je sens la progression du gland dans mon corps. Il me prend les seins en même temps et en pince les bouts. De multiples orgasmes me traversent, je vois des étoiles partout mon corps se met à trembler, mes deux amants me ballottent à leur volonté, Arsène le premier se met à éjaculer de longues giclées dans mon vagin et maintenant aide son ami en faisant coulisser mon cul sur son membre.



Il s’arrête de bouger et sa bite cracha elle aussi dans mon cul son flot de sperme, je ne touche plus terre je ne sais plus où je suis. Quelques instant plus tard mes deux baiseurs se retirent de moi, me couchent en chien de fusil et me remettent les draps dessus.



Arsène se lève, s’habille et s’en va. Jean se recouche à mes côtés son torse contre mon dos et ses bras m’enlaçant. Je m’endors doucement je sens à peine son membre se faufiler dans mon vagin il me possède doucement cela me berce puis le sommeil me prend et me suis endormie lourdement, je n’ai pas ressenti la fin du rapport imposé par mon amant.


JEUDI


La télé se met en marche, il est sept heures, je l’avais programmée ainsi car je ne veux pas être bousculée le matin. Je me délasse doucement, je m’étire mon merveilleux amant Jean dort profondément. Je le laisse tranquille et pars à la douche, mon corps est apaisé par cette eau chaude qui coule sur moi. Je me sèche, j’entends le téléphone et me précipite vite avant que Jean ne décroche machinalement. Il a presque la main dessus cela l’a réveillé et en prenant le combiné je lui fais signe de se taire en posant délicatement un petit baiser sur sa bouche. C’est mon mari ! Je m’assois sur le bord du lit poussant Jean un petit peu, nue comme un ver, je me tourne vers lui et met mon index sur ma bouche en signe de lui faire comprendre de se taire.



Jean derrière moi s’il ne prononçait pas un mot n’en était pas moins inactif. Il se met à genoux dans mon dos et en m’enlaçant me pelote les seins et en pince les bouts qui déjà se mettent à durcir. J’essaye de me défaire de son emprise mais il ne lâche pas sa pression, je ne peux pas me lever. Délaissant mes seins, il me masse maintenant le ventre puis descendant s’attaque à ma vulve et à mon clitoris. Mon mari au bout du téléphone et mon amant me pelotant cela me procure une sensation très forte.



Je me couche sur le dos, j’écarte grand les cuisses et en prenant Jean par ses cheveux crépus je l’attire doucement vers mon sexe. Il comprend tout de suite et se met à me lécher la vulve. Il aspire complètement les lèvres intimes et avec le bout de la langue il titille mon clitoris. Cette situation me fait défaillir mon amant me procurant du plaisir et mon mari de l’autre côté relié par le téléphone.



Il est temps qu’il raccroche car l’orgasme attendu arriva brusquement, je ne sais pas si j’aurais pu le cacher à mon époux. Jean s’aperçoit que je mouille abondamment.



Son membre est dressé et d’un seul coup me l’enfile en moi. Il ne s’occupe de rien, il me laboure me transperce et très vite se met à éjaculer.



Il reste en moi je sens qu’il veut remettre cela. Je n’en ai plus envie, je le repousse et lui son sexe pendant entre ses jambes mais recommençant à prendre de bonnes mesures me fait rire.



Il se lève, m’embrasse puis en prenant ses affaires sous le bras il s’en va. Il entrouvre la porte ne vois personne et en courant va frapper à la porte de mon amie, elle ouvre et je le vois s’engouffrer dans la chambre. Il est vraiment increvable celui-là, Céline si elle est en manque elle ne va pas le regretter. J’ai presque fini mon petit déjeuner que je vois Céline arriver, toute souriante.



Le stage se termine, heureusement car je suis crevée. Céline est partie vers les onze heures et demie prétextant que son train était plus tôt et quelle ne voulait pas passer une autre nuit à Paris. Il est plus de deux heures et je suis sur le quai du train de Céline. Encore une demi-heure avant le départ elle a encore le temps. Puis je la vois qui arrive presque en courant, elle est accompagnée par tous nos amis africains, Jacqueline en tête, elle est radieuse ! Ça a du être sa fête. Après les effusions, c’est le départ, Céline en premier puis c’est moi dix minutes plus tard.



Mon train démarre, je fais des signes d’adieu à mes amis puis je vais m’asseoir dans le compartiment. Il est presque vide, un jeune homme placé à la fenêtre et seulement moi. Je m’écroule sur le siège, ma jupe en volant remonte assez haut.



Je me recroqueville sur mon siège les pieds sous mes fesses, mon voisin doit apercevoir ma petite culotte il en est tout rouge. Je repense à mon mari et à mes amours coupables. Pas le moindre regret, je ne ressens pas de remords car pour moi dans ma tête faire l’amour sans éprouver de sentiments pour son baiseur n’est pas trompé son mari. Est-ce que je le trompe quand je donne du plaisir avec un godemiché ? Sur ces considérations philosophiques je m’endors.


Francoise.p@caramail.fr





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Erotisme torride

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n° 00823Phil Cox17/08/00 *
Nuit romaine - 1er épisode
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9132 caractères
Auteur : Phil Cox      Série : Nuit romaine - 01 / 03


Il y a un mois, j’étais allé passer quatre jours à Rome, pour mon travail. Je suis sous-chef de produit dans une boîte d’informatique, c’est donc à moi, puisque je parle italien, qu’incombe la corvée de l’installation et de la prise en main des nouveaux logiciels, quand le client (très gros…) achète (très cher…) ce genre de service.


J’ai 24 ans et je mène, depuis que j’ai trouvé ce travail (c’est-à-dire deux ans), une vie parisienne bien trop sage à mon goût : je travaille tellement que, le soir venu, je me retrouve souvent seul, devant la télé, à piquer du nez comme un petit vieux dès 9 h, pour recommencer à travailler d’arrache-pied le lendemain matin à 8 h…

Il y a bien, les week-ends, quelques séances de baise avec des amies auxquelles je ne m’attache jamais, complètement obsédé que je suis par le boulot… Enfin, je me dis que je suis jeune, que j’ai la chance d’avoir un travail intéressant et super bien payé, et que la priorité, c’est de consolider cette situation avant d’arriver à un poste où je pourrai commencer à faire bosser les autres plutôt que de bosser moi-même ! La rigolade, on verra plus tard…


N’empêche, qu’est-ce que je fais, quand je ne parviens pas à m’endormir, le soir, la queue raide, et qu’il n’y a pas une bonne âme (ou plutôt un joli con…) pour me soulager ? Les putes ? Pas le temps et puis je ne vois pas pourquoi je paierais pour quelque chose que je n’ai jamais eu de mal à obtenir gratuitement… La branlette ? tristounet, non ? Les amies style "sapeur-pompier", toujours prêtes à éteindre les incendies ? encore faut-il en connaître et qu’elles soient disponibles au bon moment… Enfin ne nous plaignons pas, quand on pense à ce qui se passe dans le monde…


Donc, je me promenais ce soir-là dans le quartier de la place d’Espagne, enfin débarrassé jusqu’au lendemain de mes obligations professionnelles et à la recherche d’une bonne fortune. Je connais bien Rome pour y être allé de nombreuses fois, et je peux vous dire que c’est la ville idéale pour le dragueur en quête de gibier, mais à condition de se "contenter" des touristes. Les Italiennes, vous ne les verrez que si vous êtes introduits dans le milieu de la société romaine, assez fermé.


Mes goûts en matière de sexe ? Jusqu’à une date toute récente, hétéro exclusif, mais depuis pas plus tard qu’hier soir, à la suite d’une scène à laquelle j’ai assisté par hasard, je commence à me poser des questions…


C’était à la fin de ma première soirée romaine, j’étais rentré à mon hôtel après avoir vainement tenté de trouver chaussure à mon pied en me promenant durant deux heures dans les rues encombrées de touristes. Comme je vous l’ai dit, la drague, ça marche relativement bien à Rome, mais ce soir-là, rien à faire, chou blanc sur toute la ligne…


Me voilà donc au lit, déçu et solitaire. Vers 1 h du matin, je suis réveillé par des gémissements caractéristiques qui viennent de la chambre d’à côté, qui communique avec la mienne par une double porte : mes voisins sont en train de s’envoyer en l’air… Moi qui étais déjà plutôt morose, je n’avais vraiment pas besoin de ça… Impossible de me rendormir, la fille commence à pousser de vrais cris de bête en rut, tellement forts que je me demande si les portes communicantes sont bien fermées… Je m’approche, entrebâille la porte qui est située de mon côté, pour constater que la leur est effectivement restée grande ouverte : j’ai une vue imprenable sur le lit de leurs ébats, ô combien mouvementés !


Une superbe brune au cul épanoui chevauche un grand noir dont j’aperçois la bite, grosse et luisante de mouille, qui coulisse dans le con distendu de sa cavalière… Le contraste entre la peau laiteuse de la fille et l’ébène du corps du black est saisissant. Difficile de rester insensible à ce genre de spectacle : je sens ma queue qui se raidit et se déploie en quelques secondes. La fille, complètement déchaînée, crie son plaisir :



Je vois la main du noir qui se dirige vers ses fesses et un de ses gros doigts s’enfoncer dans l’anus brun de la fille, déjà entrouvert.



De mon côté, je me demande si je ne vais pas partir tout seul, sans me toucher, tellement cette scène m’excite. Ma queue est dure comme du bois.



Elle se dégage de la bite qui la pénètre, se retourne et se ré-enconne dessus, présentant ses fesses, pour que son amant puisse en même temps lui élargir de trou du cul, à présent plus commodément à la portée de ses doigts… Ce qui me permet maintenant d’apprécier ses seins magnifiques, assez gros mais très fermes, qui ballottent à chacun de ses mouvements… Je ne vois plus à présent ce que font les doigts du noir, mais les commentaires de la fille me permettent d’imaginer ce qui se passe :



La fille ressort et enduit à son tour la grosse queue de crème, la tartine copieusement, en profite pour lui masser les gros sacs qui lui tiennent lieu de couilles. La bite est superbe, longue, épaisse, bien cambrée, surmontée d’un gland large qui la coiffe comme un gros champignon. Et je m’aperçois que mon désir vient autant de cette queue magnifique qui se prépare à un enculage magistral que du corps superbe de la fille… Je ressens très clairement que mon anus a envie de cette queue, que j’adorerais qu’elle me pénètre : il suffirait que je m’enfonce un doigt dans le cul pour que je parte…


C’est au tour du noir de prendre l’initiative des opérations :



La fille se met en position, les fesses le plus haut possible, et enserre de ses bras l’oreiller, en souriant de plaisir à l’idée de ce qui l’attend. Le grand black est monté sur le lit et dirige son énorme chibre vers l’anus déjà ouvert de la demoiselle. Il présente le gland et pousse énergiquement pendant que la fille attrape les globes de ses belles fesses à pleine main pour les écarter au maximum. Lentement, la queue rentre, le gland a l’air d’être passé… Il ressort complètement avant de se renfoncer pour aller un peu plus loin, ce qui me permet, au passage, de voir l’anus qui reste complètement ouvert, comme dans un "O" de surprise et de déception…


Moi, c’est bien simple, je n’en peux plus, j’ai l’impression de ressentir moi-même, dans mon anus, passer la grosse bite. À peine la queue, maintenant rentrée à fond, commence à limer l’anus dont je vois la bague se dérouler et s’enrouler souplement autour du pieu qui la pénètre, que j’éjacule, sans avoir besoin de me toucher ! Je pars tout seul ! Deux doigts dans mon anus, et je vois mon sperme jaillir jusqu’au milieu de la pièce de mes voisins… Heureusement qu’ils sont trop occupés pour s’en rendre compte…


La fille prend un pied phénoménal :



Le noir pistonne à présent la fille sans retenue, il la défonce carrément, faisant complètement ressortir sa bite à chaque fois avant de la renfoncer puissamment dans un bruit de succion obscène.



Mais le noir ne l’entend pas de cette oreille, dès que la fille a eu joui, il décule et présente son membre toujours complètement bandé et gluant de crème devant le visage de sa partenaire qui l’avale goulûment, pompant avec ardeur la bite qui sort de son cul, jusqu’à ce que son amant éjacule dans sa bouche et sur son visage une purée abondante, épaisse, crémeuse, qui sort en longues et puissantes giclées. À la fin, elle reprend en bouche la bite, avale avec un plaisir évident le sperme qui en sort encore de façon sporadique, et suce pour finir le gland comme un gros bonbon… Les deux amants s’écroulent sur le lit, épuisés.


Je regagne le mien, troublé par les nouvelles sensations que je viens de découvrir. Pas besoin de vous dire que j’ai dormi de manière plutôt saccadée… Impossible de me concentrer correctement le lendemain sur mon travail, l’image de cette nuit m’obsède tout le temps et, loin d’être calmé, je ne pense, une fois libéré du boulot, qu’à trouver une partenaire.


Cette fois, la chance devait me sourire, mais de manière plutôt inattendue, qui devait combler mes désirs au-delà de mes plus secrètes espérances…



À suivre…



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n° 00937Homme 45a02/09/00
Week-end agréable
critères:  fh grossexe volupté intermast cunnilingu pénétratio fdanus jeu
32409 caractères
Auteur : Jean-Marc 3


Un soir alors que j’étais seul chez moi, confortablement installé en survêtement dans un fauteuil profond en cuir, devant une agréable coupe de champagne, un livre entre mes mains, mon téléphone sonna. D’abord, je ne voulus pas répondre, mais comme cela faisait plus d’un mois que j’étais seul, sans aucune compagnie, ma dernière amie m’ayant lâchement abandonné, je me dis que c’était peut-être l’occasion de renouer contact avec elle ou une autre, qui sait.

Je décrochais donc après la troisième ou quatrième sonnerie:



Cette conversation m’avait très émoustillé, à tel point que ma virilité se manifestait sans retenue et j’avais très envie d’être trois jours plus âgé pour voir et bien sûr, pour éventuellement caresser la charmante créature que Nathalie me réservait. Je suis allé me coucher en fantasmant sur mon prochain week-end et imaginant mes relations à venir ce qui ne manqua de me faire répandre ma semence.

Le reste de la semaine me sembla très long et le vendredi matin, je me préparais à me rendre dans les Vosges. Je fis ma valise, je mis un slip échancré qui mettait en valeur mes attributs masculins très développés, une chemisette à manches courtes blanche qui mettait en valeur mon teint bronzé des dernières vacances, un pantalon genre jean très clair, et me voilà en route vers les Vosges. Quatre heures de route par une belle matinée ensoleillée m’attendaient pour rejoindre la ferme-auberge de mes amis Nathalie et Gérald. Le trajet se passa sans encombres et j’arrivais à 14h30, une petite demi-heure de retard, mais c’est une habitude chez moi, je n’aime jamais arriver le premier.


Je gare ma voiture sur le parking de la ferme-auberge. C’est un endroit splendide. Mon regard vagabonde sur les sommets arrondis recouverts de forêts de sapins et, en dessous de moi, dans la vallée par laquelle je suis arrivé. C’est splendide, calme, rempli d’arômes merveilleux. Les abords de la ferme-auberge sont superbement entretenus: gazon verdoyant tondu, massifs de fleurs telles qu’hortensias roses et bleus, jardinières de géraniums roses et rouges à toutes les fenêtres, des arbustes et des haies superbement entretenus. Non loin de là, une basse-cour, un parc avec une bonne douzaine de magnifiques chevaux et des ânes, au loin les prairies avec vaches et chèvres.

Sortant de la ferme, Nathalie m’appelle et court vers moi; elle porte une petite robe jaune qui lui va à ravir et qui laisse voir sa belle poitrine et ses superbes jambes. Je suis très sensible aux jambes des dames et cela me plaît beaucoup d’entrevoir de belles cuisses sous une petite jupe. Elle m’enlace, dépose deux gros baisers sur mes joues. Je la regarde et lui dis :



Je prends ma valise. Nathalie me prend par le bras et me conduit vers le corps de bâtiments. Nous montons l’escalier extérieur qui mène au balcon fleuri qui ceinture le bâtiment et sur lequel donnent toutes les portes des chambres. Nous nous arrêtons devant l’une des portes. Elle ouvre, s’écarte pour me permettre de rentrer. C’est une chambre magnifique, grande, avec un coin salon devant la porte d’entrée et une cheminée à l’âtre entre le coin salon et la partie chambre. Elle est magnifiquement décorée et meublée. Les murs sont habillés de bois et décorés de plusieurs aquarelles. Des rideaux bordeaux se trouvent devant la porte et la fenêtre donnant sur le balcon. Le coin salon comprend une table basse en bois, deux fauteuils et un canapé trois places en rotin, re-couverts de coussins jaunes et bordeaux. Un superbe et très grand lit avec un couvre-lit de la même couleur que les coussins du salon, deux descentes de lit en peau de chèvre écrue à longs poils, une table bureau avec deux chaises, un grand placard encastré dans le mur avec portes munies de glaces dans lesquelles se projettent le lit et les deux tables de chevets.

Trois portes donnent sur la chambre: deux sont entr’ouvertes, la troisième est fermée. J’ouvre l’une des portes entr’ouvertes que je referme: ce sont les toilettes, propres, murs recouverts de carrelage blanc. La seconde porte entr’ouverte donnait sur une magnifique salle de bains avec douche, baignoire ronde, lavabos, murs revêtus de carrelage couleur rose pâle avec en motif une belle fresque représentant trois jeunes filles bien potelées dans le plus simple appareil, un miroir, superbe quoi. La troisième porte résista quand je voulus l’ouvrir. Je me retourne vers Nathalie qui me tend une clé:



Je la suis. Nous arrivons dans la grande salle par l’intermédiaire d’une mezzanine à partir de laquelle nous avons une vue plongeante sur les invités en train de discuter entre eux et de prendre un rafraîchissement. Il y avait cinq dames et cinq messieurs dont Gérald à qui je fais un signe de la main.



Mon regard avait rapidement fait le tour des protégées de mon amie: deux d’entre-elles me sont apparues un peu trop âgées quoique bien mises et encore bien faites ; une autre était en tailleur pantalon, ce qui est assez rédhibitoire pour moi compte tenu de mon attirance pour les jambes de nos compagnes; les deux autres me tentaient bien. L’une grande et rondelette, belle poitrine, jambes bien moulées gainées de brun, en tailleur vert et caraco noir, jupe au-dessus du genou, cheveux bruns courts, souriante, et se tenant debout, les pieds l’un devant l’autre, chaussée de superbes escarpins noirs vernis. L’autre un peu plus petite, cheveux mi-longs auburn, mince mais avec poitrine et hanches qui semblaient plus développées que chez l’autre, jambes superbes gainées de noir qui semblaient infinies, en tailleur jaune orangé dont la veste laissée voir un caraco bordeaux, souriant mais avec retenue ou même tristesse, debout elle aussi, les pieds l’un devant l’autre, chaussé de chaussures jaunes à haut talon.



Je la suis vers la grande salle où Nathalie me présente aux autres. Je serre la main à ces messieurs et je fais la bise à ces dames. J’observe Amélie qui m’apparaît encore plus mignonne de près.


Nathalie invite tout le monde à s’asseoir autour de la grande table campagnarde. Elle rappelle à tout le monde les règles du jeu et annonce le tirage au sort qui va désigner les couples pour ce week-end. Les dames sont priées de prendre une carte dans un panier rouge de 5 cartes et de ne pas montrer la carte tirée au sort. Elles commencent par la plus jeune. Puis Nathalie prend un panier bleu qui contient également 5 cartes. Elle mélange les cartes et tend le panier aux messieurs. Un petit mot nous demande de prendre celle du dessus, ce que je fais lorsque mon tour arrive. J’ai le 3 de trèfle.

Nathalie s’apprête à lever le voile sur le mystère. Les dames très causantes jusque là, se sont tues et même pâlissent. J’observe Amélie du coin de l’œil et il me semble que sa respiration s’est accélérée.



Mon voisin se lève et une des dames que je considérais comme trop âgée, dit timidement et en rougissant: "C’est moi." Il se dirige vers elle, la prend par la main; elle se lève, lui fait face et ils se font la bise. Tout le monde applaudit. Puis le 4 de trèfle est appelé. C’est la dame en tailleur pantalon qui est concernée. Elle se lève seule et se blottit dans les bras de son compagnon; ils s’embrassent à pleine bouche. Et ainsi de suite, jusqu’au 3 de trèfle qui est appelé en dernier. Amélie me regarde depuis longtemps déjà, se sachant depuis l’appel précédent, désignée à passer le week-end avec moi.

Je me lève, m’approche d’elle et lui tends un petit écrin que j’avais dans ma poche. Elle le prend, l’ouvre, enfile le bracelet qu’il contient, m’enlace, dépose deux baisers sur mes joues, me regarde, se ravise, et m’embrasse à pleine bouche. Je sens sa langue dans ma bouche, l’effet dans mon pantalon est immédiat.


Nathalie nous propose une coupe de champagne avant de rejoindre les chambres où nous pourrons ranger nos affaires. Elle nous informe que le dîner sera servi à partir de 21h00. Je trinque avec Amélie et nos verres vides, je lui propose de rejoindre nos chambres. Je me charge de ses bagages et nous rentrons dans ma chambre qu’elle visite et qu’elle trouve superbe. Je lui tends la clé de la porte de communication, elle s’approche de moi, se blottit dans mes bras et m’embrasse à pleine bouche. N’en pouvant plus, je me plaque contre elle et nous nous serrons très fort l’un contre l’autre. Haletant, nous nous séparons et elle me dit qu’elle désirerait partager la mienne. Je n’y vois, bien sûr, aucun inconvénient. Je lui propose une petite promenade dans les dépendances. Nous nous promenons aux alentours de la ferme-auberge. Je lui ai naturellement pris la main. On visite les abords, la basse-cour, le parc où gambadent les chevaux et les ânes. Bien sûr, nous jetons des graines aux poules et oies, nous nous attardons devant le paon qui fait la roue et nous tendons du foin aux chevaux et aux ânes. Puis, nous nous dirigeons vers la forêt de sapins qui s’élève vers les ballons. Il fait bon et sombre sous les futaies. Je la prends par la taille. Elle me sourit. La tension monte. Un peu plus loin, je l’enlace et on s’embrasse. Nos langues s’enlacent et se frottent dans nos bouches, ma main caresse son dos puis ses fesses à travers sa jupe. Elle gémit et se presse contre mon ventre. Elle doit ressentir la raideur de mon sexe tendu. Mon autre main se pose sur son sein que je caresse à travers la veste du tailleur. Il a l’air mignon et bien ferme. Après cette longue étreinte, nous nous séparons et nous nous sourions. Elle me dit :



Nous montons l’escalier menant au balcon et nous nous dirigeons vers notre chambre. En passant devant une fenêtre, nous entendons des gémissements qui ne trompent pas sur l’activité du couple qui occupe la chambre en question. J’observe Amélie qui rougit. Nous nous arrêtons et nous jouons les voyeurs en écoutant. Les gémissements de la dame sont de plus en plus intenses. La rougeur d’Amélie et je suppose son excitation doivent croître proportionnellement avec ces gémissements; elle se serre contre moi. Les gémissements de la dame se transforment en quelques syllabes: "Oui, oui, encore, c’est bon." Puis elle dit: "Oh oui, je vais venir! Retiens-toi, chéri. Oh!" Ces paroles sont suivies d’une longue plainte mêlée de grognements du monsieur.

Amélie a croisé ses jambes et elle serre les lèvres. Dans la chambre, nous entendons: "C’était superbe, chéri. Mais tu sais, je t’avais prévenu. Je risque fort d’être enceinte." Nous nous éloignons rapidement et nous rejoignons notre chambre tout émoustillés. Elle m’observe, toute rouge, mais souriante maintenant, à croquer. Je suis dans un état inimaginable au niveau de mon pantalon et je vois son regard se poser sur la bosse de mon pantalon. Elle me dit :



Je l’attire vers le canapé sur lequel nous nous asseyons côte à côte. Nous nous embrassons. Je déboutonne sa veste de tailleur et je découvre un tout petit débardeur qui me dévoile son nombril. Je glisse ma main sous son débardeur et je me saisis de son sein enveloppé d’un très fin bonnet de soutien-gorge au travers duquel je ressens son téton durci. J’embrasse son cou, sa gorge la naissance des seins tout en continuant à la peloter. Elle s’offre, se détend, ronronne. Sa jupe remonte sur ses superbes cuisses qui sont légèrement entr’ouvertes. Je pose ma main sur sa jambe juste au-dessus du genou. Elle tressaille; je la regarde, elle me sourit. Suite à cet encouragement, je caresse la partie offerte à ma vue de sa cuisse, puis je glisse le bout de mes doigts sous l’ourlet qui borde sa jupe. Elle continue de me sourire et se déplace légèrement de telle façon que l’accès à sa féminité me soit facilité. Je l’embrasse et je laisse remonter ma main sous sa jupe. Elle ronronne, elle m’enlace, elle écarte ses jambes davantage, elle s’offre.

Ma main rencontre la chair nue de ses cuisses: elle porte des bas tenus par des jarretières. Je caresse sa peau nue qui me trouble. Puis ma main glisse entre ses cuisses et touche sa culotte. Elle gémit fort, elle se cambre, et je sens son entre cuisses se mouiller sous mes doigts. Nous nous sépare, elle me sourit et me dit :



Je l’amène près du lit et là, je retire sa veste, puis son débardeur. Je la retourne, je défais la fermeture éclair de sa jupe que je descends. Elle m’apparaît de dos en soutien-gorge bordeaux, en petite culotte tanga assortie, en bas noirs tenus par des jarretières assorties au soutien-gorge et à la culotte. Elle est craquante. J’observe le côté face dans la glace. Elle me sourit.



J’ouvre le lit. Et je me déshabille dans son dos: chemise d’abord, pantalon ensuite. Elle me voit dans la glace et sa main se porte entre ses cuisses et elle se met à se caresser. Je m’approche d’elle en slip et je plaque mon sexe énorme contre ses fesses :



Je la retourne vers moi, on s’enlace, on s’embrasse. Puis je la soulève dans mes bras et la porte sur le lit. Elle se met à rire nerveuse et excitée. Je m’allonge contre elle et je dégrafe son soutien-gorge. Je me retrouve face à deux superbes globes à la peau claire, surmontés de deux tétons roses dressés et durs au centre d’une petite aréole. Je pose ma main câline sur l’un des globes. Amélie ronronne et ferme ses yeux. Je caresse, je la pelote, et je pose ma bouche sur le deuxième téton. Je suce, je lèche, j’aspire. Amélie se tortille, m’enlace et me caresse le dos et la poitrine. La tension entre nos corps augmente de plus en plus. J’ai très envie de me calmer rapidement en elle, mais comme j’ai peur de la brusquer, je poursuis les préliminaires pour l’amener au plaisir. Je continue à sucer son sein tandis que ma main descend et caresse son ventre. Elle cambre ses reins et gémit de plus en plus. Ma main poursuit sa descente sur sa culotte puis sur la chair nue de ses cuisses. Lentement, elle écarte ses jambes et je considère cela comme une demande de caresses sur son pubis entre ses jambes. J’y place ma main et je caresse du plat de la main. Elle se met à me parler : "Oh oui! Chéri, c’est merveilleux, j’aime." Je précise mes caresses en utilisant mes doigts ; je sens sa fente intime à travers sa culotte et je la caresse en me servant du tissu pour exciter son intimité. Elle se tortille, elle gémit fort. Je l’enlace plus fermement pour qu’elle bouge moins et ressente pleinement mes caresses. Soudain, elle se crispe, elle gémit très fort et longue-ment et je sens sa culotte devenir mouillée entre ses cuisses.


Je la regarde en souriant. Elle me regarde, les yeux troubles, les lèvres tremblantes. Dans un souffle, elle me dit: "J’ai joui, c’est merveilleux." Je la reprends dans mes bras, je l’embrasse et je constate à la tension de ses tétons que le désir est à nouveau présent en elle. Elle se met à me caresser et j’en profite pour saisir l’une de ses mains qu’elle a bien soignées, aux doigts fins et longs, sans bijoux, avec des ongles arrondis recouverts de vernis du même bordeaux que ses dessous. J’amène lentement cette main vers mon slip, et la pose sur mon sexe tendu. Elle frémit et se met à me caresser et à prendre la mesure de mon organe en le palpant ainsi que ma bourse à travers mon slip. Pour l’encourager, je lui dis: "C’est bien chérie, tu es très douée et j’adore la douceur de ta main."

Sous ses caresses, la tension montait énormément dans ma chair et il m’apparut que nous devions changer rapidement de jeu si je ne voulais pas éclater trop rapidement. Je me déplaçais donc lentement pour me mettre à genoux dans le prolongement de ses jambes qu’elle avait repliées. Je caresse ses cuisses et mes deux mains se posent sur sa culotte tout en lui caressant le ventre. Lentement, je me saisis du bord de sa culotte et des deux mains je la fais descendre. Elle gémit mais se laisse faire. Je retire complètement cette culotte et la voilà uniquement vêtue de ses bas. J’écarte lentement ses jambes et je vois son sexe magnifique aux lèvres très fines avec une très fine toison châtain très clair. Il est luisant et humide de sa précédente jouissance. Je demeurais en admiration devant ce trésor que j’allais pénétrer sous peu. Elle me regardait, devinant mon trouble, sa respiration s’accélérant. Ma main passe sur sa toison, puis doucement j’écarte ses lèvres très fines pour découvrir un antre rosé avec un superbe bouton turgescent. Je caresse son clitoris avec douceur. Elle respire vite et gémit, les yeux fermés. Son corps s’agite. J’incline mon buste entre ses cuisses et j’embrasse ce trésor à pleine bouche. Quel arôme! Elle sent l’amande, la lavande. Son goût est magnifique, on dirait de la pistache. C’est sublime. J’y enfonce ma langue. Amélie crie, mais je continue, je veux qu’elle jouisse dans ma bouche. Elle mouille de plus en plus. Je glisse ma main sous ses fesses bien fermes et mon doigt s’insinue dans sa raie. Elle crie de plus en plus; des sons oui, des sons non, des sons encore. Mon doigt rencontre son petit trou qu’il caresse, puis doucement le pénètre. Elle hurle, elle se cambre, elle se laisse aller, sa mouille inonde ma figure. Je me relève, la regarde. Elle me dit encore plus marquée par le plaisir que la première fois: "J’ai joui, merci chéri."


Je m’allonge sur elle entre ses jambes. Elle m’essuie le visage avec sa culotte. On s’embrasse, on se caresse. Je lui glisse à l’oreille :



Je m’allonge sur le dos. Amélie se met à genoux à mes côtés. Elle se met à m’embrasser, me caresse la poitrine, puis sa bouche se hasarde sur ma poitrine, s’attarde sur mes tétons, tandis que sa main descend sur mon ventre, puis sur mon sexe à travers mon slip. Pendant ce temps-là, je lui caresse le dos et les fesses. Elle se re-lève, me regarde, me sourit tout en continuant à caresser ma virilité de sa main experte:



Elle descend mon slip et ma queue bien tendue se dresse fièrement devant elle. Il faut dire que je suis assez bien membré. Elle pousse un "Oh!" de surprise, et tout en regardant fixement mon fier attribut, elle retire complètement mon slip.



Elle me regarde tout en continuant à me sucer. Je n’en peux plus; elle le voit, ses yeux brillent de plus en plus, mais elle continue à me sucer. J’en déduis qu’elle désire que je jouisse, je n’en peux plus, je me laisse aller. Mon sperme monte dans ma queue, je jouis comme rarement. Elle s’arrête de sucer mais conserve ma queue dans sa bouche où mon sperme jaillit. Elle reçoit tout, sa bouche en est pleine. Elle retire ma queue de sa bouche, me regarde la bouche pleine et doucement commence à déglutir. C’est si excitant que ma queue reprend immédiatement de la vigueur. Une fois sa bouche vide, elle me dit :



Je l’allonge sur le lit et je m’installe à genoux entre ses cuisses que j’écarte largement. J’ai ainsi une superbe vue sur sa chatte aux lèvres légèrement entr’ouvertes. Je caresse son clitoris d’un de mes doigts. Je sens son bourgeon de chair durcir alors que son bas-ventre entame un lancinant mouvement de va-et-vient. Je glisse mon autre main sous ses fesses, mon doigt dans sa raie, pénètre son petit trou. Elle se tord, elle gémit. Ma queue énorme est rouge et prête à remplir son rôle en la remplissant. Je retire mes doigts de ses orifices et je la tiens par la taille de mes deux mains. Je présente ma queue à l’entrée de sa moule toute trempée. Elle ne bouge plus, elle ferme les yeux, sa respiration devient haletante. J’avance mon bassin avec douceur. Je vois ma queue la pénétrer, ses lèvres s’entrouvrent davantage, la longueur visible de ma queue diminue. Son visage est tendu, elle gémit en criant un long et profond "oui". Je poursuis la pénétration dans son doux et étroit fourreau humide et chaud. C’est merveilleux. Nos pubis se touchent et je reste un moment ainsi sans bouger et je ressens les contractions de son muscle vaginal. Je commence un doux va-et-vient dont j’accélère le rythme. Elle n’arrête plus de gémir et de prononcer des paroles désarticulées sans lien entre elles.


La tension monte de plus en plus dans mon bas-ventre. Je sens que mon sexe va exploser. Alors je m’allonge sur elle, je poursuis mon va-et-vient profond et rapide tandis que tout mon corps se frotte sur le sien. On gémit très fort tous les deux. À l’oreille, je lui dis que je vais l’inonder. Elle m’enlace très fort et mon sperme gicle dans son ventre. Je me sens me vider littéralement et elle hurle en tournant la tête dans tous les sens. On reste ainsi allongé un certain temps, l’un sur l’autre et l’un dans l’autre, savourant chacun notre plaisir, et récupérant de la bonne fatigue physique accumulée lors de nos ébats. Alors Amélie me dit :



Elle se lève, ouvre sa valise et sort ses affaires de toilettes. Je la regarde, encore allongé sur le lit. Elle va dans la salle de bains et très vite j’entends l’eau couler. À ce moment-là, je me dis que je serais bien avec elle sous la douche. Ma queue se met immédiatement au garde à vous. Je me lève et je vais dans la salle de bains, j’entrouvre le rideau et je la vois toute couverte de mousse. Elle me regarde et constate mon état, me sourit. Je vais la rejoindre, je la soulève contre moi et l’appuie contre la paroi de la douche et ma queue trouve immédiate-ment l’entrée de sa fente merveilleuse. Je la branle rapidement. Je suis fou d’elle et cette fois, je ne pense vrai-ment qu’à mon plaisir dans ce corps de rêve. Soudain, elle se met à gémir et rapidement à hurler. Je la branle de plus en plus vite. Elle crie toujours et je libère mon jus en elle et à ce moment, elle émet un long cri et j’ai l’impression d’avoir un pantin désarticulé dans mes bras. Je me ressaisis, je la pose au sol, elle m’enlace, m’embrasse et me dit que jamais elle n’avait tant joui.

Moi je tremblotais également après cette forte jouissance. Elle s’empara de son shampoing et se mit tendrement à me laver les cheveux, puis elle prit son gant de toilette sur lequel elle mit son gel douche, et se mit à me laver tout aussi tendrement. Elle insista sur mes parties intimes et s’occupa de ma raie arrière. Je me mis à rebander, mais là elle me dit :



Je lui souris et toujours avec ma trique, je pris son gant de toilette, y déposai du gel douche et me mis également à la laver en insistant sur les seins, son entre cuisses, sa fente intime que je pénétrais d’un doigt, puis sa raie culière où j’insistai longuement sur son petit trou. Puis, on fit couler une douche, d’abord chaude, puis tiède et finalement froide, ce qui nous calma et nous permit de mettre nos peignoirs et de nous sécher les cheveux calmement.

Lorsque je la rejoignis dans la chambre, elle avait rangé ses affaires. Je me mis à ranger ma valise et elle me dit en me montrant une petite robe vert pâle :



Elle sort à ce moment des dessous verts eux aussi de l’armoire. Je lui prends la main qui tient ces dessous et lui dit :



Elle mit sa robe qui mettait son corps très en valeur. Mais effectivement, je voyais légèrement son intimité à travers sa robe: ses tétons qui assombrissaient légèrement le tissu, une image plus foncée de son triangle pubien et de sa raie culière. Mais elle était splendide et adorable ainsi.



Nous sommes allés vers la grande salle où Nathalie s’empressa auprès d’Amélie. Je les entendais parler à voix basse et échanger des secrets de femmes. Nathalie s’approcha de moi et me dit :



Nous avons passé un week-end merveilleux chez Nathalie où nous avons fait de nombreuses folies que nous vous raconterons peut-être si ce premier essai vous a plu. Car bien sûr, nous avons écrit ce texte ensemble. Depuis nous sommes toujours ensemble et nous nous aimons toujours plus.



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n° 00945Garçon ! Un pastiche !04/09/00
Pastichette se déchaîne
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12308 caractères      
Auteur : Jean-Sébastien Tiroir


Hello ! Je m’appelle Orelia, et j’ai eu 18 ans très récemment, je vous livre quelques pages parmi les plus chaudes de mon journal intime


Jeudi 1 juin

Demain c’est mon anniversaire. Que vont-elles m’acheter ? Je dis "elles" car nous allons faire cela en petit comité, il y aura ma mère, (qui à 40 ans est encore une femme superbe !), ma Tante Sidonie que j’adore et ma grande sœur Bénédicte. Mon père ne sera pas là, il est en prison et on ne veut pas me dire pourquoi !


Vendredi 2 juin

Oh là, là ! Que d’émotions, ce jour restera à jamais gravé dans ma mémoire, Après un bon repas préparé par ma mère (qui à 40 ans est encore une femme superbe, on ne le répèteras jamais assez) celle-ci est allée chercher le dessert. Ma première réflexion fut de m’étonner que les bougies ne soient pas allumées.

Je m’aperçus ensuite que ce n’étaient pas des bougies qui ornaient mon gâteau d’anniversaire, mais des godes, 18 godes plantés dans le gâteau au moka !

J’embrassais ma mère et ma sœur pour les remercier, puis alors que je m’apprêtais à déposer un chaste baiser sur les douces joues de ma tante Sidonie (qui elle aussi à 40 ans est également une femme superbe !) Cette dernière dévia mon visage afin de coller ses lèvres contre les miennes, et me roula carrément un patin. Quel plaisir divin de se faire rouler une pelle par sa douce tata, je me laissais faire bien sûr. Elle me précisa que ce baiser faisait aussi parti des cadeaux.

Bon ! C’est pas tout cela, mais il fallait bien le manger, le gâteau, je fis la remarque qu’il manquait les petites assiettes et les cuillères :



Se saisissant de l’un des godes, elle l’enfonça dans le gâteau, le ressortit et le lécha. Voilà une excellente idée. Nous étions toutes les 4 en train de sucer nos godes plein de crème au moka ! Bien sûr ce genre de situation excite, et Tata Sidonie fut la première à enlever sa culotte, pour faire un usage un peu plus classique du godemiché. Quelques instants après elle en prit un deuxième afin de combler son petit trou qui devenait jaloux. Nous n’avons pas tardé à imiter Tata Sidonie (qui à 40 ans est toujours une femme superbe !). Tata Sidonie à voulu m’assister dans cette tâche, pensant que je manquais de pratique (si elle savait la pauvre !). Je me suis laissé faire. Elle m’a aussi demandé de lécher le gode qu’elle s’était introduite dans la chatte, j’ai pu ainsi déguster les saveurs intimes de ma Tata, et c’est moi qui lui aie demandé ensuite de lui nettoyer le gode qu’elle s’était carré dans le cul. Ensuite Tata m’a demandé de la lécher pour la faire jouir. Cette partie à quatre a alors duré jusqu’à notre épuisement complet


Mardi 6 juin

J’ai bouffé trop de gâteau, j’ai été malade, ce matin ça va mieux, j’ai 18 ans, le monde est à moi. Avec l’argent de poche que j’ai eu, je vais renouveler ma garde robe. Je m’habille très très court, je mets le plus beau des 18 godes dans mon sac à main et je me décide à commencer par le marchand de chaussures. En pleine rue, je me dis que je n’aurais pas du mettre de culotte, alors je la retire dans l’indifférence générale.

J’essaie quelques godasses, la vendeuse est mignonne, et je m’arrange pour qu’elle remarque mon absence de culotte. Mais elle fait semblant de ne pas voir, cette pétasse



Ca me contrarie ce genre de réponse parce que ça ne correspond pas au scénario que j’avais dans la tête, alors je me décide à forcer la dose, je sors mon gode et me l’enfonce dans la chatte, puis je fais démarrer les piles du vibrateur. Quelques personnes se détournent juste un peu, mais c’est tout ! Un type se pointe devant moi :



J’accompagne le mec dans une arrière salle, j’espère qu’il va me violer, j’aimerais bien qu’on me viole, aujourd’hui, il paraît que c’est super comme expérience !



Le type avait une bite monstrueuse, je léchais un peu son gros membre parcouru de grosses veines bleues, mais j’avais du mal à mettre dans ma bouche son énorme gland violacé. Pourtant au bout de 3 minutes il me lâcha une considérable giclée. Je croyais que l’affaire allait en rester là, mais il m’indiqua qu’il rebandait déjà et m’intima l’ordre de me tourner afin qu’il m’enculasse.

Ayant peur que cet engin surdimensionné me déchire le fondement, je décidais de fuir et me mit à courir. En traversant le magasin, je trébuchais sur une boite à chaussures et m’affalait, le cul à l’air. Deux vendeuses m’empoignèrent et me ramenèrent manu militari dans l’arrière boutique.



Il me fit très mal, mais comme dans les histoires, après la douleur vint le plaisir et c’est toute contente que je sortis du magasin avec mes chaussures à l’œil

Tout de même si on ne peut pas venir acheter des chaussures sans culotte, sans se faire enculer, où vas-t-on ?


Mercredi 7 juin

Je cherche un petit ensemble, j’en trouve un super mignon, il faut que je l’essaye, je vais donc dans une cabine. Ils sont fous dans ce magasin, ils mettent des rideaux aux cabines, je laisse bien sûr la mienne ouverte et me déshabille, j’essaie le truc. Il me va très bien, je me déshabille à nouveau et dans la foulée j’enlève aussi mes sous-vêtements. Les gens passent, mais ne s’arrêtent pas. C’est désespérant. Je renouvelle la tactique de la veille et je sors mon gode en réglant le vibrateur à fonds. Une bonne femme arrive en pétard !



Je ne réponds pas, j’espère bien que la sécurité va venir, j’espère aussi qu’ils vont me violer (j’aimerais bien qu’on me viole, aujourd’hui, il paraît que c’est super comme expérience). Ça y est la sécurité arrive. C’est un grand gaillard d’environ 1 m 98 !



Et joignant le geste à la parole, il m’enlève le gode, baisse le vibrateur, et le remet en place



Le goujat, il ne m’a même pas violé. Une fille rentre, une belle fausse blonde



La fille baisse son pantalon et sa culotte, s’accroupit et se met à pisser au milieu de la cabine d’essayage, provoquant la création d’une énorme marre d’urine



Jeudi 8 juin

Bon c’est pas tout cela, mais on m’a pas encore violé (j’aimerais bien qu’on me viole, aujourd’hui, il paraît que c’est super comme expérience) Je décide de forcer la chance et je prends un train de banlieue aux heures creuses, je m’installe dans un wagon à moitié vide, il n’y a que 3 loubards dans le fond, et un vieux monsieur qui est à moitié planqué derrière un journal. Je retire ma culotte devant leurs yeux médusés et commence à jouer avec mon gode



Hmmmm, ça m’excite tous ces mots doux !

On va te prendre tous les trois et on va t’enculer ! Tu vas voir ce que c’est qu’une vraie bite !



Et après avoir rigolé grassement, déjà deux d’entre eux m’immobilisent, le troisième s’approche de moi, son haleine sent la bière trop forte et le big mac mal digéré. Il sort son énorme bite (les violeurs ont toujours des bites énormes) mal lavée et sans préliminaires me la fourre dans le con (c’est plus littéraire de dire con que chatte, personne ne parle comme ça, mais ça ne fait rien). Il jouit illico presto. Ils me retournent et le deuxième s’attaque derechef à mon trou du cul. Je hurle ! Il me fait très mal ! Il ne s’occupe évidemment pas de mon propre plaisir et ne pense qu’à lui, il ressort son énorme pieu et me le fourre dans la bouche tandis que le 3e le remplace derrière. Je nettoie la bite du 2e. Elle ne sent vraiment pas la rose, mais que voulez-vous un viol c’est un viol, je ne vais pas en modifier les règles ! Le troisième n’arrive pas à jouir. Mon cul est en marmelade.

Tout d’un coup l’un des loubards, se rappelant la présence du petit vieux à l’autre bout l’appelle



Le type ne bronche pas



Le type affolé se précipite vers le signal d’alarme ce qui ne tarde pas à immobiliser le train. Les trois loubards sautent par la portière et disparaissent dans la nature. Dans la foulée ils ont eu le courage et la bonté de me piquer mon sac à main. Les braves violeurs ! Qu’ils étaient beaux mes violeurs !

Quand même quand on y pense, se faire prendre comme cela par des individus mal lavés, mal éduqués, à moitié bourrés, qui ne respectent pas les femmes, qui nous insultent, nous considèrent toutes comme des salopes, disposent de notre corps comme des brutes en ne pensant qu’à leur propre plaisir en nous faisant mal ! Quel pied ! Et en plus ils piquent les sacs à main. Tiens rien que d’y penser, je mouille !


Vendredi 9 Juin

Je vais passer chez Pépé ! Pépé c’est mon grand-père maternel, donc le père de ma mère, je vous ai, je crois parlé de ma mère (qui à 40 ans est encore une femme superbe) Ma mère est fâchée avec son propre père depuis qu’elle a surpris ce dernier en train d’enculer son mari (donc mon père, vous suivez ?) Ce sont des choses qui ne se font pas. La sodomie est chez la femme un plaisir exquis, c’est le dessert de l’acte, et même si ça fait mal, quel plaisir de voir cette douleur se transcender en plaisir (au fait j’ai encore mal au cul suite à mes conneries d’hier). Tandis que chez l’homme la sodomie est un avilissement honteux.

Mais j’aime bien mon pépé ! Il est encore bel homme et n’a que 56 ans.



Il m’énerve, il ne veut pas me donner d’argent, et voilà qu’il se met à avoir des principes !



Il devient cramoisi



Le pépé sort alors son énorme gland et s’avance vers moi. Je recule !



Il va chercher quelques billets



En sortant, je me demandais ce que cet acte avec ce vieux dégoûtant m’apportait de plus ! Mais je me disais que l’essentiel était de l’avoir fait, de pouvoir me dire que je l’avais fait et de pouvoir écrire que je l’avais fait.


Ce week-end je me repose, lundi j’ai rendez-vous chez Sonia car je veux absolument essayer Kiki. Kiki c’est son doberman !


Pastiche écrit par JS Tiroir le 1/9/2000





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n° 01253Jeune Antillaise, 25 ans, aime toutes les expériences...02/11/00
Merci, mon Démon.
critères:  couleurs grossexe fellation anulingus fist pénétratio fdanus -fantastiq -totalsexe
15805 caractères      
Auteur : Sophie1


Il fait froid. Un étrange hiver qui vient de l’intérieur. Ce froid d’une fièvre inconnue terrasse mes sens. Mes jambes s’agitent d’elles-mêmes, comme si une crise d’épilepsie s’était emparée de moi depuis des heures. Je dis des heures, mais le temps ne compte pas ici. Il y a une minute à peine semble-t-il, je sortais d’une boîte londonienne, un peu miteuse à mon goût, mais avec de la bonne musique. Au dehors, je prenais conscience du silence de la rue, de la fraîcheur de l’air de ce mois d’octobre. Le vent jouait avec ma jupe, pour le plus grand plaisir des gardiens. M’éloignant un peu pour attendre Julie et Corinne, je repensais à cette excellente semaine de vacances en Angleterre, quand une longue voiture noire, toutes vitres teintées, s’arrêta à ma hauteur. La porte arrière s’ouvrit et, sans un avertissement, ma vue me lâcha brusquement. L’image lugubre de la voiture devint floue, se fondant en un nuage noir autour de deux faibles lumières rouges. Ou était-ce deux yeux rouges… ? Je n’ai jamais été sujette aux malaises et ce fut la première fois que je perdis complètement connaissance.


Je suis dans cette pièce depuis un jour, une heure, cinq minutes, je ne sais vraiment plus. Aucune clarté, aucune fenêtre pour tenter de distinguer les détails de ma prison. J’attends, épuisée comme jamais. Je ne cherche plus d’explications à tout cela, il n’y a plus rien de logique depuis mon malaise. Je sais que ma vie est passée de l’autre côté de la raison.

Pourtant, depuis quelques secondes, le froid a quitté ma peau, pour laisser place à une chaleur venue de loin. Une chaleur qui s’est d’abord concentrée autour de mon clitoris, pour remonter ensuite dans mon ventre et se propager jusqu’à mes seins, durcis par cette vague d’excitation. Plus rien ne m’étonne : je ne contrôle plus mon corps depuis longtemps. Le plaisir m’envahit et, les yeux fermés, j’apprécie cette douceur érotique qui parcourt mes nerfs.


Le bruit d’une porte qui s’ouvre, la lumière aveuglante d’une lampe à huile. Mes yeux s’habituent petit à petit à cette clarté qu’ils avaient oubliée. Les silhouettes de deux personnes apparaissent. Je continue à frotter mes cuisses l’une contre l’autre, ma main caresse mes lèvres à travers la culotte. Deux hommes se penchent sur moi. Ils sont immenses, 1,90m au moins pour le plus petit des deux. Ils portent le même manteau, gris à capuchon, et je n’arrive pas à distinguer leurs visages. Ils me soulèvent par les bras et se dirigent vers la porte. Je fixe leurs mains blanches, presque cadavériques sur ma peau noire. Mes jambes accompagnent leurs pas, mais elles ne peuvent me porter. J’ai des fourmis dans les pieds et les fesses, et cette sensation se mêle au courant d’excitation qui continue de me traverser. Nous sortons de la petite pièce pour déboucher dans un étroit couloir. Je regarde le sol pour ne pas trébucher, mais ce n’est pas la peine car je ne suis qu’une plume pour les deux géants qui me soutiennent. C’est à ce moment-là que je remarque mes pieds nus. Les dalles de pierre du couloir, usées par le temps doivent sûrement être glacées, mais je ne sens rien. Les murs, en pierre eux aussi, semblent phosphorescents. Peut-être est-ce la lumière de la lampe qui est étrange à ce point…


Le couloir nous mène finalement dans une pièce gigantesque. J’en distingue le fond uniquement grâce au feu de cheminée qui brûle à trente mètres de là.

J’aperçois de grandes arches dans les ténèbres du plafond, sculptées de têtes grimaçantes. Mes deux gardiens me laissent au milieu d’un large tapis dont les motifs représentent des orgies sexuelles. Après le glissement de leurs pas s’éloignant sur la pierre, le silence de la salle m’effraie un peu. Il me laisse aussi découvrir que, depuis tout à l’heure, je pousse de petits gémissements.


L’excitation ne m’a pas donné de répit et ma culotte est trempée. Je l’enlève précipitamment puis la plaque sur mon visage, me remplissant les narines de cette odeur très personnelle. Je la lèche avec ardeur et de ma moins droite, j’insère deux puis trois doigts dans ma fente. Je suis si mouillée que je les sens à peine rentrer. Je suis survoltée et le plaisir se propage jusqu’au bout des ongles. Je suce mes doigts puis me pénètre de nouveau. Les lèche encore, pour avaler le jus que je goûtais sur ma culotte. Je n’en peux plus : j’ai envie de m’arracher le con pour le dévorer. Je souris, à la fois de plaisir et à la fois en pensant au spectacle que je dois offrir, ma jupe complètement relevée, mon minou à l’air. Moi qui suis d’ordinaire si pudique. Heureusement qu’il n’y a personne.



Je lève la tête pour tenter de discerner quelque-chose. Je ne vois que deux yeux rouge sang et une silhouette bleutée, humaine semble-t-il. Je sais qu’elle aurait pu très bien ne pas l’être. La Créature, le Créateur, quasi-transparent, me dévisage. Là où touche son regard, une sensation de bien être se forme. Il passe sur mes seins dont les tétons ressortent sur mon t-shirt moulant, sur ma nuque où un duvet se hérisse sous les frissons, sur mes jambes découvertes. J’accompagne ses "caresses" avec mes mains. Puis prise d’une frénésie soudaine, j’arrache mon t-shirt, ma jupe. J’enlève mon soutien-gorge et mes seins fermes jaillissent en dehors. Je suis entièrement nue et je roule sur le tapis pour que son regard électrise chaque parcelle de ma peau en feu. Le désir me dévore, je ferme les yeux. Et je découvre un autre monde…


Mes paupières sont baissées, pourtant la lumière est toujours là. Le feu crépite au fond, le tapis s’est changé en lit. À mes côtés, au bord de ce lit, je "vois" deux hommes, ou plutôt deux copies du même homme, deux copies nues et parfaites de Sylvain, mon petit ami. Leurs pénis sont dressés, fiers et arrogants, suintant de plaisir. L’un d’eux est en train de me caresser les fesses, là où le regard de l’Etre était posé. J’ai envie de Sylvain comme jamais auparavant. Je veux lui parler, mais seuls des cris de plaisir franchissent ma bouche. Mon vagin dégouline de son jus sur mes cuisses. Je suis à quatre pattes, et je sens le premier Sylvain qui commence à me lécher l’anus. Ses mains massent mes fesses vigoureusement. Elles sont parfois froides, l’instant d’après brûlantes. C’est très étrange, c’est un délice. Sa langue passe sur le rebord de mon trou, puis tente de petites incursions à l’intérieur. Je recule un peu pour coller encore plus son visage entre mes fesses. J’ai envie que sa tête rentre en moi, je veux qu’il soit moi.


Pendant ce temps, le deuxième Sylvain a contourné le lit et me présente sa queue. Je la prends dans la bouche et commence à sucer et aspirer le plus fort possible. J’ai envie de l’avaler entièrement, jusqu’au fond de ma gorge. Je pose ma salive sur chaque centimètre de cette friandise, j’insiste sur le gland, le frein, là où je sais que mes caresses auront le plus bel effet. Je ressens les sursauts de plaisir de sa verge. Je suis si heureuse de lui donner autant de plaisir. Car lui, ou plutôt son jumeau, -sa moitié ?- m’en donne. Il me caresse l’intérieur des cuisses, là où coule un filet de mon jus. Il me mord les fesses. À chaque fois que j’imagine une nouvelle caresse, elle est immédiatement exécutée. C’est extraordinaire, je n’ai même pas besoin de parler. Ses mains me palpent les seins, descendent sur les hanches, puis la droite décide d’écarter mes lèvres et de plonger dans mon vagin. Je crie de plaisir, malgré l’énorme phallus au fond de ma gorge. Je n’avais jamais pensé que mon vagin puisse accueillir une main entière. Ses doigts en touchent de temps en temps le fond, et à chaque fois, je suis aux anges, transportée dans un monde de désir brûlant. Sa main est devenue serpent, elle s’étire, se dilate, se contorsionne pour apporter sa douceur et sa fraîcheur sur chaque recoin de mes parois. Je me sens retournée, transformée en être de plaisir. Je suis un sexe, une bouche et des milliers de nerfs excités comme jamais. Sa main gauche, maintenant, vient récupérer le flot qui s’écoule de mon vagin sur son bras, pour l’étaler entre mes fesses. Je viens de comprendre ce qu’il veut entreprendre quand un puis deux, puis trois doigts pénètrent mon anus. L’instant d’après, sa main toute entière est à l’intérieur. Je suis vierge de ce côté-là et je redoutais des assauts de douleur, mais le tout est si bien exécuté que je crie de bonheur. Je me demande bien pourquoi j’ai toujours hésité devant la sodomie : c’est un délice de jouir par le cul.


C’est tellement merveilleux que j’entrevois alors l’étrangeté totale de la situation. La main de Sylvain n’a rien d’humaine, elle s’est rétrécie et arrondie pour me pénétrer avec délicatesse, et maintenant gonfle et s’allonge dans mon anus. C’est un véritable tentacule que me fouille le ventre. Les deux hommes qui m’excitent ne sont pas des hommes. Pas plus humains que la créature floue que j’ai aperçu tout à l’heure, car ils en sont la simple projection.


J’ouvre les yeux et la peur m’assaille. Mes Sylvains ont disparus, et je flotte à cinq mètres au-dessus du tapis. Je distingue la silhouette de l’Etre à mes côtés. Un éclair de plaisir intense traverse mon clitoris, s’échappe dans mes cuisses et remonte ma colonne. Des frissons accompagnent cette vague qui me submerge. Je désire être déchirée, défoncée. Je décide de refermer les yeux.


La même scène revient, le lit, mes deux amours, et c’est le moment qu’a choisi Sylvain pour éjaculer dans ma bouche. Je n’ai jamais goûté de sperme aussi bon. Cela dure presque une minute : les jets de liquide chaud frappent ma gorge en cadence et j’essaie d’avaler le tout mais il y en a trop. J’en perds un peu, qui échoue sur les draps. Je m’évertue à lécher la moindre goutte sur le gland tout rose, gonflé par le désir. Je passe ma langue sur le trou d’où a jailli la savoureuse semence et j’insiste quand je remarque les frissons que cela lui provoque. Je sens en même temps de délicieux coups de langue sur mon clitoris, complètement synchronisés avec ceux que je donne au totem dressé devant moi. Cette langue gourmande récupère le jus qui dégouline de mon vagin, et chacune de ses caresses sur mon bouton d’amour me fait vibrer toute entière. Mon ventre se contracte et se détend au rythme de cette symphonie sexuelle. La langue pénètre mon vagin impétueusement et s’étire d’une étrange façon pour en laper l’intérieur. Elle atteint même le fond et c’est alors comme si mille petits doigts dessinaient des lignes de plaisir en moi.


Sylvain s’est retiré de ma bouche et je peux librement gémir de tout mon saoul. Je serre les draps dans mes mains, sentant mes muscles sursauter avec l’orgasme. Mon corps ne m’appartient plus. La main qui continuait à me fouiller le cul en sort prestement et je sens alors un sexe se blottir contre mes fesses. Il caresse mon clitoris en feu, et remonte entre mes lèvres tendues puis sur le bord de mon anus. Cette odyssée d’un gland sur ma chatte me fait jouir de nouveau. Je n’ai jamais été tant excitée et désespérée de ne rien recevoir que je m’empale sur le sexe assoiffé. Malgré sa dimension -il est bien plus gros que celui du Sylvain que je connais-, il n’a aucune peine à rentrer, car mon lubrifiant n’en finit pas de couler. C’est une telle sensation de sentir un pénis aussi large et long en soi : je ne me suis jamais sentie aussi généreusement "remplie". Il fait vraiment partie de moi maintenant. Chacun de ses coups de reins, de véritables assauts, me transportent et je crie mon plaisir, recevant à chaque fois mille échos de ma frénésie. Je sens ses mains, ses griffes sur mes hanches, fermes et froides. Son sexe aussi est glacé malgré le rythme de cavalerie de sa pénétration. Cette extrême fraîcheur, plutôt inattendue, est finalement très agréable. J’ouvre de nouveau les yeux.


Soudain je tombe. Je chute sans tomber. J’ai toujours imaginé la vie des astronautes en apesanteur comme une sorte de séjour sous l’eau. En fait, cela n’a vraiment rien à voir. L’apesanteur est une interminable chute : mon cœur, mon estomac ne sont plus à leur place ; je sens la pression du sang dans mes tempes. Suspendue à trois mètres au-dessus du tapis de la pièce, j’ai la bouche grande ouverte, le souffle coupé. Le sexe de l’Etre touche par acoups le fond de mon vagin ; il gonfle et rétrécit selon un rythme régulier. Je me concentre sur ce plaisir nouveau pour oublier la perte de gravité qui m’a bouleversée. Je vois enfin ses mains : posées sur mes hanches, elles sont moins transparentes qu’auparavant. Je discerne des écailles bleutées. Une caresse sensuelle descend ma nuque, mon dos, et un frisson l’accompagne. Le pubis de la Créature claque mes fesses de plus en plus fort et un nouvel orgasme débute en moi. La vague se forme dans mon vagin tout humide, brûle mes lèvres, part dans mes cuisses et mon clitoris et remonte dans mon ventre et mon corps entier pour finir jusqu’au bout de mes doigts, qui tremblent sous cet ouragan. Je laisse échapper des gémissements qui se transforment vite en cris. Mes mains prisent de folie massent mes seins aux bouts durs et dressés, mon ventre et l’intérieur de mes cuisses pour attiser la fièvre qui ravage ma raison. Je décide de fermer les yeux.


Le monde change du tout au tout. Je suis Lui. La pièce rayonne de bleu cobalt et de rouge sang. Je la vois par ses yeux. Une forme floue aux couleurs vertes et jaunes toujours changeantes se trouve allongée devant moi. Je m’habitue vite à cette vision étrange, et reconnais mon dos, ma nuque, ma chevelure, mes fesses où un sexe, mon sexe, entre et sort en chœur avec mes gémissements. L’odeur de ma mouille décuplée dix fois par mes nouveaux pouvoirs, parvient jusqu’à moi. Je vois l’orgasme parcourir mes nerfs, un flux brillant, éclatant comme une comète dans le ciel. Quel paradoxe : pouvoir se pénétrer, se faire l’amour, connaître le plaisir deux fois. Je veux voir mon visage et retourne le corps devant moi, autour de mon sexe qui brûle de froid. Les sons me paraissent si lointains, comme si j’écoutais à travers une porte. Je peux contempler mon corps, le corps d’une femme noire que je trouve si beau. Elle a les yeux fermés, mais son sourire en dit long sur le plaisir qu’elle éprouve. Elle a refermé ses jambes autour de mes hanches pour mieux rester ancrée sur mon pieu. Je passe mes griffes sur sa gorge, ses seins, son ventre, et son corps s’agite de spasmes incontrôlables. Une chaleur prend naissance à l’arrière de ma tête, glisse le long de ma nuque et de mon dos pour pénétrer mon pénis qui gonfle encore plus. Sentant cet orgasme inhumain me gagner, je soulève mon amour pour la plaquer contre moi, poitrine contre poitrine. Ses bras passent autour de mon cou. Sa chaleur et son souffle brûlent ma peau glacée. Je la sers plus fort, comme pour me fondre en elle, en moi, et c’est alors que l’Orgasme me submerge, éclatant chaque cellule de mon corps. Mes écailles se dressent. Je pousse un hurlement bestial, et me vide en elle, perdant progressivement conscience.


En ouvrant les yeux, je retrouve mon univers plus humain. Le contact avec la peau de glace de la Créature me tient éveillée quelques instants, mais je sens bientôt toute énergie s’échapper, une grande fatigue me gagner. La pesanteur est revenue et la Créature doit me soutenir pour que je ne m’effondre pas. La tête posée contre sa poitrine de marbre, je cède petit à petit au sommeil. Je n’ai toujours pas vu son visage, si elle en a un. Je m’endors, bercée par les battements de son sexe en moi, comme un cœur que je garderai précieusement au fond de mon vagin. Que vais-je devenir, je ne sais pas… Un immense sourire accompagne mon plongeon dans le royaume des rêves. Dans un dernier soupir, je murmure, presque pour moi-même : "merci, mon Démon".





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n° 01682Jeanette... et tous les autres.22/01/01 *
Jeanette se déchaîne (1)
critères:  grp fbi hbi hagé asie religion grossexe sales toilettes collection hsoumis facial fellation cunnilingu anulingus pénétratio fdanus fsodo hdanus uro fouetfesse init humour -perles
24004 caractères
Auteur : Jeanette      Série : Jeanette se déchaîne - 01


C’est totalement par hasard que j’ai découvert le site Revebebe. Je m’y suis vite attachée. Il y a si longtemps que je n’avais plus lu de textes érotiques en français ! Je décidai d’envoyer mes propres histoires, et je commençai à lire celles des autres. Que de découvertes ! Un texte sublime (Merci, mon démon - 1253). D’autres chefs d’œuvres comme La vendeuse de chaussures - 924 ou Philippe et Marie (La rencontre) - 1101.

Bien sûr, il y a aussi des trucs nuls, glauques, ou dérangeants…


Je Stevebai par hasard sur la 1491, Anthologie des meilleures citations, et cela me fit bien rire ! C’est sans doute à cause de cela que je résolus de lire toutes les histoires, du début à la fin. En chemin, je réunis ma propre anthologie de trucs marrants (Ah, ces Canadiens !), d’expressions imagées, et de phrases choquantes.


L’autre soir, je relisais ma petite anthologie (qui commençait à s’allonger), et il me vint une idée baroque : pourquoi ne pas réunir toutes ces citations dans une seule histoire, dont je serais l’héroïne ? Le résultat promettait d’être dément, décousu, aberrant… Et inclure TOUTES ces citations, cela n’allait pas être de la tarte !


Voici le résultat… J’ai ajouté le numéro d’histoire à chaque phrase empruntée…






La compagnie ne m’a vraiment pas fait une fleur en m’envoyant donner ce cours à Paris, sous prétexte que je parle français ! Bien sûr, le français est ma langue maternelle, mais pour moi les termes techniques ont toujours été en anglais ! Donner ce cours a été une torture ! Heureusement qu’il y avait le restaurant chaque soir ! J’ai finalement pu bouffer des trucs civilisés, préparés par d’autres que moi, ce qui ne m’était plus arrivé depuis bien des années ! Ah, les moules au vin blanc, accompagnées de VRAIES pommes frites ! Ah, les croquettes de volailles ! Ah, la choucroute garnie, le steak au poivre, le boudin ! Le foie de veau, les croquettes de crevettes grises, les huîtres ! J’ai sûrement pris cinq kilos, mais je m’en branle ! Jean-Charles m’aime rondouillarde, il va être servi !


Et en parlant de se branler, bien sûr, je me suis mas-tur-bée chaque jour. Mais je suis sevrée de quéquette ! Jean-Charles, où est ta queue ??? Ma chatte et mon cul sont en manque ! Ma langue cherche ton sperme sur mes lèvres, sans rien y trouver !


La compagnie m’a généreusement donné trois jours de décompression, comme ils appellent cela, après la fin du cours. Trois jours de plus sans la queue de Jean-Charles ! Que faire ? La grande bouffe et prendre cinq kilos de plus ? Monter en Belgique où je ne connais plus personne ? Il me vient une idée perverse et excitante : pourquoi ne pas m’enfoncer dans le stupre et la fornication, comme disait Brassens ? Me faire ramoner tous les trous par des inconnus, des tarés, des crados ? Plonger dans la débauche la plus démente ? Me faire "gang-banger" ? Ma résolution est prise. Je quitte mon hôtel de luxe (il faut préserver la réputation de la compagnie), et en trouver un autre. Plus grand, moins cher, plus anonyme.


Il me faut maintenant recruter mon "gang-bang team". Comment faire ? Je veux des inconnus, de l’inattendu, de la surprise… Je mouille rien que d’y penser. L’endroit idéal ? Les TOILETTES, bien sûr. Tous les pédés vous le diront. Le problème, c’est qu’étant femme, je ne puis me permettre de m’installer devant une pissotière et de recruter les queues qui passent… Une petite ruse s’impose. Je me plante donc à la sortie des toilettes "Hommes", un bloc à écrire et un stylo à la main. Les quatre premiers qui sortent de là, QUI QU’ILS SOIENT, je les emballe ! SUSPENSE !


La porte s’ouvre… et un petit vieux apparaît… Merde ! Il doit bien avoir 75 ans ! Ridé comme une vieille pomme, le cheveu rare, un costume noir fripé et une cravate grise tachée. Sa lèvre supérieure s’orne d’une moustache blanche anémique. Et pour le reste, il est mal rasé, en plus ! Il tient un petit sachet qui semble contenir une cassette vidéo. Je l’accoste, et ses petits yeux vicieux semblent hypnotisés par ma poitrine.



Un grand prêtre en soutane, près d’1m90, 25 ans à tout casser, les cheveux plaqués de brillantine, essaye d’entrer dans les toilettes. Le petit vieux se précipite…



La porte s’ouvre à nouveau. Un grand mec crado. Pas rasé depuis trois jours. 1m85, mais probablement plus de 120 kilos. Il est habillé d’une salopette qui a été bleue dans un passé reculé. Il porte une grosse boîte à outils et un mégot trempé lui pend aux lèvres. Un visage ingrat et un peu bestial.



Ses yeux matent mes seins et il répond :



Sur ces entrefaites, la porte s’ouvre et je vois sortir un petit Japonais. L’air efféminé, le traditionnel costume bleu électrique, un chapeau sur la tête… Le petit vieux le tire par la manche.



Je les fixe alors avec mes yeux cochons (263*) :



Le vieillard sourit d’une façon lubrique. Le plombier émet un :



Mais le curé se rebiffe :



Il est temps de passer à l’action. Je lui file une grosse papouille bien mouillée et lui mets la main à la bite. Pendant que nous nous embrassions, j’ai senti son petit pain devenir baguette (xxx). Il se dégage et balbutie, avec un fort accent canadien :



Le curé ressort presque immédiatement et commente :



Nous nous dirigeons vers l’ascenseur. Le petit Japonais suit sans piper mot. Sitôt arrivé dans la chambre, le plombier s’exclame :



Je me fous à poil sans fioritures.



Le plombier regarde ma poitrine :



Et il s’avance les mains en avant.



Le plombier se recule en grommelant.



Et il brandit fièrement une cassette intitulée : Lesbiennes en rut.


Je pousse le curé sur le lit. Lui relève la jupe… pardon ! la soutane, et lui enlève la culotte et le caleçon. Je laisse la soutane, c’est plus excitant. Je découvre une queue d’une honorable dimension. Et en effet, il est vraiment bandé très dur !



Je glissai alors sa bite dans ma bouche et lui fis une fellation de la mort (234*). J’appelle cette technique "La pipe qui tue", car aucun homme ne résiste bien longtemps à un tel traitement (574). De temps à autre, j’abandonne sa banane pour me concentrer sur ses prunes (280*). Alors que j’étais en train de sucer, je sens un doigt me titiller l’anus. J’essaye de voir, mais je suis emberlificotée dans la soutane.



Mon curé a complètement oublié ses résolutions pieuses. Il me crie :



Il éjacule une quantité exceptionnelle de sperme. Je l’encourage dans sa langue natale :



J’émerge toute ébouriffée de la soutane, et regarde autour de moi. Le petit Japonais est assis dans un fauteuil, le chapeau toujours sur la tête, et se masse la bite, qu’il doit avoir bien petite, car on ne voit même pas de bosse. Mais son entrejambe est mouillé, il doit déjà avoir déchargé ! Le vieux et le plombier matent les lesbiennes sur l’écran : des déterrées avec des gueules de con, des truies avec des culs énormes, des boutons juteux, des vieilles défraîchies, des gamines insipides (148). Le vieux a allumé un joint, et ça pue la maudite drogue (435*).


Je me couche sur le dos, ouvre les jambes, et lui dis :



Le curé adopte tout naturellement la position du missionnaire. Il ne se sent plus. Il divague :



Je l’encourage :



L’abbé fout au diable ses dispositions œcuméniques. Il rugit :



Tout d’un coup, l’orgasme me prend et je beugle :



L’abbé s’exécute, puis sa queue ramollie glisse hors de ma chatte.



Il va s’agenouiller dans un coin et Stevebe en prières. Le petit vieux se lève et arbore son regard lubrique :



Et d’une légère poussée, il renvoie le vieux cadavre valdinguer dans son fauteuil.


Il se déshabille en moins de deux. Poilu comme un gorille ! Son sexe à moitié durci dodeline dans son caleçon (209*). Après s’être masturbé quelques secondes avec délectation, il exhibe une queue géante. Comme il a l’air d’hésiter un peu, je le pousse :



Je le pousse sur le lit où il s’affale, au grand dam du sommier. Je me positionne, la tête au-dessus de son membre, et frotte sur sa figure ma chatte toute dégoulinante d’un sperme sanctifié par l’Église. Je commence à le sucer vigoureusement. Il s’écarte de ma chatte, mais me pousse un doigt dans le cul. Je l’encourage :



Mais il ne l’entend pas de cette oreille :



Celle-là, je la trouve mauvaise !



Et je serre les mâchoires tout en compressant ses noisettes. Il a vite compris et obtempère. Je le suce sans pitié.



Je sens que la décharge n’est pas loin, et en effet :



Mais il ne sera pas dit que je subirai la domination de ce crado Néandertalien ! J’écrase l’urètre à la base de sa pine, et lui file un coup sur le plexus solaire.



Mon coup de poing a dû faire de l’effet, car il vide ses poumons dans mon cul, ce qui déclenche chez moi une pétarade des plus spectaculaires. Je me retourne sous lui comme une anguille.



Je place sa verge entre mes deux poires (280). Il semble reprendre du poil de la bête :



Je ne le contredis pas :



Ce qu’il fait illico, marmonnant :



Et il s’écroule, épuisé, haletant. Je le regarde avec mépris.



Je prends une pose obscène, les jambes ouvertes, la chatte écartée à deux mains.



Il en devient enragé :



Il s’enfonce brutalement. Je lui réponds, cherchant à l’exaspérer :



Je le sens éjaculer pour la énième fois (j’ai perdu le compte).



Je me jette sur lui et le chevauche sans pitié. Il se réveille, et accompagne mes mouvements, de plus en plus fort. Je sens la sensation monter.



Je m’écroule dans ses poils. Le plombier me passe la main sur la chatte, puis m’en frotte la bouche.



Je le fais, je m’en délecte sans vergogne.


Nous sommes affalés l’un sur l’autre. Il pue, mais je m’en fous. Nous étions prêts de nous endormir quand la voix du vieux crabe nous ramène dans la réalité :



Le plombier rugit :



Contrairement à mon attente, je vois son membre énorme se dresser vers le ciel. Il me l’enfonce sans aucun ménagement. Je couine !



La douleur m’étrangle, mais étrangement, je sens la chaleur monter.



Il triomphe !



La jouissance envahit mes tripes. Je crie :



Je perds contrôle, mais il continue à me pistonner l’anus.



Je ne suis plus maintenant qu’une chienne en chaleur. Je beugle :



J’explose en dix mille morceaux, je gicle par tous les trous, je jaillis, je gerbe, je chie, je bave, je jouis, je jouis, je jouis… (682*).


Je reprends conscience et regarde autour de moi. L’abbé est toujours absorbé dans ses prières. Le plombier ronfle dans un fauteuil. Le Japonais me sourit du bout des lèvres, d’une façon très sensuelle. Le chapeau toujours sur la tête, la main toujours massant son entrecuisse, le pantalon de plus en plus taché. Le générique de fin des Lesbiennes en rut se déroule sur la TV. Le vieillard est debout et regarde ma nudité baveuse.



Là, je suis plutôt ébahie, mais après tout, chacun son truc… Je le fixe alors avec mes yeux cochons (263bis*), et lui baisse la culotte. Le salopard ne porte pas de caleçon, et son hygiène me semble douteuse. Il a une pauvre petite quéquette toute recroquevillée. Je le couche sur mes genoux et le fesse gentiment, de peur de le casser.



C’est sans doute ce qu’il entend par "volupté" ? Ben j’y vais plus fort, plus fort, et plus fort encore. À ma stupéfaction, je sens quelque chose durcir contre ma cuisse. Son pauvre petit cul osseux est rouge brique.



Je donne quelques coups de plus, pour qu’il atteigne bien la volupté qu’il recherche. Il se relève et dévoile une érection des plus étonnantes. Ce petit vieux avait un pénis pas long, mais gros en maudit. (619*)


Mathusalem semble maintenant en pleine forme. Il se caresse avec admiration, comme s’il venait de découvrir un nouveau jouet. Visiblement, il s’aime, tout plein tout plein.



Cela dit, il s’assied sur mon ventre et commence à se masturber vigoureusement. J’observe avec curiosité. Le départ était frénétique, mais il ne peut maintenir la cadence, et ses mouvements deviennent plus lents et plus saccadés. Le petit Japonais se lève et vient observer de près. Le pauvre petit Steve n’arrive même plus à se décalotter. Mais le Japonais prend la chose en main. Tout en me regardant droit dans les yeux, il passe sa main sur ma chatte (toujours dégoulinante du sperme du plombier) et lubrifie l’énorme gland. Il le triture sans pitié, pendant que son autre main masse ses roubinettes. Sans doute alerté par des réactions favorables, il lâche le gland et les noisettes, et branle la courte tige entre le pouce et l’index, pendant qu’un doigt de son autre main s’introduit dans l’anus gériatrique.



Trois petites gouttes me Stevebent sur le nombril. Généreuse, je les ramasse du bout des doigts et me les frotte sur la joue. Steve est aux anges.



Il récupère son pantalon et sort d’une poche une longue cordelette. Il lie mes pieds aux pieds du lit. Il se relève, pour me lier les mains, mais un signal d’alarme retentit dans ma tête.



Il a l’air désolé. Entre temps, le Japonais est retourné dans son fauteuil et le plombier est venu aux nouvelles.


Steve effleure mes poils du bout de la langue, puis s’arrête, l’air désolé.



Je sursaute.



Il me plaque sur le lit. Le petit vieux se précipite vers la salle de bain et en revient avec une petite pochette étiquetée « Shaving kit for travellers ». Il en sort un rasoir Bic mal aiguisé et se met à me racler la toison. Je hurle :



Le Japonais s’est levé. Mais le prêtre le devance.



Et il arrache le rasoir de la main de Steve, qui devient mielleux :



Steve exulte :



Le plombier et l’abbé me tiennent solidement. Mes jambes sont liées. Steve se précipite sur la corbeille à fruits, et revient triomphant avec une longue banane bien verte qu’il m’enfonce brutalement dans l’anus. Je hurle :



Le Japonais se lève et profère d’une voix de fausset :



Le plombier se met à rigoler :



Le curé me lâche :



Et il s’avance, menaçant. Le Japonais arrache son chapeau et une longue chevelure noire déferle sur son dos. Sa jambe gauche se lève comme l’éclair et son petit soulier écrase les couilles de l’abbé, qui ne le se fait pas dire deux fois et prend la porte.


Le Japonais… la Japonaise ! saisit l’ami Steve par les cheveux et le jette en bas du lit. Le plombier me lâche. Avant qu’il ait eu le temps de se jeter sur elle, je mets toute ma force dans un atémi sur sa pomme d’Adam. Il s’effondre en hoquetant, et lui aussi prend la porte.


Nous sommes seules avec Steve, qui n’a plus l’air de fantasmer. La Japonaise lui fait faire le tour de la chambre à quatre pattes en le tirant par les cheveux, puis lui enfonce une banane dans le cul et le jette dehors.


Je titube vers la salle de bain et m’assieds sur le WC. Me voilà, la bouche pleine de foutre, la chatte dégarnie et le cul plein de merde. Mais finalement tout va bien (284*). Je me sens putain, mais je me sens bien (612*).


La Japonaise me donne un léger baiser sur les lèvres. Fait couler la douche. Lave la merde de mon cul et le foutre de mon corps. Je me laisse faire comme une poupée morte. Elle me souffle à l’oreille :



Elle m’aide à me rhabiller.


BANG BANG BANG BANG BANG !

La porte retentit.



Nous nous enfuyons par l’escalier d’incendie…




À suivre…


Bisous, Jeanette.






Note du site Revebebe : Les numéros de textes suivis d’un astérisque ont été supprimés du site pour des raisons diverses.



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n° 02268Folle de cyber sex et de mots21/05/01
L'homme au masque de fer
critères:   fh inconnu grossexe telnet fellation ecriv_f
5840 caractères      
Auteur : Laura



Torride récit mi-pornographique mi-fantasmique, mais autobiographique…


Sur ICQ un beau jour (une belle nuit plutôt dans ce cas, forcément…) j’ai eu la demande suivante pour l’autorisation : "Pas très intelligent mais grosse queue avec caméra". J’ai trouvé ça marrant. J’ai demandé si c’était sa carte de visite. Je voulais voir si c’était un vrai "boeuhh" f ou un faux… puisqu’il se vantait tant d’être un taureau…

Peu de renseignements dans la fiche. Pas de date de naissance. Un faux email… Et un certain nombre de fautes d’orthographe dans les réponses que Hulk faisait… Ouf… Encore un qui pourra remonter dans son camion une fois que nous nous serions déchaînés sur le web et branlés comme des fous…

Il décrit donc sa grosse bite, me propose de me la montrer live en NM. Un rien al-léchée, la Laura est partante ! Toutes façons, rien à craindre, rien à perdre. Telle qu’en elle-même, la Blanchette de Monsieur Seguin qui n’a pas peur du LOUP !

Elle aurait du. Les crocs étaient plantés. Ça allait pas tarder à saigner…


Parce qu’il a la dent dure mon amant sans tête. Et s’il ne voulait pas la montrer, sa tête, c’est qu’il espérait bien la perdre, oublier qu’on doit maîtriser ses instincts d’animaux… Quitte à mentir effrontément sur son Q…I !! Je sais que je le fais bander raide. Droit et dur. Mais moi je dois TOUT lui montrer. C’est à ce prix que je continuerai d’enchanter le gros serpent. Devant, derrière. Des clichés, des clips, du direct sur Nm et des messages enregistrés, des bruits de pipe simulée sur un préservatif rempli d’eau, de masturbation sauvage… Il râle que ma production est insuffisante, comparée à la sienne, abondante et de qualité… Je le rabroue. Si t’es pas content, va te faire sucer au Québec ! On se dispute comme des chiffonniers :



Et puis on se réconcilie. Plein de désirs. Culottes mouillées et caleçons déformés.



Of course, I did it. Avec en cadeau le clip qui montre la préparation du string aromatique…

Une étape encore quand il s’est masturbé avec ma culotte et qu’il a giclé sur l’entrejambe en direct…


Il FALLAIT aller plus loin.

Il me croyait une dangereuse nymphomane mythomane. Je le prenais pour un esprit torturé et en manque de sexe. Ce que nous sommes effectivement mais pas seulement… et plus loin, c’est ce que nous avons découvert…


Comme toutes les fois où on confronte son rêve à la réalité, comme toutes les fois où on décide d’ouvrir les yeux parce qu’il faut bien avancer et qu’on ne peut pas rester tranquillement à dormir, ça a été très DUR à accomplir. Passer à l’acte. J’avais peur qu’après tous ces moments d’intimité ABSOLUE, où il m’avait semblé le sucer et le laisser me pénétrer en ultra-vrai, où j’avais montré ce que j’ai de plus tendre et de plus doux, je doive encore une fois me retrouver avec le reflet d’un désir, la vulve insatisfaite et brûlante et le mirage évanoui. Peur que tout soit de l’erreur et que ce que j’avais vu, compris et senti de cet homme là soit juste issu de ma cervelle dérangée… Il avait peur aussi. De me montrer le reste… pas seulement ses 1m90 90kg de chair et son visage "loin d’être laid" comme il me (r)assurait qu’il était. Mais aussi une délicatesse insensée, son âme après sa queue et son essence après son cyber sperme. Des fois qu’il se serait trompé aussi. Des fois qu’il aurait inventé aussi que je sois capable de le recevoir, de l’accueillir et de l’accepter, comme ça, comme il est, tel qu il est…

Pas si facile. On en sait quelque chose, n’est ce pas, mon Lolo ?

Et puis voilà. Tel le saut à l’élastique avec l’élastique sur lequel on a trop tiré (oooh..) j’y suis allée. Avec une bouteille de champagne pour nous décontracter. Qu’on a bu en chœur devant la télé qu’on regardait attentivement (pffffffffffff des clips sur le câble !) Mon cœur et ma culotte étaient prêts à exploser. Atomique. Mais bon, tu connais, je ne te fais pas de dessins.


J’essayais de me familiariser avec son gabarit. Sa voix (que je n’avais entendu qu’une seule fois). Tiens d’ailleurs la tienne c’est le premier soir que je l’ai entendue… Et surtout son visage. J’imagine qu’il faisait la même chose, bien que lui me connaissait déjà sous TOUTES les coutures. Mais je n’ai pas pensé à sa queue en érection à ce moment là. Ni même précisément à nos échanges. Ça faisait juste comme si on se connaissait déjà alors qu’on ne se connaissait pas. Alors une fois la bouteille à demi-bue, assis cote à cote sur son canapé, alors que j’avais déjà bien glissé vers lui, ça a été plus facile de me pencher entamer les manœuvres de (re)connaissance… Et de découvrir la réalité (oulala mazette quelle réalité !) de l’état tendu de sa verge !


Mourir d’envie. Moi et lui. Réunis dans notre aspiration à nous unir. Savoir qu’on le voulait AUTANT car on l’avait écrit, décrit et accompli. Exactement finir par savoir qu’on allait l’avoir… Envolé le pull moulant que je portais, je me suis installée à califourchon sur son ventre ma jupe courte relevée, avec ma culotte comme barrière, et j’avais des bottes en cuir souples.. J’étais tout contre cet homme inconnu que je connaissais si bien. Contre sa peau et dans son odeur et avec son sexe bien dur appuyé sur mon pubis. On peut pas être plus proche de quelqu’un, je crois. Et c’est bien ça notre quête extrême à nous les cyber lovers. Enfin. Pas à tous. À ceux des cyber lovers qui ont vraiment la foi :-))


J’arrête là pour ce soir… mais je continuerai bientôt.. Si ça te plait, bien sûr…





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n° 00062Mathilde, 32 ans, factrice à la campagne01/11/99 *
Le vieux cochon
critères:  fh hagé extracon grossexe sales campagne humilié(e) voir exhib pénétratio -occasion -attirlaid
9559 caractères
Auteur : Mathilde_ce

Je suis factrice à la campagne depuis plus de dix ans. J’ai aujourd’hui trente ans passés, mais je suis restée célibataire car je tiens à ma liberté. Je ne suis pas spécialement belle, ni spécialement courtisée, mais je ne fais trop rien pour non plus. Je ne me maquille pas, je ne passe pas tout mon temps chez le coiffeur. Je ne m’habille pas sexy non plus, je préfère rester décontractée, souvent vêtue d’un jean et d’un chandail.


Mais ne croyez pas pour autant que ma vie sexuelle ne soit pas épanouie. J’ai des copains que je vois de temps en temps lorsque l’envie s’en fait sentir. Et je n’ai que l’embarras du choix, car mon carnet d’adresses est bien rempli. Pour la plupart, ce sont des amis d’enfance ou d’autres que j’ai rencontrés en vacances. Certains sont mariés, d’autres non. Rares sont ceux qui ont proposé de m’épouser et ceux qui ont essayé ont toujours essuyé un refus. Je vous dis : je tiens à mon indépendance, même vivre à deux sous le même toit ce n’est pas mon truc. J’ai essayé deux ou trois fois, mais ça s’est toujours terminé par des cris et des prises de bec.


Je veux pouvoir me lever quand je veux, rester au lit si je le désire, manger aux heures qui me conviennent, faire l’amour si j’en ai envie et zapper sur la chaîne que je veux à la télé. Si je veux passer ma nuit sur l’Internet, je ne veux pas que l’on soit derrière moi, si je préfère faire un footing en forêt à six heures du matin, je ne veux pas m’entendre dire que je suis cinglée. Vous trouvez peut-être cela égoïste, mais je suis égoïste je le revendique. On a qu’une vie, ce n’est pas pour s’emmerder avec un mari ou, pire, avec des mômes. D’ailleurs sur ce plan-là je suis tranquille, je ne peux pas en avoir.


Question cul, j’aime les hommes musclés et virils. Je n’ai pas dit bien membrés quoique cela puisse être aussi un atout. Non, par « virils », j’entends résistant, le genre de type qui vous retourne dans tous les sens et vous baise de longues heures sans jamais fatiguer. Quoique mon carnet d’adresses soit particulièrement bien rempli, les hommes virils n’y sont pas légion. Car la plupart de mes connaissances, comme la plupart des hommes, je pense, sont fragiles et beaucoup plus sûrs en paroles qu’en actes. Et souvent je passe mes soirées à les consoler. Après tout, un peu de tendresse, ce n’est pas non plus désagréable même si ce n’est pas, physiquement, très satisfaisant.


Dans le cadre de mon travail, je n’ai pas rencontré non plus des milliers de mâles en rut. Le mythe de la petite factrice qui se fait baiser à tous les coins de rue est un délire. D’abord, on n’a pas le temps, car il faut aller vite. Ensuite, dans un petit village, tout le monde se connaît et si l’on se faisait troncher à tout bout de champ cela se saurait et ça cancanerait de partout. Enfin la plupart des hommes sont corrects et n’attendent pas la matinée derrière la porte, queue à la main, le passage de la factrice. Pour tout dire, en dix ans de métier, j’ai dû coucher trois fois pendant ma tournée. Pour une femme célibataire, avouez que ce n’est pas beaucoup.


Et encore, les deux premières fois c’était il y a dix ans avec un copain qui me plaisait. Ne croyez surtout pas que je regrette cet état de fait, je n’aimerais pas que des satyres m’attendent aux entournures et qu’ils se jettent sur moi avec leurs sales pattes et leurs sexes tordus. Et je préfère de beaucoup être discrètement draguée par un homme charmant et, pourquoi pas, qu’il m’invite à dîner ou à aller au cinéma. Tout cela pour dire que l’expérience qui m’est arrivée récemment reste bien heureusement une exception à la règle.


Nous sommes deux factrices au village. Nicole, une femme d’une cinquantaine d’années qui s’occupe du bourg, et moi, Mathilde, spécialiste de la campagne, avec sa petite voiturette. L’histoire se situe dans une ferme, un peu à l’écart du village, habitée par un couple de vieux agriculteurs qui approchent de la retraite. Je passe rarement par là-bas, car ils reçoivent peu de courrier. Et, en général, mes visites se limitent à déposer des factures dans la boîte aux lettres qui est au bout du chemin.


Mais ce jour-là, il y a une lettre recommandée, et je dois aller jusqu’à la ferme, en priant pour ne pas rester coincée dans les ornières boueuses. Évidemment, pas de sonnette, mais heureusement apparemment pas de chien. Je me dirige vers la porte principale grande ouverte, l’entrée juste masquée par des franges en plastique multicolores. Je suis sur le point de demander s’il y a du monde, mais je suis arrêtée dans mon élan par le spectacle sur lequel je tombe. La vieille est dans la cuisine, penchée sur la table et ses jupons sont troussés. Le petit vieux est juste derrière, pantalon baissé et en train de se la bourrer en jurant comme un charretier. Je ne suis pourtant pas une sainte Nitouche, et des propos grivois, j’en ai entendu, mais vulgaires à ce point, jamais… Le style :



Et, un peu plus tard, il se vide en elle en hurlant comme une bête et, dans la foulée, ressort son engin, un chibre énorme, hors normes d’après ce que je peux en voir. Il l’essuie sur les fesses de la vieille puis avec ses jupons et se rafistole vite fait en rotant.



Et la vieille de le servir. Il y a peu de chance qu’elle ait pris son pied dans cette saillie grotesque, peut-être d’ailleurs n’a-t-elle jamais eu d’orgasme. Du coup, je frappe à la porte et pénètre dans la cuisine. L’odeur de foutre y est encore très forte.



Le vieux s’approche en poussant sa femme.



Et me voici donc seule avec ce satyre. Il retourne le recommandé dans tous les sens comme un objet curieux. Je lui tends le carnet à signer.



Et, sans gêne, le voilà qui ressort son braquemart du pantalon, le cochon n’a même pas de caleçon. Son manche noueux est encore tout gluant de ses ébats passés. Je ne sais pas si je suis fascinée ou tout simplement écœurée. Mais c’est vrai que mes yeux ne peuvent se détacher de l’engin, et du coup ça le fait se redresser. Il est épais, noueux et énorme, et ses deux grosses couilles pendantes sont associées. C’est vrai que je n’en ai jamais vu de cette taille.



Il s’approche près de moi, me prend la main et la pose sur son engin, qui en plus est plus dur que je ne le supposais.



Je ne sais pas ce qui me prend, mais c’est vrai qu’il a raison, que je meurs d’envie de me faire mettre par cette grosse queue gluante. Et, quand il me tourne, après avoir dégrafé mon pantalon, qu’il le baisse brutalement, entraînant par la même occasion ma culotte, je le laisse faire et me penche à mon tour vers la table, dans la même pose que prenait tout à l’heure sa femme. Sans aucun préliminaire, il enfonce son gros braquemart noueux en moi et entreprend de m’usiner en m’abreuvant à mon tour de propos vulgaires. Je ne tarde pas à jouir, ce qui sans doute le surprend - il ne doit pas être habitué. Il débande légèrement, mais bientôt revient à la charge. Étant donné qu’il s’est vidé les couilles quelque temps auparavant, cette fois il est plus résistant. Je jouis à nouveau, et encore une fois un peu plus tard avant de sentir enfin son jet en moi. Je me demande s’il n’est pas en train de pisser en moi, tellement il y a de liquide. Le rustre n’a même pas pris la peine de changer une fois de position, il m’a baisée comme une chienne. Maintenant, il se rafistole, comme il dit, après avoir essuyé sa grosse queue sur mes fesses. Il se mouche un coup et va se resservir un verre de vinasse.


Alors que je suis en train de remonter mon pantalon, sa femme est de retour dans la cuisine. Inutile de dire qu’elle a tout compris. Mais elle ne dit rien, résignée. D’ailleurs, elle se fait engueuler parce qu’elle a oublié de ramener les bidons de lait. Le vieux me signe le reçu en me disant, devant sa femme :



Je suis gênée pour cette pauvre femme. Je prends congé. J’ai pris beaucoup de retard sur ma tournée, et en plus je suis remplie de jus gluant qui coule le long de mes cuisses. Je me sens sale, souillée, j’ai honte de moi, honte d’avoir succombé si facilement à la tentation avec un être aussi vulgaire.


Depuis, je ne suis pas retournée à la ferme et n’ai pas revu ce vilain satyre. Et j’espère que, si l’occasion se représente, je ne succomberai pas aussi facilement à la tentation. Mais je dois avouer que, par ailleurs, il m’arrive souvent de rêver à cette situation, et même de me caresser en y repensant, et d’imaginer à nouveau l’énorme chibre du vieux en train de me perforer…


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n° 00266Régine 5231/03/00
Un après-midi de chienne
critères:  fh fplusag ascendant grossexe grosseins poilu(e)s hmast cunnilingu -fplusag -inceste
27226 caractères      
Auteur : Régine 52


" Bruno!"



Hélène écarte ses longs cheveux bruns de ses yeux et, la colère dans la voix, tape à la porte de la chambre à coucher de son fils adoptif.



" Bruno, je sais ce que tu fais là-dedans ! Cà me rend malade de t’entendre te masturber dans ta chambre chaque jour ! Bruno, tu m’écoutes ?"



Son fils adoptif, adolescent borné ne répond pas. Le battement rythmique continue, plus fort que jamais, le bruit de la tête de lit frappant contre le mur. Bruno se branle frénétiquement, serrant dans son poing fermé son membre raide, à s’en faire mal.



" Bruno!"



Hélène jure et frappe de plus belle sur la porte. Elle a 41 ans et est encore magnifique, avec de larges yeux verts s’alliant avec ses cheveux bruns foncés, un corps mince, musclé, et très bustée.



" Bruno, fais attention tu sais, je vais me fâcher!"



Bruno pousse un gémissement, et la tête de lit commence à cogner contre le mur plus rapidement. Il est probablement au bord de jouir et de juter de grandes giclées de sperme sur son torse.


Hélène tourne le dos la porte, rougissant violemment pendant qu’elle bat en retraite, descendant l’escalier qui mène dans l’entrée. Elle porte comme d’habitude un jean et une chemise bleue de travail qui donne la liberté à sa grosse paire de seins de ballotter, d’onduler. Elle préfère porter un soutien-gorge, mais son deuxième mari, Jean, l’a convaincue péniblement d’abandonner cet accessoire contraignant quand elle reste à la maison.


C’est somme toute le cas de nombreuses femmes au foyer , mais elle ne se sent pas tout à fait à son aise, pas vraiment normale, en agissant ainsi.



Jean justement, est représentant de commerce. Les seules choses qu’elle partage désormais avec lui sont cette maison plutôt minable à la décoration à hauteur de son petit salaire, et un beau-fils qui ne pense à rien d’autre qu’à se machiner.



Cà a débuté il y a environ six mois, quand Jean a décroché ce nouveau boulot. Bruno est un jeune homme exceptionnellement beau de dix-huit ans, grand et musclé, avec un renflement dans le pantalon, qu’Hélène, en dépit de sa gêne, n’avait pu que remarquer. Elle avait bien lu dans des ouvrages que les jeunes gens en pleine croissance pouvaient être très portés sur le sexe, mais n’était pas préparée au fait que Bruno serait sans arrêt en train de bander et se masturberait à longueur de temps.



Elle suppose que son apparence, ses tenues, ont quelque chose à voir avec ce comportement. Hélène est plus mince que la moyenne, avec de longues jambes et un mignon postérieur tout rond, large comme il faut, très féminin. Mais ses seins sont si gros qu’elle doit commander la plupart de ses soutien-gorges dans des boutiques spécialisées.


Son corps a toujours excité les hommes, et Hélène a peur que le jeune garçon n’échappe pas à ce phénomène. Elle a été médusée très souvent lors de ces derniers six mois de s’apercevoir qu’il bandait quand il la regardait à la dérobée, parfois même dans le dos de son propre père quand celui-ci était de retour à la maison.



Il pourrait essayer de se retenir, pense Hélène. Ou au moins faire çà en silence.


Il était six heures de l’après-midi maintenant, et Bruno était rentré à la maison, après ses cours, depuis une demi-heure. Il s’était littéralement précipité en haut dès qu’il avait franchi la porte d’entrée avec une toile de tente obscène déformant le devant de son pantalon.



Deux minutes plus tard, le battement contre le mur avait commencé. Elle l’entend au moins quatre fois par jour maintenant. Elle a essayé de lui parler, de discuter de çà avec lui, mais il ne se donne même pas la peine de l’écouter. Tout qu’il trouve à répondre c’est qu’il ne peut pas s’empêcher de branler sa grosse queue dès qu’il commence à triquer.



Bien, çà ne peut plus durer comme çà, il va falloir lui apprendre à prendre sur lui et à se contrôler, pense soudainement Hélène. Prise dans son élan, elle va vers le petit placard de l’entrée, trouve la clé de la porte de la chambre à coucher de Bruno sur un des crochets et s’en saisit. Avec détermination elle remonte l’escalier qui mène aux chambres, consciente qu’elle est sur le point de surprendre le jeune garçon en pleine action. Il n’est quand même pas normal qu’un jeune homme fasse joujou si souvent avec son sexe. Bruno a simplement besoin d’apprendre à mieux contrôler ses désirs sexuels.



Hélène entre dans la pièce. Cela prend à Bruno un moment pour s’apercevoir qu’elle est là. Comme elle s’y attendait, il est allongé sur le dos, son pantalon baissé à ses chevilles.


Une fiole d’huile pour bébé est en évidence sur la table de nuit, près de son lit. La langue du garçon pend de façon obscène au du coin de sa bouche pendant qu’il agite son poing fiévreusement sur son membre, allant et venant de bas en haut sur la tige raidie.



Hélène le regarde. C’est la toute première fois qu’elle voit son fils adoptif nu, le sexe tendu; malgré elle, elle ne peut éviter d’être curieuse. Elle s’imaginait qu’il avait un sexe relativement petit, quoiqu’il approche de l’âge adulte.



Hélène réalise immédiatement qu’elle se trompait. Le sexe de Bruno est énorme. Très raide, la barre de chair dévoile tous ses plis, ses veinures, la peau rose luisante. Elle fait sûrement presque vingt cinq centimètres de long et est aussi épaisse que son propre poignet. Le gland est aussi gros qu’une petite pomme, rouge-foncé et laisse suinter du pré sperme brillant. Immédiatement, suite aux absences répétées de son mari, la femme sexuellement frustrée qu’elle est devenue ressent une palpitation honteuse agiter sa chatte. Elle n’aurait jamais pu imaginer que voir la queue raide de son propre fils adoptif rendrait ainsi son sexe si humide et si chaud.



" Très bien, Bruno. Tu arrêtes maintenant !"



Bruno lève la tête et réalise enfin que sa belle-mère est avec lui dans la chambre. Il soupire, libère sa grosse bite et croise les mains derrière sa tête. Il ne fait aucun effort pour couvrir son organe, et le membre géant continue de se dresser et de palpiter sur son estomac. Hélène s’assied doucement près de l’adolescent sur le lit, essayant de ne pas regarder son sexe. Elle sent ses mamelons se raidir et pointer sous sa chemise de travail. Elle se maudit de ne pas porter de soutien-gorge qui aurait empêché ses gros globes de ballotter devant son fils adoptif.



" Depuis quand tu te permets d’entrer dans ma chambre quand la porte est verrouillée ?" maugrée Bruno. " Je ne peux même plus avoir mon intimité ?"



" Tu sais très bien que je frappe depuis un bon moment, sans que tu veuilles ouvrir. Je pense que c’est une justification suffisante pour l’usage de la clé. Bruno, tu sais bien qu’on doit discuter de çà. Tu ne penses plus qu’à te masturber en ce moment. Ce n’est pas normal. Tu ne va pas te développer normalement si tu passes tes journées à t’occuper de ton sexe, tu sais."



" Je ne peux pas m’en empêcher, " Bruno grimace. " mon sexe devient dur, et j’ai envie de le toucher. Qu’est ce qu’il y a de mal à çà ?"



" Tu ne connais aucune jeune fille qui pourrait… " Hélène rougit, s’arrêtant avant de suggérer à son fils adoptif de trouver une fille excitée pour baiser. "… qui pourrait t’aider à penser davantage aux choses normales ?"



" Comme baiser tu veux dire ?" La grimace de Bruno s’élargit. " Merde alors, je baise avec beaucoup de filles tu sais. Si tu veux, je peux en amener une à la maison dès demain et la baiser ici même. J’aime juste me branler souvent. C’est tellement bon."



" Tu… tu pourrais au moins remonter ton pantalon quand ta belle-mère te parle. C’est très embarrassant."



" Ben, c’est toi qui a voulu me parler, sans compter que t’es pas ma vraie mère. Je vais pas arrêter de me branler maintenant. J’ai été excité toute la journée et j’ai besoin de me soulager. Mes couilles me font vachement mal !"



Et alors le fils adoptif glisse sa main vers le bas pour saisir de nouveau étroitement sa bite géante. La belle-mère stupéfaite ne peut s’empêcher de regarder son membre énorme pendant qu’il recommence à se masturber, lentement, gémissant quand il déplace son poing sur toute la longueur surdimensionnée de son barreau.



" Bruno! Bruno, je t’en prie !" lui crie Hélène, avec un sentiment mêlé de colère et de convoitise irrésistible et incestueuse. " Comment… comment oses-tu faire çà devant ta belle-mère! Retire immédiatement ta main de là !"



" Je ne peux pas, pas maintenant. C’est si bon."



Bruno regarde ouvertement ses gros seins, soupirant pendant qu’il observe les nichons énormes et un peu tombants se balançant légèrement sous la chemise.



" Huummmm, tu as vraiment une sacrée paire, tu sais. Parfois j’imagine que je les suce en me branlant, mais là, c’est encore meilleur en les regardant en même temps."



" Bruno!"



Hélène est si choquée qu’elle sait qu’elle doit le faire cesser tout de suite. Elle tend la main pour essayer de lui faire lâcher prise sur sa queue. Mais Bruno a retiré sa main en même temps. La dernière chose que réalise Hélène, c’est que sa propre main entoure la chaude virilité fièrement dressé de son beau-fils.



" Huummm, c’est bon ! Pourquoi tu me branlerais pas toi ?"



" Petit salaud!"



Et puis Hélène commence à le faire. Elle ne sait pas ce qui la pousse à agir ainsi, ce qui l’incite à faire ce qu’elle considère comme le pire des péchés, et çà avec son fils adoptif. Sa chatte est très humide, mouillant tellement sa culotte qu’elle peut à peine réfléchir à ses actes. Elle se sent remplie de colère, mais aussi d’une convoitise dévergondée incontrôlable.



Bruno s’étend juste là, souriant maintenant qu’il a mis au travail la main de sa belle-mère assoiffée de sexe. Hélène regarde maintenant ouvertement l’énorme bite, grimaçant pendant qu’elle fait aller et venir sa main droite sur la grosse tige aussi rapidement qu’elle le peut.



" Cà te plaît ? C’est çà que tu veux que je te fasse, Bruno ? Ta propre belle-mère ? Es-tu vraiment si vicieux pour vouloir qu’elle te masturbe ainsi ? Tu aimerais peut-être que ta belle-mère te suce aussi ? Tu n’aimerais pas ? Tu aimerais qu’elle mette ta queue dans sa bouche et avale ton sperme tout chaud !"



Bruno répond en retirant sa main, redresse son buste en pivotant pour s’asseoir vers le haut sur le bord du lit. Il regarde sa belle-mère fixement, puis opine, saisit ses doigts, et les dirige avec arrogance vers sa queue turgescente et douloureuse.



" Ouais, je veux bien. Pourquoi tu ne te mets pas à genoux ? J’ai envie d’une bonne pipe, là, tout de suite!"



" Tu n’es qu’un petit garçon dégoûtant, vicieux.."



Et puis ses mots ne sortent plus car elle fait ce que son fils adoptif lui a demandé, se met à genoux devant lui, confrontée à la taille imposante de sa grosse queue bandée. Hélène réalise qu’elle respire fort, et qu’elle peut sentir son battement de cœur dans sa chatte encore mieux qu’elle ne le sent dans sa poitrine.



Son cerveau est comme déconnecté, elle n’est plus très sûre d’être dans le monde réel ou dans un rêve. Elle ne peut pas croire qu’elle va réellement pousser le sexe de son propre fils adoptif vers le fond de sa gorge et avaler ses giclées de foutre chaud.



Hélène enroule ses doigts étroitement autour du membre tressautant, fait glisser son poing qui ne peut se fermer complètement à la base. Elle regarde attentivement le gros gland pendant plusieurs secondes, admire le méat brillant de gouttes de sperme collées sur les bords.


La belle-mère dévergondée baisse la tête, pose ses lèvres à l’extrémité du gland. Honteusement elle darde sa langue, lèche ardemment le jus savoureux de la bite luisante.



" Ooohhh! C’est bon !" Bruno se cambre sur le bord du lit, tient sa tête avec les deux mains. " Mets-la dans ta bouche ! Suce-la ! Je sais que tu en meurs d’envie. Ooohhh, suce-moi bien !"



Hélène ferme les yeux, essaie d’oublier qu’elle devient maintenant le genre de belle-mère qui est capable de tailler une plume à son propre fils adoptif. Graduellement elle laisse ses lèvres glisser sur sa grosse biroute, absorbant cm après cm cette trique géante et palpitante. Elle s’arrête quand elle a absorbé plus d’un tiers du mandrin, réalisant qu’elle risque de s’étouffer si elle veut en avaler davantage.



Alors la belle-mère excitée commence à sucer la queue extrêmement dure, les yeux fermés, tout en s’émerveillant sur la rigidité fabuleuse de cet engin. Une petite voix absurde dans son esprit essaie toujours de justifier ce qu’elle est en train de faire.



Hélène pompe la bite savoureuse qui devient de plus en plus dure, choquée elle-même de l’ardeur avec laquelle elle est en train de sucer son fils adoptif. Elle avance davantage son visage, plus près de la base velue, écartant les mâchoires autant qu’elle peut, mourant d’envie de prendre en bouche toute cette colonne charnue. La queue énorme répond à sa succion dure et humide par un grossissement en taille et en raideur. Le gland énorme pointe de façon obscène vers le haut, tressautant contre sa luette.



" Ummlllppp, " s’étouffe Hélène.



Ses bruits obscènes de succion et ses gémissements de contentement sont devenus très fort, emplissant la chambre à coucher. Fébrilement elle commence à hocher la tête de haut en bas, baisant sa bouche avec la grande queue de son garçon. Ses doigts sont serrés comme ils peuvent sur la base de son membre. Elle commence alors à secouer vigoureusement le mandrin tout en suçant l’extrémité, faisant tourner sa langue autour du gland, l’arrosant de salive, aspirant quand elle le sent qui ruisselle.



" Hhhmmm, je vais juter !" gémit Bruno. " Ooohhh! Cà vient, ! Je vais tout lâcher tu sais! Ah, suce-moi, suce-moi à fond! T’es une suceuse fantastique!"



Ce compliment répugnant, choquant, est musique à ses oreilles. Hélène se sent rougir pendant qu’elle commence à pomper la grosse tige aussi dur qu’elle peut, ses joues gonflées par l’épaisseur et la raideur de la trique. Son poing est devenu un piston qui va-et-vient sur le membre gigantesque. Elle a hâte maintenant de sentir la décharge dans sa bouche, hâte de devoir avaler aussi rapidement qu’elle le pourra tout le sperme dégorgé par son fils adoptif.



" Avale tout s’il te plaît ! Je jute… je juuuuuuute !"



Il saisit sa tête, pousse ses hanches en dehors du lit, enfonçant sa tige de quelques cms supplémentaires entre ses lèvres. Hélène commence à s’étouffer au moment où ses talents de suceuse obtiennent leur juste récompense. Un jet énorme de sperme jaillit du gland gonflé, se répandant dans sa gorge de belle-mère si affectueuse.



" Ummmllppp!" glougloute Hélène.



Le sperme se répand dans sa bouche, sur ses amygdales et glisse vers le fond sa gorge. Elle s’accroche à l’énorme bâton crémeux, appréciant le goût du liquide de son jeune fils adoptif. Honteuse, elle continue néanmoins de secouer et de sucer en même temps, ne voulant pas libérer la pine de son garçon avant d’avoir pompé jusqu’à la dernière goutte de cette crème salée.



Après presque trente secondes, l’orgasme se termine, et la belle-mère a obtenu ce qu’elle désirait tant. Elle relève la tête de l’entre cuisses de son fils adoptif, léchant ses lèvres encore pleines de son sperme. Hélène respire fort, et sa chatte est si humide qu’elle a inondé complètement son protège slip.



La queue de Bruno est toujours très dure, et palpite devant son visage. La chatte d’Hélène a des spasmes. Elle imagine soudain ce mandrin énorme labourant sa fente velue, s’enfonçant profondément dans sa chatte, allant et venant dedans.



" Bon. J’espère que tu es content de toi, Bruno, " halète t’elle. " Tu as réussi à ce que ta propre belle-mère te suce. Je suppose que maintenant tu veux faire encore plus de choses sales avec elle."



Bruno grimace, inclinant la tête. Hélène s’est levée, jouant avec ses boutons de chemise, incapable de cesser de regarder l’énorme queue de son enfant.



" Alors je pense que tu devrais ôter le reste de tes vêtements, Bruno. Maintenant que nous avons commencé, nous ferions mieux de faire toutes ces choses dégoûtantes une bonne fois pour toutes, et ne plus jamais en parler."



Bruno grimace de nouveau, fait tomber ses chaussures avec ses pieds et fait glisser son pantalon par terre. Il ne lui reste plus que sa chemise, et çà, il n’a pas besoin de l’ôter pour lui donner ce dont elle a envie. Il s’assoit, l’observe pendant qu’elle se déshabille. Hélène est fière de se sentir épiée tandis qu’elle gesticule pour enlever sa chemise, dévoilant son énorme paire de seins.



" Tu aimes mes gros seins, n’est ce pas, Bruno ?" demande t’elle. Hélène remonte les mains depuis sa taille mince, les met en forme de coupe sous ses globes géants et spongieux et les malaxe lascivement. Les mamelons couvrant son 100 double D laiteux sont très larges et rouges, avec des extrémités raides et protubérantes. Hélène se débarrasse à son tour de ses chaussures et se glisse hors de son jean. Puis, nue, exceptée sa culotte, elle rejoint son fils adoptif sur le lit.



" Tu peux approcher et sucer mes nichons, Bruno. Je suppose que tu penses aussi à çà quand tu te branles."



Bruno incline la tête. Il s’est mis à genoux près de sa belle-mère, emplissant ses larges mains avec les mamelles colossales et encore assez fermes. Voracement il malaxe et presse les énormes nibards, enfonçant ses pouces dans les mamelons. Hélène frissonne, le plaisir du massage de ses seins se communique directement à sa chatte.



" Tu… tu peux les sucer si tu as envie, " halète Hélène.



Bruno la pousse sur le dos, s’étend sur elle, ouvrant sa bouche pour engloutir un mamelon durci d’excitation. Fiévreusement il commence à lécher l’énorme loche, suçant et creusant ses joues, juste comme il le faisait pour téter quand il était bébé. Hélène gémit, le besoin dans sa chatte s’accroît plus fort avec un tel traitement. Elle berce tendrement la tête de son fils adoptif, l’encourageant à sucer ses gros seins autant qu’il le souhaite.



" Tu… tu peux toucher ma chatte maintenant, " chuchote t’elle. " Je suppose que tu veux faire çà aussi."



Bruno glisse sa main vers le bas, la déplace entre ses cuisses pour appuyer son doigt contre sa chatte. Il cesse alors de sucer ses gros seins et la regarde avec une lueur de triomphe dans les yeux.



" Huumm ! ton slip est tout mouillé tu sais !"



Hélène rougit. Elle sait que sa chatte est humide, mais elle n’a pas réalisé qu’elle avait autant trempé sa petite culotte, à travers même son protège slip. Bruno semble fasciné par la chaleur de la chatte de sa belle-mère. Il saisit l’élastique de sa culotte et glisse sa main dedans, la paume bien à plat, passant sous le protège slip, sur la chatte humide et palpitante. Bruno regarde la chatte avec envie.



" Que regardes tu comme çà, Bruno?" halète Hélène. " Pourquoi ne te contentes-tu pas de venir sur moi et me mettre ta grosse queue ? Je sais que c’est ce que tu veux me faire même si je suis ta belle-mère."



" Je veux te lécher d’abord, " marmonne Bruno.



Il descend la petite culotte jusqu’à ses pieds, la lui retire, s’étend entre ses longues jambes, soulève ses cuisses pour donner à sa bouche le meilleur accès à la fente savoureuse de sa chatte. Cela prend à la belle-mère nue une minute pour réaliser que son fils adoptif va la lécher. Alors elle frissonne, se mord la lèvre pendant qu’elle sent la première pression de sa langue qui pointe à titre d’essai entre les plis parfumés de sa chatte.



" Ungggh! Ah, Bruno ! Pourquoi… fais-tu çà, Bruno ? Unggh! Unnggh!"



Bruno est trop occupé pour lui répondre. Il a évidemment apprécié le goût de sa chatte, aime la sensation de déplacer sa langue activement dans cette chatte rose et juteuse. Hélène est terrorisée en imaginant la façon dont elle pourrait agir maintenant. Elle était déjà assez excitée avant que Bruno ne commence à la lécher. Elle ignore comment elle pourrait se comporter s’ il rend sa chatte encore plus humide en la travaillant avec sa langue.



" Non, Bruno! Tu… unggh… tu ne dois pas me lécher la chatte ! Unnggh! Baise moi juste, Bruno. Je sais que tu en as envie !"



Bruno ne répond pas. Il écarte les lèvres de la chatte de sa belle-mère avec les doigts, pour lui permettre de pousser sa langue plus profondément dans son trou humide et parfumé. La mouille continue de venir de ses profondeurs, et son clitoris est maintenant très gros et gonflé, dépassant au-dessus de la fente fournie de sa chatte.



Bruno déplace sa langue plus haut, prouvant sa compétence de lécheur de chatte pendant qu’il commence à taquiner le clitoris de sa belle-mère en lui donnant de petits coups de langue. Hélène couine, saisissant sa tête avec les deux mains. Elle commence à onduler des hanches, les poussant vers lui, frottant avec insistance sa chatte sur son visage.



" Oui, Bruno, " supplie t’elle d’une voix rauque. " aaagggh! J’ai besoin d’être sucée maintenant ! J’ai salement besoin d’être sucée ! aaaggggh! Lèche mon clitoris, Bruno! Ah, lèche bien, suce bien, fais jouir ta belle-mère !"



Bruno continue de lécher, de sucer et d’embrasser, faisant une pause pour frotter son visage sur l’épaisse toison brune et bouclée qui recouvre le bas ventre d’Hélène. Maintenant il tend ses doigts, les poussant dans l’étroit canal intérieur de la chatte de sa belle-mère. Elle frissonne au moment où elle sent que son fils adoptif la fait couler sur ses doigts et qu’il lèche son clitoris en même temps.



" Suce-le, Bruno! Ahhhh, s’il te plaît!"



Bruno prend le clitoris entre ses lèvres. Il le suce doucement mais avec force, bavant dessus, en même temps qu’il coulisse ses doigts rapidement dans et hors de sa chatte. Hélène sent monter un orgasme du plus profond d’elle même, faisant se durcir ses mamelons et se contracter son petit trou pendant que les sensations annonciatrices de sa jouissance résonnent dans tout son corps. Alors elle se met à jouir, jouir de façon incontrôlable, alors que son propre fils adoptif suce sa chatte.



" Mange-la, Bruno! Unnggh! Lèche, lèche moi bien ! Bouffe moi la chatte ! Je jouis, je jouuuiiiiis !"



Sa chatte a des spasmes et coule comme une fontaine, donnant à son beau-fils de quoi lécher et sucer abondamment. Bruno continue de sucer son clitoris et à la faire jouir, l’amenant au zénith de son orgasme. Il faut presque une minute pour que les spasmes ne s’apaisent. Pendant tout ce temps Hélène ressent dans son ventre un besoin, une envie, qu’elle n’a jamais éprouvée aussi fortement qu’aujourd’hui. Elle doit désespérément sentir l’énorme bite, la colonne de chair géante de son beau-fils dans sa petite chatte aussi rapidement qu’il peut la lui enfiler.



" Tu… tu peux baiser ta belle-mère, Bruno. Je sais que c’est ce que tu veux vraiment. Viens, Bruno. Baise-moi. Vite !"



Bruno grimpe sur sa belle-mère nue, rampe entre ses cuisses avec son énorme trique qui palpite sur son estomac. Impatiemment Hélène descend sa main, saisissant le mandrin et dirigeant le gland gonflé vers sa chatte. Elle gémit et mord sa lèvre inférieure pendant qu’elle sent la grosse queue entrer en elle, écarter ses lèvres jusqu’à la déchirure pour faire pénétrer son incroyable épaisseur par sa fente.



" Aaaaggh! Ah, tu es très gros, Bruno! J’ai connu beaucoup de bites, chéri, et la tienne est la plus grosse! Unnggh! Tu vas réussir à me la mettre en entier, hein ? Vas-y. Unggh! Bourre bien ma chatte. Dépêche-toi, dépêche-toi !"



Bruno lui écarte bien les genoux, pour positionner ses hanches dans la meilleure position pour pouvoir la tringler. Alors il commence à limer, dedans et dehors, enfonçant son gros membre un peu plus à chaque coup de reins. Hélène soulève la tête, regardant vers son ventre, observant le va-et-vient du piston veiné à l’intérieur et à l’extérieur de sa chatte. La vision l’excite violemment. Elle commence à se cambrer et à agiter son petit cul rond, poussant sa chatte palpitante à la rencontre de l’énorme bite de Bruno.



" Tu sais que… tu peux m’enfiler plus profond, Bruno, " halète t’elle. " enfonce-là, Bruno. Ramone ma petite chatte serrée aussi profondément que tu peux !"



Bruno commence à limer plus dur, faisant grimacer sa belle-mère et frissonner aussi quand il commence vraiment à bien enfoncer sa gigantesque tige dans sa chatte vibrante, la clouant sur le lit. Maintenant il est en entier dedans, jusqu’à ses grosses couilles. Hélène ne s’est jamais sentie aussi remplie de toute sa vie. Sa chatte se contracte de façon incontrôlable, se serrant constamment autour de la rigidité énorme qui occupe tout son ventre. Bruno est étendu immobile sur elle pendant plusieurs secondes. Il a laissé son coude s’affaisser, écrasant ses mamelles énormes sous son torse.



" Nique moi, Bruno!"



L’intensité de son désir incestueux devenant encore plus fort, Hélène lève ses jambes aussi haut qu’elle le peut et les croise dans son dos pour le coller à elle. Alors elle commence à s’agiter et à pomper comme une chienne en chaleur, baisant frénétiquement sa chatte serrée et humide avec la queue de son propre fils adoptif.



" Je t’ai dit de me bourrer la chatte, Bruno ! Tu m’as terriblement excitée tu sais! Baise-moi, baise-moi à fond !"



Bruno se retire, se retire jusqu’à ce que seul son énorme gland turgescent dilate encore les lèvres de la chatte de sa belle-mère. Il frissonne pendant qu’il replonge lentement, enfonçant chaque centimètre de son organe géant dans la fente poilue. Hélène remue des hanches comme une assoiffée de sexe, les monticules énormes de sa poitrine rebondissant et tremblant pendant qu’elle projète sa chatte sur la bite de son fils adoptif. Bruno épouse le rythme de sa belle- mère, claquant sa pine bien profondément, jusqu’aux couilles.



" Ouuiii, Bruno! Unngggh! Ah, merde, plus fort, baise ma chatte aussi fort que tu peux! Je l’aime dure et vicieuse, chéri !" Hélène enroule ses bras autour de ses épaules, l’étreignant fortement, haletante et gémissante. " Défonce-moi, Bruno! Baise-moi, salaud !"



Bruno halète sur son épaule, et il commence à la tringler aussi fort qu’il le peut. Implacablement il avance ses hanches entre ses cuisses, grognant pendant qu’il enfonce son pieu géant dans les profondeurs de sa chatte en fusion. Déjà la belle-mère excitée peut sentir la deuxième série de spasmes monter de son ventre, la faisant se pâmer, ses muscles du vagin plus serrés que jamais sur le barreau titanesque de Bruno.



" Tu vas encore me faire jouir chéri ! Défonce ta belle-mère, défonce la bien ! Aaaaggh! Je jouis, Bruno! Je jouuuuiiiiiiiis!"



Sa chatte explose dans l’orgasme, faisant jaillir de la mouille, les parois étroites se contractant autour de la queue de son fils adoptif. Bruno s’effondre sur elle, enfonçant son membre à fond. Alors le deuxième chargement de sperme jaillit hors de sa bite. Hélène le sent gicler et se répandre, inondant l’intérieur profond de sa chatte, inondant son utérus avec un déchargement chaud et apaisant de crème liquide.



Vicieusement elle relâche ses muscles épuisés autour de la pine juteuse, aidant son beau-fils à se vider complètement les couilles dans son ventre. Mais elle peut déjà ressentir sa culpabilité, honte et dégoût revenant à son esprit, maintenant qu’elle a succombé et a imploré son propre fils adoptif pour qu’il la tringle. Ce sera la première fois et la dernière fois pense t’elle. Elle n’oserait plus se regarder dans une glace si elle devait continuer à soulager son propre beau-fils à chaque fois qu’il bande et que son énorme tige le démange……



Merci à tous les lecteurs qui m’ont adressée des messages pour ma première histoire, m’encouragent à récidiver avec celle-ci. Merci aussi pour l’envoi de vos photos dont la plupart auraient pu illustrer cette nouvelle histoire !!! Continuez..






Copyright © 2000
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Erotisme torride

Tendre Amour

Bon Scénario

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n° 00308La louve18/04/00
Le vieux berger
critères:  fh hplusag hagé grossexe campagne voir fmast hmast ecriv_f
9533 caractères
Auteur : Mathilde_ce


A ceux qui vous diront que les femmes sont comme les hommes sur le plan sexuel, je vous dirai que c’est faux. Mais à ceux qui vous dirons que les femmes ne s’intéressent pas à ces choses là, je vous répondrai que c’est faux également.

Pour avoir longuement discuté, non seulement de mes rapports, mais également de mes fantasmes, avec diverses amies à moi, je pense que je ne suis pas foncièrement différente des autres : en aucun cas une véritable « salope », ce qu’aimerait à penser tel ou tel débile, mais pas non plus une sainte Nitouche, ce qu’aimerait à penser d’autres non moins débiles. Simplement messieurs, nous avons une certaine subtilité dans nos délires sexuels.


Vous trouverez difficilement une femme seule en train d’acheter un bouquin de cul dans une librairie ou en train de louer une K7 porno, d’ailleurs c’est bien marqué « Presse masculine » et ce n’est pas pour rien ! Certes, il y a probablement quelques exceptions à cette règle, tout est toujours possible. Mais l’immense majorité des femmes se désintéressent de ces choses.

Même chose ici, sur ce style de site érotique. D’une part, nous sommes fatalement une minorité de femmes mais, d’autre part, et c’est ce qui est le plus important, nous n’aimons pas non plus le même style de récits que vous, messieurs. Pour éviter toute controverse, je ne prétends pas là que nous sommes meilleures (ou pires), simplement différentes dans nos désirs. Je ne connais guère de filles qui aiment ces récits où l’on ne parle que de salopes, de sodomie, de partouzes gigantesques ou de grands coups de boutoirs. Non pas que nous soyons des anges (ça nous arrive à nous aussi d’être lubriques, quoique je pense moins fréquemment). Simplement un récit érotique c’est fait pour rêver et je ne connais pas de femme qui soit assez primate pour être simplement excitée par une simple énumération de positions sexuelles, ponctuées des mots crus orduriers. Je pense d’ailleurs également que bon nombre d’hommes non plus ne sont pas trop attirés par ce genre de récits, seuls ceux qui les lisent la bitte à la main peuvent y trouver quelque intérêt !!!


Ceci étant dit, peut-être n’est-ce d’ailleurs qu’une vue de mon esprit mais peu importe, moi ce que j’aime c’est tout autre chose, un peu de rêve en tout cas et c’est vrai que certains récits me désespèrent parce qu’ils ne m’excitent pas le cerveau et me dégoûteraient presque de l’amour. Trop de sexe tue le sexe…

L’histoire que je veux vous raconter ici est réelle, du moins partiellement, c’est en tout cas ainsi que je me souviens l’avoir vécue. Mais je ne pense pas que ce soit cela l’important, j’aurais pu tout aussi bien la tirer de mon imaginaire.


Etant étudiante, je passais mes vacances dans des colos en tant que monitrice, et plus tard dans des camps d’ados. D’une part pour me faire un peu d’argent, quoique ce ne soit pas cher payé, mais surtout pour passer des vacances agréables entre jeunes.

Il y avait toujours une superbe ambiance dans nos groupes d’animateurs et certains souvenirs de cette époque sont particulièrement érotiques. J’étais mignonne, en ce temps là !, avant de grossir excessivement !, et très convoitée par la plupart des monos. Je n’avais que l’embarras du choix et, tous les ans en général, je me choisissais un gentil garçon à qui je restais fidèle l’espace d’une saison. Toutes les saisons sauf la dernière année et c’est de celle-ci dont je veux précisément vous parler.


Cela devait être ma quatrième année, j’avais été deux fois en Auvergne, une fois en Bretagne et cette fois-ci je me retrouvais dans les Alpes. Tout de suite, j’ai senti la différence, le groupe était moins sympa, moins uni, il y avait des tensions pour la moindre broutille, je commençais à regretter de ne pas être partie avec mon copain en Espagne… Même les filles étaient connes, indolentes, presque impotentes, incapables de la moindre initiative, elles m’exaspéraient. Quant au directeur, il avait tout de suite jeté son dévolu sur moi et me draguait ouvertement depuis le premier jour, ne cessant pas de me coller et de me faire des propositions qui me laissaient de marbre. Il n’était pas franchement moche, plutôt beau mec d’ailleurs, mais franchement lourdingue ce qui est pire que tout pour moi, rien de tel pour me faire fuir à triple enjambée !


Je me suis peu à peu écartée du groupe pour me consacrer exclusivement aux gamins, j’étais d’ailleurs à peu près la seule à faire correctement mon travail dans cette colo. Comme quoi, vous confiez un peu vos enfants un peu à n’importe qui ! Le soir, après la veillée, après l’extinction des feux, je n’avais pas tellement envie de me joindre aux autres, mais plutôt de m’isoler dans un coin avec un bon bouquin.

Je m’acquittais néanmoins scrupuleusement de toutes les tâches qui m’étaient imparties, j’ai horreur du travail bâclé et du laisser-aller.

Le problème avec le bouquin, c’est qu’il y en avait toujours un ou une pour venir me solliciter et "Pourquoi tu te joins pas à nous" et "On organise une petite fête ce soir", et pourquoi pas une petite sauterie ! Non, non et non, j’avais vraiment pas envie de me joindre à eux, pire je commençais à compter les jours qui me séparaient de la fin des vacances.


Un soir donc, alors qu’une petite beuverie se préparait dans les dortoirs, je me suis éclipsée dans la nature. Peu importe ce qu’ils allaient en penser, j’étais un peu leur tête de turc. Mais le message était clair, non ? Je voulais être seule et qu’on me foute la paix. La dernière fois que je leur avais fait faux bond, ils m’avaient bizutée, déshabillée entièrement et enduite de miel des pieds à la tête, en particulier dans des endroits particulièrement sensibles, une horreur ! Si ça les amusait après tout, ils n’auraient qu’à recommencer, je suis une véritable "tête de mule" par moment.

Je me suis donc évadée cette nuit-là. Je suis partie par derrière, dans la forêt, j’ai gravi la colline jusqu’au sentier de randonnée et me suis mise en marche dans la nuit noire. De l’autre côté de la montagne, pas très haute à cet endroit, il y avait une bergerie, désertée par les moutons à cette époque. Nous y étions passés trois ou quatre fois avec les mômes. C’est là que je me suis arrêtée, je me suis assise sur une pierre, au bord du petit ruisseau, je rêvassais. Dans cette solitude naturelle, je me sentais bien, vraiment bien, pour la première fois depuis mon arrivée ici, je pense. Je pouvais enfin décompresser et, après toutes les tensions accumulées, j’en avais véritablement besoin.


C’est alors que je l’ai vu, un homme en peau de bête, à l’entrée de la bergerie, son visage buriné par les ans à peine éclairé par une lanterne qui pendouillait sur la terrasse du cabanon. Il ne m’avait pas vue, c’est évident. Il devait se croire seul au monde ce vieux berger car, en particulier la nuit, il ne devait pas y avoir beaucoup de promeneurs en ces lieux. Je restais là, dans la demi obscurité, sans me manifester outre mesure, astucieusement camouflée par les branches d’un arbre, complètement immobile, comme à l’affût. Le vieux s’assit sur un banc en bois sous la véranda et se bourra soigneusement une pipe qu’il finit par allumer. D’où j’étais, je voyais presque rougeoyer le tabac à chaque fois qu’il tirait dessus.

L’endroit était plutôt tranquille, idyllique, mise à part le vent qui bruissait dans les arbres. Le temps semblait comme suspendu à sa pipe qui finit par s’éteindre. Il la vida ensuite sur le sol, la cura bruyamment avant de la ranger soigneusement dans sa poche.


C’est alors que le fantastique rejoint cette histoire. Depuis un certain temps, je le voyais qui farfouillait dans son pantalon, sans comprendre. Mais, lorsqu’il changea de position, je la vis. Le vieux avait tout simplement déballé tous ses outils et était en train de s’astiquer au grand air. Et, même de loin, même de là où j’étais, il me semblait vraiment que son engin était de taille plus qu’appréciable, surtout si on le compare à l’habituelle vantardise des hommes en général.

Et voici mon petit vieux qui continuait lentement à se branler, sans précipiter les choses, pour que ça dure longtemps, lentement, le sexe érigé droit devant, face à la lune. Par moment, il ralentissait la cadence et moi, dans mon coin, j’étais littéralement fascinée, j’avais les yeux scotchés à son vit qu’il brandouillait devant moi. Cela dura ainsi un temps infini qui me parut néanmoins trop court. Au terme de son excitation, il se redressa tant bien que mal et poussa un cri de bête, certainement en éjaculant (mais j’étais trop loin pour voir cela avec précision). Ensuite, il sortit son mouchoir, s’essuya la queue, la remballa vite fait dans son pantalon, cracha un coup par terre et rentra sans plus attendre dans le cabanon, me laissant là pantelante et sur ma faim.


J’étais dans un état inqualifiable… Complètement abasourdie et excitée comme une puce, je n’avais jamais vu en cachette un mâle se masturber et, en mon for intérieur, j’en étais toute émoustillée.

J’ai fait demi tour à contre cœur. J’avais presque envie d’accomplir un acte fou, d’aller frapper à la porte du cabanon et de me donner à ce vieillard. Mais, évidemment, je ne l’ai pas fait. Un fois passé la crête, protégée sous la futaie, je me suis tout simplement masturbée en repensant à ce que je venais de voir, à ce gros chibre qu’il avait manié avec tant de dextérité. Et, à mon tour, mais certainement avec beaucoup moins d’intensité, je me suis faite jouir sous la lune… Et j’ai gémi sans retenue comme pour répondre à l’appel du mâle !


Les jours suivants… non, je ne l’ai jamais revu…




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n° 00346Chris05/05/00
L'avocate
critères:  ffh fbi grossexe lunettes ascenseur travail photofilm lingerie fmast fellation cunnilingu 69 fsodo
25123 caractères      
Auteur : Chris


Encore un rendez-vous et la journée serait achevée.



Depuis le matin, Catherine, avocate, n’avait pas arrêté une seconde. Elle avait commencé sa journée par assister à une expertise aussi ennuyeuse que possible, puis s’était rendue à l’audience où son affaire fut évoquée avec retard de telle sorte qu’elle rentra à son cabinet vers 14 heures, au moment de l’arrivée de son premier client.



Elle avait du ensuite prendre un confrère pour négocier un dossier, restant près d’une heure au téléphone. Après avoir dicté quelques lettres et conclusions, vu le courrier avec Isabelle, sa secrétaire, il était 18 heures lorsqu’elle entendit sonner.



Jetant un œil sur son agenda, elle vit qu’elle avait rendez-vous avec un nouveau client, Bernard F. qui souhaitait la voir d’urgence, semble-t-il pour une affaire délicate.



Elle soupira, un peu lassée de cette journée sans répit, pas même une pause pour déjeuner.



Brune aux cheveux taillés mi longs, la bouche mutine et les yeux noirs pétillants de malice, Catherine venait d’avoir 30 ans. De formes généreuses et très féminine, elle portait le plus souvent un tailleur assez strict convenant à son style BCBG. Cette féminité s’exprimait surtout par les dessous. Catherine adorait la lingerie fine et portait toujours de très jolies choses.



Elle avait mis ce jour-là des bas couture ancienne mode avec un joli porte-jarretelles noir en dentelle, un string rouge et, sous son chemisier de soie, un soutien-gorge à balconnet assorti.



Des lunettes sans monture lui donnait un air intello.



L’interphone grésilla et Isabelle, sa secrétaire, confirma à Catherine que le rendez-vous de 6 heures était arrivé.





La porte s’ouvrit bientôt et un homme d’environ 25 ans, jugea Catherine, s’avança un peu intimidé dans le bureau de l’avocate.





Catherine leva les yeux vers son client et le jaugea plus attentivement, un demi sourire aux lèvres.





Je la regarde et soudain elle commence à relever sa robe devant moi. Je vois ses cuisses apparaître. Elle portait des bas avec un porte-jarretelles et çà je dois vous dire que ça m’excite pas mal. Voir des bas avec un porte-jarretelles, je ne peux pas résister et je euh çà me fait aussitôt de l’effet…





Isabelle est une jolie blonde aux cheveux courts, longiligne, souvent habillée assez court, mais aujourd’hui, elle portait un jean moulant et un chemisier blanc.





Bernard se lève et intimidé devant ces deux femmes, commence à dégrafer sa ceinture puis braguette, baisse son pantalon et son slip, laissant voir un sexe de bonnes dimensions, quoique au repos.



Catherine, regarde, et les lèvres tendues par un petit sourire, voir effectivement quelque chose de plus sombre sur la peau du sexe de son client.





La jupe laissait voir maintenant la peau nue en haut des bas. Isabelle regardait sa patronne, tout aussi subjuguée par cette exhibition sensuelle.



Le sexe de Bernard grossissait à vue d’œil sous le regard des deux femmes, qui voyaient cette queue se déployer et se raidir au seul spectacle des cuisses de Catherine et aussi le tatouage se former sur la hampe de ce superbe braquemart.



Isabelle ne put s’empêcher de dire : Ho qu’elle est grosse !!..





Isabelle prit une photo puis une autre, mais attirée comme un aimant par cet énorme sexe tendu, elle posa l’appareil et commença à caresser, masturber la queue bandée. Ses doigts fins avaient peine à faire le tour du chibre.



Catherine ne pouvait s’empêcher de regarder sa secrétaire branler son client. Ho maître, quelle est grosse, se pâmait Isabelle, jamais je n’en ait vu une aussi énorme.



Bientôt elle approche sa bouche et commença à lécher, salivant sur le gland, soupesant de sa main les couilles de Bernard,



Catherine, plus excitée qu’elle ne l’aurait voulu, matait sa secrétaire à genoux devant cette belle queue raide, luisante de sa salive. L’avocate, conservant sa jupe relevée sur ses cuisses, résistait de moins en moins à l’érotisme de la situation et bientôt glissa sa main dans sa culotte, caressant son entrejambe, et excitant d’un doigt son clitoris.



Elle voyait le tatouage représentant une femme prise en levrette par un homme et en suçant un autre… un vrai dessin pornographique quasi vivant sur la peau de cette queue devant elle…



Maintenant, Isabelle suçait la queue de Bernard, léchait la hampe dure, languait les couilles velues. Puis elle se retirait légèrement, branlait la bite d’une main, admirative devant l’engin, tout en ouvrant de l’autre son chemisier, et s’excitant les seins, ses doigts dans les bonnets du soutien-gorge, matant elle aussi sa patronne en train de se masturber discrètement.





Isabelle regarda sa patronne, se releva et entraîna Bernard vers le secrétariat, se défaisant rapidement de son jean et de sa culotte de dentelle.



Catherine, assise devant son bureau, cuisses ouvertes, continuait de se masturber en écoutant les soupirs, les gémissements et les cris de plaisir de sa secrétaire qui se faisait enfiler royalement et très profondément sur son bureau.



Au moment où Isabelle hurla sa jouissance, Catherine explosa à son tour, traversée par un orgasme profond.



Quelques jours plus tard, en robe noire, car elles étaient toutes deux entre deux audiences, Catherine pris rendez-vous avec la juge devant qui l’affaire serait sûrement portée si les poursuites étaient maintenues contre son client.



Elle s’appelait Marie-Claire, d’un abord sévère, aux cheveux blonds en chignon, mais avec des rondeurs qui adoucissaient le personnage, elle reçut Catherine venue lui exposer l’affaire, bien décidée poursuivre le dossier.



Par curiosité, apprenant que Catherine avait fait quelques photos de l’objet du délit, elle voulut les voir. Catherine les lui montra et Marie-Claire, surprise et interloquée, resta à contempler ces photos d’un sexe tatoué en érection.





La juge parcourut rapidement le dossier.





Catherine regarda la juge, surprise et lui répondit que oui, maintenant que l’occasion lui était donnée de se remémorer la vision de cette belle queue et ensuite de sa secrétaire qui la branlait et la suçait, puis qui s’était fait sûrement bien baiser dans son bureau, à entendre les râles de plaisir.



Pendant ce temps, Marie-Claire s’était levée, était allée verrouiller la porte extérieure, et était venue s’asseoir dans le fauteuil identique à celui occupé par Catherine devant son bureau.



En souriant devant l’avocate, elle releva sa robe puis sa jupe en dessous, dévoilant ses cuisses et ses bas, encourageant de ses yeux Catherine à faire de même.



En face l’une de l’autre, les deux juristes, troublées par la vision et l’évocation de cette grosse queue, se regardaient écarter les jambes, exhiber leur culotte, un slip de dentelle pour Marie-Claire et un string noir pour Catherine.



Les deux femmes commencèrent à se caresser, se masturber chacune s’excitant de la vue de l’autre, impudiques et voluptueuses, glissants leurs doigts sous le tissu des slips, écartant les dentelles pour se montrer leur chatte.



Marie-Claire la première se mit à quatre pattes et approcha son visage entre les cuisses de Catherine, huma les effluves de son excitation, et finit par poser sa bouche sur le string moite, ses mains caressant les cuisses de l’avocate, faisant crisser les bas.



Ecartant le fin rempart cachant encore les lèvres intimes palpitantes de désir, Marie-Claire posant sa bouche sur la chatte excitée de Catherine et commença un savant ballet, léchant, titillant, fouillant tous les replis de l’odorante moule de l’avocate, jusqu’à la faire jouir, tandis que Catherine se malaxait les seins, chemisier ouvert, sortis des bonnets de son soutien-gorge à balconnets.



Relevant sa jupe autour de ses hanches et enlevant prestement sa culotte, Marie-Claire se mis debout et les fesses appuyées sur son bureau, jambes écartées, attendait de Catherine le même service.



L’avocate n’hésita pas et à son tour lécha consciencieusement l’abricot bien mur et bien juteux de la juge.





Soudain la porte latérale du bureau s’ouvrit, que Marie-Claire avait omis de fermer, et Michel, le jeune greffier fit irruption dans le bureau, surprenant la position de sa patronne assise sur son bureau, cuisses écartées, se faisant lécher par une avocate.





Michel regardait Catherine brouter la chatte épilée de sa patronne. Il voyait la langue exciter le clitoris tendu, lécher les lèvres intimes, s’enfoncer dans la grotte ruisselante d’excitation de la juge.



Celle-ci lui fit signe d’approcher, et sans plus de cérémonie, posa la main sur sa braguette, serrant le sexe de son greffier.





Le greffier défit rapidement sa braguette et sortit une superbe queue toute raide que la juge prit en main aussitôt, la branlant avec vigueur en regardant Catherine d’un air coquin, la bouche dévorant la chatte excitée de la juge, tandis qu’en plus Catherine doigtait la coquine, son majeur dans le cul de Marie-Claire et son index dans sa chatte.





Le jeune greffier ne se le fit pas dire deux fois et vint enfiler gaillardement Catherine, qui apprécia cette intrusion, alors qu’elle continuait de brouter Marie-Claire, qui se pencha un peu pour ouvrir le tiroir de son bureau et en sortir un vibromasseur, qu’elle mit en route pour exciter ses tétons.



Catherine, bien ramonée par le greffier criait de plaisir et jouissait sur cette bonne queue qu’elle prenait au fond de son vagin, tout en excitant de deux doigts son clitoris excité.



Puis Michel enfila sa patronne, assise sur le bureau, alors que Catherine se mettait le vibro dans la chatte, caressant d’une main le cul du greffier s’excitant entre les cuisses de la juge dévergondée.





Michel s’allongea sur la moquette du bureau et Marie-Claire vint poser ses fesses sur le ventre du greffier, et cuisses bien écartées, exhibant sa chatte à Catherine, prit en main la pine dure pour se l’enfoncer dans le cul.



Catherine vint alors en 69 sur la juge et frottant sa chatte contre le visage et la bouche de Marie-Claire la pénétra avec le gode, pendant que Michel l’enculait à fond. Ainsi sandwichée de deux bites, l’une de chair et l’autre de plastique, Marie-Claire prenait son pied divinement doublement ramonée, avalant la mouille de Catherine, qui jouissait sous les coups de la langue vicieuse de Marie-Claire, lapant sa chatte et la raie de son cul.



Catherine voyait la bite de Michel entrer et sortir de l’anus de Marie-Claire, et elle-même actionnait le vibro dans la chatte trempée de plaisir. Marie-Claire gémissait de bonheur, ses soupirs étouffés par les cuisses de Catherine.



Soudain, les soubresauts de la queue de Michel annonçant un prochain déluge, Catherine la retira du cul de Marie-Claire, la sodomisa avec le vibro à la place et branla la grosse pine du greffier pour le faire gicler sur la chatte de Marie-Claire et dans sa bouche de gourmande.



Après que les trois protagonistes aient soufflé quelques instants, Marie-Claire appela le procureur par téléphone.





Marie-Claire regarda Catherine mais préféra lui dire." Je suis désolée Maître, il y aura une sanction pour votre client, mais je vous rassure le procureur ne tient pas trop à une audience publique. Alors je verrai moi-même votre client. Je ne veux pas que le tribunal se ridiculise avec une telle affaire.



Je vais me contenter de convoquer votre client dans mon bureau, Maître et je prononcerai à son encontre une sanction. C’est noté Maître ?





Catherine sortit de ce rendez-vous très professionnel, non sans surprendre dans le vestiaire des avocats, une jeune stagiaire à la bouche pulpeuse sucer la queue d’un ténor du barreau. Elle sourit en voyant cette situation, et tout encore imprégnée physiquement et mentalement de sexe, elle s’approcha, très décontractée pour regarder la stagiaire s’affairer pour arracher le plaisir liquide de cette queue à la belle prestance. L’avocat l’invita à partager, mais Catherine refusa tout en remontant sa jupe, et exhiba ses cuisses et son ventre nu.





Laissant la fille pomper de plus belle, Catherine rentra à son cabinet, surprenant d’ailleurs Isabelle en train de visionner des photos d’hommes nus à la queue bien bandée sur internet.





La semaine suivante, Bernard F. fut présent au rendez-vous, ne sachant pas quel serait son sort, son avocate s’étant abstenue de lui révéler la probable nature de l’entretien.





Et cette mise à l’épreuve commence de suite, Monsieur, dit la juge en se levant, venant vers Bernard qui ne savait pas trop ce qui allait se passer et jeta un regard un peu inquiet vers son avocate.



Elle vint s’appuyer les fesses sur son bureau devant Bernard et Catherine assis en face et releva sa robe de magistrat en les regardant tous les deux. Elle découvrit ses jolies jambes gainées de bas dim up blancs avec un porte-jarretelles en dentelles de même couleur.



Stupeur, elle en portait rien d’autre que ses bas et exhiba sa chatte épilée.



Elle attendit que Bernard, les yeux fixés sur le spectacle excitant de la juge impudique, réalisa la situation puis lui dit :





Bernard, ébahi, mais sentant sa bandaison grandir dans sa braguette, par l’effet garanti des bas et du porte-jarretelles se leva de son siège et devant le ventre de Marie-Claire écartant les cuisses, sortit son gros engin, libérant sa queue bandée aux dimensions hors du commun, que la juge empoigna aussitôt dans une savante masturbation.





Tandis que Bernard ramonait le con de la juge, Catherine, excitée relevait sa jupe et commençai, la main dans son string, à se branler, excitée par les fesses nues et musclées de son client, allant et venant entre les cuisses de cette garce de Marie-Claire.



S’approchant au plus près, Catherine caressait le cul de Bernard et ses couilles par dessous, passant un doigt dans la raie de son client, excitant son anus brun, et grattant de ses ongles les belles couilles poilues.



Elle retira sa jupe et son slip, gardant ses bas avec ses jolis escarpins.





Marie-Claire se mit à genoux sur la moquette, son cul rond tourné vers Bernard. Celui-ci enfonça de nouveau sa queue entre les cuisses de la juge pour enfiler sa chatte trempée.





Bernard voyait ainsi, et ça l’excitait encore plus, la juge bouffer le con de son avocate. Ho la cochonne, elles se gouinent ces deux salopes…



Catherine, très excitée elle aussi par cette situation, se laissa à son tour glisser sur la moquette et se plaça en 69 sous Marie-Claire, qui put continuer à lécher sa moule, tandis que Catherine avait sous les yeux la bite et les couilles de son client dans la chatte de la juge, elle léchait le tout, clitoris, couilles et bite avec délectation, sortant même la queue pour la mettre dans sa bouche, toute luisante du jus de la juge et après quelques coups de langue, la remettre dans la chatte palpitante, avide d’être remplie



A ce traitement, Bernard ne résista pas longtemps, et tandis que Marie-Claire, criait son plaisir, Catherine, sortant une nouvelle fois la queue de son client, aspirant le gland, lui faisait cracher des flots puissants de sperme, qui se répandait dans sa bouche et sur la chatte de la juge, cette jouissance entraînant en même temps un fulgurant orgasme de Catherine, qui pantelante, sous la langue experte de Marie-Claire, jouissait divinement.





Voilà une affaire bien réglée se dit Catherine, regrettant finalement de n’avoir pas pris la grosse queue de son client entre les cuisses…





Quelques jours plus tard, repensant à toute cette affaire, réfléchissant quelques secondes, hésitante, elle prit son téléphone et fit le numéro de son client.



Après plusieurs sonneries, celui-ci répondit enfin, un peu essoufflé.





Chris






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n° 00423Jessica Fleury25/05/00
Les lumières de la ville
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16778 caractères      
Auteur : Jessica Fleury


Ça y est, la dernière boîte ! - Il était temps ! Steve essuya distraitement une goutte de sueur qui coulait sur sa tempe.



Un autre déménagement. Le troisième en autant d’années. Steve et moi ne semblions jamais, du moins depuis les quelques dernières années, pouvoir trouver l’endroit idéal où habiter. Cette fois-ci, cependant, j’avais un bon pressentiment. J’avais passé trois mois à ratisser systématiquement la ville pour trouver la "perle rare" et j’avais vraiment l’impression, après maintes recherches infructueuses, de l’avoir trouvée.

Nous aurions bien aimé avoir enfin notre propre maison mais, comme Steve devait être muté dans une autre ville, nous avions remis, encore une fois, ce rêve à plus tard. Après des semaines de déceptions, de fausses joies et de journées de visites interminables, j’était prête à tout laisser tomber. Mais un matin qui n’annonçait pourtant rien de particulier, j’étais enfin tombée sur une petite annonce décrivant une "Magnifique copropriété, le calme de la campagne près du centre-ville. Aubaine". Ayant lu des tonnes d’annonces du même genre, j’avais donc failli par m’en occuper. À la dernière minute, toutefois, et sans vraiment le réaliser, j’avais décroché le téléphone, composé le numéro et pris rendez-vous. En arrivant devant l’immeuble je fus conquise. C’était exactement ce que nous cherchions ! D’abord, le logement disponible était au 20e étages. Donc, personne pour nous marcher sur la tête n’importe quand ! Ensuite le bâtiment a été construit en croix avec un logement par ailes et l’ascenseur au centre. Pas de voisins immédiats pour nous faire entendre leurs émissions ou leurs bagarres conjugales ! Le bonheur ! Et la liste des commodités est encore longue …mais bref ! J’ai sauté sur l’occasion, j’était emballée et j’étais certaine que Steve le serait aussi. D’ailleurs il l’est autant que moi !


Journée de déménagement, très épuisante ! Nous avons rencontrés notre voisine de "palier", Diane qui nous a parue charmante. Peut -être trop charmante à en juger par les regards appréciateurs de Steve sur son ample poitrine !!!!

Nous avons travaillés fort pour rendre notre nid agréable et après 4 jours de labeur nous étions enfin chez nous ! Et donc le quatrième soir, après notre premier vrai tête-à-tête, nous avons décidé de prendre l’air sur notre magnifique terrasse. Cette soirée de juillet était douce et chaude et nous berçait d’une brise légère et caressante.

Nous avions pris le soin d’éteindre toutes les lumières pour savourer la vue superbe de la ville qui s’offrait à nous. Nous pouvions enfin goûter béatement la tranquillité. Avec au loin des accords de blues langoureux d’un voisin. Et avec la tranquillité ambiante nous pouvions entendre toute la conversation de notre belle voisine Diane.



Sans vouloir être indiscrets, nous avons noté que les deux murs de sa chambre étaient recouverts de miroirs.



Je me suis gourée en pensant que peut-être elle ne faisait que se changer pour être plus à l’aise ….Elle refit le chemin inversement avec qu’un slip minuscule et revînt en tirant son ami pas le bras. Elle le poussa dans la chambre d’un petit geste câlin et enjoué et le fit asseoir sur ce qui semblait être une commode. Elle lui retint les poignets au miroir et se mit à lui couvrir le cou et les épaules de petits baiser furtifs, aguicheurs. - Hummm …, fit Steve, ça devient intéressant…

Je me contentais d’avaler ma salive … Diane embrassait maintenant plus fougueusement le cou, les épaule, les bras, le torse, en glissant ses petites mains sur le corps velu de l’homme qui restait assis sans bouger. Tout à coup elle le tira par les poignets, se retourna et le fit se tenir debout, devant elle. Puis elle lui fit signe du doigt de ne pas essayer de s’approcher d’elle. Nous pouvions la voir jusqu’à la taille, de la fenêtre, et presque tout le reste, par réflexion, dans le miroir. Diane grimpa sur la commode où l’homme était assis plus tôt et se mit à danser souplement au rythme de la musique. Elle avait vraiment des seins à me faire pâlir de jalousie… et à faire rougir Steve jusqu’aux oreilles. Il la regardait, un peu timide mais fasciné, ne sachant s’il préférait la regarder elle, ou son reflet dans l’un des miroirs.



C’est à ce moment-là qu’il fit pivoter sa chaise de façon à pouvoir glisser son autre main le long de ma cuisse, en remontant plus vite que prévu qu’il n’en avait l’intention à ma culotte. Diane, elle, dansait toujours, se léchant à l’occasion ses seins volumineux et agaçant son ami en jouant avec son slip. Un sourire narquois aux lèvres. Elle glissait parfois son doigt furtivement sur son sexe. Son copain se massait lentement au travers de son jeans, obéissant et soumis, se contentant de regarder.

Steve, de son côté, entreprit de me caresser avec insistance. J’était déjà excitée. J’éprouvais aussi une petite gêne à regarder ce spectacle irrésistible. Je laissais Steve me caresser sans intervenir. Je me savais moite et chaude, et les doigts que Steve glissait en moi trouvèrent vite leur cible. Il me caressait à un endroit précis en moi qui déclenchait un orgasme gênant de par son intensité et sa promptitude… L’ami de Diane enleva son jeans, révélant un organe bien éveillé… et plongea leur chambre dans l’obscurité…


Nous avons poussé ensemble un soupir de déception. Je remarquai alors l’érection immense qui ornait le pantalon de Steve et que j’avais dédaigné jusqu’ici… du Fer !!!! Je me mis à genoux devant lui et le glissai presque entier dans ma bouche. J’adore (sincèrement) lui accorder ce petit plaisir. J’adore ce sentiment de puissance que sa queue dans ma bouche me procure. Je suis alors Le vrai maître de la situation. Je me mis à l’aspirer de ma bouche exigeante, glissant ma langue autour de lui comme un baiser passionné, l’embrassant profondément. Je fis durer ce plaisir. J’accélérais le rythme de mes caresses humides en l’engouffrant plus profondément jusqu’à ce que je sente sa résistance prête à l’abandonner. Je ralentis alors graduellement, m’amusant à le lécher, à le sucer. Laissant doucement ma main prendre la relève. Après un moment, je le happais de nouveau et recommençais ce petit jeu. Mes lèvres se resserraient autour de son membre qui durcissait toujours .Finalement, la quatrième fois je le laissai jouir et m’asperger du fruit de mon travail…


Quelques jours plus tard je croisais diane… je me sentis rougir ! Elle me demande si nous étions bien installés. Elle me dit qu’elle avait toujours habité des étages élevés et me demanda comment je trouvais la vue….. !!!!

Dernière journée de vacances….. Steve m’invite au restaurant. Et rendu là, la conversation se dirige automatiquement vers notre voisine. Nous nous demandions si elle savait que nous la regardions.



En arrivant on entendit de la musique, du Hard Rock cette fois. L’appartement de Diane était illuminé de plusieurs lampes de couleurs. Cela nous donnait une sensation étrange. Les deux corps des amants s’étreignaient dans ce décor mystérieux. Diane et un homme différent de la précédente. Elle était à genoux sur le sofa, les coudes appuyés au dossier. Son dos et ses fesses étaient offerts à son solide gaillard aux cheveux longs, bâti comme un joueur de football.



La vue était meilleure, c’est vrai. Diane toujours dans la même position mais le gars, qui plus tôt était immobile derrière elle, semblait maintenant explorer son corps dans ses moindres détails. Il se masturbait d’une main, et de l’autre, caressait Diane. Il la pénétrait de ses doigts exigeants devenant prudents derrière, puis passait sa langue sur ses fesses consentantes. Mais c’est la main avec laquelle il se masturbait qui me fascinait. Elle semblait imposante, de taille supérieure à la moyenne mais ne recouvrait que la moitié de la longueur de son énorme pénis. Gigantesque ! Frénétiquement, Steve et moi avons enlevé nos vêtements et je pris place sur le bord de la fenêtre dans la même position que Diane. Steve imitait l’homme et me caressait de plus en plus intensément. Finalement, il s’introduit en elle. Je me disais que ça devait être douloureux ! Mais quel coup d’œil ! Il prit son temps. Diane devait l’attendre avec impatience parce qu’elle se rua sur lui, le faisant la pénétrer brusquement en elle. Steve avait fait la même chose. Tout en regardant, nous essayions de synchroniser nos mouvements aux leurs. J’étais fascinée pas leurs corps luisants, souples et déchaînés. Les seins de Diane se balançaient au rythme endiablé de leur frénésie. Je pouvais aussi imaginer, plus que la voir, l’énorme queue s’enfoncer toujours de plus en plus profondément.


L’homme accéléra le rythme et Steve aussi. Ils ralentirent en même temps, firent une pose en nous serrant les épaules et le cou, s’emparèrent de nos cheveux, puis reprirent de plus belle. Ils semblèrent jouir en même temps ! Steve me fit asseoir au bord de la fenêtre et me lécha avec effusion, me fit jouir de sa langue une autre merveilleuse fois. Mon seul regret fut que, malgré l’intensité farouche, tout cela avait été un peu bref.

Tu crois qu’on devrait arrêter de les regarder ? demandais-je à Steve le souffle court.



En effet Diane changeait régulièrement de partenaire.

Un après midi, elle m’invita a boire une "sangria", que nous partageâmes en parlant de nos vies respectives. Je restais muette sur nos petits espionnages ! En rentrant le téléphone sonnait, c’était Steve qui m’annonçait qu’il arriverait bientôt. Je m’étendis donc sur le sofa pour lire. Soudain un air de jazz me parvint de chez Diane. Je regardait par la fenêtre et la vis les cheveux mouillés, avec une simple serviette autour du corps. Elle s’étendit sur une de ses chaises longues, ferma les yeux et retira sa serviette.

Elle avait un corps magnifique. Je l’admirais ainsi sans contrainte. J’avais la quasi certitude qu’elle savait que nous regardions. Elle tourna son visage vers moi, me vit ou me devina sur mon sofa, et sourit. Elle saisit un arrosoir et fit gicler sur son corps un filet d’eau, et le répandit sur tout son corps. La brise, sur son corps, la fit frissonner. Elle ferma les yeux, flattant la pointe de ses seins durcis. Elle passa ses mains ainsi avec un regard nostalgique. Son corps semblant apprécier la caresse se dressa, elle massa ses seins avec plus de vigueur et les pétrit avec insistance.

Je n’avais jamais été attirée par une femme et je ne l’étais pas vraiment par Diane. Mais son attitude désinvolte, sensuelle et son corps sublime firent naître en moi une excitation brutale. Je la regardais et prenais conscience de mon corps. De la soif de caresse de mon corps. Je me mis dans la même position qu’elle et me caressais les seins.

Elle s’était enhardie et ses doigts emmêlaient sa toison entre ses cuisses dorées. Elle écarta les jambes et ses ongles s’enfoncèrent dans la chair douce entre ses cuisses. La main droite écartant les lèvres humides et la main gauche s’humectant de salive, sa langue et sa bouche les léchant doucement. Ses deux mains se joignirent. Elle caressait doucement le clitoris le taquinant, la main épousant son sexe dégoulinant. J’éprouvais de la difficulté à la suivre car mon excitation me rendait impatiente. Elle accéléra, d’abord imperceptiblement, puis presque frénétiquement. Son visage exprimait sans retenue ce qu’elle ressentait : son sourire vague avait fait place à un air de concentration intense pour ensuite se crisper. Elle arrêta soudain et força ses mains à caresser encore sa poitrine, les jambes bien serrées. Son visage se détendit. Elle se caressa le corps comme si une étreinte invisible ensevelissait son corps. La main hésitante, elle retourna vers son bas ventre, et recommença ses caresses, rêveuse. Elle n’avait pas encore joui et je me sentais si proche de elle. J’étais convaincue à ce moment qu’on ne pouvait l’une sans l’autre jouir ! Je recommençais à me caresser aussi, la regardant se mordre la lèvre inférieure. Je sentais mon ventre palpiter, la jouissance imminente et inévitable, quand Steve fit son entrée !


Il me regarda un moment silencieux. Il ne fit que s’approcher pour voir ce que je regardais si intensément et ce qui causait mon émoi. Je vis son pantalon se gonfler immédiatement.



J’arrêtais mes caresses et constatais que Diane avait vu Steve arriver. Elle ralentit aussi, attendant la suite. Il vint s’agenouiller à mes pieds, m’embrassant les jambes, les cuisses….

Quand sa langue glissa sur mon sexe, je pus à peine retenir mon cri. Je me sentais tendue, prête à exploser. Diane de son côté accéléra la cadence. Sa tête se secouait en tout sens, elle se releva et s’agenouilla sur sa chaise les jambes écartées. Je sentais qu’elle allait jouir et je voulais partager cet instant avec elle. J’implorais Steve. Il plongea ses doigts et me caressa frénétiquement tout en me donnant encore du plaisir de sa langue. Diana plongea ses mains pour la faire basculer vers l’orgasme, je jouis si fort que mon ventre se secoua pendant un long moment. Steve n’y tenant plus m’empala avec violence. Avec acharnement sur mon corps sans aucune résistance. Je m’assieds sur lui et le caresse amoureusement de mon bas ventre, doucement. Il me balance sur le dos et me soulève les jambes sur ces épaules. Il me défonce brutalement jusqu’à ce qu’il explose…..



Par après nulle nouvelle de Diane …Deux semaines plus tard le concierge m’apprit qu’elle avait déménagé. Finies les soirées de voyeurs ! Steve et moi étions tristes. Et pendant un laps de temps nous regardions défiler les visiteurs pour l’appartement et imaginant qui seraient nos futurs voisins ? Le gros barbu avec son minuscule caniche ? La dame seule et ses trois chats ?? Assurément pas. Le couple dans la trentaine, qui se tenait par la main comme des nouveaux mariés ?? Tiens , tiens….

Ce sont eux qui finalement ont pris l’appartement. Nous les avons invités à prendre le thé. Ils ont aimé la façon dont nous avons mis nos rideaux : absents !

Après avoir bavardé, ils retournèrent chez eux.

Steve regarda l’appartement d’un air songeur. Il avait l’air d’un gamin tout à coup !



Sur ce il mit un disque de blues et alluma deux lampes qui diffusaient une lumière ambrée. Nous avons entendu les voisins prendre l’air sur leur terrasse.

Steve s’approcha de moi et commença à me mordiller les oreilles et le cou.



Et il m’entraîna près de la fenêtre.


Par Jessica Fleury






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n° 00614Marié mais Bisexuel en cachette28/06/00
Un Trio particulièrement Humide
critères:  fhh hbi couplus grossexe essayage voir exhib strip intermast facial fellation uro
12114 caractères      
Auteur : Tony 2


L’histoire que je vais vous raconter débute dans un grand magasin où je suis en train de faire quelques courses, je choisis deux pantalons dans le rayon homme et je me dirige vers les cabines d’essayage en même temps qu’un couple. Je remarque tout de suite la femme ; elle a des yeux superbes et un visage très doux ; elle est blonde avec des cheveux mi-long, de grands yeux bleus qui vous fixent avec une telle intensité que je suis presque gêné. Elle doit avoir dans les 30-35 ans ; c’est plutôt difficile à dire. La personne qui l’accompagne - que je suppose être son mari - est un homme d’environ 40 ans plutôt du genre bcbg assez sérieux. Le mari referme le rideau derrière son épouse, moi je m’installe dans la cabine opposée un peu en amont. Le rideau de la cabine de cette femme n’est pas très bien refermé et il ne m’est pas difficile de la voir se déshabiller. C’est trop tentant et je ne peux m’empêcher de regarder. Elle soulève son tee-shirt ; elle ne porte pas de soutien-gorge ; je l’avais deviné auparavant mais je l’imaginais avec une poitrine un peu plus forte. En fait, elle a encore une poitrine d’adolescente mais ses tétons fièrement dressés me font beaucoup d’effet.


Le mari se retourne brutalement, devine à mon regard ce que j’essaye de mater. À ma grande surprise, au lieu d’avoir une expression furieuse, son visage s’épanouit et il me lance un sourire. Puis il entrouvre le rideau de l’autre côté et parle à sa femme suffisamment bas pour que je ne l’entende pas. Contrairement à ce que je pensais, son épouse entrouvre un peu plus le rideau et se retourne dans ma direction pour se déshabiller. Je déglutis, j’ai un peu honte de cet acte de voyeurisme mais cette invitation est trop tentante pour que je détourne mon regard. La jeune femme essaye une jolie petite robe bleue puis se dévêtit à nouveau pour enfiler ses vêtements précédents. Voyant qu’ils en ont terminé, je referme le rideau sur moi car je n’oserais pas croiser leur regard de près. Je les entends rire puis soudain un bras - celui de la femme - passe sur le côté du rideau. Je l’entends parler comme si de rien avec son mari de banalités concernant une soirée entre amis. Sa main ne reste pas inactive ; elle mime le fait de branler un homme. Je reste un moment sans bouger puis, osant le tout pour le tout, je baisse mon slip - j’avais déjà retiré le pantalon - et avance ma queue raide depuis déjà un moment vers cette main qui me réclame. Cette main empoigne aussitôt mon sexe et commence à me branler doucement avec une maîtrise et un savoir-faire qui en dit long sur l’expérience de cette femme. C’est si bon que je ne résiste pas bien longtemps à ces mouvements de va-et-vient sur mon sexe. Je jouis dans un râle en essayant de ne pas trop crier de plaisir. Sa main continue de me caresser, ses doigts s’enroulent autour de mon gland et bientôt sa main est remplie de mon foutre.


Elle retire son bras, je ne bouge pas, puis je vois le rideau bouger ; elle et son mari passent la tête dans la cabine. Devant moi, elle lèche le creux de sa main puis son mari fait de même et suce les doigts pleins de sperme de son épouse. Ce dernier me tend une carte de visite avec leurs coordonnées et ils lancent en cœur un " A ce soir ! ". Ils referment le rideau me laissant le sexe pendant encore gluant de sperme avec leur carte de visite à la main que je m’empresse de lire. Ils se prénomment Christelle et Alex. Au dos de la carte, il est écrit " Tu nous plais, rejoins-nous ce soir vers 20 heures à l’adresse indiquée sur la carte " suivi de la curieuse phrase suivante : " Bois beaucoup d’eau avant de venir, s’il te plait ". Je passe tout le reste de la journée à ne penser qu’à ça. Aussitôt rentré chez moi, je me dirige vers la salle de bain, je prends un bain, me nettoie partout - surtout les parties intimes puis attend anxieusement l’heure venue. Je connais bien la rue indiquée sur l’adresse et je fais les cents pas dans l’appartement en attendant la soirée. Je bois pratiquement 1 litre et demi d’eau comme ils me l’on demandé.


Vers 19 heures 30, je prends ma voiture et me rends à l’adresse indiquée, c’est une jolie petite maison avec un petit jardin devant. Je sonne, c’est Christelle qui vient m’ouvrir, elle est vêtue de la jolie robe bleue qu’elle avait essayée dans la cabine. Elle me fait entrer, me serre la main puis prend mon bras pour me diriger vers ce que je devine être le salon. Le store de la fenêtre est baissé et je vois à terre un grand drap qui a été allongé à même le sol. Alex est assis sur le canapé, il vient vers moi et me dit " Détend toi, ici, tu va pouvoir satisfaire tous tes fantasmes ". Je lui dis que sa femme est très belle. " Viens à côté de moi " dit-il, elle va nous faire un strip-tease. Sur une musique très douce, elle commence à onduler son corps puis retire doucement sa robe dévoilant presque aussitôt une nudité totale. Je peux enfin savourer de près sa petite poitrine. Ses seins sont petits mais magnifiques, sa chatte peu poilue dévoile des lèvres charnues. Je salive et sens la main d’Alex se poser sur mon genou.


Christelle me tend les bras et m’invite à la rejoindre au centre du salon. Le simple fait de me lever me donne une terrible envie d’uriner vu la quantité d’eau que je viens d’avaler. Mais je trouve trop indécent d’en parler. Lentement, elle me déshabille sous le regard intéressé de son mari. Je me retrouve bientôt au milieu de la pièce avec une grosse bosse dans le slip qui reste ma seule tenue. La main de Christelle caresse cette bosse puis elle me demande de faire pipi dans mon slip. Je suis un peu surpris par sa demande malgré le fait que je me doutais bien de ces intentions. Il ne m’a pas fallu longtemps pour satisfaire son envie car ma vessie était pleine à craquer et bientôt un filet de pisse marqua le slip en s’agrandissant petit à petit puis glissa tout le long de ma jambe. Christelle se mit à genou devant moi, caressa à nouveau mon slip humide, se place en dessous de moi puis lécha celui-ci, mordillant mon sexe à travers le tissu peu épais. Parfois sa langue récupérait le trop plein qui coulait sur mes jambes. J’urinais par petites saccades pour faire durer le plaisir. Au bout de quelques instants, elle retira mon slip trempé, s’allongea au sol sur le dos et me demanda de me mettre à califourchon sur son ventre.


Alex se leva à son tour ; se déshabilla rapidement puis la queue fièrement dressée se plaça debout au-dessus du visage de son épouse. Christelle me dit : " maintenant tu va sucer Alex tout en continuant à m’uriner sur le corps car j’ai envie de prendre une douche de ta pisse ". Je ne me suis pas fait prier. Alex n’avait pas une queue très longue mais par contre, elle était bien grosse. J’ai commencé par m’attarder sur son gland. Il y avait une forte odeur de mâle qui me plaisait dans cette fellation. Tout en m’évertuant à procurer du plaisir à mon partenaire masculin, je n’en oubliais pas pour autant mon partenaire féminin sur laquelle je vidais avec le plus grand plaisir ma vessie. Elle se malaxait la poitrine sous cette douche dorée ; de temps en temps, elle se relevait, prenait ma bite en main et dirigeait le jet de pisse vers son visage. Parfois même, elle gobait cette queue et j’urinais à même sa bouche. C’était merveilleux ! Les mains d’Alex ne restaient pas inactives ; en effet il me prit par les cheveux et faisait faire à ma tête des mouvements de va-et-vient incessants sur sa queue m’obligeant presque parfois à enfoncer sa tige très loin dans ma gorge.


Ma vessie était maintenant complètement vidée et Christelle se chargea de rendre à ma queue un peu de vigueur. Je sentis sa langue tourner autour de mon gland ; il ne lui fallut pas longtemps pour avoir la bouche pleine car m a queue finit par grossir rapidement sous la langue agile de cette belle salope. De mon côté, je me régalais car je voyais Alex gémir et je savais que je lui ferais plaisir si je le laissais jouir dans ma bouche. Et puis j’en avais trop envie ; cette odeur de mâle me rendait fou. Puis sans me prévenir, il s’est mis à hurler en me serrant contre lui ; j’ai reçu les premières giclées directement au fond de ma gorge et j’ai ensuite sortit son sexe tout en laissant ma bouche grande ouverte pour en recevoir partout sur mon visage. Cela n’en finissait pas, son éjaculation était très abondante et je me suis rapidement retrouvé le visage complètement maculé de sperme. J’ai quand même continué à le sucer car je sais combien c’est agréable de se faire sucer juste après la jouissance.


Christelle me disait : " t’en as partout, hein ! T’aimes ça toi aussi ; donnes moi le tien aussi ; vient sur moi ! J’en veux aussi plein la bouche, plein mon visage ". J’ai donc commençais à me branler devant son minois ; au bout de quelques instants, j’éjaculais à mon tour avec plusieurs saccades moins abondantes qu’Alex mais tout aussi crémeuse sur le visage de Christelle comblée. Le mélange d’urine et de sperme sur son visage était fascinant ; elle se pourléchait et me demanda de l’embrasser. Cette invitation était trop belle pour que je la refuse. Nos langues se sont donc mêlées dans un baiser baveux ou se mélangea urine et sperme. Cela dura longuement puis Alex voulut aussi m’embrasser… Je n’ai pas refusé. Je crois, de toute manière, que je n’aurais pas été capable de refuser quoique ce soit ce soir-là !


Nous sommes restés ainsi allongés à nous caresser et nous lécher pendant une bonne quinzaine de minute le temps de bien récupérer des forces et nous permettre d’honorer comme il se doit la chatte de madame. C’est son mari qui commença, il n’eut pas beaucoup de difficultés à pénétrer son épouse, elle était trempée et son sexe entra très facilement ; il la besogna pendant que moi je caressais chaque partie de son corps en insistant sur cette poitrine qui m’avait tant excitée dans le grand magasin. Christelle était aux anges, le gros sexe d’Alex avait tout pour la combler et sa résistance me surpris ! Il semblait ne jamais être gagné par l’envie de jouir ; elle - par contre - avait orgasme sur orgasme et je peux vous garantir que ce n’était pas de la simulation. Lorsqu’elle était arrivée au summum de son plaisir, elle demanda à son mari de lui remplir la chatte de foutre. Il activa donc sa pénétration et se lâcha dans un râle qui faisait plaisir à voir. Lorsqu’il se retira, un filet de sperme mélangé à de la sécrétion féminine dégoulinait de la chatte trempée de Christelle. Celle-ci m’invita à déguster ce nectar. J’écartais donc les jambes de Christelle et commença par nettoyer les abords de ses lèvres par de petits coups de langues. Ensuite, écartant au maximum celles-ci, j’enfournais profondément ma langue dans cette chatte et me régala de ce délicieux cocktail. C’était délicieux et je sentais Christelle expulser à chaque jouissance du liquide que je m’empressais d’avaler.


Moi aussi j’avais envie de pénétrer cette chatte devenue maintenant bien odorante et je pointais donc, à mon tour, mon sexe à l’entrée de son vagin. Elle l’accepta sans problème, c’était très chaud à l’intérieur et je savais que je ne résisterais pas aussi longtemps qu’Alex à cette douce intimité qui m’englobait la queue. En moins de 3 minutes, je fus pris d’une terrible envie de jouir et ce fut dans la bouche d’Alex que je fus cette fois-ci invité à me vider. Au lieu de recevoir une partie de mon éjaculation sur le visage, il préféra garder tout en bouche sans avaler ; je compris quelques instants plus tard pourquoi… Penché sur le visage de sa femme, il laissa couler doucement le sperme de sa bouche sur les lèvres de son épouse et ils finirent le spectacle par un baiser tout aussi gourmand que celui que j’avais eu l’occasion d’avoir tout à l’heure. L’histoire que je viens de vous raconter, je ne l’ai malheureusement pas vécu. C’est juste un des nombreux fantasmes que j’aimerais vivre. Alors j’en profite pour lancer un appel aux couples de la région 62 mais aussi à ceux de la région parisienne car j’aurais la chance d’être à Paris au mois de septembre pour une durée d’une semaine. Si vous vous êtes retrouvés dans cette histoire, n’hésitez pas à prendre contact avec moi.


Tony.





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n° 00747Françoise cadre administratif, mariée, 2 enfants28/07/00
Mohamed
critères:  fhh couleurs couplus extraoffre uniforme grossexe voir exhib massage intermast rasage fgode pénétratio fdanus
14804 caractères      
Auteur : Françoise1      Série : L'amour noir - 01 / 04


Récit de Claude.


Je me rappelle une histoire qui nous est arrivée voici environ 25 ans.


A l’époque dans notre région il y avait une coutume concernant la caserne militaire de notre sous-préfecture, les nouvelles recrues après les trois mois de classe étaient accueillies dans un village des alentours et pris en charge par les habitants pendant un week-end. C’était pour renforcer la cohésion de l’armée avec la population bien mise à mal après les événements de mai 68.


Nous habitions dans cette petite ville et notre rôle consistait à héberger une recrue le soir du samedi (dîner et coucher) le conduire au défilé du dimanche matin et de participer à la sauterie d’après la prestation militaire. Ma femme appartenant au conseil municipal a été mise à contribution car si le nombre des habitants souhaitant héberger les soldats (école de sous-officiers) était suffisant il en restait quand même quelques-uns uns difficile à caser.



Disposant d’une chambre d’amis dans mes combles nous avons accepté.


Ce week-end est arrivé. Le samedi en fin d’après midi les soldats sont arrivés et autour d’un pot offert par la mairie et après pas mal de discours les recrues ont été présentées et remises aux familles d’accueil. C’est là que nous avons vu arriver un grand noir et même bien noir qui avec son grand sourire m’a fait penser à une pub Banania, il devait bien faire deux mètres.


Arrivés à la maison, l’installation fut rapide et nous nous sommes retrouvés dans le salon pour l’apéritif. Les discussions étaient d’une grande banalité, mais peut être à cause de la chaleur de ce mois de juin et aussi très certainement aux nombreux punchs bien frais, sauf Mohamed car sa religion lui interdisait, le contact entre nous a bien pris et les rires ont pris le dessus.


Au repas notre principal sujet de conversation était la vie courante dans son petit pays (le Bénin), les coutumes et les habitudes de ses habitants. Puis nous avons dévié sur la religion et on lui demande comment il la vit, si les contraintes ne lui pèsent pas trop. Pour lui la non-prise d’alcool ne lui fait rien mais son plus gros problème était les femmes, car si la femme du voisin est sacrée, les jeunes filles doivent rester vierges jusqu’au mariage sous peine de ne jamais trouver de mari. Mais selon lui faire l’amour avec une femme blanche n’était pas un péché car n’étant pas musulmane il pouvait y aller.


Françoise de plus en plus rouge lui posa des questions beaucoup plus précises sur la sexualité féminine noire.


La polygamie est très répandue, environ 3 à 4 femmes par homme, celui-ci ne pouvant pas honorer souvent leurs femmes, elles doivent pour pouvoir assouvir leurs fantasmes sexuels avoir recours assez souvent à des moyens artificiels. L’artisanat local est beaucoup inventif pour elles ; des godemichés en bois exotiques de formes diverses ou des objets dont le seul usage n’est que de donner du plaisir.


Je voyais Françoise de plus en plus cramoisie, ses pupilles dilatées et la bouche ouverte. Elle buvait ses paroles et je sentais en elle de plus en plus d’attention surtout quand il se mit à parler des décoctions d’herbes, de fleurs ou de feuilles dont les femmes ou jeunes filles se passent sur les parties les plus sensibles de leur corps pour accéder au plaisir suprême.


D’ailleurs si vous voulez voir ce que c’est, j’ai une boite avec moi que je dois transmettre à une cousine de Paris et à qui je dois lui apporter tout de suite après notre week-end.



Mohamed monta dans sa chambre, je vis ma femme se masser le bas ventre je n’en revenais pas elle si discrète d’habitude, quand il revint il nous montra une jolie boite en bois rouge d’environ 30 cm de long et 10 de haut. Il l’ouvrit, elle se sépara en deux, le couvercle était rempli de petites étagères où se trouva d’innombrables petites fioles de toutes les couleurs et de diverses contenances. Dans le bas était disposés des objets en bois que nous pouvions deviner facilement l’utilisation, des godemichés de différentes tailles surtout un très gros tout en bois sculpté même avec les veines apparentes et le gland très suggestif. Il le prit, le donna à Françoise qui après un mouvement de recul le soupesa et eu un sourire radieux.



Ce dialogue me parut surréaliste ma femme si réservée, elle qui ne veut faire l’amour que dans le noir ou la pénombre. Il sortit un flacon, prit un peu du contenu sur le doigt (une sorte de crème) le tendit à Françoise



Devant son hésitation il en prit sur le bout de sa langue



Elle consentit à en prendre un peu sur le bout des lèvres.



Elle devint toute rouge. Elle ne s’était déshabillée que devant son docteur ou devant moi.



Elle s’assit sur une chaise, se tourna vers moi et se débarrassa de son corsage et de son soutien-gorge. Ses beaux seins apparus les bouts très gros et rouges démontraient l’état d’excitation de ma femme. Mohamed me tendit le flacon. Je pris de la crème dans le fond de ma main et comme on passe de la pommade sur un corps je massais délicatement ses seins sur le pourtour en passant sur le bout et remalaxant en rond en revenant toujours sur les bouts qui durcissaient de plus en plus.


La crème dut faire son effet car je la voyais respirer de façon pas très normale, elle fermait les yeux et poussait des soupirs d’aise.



Mohamed me fit placer derrière Françoise.



Il se plaçât devant elle, mit ses paumes de main sur ses genoux et remonta doucement le long des cuisses. Ma femme eut un sursaut et tout de suite resserra les jambes.



Je ne voyais que sa tête, placée comme je l’étais situé mais j’ai tout de même aperçu ses mains qui remontaient en me penchant un peu et en regardant comme un voyeur. Françoise écartait maintenant les cuisses, arrivé sur la culotte il la prit à la taille et commença à la descendre, elle se souleva pour en faciliter la chute, ce qui prouve bien sa complète soumission. La culotte au bas des chevilles il lui souleva le pied pour la dégager, il avait la figure au niveau de son sexe, il retroussa aussi sa jupe d’été ample puis avec aussi un geste précis il la fit passer par la tête.


Mon épouse se retrouva toute nue. Elle était complètement aux exigences des deux hommes, moi qui lui massait toujours les seins avec des approches sur son petit ventre plat, Mohamed reprit de la crème sur le bout du doigt lui entrouvrit les lèvres intimes et mit sa crème sur les lèvres et sur le pourtour du clitoris, elle eut un sursaut puis se calma en poussant des petits cris, j’ai un drôle de sentiment en le voyant faire je bandais à mort. Mais quand j’ai vu ses grands doigts reprendre de la pommade et lui rentrer profondément dans son vagin j’ai compris que j’étais devenu un voyeur pas encore cocu mais content. Françoise se tendit comme un arc et se mit à crier comme je ne l’avais jamais entendu.


Nous l’avons prise puis posée sur la peau de bête qui était située en face de la cheminée bien sur éteinte en cette nuit d’été. Elle se mit en position recroquevillée en se massant le corps, les seins son ventre en marmonnant des paroles incompréhensibles, puis au bout d’au moins 5 minutes que nous avons passé à la regarder elle se releva.



Elle s’assit en tailleur les jambes bien écartées le sexe en contact avec la peau de bête, toutes inhibitions enlevées.



Tiens ils se tutoient maintenant ? Et moi je bandais toujours. Je lui aurais bien fait l’amour mais je n’étais pas encore prêt aux partouzes.


Mohamed se leva, la prit aux épaules et la coucha sur le dos. Il prit un coussin lui passa sous ses fesses ce qui eu pour effet de soulever son sexe, il lui écarta les cuisses puis prit sa toison intime toute trempée à la main.



Il prit dans sa boite une autre petite poche, elle contenait des ustensiles de coiffeur. Il me demanda une serviette pour lui passer sous les fesses, puis prenant la toison à pleine main il la coupa avec son ciseau, les boucles tombant par terre. Françoise ne disait plus rien elle fermait les yeux et écartait les cuisses au maximum. Il riait et de temps en temps introduisait ses doigts dans son intimité ou sur le clito. Le plus gros de sa touffe étant partie, il sortit un rasoir comme on en voyait avant chez le barbier, l’aiguisa sur son affûtoir, puis de sa main gauche saisie ses lèvres intimes, tira dessus pour ne pas les blesser par la lame acérée et commença son rasage très lentement sur tout le tour du sexe. En dix minutes le résultat était saisissant, un sexe tout poli faisait place à la forêt plutôt disgracieuse d’auparavant, mais ce qui me parût énorme c’était son clitoris très rouge, proéminent qui se dégageait, peut être que cela était normal ou alors ses orgasmes consécutifs l’avaient développé.


Il sortit de sa boite un autre flacon, avec une autre pommade de couleur rose et lui en passa sur les traces du rasoir. C’est du suif de singe, un singe commun dans notre pays qui se distingue par ses pratiques sexuelles continuelles, tu va voir sur le coup cela apaise leu feu du rasoir et après c’est un autre feu qui le remplace, beaucoup plus intime. Il continua à la pommader, lui en passant maintenant dans le sexe, sur le clito, dans le vagin et même sous mes yeux complètement ahuris, il tourna autour de l’anus qui se resserra de lui-même car elle était vierge de ce côté là. Il reprit de la potion se remit sur son œillet rose avec l’index il la pénétra d’un seul coup, elle sursauta, il me dit de la maintenir de lui triturer les seins ce que je fis sur-le-champ. Il avait l’index planté dans son cul et le pouce et un ou deux autres doigts dans son vagin ou sur son clito, il bougeait sa main dans tous les sens. Elle ne savait plus où elle était, elle recommençait à pousser des cris, elle bougeait beaucoup.



Il saisit dans sa boite le gros godemiché que nous avions vu au début de la soirée, mit au milieu du faux membre en ébène une bague de poil de bête, l’enduisit de la pommade et lui introduisit tout doucement dans le vagin. Elle se mit à crier, pas des cris de douleur mais des cris de jouissance extrême, je compris l’utilité de la bague à chaque mouvement de pénétration en même temps que le godemiché buttait au fond du vagin la bague aux poils drus se frottait sur le clitoris, l’excitait encore plus. Il laissa le gros god en place au fond de ses entrailles, la retourna avec mon aide sur le ventre toujours avec le coussin sous son ventre. Françoise prit elle-même le god et le tourna dans son intimité en poussant des cris de plus en plus aigus. Pendant qu’elle se donnait du plaisir il prit un autre petit godemiché, mit une autre crème dessus et l’introduisit doucement dans l’anus de ma femme, cela donnait une image très cochonne de la situation, Françoise arracha le gros god se pinça se tritura le clito pendant que Mohamed faisait du va-et-vient dans son cul.


Je ne tenais plus, mon sexe était énorme et d’un seul coup je me suis mis à décharger tout seul.


Ma femme eut des gestes brusques, des propos incohérents puis se détendit se mit en chien de fusil et semblait dormir.


Tu sais me dit Mohamed, avec le traitement que je viens de lui faire subir elle peu très bien avoir au moins une vingtaine d’orgasmes consécutifs, il ne faut pas lui faire cela tous les jours. Emportons la dans son lit. Elle ne bougeait plus, son souffle étant lent comme pour un dormeur et avec un sourire radieux sur ses lèvres. Elle n’eut aucun geste et quand on la posa sur le lit, elle se remit en chien de fusil.



Je ne voyais pas comment lui dire non. Il se déshabilla, je vis alors son sexe noir au bout rose, pas très gros mais très long. Il se mit derrière ma femme toujours couchée sur le côté, il mit son sexe dressé entre ses fesses et lentement il l’introduit dans son sexe.



Il bougeait à peine, Françoise ne disait rien, il la limait consciencieusement, il la ceintura et avec ses doigts longs et calleux lui pinçait les seins lui caressait le ventre le clito. Il se masturbait plus qu’il ne lui donnait du plaisir. Toute cette initiation a du lui aussi l’exciter, il se cabra et se mit à décharger dans son sexe profondément. Il se leva, me dit bonsoir et à demain et se rendit dans sa chambre me laissant seul désemparé. Je me couchai mon sexe encore démesuré, je pris la place de Mohamed derrière ma femme. Elle était vraiment inondée par ses effluves personnels d’abord mais aussi par le sperme du soldat, je mis mon sexe dans son vagin mes bras autour de son corps le bout des seins était très durs et à mon contact ils frémissaient encore et en demandaient toujours. Je ne bougeais pas dans son ventre sinon dans l’état d’excitation que j’étais, je déchargerais tout de suite, mais ce fut elle qui se mit à onduler du bassin mon gland enfoui tout au fond se trouva malaxé par le col de l’utérus. Mon sexe se mit à gicler de longs jets puissants, je croyais que cela n’allait s’arrêter, je trempais dans toutes sortes de liquides, je pris une serviette dans l’armoire pour éponger, me recouchai. Elle se retourna me posa un petit baiser au coin de lèvres.



Et nous nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre crevés mais heureux.





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n° 00748Françoise cadre administratif, mariée, 2 enfants28/07/00
Selim
critères:  fhh couleurs couplus extraoffre uniforme enceinte grossexe intermast fellation fgode sandwich fdanus fsodo
24400 caractères      
Auteur : Françoise1      Série : L'amour noir - 02


Suite de MOHAMED, récit de Françoise.


La lumière du jour commençait à percer au travers des volets, la chaleur de ce mois de juin se faisait déjà sentir. Je m’étirais dans mon lit, Claude à mes côtés se réveillait doucement.



Je pris la main de Claude et je la posais sur mon sein



Pendant qu’il pinçait le bout et malaxait mon sein, je passais ma main sur mon sexe. Je bondis et m’assis dans le lit, ma toison disparue, mon clitoris endolori et raide, toute la nuit m’apparut en un éclair.



A ce moment Mohamed apparut sur le pas de la porte vêtu seulement d’un joli caleçon à fleurs.



Le voyant, je pris le drap et je me suis couverte les seins. Je ne me souvenais pas bien de son rôle dans cette histoire. Jeune mariée (environ 5 ans) je n’avais jamais trompé mon mari et les aventures extra-conjugales ne me tentaient guère. Il rentra dans la chambre et il s’assit au bord du lit de mon côté. J’eus un mouvement de surprise et de recul, mais qu’ai-je fais cette nuit pour qu’il agisse de la sorte ?



Claude prit le drap et l’abaissa lentement jusqu’aux chevilles. Je ne pus résister, l’acceptation de Claude et mon absence de réaction m’avait complètement anéantie. Mohamed tirait aussi sur le drap de son côté. Un sentiment bizarre m’envahit, Claude allongé à ma droite prit le bout de mon sein droit dans la bouche et se mit à le sucer, Mohamed de son côté s’allongea sur ma gauche et suça lui aussi mon sein gauche. Leurs mains me caressaient et rejoignaient même autour de mon clitoris, je fermai les yeux pour un réveil agréable j’étais servie, moi qui appréciais faire l’amour surtout le matin car je sentais plus détendue et réceptive. Je sentais des doigts qui m’envahissaient le vagin, qui tournaient autour de clito, qui le pinçaient pour l’exciter, et bien sûr mes seins toujours sucés.


Mohamed quitta son caleçon, mes mains allaient au-devant de son sexe, je le pris au creux de ma main, le ceintura et le remontais doucement jusqu’au gland. Dans ma tête je m’amusais à une comparaison avec celui de Claude, d’ailleurs je lui pris aussi son sexe dans ma main disponible, celui de mon mari était de la même grosseur, ils bandaient tous les deux, mais celui de Mohamed était au moins deux fois plus long, j’exagère à peine, j’ai eu une décharge électrique dans mon ventre rien qu’à l’idée de sentir de sexe énorme dans le plus profond de moi. Le travail de mes deux hommes commençait à me faire de l’effet, tout mon corps était alangui, je sentis des picotements dans mon sexe, j’avais honte, ce sera mon premier amant et noir en plus, mais puisque Claude est d’accord !


Je me tournai vers Mohamed, pris son sexe longiligne dans la main et passai le gland sur mes lèvres pour exciter le clito, après cinq au six passages sur celui-ci il était devenu très gros. Puis je m’introduis le bout de gland dans mon vagin et je me suis mis à pousser fortement du bassin pour l’engloutir en entier. Sentir son sexe butter au fond de mon ventre et taper sur le col de l’utérus m’a fait avoir un orgasme instantané, je mouillais profondément.

Mohamed ainsi emmanché me retourna sur le dos et je vis ce grand noir au-dessus de moi qui me limait consciencieusement, je posai mes mains sur son torse, le caressai, lui titillai le bout des seins. Claude son côté aspirait toujours de sa bouche mon mamelon. J’étais bien, mon baiseur poussait des ah ah en cognant au fond de ma grotte. C’était et c’est toujours la meilleure façon de me faire jouir, car je suis beaucoup plus vaginale que clitoridienne. Son gland s’immobilisa au fond du vagin, il tournoya autour du col pendant quelques instants sans ressortir, je le sentis grossir et de puissantes giclées de sperme m’inonda, j’eus encore des éblouissements et je sentis de petits et d’innombrables orgasmes me submerger, mon corps en entier se mit à trembler. Il se retira et se coucha sur le dos le sexe dégoulinant de mon foutre et du sien encore droit, je me tourna le pris dans ma main.



Je sentis Claude derrière moi remplacer Mohamed dans mon vagin, il poussait des cris en tapant lui aussi, et c’est à ce moment que j’ai fait intérieurement la comparaison entre mes deux baiseurs. Claude me remplissait moins bien mais cognait plus sur mes lèvres ou mon clito qu’au fond du vagin, alors que Mohamed buttait toujours sur mon col, la comparaison ne plaidait en faveur de mon mari mais je l’aimais n’est pas cela l’essentiel ? Mon mari presque aussitôt éjacula, je ne ressentis rien mais je me trémoussai pour lui faire comprendre que j’avais eu aussi du plaisir. Il resta dans mon sexe un moment, le foutre coulait entre mes cuisses, quel mélange : du sperme africain, du sperme français et toutes mes sécrétions intimes. Je suçais toujours le gland de Mohamed j’essayais de le rentrer plus profondément dans ma gorge mais j’avais le haut le cœur, je ressentis dans sa tige des frémissements.


Je me suis levée dans seul coup.



Je suis partie prendre une douche bien méritée pendant que les hommes montaient au 1er étage où Claude en avait fait une deuxième salle de bains à côté des chambres de nos futurs enfants. Mon entrejambe me faisait un peu mal et l’eau de la douche me faisait du bien. À ma sortie seulement enveloppée d’une courte serviette qui m’arrivait au bas des fesses je croise Mohamed habillé en militaire prêt pour la revue. Il avait au bout du bras sa mallette érotique, visiblement il m’attendait.



Il me prit par la main et me hissa sur le bout de la table de la cuisine, il défit la serviette de bain et m’écarta les cuisses, je le laissais faire. Qu’allait-il encore inventer ? Il pris de la pommade dans un de ses flacons et me badigeonna le sexe sans oublier le clitoris qui était encore très sensible.



Puis dans sa mallette il retira un objet oblong en forme d’œuf avec une ficelle qui partait de la grande base. Il le mit au bord du vagin et le fit rentrer entièrement en moi comme on fait pour un suppositoire. J’étais assez surprise, l’objet remonta à fond et se colla au plus profond de moi.



Je fis comme il me dit et tout de suite mes entrailles se sont mises à tressaillir, cela cognait sur les parois du vagin c’était une situation très agréable.



Je pris la serviette sous le bras et en sautant j’ai rejoins ma chambre où Claude finissait de s’habiller. Je ne lui dis rien sur la présence d’un objet étranger dans mon corps, il crut que ma joie présente était due à mon réveil en fanfare. Il quitta la chambre me dit à tout à l’heure pour le repas et m’embrassa sans s’apercevoir du bout de ficelle qui dépassait de moi. Seule dans la chambre je m’assois sur le bord du lit et je regarde cette ficelle, je la prends et tire dessus, l’œuf descend et arrivé presque dehors je la lâche ce qui eu pour effet de propulser l’objet en avant du fait de sa forme et de cogner violemment sur le col de l’utérus.



Je me suis habillée, mis de jolis dessous et une petite robe d’été à boutonnage devant, me suis installée dans le rocking-chair du salon et après quelques oscillations ce fut génial. Depuis quelques jours ou quelques semaines je ne comprends plus ce qui se passe, je suis prise d’une fringale sexuelle, hésitant à demander à Claude tout le temps de me satisfaire, je me suis remis à la masturbation, pratique que j’avais presque entièrement arrêté depuis mon mariage. Aussi les ustensiles de notre visiteur me conviennent parfaitement, et comme j’ai rendez-vous avec mon gynécologue la semaine prochaine je lui poserais la question.



Le repas se passe dans notre salle des fêtes et se déroule sous forme de buffet où les personnes se servent et vont s’asseoir autour de grandes tables posées sur des tréteaux. Je vis Claude parler avec le maire et des militaires, vieux souvenirs du service peut-être. Je sentis une main inquisitrice sur mes fesses, dans la cohue cela ne se voyait pas, je me retourne et je vois bien sur notre soldat tout souriant accompagné par un autre soldat tout aussi noir que lui mais nettement moins grand mais plus trapu.



Après l’apéritif tout le monde a été s’asseoir et je me suis retrouvée coincée contre le mur de la salle entre les deux copains, Claude et d’autres personnes en face de nous. Au cours du repas Mohamed tout en parlant avec d’autres personnes en face ou à côté, passa sa main gauche en dessous de la table posa ma main directement sur mon pubis et délicatement déboutonna ma robe a cet endroit et commença avec ses doigts agiles de lents travaux d’approche sur mon clitoris et mon sexe. Je n’osais pas réagir car en plus cela ne se voyait absolument pas. Je parlais avec Claude, le maire ou des officiers pendant ce temps là, à certains moments ma voix n’était plus aussi limpide mais on pouvait le mettre sur le compte de l’alcool. Puis j’ai senti sur ma gauche une autre main qui se rejoignait avec l’autre qui se promenait sur mon slip tout trempé, instinctivement j’ai resserré les cuisses, Mohamed inséra sa main et me força à les rouvrir, je regardais Selim qui innocemment tout en parlant à mon mari me caressa aussi et en passant ses doigts sous l’élastique de ma culotte grattait à l’entrée de sexe mouillé. J’ai eu un réflexe instinctif, buvant un verre de vin rouge je l’ai laissé tomber et le pauvre Selim même en faisant un bond en arrière en reçu une bonne partie sur son pantalon et sa chemise.



Je me suis levée en prenant soin de rattacher ma robe et j’ai conduit à l’écart, avec une serviette et de l’eau j’ai épongé ou plutôt essayé de réparer ma bévue. Mais plus je frottais plus cela s’étalait, en désespoir de cause puisque j’étais responsable et même si Selim le méritait un peu je ne pouvais pas le laisser dans un état pareil. Le repas était presque terminé et les doublettes se formaient pour jouer à la pétanque, Claude avait déjà les boules en main.



Je pars vers la voiture accompagnée de Selim et à ce moment la Mohamed nous rejoint



Arrivés à la maison je fais déshabiller Selim. Il se retrouva torse nu et seulement vêtu d’un slip genre kangourou, je ne pus m’empêcher d’admirer ses pectoraux et cette boule qui gonflait son slip. Les deux copains tournaient autour de moi, me caressaient les fesses, frôlaient mes seins.



La petite lessive faite, je mis ses affaires dans mon sèche-linge, dans une heure se sera sec.


Remontée dans le salon je ne les vis pas, entendant des bruits du 1er étage je leur demande s’ils n’ont besoin de rien, à boire ou autre service.



Arrivée sur le pas de la porte, je me suis arrêtée ébahie, dans cette pièce des combles mon mari n’avait pas encore fini de la faire et pour la visite de notre invité il l’avait arrangée, nettoyée et installé un grand matelas pour faire office de lit d’appoint, et sur ce matelas les deux garçons nus comme des vers étaient allongés sur le dos leur sexe à la main. Je ne répondis pas, mes yeux éberlués allaient d’un corps à l’autre, d’un sexe à l’autre, d’un visage à l’autre aussi souriants et ravis de me faire une bonne blague.


Devant mon absence de réaction, extérieure mais pas intérieure car je mouillais beaucoup, ils se sont levés, ils ont enlevé ma ceinture déboutonnée ma robe dégrafée mon soutien-gorge et baissé ma petite culotte. Je me suis laissée faire, je n’avais aucune réaction, j’étais dans un autre monde. Me prenant par la main, ils m’ont couchée sur le lit entre les deux lascars. Ils me caressaient partout, prenant chacun un sein dans la bouche ils me suçaient divinement. Selim partit à la recherche de mon corps avec ses lèvres, elles descendaient doucement sur mon nombril et en passant mit la pointe de sa langue à l’intérieur. Descendant toujours plus il embrassa mon ventre puis toujours plus bas arriva sur mon pubis rasé, je desserre les cuisses je sens sa chevelure bouclée à l’intérieur de mes cuisses. Il se met maintenant à genoux entre mes jambes, m’attire, m’installe sur lui et en mettant ses mains sous les fesses me positionne à sa hauteur son visage sur mon sexe d’où la ficelle dépasse toujours il l’a prend dans ses dents et s’amuse à tirer et à la lâcher, j’entends encore son rire mais si j’étais honteuse j’avais un plaisir énorme. Il la tira doucement et l’œuf ressorti doucement en faisant un bruit d’une bouteille que l’on débouche. Flop !



Mohamed la bouche sur un sein la main sur l’autre ou sur mon ventre ou mon clito, faisait aussi son travail de sape. Selim ayant libéré mon vagin de cet objet merveilleux aspira avec sa bouche mes lèvres et du bout de sa langue titilla mon clitoris ou essaya d’aller le plus profondément de mon corps, j’ai eu des sensations très fortes et un orgasme fulgurant me traversa. Un torrent dévalait de mon sexe.



Il me reposa et je vis son membre énorme, je le pris dans la main je ne faisais même pas le tour, avec mes doigts, elle est très grosse pas très longue mais une circonférence inouïe. Jamais elle ne va rentrer ! Je pris son gland le positionna à l’entrée de ma grotte et d’une seule poussée son membre a été aspiré, humide comme j’étais cela n’a pas posé trop de problèmes, j’ai eu une sensation divine de remplissage toutes les parois intimes sont en contact avec son sexe, il va m’éclater, il me laboura en ahanant, je sentais beaucoup son gland promeneur dans mes entrailles. À grands coups de rein il pistonnait fort à chaque poussée son bas ventre claquait sur mon pubis, ses poils aussi bouclés que sa chevelure et drus chatouillaient mon clito et me procuraient des sensations agréables je sentais le plaisir arriver encore. Tiens me voilà devenue clitoridienne maintenant ? Les mouvements de Selim se ralentissaient, son gland se mit à grossir et son membre à plusieurs reprises gicla dans mon vagin, je fus pris de tremblements et l’orgasme ou plutôt plusieurs orgasmes m’ont traversé. Il ne retira pas son sexe était aussi gros. Tiens les noirs ne débandent pas après l’amour ? J’étais aux anges jamais plaisir ne fut plus intense, toujours ma fringale sexuelle ?


Il s’en alla quand même et Mohamed repris le relais. Sans préambule mais y en avait-il besoin ? Il me retourna me mit en position de chien de fusil (position que j’affectionne d’habitude avec mon mari car on gagne 3 centimètres par derrière, il paraît) et il me transperça, quelle différence entre les deux hommes je pouvais faire la comparaison, Mohamed très long et Selim très gros, qu’est ce que je préfère ? Tous ont leur charme, depuis ce matin j’ai pu tester trois mâles et aucun n’est pareil ! C’est beau la diversité humaine. Il me pistonna et buttait toujours au fond de ma grotte, c’est divin. Il se retira, pourquoi ? J’allais le comprendre. Il pris le sperme de Selim et de ma mouille qui sortait de mon vagin avec sa main et me badigeonna mon sexe qui n’en avait pas besoin trempé comme il l’était et remonta dans le sillon fessier et s’arrêtant son mon petit œillet rose, j’étais vierge de ce côté, son index tournoya autour le mouilla et s’engouffra dans mon cul. Claude ne me l’avait jamais fait, pas parce qu’il ne voulait pas il avait déjà essayé mais j’avais toujours refusé, mon éducation chrétienne peut-être ?


Son doigt tournait dans mon cul, je me suis cabré, mais Selim de l’autre côté me tenait plaquée contre son ventre et ses bras autour de mon corps bloquaient mes bras, il inséra sa jambe entre mes cuisses pour les maintenir écartées, j’étais prisonnière de ces deux noirs. Mohamed faisait la navette entre mon sexe et mon cul pour le mouiller encore et à chaque arrêt il forçait mon anus. Ainsi maintenue, je ne pouvais rien faire, même mes cris ne leur faisaient pas arrêter leurs manœuvres. Je ne sentis plus son doigt, mais je sentis l’arrivée de son membre contre mon cul, il s’arrêta se positionna à l’entrée.



Mes muscles anaux se sont relâchés, puisque je ne pouvais rien faire autant l’accepter. Son membre aidé par la mouille intense commença à pénétrer mon cul, il s’avança petit à petit, je remerciais intérieurement Mohamed pour sa gentillesse. L’introduction de son engin fut un peu pénible au début mais beaucoup moins que je ne l’appréhendais, une fois le gland passé il poussa plus fortement et m’investit complètement, il s’arrêta.



Ses doigts se sont mis sur ma vulve et caressaient mon sexe et le creux des cuisses. Selim de son côté s’est écarté de moi, me pelotait les seins et m’embrassait en remuant sa langue autour de ma langue. Mohamed se remis à bouger et à me pistonner le cul, je ressentais son membre très loin, il va me défoncer, tout le bien que cela me faisait ! En m’immobilisant les bras autour de mon corps il s’allongea sur le dos et me ramena sur lui toujours emmanchée, le dos contre son ventre et les cuisses bien écartées. Je faisais face maintenant à Selim qui se positionna entre mes jambes, les prit par derrière et les souleva légèrement et Mohamed l’aidait tout en soulevant mes fesses pour me défoncer encore. Selim se mit sur moi et son sexe qui bandait à mort me perfora, je n’avais jamais vu cela, une double pénétration je ne le croyais pas possible. J’ai eu une sensation fabuleuse j’étais remplie de partout toutes ces bites qui me ramonaient c’était prodigieux, je voulais en aucun cas que cela s’arrête. Envahie par tous les orifices le monde s’arrêta, je n’étais plus qu’un corps abandonné à son plus bas instinct animal, le ballet amoureux se mis en place, Mohamed qui limait de bas en haut et de haut en bas, Selim d’avant en arrière et d’arrière en avant, et moi au milieu de tout cela dans une danse effrénée dans tous les sens.


Combien de temps çà a duré, je ne le sais pas mais je ne ressentais qu’orgasmes sur orgasmes et quand les deux hommes ont déchargé ensemble, belle synchronisation ! Je me suis presque évanouie et endormie. Le monde s’était arrêté et je suis réveillée à cause de chatouillis sur mes seins. J’ouvris les yeux et je vis mes deux fabuleux baiseurs, un pinceau à la main dessiner des ronds sur le bout des seins avec du produit pris dans des petits flacons de sa mallette érotique. J’ai eu un sursaut ! Mon gynéco la semaine prochaine !



Ils continuaient à peindre des fleurs ou des motifs sur mes seins et le bout fut peint en rouge. Ils descendirent vers mon sexe le nettoya avec mon slip posé par terre et se mirent à le décorer aussi, les lèvres et le clito en rouge vif et avec d’autres couleurs dessinaient sur mon pubis rasé.



Je me redresse et regarde les chefs-d’œuvre, c’était joli mais j’espère que cela va partir car les gros sexes dessinés de chaque côté des lèvres vont faire bizarre chez mon gynéco. Ils m’avaient signé un gros sexe noir énorme d’un côté et de l’autre Mohamed avait dessiné un sexe en forme de serpent, ils peaufinaient en mettant du rose sur le bout. Puis nous nous sommes levés, le départ approchant et après une douche bien réparatrice et bien sur après le repassage des vêtements de Selim en route !


Je m’étais habillée avec toujours ma petite robe mais ils n’ont pas voulu que je mette de slip (j’étais bien contente car cela me brûlait) ni de soutien-gorge, et ils ont insisté pour que je remette l’œuf mais j’ai refusé.



Mohamed me l’a laissé en souvenir dit-il et aussi un pot de crème pour apaiser mes parties sensibles. Nous sommes arrivés en même temps que la plupart des autres familles d’accueil comme cela mon absence n’aura pas j’espère été trop aperçue. Claude m’attendait, il ne dit rien sinon pour remarquer que Selim avait maintenant des affaires plus propres que tout à l’heure. Au moment du départ au pied du car militaire mes deux amants m’embrassant sur les joues me dirent merci pour mon hospitalité c’était quand même la moindre des choses et l’un après l’autre en me saluant passa la main entre deux boutons de ma robe à hauteur du pubis mais pris dans la foule cela ne se voyait pas et ils caressaient mon minou et me murmuraient à l’oreille



Mohamed me mit dans la main un morceau de papier.



Rentrés à la maison je me suis couchée immédiatement, mais avant j’ai mis le papier de Mohamed dans mon sac, on ne sait jamais. Claude n’a jamais su l’après-midi torride que j’ai passé même s’il s’en doute un peu, il ne me l’a pas demandé et lui aurais-je dis je ne sais pas. Mais depuis ce week-end mémorable où j’ai connu la fellation, la sodomie, la pénétration double et l’adultère Mohamed et Selim participe dans ma (ou nos) tête(s) à nos ébats amoureux et c’est Claude qui en profite, et depuis je n’ai jamais depuis trompé mon mari.


Mais comme mes baiseurs me l’ont dit " baiser avec une femme blanche ce n’est pas un péché " j’ai juste changé femme blanche par homme noir.


Une semaine après je me suis rendue chez mon gynécologue, un homme pas mal d’une quarantaine d’années, très anxieuse car les dessins sur les seins n’étaient pas partis, malgré les promesses de mes deux lascars. Heureusement que ma toison a repoussé un peu elle cache les dessins obscènes. Que vais-je lui dire ? Toute nue sur sa table il a bien sur remarqué les dessins.



L’examen terminé, je me rhabillai en vitesse.



J’étais folle de joie, j’ai rangé mes ustensiles sexuels et sept mois après tu es venu ma chère fille, tu l’as échappé belle car si c’était un garçon nous avons hésité comme prénom entre Mohamed et Selim.


Francoise.p@caramail.fr environs de Nevers juin 1974





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Erotisme torride

Tendre Amour

Bon Scénario

Belle Ecriture

Plein d'Humour

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n° 00810Françoise, mariée 2 enfants15/08/00
Jacqueline 1
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26331 caractères      
Auteur : Françoise1      Série : L'amour noir - 03


Jacqueline … Suite de Mohamed et Selim


Récit de Françoise


Un an s’est passé depuis la visite de nos deux soldats, la vie a repris son train-train quotidien avec l’arrivée d’une petite Claire dans notre foyer. Notre amour est toujours aussi fort et depuis mes exploits passés je suis restée très sage.


Etant cadre informatique dans une grande administration je me devais d’assister à une semaine (trois jours) de formation et d’information sur un grand projet qui devait se dérouler dans la banlieue parisienne, je n’étais guère enchantée de ce déplacement mais en tant que responsable de service je devais faire un effort, mes parents n’habitant pas très loin se feront une joie d’accueillir Claire pour cette période. Le bureau du personnel me donna mes billets de train, mon bon de réservation pour l’hôtel 4 étoiles et ma convocation au stage. Arrivée à la maison le soir je mis Claude au courant de mes projets professionnels futurs.



Je préparais mes affaires dans ma valise, des vêtements d’été car il faisait encore très chaud l’arrière saison était agréable, le départ est pour demain. Je relus ma convocation.



Tous ces noms en Y me disaient quelque chose, où avais-je lu ses villes ? Nous n’avions pas de famille en région parisienne cela ne pouvait pas être ça, des amis non plus, je demandai à Claude, lui non plus cela ne lui disait rien du tout encore moins qu’à moi. Au fur et à mesure que je remplissais ma valise je réfléchissais mais rien ne venait. Ce fut que lorsque je pris mes sous-vêtements et surtout en voyant l’œuf (que j’avais planqué dans mes petites culottes là où Claude ne fouillait jamais) de mes amis africains que cela fit tilt !



Je pris l’œuf dans la main (œuf qui n’avait d’œuf que le nom car c’était un objet en bois réalisé par un artisan, évidé à l’intérieur et où l’on avait placé des petites billes de bois, et à chaque geste brutal ces billes venaient taper sur la mince paroi de l’œuf pour le faire résonner et si l’on le place bien au fond du vagin c’est divin). Je l’emmène ou pas ? Il peut mettre utile pendant cette semaine seule dans mon lit, et je le déposai dans la valise. Pour en avoir le cœur net je recherche le bout de papier que Mohamed m’avait déposé dans la main au moment du départ, il était bien aussi planqué dans mon portefeuille, les femmes même mariées ont bien le droit d’avoir leur jardin secret. Je le retrouve et lus :



Le voilà mon Vitry ! (Tous les noms de rue ou de villes sont fausses Jacqueline exerçant peut-être toujours son activité). Ça y est je me retrouve encore tout excitée je me retrouve un an en arrière.


LUNDI


Habitant à plus de 300 kilomètres de Paris, pour mon rendre stage je dus partir la veille. Claude m’emmène au train qui part vers midi et le voyage ne doit durer qu’à peine 3 heures et demi si tout bien, après les effusions sur le quai de gare je prends place dans un wagon de première classe qui m’avait été réservé par mon bureau, eh oui les cadres voyagent en 1ère, je m’installe, je tire sur ma jupe un peu courte mais avec ce temps splendide de début septembre c’est agréable. Il n’y a pas grand monde mais à l’arrêt suivant un charmant monsieur qui avait pourtant tout le wagon pour s’asseoir s’installe en face de moi et en s’approchant me sourit. Je m’endors bercée par le ronron du train, et tout de suite arrivent des rêves érotiques dans lesquels j’occupe la place centrale. Je me réveille en sursaut car un grand type très laid avec un sexe énorme voulait m’enculer. J’ai dû avoir un sommeil agité car à mon réveil ma jupe avait beaucoup remontée et mon voisin d’en face n’en perd pas une miette lorgnant sur ma petite culotte rose. Gênée, je me lève prends mon sac à main et me dirige vers les toilettes.


Ma culotte effectivement commence à être mouillée, j’essaye des réparer les dégâts en séchant comme je peu avec le sèche-mains et quand je la remets, elle est toute chaude, c’est super. Mais avant, apercevant l’œuf au fond de mon sac, je me pose la question le mettre ou pas ? Après quelques hésitations de pures formes je le prends et me l’introduis dans le sexe. Je fais deux ou trois sauts pour le tester ça marche toujours aussi bien. Revenu dans le wagon je me réinstalle à ma place et, en m’asseyant, je croise et décroise mes jambes exprès pour faire voir à mon voisin d’en face le fond de mon slip, le pauvre il devient de plus en plus rouge, j’ai décidé de l’allumer.


Arrivée à la gare de Lyon celui-ci essaye de me suivre mais pris par ses bagages je réussis à le semer. Je ris, je courre presque dans les couloirs du métro, quelle salope je suis devenue. Je pus voir que courir avec l’objet dans mon sexe, c’est vraiment jouissif, je sens les chocs répétés sur les parois de l’œuf et ça résonne dans tout le corps. Une heure de métro dans la cohue c’est beaucoup quand on part travailler mais pour moi cela m’a paru très court, car à chaque bousculade cela me fait frissonner et même à la station Bastille lors changement de lignes dans l’escalator coincée dans la file j’ai senti une main sur les fesses.


Je n’eus aucun mal à trouver l’hôtel. Après l’installation dans ma chambre et une bonne douche, me rhabille, range mon œuf dans sa boite. Il n’est que 17 heures qu’allais-je faire jusqu’à l’heure du repas ? Je prends le papier avec l’adresse de Jacqueline, descends à la réception et montre mon papier au concierge.



Sortie de l’hôtel, je me dirige comme le concierge me l’avait indiqué. En marchant, je me suis encore demandée ce que j’allais faire là-bas, qu’est-ce que je pourrais bien lui dire à cette Jacqueline etc… Depuis que je sais que je participe à ce stage et que j’ai fait la relation avec la cousine à Mohamed, une partie de mon corps dit "Bon ! tu as bien profité de tes deux amants mais maintenant mère famille ça suffit calme-toi" et l’autre "Allez profites-en tu n’as que 26 ans vit ta vie à fond, tu aimes ton mari, tu ne vas pas le quitter, tu ne veux qu’assouvir tes fantasmes sexuels ce n’est pas pareil, vas-y".


Effectivement le concierge connaissait bien le coin car je n’ai aucun mal à trouver la rue et je me suis retrouvée devant le 25 qui avec le 27 ne faisait qu’un seul pavillon, ils peuvent loger au moins une vingtaine là dedans me dis-je en l’apercevant, charmant pavillon de banlieue avec un petit jardin devant. En marchant je l’ai dépassé, suis revenue en arrière puis l’ai re-dépassé, toujours ces contradictions en moi et c’est alors le destin peut-être qui s’est manifesté en la présence d’une petite fille qui me voyant regarder la maison me dit :



Elle me prend la main, cogne à la porte, "Maman, maman !" La porte s’ouvre sur une jeune et jolie femme 35, 40 ans pas plus, habillée en un charmant boubou bariolé.



Elle me prend la main et m’entraîne à l’intérieur de la maison. C’est assez sombre des tentures partout au mur et par terre, me tenant toujours par la main elle du sentir mon appréhension car j’avais des picotements dans les doigts. Elle me sourit.



Nous traversons le vestibule, la petite fille partit de l’autre côté, elle ouvre une porte et je suis retrouvée au milieu d’une dizaine de femmes dans une pièce circulaire où les femmes assises sur des poufs entourent une jeune femme assise sur un grand pouf central rouge vif. Nous nous sommes installés à l’écart, les femmes discutaient beaucoup entre elles.



Après moult palabres, les femmes ont préparé dans une grande bassine une décoction de plantes et pendant qu’une tournait la préparation les autres se sont approchées de la jeune veuve, l’ont levée et déshabillée, du moins la partie basse du corps. Puis l’ont couchée sur le grand pouf rouge, attaché les mains et les pieds et fixé par des ficelles par terre, de sorte que la jeune femme se trouva écartelée sur le pouf. Le supplice de la croix pensais-je. Si les mains étaient réunies ses pieds étaient très écartés son sexe proéminent se trouva à la vue de tous.



Les femmes maintenant lui présentent une fiole et la font boire.



Puis elles passent chacune leur tour devant la suppliciée, prennent un peu d’eau dans la bassine et l’asperge le ventre et essayent de lui en mettre dans le sexe. Une bonne dizaine étant passée, la plus vieille, la mère du marié peut être ?, prend sur une table un grand godemiché d’un diamètre normal mais d’une longueur énorme.



Elle lui introduit dans le sexe, la jeune femme pousse un cri mais la mère continue son avancée, arrivée au fond de la grotte elle remonte le godemiché une autre femme place un entonnoir et toutes font une procession en mettant un peu d’eau à chaque fois, puis en remuant le god dans tous les sens elle prononce des mots que je n’ai pas compris. Elle retire l’objet, l’eau coule du sexe et inonde le tapis. À ce moment un homme est arrivé tout nu le membre bien en érection.



Il l’induit dans sa femme en prononçant lui aussi des propos incompréhensibles, je suis ébahie, voir ce gros sexe aller et venir me procure ses sensations incroyables. Je ne vais pas avoir un orgasme quand même ! Il s’immobilise, crachant son sperme et se retire. Son sexe est toujours aussi gros des gouttes perlent au bout du gland puis débande doucement, quelle vision ! Tiens ça y est je mouille. Les femmes détachent la jeune veuve mais lui montent les jambes très hautes pour ne pas que le sperme ne tombe, deux femmes à chaque jambe la maintiennent et la mère du marié prenant un autre petit god pilonne son sexe pour repousser le sperme de son garçon dans le fond du vagin de sa bru. Déjà 8 heures ! Je pris congé de Jacqueline.



C’était plus une fuite qu’un départ, sur tout le parcours de retour à mon hôtel cette scène revient toujours à mon esprit, je voyais et revoyais ce gros sexe rentrer et sortir de ce con béant. Mon repas vite expédié, je remonte dans ma chambre, j’appelle Claude au téléphone lui dis que j’avais fait une ballade à pied en arrivant cet après-midi (menteuse) et que maintenant fourbue (c’est vrai) je me couche et ne vais pas tarder à m’endormir, tout dépend du programme télé. Puis, après un autre appel à ma mère pour avoir des nouvelles de ma fille, je me déshabille, prends ma petite culotte à la main, dans quel état elle est ! Je passe ma nuisette, pas celle que j’affectionne en dentelles très courte au ras des fesses mais une plus sage arrivant au-dessus des genoux, me regardant dans la glace je me dis qu’elle est quand même un peu transparente.


Je me couche dans ce grand lit, seule avec un petit cafard, je repense à Claire et à mon mari. À la télé un film passe, pas terrible, ma vision est ailleurs. Mais en ne voulant pas penser à mes êtres chers, je revois les scènes cochonnes de cet après-midi c’était un cercle vicieux, alors j’ai préféré revoir le baiseur et la jeune veuve dans ma tête, ma main doucement descend sur mon pubis et commence à me caresser le minou, je suis bien, penser au cul enlève tous les soucis (belle maxime).


MARDI


La journée se passe très bien, les orateurs sont agréables à entendre et leurs explications limpides, je ne pense plus qu’au boulot sauf quand dans la conversation on parla de bits informatiques je retrouvais les bites bien noires au bout rose. La fin du stage est à 16 heures pour faciliter ceux qui habitent dans la région parisienne (la majorité) de partir avant les bouchons des autoroutes.


Je décide de retourner voir Jacqueline, cela me démange dans la tête mais dans tout le corps aussi. C’est elle qui m’accueille en m’embrassant comme une vieille copine. Elle est toute seule dans la maison, elle m’offre le thé et la conversation débute. Après les banalités d’usage elle me parle de son cousin Mohamed dont elle semblait connaître ses appétits sexuels.



Elle me prend par la main et me conduit dans une autre pièce où règne une certaine pénombre. Sur le mur est accroché toutes sortes de godemichés, des longs, des courts, des gros, des petits, des tordus, des avec des bourses ou des sans, quel éventail ! Je ne sais pas quel choix je ferais. Puis plus loin des œufs de tous calibres, pour grand ou petit vagin pensais-je, je m’arrête devant de petites boîtes cylindriques de 10 à 20cm de long et peut-être cinq centimètres de diamètre en deux parties qui s’emboîtent un peu comme les kinder surprise.



D’autres objets jalonnent les étagères, je reconnais des bagues de poils de bête à mettre sur le membre humain ou sur un godemiché, des chapelets de billes en bois et puis sur une étagère en haut des quantités impressionnantes de pots, fioles contenant des crèmes ou pommades de toutes les couleurs.



Nous revenons dans son salon, buvons encore du thé et je prends congé d’elle en la remerciant de son hospitalité.



Je n’ose pas lui réclamer les cadeaux qu’elle m’avait promis mais je ne suis pas encore partie, je rentre à l’hôtel, expédie mon repas et arrivée dans ma chambre je commence par téléphoner. Mes parents m’ont donné des nouvelles de Claire, tout va bien, mais mon chéri Claude ne réponds pas, il doit être en réunion. Je me déshabille, mets ma chemise de nuit et, après avoir allumé la télé, je me couche. Le film n’est pas terrible, je ne vais pas tarder à m’endormir. À ce moment des coups légers retentissent à la porte, c’est dans la télé ou pas ? Je prête l’oreille, rien je me recouche puis encore des coups.



Je me lève, entrebâille la porte et je vois un gamin avec un sac à la main, je suis assez étonnée.



J’hésite à cause de ma tenue mais enfin ce n’est qu’un gosse.



Nous nous sommes assis dans les fauteuils placés autour du lit. Je vois bien qu’il lorgne sur mon slip et mon soutien-gorge que j’avais posé par terre vers le lit, délicatement je les range dans la salle de bain. Puis je ne suis pas rendu compte tout de suite que j’étais positionnée à côté du lampadaire et qu’il me voyait toute nue en transparence. Il me regarde avec des yeux de plus en rond et hagard, je comprends et me déplace un peu. À son âge il n’est tout de même pas obsédé par les femmes, mais quel âge as-tu ?



Il sort une espèce de mètre en ruban et s’approche de moi. Je bondis et me recule.



Il s’avance, veut me toucher, je ne sais pas quoi faire mais après tout jouer l’institutrice pourquoi pas !



Il se met contre le mur les bras dans le dos comme pour un jeu. Je défais les boutons du haut de ma chemise de nuit que je descends jusqu’à la taille, je suis dépoitraillée les seins fermes même après ma maternité, je peux encore en être fière.



Il roule des yeux et s’approche de moi et met son nez à une vingtaine de centimètres du bout des seins.



Après avoir fait le tour de mes seins, je vois bien que cela le démange de les toucher.



Je fais tomber la chemise de nuit. Il se baisse, se met à genoux et regarde mon sexe, quelle leçon d’anatomie.



Il m’excite de plus en plus de me parler de mon amant noir. Puisqu’il veut voir, je vais aller jusqu’au bout des ses désirs, je suis déjà partie trop loin pour faire machine arrière. Je m’assoie sur le bord du lit, les pieds touchant par terre et je me suis allongée sur le dos. J’écarte les jambes, le jeune se met à genoux et met les mains sur mes cuisses, je me redresse un peu je ne veux pas lui interdire des gestes que je comprends un peu.



Devant mon silence il écarte un peu plus mes suisses et je sens son doigt sur mon clito, il tourne autour puis s’enhardissant face à mon absence de réaction il le prit entre ses doigts et le décapuchonna. Il doit s’avancer car je sens ses boucles crépues chatouiller le haut de mes cuisses, et quelques temps plus tard je ressens des frissonnements dans mon corps. Il titille mon clitoris avec le bout de sa langue et les mains sous mes jambes il me fait poser les pieds sur le lit ce qui me fait écarter les cuisses au maximum. Eh bien ! Le gamin il sait y faire avec les femmes ! Il fait pénétrer sa langue dans le vagin maintenant et ses deux mains se positionnent sur mes seins et pincent le mamelon. Je suis très bien, je ferme les yeux, il découvre mon corps je sens son souffle sur mon sexe et ses doigts sont partout. Combien de temps cela a duré, je ne sais pas je suis dans un demi-sommeil.


Dring ! Le téléphone sonne. Que faire ? Décrocher ? Peut-être un problème chez moi. Je prends le combiné.



C’est Claude mon mari.



Il ne reste plus qu’à m’exécuter, je me relève sur un coude, je vois le môme en face moi il est entre mes jambes, défait sa ceinture et baisse son pantalon, il bande le cochon, son sexe raide est bien à l’horizontal, il n’est pas très gros mais déjà assez long, un petit serpent pensais-je. Je parle à Claude et il me raconte sa journée et moi j’essaye de parler le moins possible car j’ais peur qu’il entende les bruits de la chambre.



Le jeune se déshabille entièrement, je regarde effarée, pas mal pour son âge et en silence il me retourne, me met sur le ventre et en me tournant comme une toupie il me positionne les genoux touchant le sol les fesses proéminentes et le ventre sur le lit. Heureusement il y a pas mal de fil au bout du téléphone. Il pose ses mains sur mes hanches et se met lui aussi à genoux derrière moi. Claude parle toujours, oui, oui lui répondis-je mais surtout je pense que fait mon baiseur ? Je le sais immédiatement car je sens son sexe à l’entrée de ma grotte et hop ! D’un seul coup il est entré, prends possession de moi.



Et comme je sens mon amant me labourer de plus en plus je décide d’abréger la conversation.



Je sens le jeune s’activer, il a des dons le gamin, et moi en train de prendre mon pied, je raccroche et je suis restée dans la position attendant le coup de grâce qui ne fut pas long à venir car accompagné par un bruit de bête il crache dans mon sexe à longues giclées. Je passe mes mains dans son dos pour le maintenir.



Il bouge encore, il bande toujours et je sens un orgasme me traverser. Je reste un peu sur le ventre, mon amant me caresse le dos, les fesses, toujours son pieu en moi, j’apprécie. Après un certain moment de plénitude nous nous levons je l’enlace, et l’embrasse sur les lèvres il doit aimer car il se montre très gourmand sa langue s’immisçant souvent dans ma bouche, il apprend vite. Puis je le pousse en riant sur le lit et m’assois dessus mon sexe dégoulinant au niveau du sien. Je titille le bout des seins lui caresse le torse.



Il se met les bras en croix et les jambes bien écartées, il est heureux, il jubile. Je me mets entre ses cuisses l’embrasse le ventre puis je descends en lui donnant des baisers partout. J’arrive vers son sexe, Didier ne bouge pas, je prends ses boules dans la main, je les câline, je les soupèse et je me glisse vers son membre flasque. Il est pas mal monté encore quelques années cela sera parfait, j’embrasse maintenant son gland puis je l’aspire dans ma bouche. Il a un goût légèrement amer, mais je commence à apprécier, je sens le gland grossir de plus en plus, quel appétit ! Que faire, aller jusqu’au bout ? Mais je ne l’ai jamais fait avant, même avec mon mari, ça va m’étouffer ? Eh bien je décide de continuer advienne que pourra ! Ma bouche coulisse sur son sexe qui sous mes efforts s’étire, grossit car en plus avec la main je pelote ses couilles. Didier avance son bassin au-devant de ma bouche, je n’ose pas aller trop loin de peur de m’étouffer, je sens bien qu’il ne va pas tarder à éjaculer et bien sûr les premières giclées arrivent dans ma gorge, je m’écarte et reçois le restant de sa semence sur la figure et dans les cheveux. Je remets le membre dans ma bouche et avec ma langue je lui nettoie le bout du gland. Et nous restons un long moment comme ça.



Il se lève, je n’ai pas le courage d’aller me laver je reste couchée dans son sperme, il s’en va.



Fin de la première partie


Francoise.p@caramail.fr





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