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n° 11584Maldoror27/07/07
L'étudiante
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11426 caractères      
Auteur : Maldoror

Il était 13 h 10 lorsque j’empruntai l’ascenseur de la faculté de P*** qui me conduirait à ma salle de travaux dirigés. Vêtu d’un costume sombre et d’une chemise blanche, le col déboutonné et ma sacoche sous le bras, je m’apprêtais à donner mon premier cours de la rentrée pour la quatrième année consécutive. J’avais désormais l’expérience de ces rendez-vous délicats et savais parfaitement comment les gérer, sans prétention aucune. Mes étudiants étaient en première année et il me serait facile de les impressionner, d’autant que la consultation de leur emploi du temps m’avait assuré qu’il s’agissait de leur premier TD. Une matière importante qui plus est - la méthodologie - sans laquelle il est impossible de composer un commentaire juridique digne de ce nom.


L’élévateur poursuivait lentement son ascension jusqu’au cinquième lorsque les portes s’ouvrirent au deuxième étage pour laisser apparaître une étudiante terriblement sexy. On était fin septembre et la chaleur ambiante offrait encore quelques décolletés généreux ou d’étonnantes minijupes où l’on devinait parfois du bureau le sanctuaire des sanctuaires. Les plus coquines s’en amusaient souvent, car j’avais remarqué que régulièrement, les filles qui s’installaient au premier rang appartenaient à deux catégories : la première était celle des plus sérieuses, résolues à donner le meilleur d’elles-mêmes dans leur participation ; la seconde, en revanche, voyait éclore les meilleures allumeuses, pas toujours les plus mignonnes, il est vrai, mais tout de même très excitantes. Je me souvenais par exemple d’une jolie Élodie qui, peut-être par insouciance, m’avait offert une vue plongeante sur l’étoffe blanche qui masquait sa toison sous sa jupe durant toute une séance. Une heure et demie à tenter de masquer une érection qui ne cessait d’altérer ma mémoire en pleine argumentation. Un vrai calvaire !


Pour l’heure, j’espérais que cette petite étudiante serait tout aussi peu farouche. Juchée sur des bottes de cuir verni, la jeune fille arborait une robe mi-cuisses rouge et lacée dans le dos, d’où s’échappait une paire de jambes au galbe magnifique, de vraies échasses. Ses seins lourds et fermes pointaient sous le tissu de sa robe de coton que je devinais légère comme l’air. Ce que la jeune fille me confirma très vite lorsque, pénétrant à l’intérieur de la cabine de l’ascenseur en roulant des hanches, son petit sac à dos sur l’épaule, elle fit virevolter le bas de sa robe pour dévoiler l’une des jarretières de ses bas fumés.


Je sentais déjà l’érection pointer dans mon boxer quand, se positionnant à mes côtés dans une vague de Shalimar, elle me gratifia d’un sourire énigmatique avant d’appuyer sur le bouton numéro cinq à son tour. Son visage, scindé par des lunettes rectangulaires à monture noire, affichait une innocence qui contrastait avec sa tenue équivoque. De larges yeux azur en amandes où papillonnaient des fils d’or, des lèvres fines et roses, divinement surlignées, et un léger maquillage qui affinait davantage ses traits harmonieux. Le carré de miel de ses cheveux parfaitement lissés était maintenu par deux barrettes en fer blanc fixées au-dessus de sa tempe gauche. Une fraîche odeur de shampoing glissait sur mon corps pour exciter mes papilles, déjà assaillies par le parfum sucré qui émanait de son cou cerclé par une bandelette de tissu noir.


L’ascenseur reprenait sa lente progression quand ma main gauche effleura - malencontreusement ? - un pan de sa robe. Il m’était désormais difficile de dissimuler la bosse de mon pantalon qui trahissait mon émotion. Elle la remarqua sans doute car, visiblement intimidée, elle se tenait campée sur ses hauts talons, parfaitement droite, une cambrure de violoniste, le regard en berne noyé dans l’inconnu. Elle était là, à ma merci, et me faisait un effet qu’aucune autre femme dans ma vie n’avait su me procurer.


Alors je ne sais pas ce qui me prit, mais de peur de ne plus jamais pouvoir réfréner ce terrible désir qui ne cessait de lancer ma queue, ma main échappa à mon contrôle pour délicatement se poser sur sa cuisse brûlante. La fine pellicule de nylon était d’une telle douceur que je laissai mes doigts divaguer sur sa peau pour glisser sur son cul haut et ferme. Mon index longeait maintenant la fine bandelette de son string, passant parfois sous l’élastique pour se perdre sur sa peau moite et humide, avant de forcer la raie de ses fesses.


Cette soudaine pulsion qui s’était emparée de moi s’avérait une prise de risque conséquente, car une seule plainte de l’étudiante suffirait à ruiner ma prochaine carrière universitaire. D’autant que j’étais, de par ma thèse paraît-il, l’un des éléments en devenir… Mais le désir l’avait largement emporté sur la raison et la crainte. Et la réaction de la belle inconnue me conforta dans mon envie d’aller plus loin encore.


Elle eut en effet ce geste à la fois simple et efficace qui acheva de consumer ma libido.


Nous étions quelque part entre le quatrième et le cinquième étage quand elle intima d’une pression du doigt à l’ascenseur de s’arrêter. Je continuais en attendant à peloter ses fesses, les pulsations de mon cœur battant jusque dans mes tempes. Sa main effleura ensuite mon entrejambe pour finalement épouser l’empreinte que dessinait mon pantalon. La surprise de la vigueur de mon membre lui fit écarquiller les yeux et, tandis qu’elle hésitait sur la conduite à tenir, je fis glisser une bretelle de sa robe sur son épaule nue. Son sac tomba à terre, à quelques centimètres de ma sacoche. Comme je le pensai, elle ne portait aucun soutien-gorge, son sein avait surgi à la vitesse de l’éclair, pointant son joli museau rose en ma direction. Je le pris immédiatement en bouche et entrepris de le mordiller quelques instants pendant que ma paume investissait la rondeur de son sein. J’entendis l’étudiante gémir à ma première morsure, puis, comme elle n’avait toujours pas deviné ce que j’attendais d’elle, j’appliquai sur son épaule et sa hanche une légère pression verticale qui la contraignit à s’agenouiller.


Elle me dévisagea de ses grands yeux clairs avant d’ôter ses lunettes et de déboutonner mon pantalon afin de découvrir ma puissante érection. Je bandais comme je n’avais jamais bandé. Ma queue était si imposante que je me demandais comment cette petite salope allait s’y prendre pour l’avaler. Du reste, elle sembla deviner mon inquiétude, car je la sentis tressaillir à la vue de mon membre gorgé de sang, réprimant une grimace qui me laissa sans voix. Mais comme je la toisai du regard, impatient, elle me saisit entre ses doigts et commença à me branler en jouant avec sa langue sur l’extrémité de mon gland. Je posai alors mes mains sur son crâne, effleurant ses barrettes au passage, et m’engouffrai doucement dans sa bouche jusqu’à la garde.

Elle comprit alors qu’il était temps de passer aux choses sérieuses et commença à me pomper avidement dans un bruit de succion très excitant. Donnant quelques coups de reins pour mener la cadence, je ne savais plus qui guidait cet ébat. Était-ce elle la maîtresse de cette cérémonie, ou bien moi qui avais l’impression de me branler dans cette bouche onctueuse et humide ? Elle continua de me pomper de la sorte pendant un long moment, échappant des gloussements lorsque ma queue cognait sur son palais pour mieux s’enfoncer dans sa gorge, déversant à cette occasion d’épais coulis de bave lorsque je me retirais pour la laisser respirer. À chaque coup de queue dans sa bouche, ses grands yeux clairs n’avaient de cesse de me détailler et son khôl avait coulé le long de ses joues.


La petite salope n’en pouvait plus. Moi non plus. Et avant même que j’aie le temps de me retirer, je lâchai un premier jet dans sa gorge en râlant comme une bête, tapissant son palais de foutre chaud et visqueux. Je la sentis gémir sous moi, les paumes en appui sur mes cuisses pour se dégager, tandis que j’échappai un nouveau jet saccadé dans sa bouche et sur son visage. Le troisième inonda son arcade sourcilière pour dévaler le long de sa joue droite en une avalanche de sperme. L’étudiante tentait d’échapper à mon emprise en remuant la tête, recrachant une partie du foutre, à mon grand désarroi. Mais je n’en avais pas encore terminé. Ma queue dans la main, et maintenant fermement cette salope par la nuque, j’éjaculai une immense et dernière giclée en plein milieu de son visage et, cette fois, je la vis capituler, les yeux fermés. Je la relâchai et elle tomba à la renverse en toussant, le foutre dévalant sur son menton luisant de salive. Sa robe retroussée révélait ses bas et un string de dentelle noire à travers lequel on distinguait sa toison de miel. Le spectacle était des plus magnifiques, poussant mon corps à la démence. Secoué par une nouvelle convulsion, j’explosai encore au-dessus de sa robe, éclaboussant sa lingerie et poussant le vice à viser avec ma queue entre ses seins.


Couverte de sperme, l’étudiante reprit son souffle et rajusta la bretelle de sa robe tandis que je reboutonnai mon pantalon. Puis je sortis un paquet de kleenex que je lui tendis, gêné. Son regard était chargé d’émotion, sans que j’en devine la teneur. Elle s’en saisit et dégagea un mouchoir en papier pour s’essuyer le visage.



Elle me toisa à son tour du regard en nichant le kleenex entre ses seins pour ramasser la coulée de foutre qui glissait sur sa peau.



Je la caressai alors du revers de la main en souriant, sourire qu’elle finit par me rendre. Avant de me laisser sans voix.



Elle remit la monture de ses lunettes sur son nez, actionna ensuite l’ascenseur qui vibra sur ses gonds avant de reprendre sa course et acheva de se nettoyer à l’aide du miroir de la cabine.



Nous éclatâmes de rire à ce jeu de mot impromptu et les portes coulissèrent en cliquetant pour nous jeter dans les couloirs de la faculté. Sans se retourner, elle se rua aux toilettes juste en face alors que je me perdais dans le labyrinthe des corridors du cinquième, mon caleçon trempé de foutre.


Je finis enfin par dénicher la salle de classe et entrai à l’intérieur. Il était 13 h 24 à ma montre et la quarantaine d’étudiants et son cortège de Codes Civils m’attendaient, installés depuis quelques minutes déjà. Il régnait un silence quasi religieux dans la pièce. Je fermai la porte, filai sans un mot au bureau et dégrafai ma sacoche pour commencer l’appel. Les noms défilaient sans que je puisse retenir un seul visage. Je procédai de manière mécanique, ne pouvant m’empêcher de songer à ce que je venais de vivre.


Lorsque…


La porte de la salle s’ouvrit tout à coup pour révéler un retardataire. C’était elle, le regard clair et les cheveux lisses. Sur sa peau étincelaient par endroits les filets de sperme qu’elle n’avait pu essuyer totalement. Elle fila au premier rang pour s’installer à un mètre environ. Puis, me défiant du regard, elle eut ces mots qui stupéfièrent l’ensemble de la classe :






Copyright © 2007
Demandez l'accord des Auteurs avant toute diffusion


Erotisme torride

Tendre Amour

Bon Scénario

Belle Ecriture

Plein d'Humour

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n° 11596Raspoutine, ou Nicolas pour les intimes31/07/07
Cocu passé : Mathis
critères:  fh extracon cocus grossexe fépilée hotel travail fsoumise hdomine exhib noculotte fellation cunnilingu anulingus fgode pénétratio fdanus yeuxbandés
70440 caractères      
Auteur : Raspoutine1968      Série : Cocu passé et présent - 02

Résumé


J’ai sélectionné pour ma femme deux amants via Internet. Le premier, Jean, l’a rencontrée deux fois et lui a fait découvrir l’ambiance d’un club échangiste. Mais Jean doit s’absenter pour un long déplacement professionnel à l’étranger.






C’est pendant la période ougandaise de Jean que Mathis se rappela à notre bon souvenir. Un soir, sans que ni ma femme ni moi ne nous y attendions, il l’appela sur son téléphone portable. Ma femme était un peu gênée, je le sentais, je suis donc allé dans la pièce à côté. Je l’écoutais quand même, en bon cocu que j’étais. Elle avait sa voix sexuelle, celle qui fait, à mon avis, qu’un mec a nécessairement envie de la rencontrer et qu’il ne peut qu’imaginer des torrents de délices avec mon épouse. Elle raccrocha en disant simplement « c’est d’accord ».



(Quel culot…)



Je crois que je n’avais pas grand-chose à rétorquer, et je suis donc allé me coucher en boudant. Ma femme a su, cependant, m’enlever toute velléité de bouderie quand elle s’est glissée sous les draps et m’a attrapé la queue avec sa jolie bouche…


Le lendemain, vers 20 heures, rebelote : ma femme quitte l’appartement, me laissant seul face à mes fantasmes. J’étais curieux en l’attendant de voir le visage qu’elle ferait à son retour. Allait-elle céder, une nouvelle fois, dès le premier rendez-vous ?


Sa mine défaite, à quatre heures du matin, était une réponse claire à cette question silencieuse. Pas de douche, à poil et dodo, les cheveux en bataille. J’étais un peu curieux quand même. Elle s’était couchée en chien de fusil et s’était endormie immédiatement. J’attendis une heure et soulevai le drap en douceur. Son joli petit cul était tourné vers moi et je m’en approchai le plus discrètement possible. À l’odeur, impossible de se tromper : le cul de ma femme sentait le sperme à plein nez. Mais ce n’est pas ce qui me stupéfia le plus. Sa chatte béait littéralement. Elle béait ! Comme si quelqu’un lui avait enfoncé un machin énorme dedans, je vous assure. Il y avait quelques sécrétions sur les bords de ses grandes lèvres, manifestement de la semence de mec. Je remis le drap en place et tentai tant bien que mal de m’endormir. Ce qui finit par arriver.


Je ne croisai pas ma femme à l’heure du petit déjeuner et attendis patiemment (tu parles !) l’e-mail qui viendrait me confirmer ce que j’avais déjà senti entre ses jambes.


Il ne tarda pas à arriver cette fois-ci ; il arriva en effet à 10 h 30. Le voici dans son intégralité.


~~~~~~~~


« Mon chéri,


Décidément je dois être une femme qu’on baise dans un bureau. Ça n’a pas pris autant de temps avec Mathis qu’avec Jean.


D’abord, Mathis est un homme d’une beauté exceptionnelle : grand, plein de classe, un sourire ravageur, très bien habillé. Pas du tout le style de Jean. Ensuite Mathis est loin d’être quelqu’un de timide. Dès que l’on s’est reconnus, il a déposé un chaste baiser sur mes lèvres. C’était inutile, j’étais déjà conquise.


Il m’a emmenée dans un grand restaurant et nous avons parlé de milliards de sujets ; il n’a jamais été inconvenant au restaurant, restant toujours à sa place, ce que j’ai beaucoup apprécié. Il m’a souvent pris les mains dans les siennes, usant et abusant de ce regard qui tue. Je lui ai raconté toute l’histoire de ma sexualité, depuis mon dépucelage très jeune jusqu’à mon expérience avec Jean, en passant par mes années de soumission, années pendant lesquelles, comme tu le sais, je suis allée jusqu’à me faire offrir à deux mecs en même temps par mon maître. Je lui ai parlé de tes envies par rapport à moi, de ce que tu voulais. Il a très bien compris tout ça, je crois. Mais bref, ces considérations doivent te faire chier, tu préfères, je pense, m’entendre dire cul, queue ou chatte. Pour ça, remarque, tu ne vas pas être déçu, mon cocu chéri !


En fait, on s’est très bien compris et nous avons également compris une chose très simple : il avait envie de moi et j’avais envie de lui. Ce qui devait arriver arriva : il m’a emmenée en taxi dans son bureau à La Défense, au quarantième étage d’une grande tour sordide. Le vigile, en bas, lui a fait un clin d’œil quand il nous a vus arriver ensemble. Un habitué des soirées sexe au bureau ? Ça m’a fait un peu sourire, surtout quand je mettais ça en parallèle avec ce qui était arrivé avec Jean.


Dès que nous sommes entrés dans son bureau, et alors que l’un comme l’autre nous avions su nous tenir jusque-là, nous nous sommes jetés dans les bras l’un de l’autre, comme deux adolescents en manque. Nous nous sommes embrassés comme des damnés, mordant, léchant, titillant… Il passait ses mains sur tout mon corps…


(Ah oui, petite parenthèse, tu ne sais pas comment j’étais habillée en fait, parce que je me suis changée en douce pendant que tu prenais ta petite douche de cocu du soir. Pour les dessous, j’avais un joli string violet avec des petits diamants – des faux, hein ! – sur la ficelle de derrière, et un soutien-gorge pigeonnant assorti. Au-dessus de tout ça, j’ai mis cette petite robe que tu aimes tant, qui dessine si bien mes fesses et ma poitrine, tu sais, dans les tons violets aussi, très évasée en bas ? J’ai mis aussi des dim-up résille, ceux que tu m’as offerts juste pour ton plaisir. Il faut bien que les cadeaux servent à quelque chose, non ?).


Où en étais-je ? Ah oui : nous nous embrassions comme deux fous et nous caressions mutuellement le corps.


Mathis a soulevé ma jupette et a émis un sifflement d’admiration. Décidément, mes jambes et mon cul ont la cote en ce moment ! Il s’est agenouillé devant moi et m’a complètement ôté la robe. Je pense que j’étais très sexy comme ça : mes bas résille, mon string, mon soutien-gorge cachant difficilement le bout de mes seins, mes longues bottes noires, et un beau mec à mes pieds…


C’est en tout cas ce que devait ressentir Mathis, parce que dès cet instant il s’est véritablement déchaîné sur moi. Il m’a soulevée du sol (quels muscles ! j’en étais sûre) et m’a posée en douceur sur son grand bureau. Eh oui, mon chéri, je dois être la salope qu’on a envie de baiser sur un bureau, je dois provoquer ce genre de fantasmes. Il s’est à nouveau agenouillé entre mes jambes, déjà bien écartées (il n’avait pas eu besoin de me le demander, je l’ai fait instinctivement) et a commencé à me caresser les poils de la chatte, sans même m’ôter mon string, avec sa large et belle main manucurée. Il l’a frottée quelques instants puis m’a dit :



J’appuyai ces propos d’un clin d’œil qui en disait long.



Sur ces mots, il entra directement un doigt à l’intérieur de ma petite chatte trempée. Je dois te dire, mon chéri, que ce doigt est entré comme dans du beurre. Ça doit te faire mal de lire ça, non, toi qui mets un temps infini à me faire mouiller ?


Il a fait aller et venir son doigt dans mon intimité, pendant que son pouce coquin tentait de s’introduire dans mon si délicat petit cul. Eh bien cette fois-ci (moi qui n’aime pas trop ça d’habitude), mon anus s’est ouvert à son doigt expert, qui a pu entrer jusqu’à la moitié.


C’était trop bon de sentir un doigt m’envahir la chatte et un autre me prendre le cul. Ça me donnait des envies de double pénétration. C’en était une d’ailleurs… Il me prenait par les deux côtés, la main comme une pince de plaisir. Je me sentais couler sur ses doigts, je n’avais jamais mouillé comme ça, même avec Jean. C’était probablement dû au fait que, physiquement, Mathis me plaisait vraiment. J’agitais mon bassin à la rencontre de ses doigts, m’empalant moi-même dessus, je me tortillais sur le bureau, d’un côté et de l’autre, d’avant en arrière, relevant mes reins et ma taille le plus haut possible. Comment te décrire cette sensation merveilleuse, mon petit chéri ? C’est comme si j’étais en train de chuter et que Mathis me retenait, au bord du précipice, par ces deux orifices sexuels. Bon, je ne sais pas si l’image est bien claire ; quoi qu’il en soit, Mathis me faisait du bien et il le savait. Sans même ôter son doigt de mon vagin ouvert, il posa le bout de sa langue sur mes grandes lèvres, manifestement à la recherche de mon clito d’amour.


Il ne fut pas long à le trouver (pas comme toi, si tu vois ce que je veux dire !) tellement il avait grossi de désir. Il le décapuchonna et commença à lui donner des petits coups de langue bien vicieux. Tu sais comme je suis sensible à cet endroit-là. Après à peine deux minutes de ce délicieux traitement, je poussais un véritable hurlement de plaisir, inondant la langue de Mathis de mon jus de plaisir. Sa bouche était trempée… elle aussi ! Il avait l’air satisfait de m’avoir fait jouir aussi rapidement. Tu m’étonnes !


Mais ça ne me suffisait pas, c’était trop bien parti pour que je m’arrête là. Et puis je n’avais pas fait jouir mon maître de plaisir.


Il me demanda alors de me déshabiller complètement, à l’exception des bottes qu’il souhaita me voir garder. Il me regarda me déshabiller lentement, un sourire ravi sur les lèvres (ooooh mmmmmh ces lèvres…). Il faut dire que je lui sortis le grand jeu. Pour enlever chaque bas, je me penchais bien, le cul tourné vers lui, le sexe encore dégoulinant. Je sentais mon petit trou du cul s’ouvrir à nouveau, réclamant son dû. Je lui demandai cependant de m’enlever lui-même mon soutien-gorge, ce qu’il fit de bonne grâce, agrémentant cette « gentillesse » de plusieurs petites tapes sur mes jolies fesses – qui ne demandaient que ça, les coquines !


Et voilà comment, mon cher cocu, je me suis retrouvée toute nue – ou presque – au milieu de ce bureau magnifique, en face d’un homme qui me provoquait des envies comme je n’en avais jamais eues. Mais il était encore habillé, et je ne trouvais pas ça équitable. Je lui en ai fait part et il m’a répondu :



(Quel génie ce Mathis, mon chéri ; il a tout de suite déduit de mes expériences passées cette volonté de m’auto-diminuer, de me réduire, de me soumettre, d’obéir à l’homme qui saura me donner du plaisir.)



Je n’attendis pas qu’il me le dise deux fois et me précipitai vers lui, lui enlevai veste, chemise, pantalon, chaussures, chaussettes. Il était très musclé, très bien foutu. Il ne restait plus que son boxer noir, un peu brillant, mais là je dus marquer le pas tellement j’étais stupéfaite. J’ai eu l’occasion une seule fois de voir un film pornographique (avec toi, oui oui, mon chéri) et je pensais franchement que les sexes des mecs qui tournaient dedans – les « hardeurs », je sais – étaient exceptionnels ou n’existaient que dans ce genre de films. Je m’étais lourdement trompée, car ce que j’avais devant les yeux me prouvait le contraire. Sa queue était tellement grosse qu’elle dépassait de cinq bons centimètres de son boxer…


Tu imagines bien, mon petit chéri, que je n’ai pas résisté longtemps. Je me suis laissée tomber d’un coup sur mes deux genoux, ai immédiatement tiré sur l’élastique et ai fait jaillir ce qui était, je le maintiens, le plus gros sexe que j’aie jamais vu de ma vie (et j’en ai vu quand même un certain nombre). Sa queue était énorme. Large, très large, épaisse. Le gland était lui aussi d’une taille étonnante, gonflé et rose. Mais c’est surtout sa longueur qui m’impressionnait : elle devait mesurer au bas mot entre 25 et 30 centimètres. Je ne sais pas si c’est très long, mais c’est l’ensemble de sa queue qui était stupéfiant. Je compris mieux, à cet instant-là, la petite remarque qu’il avait faite tout à l’heure sur ma bouche… Mathis avait l’air très content du petit effet que sa queue avait eu sur moi.


Je t’avoue, mon chéri, que je n’ai pas pu résister. Je l’ai prise avec précaution dans ma main droite, la soupesant comme une professionnelle des marchés du samedi soupesant un kilo de patates. Elle n’était pas encore très dure (forcément, une taille pareille !) et j’ai commencé à l’agiter de haut en bas. Mmmmmh, quel plaisir c’était de toucher une queue pareille ! Quelle chanceuse j’étais ! Et puis, avec Mathis ce n’est pas comme avec toi, quand je prends sa queue dans ma main, il en reste une bonne partie qui dépasse, ce qui permet tout un tas de possibilités… C’est comme ça que, tout en branlant son sexe à la base, je pris la partie qui dépassait dans ma (si petite) bouche. J’avalai son énorme gland, le coinçant contre une de mes joues. C’est là que sa queue se mit à durcir de manière… impressionnante, je l’ai déjà dit ça, non ? Elle devenait dure, elle devenait plus grosse encore, et lui commençait à vouloir en mettre plus dans ma bouche. Il me le fit comprendre en donnant des petits coups de reins vers l’avant. Je faisais du mieux que je pouvais, mais franchement, il était impossible d’en avaler trop.


Je lui caressais les bourses, qu’elles étaient douces ! Décidément, ce mec avait tout pour me plaire : de la classe, de la culture, de beaux yeux, et… une énooooooooooooooorme queue !


Sans lui demander la permission – oooh la vilaine soumise ! – je lui enlevai complètement son boxer afin qu’il soit entièrement nu. Je me relevai (un peu à regret) et me tins devant lui, nue moi aussi. Il m’a serrée très fort contre lui et j’ai compris que sa musculature n’était pas uniquement faite pour être jolie. Nous nous sommes embrassés voluptueusement, longuement, nos langues s’emmêlant à l’envi ; je sentais mes seins s’écraser contre mon torse. C’était très fort et en même temps très doux. Il me glissait à l’oreille que j’étais sa déesse, qu’il avait envie de moi. Je lui disais des mots semblables et je sentais ma petite chatte frémir d’envie, réclamant sa grosse queue. Il me glissa à nouveau un doigt, puis deux, dans le sexe. C’était trop bon. J’avais des frissons sur tout le corps.


Il s’allongea ensuite sur le sol de son bureau et me demanda de me placer en position de 69. Je me plaçai tant bien que mal au-dessus de lui, dans la position demandée, et m’allongeai donc contre son corps musclé. J’écartai bien mes cuisses au-dessus de son visage et il plongea son nez entre mes fesses.



Le nez entre mes fesses, il fit jaillir sa langue sur les lèvres de ma chatoune. Mmmmmmh ouh là là ! Quel lécheur ! Il avait tous les talents, ce Mathis. Il me serrait les cuisses.


Je ne perdis pas de temps, de mon côté. Pendant qu’il me léchait divinement, j’essayais d’absorber le maximum de sa queue dans ma bouche, mais c’était difficile. Difficile d’abord parce que ce qu’il me faisait me plongeait dans le bonheur, mais difficile surtout du fait de la taille de l’engin ! De temps en temps, je mordillais son gland, et j’en ressentais immédiatement les conséquences, puisque les mouvements de sa langue, à chaque morsure, s’accéléraient de façon alarmante. Je pense que son nez devait suinter de ma mouille, parce que je mouillais tellement que je sentais mon jus lui couler dessus.


Après dix minutes un quart d’heure de ce traitement réciproque, je l’avoue, j’ai eu envie de cette belle queue dans un autre endroit que dans ma bouche, qui devenait d’ailleurs un peu pâteuse et douloureuse. Je voulais qu’il me baise. J’en avais un peu assez des préliminaires. En plus, là, elle était dure comme du bois, son gland me semblait prêt à exploser. Je fis quand même un peu attention, car c’était lui qui donnait les ordres, donc je lui dis, avec mon plus charmant et coquin sourire :



Il ne releva même pas cet affront porté à son autorité. Je pense, sans me vanter, qu’il en avait autant envie que moi, alors…


C’est ce petit moment d’attente qui est le meilleur, mon chéri, même si avec toi, mon amour, il ne dure pas vraiment longtemps tant tu es pressé de me « la mettre ». Mais Mathis, en parfait amant, ne se pressa pas. Il me fit me relever, en face de lui (même avec mes bottes à hauts talons j’étais plus petite que lui d’au moins une tête) et me souleva de terre. Je plaçai mes jambes autour de ses hanches, comme par réflexe (réflexe animal de pur sexe) et il me fit descendre peu à peu sur sa magnifique queue. Je t’avoue avoir quand même eu un peu peur de la taille de son engin, mais j’avais entendu ou lu quelque part que le sexe de la femme s’adapte nécessairement à ce qui est… introduit dans son vagin. Et puis, je lui faisais confiance…


(Je sais ce que tu vas me dire, tu vas me reprocher de faire confiance, une nouvelle fois, à un mec que je ne connaissais pas quelques heures auparavant, etc. etc. Eh bien, ce mec-là, je lui faisais confiance, voilà tout. Et en plus j’avais tellement envie de goûter pour la première fois de ma vie au plaisir d’une énorme queue qu’il pouvait bien tout exiger de moi. Comme je te l’ai dit, j’étais sa chienne, sa pute, sa salope, tous les noms d’oiseau dont tu voudras bien m’affubler.)


Le contact de son gland sur mes grandes lèvres m’électrisa littéralement. Probablement par anticipation de ce qui allait suivre. Je sentis mes lèvres s’écarter, sensation incroyable, au rythme de la descente qu’il m’imposait. Puis je sentis sa queue entrer peu à peu dans ma chatte glissante de plaisir. Ouh là là, l’engin mon Dieeeeeu… Mon chéri, je n’ai jamais ressenti une chose pareille, je t’assure. C’était si fort, si fort… Je sentais son membre s’enfoncer en moi, lentement mais sûrement. À un moment, je le sentis buter au fond de ma chatte… quelle queue, non mais quelle queue !


Une fois bien calée sur son membre, je tentai de me soulever en prenant appui sur ses bras ; la sensation de sa queue qui s’échappe de mon ventre, mmmmmhhhh… Je ne pouvais plus supporter le vide que cela créait, aussi je me renfonçais bien vite sur sa tige dure et dressée. Puis je grimpais, puis redescendais, puis re-grimpais… Je m’empalais littéralement, le mot n’est pas trop fort, sauf que là c’était un empalement pour le plaisir. Sa queue coulissait sans aucun problème dans mon intimité, rejetant mes craintes passées. Puis Mathis, de son côté, commença à donner des coups de reins pour mieux me prendre.


Chemin faisant, je me suis retrouvée coincée contre un mur, sa queue bien plantée en moi, et c’est là qu’il s’est vraiment déchaîné sur ma petite chatte. Profitant de la stabilité apportée par le mur qui m’empêchait de tomber en arrière, il m’a véritablement pilonnée, allant et venant en moi de plus en plus vite, de plus en plus fort. Je me sentais fragile dans ses bras, contre son torse. De temps en temps, il m’embrassait à bouche que veux-tu, tournant sa langue dans ma bouche comme un ange de l’enfer. Je peux le dire : j’étais en train de me faire baiser.


C’est à cet instant que je me suis dit que tu étais vraiment cocu, et que ça n’allait pas s’arrêter là.


J’ai joui dans ses bras. Quand je dis que j’ai joui, c’est en dessous de la vérité : j’ai eu un véritable orgasme. Le plus grand orgasme de toute ma vie. C’était comme si mon corps explosait, comme si ma chatte était un volcan qui se réveille. Je la sentais se contracter autour de son membre dur. Ma tête explosait, j’avais des frissons partout.


Ça doit t’être difficile, n’est-ce pas, d’entendre tout ça, non ? Mais bon, ce n’est pas de ma faute si tu ne m’as jamais fait jouir comme Mathis. Et quand je pense que je t’ai toujours dit que la taille ne comptait pas ! Une bonne grosse queue, voilà ce que chaque femme devrait essayer avant de dire ça…

Bref, j’avais joui comme jamais, mais pas Mathis, pas mon petit Mathis-à-la-belle-queue-d’amour.


Après que j’aie joui pendant de longues minutes, il me souleva et retira sa queue encore énorme de mon intimité brûlante. Quelle horrible sensation que cette queue qui s’en va ! J’ai entendu un gros bruit de succion quand il s’est définitivement retiré de moi. Quel vide…


Je ne suis pas restée vide bien longtemps, car Mathis comptait bien jouir de moi, lui aussi. Après ce qu’il m’avait fait, il pouvait tout me demander. S’il m’avait demandé de t’appeler, là, tout de suite, et de te dire que tout était fini entre nous, qu’il allait me baiser encore et encore, je l’aurais fait sans la moindre hésitation. L’orgasme est un pouvoir. J’aurais bien aimé, d’ailleurs, qu’il t’appelle pour que tu puisses entendre mes cris pendant l’orgasme… après tout, tu ne m’as jamais VRAIMENT entendu jouir, hein mon petit chéri cocu ?


Mais bon, il ne pensait même pas à toi, tu penses, et il m’a simplement plaquée contre son bureau, les seins écrasés dessus. Grâce à mes bottes, j’étais juste à la bonne hauteur pour lui. Je sentais que ma chatte était ouverte comme elle ne l’avait jamais été. Je la sentais encore palpiter de la jouissance précédente. Mais j’en voulais encore, j’en voulais plus. Et ça tombait bien, parce que c’était pareil pour mon Mathis.


Il m’a prise sans le moindre signe avant-coureur, et j’ai hoqueté quand il a introduit sa grosse queue d’un coup, d’un seul, jusqu’au fond de mon intimité. Hop ! comme ça, sans préambule, il me l’a enfoncée le plus profondément possible. Et c’était bon, je sentais chaque nervure de sa queue contre les parois internes de ma chatte. Et je le sentais sur mon clitoris. Quelles sensations dans cette position, mi-debout, mi-levrette ! Il est resté quelques instants planté en moi, sans bouger, me caressant et me griffant le dos, me disant que j’étais belle, que je serai sa muse sexuelle, que mon cul était divin, que ma chatte était accueillante, que je répondais tellement bien à ses attentes et à ses dimensions… J’ai probablement dû rougir à ce moment-là, d’autant que la présence de sa pine dans ma chatte ne faisait que rajouter à mon trouble. Il me caressa aussi les cheveux puis, sans me demander la permission (avait-il à me la demander ?), il introduisit un doigt dans mon cul, encore inviolé (ce soir !).


En fait ce n’est pas tout à fait exact. J’avais déjà été un peu initiée de ce côté-là, comme tu le sais, par le Maître de ma jeunesse. Il m’avait ordonné de m’enfoncer tous les soirs un gode de taille modeste dans l’anus, ce qui avait fini par me permettre de subir l’assaut d’un ou deux doigts sans trop souffrir. Mais il est vrai que ce n’était pas ma tasse de thé : j’étais bien plus vaginale (ou clitoridienne) qu’anale. Ne t’inquiète pas, mon chéri, si un jour je le deviens et si tu es sage, très, très sage, je t’en ferai profiter toi aussi.


J’avais donc mon Mathis derrière moi, sa grosse queue dans ma chatte et son long doigt dans mon cul. Et c’était boooooooon ! S’il ne bougeait plus son bassin, restant planté en moi, il faisait en revanche coulisser son doigt à l’intérieur de mon anus. Il me prodiguait la même double pénétration que m’avait prodiguée mon petit Jean peu de temps auparavant – double pénétration sans en être une.


Encouragé par mes gémissements, Mathis se risqua à enfoncer un deuxième doigt… qui entra sans problème. J’avais la sensation d’être embrochée comme un poulet. Il retira ses doigts, les frotta sur ma chatte pour en recueillir le jus et me les réintroduisit presque immédiatement. C’est très étrange, comme sensation, d’avoir le petit trou occupé, je t’assure. Surtout quand de l’autre côté de la paroi un gros machin te bloque toute possibilité de mouvement.


À ce moment, Mathis retira sa queue et ses doigts de mon corps. Je protestai, pour la forme. Il me répondit de ne pas m’inquiéter (m’inquiéter ? pourquoi devrais-je m’inquiéter ?). Il se baissa un peu et commença à me lécher le petit trou, entrant sa langue à l’intérieur de temps à autre. Encore cette sensation étrange… Presque une sensation de viol… L’anus humide et désiré… Mais soudain Mathis se releva, sa queue bien dressée, bien tendue, et posa le bout de son gland sur mon anus froncé. J’eus un sursaut involontaire, qui eut pour effet de repousser sa queue, et lui dis :



Il reposa alors son gland sur mon (si petit) anus et commença à pousser. Tout doucement… tout tendrement. Je sentis mon trou de balle s’écarter sous la poussée. Je l’ai vraiment senti s’ouvrir, comme ma chatte tout à l’heure. Puis je sentis le gland entrer, entrer, entrer… Ça y était : tout son gland était dans mon cul ! Mmmmmmmh…. C’était un peu douloureux, quand même… J’avais l’impression que mes seins allaient s’écraser sur le bureau tellement je m’y appuyais. Je sentais la sueur couler le long de ma colonne vertébrale. Mathis me demanda si ça allait, je répondis par un léger houmpf et il décida donc de continuer sa pénétration anale. Il poussait, poussait, poussait, et mon anus s’ouvrait, s’ouvrait, s’ouvrait… Je sentais sa queue me distendre, m’écarteler le petit trou. J’avais de plus en plus mal.



Mathis, en parfait amant qu’il était, se retira, même si ce fut à regret, je pense, et il me dit :



Mais Mathis n’en avait pas fini ; il n’avait pas joui, le pauvre petit chéri, et la seule chose dont j’avais envie à cet instant-là, c’était de le faire éjaculer, cracher, gicler, juter…


Il me souleva et me reposa par terre, sur le sol, à genoux et les mains posées devant. À quatre pattes, quoi ! Je me sentais belle et désirable, je me sentais aguichante, je savais qu’il avait envie de me baiser, et c’était très agréable de se dire tout ça. Il s’est lui aussi agenouillé, derrière moi, et m’a donné quelques claques sur les fesses, sur la chatte par en dessous. J’en avais des frissons sur tout le corps, je sentais mon clito au bord de l’explosion. Puis il a posé son sexe sur mes grandes lèvres et a poussé très fort. Mais c’est pas vrai, cette queue qu’il avait ! C’est comme s’il me remplissait le corps en entier. Il m’a attrapée solidement par les hanches et a commencé à aller et venir en moi. Je gémissais comme une dingue, au risque que d’autres personnes nous entendent. Il m’agrippait les fesses, il me griffait le dos, il empaumait mes seins aux bouts durcis et me baisait, et me baisait…


Mais combien de temps pouvait-il se retenir d’éjaculer, ce beau salaud ? Depuis combien de minutes, depuis combien d’heures se régalait-il de moi avec sa queue magique ? Han ! Han ! Il accélérait, décélérait, accélérait à nouveau. Il imprimait à tout mon être un rythme endiablé. Oui, c’est ça, c’était le diable en personne. J’étais au bord de l’évanouissement.


Et c’est là qu’il survint, cet orgasme simultané, ce déchaînement de violence. Je n’ai jamais ressenti une chose pareille. Il a juste eu le temps de me prévenir qu’il allait jouir que j’ai senti une rivière de sperme s’écouler en moi, c’était un fleuve, une explosion liquide. Le premier orgasme que j’avais eu avec Mathis n’était rien comparé à ce que je ressentais là. Je comprends désormais pourquoi on appelle cet instant la petite mort. C’est effectivement l’impression que j’ai eue : de mourir. Sans me vanter, je pense que c’était la même chose pour Mathis. Il a poussé un véritable hurlement en répandant sa semence en moi, puis s’est allongé par terre, un sourire béat aux lèvres, la queue encore grosse malgré l’éjaculation. Elle reposait sur le côté, la vilaine grosse bêbête… (NON, NON, NON, je n’en avais plus envie…. ).


Je me suis allongée à côté de lui et nous nous sommes caressés tendrement ; nous nous sommes aussi embrassés langoureusement, amoureusement. Rhoooo, c’est juste un mot, je t’entends râler d’ici, mon petit chou que je ne remercierai jamais assez de m’avoir fait rencontrer ces deux hommes ayant si bien su me donner du plaisir – pardon, me faire jouir - j’avais oublié que tu voulais des mots crus…


Je ne sais pas d’ailleurs si ça te fera plaisir, mais Mathis m’a proposé quelque chose. Tu n’auras qu’à appeler ça un scénario si ça te permet de t’exciter ! Tu ne le sais pas, mais il a une grande maison en Normandie, pas loin de là où nous adorons aller en vacances. Alors il a eu l’idée de m’inviter un week-end entier, c’est-à-dire du samedi midi au dimanche soir (enfin, soir… disons à la nuit du dimanche au lundi). Je n’ai pas dit oui, car j’attendais de savoir ce que tu en pensais. Bon, enfin, je n’ai pas dit oui mais je lui ai quand même répondu que je pensais que tu ne ferais pas de difficultés. C’est à toi de voir, mais j’avoue que l’idée de me donner à lui pendant deux jours m’émoustille et m’excite au plus haut point.


Tiens, je vais en profiter pour te faire part de plusieurs scénarios qu’il a imaginés et dont il m’a fait part pendant que nous étions allongés l’un à côté de l’autre.


Premier scénario : j’entre seule dans un bar, dans une tenue très, très provocante, et je m’assieds sur un tabouret haut devant le comptoir. Je suis chargée alors d’allumer un peu les mecs présents dans ce bar. Lui arrive ensuite et m’aborde comme s’il ne me connaissait pas, me séduit et, au vu et au su de tous les gens présents, me glisse quelques mots à l’oreille. Je me rends immédiatement dans les toilettes, lui me suivant quelques instants plus tard. Voilà, c’est assez basique mais j’avoue que l’idée que tout le monde sache que nous baisons dans les toilettes m’excite énormément (et Mathis aussi, dont la queue s’était bien redressée pendant cette discussion). Peut-être même que certains mecs pourraient venir nous écouter ou, mieux, nous observer…


Deuxième scénario : il est encore plus basique, mais Mathis l’a imaginé pour te faire plaisir. Nous nous retrouvons dans une chambre d’hôtel. Là, deux solutions : soit il s’arrange pour que tu puisses occuper la chambre d’à côté, d’où tu pourras tout entendre de ce qui s’y passe (et fais-moi confiance pour t’en faire entendre), soit il t’appelle au téléphone et laisse le combiné débranché pendant que nous faisons l’amour. Il peut aussi enregistrer nos ébats sur cassette audio (il n’a pas trop envie d’être filmé en fait). Pas mal pour toi, ça, tu ne trouves pas ? À part pour la vidéo, mon pauvre petit chéri, mais Jean, lui, voudra bien, ça compensera !


Troisième scénario : il est lié au week-end que Mathis m’a proposé de passer avec lui en Normandie, je ne t’en parlerai donc en détail que si tu acceptes déjà le principe.


Il m’a fait part de plein d’autres scénarios, mais là je dois aller un peu me doucher, tu imagines bien pourquoi. J’espère que ce récit t’aura bien fait comprendre ta situation de cocu volontaire, mon amour, et j’espère en tout cas qu’il t’a plu.


Bonne branlette !


Ta petite femme,

Ava »


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J’étais sur le cul – forcément, remarquez, puisque j’étais assis, à mon bureau. Ce récit si détaillé, si précis, si troublant…


J’aimais bien cette façon qu’elle avait de m’humilier souvent par ses propos insolents. Se vengeait-elle parce que je l’avais contrainte à réaliser MES fantasmes ou bien vivait-elle tout simplement cela très bien ? Je penchais un peu, quand même, pour la deuxième solution, même si je ne pourrais jamais être certain qu’elle eût réellement vécu ces orgasmes répétés.


Me mentait-elle ? Me disait-elle la vérité ? Toute la vérité ? Rien que la vérité ? Levez la main droite et dites je l’jure… Je décidai d’en avoir le cœur net le soir même.


J’ai dû attendre que les enfants aient dîné, j’ai dû attendre que les enfants se soient lavés les dents, j’ai dû attendre que les enfants soient couchés, j’ai dû attendre que les enfants soient endormis, j’ai dû attendre que mon épouse se soit douchée, démaquillée, lavé les dents et me rejoigne dans le lit pour pouvoir commencer à l’interroger.


Elle portait une petite nuisette noire, transparente, sans rien dessous. Mon érection était à son maximum : elle était belle, elle était sexy, elle semblait épanouie. Ma première question fut la suivante :



Elle écarta ses deux mains en souriant, en me souriant, de plus en plus, de plus en plus… Ouaaaaaouh… eh ben…



Après qu’elle ait dit ça, je commençai à relever sa nuisette.



Elle était sur le dos, allongée lascivement. Je lui écartai les jambes au maximum, laissant peu à peu apparaître son bel abricot bien rasé. L’ouverture de sa chatte était bien plus grande que la dernière fois que nous avions fait l’amour ! Incroyable ! Ce Mathis était parvenu à lui distendre les grandes lèvres avec son énorme queue. Le beau salaud, alors… Je ressentais presque ça comme un viol.


Je lui ôtai totalement sa nuisette et me glissai entre ses jambes ouvertes. Enfin, j’approchai ma bouche, quoi. Sa chatte sentait bon le savon mais, à mon regret, ne sentait plus le sperme de l’autre. Je sortis néanmoins ma langue et débutai un cunni que j’espérais agréable, voire excitant. Il n’est pas facile de passer derrière un type comme Mathis, surtout dès le lendemain. Ma femme commença cependant à remuer son bassin (il faut dire que j’ai toujours bien réussi à la stimuler avec ma langue), me demandant par des mots cochons d’enfoncer ma langue plus loin, de lui bouffer la chatte, de lui manger le clito. J’adorais ces nouveaux mots salaces qu’elle utilisait maintenant, elle qui ne parlait pratiquement pas auparavant. Tout en la léchant, je glissai deux doigts à l’intérieur de sa chatte, ce qui eut pour effet de la faire sursauter et de la faire gigoter de plus belle. De mon côté, je commençai légèrement à m’inquiéter, car mon sexe était redevenu tout mou.


Je ne parvenais pas à oublier que, la veille encore, un mec super-membré l’avait possédée pendant plusieurs heures. Si l’idée m’excitait au début, pendant l’acte elle me paralysait, car je craignais de ne pas lui procurer la même jouissance. Ses yeux étaient fermés et je craignais aussi qu’elle en imagine un autre à ma place, disons au hasard… Mathis ou Jean ! Elle ne se posait pas tant de questions, elle. Elle allait et venait sur ma langue, elle allait et venait sur mes doigts. Je sentais sa chatte devenir de plus en plus trempée. Elle se tortillait dans tous les sens.



Je n’en demandais pas tant, elle s’adressait bien à moi après tout ! Le petit cocu ça ne pouvait pas être Mathis ! Ni Jean !


Après quelques minutes de ce traitement, elle se redressa sur ses fesses et me demanda de me foutre à poil, ce que je fis du mieux que je pus. Je pus voir son regard déçu quand, en ôtant mon boxer, elle s’aperçut que je ne bandais qu’à moitié. Elle tenta de dissimuler ce regard, mais c’était trop tard, je l’avais vu. De demi-bandée, ma queue passa à pas bandée du tout. J’avais une nouille inutile entre les jambes. Elle pendait là, molle, ridicule…


Ma femme ne se découragea pas et la prit dans ses mains délicates. Elle me caressa les couilles, elle me suça le bout de la queue, la queue en entier, elle m’aspira les couilles, les mordilla, fit tout ce qu’elle put, mais… rien, zéro, que dalle : la nouille pendante.


J’étais désespéré, et elle aussi me semblait-il. Je me trompais sur ce point. Je crois sincèrement qu’elle avait envie de ma queue et qu’elle était juste déçue que je ne puisse pas bander. Elle eut alors une idée, qui me sauva de la honte – enfin, de plus de honte, quoi :



Elle m’attrapa directement par la queue et m’attira sur le lit, la queue à la main. On aurait dit un maître tirant son chien-chien par la laisse. Son petit discours avait eu un léger effet sur ma queue, qui était revenue au stade mi-dur. Elle me demanda de m’allonger sur le lit, sur le ventre. Elle me sauta ensuite sur le dos, me chevauchant à l’envers, c’est-à-dire son torse tourné vers mes fesses. Sans même me prévenir, elle m’écarta les fesses et commença à enfoncer un doigt dans mon petit trou. Ma queue prit instantanément de l’ampleur, je la sentis même me gêner sur le devant. Puis elle retira son doigt et le remplaça par sa langue.



Je sentis ma queue continuer à durcir. L’évocation de Mathis ? Simplement ce doigt dans mon cul ? Peu importait après tout, elle avait raison. Je devais prendre le plaisir là où il se trouvait.


Je sentais aussi sa mouille couler sur mon dos en sueur. Elle se frottait dessus tout en continuant à enfoncer son doigt, m’effleurant les couilles de temps en temps. On aurait dit un massage thaïlandais ! Brusquement, je me retournai, la queue en l’air, fière, dure et dressée (moi aussi, j’étais fier), et ma femme s’empala dessus sans préambule. Elle poussa un petit gémissement qui me rassura sur mes capacités à la faire jouir, ne serait-ce qu’un peu. Elle me chevaucha comme une malade pendant au moins dix minutes, me trempant le bassin de son vagin trempé, elle était belle, je lui attrapais les seins à pleines mains, les pinçais, les triturais. Je lui caressais les tétons, qui étaient tout durs, tout rouges.


Après ces quelques minutes, je décidai de prendre les choses en main (c’est une expression, hein !), me relevai et la soulevai du lit. Je lui demandai de s’installer debout contre le mur, de poser ses mains et de se cambrer au maximum pour me présenter ses fesses magnifiques. Je me reculai pour mieux la voir. Elle était cambrée comme une déesse, debout contre le mur, et attendait que je la prenne. Elle était tellement désirable, cette… Elle me dit même :



Inutile de vous dire que je n’attendis pas qu’elle change d’avis. Je positionnai mon gland à l’entrée de sa grotte et poussai légèrement. Un petit gémissement ? Non, rien pour le moment. Je poussai davantage, mais c’est vrai que j’avais un peu le sentiment de nager dans sa chatte. Non seulement elle était trempée, mais elle était bien plus large que la dernière fois où je l’avais prise. Heureusement que mon gland était assez épais, cela me permit de frotter son clito avec ma queue et, Dieu merci, elle commença à gémir, doucement. Ça avait l’air quand même de lui plaire après tout…


Je la pilonnais maintenant assez fort. Je pensais pouvoir tenir pas mal de temps, étant donné que je n’avais pas arrêté de me branler ces derniers jours. Et effectivement, je ne me sentais pas prêt à jouir. Je la baisais donc de plus en plus fort, la tenant bien serrée par les hanches, par les fesses, par tout ce qui dépassait. En imaginait-elle un autre, ou était-ce moi qui l’excitait tant ? Après dix minutes de pilonnage, elle voulut se coucher par terre. Elle s’allongea donc sur le dos et ouvrit ses cuisses de manière obscène, la chatte luisante et rose, ouverte comme je ne l’avais jamais vue.



Je me relevai à regret et partis chercher un bas dans son tiroir de dessous… Mmmmh, ils étaient tous plus affriolants les uns que les autres… Tiens, je ne la connaissais pas, cette petite culotte rose ouverte au milieu… Je ne savais même pas que ça existait. Ah, un bas ! Je le prends et reviens dans le salon. Ma femme est toujours là, elle se caresse la chatte et les seins, ses yeux sont fermés.


Je lui passe le bas autour de la tête, ça y est : elle ne voit plus rien. Elle ne veut plus me voir la baiser ou quoi ? Pffffffffff… Après tout, je m’en fous. Je la veux et je la prends, voilà tout. Je veux jouir en elle. Je m’allonge entre ses cuisses et la pénètre en force. Elle se relève sur ses coudes et gémit de plus en plus fort.



(la garce ! je comprends pour le bandeau)


Moi, comme un bon cocu, je réponds simplement :



Rien à foutre ! Elle veut Mathis, c’est moi qui la baise – enfin, ce soir, en tout cas…


Je la baise, je la prends de toutes mes forces maintenant. Je sens ses fesses et son dos heurter le tapis. Je veux me venger et lui faire mal, en fait. Je sors ma queue, avec un floc quand même rassurant sur la taille de mon engin, et commence à lui enfoncer un doigt dans le vagin. Je veux voir ce qu’elle accepte. J’y enfonce un deuxième doigt, puis un troisième, puis un quatrième… C’est pas vrai ! Ils rentrent tous ! Mais c’est vraiment élastique, une chatte ! J’essaie d’y mettre le pouce en plus, mais là, ça coince, quand même. Quatre doigts d’avant en arrière dans ce vagin trempé, mes doigts n’ont jamais été aussi mouillés, c’est dingue. Je la baise avec ma main…



J’obéis et attends qu’elle se place à quatre pattes. Je lui lèche un peu la chatte et l’anus puis la pénètre avec ma queue, maintenant bien dure (l’a-t-elle jamais été autant, je ne le jurerais pas).



Pris par mon élan, je sors ma queue et la pose sur son petit trou froncé… Elle a immédiatement un moment de recul.



Je retire ma queue et reviens là où elle se sentait si bien tout à l’heure. Je la prends de plus en plus vite, de plus en plus fort.



Après avoir dit ça, elle s’est tournée vers moi, sur les genoux, a retiré son bandeau et m’a branlé quelques instants. Je n’ai pas été long à jouir et je lui ai littéralement explosé à la figure… Je lui ai giclé sur la bouche, sur les joues, sur les lèvres, dans les cheveux, sur le ventre… C’était si bon de la voir boire mon sperme, même si ce n’était qu’en petites quantités, de la voir se lécher les babines là où ma semence s’était étalée… Elle qui me l’avait toujours refusé… Merci aux amants.


Je ne sais même pas si elle a retiré du plaisir de notre baise de ce soir-là. Ce qui est clair, c’est qu’elle n’a pas eu d’orgasme délirant.


Après que j’aie bien joui, elle m’avoua :



J’acquiesçai. Je me suis dit que c’était déjà ça… Et puis je me suis dit aussi que je pourrais en profiter pour bien lui forcer son petit trou et lui faire un peu mal. Hé, hé, hé… Les cocus ont la satisfaction qu’ils peuvent, non ?


Mercredi… Jeudi… Vendredi… Tous ces jours-ci, je l’entendais régulièrement s’enfermer dans la salle de bains, pour se préparer le cul, j’imagine. Je lui rappelais sa promesse de me faire participer à l’élargissement de son anus ; elle ne me répondit pas, puis finalement…


… Samedi !


Big time, baby. Je crois franchement que j’étais aussi excité que mon épouse. Enfin, un peu moins… Parce que pour ce qui était de l’excitation, ma femme n’était vraiment pas en reste ! Depuis le matin, elle se pomponnait, se préparait, s’était rasée presque entièrement les poils du pubis ; il restait ce qu’on a l’habitude d’appeler un « ticket de métro »… un tout petit ticket de métro ! Elle avait opté pour un maquillage léger. Quant à ses vêtements, elle avait eu la bonté de me laisser la regarder choisir sa tenue. Cela prit un certain temps tout de même… Une heure, en fait ! Elle avait étalé tout un tas de fringues sur notre lit puis, après moult réflexions, choisit ceci, pour ce soir en tout cas : vrai porte-jarretelles avec des bas résille auto-fixants qu’elle avait achetés sans même me consulter, string noir avec encore une fois des petits diamants, soutien-gorge pigeonnant assorti au string, longue robe noire fendue jusqu’en haut des cuisses, et beau manteau, noir lui aussi. Dans sa valise elle n’emportait pas grand-chose : dessous de rechange, déo, brosse à dents, nécessaire à maquillage, parapluie, une ou deux robes sexy, une mini-jupe de vraie salope, en cuir ou en imitation cuir, je ne sais pas, et plusieurs paires de chaussures à talons hauts. Une paire, notamment, avait des talons impressionnants, je crois que son maître la lui avait offerte lorsqu’elle était encore une soumise.


À midi et demi, tout était prêt. Les enfants étaient chez leurs grands-parents et ma femme, complètement à poil, se tourna vers moi et me dit :



Sur ces bonnes paroles, elle alla ouvrir un de ses tiroirs et en sortit, ô miracle, un très beau gode, très réaliste, rose et transparent. Le gland était épais et la tige assez longue… pas aussi énorme que celle de Mathis, je pense, d’après la description imagée qu’en avait fait mon épouse.


Elle s’installa à quatre pattes sur notre lit (conjugal, oui, oui, mesdames et messieurs), les fesses bien relevées pour que le petit trou soit le plus accessible, et commença à se caresser le sexe, y récupérant la mouille pour se l’étaler sur l’anus. Après quelques minutes de ce traitement, elle posa le gode sur son petit trou – mais il était bien plus ouvert que la dernière fois que je l’avais vu çui-là ! – et l’enfonça, apparemment sans aucune difficulté. Elle se l’enfonça presque jusqu’au bout ! Mais quelle garce, alors… Elle était vraiment prête à se faire sodomiser ! Ma queue était douloureuse tellement elle était tendue et à l’étroit dans mon boxer. Elle fit aller et venir le gode dans son cul pendant une dizaine de minutes, se l’enfonçant de temps à autre dans le vagin pour varier les plaisirs. Elle poussait des petits gémissements, encore et encore, puis un cri final de belle envergure.



Moi aussi j’étais content… quand même.


Le soir vint, et ma femme s’en alla. J’avais un peu le cœur gros de la laisser partir pour tout un week-end… C’était la première fois depuis notre mariage que nous ne passions pas le week-end ensemble.


21 heures, 22 heures (tiens, un vieil épisode de Buffy ! sympa…), 23 heures… 23 h 52 : le téléphone sonne. Ça me réveilla un peu, car je commençais gentiment à m’assoupir. Je décrochai vers la cinquième sonnerie ; c’est la voix d’un homme que je ne connaissais pas ; cette voix me dit juste :



Mais où il est, ce con ? Je l’ai laissé dans la poche de mon pantalon, ou quoi ? Ça y est, je l’ai trouvé ! Je l’allume et attends patiemment que le message arrive.


Le voilà ! Ouaaaaouuuh ! C’est le petit cul bien ouvert de ma femme, en position de levrette. Mais c’est pas vrai comment il lui a agrandi le petit trou, ce salaud de Mathis ! Un petit message d’accompagnement sous la photo : « pour toi mon chéri, ce cul que tu ne toucheras pas ce soir ».


La trique, la voilà, bien forte, bien douloureuse.



Silence à l’autre bout de la ligne.


Je commençai alors à entendre des bruits de succion, de baiser baveux plutôt. C’était très excitant d’entendre ces bruits d’amour mmhhhhh… Je les imaginais tous les deux, nus, lui avec son énorme queue, elle avec ses petits seins si excitants et son cul beau à mourir, sur le lit… tout près du téléphone ! J’entendis ma femme dire :



Moi j’étais de l’autre côté, la queue dans la main droite, une queue plus dure qu’elle ne l’avait jamais été. Je me branlais lentement, pour ne pas jouir trop vite.



Mon amour ? Quoi ?


Après cette courte conversation, je n’entendis, pendant une bonne demi-heure, que des gémissements de plus en plus prononcés, tant de mon épouse que de Mathis… Elle lâchait de temps en temps des « ouiiiiii » ou des « vas-yyyyyy », ou autres « baise-moi fooooort… »


C’était à la fois très excitant et très frustrant de les entendre baiser comme des bêtes. Je savais que ma femme faisait exprès de parler plus fort, de gémir plus fort, d’en rajouter un maximum pour que je puisse en profiter… un maximum. À moins qu’elle n’en ait pas rajouté du tout, et qu’elle jouissait vraiment aussi fort qu’elle le laissait entendre. Après tout, comme elle me l’avait gentiment rappelé, je ne l’avais jamais VRAIMENT entendue prendre son pied.



Puis le téléphone se tut complètement, totalement, irrévocablement. Je m’astiquai encore quelques instants et lâchai mon foutre sur mon ventre. J’étais tellement excité que je m’aspergeais jusqu’au menton ! Ça ne m’était jamais arrivé de gicler aussi loin.


J’attendis quelques instants, pensant qu’ils avaient raccroché le téléphone par inadvertance, mais rien… Rien de rien. Le silence sidéral, cosmique, dans l’appartement. J’étais là, mi-allongé sur mon canapé, la queue mollissant dans ma main, du sperme coulant sur mon torse.


Je n’osai pas rappeler leur chambre d’hôtel, je pensais qu’ils avaient d’autres choses à faire que de décrocher quand j’appelle. J’étais un peu vexé quand même qu’ils aient raccroché sans même me dire un mot. Surtout ma femme. Mais bon, il fallait bien que je m’y fasse : j’étais cocu, et voilà tout. Il fallait bien que je me mette dans le crâne qu’il leur revenait à eux de décider de ce qu’ils voudraient me donner.


Je remis le son de la télé et ne tardai pas à m’endormir à nouveau. Je fus tiré de mon sommeil léthargique par un spot de pub particulièrement con, mais surtout particulièrement bruyant. Quelle heure était-il ? Je regardai ma montre, il était cinq heures du mat’.


J’allai dans ma chambre pour allumer l’ordi, pour voir si ma femme par hasard n’aurait pas laissé un message pour moi. Bingo ! J’avais un nouveau mail. Mais, contrairement à ce que je m’attendais à trouver, c’était Mathis qui m’écrivait, directement. Je ne résiste pas au plaisir (malsain) de vous retranscrire intégralement ce mail :


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« Petit cocu,


Eh non, ce n’est pas ta petite femme qui va te raconter notre soirée, mais moi cette fois-ci. L’occasion est trop belle et Ava est derrière moi, lisant ce que je t’écris par-dessus mon épaule. Comme tu peux l’imaginer, elle est complètement à poil, la chatte encore suintante de ma semence – abondante, tu peux me croire !


Bref, je vais te raconter tout ça dans le détail – Ava m’a dit que tu aimais les détails. Pour ça, mec, tu ne vas pas être déçu !


J’ai appris par ton épouse que le fait que j’aie une grosse queue t’excitait particulièrement ; je n’oublierai donc pas de te le rappeler dès que je le pourrai.


Tu ne le sais pas, mais j’étais en bas de chez toi, vers 19 h 30, dans ma BMW flambant neuve (je n’ai pas de problèmes d’argent, que veux-tu) et c’est avec un grand sourire sur les lèvres que je l’ai vue arriver et se diriger vers moi. Je suis sorti de la voiture, je suis allé l’embrasser tendrement, juste un petit baiser sur les lèvres, et lui ai ouvert la portière avant droite. Elle était rayonnante, avec son petit sac de voyage que j’ai immédiatement installé dans le coffre de la voiture. Elle me donna également son manteau noir, qui suivit le même chemin que le sac. Puis elle finit par s’asseoir à mes côtés. Je pouvais voir ses belles cuisses par la fente de sa robe noire. Quelle fente, mon vieux ! Et des bas résille, en plus, moi qui adore ça !


Nous avons roulé pendant une heure et demie puis sommes arrivés dans un petit village, près de Rouen, que je connais bien. Quand nous sommes arrivés devant l’hôtel, elle s’est un peu étonnée. Je lui ai expliqué que je trouvais ça plus excitant de commencer dans une chambre d’hôtel.


Le bagagiste prit nos affaires et les monta dans notre petite chambre d’amour. Une fois le bagagiste parti, j’attirai ta femme à moi et l’embrassai langoureusement. Je sentais ma queue prendre du volume. Nous nous sommes caressés quelques instants, puis j’ai eu l’envie de soulever le bas de sa robe, afin de voir ce qu’elle avait mis pour moi. Ouaaaah, un véritable porte-jarretelles et des bas résille, j’adoooore ! Et ce petit string si minimaliste, mmmmhhhh… Je lui ôtai immédiatement son string, laissant apparaître sa jolie toison si bien rasée et sa petite vulve rose.



Sans même s’y attarder, elle jeta son string sur le lit. Je lui demandai d’ouvrir son sac, afin de voir les autres vêtements qu’elle avait prévu pour ce week-end. Je repérai immédiatement la mini-jupe noire et lui imposai de la mettre dans l’instant. Obéissante, elle ôta sa robe, enfila sa mini et un top léger, entre nuisette et chemise, qui laissait apercevoir son soutien-gorge, puis me suivit docilement au rez-de-chaussée.


Quelques couples étaient déjà installés, ainsi que quelques mecs, probablement des hommes d’affaires ou des commerciaux en déplacement en Normandie. Je t’assure que ta petite femme a fait sensation en arrivant. Je ne vais pas te dire qu’elle faisait pute, ce ne serait pas lui rendre justice, mais elle faisait assurément garce. Et moi, pendant le trajet qui nous amena à notre table, je pensais à toi, pauvre cocu, certainement en train de te branler devant ta télé… Tu vois, c’est grâce à toi que je suis là, en compagnie d’une femme superbe qui n’est pas la mienne, alors oui, je pense parfois à toi.


Il n’y avait que des sortes de poufs en fait, pas vraiment de fauteuils, ce qui fait que quand ta femme s’est assise ses jambes sont remontées assez haut. Les mecs n’en perdaient pas une miette – je pense qu’il était évident que nous étions un couple illégitime, d’ailleurs je ne porte pas d’alliance et ta femme avait conservé la sienne – y compris les mecs en couple, mais pour eux, de manière plus discrète.


Elle avait bien compris où je voulais en venir, ta petite femme infidèle : je voulais qu’elle se donne en spectacle, pour ensuite mieux se donner à moi. Elle croisait et décroisait ses belles et longues jambes, provoquant l’émoi de ces messieurs. Je ne sais pas s’ils ont pu voir que ma chérie ne portait pas de culotte, mais ce dont je suis sûr, c’est qu’ils ont pu apprécier ses porte-jarretelles et une partie de peau nue au-dessus de ses bas. Il y avait notamment un mec, un beau quadragénaire, qui n’arrêtait pas de la mater au niveau de la poitrine. C’est vrai qu’elle était appétissante, sa poitrine, comme ça, à peine dissimulée.


J’avais de plus en plus envie d’elle. Rien que l’idée de l’avoir pour moi tout seul pendant deux jours me faisait bander dur. Après avoir pris cet apéritif (pour elle un porto, pour moi un bloody mary), nous sommes montés dans notre chambre, sous le regard envieux de pas mal de mecs en goguette… qui matèrent son petit cul se tortillant sous l’effort de la marche. Sitôt la porte fermée, je l’ai coincée contre le mur de la chambre et l’ai embrassée furieusement. Je sentais sa petite langue tournoyer dans ma bouche et ses mains me caresser partout, les cheveux, les fesses, le paquet devant ; elle avait envie, je t’assure. Je sais reconnaître quand une femme a envie de baiser. Elle me sauta au cou et m’entoura de ses cuisses. Sa petite moule devait se frotter sur mon costume. Elle dut sentir la protubérance qui commençait à gonfler mon pantalon, car ça a eu l’air de l’exciter. En tout cas, dès qu’elle la sentit, elle se décrocha de moi et s’accroupit entre mes jambes, les cuisses bien écartées. Elle dézippa ma fermeture éclair et me sortis le membre (hé, hé, je n’avais pas mis de boxer ni de caleçon). Franchement, je ne vais pas faire le faux modeste, elle était déjà vraiment très, très grosse…


Elle la prit dans ses délicates petites mains et commença à me soupeser les couilles. Puis elle prit mon gland violacé entre ses lèvres, le léchouillant plus qu’elle ne le léchait. Enfin, elle avala ma queue – enfin ce qu’elle put avaler, la pauvre – et me suça. Ta femme fait un truc que j’adore quand elle me suce, je ne sais pas si elle le fait avec toi, mais elle me fixe droit dans les yeux. Je trouve ça très vicieux, très bandant. On dirait que les femmes qui fixent ta queue quand elles te sucent ont honte, quelque part, de ce qu’elles sont en train de faire. Je te garantis que ce n’était pas le cas pour ta femme. Non seulement elle me regardait, mais elle caressait tout mon paquet : tige, couilles, scrotum. C’était vraiment bon, et Dieu sait si on m’a sucé, pourtant. Ta femme sait y faire, ça doit être instinctif : c’est une suceuse-née ! Je donnais des petits coups de reins de temps en temps, comme si je faisais l’amour à sa bouche, comme si sa bouche était un sexe. De la manière dont elle était accroupie, je voyais son petit sexe qui palpitait pendant qu’elle me léchait la queue.


Mmmmmmhhh, quelle femme tu as, Nicolas, quelle femme !


Elle a quand même continué à me sucer pendant dix bonnes minutes, me griffant parfois le pubis et sous les couilles. Une véritable enragée ! Mais moi je ne voulais pas jouir comme ça. Je lui demandai donc de se placer à genoux sur le sol, le cul relevé. J’ai pris une photo avec son propre portable, qu’elle a dû t’envoyer d’ailleurs. C’est à cet instant précis que j’ai eu l’idée de t’appeler. Ta femme n’a pas été gentille sur ce coup-là, car après que je lui aie fait part de cette idée, elle me dit :



Tu as eu de la chance, tu sais, parce que j’ai failli raccrocher après les cinq sonneries. Tu n’aurais même jamais su ce que tu avais perdu, mon pauvre. Je te passe la conversation, tu es bien placé pour savoir ce que tu as entendu.


Après cette courte conversation, j’ai laissé ta femme se remettre sur ses genoux et me prendre à nouveau la queue dans sa si petite bouche de salope. Elle m’a sucé divinement, ce que je ne me suis pas privé de lui faire savoir.


Puis j’ai pris ta femme sous les aisselles et l’ai relevée. Je sentais l’odeur de ma queue en l’embrassant à nouveau. Tu as dû entendre, j’imagine, le bruit de ce baiser baveux, car j’avais fait en sorte de placer le combiné juste à côté de nous. Bon, je ne te cache pas qu’à partir de là, nous ne nous sommes plus occupés de savoir si tu étais là, si tu écoutais ou pas. Nous avions des choses plus sérieuses à faire.


Il fallait que je lui enlève son top et sa jupe maintenant ; il y avait urgence. C’est ce que je fis. Elle était maintenant debout devant moi, avec son porte-jarretelles, ses bas résille, son soutien-gorge et ses chaussures à talons hauts. C’est ainsi « vêtue » que je voulais la prendre.


De son côté, elle me dit qu’elle aussi me voulait nu. J’accédai bien sûr à sa requête et me déshabillai entièrement, la queue fièrement dressée à la verticale.


Je la positionnai d’emblée à quatre pattes sur notre lit. Sans même que je le lui demande, elle avait relevé son cul bien haut, comme tout à l’heure, et m’offrait la vue de ses deux beaux trous de femelle en chaleur. Je la léchai un peu – elle était tellement chaude qu’elle n’avait pas souhaité beaucoup de préliminaires, c’est en tout cas ce qu’elle m’a fait comprendre – et posai presque immédiatement ma queue à l’entrée de sa grotte magique – ouiiii, okaaaay, sa chatte si tu préfères, cocu – et poussai mon avantage. Elle hoqueta de surprise ; je crois qu’elle avait un peu oublié la taille de mon engin et ce que cela représentait pour sa petite chatte. Je sentais tellement bien les parois de son vagin, elles se resserraient autour de ma grosse queue au fur et à mesure de mon intromission. Je la prenais comme un chien prend une chienne, et c’était bon. Pour elle aussi ça semblait bon, car elle n’arrêtait pas de gémir, de se toucher le clitoris, de se caresser elle-même, de plus en plus fort, de plus en plus intensément. Je ne comprends pas comment toi, son mari, tu n’as pas su profiter d’un tel potentiel. Bon, y a peut-être le problème de la taille, mais ça ne fait pas tout. Ta femme est une braise, et je suis son tison brûlant. J’avais l’impression d’enfoncer ma queue dans un marécage de feu tellement c’était trempé et chaud, tellement c’était accueillant. Ma queue était littéralement trempée, elle aussi, par les sécrétions de ton épouse. Je la pilonnais comme un fou, mes couilles se balançant et heurtant ses grandes lèvres, tandis que je la tenais fermement par les hanches. Je lui griffais le dos, de haut en bas, et je voyais sa peau se hérisser de chair de poule.


Pris par mon élan, après une bonne demi-heure de ce traitement, je sortis ma queue de sa foune et plaçai mon gland énorme sur son petit trou. Aaaaaaaaaaah, il m’avait l’air bien préparé, ce petit coquin ! Elle m’avait bien obéi, ma petite chienne. Mais elle me dit qu’elle n’était pas encore prête et me demanda d’attendre demain. À regret, je retirai l’objet du délit de l’endroit interdit. Je retournai ta femme, ses joues étaient toutes roses, ses cheveux étaient défaits, en sueur, et des cernes commençaient à se former sous ses yeux reconnaissants.


D’un geste, je la plaçai sur le dos (et je le crains, sur le téléphone) et lui écartai bien les cuisses. Sa vulve était frémissante, très, très ouverte, ses grandes lèvres étalées vers l’extérieur. Je lui mis ma queue sans attendre et elle poussa un cri de surprise. Ô Dieu, que c’était bon de sentir cette femme si fine, si fragile, contre mon corps puissant et déchaîné !


Je l’ai limée comme ça pendant encore au moins une demi-heure, faisant couiner le lit, la faisant couiner, elle. Puis je la prévins que j’allais jouir. Elle me demanda de lui gicler dans la chatte et c’est ensemble que nous avons pris notre pied. Franchement, Nicolas, j’en ai entendu jouir des femmes dans ma vie, mais jamais aussi fort que ta petite femme. C’est quelque chose de voir ça. J’ai eu l’impression qu’elle allait me claquer dans les bras. Elle me serrait les jambes avec ses cuisses tellement fort que j’avais peur qu’elle ne me prive de l’usage de mes jambes. Pendant qu’elle jouissait, elle me mangeait littéralement la langue, me léchait les dents, les lèvres, se retenant de crier jusqu’à ce que son cri ne me transperce les oreilles. Et c’est cet orgasme de ta femme qui a décuplé le mien. J’ai eu l’impression de me vider le corps en elle. Je sentais presque le sperme buter au fond de son vagin, par saccades. Quelle giclée, mon vieux ! Quel orgasme !


Ouh là là ! Quel week-end se préparait ! J’en frémissais d’avance : une bonne chienne obéissante à MA disposition pour deux jours, une bonne salope qui ne voulait même pas faire participer son petit cocu de mari…


Mon chéri, mon chéri, c’est ta petite femme qui te parle… On va te laisser là, je réquisitionne Mathis, c’est une urgence. L’urgence de recommencer, tu sais ? Ou plutôt non, tu ne sais pas, toi qui a besoin d’au moins une heure pour recommencer… On te racontera la suite. Désolée pour le téléphone. Je t’aime.


Ton Ava

(et « ton » Mathis) »






Copyright © 2007
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Erotisme torride

Tendre Amour

Bon Scénario

Belle Ecriture

Plein d'Humour

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Revebebe - Histoires érotiques
Revebebe - Une histoire
Notation public
Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/

n° 11679Edouard et Julie02/09/07
Les dessous du porno
critères:  fhh hplusag grossexe campagne voiture vidéox facial fellation fgode fsodo coprolalie humour
47922 caractères
Auteur : Edouard et Julie

J’ai découvert Revebebe il y a peu de temps en cherchant de l’inédit sur Internet. J’aime le porno, mais les sites franchement pornos ne me font pas grand-chose. Les histoires non plus, du reste, plus précisément, pour une histoire vraiment excitante, il y en a dix « à chier ». Par contre, je prends beaucoup de plaisir à regarder vaguement les histoires les plus nases pour me délecter ensuite des critiques. Non pas celles du public (il y a toujours des gens qui aiment et qui n’aiment pas tel ou tel genre) mais celles de ceux qui s’auto-définissent « critiques littéraires de cul ». Enfin, ce n’est pas banal quand même ce qu’Internet peut faire : voici des gens qui passent leur journée sur des sites porno (pardon « érotiques », c’est le site des histoires érotiques), donc pas des gens très glorieux, quand même, surtout que c’est sans doute pendant leurs heures de boulot, et qui s’érigent en censeurs au nom de la morale, avec des réflexions du style « crade, dégueulasse, aucun respect pour la femme, on ne devrait pas publier ce récit… »


Voilà ce qui m’a donné envie de raconter une histoire, pour mettre les choses au point devant ces messieurs qui aiment le porno sans assumer leurs goûts. Histoire vraie, sauf vantardises de celle qui me l’a racontée, hypothèse improbable, avec quelques arrangements apportés pour la rendre plus « romanesque » (j’ai failli écrire « romantique »). C’est l’histoire d’une nana qui a fait une expérience dans le porno, le vrai celui-là, elle raconte un tournage, ni plus ni moins. Si vous cherchez du bandant, vous allez être servi : rien ne l’est moins, mais rien n’est plus glauque ! En plus c’est vulgaire et aucun de ces pédants ne pourra écrire sans passer pour un con « La vulgarité aurait pue être mise de côté », vu que la vulgarité fait partie du porno…



* * * * *



Si on m’avait dit quand j’avais trente-cinq ans que je tromperais ma femme pour devenir quelques années plus tard un coureur invétéré et un assoiffé de porno, j’aurais rigolé. Non pas que notre couple était un exemple de passion amoureuse, mais nous nous étions toujours bien entendus à tous les points de vue (y compris sexuellement) et trois enfants étaient venus souder ce pacte informel.


Et puis, voilà, la vie s’est chargée de faire de moi un obsédé, et j’assume. L’âge et la maladie ont diminué ma femme au point de l’obliger à s’installer à la campagne avec les enfants où on trouve plus facilement le repos et le personnel nécessaire pour vous aider. C’est elle-même qui m’a dit un jour :



Ça faisait un moment que ça me travaillait, avec peut-être aussi ce que l’on appelle le démon de midi avant le retour d’âge. C’est comme ça que j’ai connu Julie qui, si j’avais été précoce, aurait pu être ma fille. Il y a des femmes (j’ai mis un « s » mais je ne suis pas sûr du pluriel) dont la beauté vous touche au plus profond du cœur bien avant d’éveiller un quelconque désir. Et puis, il y a des femmes qui sont sexy avant d’être belles et qui excitent uniquement votre appétit sexuel le plus animal au premier regard. Julie fait partie de la deuxième catégorie (bon, il y a aussi une troisième catégorie de femmes, numériquement beaucoup plus importante, mais c’est hors de propos ici). De taille moyenne, presque petite, mais avec des proportions parfaites comme n’en ont le plus souvent que les femmes nettement plus grandes. Au-dessus de cette silhouette de rêve, un visage doté d’une fausse candeur enfantine que renient son sourire et son regard « d’allumeuse ». C’est d’ailleurs la seule femme qui m’ait dit, en riant mais en le pensant, « Je suis une allumeuse ». Elle aurait pu ajouter « et j’en suis fière ». Pour couronner le tout, Julie se donne souvent un air « belle et sotte », un rôle de composition dans lequel elle excelle, alors qu’elle est douée d’une vive intelligence et surtout de beaucoup d’esprit.


Je lui ai fait une cour empressée en grand seigneur et je dois avouer que je suis super fier de « me l’être faite ». C’est sûrement la conquête dont je suis le plus fier, avec ma femme. Je dirais même plus que ma femme. Quand on s’affiche dans un bon restaurant avec une jolie femme de son âge, les gens la regardent avec envie : les hommes par désir et les femmes par jalousie. Quand on s’affiche avec une jeune femme alors qu’on est plus âgé, c’est vous que les gens regardent avec envie : les hommes par jalousie (ils vous supposent exceptionnellement fortuné), les femmes par envie (elles vous supposent exceptionnel au lit) ! Maintenant hélas, la situation de Julie a changé et si je continue à « me la faire » régulièrement, je ne peux plus m’afficher avec elle.


Ce qu’il y a de super avec elle, c’est que cette relation purement sexuelle a fait naître en plus une certaine complicité. Je suis devenu et resté depuis (elle s’est mariée avec un type très riche, lui) son confident. C’est ainsi que je connais son expérience porno. Quand on a passé quarante ans, le coup met très longtemps à partir mais la recharge du fusil est encore plus longue. C’est dans un de ces moments intermédiaires (peut-être un peu longs au goût de l’intéressée) qu’elle me la raconta, mon comportement dominateur lui ayant sans doute remémoré les faits (j’avais joui dans sa bouche alors qu’elle était à genoux en la tenant par les poignets, genre de chose que les femmes n’acceptent pas parce qu’elles sont des salopes mais parce qu’elles aiment se livrer sans retenue à un homme qui les a comblées).


À partir de là, je lui laisse la parole, ou plus exactement j’écris à sa place, en essayant de respecter son style de langage oral et en ajoutant quelques réflexions personnelles annoncées par les initiales NDLA.




* * * * *




J’avais vingt et un ans à l’époque, presque vingt-deux, mais j’en faisais dix-huit et je crois que c’est ce qui plaît. J’étais étudiante et je voulais profiter de la vie à donf. J’avais découvert le sexe un peu tardivement (dix-neuf) mais j’y avais vite pris goût. Seulement pour profiter à donf de la vie, il ne faut pas que du cul : il faut de la thune aussi. C’est pourquoi j’ai fait pas mal de choses : j’ai testé les inventaires de nuit dans les supermarchés de banlieue. Une fois ! Merde, je n’ai pas fait des études pour ça, sinon j’aurais pointé à l’usine à seize ans, je me serais fait engrosser par un con de pauvre tout mignon et on serait devenu tous les deux moches et gras dix ans après !


J’ai surtout essayé le baby-sitting. À vingt balais, portée sur le sexe, on pense forcément aux mômes, même si on ne voit ça que d’ici cinq à dix ans. Je trouvais que c’était un moyen cool de me faire une expérience pour plus tard. Le premier problème c’est que c’est mal payé : une soirée exténuante avec des gamins qui braillent toujours à un moment ou à un autre pour, au final, se payer juste de quoi te taper quelques cinés. Le deuxième problème, c’est les gosses. Les premiers, tu les prends cool, les deuxièmes un peu moins et puis arrivent les biens fadés (NDLA : mot du vocabulaire célinien, goût commun à Julie et moi), ceux qui déchirent grave, qui te vident les ovaires à plus avoir envie d’en faire avant quinze piges. Là, ça refroidit bien. Mais le problème majeur, c’est qu’il fallait que je change de clients à chaque fois. Dès que la cliente repérait le regard que me portait le client, au baby-sitting suivant, elle appelait SOS Boudin ! (NDLA : Sûr que pour une bourgeoise, se faire culbuter en rentrant du théâtre par son bourgeois en sachant fort bien que, pour mieux bander, il repense aux formes et au sourire de la baby-sitter, ce n’est pas terrible, même si ça décuple les performances de l’intéressé.)


J’ai essayé les trucs genre jobs J.E. de mon école. Le problème, c’est que les J.E., c’est le panier à crabes : si tu ne connais pas les loulous qui ont mis la main dessus, tu ne récupères que les contrats de merde. Une fois, j’ai su qu’il y avait un truc super intéressant à faire, une étude de marché. Chouette, j’y vais, et là, un étudiant de la J.E. me fait carrément comprendre qu’il me donne le contrat si je sors avec lui. Ce n’était pas mal payé, alors je lui ai répondu du tac au tac :



Le mec était outré mais j’ai insisté :



(NDLA : Là, Julie, qui adore rire, partit d’un grand rire communicatif en me racontant la mine déconfite du prétentieux, je vous avais prévenu qu’elle avait de l’esprit !)


En tout cas, c’est là que j’ai commencé à me dire que je pourrais essayer de me prostituer : gagner du fric en joignant l’utile à l’agréable. J’étais déjà plutôt portée sur les mecs plus âgés que moi, histoire que je puisse profiter de leur fric. Tu en sais quelque chose, mon amour. (NDLA : Je l’avais d’emblée invitée au restaurant en l’emmenant au Jules Verne, endroit féerique par excellence. Quand on emmène une femme qui n’est pas encore la sienne dans un endroit comme ça, la drague est simplifiée : elle sait ce qu’on espère et ou bien elle n’a aucune intention de céder et on le comprend très vite à son attitude, ou bien elle y pense aussi et elle se prête avec grâce à un petit simulacre de cour.)


Avec un autre étudiant, tu peux juste baiser (mal le plus souvent, par manque d’expérience ou par manque d’aise : pas le pied une petite chambre d’étudiant mal rangée ou chez les parents dans la peur qu’ils reviennent au mauvais moment), aller au ciné, dans une pizzeria, bof… Avec un mec de trente ans pas trop pauvre, tu te tapes des week-ends, des bons restos, des baises super dans une chouette chambre d’hôtel au bord de la mer…


Le problème c’est que je m’imaginais bien faire la pute de luxe, mais pas la pute de quartier ni avoir un mac et puis je n’avais aucune idée de comment trouver le client. C’est comme ça que de fil en aiguille, j’ai pensé au porno. Je suis allée dans un salon érotique et là c’était trop : le défilé de boudins. À croire que tous ces gros thons venaient là parce qu’elles ne trouvaient pas à se faire tirer ailleurs. Enfin, au milieu de tout ça tu avais quelques nanas pas mal, souvent plus aguichantes que moi, rien que par leurs fringues et leur maquillage, mais honnêtement pas plus belles.


Du coup, tu penses bien que tout le monde m’a sauté dessus. (NDLA : Elle rit en ajoutant « Au sens figuré, bien sûr ». Elle rit encore et ajoute « Du moins pas tout de suite ».) J’ai donc commencé par des photos érotiques. Ça dépassait peut-être un peu l’érotisme, fringuée comme une pute, je me déshabillais petit à petit, ne conservant que bas et porte-jarretelles, puis je prenais des poses sexy et je jouais avec des objets suggestifs (mais sans pénétration) : barreaux de la chaise, angle de la table, crayon, règle… J’ai même fait un truc super rigolo. J’ai posé nue dans une grande école d’ingénieur, une très grande, même mais je ne te dirais pas laquelle (NDLA : je m’en fous, je sais de laquelle il s’agit), je ne veux pas salir sa réputation. C’était pour un genre de module ou de séminaire de dessin, c’est une prof qui se faisait payer royalement pour ça qui amenait des modèles pour qu’elles se foutent à poil devant les élèves (NDLA : rapport nombre de garçons sur nombre de filles dans l’école proche de l’infini) pour qu’ils les dessinent. J’ai tenu un quart d’heure, ensuite j’ai pouffé de rire devant les regards concupiscents de ces rats crevés (NDLA : sic). Quand tu penses que ces types vont devenir l’élite de la nation, et que là, si ça se trouve encore puceaux, ils bavaient au sens propre du terme devant des nanas à poil en prétendant les dessiner. Tu penses si je ne pouvais plus me retenir, je me tordais de rire, et je leur ai dit pourquoi ! Je me suis fait engueuler comme jamais. Devant vingt élèves, cette pouffe de prof, qui se fait un fric monstre avec ça (tu vois, j’aime le fric, mais vivre de l’argent public, genre fonctionnaire ou politicard, je ne pourrais pas), m’a dit qu’elle s’était bien foutu le doigt dans l’œil quand elle avait cru que j’étais une pro, que je ferais mieux de rester dans le pornac, dont elle avait essayé de me tirer (NDLA : là, le mot « tirer » nous a fait bien rigoler comme je lui en faisais la réflexion). Bref, tout pour me foutre la honte devant ces types alors que c’est moi qui me foutais de leur gueule et c’est eux qui se tapaient la grosse honte. Je me suis rhabillée, et suis sortie. Il y avait deux types que ça avait fait rire (deux sur vingt avec le sens de l’humour, c’est cool) qui sont sortis aussi pour venir me draguer. Deux types avec le sens de l’humour et auréolés de leur prestige d’élèves d’une très grande école, j’aurais pu me les faire, mais ces cons-là s’imaginaient que j’étais une actrice porno et que j’allais tout de suite me livrer pour un trio ! Ils me l’ont carrément dit comme ça. S’ils avaient tenté séparément leurs chances, il y en a un qui l’aurait eue, mais là, j’étais un peu refroidie. Enfin, j’ai quand même appris qu’il y a deux cents demandes pour vingt places pour participer au séminaire et que c’est par tirage au sort entre les élèves !


Enfin, sur ce coup, je n’ai même pas été payée, j’en ai même été de ma poche pour l’aller-retour en RER (il fallait y être à 9 heures du mat et en plus sécher des cours). Comme la pose photo soft, ce n’est guère mieux payé, j’ai accepté une proposition qui m’a été faite de tourner dans un porno. C’était un metteur en scène qui se spécialisait dans les petits films courts (vingt minutes) avec des actrices néophytes. Les films étaient vendus comme tels et ça plaisait beaucoup, paraît-il que les spectateurs se rendaient compte du côté « ingénue » des filles. Il m’a bien prévenu :



Ça avait le mérite d’être clair ! Je me suis précipitée sur Internet pour voir qui était Taylor Rain (NDLA : moi aussi quand elle m’a raconté l’histoire, j’ignorais qui était cette actrice, je confirme ce qui suit, et je ne trouve pas qu’elles se ressemblent tellement). Bon c’est vrai que comme elle, je ne suis pas trop grande, brune et bien foutue question corps, mais franchement je me trouve mieux qu’elle. Par contre, elle assure plus que moi pour se faire troncher le sexe, la bouche et le trou du cul, ça, je l’avoue !


Me faire troncher le sexe, je connaissais, d’ordinaire tu essayes plusieurs types et tu en trouves un correct. Ce qui est chiant, c’est qu’en cours d’essai, si ça te déplaît, tu as du mal à écourter la chose. Là, je me disais : des acteurs pornos, ça doit tous être des bons coups.


Me faire troncher la bouche, j’avais expérimenté la chose, librement consentie j’aimais assez, et même si le goût du sperme n’est pas ce que je préfère, tu viens de voir que je suis capable d’avaler, il y a longtemps que j’ai compris que vous adorez ça, tous autant que vous êtes.


Me faire troncher le trou du cul, ça m’effrayait un peu, sans plus. Je me disais que c’était l’occasion d’essayer. C’est con mais tu vois, j’avais plutôt confiance à l’idée de faire ça de manière contractuelle.


Enfin, je me suis rendue à son bureau. Là, il a commencé par se la péter version « droit de cuissage » :



Ça a toujours été ma spécialité, répondre du tac au tac (NDLA : elle aurait dû ajouter « avec esprit », c’est ce genre de réponse que j’appelle « avoir de l’esprit »). Du coup, il s’est bien calmé, il m’a dit qu’il adorait les femmes avec du caractère et il m’a expliqué en détail ce qu’il attendait. Le scénario était particulièrement recherché : je faisais du stop dans une tenue plus qu’aguichante sur une route de campagne. Deux types en monospace me ramassaient et je n’étais pas longue à convaincre de passer un moment « agréable » avec eux, d’abord dans la caisse puis dans le champ bien tranquille où on allait s’arrêter. Et là, c’était ma fête, gorges profondes, pipes et baises simultanées, sodomie, double pénétration et pour finir éjaculation faciale où je devais les sucer à nouveau à tour du rôle, une fois le visage recouvert de sperme. Pour un début, ce n’était pas super rassurant, mais le prix promis me plaisait bien, en tout cas plus qu’un inventaire de supermarché, avec moins d’heures, et pas d’heures de nuit. Ce n’était pas du tout comme je le craignais, du style obligée d’accepter la première fois pour trois sous afin de se faire une place au soleil.


Après, il m’a expliqué des détails plus techniques. D’abord pour les pipes :



C’est ce que je fais depuis, sauf quand on me tient les poignets, si tu vois ce que je veux dire (NDLA : oui ma jolie, je voyais ce que tu voulais dire). Ensuite les explications pour la sodo. Là, il a été clair :



Il m’a donc expliqué les règles :



C’était vraiment ce qu’on appelle maintenant un gonzo : du live, on chope une nana et on lui fait sa fête en direct avec un mec qui filme camera numérique au point. Avec des artifices qui permettent d’éviter qu’elle ne réclame deux millions de dollars pour souffrir deux millions de douleurs.


Je parle aussi du sida : pas de préservatifs dans le film ! Mais les trois acteurs (dont moi) amèneront un résultat de test nominatif datant de moins de huit jours (NDLA : quelque part je me dis que Julie est folle, et moi aussi : c’est la seule que j’ai toujours prise sans préservatif, vu que j’ai horreur de ça, mais après l’histoire j’ai fait un test).


Bref, vu le pognon qu’on me proposait et en me disant qu’il y avait suffisamment de nanas qui le font pour que j’y arrive aussi, j’ai signé le contrat après avoir vérifié qu’il ne contenait pas de trucs trop coups fourrés et que le type m’ait précisé que je serais déclarée (fiche de paie reçue avec beaucoup de retard mais effectivement) et payée immédiatement (en espèces, le pied quand on a un découvert). J’ai juste fait preuve de professionnalisme en posant des questions non évoquées, genre fringues :



Je donne ma taille mais j’émets un doute :



Ensuite, j’ai suivi ses conseils : test du sida, et j’ai commencé à me doigter le trou du cul. Au début, il y a comme une odeur, malgré une toilette soignée. Après, j’ai essayé les lavements : pas agréable du tout mais ça marche, c’est nickel. J’ai d’abord été dans un sex-shop acheter le nécessaire. Tu me connais, je n’ai pas froid aux yeux (NDLA : la connaissant, effectivement, je l’imagine très bien entrer sans hésitation dans un sex-shop, chose que je serais incapable de faire), j’y suis allée franco et j’ai demandé au type, un vicieux, des godes. Ce con m’a répondu :



Eh bien tu me croiras si tu veux, mais tout patron de sex-shop qu’il était, le type ne savait plus où se foutre. Il a quand même su me conseiller deux modèles de tailles progressives :



C’est comme cela que j’ai eu tout un attirail pour rien (NDLA : là, la connaissant, je suis sûre qu’elle a menti, je doute qu’elle se soit vendue de la sorte pour aussi peu, enfin j’ignore le prix d’un gode mais ça me semble très inférieur à l’estime que Mademoiselle Julie se porte).


Bref, rendez-vous un samedi matin à huit heures. On monte dans un monospace à quatre. Je suis la seule fille. Trois types avec nous, le metteur en scène, un cameraman, et un acteur. Le second est déjà sur place. Je prends le médicament conseillé. On roule un peu plus d’une heure et on arrive en campagne dans une jolie maison de campagne qui appartient au second acteur. Je croyais que les acteurs pornos étaient très mal payés, beaucoup moins que les actrices. Je m’étonne donc un peu. En fait, ce mec fait du porno quasi par plaisir, en plus d’un job, d’où son aisance. Il a une femme, présente ce jour-là, qui accepte sa double vie mais refuse de faire l’amour avec lui sans préservatif. C’est lourd, quand même, tu ne trouves pas ? (NDLA : comme expliqué plus haut, je ne pourrais pas me résigner à aimer une femme par plastique interposé). Après, il m’a proposé qu’on devienne amants en me disant carrément que ce qui le fait kiffer, c’est de se comporter en super dominateur avec les nanas, vu que sa femme lui refuse trop de choses. C’est pour ça qu’il fait du porno, pour enfoncer son pieu tout au fond de la gorge de nanas et pour leur démolir le trou du cul, parce que sa femme ne veut pas de ça ! Tu penses si je l’ai envoyé chier !


Enfin, on est passé aux choses sérieuses. Check-up : sida OK, j’ai mangé léger hier soir, j’ai chié ce matin en me levant, j’ai fait ma toilette après, je me suis fait un lavement, OK, mais j’en refais un dans la salle de bains, je me lubrifie et m’élargis, je ne sens plus trop ce que je fais, le médicament a l’air de marcher, le gode le plus gros rentre bien, sans cette impression de déchirement des premiers jours.


Bien, passons aux vêtements. Bas résille, là, j’ai cru qu’on n’allait pas s’en sortir, il n’y avait que des paires trop grandes, ça baillait. Mince, elles font toutes 1m80 les actrices pornos ? (NDLA : pas Taylor Rain.) Finalement, j’ai trouvé mon bonheur. Ensuite porte-jarretelles, sexy noir avec de la dentelle, soutif, effectivement, ça ne m’allait pas trop bien mais j’ai préféré en prendre un où ça ne tenait rien plutôt qu’un où je flottais (NDLA : pour revenir à Taylor Rain, elle et Julie ont à peu près des seins comparables). Le problème c’est qu’il était un peu taché (eh oui, rien n’était neuf) malgré le lavage.



Ça c’est de l’improvisation ! La suite : string ficelle, première et dernière fois de ma vie, super inconfortable. Bon, comme disait le metteur en scène à propos du soutif : je ne le garderai pas longtemps. Minijupe, pas ras-la-touffe mais bien ras-la-jarretière en tout cas, bleu clair satiné (il paraît que c’est la meilleure couleur pour une brune, ah bon ?), top à bretelles même couleur et chaussures à talons à ne pas savoir marcher deux cents mètres avec. Sinon, elles étaient classe, ces chaussures, avec des lanières qui montaient sur la cheville. C’est vraiment parce que je suis nulle pour marcher avec des hauts talons que je n’en ai pas cherché de pareil. J’adore les chaussures style poupée Barbie. Tu sors avec ça, tu peux être habillée avec un sac à patates, tu as tous les mecs qui te regardent (NDLA : là, je lui ai fait remarqué que même sans les chaussures, si elle sortait habillée d’un sac à patates, tout le monde la regarderait, nous avons rigolé et je lui ai roulé une pelle longue à souhait).


Puis l’opération maquillage :



Ouais, j’ai compris pourquoi, elle m’a emmenée dans la salle de bains, fermé la porte. J’ai cru que c’était une gouine mais non, ce qu’elle voulait c’est juste m’angoisser :



Minute, c’est quoi ce trip ?



Je suis tombée dans un asile, c’est ça ? C’est des extraterrestres ? Quand je suis sortie, je ne me suis pas dégonflée, j’ai raconté tout aux quatre mecs devant elle. C’est le metteur en scène qui a mis les choses au point :



Là, elle n’a pas apprécié, mais le metteur en scène s’est foutu royalement de sa colère. Il s’en foutait, il savait que Fred ne le laisserait pas tomber, il aimait trop ça. Pourtant il y tenait, à Fred, c’était un super acteur (pas un super bon coup, pourtant), parce qu’il éjaculait sur commande. Véridique, je t’assure. Toi, tu dures longtemps mais si, quand j’ai bien pris mon pied, je te demande de finir, tu ne sais pas éjaculer sur commande. Tandis que lui, il éjaculait sur commande, en fait il se retenait d’éjaculer et il pouvait arrêter de se retenir quand il voulait. Du coup, c’était prépondérant pour le film, la séance durait approximativement le temps que mettait l’autre, qui n’était pas éjaculateur précoce non plus, à lâcher sa purée et dès qu’il l’avait lâchée, Fred la lâchait !


L’autre atout de Fred, pour le porno, c’est qu’il en avait une grosse. Jamais vu une pareille (NDLA : là, j’étais un peu vexé. Ma femme, elle m’a toujours dit que j’avais la plus grosse, et Julie s’est aperçue que je faisais la grimace). Si je t’assure, nettement (NDLA : salope !) plus grosse, trop grosse d’ailleurs.


Le deuxième acteur, il avait une bite de taille normale, mais c’était un type avec un corps d’athlète. Il aurait pu être mignon mais un il était trop musclé, je n’aime pas, et deux il avait une espèce de barbiche à la mode, ce que je n’aimais pas du tout. En plus, il n’avait pas l’air de sortir de l’école où j’avais posé nue. Il s’appelait Aurélien et était aussi jeune que moi. Comme Aurélien était trop long à dire, le metteur en scène l’appelait Hardy, parce que Aurélien – Laurel et Laurel – Hardy. Vise l’humour !


Bon, bref, on a laissé la tarée piquer sa colère et on est remonté dans le monospace, direction l’endroit repéré pour le crime. Je suis descendue sur le bord de la route, j’ai avancé un peu et le cameraman a commencé à me filmer toute souriante. Ensuite la bagnole est repartie, a fait demi-tour, s’est éloignée de cinq cents mètres, a refait demi-tour pour revenir sur moi. Le cameraman a filmé dans la voiture avec dialogue :



Le cameraman est ensuite descendu pour venir prendre un plan de la voiture qui arrivait, puis un autre de son arrêt près de moi. Je suis montée à l’avant et le cameraman à l’arrière, derrière le chauffeur. Le metteur en scène était derrière, dans la partie coffre, et donnait ses instructions. La partie « drague » du film n’a pas duré longtemps : une fois monté, cela aurait fait moins d’une minute ! Tu vois, mon amour, toi, tu as commencé par me faire la conversation, assez pour placer ton invitation au restaurant. Le lendemain, nous sommes allés ensemble au Jules Verne, tu m’en as foutu plein la vue et nous avons fini la nuit dans ton lit. Bref, tu as mis trente-six heures à me séduire, soit deux mille fois plus longtemps que dans le porno. Imagine si dans la vraie vie on draguait deux mille fois plus vite ! Bon, c’est vrai que ça t’a coûté moins cher que mon salaire du porno.


(NDLA : là, je crois utile d’ajouter un petit échange verbal entre elle et moi :



Et là, nous avons à nouveau ri comme des gosses avant de nous embrasser goulûment).


Après la drague, le conducteur, Fred, a commencé à me peloter les cuisses. Je lui ai rendu la pareille et là j’ai été un peu surprise de sentir sous mes doigts qu’il ne bandait pas. En fait, les acteurs pornos s’économisent, paraît-il ! Là-dessus, le second acteur s’est levé derrière moi, et ses mains sont venues me peloter les seins. À part la non-érection de Fred, j’étais super excitée, et on a finalement trouvé un coin tranquille pour s’arrêter.


C’était au fond d’un chemin, à l’entrée d’un pré qui était entouré de haies vives, ce qui en faisait vraiment un endroit à l’abri. Mais pour moi, qui ai quelques origines rurales, j’ai tout de suite remarqué que le foin était juste fauché. J’ai dit au metteur en scène que dans l’état où était le foin, il ne serait pas étonnant qu’on voie débarquer le paysan du coin pour le secouer (le foin, pas le metteur en scène). Tu sais comme vous êtes machos, vous, les mecs, alors ce n’est pas une nana à l’air complètement sotte (je sais bien faire la sotte, hein, mon amour ?) (NDLA : et elle me fait un bisou) et prête à se faire « péter la rondelle » pour du fric, comme disait le metteur en scène, qui pouvait leur donner des conseils.


Une fois arrêtés, le metteur en scène m’a dit de m’élargir avec mes godes, en les lubrifiant comme il faut pour ajouter de la lubrification. Je me suis exécutée, un peu surprise que les deux acteurs ne me regardent pas faire (ils étaient sortis pisser sur le foin, ce qui n’aurait sûrement pas été du goût du paysan s’il avait été là !). Seul le cameraman, qui avait l’air neuneu et n’avait pas dit un mot, me matait en bavant. Je voyais qu’il bandait comme un fou et il a eu un hoquet à un moment, je crois qu’il avait sali son slip. J’étais super excitée et le metteur en scène m’a dit de me mettre de la bombe dans le fond de la gorge. C’était exactement la même sensation d’insensibilisation qu’avec un produit pour le mal de gorge et je trouvais que ça allait m’empêcher de profiter de la baise, tu sais comme j’aime être embrassée pendant l’orgasme.



On refait l’arrivée de la bagnole, le metteur en scène nous fait signe d’ouvrir les carreaux :



On suit les consignes et il décide qu’on va passer aux choses sérieuses : on passe d’abord à l’arrière et les deux mecs rabaissent les dossiers des sièges, ce qui laisse une bonne place (mais pas hyper confortable) pour commencer la partie fine. C’était plutôt marrant, il filme les deux gars en train de rabattre les dossiers et ça donne au premier coup :



Évidemment, on a refait la scène après. Moi je rigolais et rire, ça m’excitait encore plus, alors j’ai lâché :



Bon, quelques petites explications s’imposent, données par le metteur en scène. Quand on passe au hard (ça dépend des metteurs en scène mais lui, il fait comme ça), il donne ses consignes dans le feu de l’action, après plutôt que de couper les bouts où on entend ses consignes, il coupe juste le son et le refait : c’est un peu plus de boulot mais ça évite les sauts d’images, surtout que tout est filmé par un gars qui n’a pas de trépied pour assurer la fixité de la caméra.


Bref, après quelques consignes, on attaque plus fort. Hardy me retire la jupe et les deux s’exclament sur mon joli string et ma chatte rasée (épilée, en fait). Fred enlève le haut et cette fois ce sont mes seins qui sont l’objet de réflexions d’une grande poésie. Moi, je mouille comme une folle, presque autant que quand tu me déshabilles, mon amour. Je souris le plus sottement possible :



Il écarte mon string et se baisse pour me sucer, Pierrot filme par la portière ouverte. Fred n’est pas en reste : il ôte mon soutif et me pelote et lèche les seins. Tu sais, je ne recommencerais plus, maintenant, mais deux types qui s’occupent de toi comme ça, c’est plutôt affolant. Hardy ne suçait pas mal, mais c’était clair : je voulais de la queue.



On est un peu à l’étroit.



Je l’aide à se déshabiller, Fred se branle pendant ce temps-là. Hardy bande à mort, ça change de Fred, qui ne durcit vraiment que dans le feu de l’action. Je suis super excitée.



Quand Pierrot passe de l’autre côté, Hardy arrête de me baiser pendant les secondes que dure le changement de scène (pour s’économiser), du coup c’est super frustrant. Fred, lui, continue dans ma bouche :



Mince, ça me refroidit un peu. Moi, j’attends que ça, de me faire limer pour prendre mon pied, s’ils arrêtent toutes les minutes, ça ne va pas être terrible !



C’est vrai que je ne sens pas son sexe au fond de ma gorge.



Un peu plus tard :



On installe un grand drap par terre et je me mets en levrette. C’est toujours Hardy qui me pénètre.



Exécution, je ne jouis pas du tout, mais je hurle comme si.



Ça continue, Fred baise violemment, c’est nul, question plaisir. Hardy, lui, se laisse plutôt sucer mais je ne l’ai pas l’impression de lui procurer beaucoup de plaisir, car je ne sens pas trop ce que je fais.


Ça dure un certain temps, Hardy se fait engueuler :



Mais il va moins profond, il cherche plus le contact de ma langue, il cherche plus son plaisir :



Fred passe dans mon cul, ça rentre tout seul, il est doux, il fait des mouvements pour que ça progresse, puis une fois bien en place :



Et là, ça commence à y aller effectivement. J’ai beau avoir mis ce qu’il faut, je sens un peu la douleur mais aucun plaisir.



Et ils y sont allés. J’ai essayé d’échapper à leur contrainte, mais peine perdue : ils me tenaient. La vache ! ce qu’ils m’ont fait déguster, les salauds ! Jamais plus ça, je te jure.


Et là, coup de théâtre, arrivée d’un énorme tracteur avec un engin qui secoue le foin avec des trucs qui tournent dans tous les sens ! Devant le tracteur, une grosse fourche stoppée à peine un mètre du monospace. Tout s’est arrêté d’un coup, tu penses bien ! J’étais contente !


Le paysan s’arrête, il ouvre la porte de son tracteur et nous engueule, sûr de lui. Il était là, à deux mètres de hauteur et il s’en foutait qu’il y ait quatre mecs contre lui tout seul.



Il n’avait pas du tout d’accent, et malgré ses fringues pleines de cambouis, il était super mignon, bien foutu, pas de ventre, des épaules carrées, sans être le genre Hardy – Stallone, belle gueule, ton âge à peu près, peut-être un peu moins.



Il n’avait vraiment pas froid aux yeux. C’est Hardy qui a réagi le premier :



Le metteur en scène, lui, ne voulait pas du tout d’histoires, pas question d’embrochage de voiture, de cassage de gueule ou d’aplatissement de la bite d’Hardy :



Le paysan n’avait pas du tout l’air d’un abruti, à mon avis, il devait être instruit et un truc genre adjoint au maire, pour connaître tout ça. Le metteur en scène, il était bien mal à l’aise, et c’est moi qui ai cherché à le tirer d’affaire :



Finalement, ça a été peine perdue, le metteur en scène avait les jetons, il ne devait sûrement pas être en règle (c’est peut-être pour ça que j’ai eu une fiche de paie ?) alors il a donné la caméra, on a remballé tout, reculé la bagnole pour laisser entrer le tracteur et on est tous repartis « la queue basse ».



Après la rigolade, mon second sentiment a été que c’était foiré.



On est rentré à la maison de campagne de Fred, je m’y suis lavée et changée, et il nous a fait à manger. Les produits commençaient à ne plus faire effet. J’avais un peu mal au cul. J’ai insisté pour me faire payer, il ne voulait pas. On est rentré à Paris et une fois à son bureau, Fred et Hardy partis, la discussion sur le pognon a recommencé.



Je voulais mon pognon, alors je l’ai sucé. Il n’était pas fait pour être acteur, il ne s’est pas retenu longtemps et, au lieu d’éjaculer dans ma bouche, il s’est retiré pour m’en foutre plein la face.



De suite, je n’avais plus du tout envie qu’il y en ait une. J’avais super mal au cul et ça a duré plusieurs jours. C’est inimaginable, t’aurais vu comment le Fred s’est déchaîné dans mon anus. Toi, à côté, dans mon sexe, et Dieu sait si tu es pourtant parfois vigoureux, ce n’est rien. Et j’avais le fond de la gorge tout irrité.


Voilà, tu sais tout de mon unique expérience ratée du porno, tu ne pourras même pas visionner le film, il n’a eu qu’un spectateur, le paysan.




* * * * *




Comme promis, ce n’était guère bandant, n’est-ce pas ? et glauque à souhait, et vulgaire, hein, messieurs les critiques ?


Enfin, histoire pas bandante, lue comme ça, parce que moi, elle m’a été racontée par une jolie fille, Julie, lovée dans mes bras, qui m’embrassait régulièrement et avec à la fin des caresses d’amoureux qui m’avaient bien remis en train.



Et je lui ai refait un second film porno, mais sans caméra, où nous nous sommes bien éclatés, mais sans que je ne lui « éclate la rondelle ».


Merci Julie…



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Erotisme torride

Tendre Amour

Bon Scénario

Belle Ecriture

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n° 11688Amoureux des récits d'aventure06/09/07
L'île
critères:  fh fhh hplusag asie couplus extraoffre uniforme grossexe handicap bateau odeurs fellation anulingus pénétratio fsodo aventure -aventure
23732 caractères      
Auteur : Apv      Série : L'Exil et le Royaume - 04

Résumé : Une guerre nucléaire totale a éclaté. Seuls les passagers du Blue Royal, bateau de croisière dans le pacifique, semblent avoir survécus. Pour pallier les manques de vivre, le commandant Kruger décide de débarquer de nombreux passagers sur des canots de sauvetage. Un groupe de personnes « compétentes » a été mis de côté.

Mais Jacques et ses compagnons semblent avoir repris les commandes du bateau quand une rafale titanesque gifle le navire qui manque de chavirer.

Que va-t-il arriver à Jacques, à Julie MacDowel, à Catherine la française et à Paula la jeune mexicaine. Kellian et Kriss les deux jumeaux vont-ils survivre ? Et le couple M’Vondo, Kwun la coréenne et le russe Vladimir Foutwov ? Greg Blackman le mécanicien et les autres passagers vont-ils pardonner au commandant Kruger et à son second, le capitaine Harris ?


Partie 1 : L’Exil


Chapitre 4 : L’île


Les yeux de Wim Zeigtedl regardaient sa femme se déshabiller. Cet homme, de 85 ans, s’était remarié pour la troisième fois avec Elga, une femme d’une quarantaine d’années, très libre. Riche industriel norvégien, Wim Zeigtedl était assis dans son fauteuil roulant et appréciait le corps très maigre de sa femme.


Dans la cabine du bateau de croisière, le capitaine Harris se tenait debout, pas très loin de la porte et observait les longues jambes nues de la quinquagénaire blonde qui se retrouva en déshabillé noir en fine dentelle. Il les avait rencontrés à la soirée de réception la veille.


Wim Zeigtedl aimait passionnément Elga. Il lui avait offert un tour du monde. Depuis son handicap, le riche industriel ne pouvait plus assouvir les passions de sa femme. Souvent, il avait recours à des hommes plus jeunes pour la contenter.


Elga était élégante en toute situation. Ses cheveux châtains clair coupés assez courts n’étaient jamais décoiffés. La tête toujours haute, la norvégienne marchait avec dignité et grâce.


Le capitaine Harris sentit sa verge se serrer dans son pantalon d’uniforme. Il vit la femme ôter son joli string et le lancer à son mari. Ce dernier rit et s’adressa au capitaine :



Et c’était vrai que Elga aimait se faire prendre et surtout devant son mari pour qui elle avait beaucoup d’affection.


Harris approcha de la quinquagénaire et, tout en regardant le vieil handicapé, il déboucla la ceinture en cuir de son pantalon. Elga lui fit dos et se pencha vers son mari pour l’embrasser tendrement. La verge raide cogna contre les fesses blanches de la norvégienne qui sursauta. Déjà des doigts fouillaient son intimité non sans une certaine brusquerie.



Elga sentit la langue d’Harris forcer ses fesses pour titiller son orifice anal. Il le lécha consciencieusement comme pour signaler le lieu où il jouirait. Toujours penchée sur le fauteuil roulant, la quinquagénaire se tenait aux accoudoirs et écartait ses longues jambes. Wim regardait avec excitation les doigts du capitaine palper le sexe de sa femme et imaginait ce qu’il pouvait faire avec sa langue. Elga gémit un peu et embrassa son vieux mari qui passa ses mains ridées et tremblantes sous le déshabillé noir pour caresser les petits seins pointus.


Le marin, entièrement nu – il avait jeté sa casquette et sa chemise à galons – se posta debout juste à côté du fauteuil roulant. Avec un sentiment d’admiration mêlé peut-être de jalousie, Wim observa le sexe en érection.



Elga s’agenouilla et caressa la verge dressée devant elle. Puis, du bout des doigts, elle gratta, titilla les testicules velus pendant que sa langue dardait le gland palpitant. La verge sentait fort. Elle aimait ça. Elle aimait les effluves puissants. Ça augmentait son plaisir.


Wim caressait les cheveux courts de son épouse comme pour l’encourager. Ces situations de candaulisme l’excitaient au plus haut point. Malgré son impossibilité de bander, à cause de son handicap et, aussi, un peu à cause de son âge, l’industriel tirait beaucoup de plaisir de ces échanges.


La blonde passa plusieurs fois sa langue le long de la hampe avant de mettre dans sa bouche la verge dure et odorante puis commença, doucement, une caresse voluptueuse. La bouche aspirait, serrait, suçait. Le capitaine Harris se raidit tant la fellation était généreuse et pour arrêter le divin supplice, il alla s’asseoir sur le divan en cuir de l’autre côté de la cabine. Elga le rejoignit après avoir embrassé son mari qui resta à son observatoire. La femme maigre fixa le marin avec un air de défi dans son sourire. Elle passa un doigt dans son sexe pour l’ouvrir. L’homme nu assis sur le cuir du divan apprécia. Elle s’empala sur la tige tendue qui attendait avec impatience.


Harris tenait la norvégienne par sa petite taille et observait avec admiration son sexe disparaître, avalé par le vagin gourmand. Le rythme imprimé par la blonde se ralentit car elle fatiguait et elle s’allongea sur le divan. Sa peau frissonna au contact du cuir.


Wim regardait son épouse. Il aimait ses longues jambes qui s’enroulaient autour du corps vigoureux du marin qui pénétrait avec facilité le sexe humide et offert. Très rapidement Elga sentit un grondement intérieur l’envahir et presque avec un regard suppliant, elle jouit en se tournant vers son mari de l’autre côté de la cabine qui s’excitait, seul sur son fauteuil roulant. La quinquagénaire serrait ses mains sur les épaules du jeune capitaine qui faisait durer son orgasme. À bout de force, elle s’étendit sur le divan et soupira d’aise.


Harris se leva pour laisser à la norvégienne le temps de reprendre ses esprits. Il observait le corps maigre de la femme qui se caressait négligemment la poitrine. Il pourrait inscrire cette nouvelle baise sur son carnet où il inventoriait toutes ses conquêtes. Encore une. Il lui était déjà arrivé de faire l’amour devant le mari. Depuis tant d’années sur ce bateau de croisière, il avait presque tout fait. Toutes les femmes qui travaillaient sur le navire, il les avait baisée, sauf le capitaine Julie MacDowel qui se refusait toujours, la salope !



À la réponse affirmative du marin, la blonde ajouta :



Encore une sodomie qu’il pourrait comptabiliser sur son précieux carnet.


Elga se leva et se mit à quatre pattes devant son mari en reposant sa tête sur ses genoux. Wim lui caressa les cheveux en observant le capitaine s’installer derrière la croupe tendue. Les doigts de ce dernier vinrent chercher la mouille abondante pour lubrifier l’anus déjà un peu détendu.


Un peu craintive, Elga serrait son vieux mari qui la dorlotait avec tendresse. Harris posa son gland contre l’orifice et le pressa doucement. La norvégienne se tendit un peu, puis se relâcha et c’est à ce moment que sa rondelle céda et que la verge s’engouffra. Elle poussa un cri mais le capitaine n’eut cure de sa plainte et, accroché aux maigres hanches, il enfonça sa tige dure puis revint ainsi de suite assez lentement.


Il aimait ça, sentir sa queue toute serrée dans le cul d’une femme, le Harris. Enculer était pour lui l’ultime revanche contre la gente féminine. Il pensait, à tord, que les femelles se faisaient sodomiser par pur besoin de satisfaire les pulsions des mâles. Le faire et en abuser ; il aimait ! Ah, qu’il aurait aimé prendre le petit cul de la belle Julie. Dans son carnet, il n’avait jamais sodomisé une rousse. Un manque !


Elga serra les mains de son mari et gueula en le regardant. Ses yeux pleuraient. Son visage était crispé.



Derrière elle, Harris se déchaîna et éclata aussi. Au paroxysme de leur orgasme, un éclat soudain emplit la cabine baignant la pièce d’une funeste lumière. C’était l’explosion.



~~nOe~~



Dans un accès de compassion qui ne lui était pas commun, le capitaine Harris avait ajouté le couple norvégien à la liste des « élus » du commandant Kruger. Plein d’une curieuse sollicitude, il était revenu dans leur cabine pour les emmener à la salle de réception. Elga n’était pas encore habillée. Elle n’eut le temps que de passer un string sous son déshabillé en dentelle noire. Elle poussa son octogénaire de mari jusqu’à la salle de réception.



~~nOe~~



Jacques, Bonaventure M’Vondo, Marc Middle et Jigoro Jotsu venaient de débouler sur la passerelle pour arrêter le commandant lorsqu’un souffle gigantesque frappa le navire manquant de justesse de le faire chavirer. Tous les passagers du Blue Royal furent projetés au sol. Il était évident que les canots de sauvetage en mer avaient été balayés et qu’aucun survivant n’était à espérer.


Le commandant Kruger se releva péniblement. Du sang coulait de son front. Bonaventure se saisit de lui. Julie MacDowel, qui venait de rejoindre le groupe sur la passerelle, prit le com interne :



Un long silence, lourd de signification, envahit la passerelle et la salle des machines.




~~nOe~~



Jacques et Julie organisèrent le rationnement. Il restait environ 500 personnes sur le navire. Depuis des jours la tempête faisait rage. Les réserves de carburant diminuaient dangereusement. Greg Blackman monta à la passerelle. La pluie et le vent battaient les larges vitres.



Une atmosphère particulière s’était établie. La hiérarchie avait quasiment disparu pour laisser la place à une coopération saine et naturelle. Jacques, secondé par Vladimir et par Catherine, organisait la vie.

On avait dû déplorer de nombreuses disparitions à cause d’imprudents qui sortaient sur les ponts extérieurs. Il devenait indispensable qu’une organisation se mette en place et les qualités naturelles de Jacques en firent l’agent.


Les enfants avaient tous été regroupés et quelques adultes s’en occupaient sous la responsabilité de Kwun et de la gentille Mikyo, la femme de Jigoro le japonais.

Le rationnement était organisé par Kriss et Kellian épaulés par l’imposant Vladimir Foutwov qui devait parfois calmer les disputes et les réclamations intempestives.


La météo ne décolérait pas. Le navire filait droit devant lui ne rencontrant aucune terre. Marc Middle et Julie MacDowel gardaient nuit et jour un œil sur les jumelles. Les radars, les appareils électriques ne fonctionnaient plus. Sans doute, l’explosion avait été suivie d’une immense onde de choc électromagnétique qui avait détruit toutes les installations.


Le commandant Kruger lisait son livre fétiche dans les soutes où il était enfermé avec ses hommes fidèles. Harris le regardait feuilleter sans relâche son exemplaire de la République de Platon.


Le soir venu, tout le monde cherchait le sommeil tellement la mer déchaînée grondait dehors.

Nommés médecins responsables, Bonaventure et Ella M’Vondo passaient voir les passagers pour s’enquérir de leur santé et surtout de leur moral. Pour favoriser le sentiment de sécurité, ils avaient regroupé des couples dans les grandes salles avec les enfants et les adolescents. Ainsi, on comptait une dizaine de dortoirs de fortune à travers le navire.

La nuit les jumeaux rejoignaient Paula dans une des cabines désertes du bateau pour se consoler et jouir de moments intimes.

Catherine se joignait parfois à eux ou restait seule à lire son exemplaire à tirage limité du cinquième livre de la République. Depuis ces études de philosophie à Paris, ce livre n’avait cessé de la hanter. Son oncle l’avait initiée à la lecture de Platon et lui en recommandait une lecture assidue. Depuis bien longtemps, elle ne vivait plus avec lui, néanmoins elle entretenait ce rituel.


Mikyo Jotsu retrouvait son mari dans la cabine qu’ils n’avaient pas quittée. Jigoro faisait l’amour à sa femme qui docilement acceptait ces étreintes chaque soir. C’était un homme petit mais énergique qui concevait l’acte sexuel plus comme un devoir conjugal qu’un moment d’échange de plaisir avec sa femme.


Après avoir couché tous les enfants, Kwun vint se délasser dans sa chambre mais, plus de douche ! L’eau était rationnée. Toute habillée, elle s’allongea sur son lit. Une légère angoisse étreignait son ventre et elle ne put longtemps la contenir. Comme elle ne trouvait pas le sommeil, elle se releva en quête d’un homme pour éteindre l’angoisse qu’elle éprouvait.

Elle entrouvrit la porte de la cabine de Jacques mais ce dernier n’était pas là ! La coréenne monta à la passerelle où elle le vit avec la belle rousse, Julie MacDowel, le timide, Marc Middle et le grand noir, Greg Blackman. Vladimir Foutwov dormait dans un coin. Pas question de compter sur lui. Tous se tournèrent vers elle.



Jacques et Marc les regardèrent sortir.



~~nOe~~




La cale des machines était immense. Une odeur d’huile et de fuel s’en dégageait. Il était assez étonnant de remarquer que le bruit qui en émanait n’était qu’un ronronnement uniforme. Un petit bureau attenant à cette cale accueillait le mécanicien de quart.



Greg Blackman fut un peu gêné et comme la coréenne feuilletait les différents mois, il déclara :



La femme se retourna et ôta sa chemise en fixant l’afro-américain avec ses jolis yeux bridés.



Rapidement elle laissa tomber son petit soutien-gorge sur le sol métallique pour offrir sa poitrine ronde. Instinctivement le marin la prit dans ses grosses mains et la malaxa avec une certaine joie naïve. Kwun continua à se déshabiller puis déboucla la ceinture de l’homme qui recula. Il observa les petites hanches de la coréenne et le pubis taillé en un rectangle vertical assez étroit.



Il ne continuait pas alors Kwun approcha.



Il baissa son pantalon et son caleçon. Un énorme sexe pas encore en érection jaillit. La petite asiatique poussa un cri en écarquillant les yeux. C’était un monstre long et très épais qui pendait entre les jambes velues du noir. Jamais la coréenne n’aurait pu imaginer tel engin. Penaud, Blackman attendait.

L’angoisse qui taraudait la jeune femme quelques instants auparavant avait fait place à un sentiment trouble mêlé d’excitation et de perplexité.


Kwun reprit ses esprits, enleva la chemise bleu marine du marin noir et ils se retrouvèrent tous les deux nus dans la salle des machines qui ronronnaient. Ils s’enlacèrent doucement. Le corps de la coréenne était tout petit entre les bras puissants de Greg qui caressait son dos et ses frêles épaules saillantes. Kwun ne pu s’empêcher de prendre rapidement le monstre reptilien avec ses deux mains pour le soupeser. Il était lourd. Il était chaud. Elle se mit de côté pour laisser l’énorme verge se dresser. Il fallait bien ses deux mains pour l’entourer entièrement. De veines gonflées longeaient le membre qui enflait.


Depuis toujours, Blackman rencontrait des difficultés pour trouver des femmes qui voulaient bien de lui. Certaines fuyaient en courant lorsqu’apparaissait le monstre. D’autres, plus polies, minaudaient avant de prendre congé prétextant de quelconques variétés de mal de tête. Bref, rares étaient les femmes assez courageuses pour prendre du plaisir avec cet homme qui, du reste, était élancé, d’allure sportive, avec les traits du visage engageants.


Le gourdin était en érection. Une barre horizontale dressée au niveau du ventre plat de l’asiatique.



Il était debout au milieu de la salle des machines bourdonnante. Elle posa une main sur le monstre dressé, l’autre sur la belle poitrine velue et susurra à l’oreille :



La petite coréenne enjamba la verge noire et la pressa entre ses cuisses. Ses jolies fesses se plaquaient contre le ventre du marin qui saisit les seins ronds comme des pommes bien mûres. D’un lent mouvement des hanches, d’avant en arrière, Kwun longeait le gourdin qui frottait sa petite chatte et comme elle mouillait déjà, la verge noire devint luisante. Elle savourait avec délectation la raideur du cylindre entre ses cuisses serrées. Sur la pointe des pieds – le machiniste était assez grand et elle assez petite – Kwun gardait l’équilibre.


Greg Blackman admirait le petit corps qui se frottait sur son engin. Il sentait la pression exercée par les cuisses de la jeune femme et le ruissellement qui le trempait. Cet homme de 45 ans, aux cheveux rasés, éprouva de suite une douce affection pour cette petite. Bien sûr il était excité comme tout homme qui se respecte devant les avances non dissimulées d’une femme, toutefois la gentillesse qui se dégageait de Kwun le touchait.


Dur comme du marbre, le reptile était si long que l’asiatique pouvait en admirer la tête toute veineuse qui dépassait devant. De ses deux mains, elle la pressa. Kwun sourit ; elle se voyait comme une sorcière sur son balai.


La pression des cuisses, les mouvements amples et réguliers et les doigts qui jouaient avec son gland bouleversèrent le marin dont les mains avides parcouraient le corps délicat de la jeune femme.



Elle se dégagea de la verge noire toute gonflée et se tourna vers le mécanicien dont la sueur mettait en évidence sa belle musculature.



D’un geste ample, Greg balaya le bureau de toutes les fournitures. Kwun s’y allongea avec un peu d’inquiétude en regardant Miss Juillet sur le mur.



Puis, avec quatre doigts, il étala le liquide visqueux sur la fente de l’asiatique qui l’observait en souriant. Elle était vraiment magnifique et Greg Blackman était fasciné par la beauté exotique de son visage.


Le gland toucha la chair et la pression commença. La jeune coréenne se sentit écartée, envahie, percée. L’ampleur de la verge prenait réellement sa mesure à l’entrée de son vagin. Le gland n’était pas encore entièrement entré que la jeune femme s’écriait qu’il fallait qu’il s’arrête. Mais Blackman la rassura tout en continuant sa lente progression et le gland fut avalé. Kwun se cambra et tomba sur le bureau, les bras en croix, sentant toujours le membre énorme l’emplir. Une sensation d’étouffement la saisit. Pas une douleur aiguë, un sentiment d’oppression. Ça s’écartait toujours.


Le marin commença un mouvement de va-et-vient très lent en allant toujours plus loin à chaque avancée. Il sentait sa verge serrée dans l’étroit fourreau de la jeune asiatique qui regardait le plafond blanchâtre la bouche ouverte.


Des cris aigus sortirent de la gorge de Kwun. Tout son corps se crispa. Ses jambes, largement écartées, giflèrent les flancs musculeux de son amant qui poursuivait son labeur. Elle hurla qu’elle jouissait, qu’elle allait mourir, que c’était trop bon. Puis, au bout de quelques minutes, elle pleura se plaignant de douleurs. Greg sortit.



Ils demeurèrent ainsi sans bouger un moment. Kwun dit qu’elle était désolée mais elle était trop petite pour lui. Gentiment, Greg la caressa. Ce petit corps allongé sur son bureau l’attendrissait. Les petites mèches de cheveux noirs de la coréenne étaient collées sur son visage en nage.


Blackman lécha doucement le sexe béant. Il se releva et se masturba. Redressée, Kwun lui dit qu’elle allait le boire s’il le voulait bien. Elle approcha son petit minois du gourdin qui palpitait. Quelques coups de langue sur le prépuce et le sperme épais et chaud jaillit. La bouche s’ouvrit et le liquide abondant s’y déversa par jets successifs. Pas question de prendre le membre herculéen dans la bouche ; juste l’extrémité du gland. Le noir était aux anges.



~~nOe~~



Le lendemain après-midi, la tempête frappait toujours le Blue Royal qui filait tout droit malgré une houle gigantesque. La pluie battait le navire et le vent, assourdissant, giflait les hublots. Greg Blackman remonta des machines.



Jacques et Marc étaient là, eux aussi. Tous les passagers avaient été réunis dans les grandes salles. On avait apporté autant de matelas et de couvertures qu’on avait pu. Catherine et Paula en avaient distribué à tous les rescapés, aidées par Kriss et Kellian. Kwun et Mikyo avaient réuni les enfants. Julie MacDowel avait prévenu tout le monde : une fois en panne de carburant, le navire serait chahuté et le naufrage était à prévoir. Tous restaient calmes malgré leur funeste destin. Résignés. Les prisonniers en fond de cale étaient remontés avec les autres. Le commandant Kruger était muet, recroquevillé, serrant son livre entre ses mains tremblantes.


Les moteurs stoppèrent. Le navire ralentit pendant que les éléments redoublaient de colère. De violentes bourrasques claquaient les flans du bateau. La pluie incessante depuis l’Explosion (voir chapitre 1), frappait sans relâche les vitres de la pauvre embarcation qui tanguait dangereusement.


Au fur et à mesure que le temps passait, les passagers étaient de plus en plus secoués. Personne ne criait pourtant, comme s’ils attendaient le dénouement avec une acceptation totale. Combien de minutes s’écoulèrent ? Des secondes vertigineuses pour Julie, Greg, Jacques et Marc accrochés à la passerelle, mais aussi pour Kwun, Catherine, Paula, les jumeaux et le vieux russe Vladimir blottis dans des couvertures, des secondes abyssales pour les M’Vondo, les Jotsu et les norvégiens Zeigtedl barricadés dans leur cabines, un temps incommensurable pour tous les passagers.


Soudain un craquement énorme et terrifiant résonna comme la plainte d’un monstre. Le navire hurlait. Un choc immense se propagea. Alors que la furie des éléments malmenait le bateau perdu sur l’océan démonté, l’embarcation percuta de plein fouet des puissants rochers.


Tout le monde fut projeté comme des pantins à travers le navire. Des hurlements s’élevèrent.

Jacques se releva. Les vitres de la baie avaient explosé. Et il la vit ! Julie se redressa également et se cramponna à Jacques. Ils virent l’île. Mais une immense vague déferla sur le Blue Royal.


La suite dans la Partie 2 : « Le Royaume », certainement précédée par un prologue « La prophétie »





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n° 11760Karine2x26/09/07
Sexothérapie
critères:  fh couple grossexe revede hmast fgode
24849 caractères      
Auteur : Karine2x      Série : Mon journal érotique - 06

Décembre.


Je ne suis pas remise de mon aventure au hammam (voir chapitre 5).

Pressée par ses autres rendez vous, Ayaan m’a claqué deux bises sur les joues en me glissant à l’oreille « Karine, tu m’appelles». Je n’ai pas eu le temps de réaliser, je me suis retrouvée dehors avec les jambes en coton, honteuse de m’être laissée faire, mais sans aucun remord et prête à recommencer.


J’ai retrouvé Maud dans les couloirs. En fine psychologue, elle ne m’a pas balancé de vanne du genre « Bienvenue au club, ma chère Karine», elle s’est contentée d’arborer un petit sourire narquois et n’a posé aucune question. Résultat de cette aventure, je ne sais plus où j’en suis. Ça ne tourne plus rond.




Chapitre 6 : Sexotherapie.




La langue de Ayaan s’active divinement dans mon entrejambe. Je ne vois que sa montagne de cheveux bouclés qui ondule… Oh, punaise, qu’elle est douée, je me tortille…et…sous l’effet du spasme libérateur, je me réveille en sursaut, hagarde, à plat ventre, la main droite plaquée sur mon entrejambe.


Pierre, mon cher époux, réveillé par le soubresaut que j’ai dû effectuer dans le lit conjugal s’inquiète :



Il vient de pénétrer d’un coup de rein vigoureux ma chatte humide… qui ne demande que ça. Oh, punaise, le matin il a un sexe dur comme du bois, j’adore. Je ne vais pas être longue à repartir…



Un câlin dans le genre me met de bonne humeur pour la journée, n’empêche que j’ai un méga problème dans mon subconscient, un pète au casque… et qui s’aggrave. Mes fantasmes n’ont plus rien de romantique, ils tournent vers le hard, vers le porno, j’ose le dire. Plus rien à voir avec ceux d’une jeune fille en fleur qui rêve du Prince Charmant. Je disjoncte. Je dois en parler à quelqu’un.


A mon cher époux ? Peine perdue. Quand je lui raconte mes rêves érotiques le seul résultat est de le faire bander comme un cerf et de passer illico à la casserole comme ce matin. Je suis loin de détester, mais cela ne dissipe pas mes inquiétudes. Aller voir un psychiatre ? Non, je ne suis pas encore tout à fait cinglée.


Ce qu’il me faut c’est un spécialiste des problèmes de libido qui puisse m’expliquer ce qui m’arrive, me conseiller, m’aider. Une femme bien sûr. Je ne me vois pas déballer mes rêves érotiques devant un homme.


C’est ainsi que mi-décembre je me retrouve dans la salle d’attente de Mme X, psychologue, sexologue, thérapeute diplômée de je ne sais quoi, dont j’ai trouvé l’adresse sur le net et dont les compétences décrites sur son site paraissent correspondre à ce que je cherche.


Mme X soigne tout : problèmes de couple, dysfonctions sexuelles, perte du désir, anorgasmie, vaginisme, frigidité, éjaculation précoce, pannes sexuelles, impuissance psychologique et j’en passe. En attendant mon tour, curieuse, je feuillette les brochures déposées sur la petite table de la salle d’attente.


« Votre mari ou votre compagnon vous laisse froide quand il vous fait l’amour. Il est trop rapide, pas assez attentionné. De son coté, votre partenaire à l’impression que vous ne participez pas, que vous n’avez pas envie de lui. Vos rapports deviennent rares. Votre couple est en péril. L’amour n’est pas une science infuse, cela s’apprend. La tendresse ne suffit pas. Un minimum de technique est indispensable pour parvenir à l’harmonie sexuelle. Au cours de stages… ».


Elle organise des stages ! Oui, vous avez bien lu : des stages pour apprendre à faire crac crac. Sidérant ! Je poursuis ma lecture très intriguée.


« Mme X vous apprendra à maîtriser et à libérer votre énergie sexuelle, à faire tomber vos tabous issus d’une éducation trop rigide, à intensifier votre plaisir en vous concentrant sur les besoins de votre partenaire et sur les vôtres. Vous apprendrez comment éveiller et développer votre sensualité pour le plus grand bonheur de votre vie de couple. Avec des techniques simples vous saurez prolonger et accroître votre plaisir afin d’arriver ensemble à l’extase sexuelle… »


Quel baratin ! Voyons un peu le détail.


« Les stages se déroulent le soir en plusieurs sessions et réunissent cinq ou six couples maximum. Les sujets suivants seront abordés au moyen de présentation PowerPoint et de films.

La géographie intime de la femme, celle de l’homme.

Les principales zones érogènes.

L’orgasme. Son mécanisme. La masturbation. Les sexy toys.

Sondage et table ronde entre les participants.

Les principales positions : Avantages et inconvénients pour la stimulation de chacun des partenaires.

Les pratiques prétendument dépravées… »


La porte s’ouvre… C’est à mon tour. Zut, je ne saurai pas la suite. Si elle organise des travaux pratiques en fin de stage, j’aimerais trop être une petite souris… Je chasse cette pensée lubrique et je rentre dans son cabinet.



Je raconte en quelques minutes mon histoire que vous connaissez déjà (voir Chapitre 1).



Elle est cool cette psy ! Question déculpabilisation, elle est top.



Je lève des yeux interrogateurs et elle poursuit :



La sexologue me regarde dans les yeux et ajoute :



La sexologue me laisse déballer mon sac comme une vraie psy.



Je dois tirer une tronche pas possible, car elle semble s’amuser franchement en me regardant.



Comme je reste figée, abasourdie, elle me livre son diagnostic :



Devant mon ton grinçant, la sexologue se rend compte qu’elle a poussé le bouchon un peu loin et enclenche la marche arrière.



Punaise… Et si elle avait raison ?



Je retrouve un peu le sourire. Elle en profite pour m’annoncer :



Punaise… 50 € !


Je me retrouve dans la rue, heureuse de me savoir sans pète au casque irrémédiable, mais complètement perturbée par ses conseils. Le soir, pressée de questions par Pierre, je lui raconte une version édulcorée de ma visite. Cela lui donne néanmoins des idées. Lui aussi a des fantasmes.



Punaise… Qu’est-ce qu’il me prépare ?

Une minute après, je le sens trifouiller dans mon entrejambe, écarter mes petites lèvres. Quelque chose d’énorme se positionne à l’entrée de mon vagin.



Je crie pour la forme, mais je me garde bien de bouger. Ça fait quoi de se faire baiser par un mec monté comme un âne ? Le désir me tenaille les reins de le savoir. Une sensation incroyable. Le truc m’écarte le vagin en grand. Je me fais mettre par un éléphant ! Moi qui me croyais incapable d’enfiler un calibre pareil ! Même pas mal ! ……… Si……… Punaise………. Ce machin me dilate grave……… Je couine… Pierre n’a cure de mes petits cris plaintifs, il continue de pousser fermement. L’énorme sexe s’enfonce…… L’impression de me faire empaler.



Rebelote, sur le dos, genoux pliés, toujours les fesses rehaussées par l’oreiller, cuisses écartées, mes petits seins durcis et hérissés par la chair de poule, tétons pointant d’excitation. Voila le tableau.


Pierre, nanti d’une érection phénoménale, repositionne le phallus luisant de gel, effrayant, tout noir, bosselé, nervuré, pourvu d’un gland de la taille d’un bel abricot à l’entrée de ma petite chatte. Pour faciliter l’opération remplissage, je m’écarte moi-même le vagin au maximum. Je regarde hallucinée l’énorme gland disparaître lentement dans mon vagin beaucoup plus facilement que prévu, couche de gel oblige. Ça glisse, ça m’écartèle grave, mais ça rentre… Incroyable… Ça rentre… Déjà une dizaine de cm. …


La progression devient difficile, douloureuse car l’épaisseur plus la longueur, cela devient trop pour ma petite chatte. Se faire baiser par un mec monté comme un âne, c’est un fantasme à la con. Aïe……



Pierre, attentif, retire un peu la chose pour tester des petits va-et-vient. À chaque retrait, j’ai la sensation que le gros gland m’arrache le vagin. La peur d’être déchirée me gagne. Je me tétanise.



Exact ! Argument imparable.



Punaise ! Il a raison. J’aurai dû y penser. Il a une grosse expérience des femmes, mon chéri, il a dû se faire quelques pucelles en chaleur avant de rencontrer le glaçon que j’étais.


Action. Curseur à fond. Les vibrations qui m’envahissent se transforment en quelques secondes en ondes de plaisir. Je me décontracte, je me sens venir, la douleur passe au second plan. Au bord de l’orgasme, l’envie me reprend de m’enfiler ce gigantesque phallus noir. Je laisse tomber le vibro qui va me faire jouir trop vite et je m’empare moi-même du gode.



J’entame des va-et-vient très lents en ondulant du bassin comme je le fais d’habitude pour mieux sentir le sexe de mon mari. King Kong coulisse de mieux en mieux. Pierre devant le spectacle torride que je lui offre commence à se branler vigoureusement le poireau au-dessus de mon ventre. À chaque aller-retour, je le sors presque complètement, pour mieux le renfoncer lentement en me pénétrant de quelques millimètres supplémentaires qui deviennent à force des centimètres.


Aussi incroyable que cela me semble, ma chatte s’adapte à cette taille hors normes, plus de douleur, reste la sensation d’écartèlement, de remplissage total, de frottement sur toute la longueur de mon vagin,… et le plaisir sourd qui est en train de naître au fond de mon sexe.



Comme je ne l’écoute plus, il insiste.



Ça lui va ! Il éjacule sur la super salope. J’ai le ventre et la poitrine striés de sperme.

Délivré, il veut reprendre la direction des opérations.



Il a compris que vu la taille de l’engin, il fallait le manier doucement. Il me ramone puissamment à vitesse réduite et de l’autre main, il me malaxe les seins, étalant son sperme comme une crème de massage, alimentant la montée d’un orgasme que je pressens digne du livre des records. Je ferme les yeux, me représentant l’étalon black de mes fantasmes me défonçant le vagin, prenant son plaisir sans se soucier de savoir s’il fait mal à ma petite chatte…


Maso, je suis une salope maso, pensais-je en essayant de refréner tant bien que mal l’orgasme qui se pointe… Attendre… Faire monter encore…



Pierre accélère le rythme. Le tsunami annoncé arrive. Mon sexe explose de jouissance. Un spasme ravageur me tétanise et me crispe le ventre sur l’énorme pieu. Je jouis… Je jouis… Je jouis… Un orgasme au ralenti … qui ne s’arrête pas. Pierre, heureux pour moi, continue de me ramoner à fond jusqu’à l’ultime contraction.

Puis, tout se calme. La peur d’être déchirée réapparaît et la douleur avec.



Pierre s’exécute et m’embrasse comme un fou, comme si j’avais réalisé un grand exploit sportif. Retour sur terre. L’oreiller est trempé d’un cocktail sperme + cyprine + gel lubrifiant.



Ça lui cloue le bec. Il n’y avait pas pensé.



Dommage ! C’est vrai que c’est un peu gros… mais de temps en temps… Ouahou.





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n° 11305Jeune homme marié12/04/07
Voyage trouble
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6597 caractères      
Auteur : William

Corinne et moi sommes mariés depuis un an, mais voilà six ans que nous nous connaissons. Nos parents sont se sont rencontrés en vacances alors que nous avions quinze ans, et depuis nous ne nous sommes pas quittés.


J’ai tout de suite été séduit par Corinne, sa grâce, sa joliesse. Comment vous la décrire ? Elle n’est pas très grande, un joli visage angélique encadré d’une masse de cheveux blonds. En vacances, le maillot deux-pièces qu’elle portait laissait deviner ses petits seins ronds, ses hanches en amphore, ses fesses fermes et rebondies, et Dieu sait que j’ai longtemps fantasmé à son sujet, le soir dans mon lit.


Pourtant j’étais timide, et elle encore plus que moi, je crois. Aucun de nous deux n’a osé faire le premier pas, et il a fallu attendre nos dix-huit ans pour que nous nous embrassions pour la première fois. Autant vous dire que les caresses que nous avons ensuite échangées étaient discrètes, voire pudiques. Tout ceci pour vous expliquer que nous n’avons fait l’amour la première fois que lors de notre voyage de noces. Corinne a accepté une fois et une seule de me faire une fellation. Bref, toute cette présentation pour que vous puissiez situer notre couple, notre état d’esprit.


Il y a six mois, nous avons pris un train de nuit pour rejoindre les parents de Corinne, dans le Sud et, déconvenue, lorsque nous sommes entrés dans notre compartiment, il ne restait plus qu’une couchette de libre sur les quatre, alors que nous avions réservé deux places, une pour Corinne et une pour moi. C’est stupide, mais nous n’avons pas osé protester et déloger l’espèce de gros lourdaud qui était sur la couchette d’en face, celle prévue pour Corinne.


Nous nous sommes donc allongés sur la même couchette, relativement étroite. J’étais du côté de la cloison, Corinne étant un peu claustrophobe. Quelqu’un a éteint la lumière, il ne restait que la faible clarté des veilleuses dans le compartiment. Nous nous sommes glissés sous le drap, Corinne et moi, nous avons ôté nos vêtements discrètement, pour ne pas les froisser, ce qui n’était pas vraiment gênant, puisque personne ne pouvait nous voir.


À sa respiration régulière, j’ai compris que Corinne s’était assoupie. J’étais appuyé contre elle et je me suis soudain aperçu que l’homme, sur la couchette d’en face nous observait fixement. Il était aussi glissé sous le drap et, aux mouvements que faisait le tissu, j’ai compris qu’il était en train de se caresser. Je ne sais pas pourquoi, cela m’a mis dans un état d’excitation intense. Je ne suis pas bi, je pense, même s’il m’est arrivé de faire des rêves troublants.


Corinne était assoupie devant moi, et j’ai senti mon sexe se tendre lentement en voyant le manège de l’homme qui, lui, ne me quittait pas des yeux.


Qu’est-ce qui m’a pris ? J’ai doucement baissé le drap, lui révélant les seins de Corinne, pris dans un soutien-gorge de coton léger. J’ai vu les mouvements de son drap s’accélérer, il m’a encouragé d’un petit signe de tête. C’était de la folie, je n’étais plus vraiment moi-même. Mes deux mains ont emprisonné les seins de Corinne, à travers le tissu. Au sursaut qu’elle a eu, j’ai compris qu’elle venait de se réveiller. Et à son autre sursaut, qu’elle comprenait que l’homme se caressait sous le drap. Elle a murmuré quelque chose comme « Tu es fou, arrête » et a remonté le drap sur elle. Mais effectivement j’étais fou, j’ai rabaissé le drap à nouveau en regardant l’homme, chuchotant à Corinne « Tais-toi, les autres pourraient entendre. »


L’homme a rejeté le drap. Je crois que jamais je n’avais vu un sexe de cette taille. Le train a commencé à ralentir, et les deux autres voyageurs à bouger. Nous avons vivement rabattu les draps. Lorsque le train s’est arrêté, les voyageurs sont sortis, à l’exception de cet homme, et lorsque le train est reparti nous nous sommes retrouvés tous les trois seuls dans le compartiment.


L’homme a découvert son drap, son membre était vraiment énorme, tendu, et nous pouvions même apercevoir des gouttes luisantes sur son gland. Nous étions tétanisés, Corinne et moi. Brutalement, de sa voix rauque, il m’a ordonné de déshabiller Corinne. Cette dernière était "perdue", sa voix douce m’a suppliée de ne rien faire, mais j’étais trop excité. Je me frottais derrière elle, lui ai ôté son soutien-gorge, dévoilant ses petits seins ronds à l’homme, et j’ai lentement fait glisser sa culotte sur ses cuisses. L’homme s’est levé et nous a fait mettre debout dans le compartiment.


Je crois que je tremblais autant que Corinne lorsqu’il m’a dit :



Il m’a fait refermer les doigts sur son gros sexe. J’entendais la respiration haletante de Corinne. Quand il l’a retournée avec brusquerie, j’ai guidé le gros membre entre ses cuisses, il a croché ses doigts dans les hanches de Corinne et s’est enfoncé d’un coup. J’étais excité à un point inouï.


Corinne a poussé un gémissement, je ne sais pas si c’était la honte ou le plaisir. Il la besognait presque avec brutalité, mes doigts étaient refermés sur la base de son sexe, et au fur et à mesure de ses allées et venues, le membre ressortait de Corinne enduit de cyprine. Il a fini par éjaculer dans Corinne et après s’en être retiré, m’a ordonné de la lécher, alors que le ventre de ma femme dégouttait de sperme et de cyprine.


Nous n’étions plus en état de refuser quoi que ce soit, et je l’ai fait.


Les jambes chancelantes, Corinne s’est assise sur la couchette et je me suis mis entre ses cuisses pour la lécher. J’ai senti au frémissement de son corps que son orgasme allait venir, puis elle a refermé les cuisses sur mon visage, a joui, comme secouée de décharges électriques, longuement, sur mon visage, ma bouche.


L’homme m’a ensuite fait relever, mon sexe au niveau du visage de ma femme, puis lui a dit d’un ton autoritaire :



C’était de la folie. Elle qui n’avait jamais voulu, a entrouvert ses lèvres entre lesquelles je me suis enfoncé. Je ne me suis pas aperçu que l’homme était à nouveau raide, et quand il s’est frotté contre mon dos, j’ai essayé, paniqué, de me dégager. Mais j’étais bloqué par ses mains, autant que par la bouche de Corinne, dans laquelle j’allais et venais avec délice.


Son gland a appuyé sur mon sphincter, alors que ses pouces m’écartaient les fesses. Corinne avait compris ce qui se passait, elle gémissait en me suçant et soudain mon anneau a cédé, j’ai senti l’homme glisser en moi, me posséder.


Il allait et venait, me propulsant dans la bouche de Corinne et quand j’ai senti son membre palpiter, que j’ai senti ses grosses giclées brûlantes en moi, j’ai éjaculé dans la bouche de Corinne.




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n° 11322gilbert18/04/07
Le sexe, le soleil et la mer
critères:  ffh cocus inconnu grossexe plage voir exhib nudisme humour
9842 caractères      
Auteur : Gilbert

L’histoire (ou plutôt l’historiette) que je vais raconter ne m’est pas arrivée, mais elle m’a été rapportée par une amie avec laquelle j’entretiens une liaison assez libre et très circonstancielle, une femme de classe que d’aucuns qualifieraient de bourgeoise, orthodontiste aux heures ouvrables, grande et mince comme un mannequin. Elle voue un culte un tantinet agaçant à son corps, ce qui n’a pas que des désavantages, quand on a la chance comme moi d’entrer de temps à autre dans son intimité. Adepte du bronzage intégral, elle se rend régulièrement l’été sur les plages, en compagnie d’une copine médecin, toute aussi folle de son corps, quoique un peu plus ronde et nettement plus blonde.


* * *


Ce jour-là donc, le soleil tapait dur et il y avait foule à poil sur cette portion de plage éloignée et phagocytée par les « sans-maillots ». Les deux femmes, Ingrid la brune et Patricia la blonde, se marraient doucement en regardant passer sur le sable humide l’humanité dévêtue. Rien de moins charitable que deux jolies femmes fières de leur corps.



Pourtant, elles s’arrêtèrent de sourire quand elles virent apparaître un type bâti comme un décathlonien, couleur pain d’épice de la tête aux pieds, avec un visage d’acteur de pub. Il n’était vêtu que de ses lunettes de soleil, mais portait négligemment un petit sac de plage.



Avec une certaine fatuité, le type promenait son regard alternativement sur la mer et la foule allongée. Il était manifestement aussi fier de son anatomie que les deux copines. Ses yeux s’attardèrent sur celles-ci au passage. Il marqua une hésitation, mais il continua.



À peine Patricia avait-elle commencé sa phrase que l’apollon était là, devant elles, souriant de toutes ses dents éclatantes, son sexe au repos à portée des lunettes des deux baigneuses.



S’engagea alors un de ces dialogues de plage sans le moindre intérêt, si ce n’est de permettre aux protagonistes, quand ils sont nus comme la main, de s’étudier d’un peu plus près. Ma copine Ingrid avait évidemment remarqué que le gars était doté d’un pénis pas très long mais d’un diamètre de saucisson à l’ancienne. L’autre profitait de ses lunettes de soleil pour détailler les courbes des deux filles. Au bout d’un moment, Patricia se leva :



Les deux autres suivirent et une complicité autour des vagues se fit jour. On s’éclaboussa, on se frôla et on se toucha si bien qu’au retour sur les serviettes, le beau Mario se mit à avoir du culot :



Petit silence, que rompit Patricia :



Le type se leva, se frotta négligemment les fesses pour enlever le sable et salua :



Une fois qu’il se fut éloigné, Ingrid lança à sa copine :



Ingrid et Patricia se remirent à bronzer en regardant passer les baigneurs. Précisément, Mario refaisait le chemin inverse, sans un regard pour elles. Il aborda un couple allongé à une vingtaine de mètres. D’où elles étaient, les deux filles identifièrent des Allemands : homme blond un peu bedonnant, femme blonde grande et solidement charpentée avec des formes pleines. La discussion du trio allait bon train.



Les deux filles se turent, l’esprit tourné vers ces dunes où le trio, qui avait disparu du paysage, devait se trouver en ce moment en pleine action. Ingrid rompit le silence :



Patricia haussa les sourcils derrière ses lunettes :



La discussion commençait à tourner au vinaigre entre les deux copines, qui restèrent silencieuses quelques minutes, l’esprit dans le vague.



Ingrid se dirigea de sa démarche chaloupée et gracieuse vers le sentier brûlant qui conduisait aux replis de sable supposés abriter les ébats de couples naturistes. Au bout de vingt minutes, Patricia commençait à se demander si sa copine n’avait pas joué la quatrième larronnesse lorsqu’elle la vit revenir, le sourire aux lèvres.



Mais un événement inattendu stoppa leur conversation et attira toute leur attention. Deux gendarmes à cheval venaient de faire leur apparition en haut des dunes, poussant devant eux le trio vers la plage. Visiblement déconfits, les Allemands venaient récupérer leurs affaires suivis par un Mario qui avait beaucoup perdu de sa superbe, mais tenait toujours son sac.



Un petit vent de panique souffla sur la plage, mais les deux gendarmes se fichaient bien des naturistes. Seuls les intéressaient les exhibitionnistes actifs. Le groupe prit la direction du passage naturel conduisant à la route qui longeait la plage, deux kilomètres en retrait.



Un peu plus tard, les deux femmes, sommairement rhabillées, regagnaient leur automobile quand elles passèrent devant une camionnette de la gendarmerie, juste au moment où Mario en sortait.



Ingrid et Patricia firent celles qui n’avaient rien entendu et poursuivirent leur chemin, sans un regard pour le play-boy.



* * *



Je lui répondis qu’elle ne manquait pas de culot et elle s’est vexée. Mais je suis tranquille, ça ne durera pas !






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n° 11339Jeune femme de 22 ans27/04/07
Le secrétaire, Rose et Rouge
critères:  fh ff fbi couleurs prost grossexe laid(e)s fsoumise fdomine hdomine soubrette fmast facial fellation cunnilingu pénétratio gifle fouetfesse portrait
8281 caractères
Auteur : Rougefemme      Série : Histoire d'un Bordel - 01

Je dirige une maison close réputée, à la clientèle riche et de qualité. Tous mes employés sont volontaires, triés sur le volet, grâce à une méthode éprouvée et très personnelle.


Farouk est le meilleur allié dans mes recherches. Je n’étais alors que la pauvre héritière d’un établissement sur la fin, et je craignais moi-même pour les hivers à venir. Je l’ai accueilli chez moi alors que le monde le repoussait en raison de sa laideur – un incendie durant son enfance a gâché des traits qui auraient dû être beaux. Il se présenta un soir, analphabète, maigre, ne cherchant qu’un abri contre le froid pour la nuit. Grand, la peau noire et luisante, son aspect ne m’a pas effrayée. Je l’ai mis au défi de gagner sa nuit par son travail.



C’est alors que mon vagabond me surprit. Alors que les clichés sur les blacks m’avaient toujours fait rire, il baissa son pantalon et, affamé de femme autant que de nourriture, il se jeta sur moi et m’honora d’une copieuse baise, d’une queue dure comme du bois, longue et épaisse comme je les aime. Sa technique était rudimentaire, mais sa vitalité laissait présager du meilleur. N’étant pas farouche lorsque je sais par ailleurs pouvoir dominer, je profitai avec plaisir de cette inattendue gratitude.


Ainsi fut le début de notre collaboration. Au matin j’avais acquis son désir par mes charmes, j’ai gagné par la suite son respect et sa docilité par mon charisme et mon autorité. Je lui ai proposé de rester comme homme à tout faire, mais jamais plus je ne l’ai autorisé à me toucher. Ce refus me fit grandir dans son estime, et par son travail il sut se rendre indispensable. Ses muscles s’épaissirent, son corps devint beau et effrayant à la fois. Je remarquai vite son intelligence, et lui appris à lire et à écrire. Alors il me voua un respect sans égal et devint mon soumis mais inégalable secrétaire, homme de main et garde du corps repoussant et dissuasif à la fois.



––oOo––



Je crois que c’est à partir de là que les affaires prospérèrent. Je fus entourée d’une aura particulière. Femme seule, belle, jeune, scandaleuse, tenancière mais pas prostituée, accompagnée d’un grand homme noir balafré et réputé dangereux, j’acquis une clientèle de plus en plus sélective et riche. Les artistes et jeunes loups entrés chez moi par hasard amenèrent avec eux plus tard une clientèle plus aisée, plus perverse aussi.


Je n’avais au début que trois prostituées travaillant pour moi. Trois chambres à l’étage, rose, violette et rouge. Peu ou pas de décorations. Des petits moyens. Je pris la décision d’appeler mes filles par le nom de leur chambre.



––oOo––



Rouge était maigrelette, brune, vulgaire mais glaciale. Cette froideur compensait étrangement son corps somme tout peu féminin. Elle était entrée chez moi sans incident marquant, au fond elle ne m’intéressait guère. Je l’habillais de rouge pour rehausser son teint, et elle occupa naturellement la petite chambre associée. Les clients en étaient satisfaits. Elle savait se déshabiller et faire durer le plaisir. Pas bête, elle vous faisait des pipes de gourmande, tout en conservant hors de la chambre un air de veuve sage.


J’avais remarqué qu’elle guettait et aguichait mon dévoué scribe. Je pensais que celui-ci dédaignait ses manières peu graciles et glacées. Mais c’était mal connaître son instinct de fauve. De plus il aimait dominer et soumettre, comme moi d’ailleurs. Je le surpris un jour, assis dans un fauteuil tel un pacha, avec à ses genoux ma fière Rouge, le cul à l’air, rougi et vraisemblablement fessé de peu, en train de sucer la grande bite pourpre. Farouk lui tenait la tête fermement avec sur ses traits un mélange de mépris et de plaisir. Je vis sur son visage les prémices de la jouissance ; il recula la tête de sa petite garce et lui éjacula un jus blanc sur le visage. Elle voulut s’essuyer – un réflexe de travail sans doute – et reçut alors un coup bref mais douloureux sur la croupe. Elle comprit et se mit à lécher le jus de son amant, nettoyant de sa langue ses doigts, son visage et la queue de son maître.


J’avoue que je ne suis pas de bois ; ce petit plaisir voyeur me mit dans des états…liquides. Je rentrai dans mon bureau, qui me servait à mes débuts également de chambre et appelai Rose…



––oOo––



Rose était mon jouet.


Elle avait eu grâce à mes faveurs la plus jolie chambre, mais il faut dire que la donzelle savait s’en prendre à mes points faibles. Le jour de son entretien d’embauche, elle était d’une timidité maladive, ne prononçant pas un mot. Voulant tester sa pudeur, je la fis se dévêtir. C’est alors que je découvris un corps de reine : des petits seins en pomme, une peau dorée de fille de ferme, des jambes longues et graciles, un cul potelé mais ferme, un ventre plat. Moi qui ne saurais vivre sans hommes, je goûte volontiers les plaisirs saphiques, et je fus toute émoustillée de cette timidité et de ce corps magnifique, qu’il me fallait impérativement plier à mes désirs.


Je l’embauchai mais ne la jetai pas en pâture à mes clients aussitôt. J’étais jeune, peu riche mais pas pauvre, j’avais besoin d’une chambrière… Je lui proposai de se former petit à petit.


Elle n’avait pas de famille, nulle part où aller et m’était donc attachée et quasi servile. Je ne pus m’empêcher de profiter de la situation. Elle était maladroite, mais douce. Je sentais qu’elle s’attardait le soir en me déshabillant, et que ces gestes avaient la gaucherie des cœurs tendres.


Un soir, je dus la corriger pour une erreur bien futile, mais je mettais toujours un point d’honneur à exercer mon autorité. Je la fis donc venir dans ma chambre, lui ordonnai de défaire sa robe afin d’être légèrement fouettée. La pauvre avait une sainte peur des coups. Je lui demandai de me déshabiller. Une fois en liquette, avec en face de moi ma belle et contrite Rose, je me retournai, face à elle.


Elle rougit de nos quasi-nudités. J’avançai une main, en lui murmurant qu’il y avait toujours des échappatoires aux punitions. Je lui pris un sein ; il était tel que je l’imaginais, ferme et chaud. Je pinçai son téton. Elle fut surprise mais ne recula pas. Au contraire elle fit glisser le reste de sa chemise, nue face à moi, avec dans les yeux un air qui ne démentissait pas l’amour que j’avais su déceler. Je lui fis signe d’approcher. Je caressai ses seins, doucement, puis son ventre et ses cuisses. Ma main se glissa entre ses jambes. Elle était trempée, je savais qu’elle me désirait pleinement. Elle restait toutefois immobile et prudente.


Mais je voulais qu’elle sente définitivement que je ne lui accordai là qu’une faveur, et qu’elle devait se sentir redevable et prête à tout. Je lui administrai une claque sur les fesses, plus sonore que douloureuse, en lui disant que c’était à elle de réparer et qu’elle pourrait bien l’avoir, sa correction, si elle restait aussi passive.


Elle ne se le fit pas dire deux fois. Elle me caressa alors avec une fougue juvénile ; je la guidai vers mon plaisir et elle montra une résistance adorable lorsque j’appuyai sa tête contre mon sexe. Elle me lécha avec goût, me faisant jouir très vite. Je lui ordonnai ensuite de se caresser devant moi. Je crois qu’elle ne l’avait jamais fait seule. Je glissai mes doigts dans sa petite chatte mouillée et lui montrai comment se donner du plaisir. Elle jouit également très vite, puis recommença seule, pendant que je la regardai. Son visage pendant l’orgasme était superbe, et ces petites séances de « correction » devinrent vite fréquentes.


Ainsi, après avoir vu Rouge se faire traiter comme une petite salope par mon secrétaire chéri, je demandai à Rose de venir fourrer sa petite tête contre ma chatte et de me lécher comme elle savait si bien le faire. Elle était devenue entre temps une pute avertie, qui ne prenait vraiment de plaisir qu’avec moi, mais qui savait faire jouir un homme et se montrer bandante dans toutes les situations. Elle était d’ailleurs très demandée – et demandeuse.



––oOo––



Quant à Violette, je l’ai rencontrée lors d’une soirée mémorable en compagnie d’un de mes bienfaiteurs. Je l’ai ensuite, après avoir constaté ses talents, débauchée de son employeuse et prise avec moi comme pièce maîtresse et perverse de mon harem…


Il me tarde de vous conter cette soirée et Violette : les deux méritent un chapitre entier.


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n° 11368yannick05/05/07
Le lupanar aquatique
critères:  2couples hplusag fplusag jeunes extracon extraoffre grossexe vacances sport bain bateau nudisme fellation 69 pénétratio sandwich fsodo échange nostalgie humour
17956 caractères      
Auteur : Yannick      Série : Le lupanar aquatique - 01

Au doux temps de ma jeunesse (qui n’est quand même pas trop éloigné), j’avais eu l’idée de descendre en canoë au mois d’août une rivière du sud-est de la France. J’étais accompagné de celle qui n’était pas encore ma femme. La rivière en question était magnifique en été. Elle offrait de multiples possibilités de camping sauvage dans des endroits quasi inaccessibles autrement que par bateau. C’était déjà la mode du retour à la nature. On jouait à « Délivrance », un film américain qui avait eu un succès fou à l’époque et qui racontait la tragique aventure d’amis pagayeurs dans les Appalaches.


Fort heureusement, cette rivière était beaucoup plus sage, du moins sur le strict plan du débit. Car pour ce qui concerne la tenue de ses canoéistes et autres kayakistes, elle était particulièrement dissipée. Disons-le tout net : c’était un véritable lupanar aquatique. L’équipement vestimentaire des pagayeurs était, il est vrai, des plus sommaires. Une femme sur deux ne portait pas de soutien-gorge et un homme sur deux ramait la bite à l’air. Forcément, ça crée des rapprochements, d’autant qu’on traversait de temps à autres des campements de naturisme sauvage avec des jeunes (ou moins jeunes) tout nus qui nous éclaboussaient en se baignant. Lorsqu’on découvrait un canoë garé sur une petite plage, ses occupants se trouvaient presque toujours en train de manger, de bronzer ou de baiser, parfois successivement.


Quelques mots sur ma future femme d’abord. Grande, blonde et sportive, elle était déjà dotée à l’époque d’un appétit sexuel au-dessus de la moyenne, qu’elle préférait satisfaire en appartement, sans rechigner cependant aux sous-bois et autres endroits bucoliques. L’amour de groupe ne l’emballait guère mais elle y avait sacrifié deux fois pour me complaire et se conformer à la mode du moment. Sur le bateau, elle portait un maillot de bain réduit à sa plus simple expression : le tissu du slip couvrait à peine le pubis et la raie des fesses cependant que le soutien-gorge se limitait à deux timbres-poste qui ne dissimulaient même pas l’intégralité de ses mamelons, il est vrai d’une circonférence appréciable. Quand je dénouais les minces cordons, de ma place de pagayeur arrière, elle comprenait le message. Nous allions nous échouer sur un petit banc de sable et nous faisions l’amour en plein soleil avant de nous plonger dans l’eau fraîche. Le bonheur total !


Nous nous conformions, au fond, aux us et coutumes du lieu, comme l’attestent deux scènes qui m’ont particulièrement marqué. Amarré parmi les herbes, un canoë semblait attendre ses occupants. Mais pagayant au ras du bord, nous surprîmes ceux-ci dans une attitude spectaculaire. La femme, plus toute jeune, ronde, les cheveux poivre et sel et la peau caramélisée, était à quatre pattes sur le sable. L’homme, poilu comme un gorille, chauve comme un caillou et les fesses couleur pain brûlé, se trouvait collé à elle, non à genoux mais jambes fléchies, comme pour se rehausser. Chacun de ses coups de rein était ponctué par le ballottement des volumineux nibards de la femme, qui nous regarda passer en nous adressant un rictus dont je ne sus s’il était de connivence ou de plaisir :



Mais sur l’eau, le son porte bien. Aussi fus-je à peine surpris d’entendre une voix féminine me répondre :



Un autre jour, en plein après-midi, nous étions tombés sur une véritable partouze de kayakistes. Les filles, jeunes pour la plupart, se faisaient prendre sur les rochers dans toutes les positions par des types chevelus et musclés. L’une d’elles nous fit un signe de la main, comme pour nous inviter à nous joindre à leurs ébats. J’étais assez tenté car il y avait de superbes morceaux mais ma copine me découragea tout de suite :



Les circonstances allaient toutefois l’obliger à réviser ces dispositions quasi conjugales. Je l’ai dit, la rivière était plutôt calme mais il y avait quand même, ici ou là, quelques passages qui nécessitaient un minimum de technique. Nous étions en fin d’après-midi et peut-être un peu fatigués. Ma copine ne put compenser suffisamment le courant qui l’entraînait vers un gros rocher. Moi-même, j’avais vu venir le coup trop tard. Notre canoë se mit en travers et un mauvais réflexe nous précipita tous les deux à l’eau avec notre matériel de camping, notre bouffe et nos vêtements. La catastrophe !


Après avoir récupéré le bateau et les pagaies en nageant, nous réussîmes à rejoindre le bord, au creux d’une petite gorge où aboutissait un chemin de pêcheur très en pente. Précisions importantes : j’étais entièrement nu et ma copine n’avait que son mini-slip. Tout le reste était parti dans le courant.

Faisant fi de toute convention sociale, je décidai de monter le chemin en tenue d’Adam, espérant trouver des naturistes, fort nombreux dans le coin. Ma copine resta avec le canoë.


En haut de la falaise, il y avait une petite maison avec une terrasse offrant une vue imprenable sur la gorge. Et sur la terrasse, un couple qui prenait l’apéro tranquillement. Mon arrivée flamberge au vent les laissa le verre en l’air. Certes, les gens nus faisaient partie du paysage par ici mais plutôt à l’heure de la baignade qu’à celle de l’apéritif. Je me hâtai d’expliquer la situation et le couple éclata de rire. La femme disparut à l’intérieur et en revint avec un slip de bain parfaitement démodé, que je m’empressai d’enfiler. Je me sentis tout à coup plus sûr de moi.



La femme me prêta un haut de bikini, avant de m’interpeller :



Et c’est ainsi que nous fûmes invités à dîner par de parfaits inconnus qui attirèrent très vite notre sympathie.


C’était un couple d’une quarantaine d’années, genre un peu hippie sur le retour. Lui avait les cheveux longs et une barbe de pope, un corps élancé et maigre qui lui aurait donné l’air d’un ermite si sa musculature très apparente n’avait révélé l’ancien athlète. Elle avait un casque d’abondants cheveux frisés, des petites lunettes rondes fumées à la Yoko Ono et une ample robe de lin qui permettaient à ses formes généreuses de vivre leur vie. J’avais tout de suite remarqué qu’elle ne portait pas de soutien-gorge, à la mode de l’époque mais quelque chose me disait qu’elle ne portait pas non plus de slip et j’en eus la confirmation lorsqu’elle se baissa jambes fléchies pour ramasser une petite cuiller, découvrant un buisson aussi épais que sa crinière.

Le repas fut gai, alimenté par notre mésaventure mais aussi par les scènes décrites plus haut, qui divertirent fort nos hôtes.



Le couple n’était pas du genre bégueule. Je remarquai que le barbu n’était pas insensible à la poitrine (il est vrai superbe) de ma copine. Quant à la frisée, elle avait lancé plein d’allusion à ma virilité exposée. Bref, à la fin du repas, une atmosphère légèrement érotique flottait dans la cuisine.

Avant de monter nous coucher, ma copine et moi allâmes prendre l’air pour retrouver un peu d’intimité et faire le point de la situation. À l’évidence, il fallait employer les grands moyens, c’est-à-dire solliciter un mandat de nos parents pour nous rééquiper et finir cette randonnée aquatique, puisque nous avions encore notre embarcation. Le couple nous emmènerait jusqu’au village le plus proche et s’ils voulaient bien nous héberger un ou deux jours, nos vacances pourraient se poursuivre.


Dans le couloir, une chambre était ouverte et allumée mais ce n’était pas la nôtre. Nous avons tout de suite compris ce qui se passait. Le son ne laissait aucun doute et la lumière nous permit de le vérifier : nos hôtes baisaient. Elle nous faisait face, en travers du lit, à quatre pattes avec toujours ses petites lunettes sur le nez. Il la besognait debout, par derrière, avec des « han ! » de bûcheron canadien. Ils s’exhibaient sans complexe et sans pudeur. Il nous fit un clin d’œil et elle nous tira la langue. Puis ils changèrent de position et je pus alors découvrir le volume impressionnant des organes génitaux de l’homme, inversement proportionnels à la minceur de ses fesses. Couché sur le flanc, il pénétra sa compagne de biais par derrière, la longueur de son pénis lui permettant d’aller et venir en profondeur sans dépenser beaucoup d’énergie.

Je sentis la main de ma copine sur mon sexe et je compris qu’il était grand temps de se mettre à l’unisson après les émotions de la journée.


Le lit de notre chambre était d’une largeur inusitée mais le spectacle nous avait tellement excités que ce détail nous échappa sur le moment. Dans la pièce d’à côté, ça devenait très chaud. La femme bramait de plaisir et ma copine se crut obligée de relever le défi. C’était à celle qui poussait le cri le plus strident. Mais nous avions commencé plus tard et quand nous prîmes notre pied, il y avait beau temps que nos hôtes avaient rendu les armes. Ce qui ne les empêcha pas de nous mater dans l’encadrement de la porte qu’ils avaient ouverte sans vergogne. Morts de fatigue, nous ne nous formalisâmes pas et nous endormîmes dans le vaste pieu.


Le lendemain, le petit-déjeuner fut grivois. La femme, qui s’appelait Nadine, ne tarissait pas d’éloges sur ma virilité. L’homme, prénommé Roger, complimenta ma copine sur son corps et sa sensualité. Quant à nous, nous les félicitâmes pour leur liberté d’esprit et de mœurs :



Serviables, ils ne se firent pas prier pour nous emmener au village le plus proche, afin que nous puissions téléphoner. Ils nous prêtèrent même de l’argent pour nous acheter chacun un short, un tee-shirt et un maillot de bain. L’après-midi, nous descendîmes à la rivière pour nous baigner nus et voir passer quelques bateaux occupés, comme d’habitude, par une population le plus souvent jeune et dénudée. Nadine avait un corps un peu lourd mais ses formes opulentes, lorsqu’elles étaient raffermies par l’eau, lui conféraient un érotisme torride de star italienne. J’étais fasciné par les larges aréoles brunes de ses seins cuivrés, massifs et droits comme ceux d’une négresse. Quant à ma copine, je vis bien qu’elle était fascinée par les tablettes de chocolat et surtout l’entrejambe de Roger. Elle me lâcha dans un souffle :



Au dîner, le couple entreprit de nous raconter sa vie. Tous deux étaient d’anciens professeurs de lycée, lui en EPS, elle en français.



Quand le temps fut venu de regagner notre chambre, Nadine et Roger s’invitèrent dans notre lit géant, le plus naturellement du monde, comme une évidence. Ils étaient évidemment dans le plus simple appareil.



Sans doute pour nous mettre à l’aise, nos hôtes ne s’occupèrent pas de nous mais d’eux-mêmes. Nous assistâmes in vivo à leurs préliminaires bucaux-génitaux, nous écoutâmes leurs petites cochonneries verbales et Roger pénétra Nadine et ses lunettes rondes sous nos yeux, sans que nous ayions seulement commencé de nous caresser, fascinés que nous étions par l’exhibitionnisme du couple. Après avoir besogné tranquillement sa compagne, au rythme lent du laboureur, l’homme se retira et présenta sans façon sa verge luisante de Priape devant le visage de ma copine. Celle-ci eut d’abord un petit mouvement de recul, comme effrayée par la dimension de l’engin. Elle me regarda avec l’air de s’excuser et mue par une force irrépressible, sa bouche engloutit le gland congestionné de notre hôte.


Pendant ce temps, la vaste crinière brune de Nadine s’était rapprochée de mon giron et une langue délicieusement agile prit possession de mon pénis, moins puissant mais tout aussi gonflé. Ma copine, que je croyais à mon usage exclusif, avait maintenant les chevilles contre les oreilles de l’athlète qui l’avait pliée en deux pour la pénétrer le plus profondément possible et le lit s’agitait comme chaloupe en tempête. À l’autre bout de la couche, Nadine, les jambes très écartées, les genoux fléchis, la vulve béante sous sa luxuriante végétation, offerte, consentante, attendait mon bon vouloir :



Ce genre de défi, il ne fallait pas me le lancer deux fois, surtout venant d’une Vénus lascive de lupanar agreste. Oubliant ma copine, qui couinait de plaisir derrière moi, je me ruai sans précaution dans le vagin de Nadine qui cria :



Mes assauts furieux devaient avoir une certaine consistance car elle manifesta très vite une ardeur symétrique. Elle me griffait le dos en me traitant de petit salaud et me verrouilla si bien les reins par la pression de ses talons que j’éjaculai dans la même position, la laissant pantelante et, je crois, satisfaite, malgré la relative brièveté du coït. Mais à la tête du lit, le gars Roger était loin d’avoir fini son boulot. Ma copine le chevauchait en nage et je regardai épaté les circonvolutions enthousiastes de son beau fessier. Où donc était-elle passée, la fille qui me traitait comme un mari ? Stimulé par la main de Nadine, je recommençai à raidir. Roger désarçonna sa partenaire et lui proposa une double pénétration avec mon concours :



Et nous voilà partis dans une figure compliquée, où les jambes se mêlaient aux bras et les sexes aux sexes. Nous étions tous sportifs, heureusement. Nadine exigea le même traitement et obtint un orgasme aussi violent avec des positions masculines inverses de l’acte précédent. Apparemment, elle acceptait la matraque dans son fondement épanoui avec aisance et satisfaction. J’avais éjaculé une nouvelle fois alors que Roger, parfaitement maître de lui-même, était toujours gaillard. Ma copine le prit alors par la main et le conduisit dans la cuisine :



C’était chez elle un fantasme que je connaissais bien pour l’avoir plusieurs fois satisfait, mais là, en terrain inconnu, c’était assez exotique. Nadine et moi, nous les suivîmes. Allongée sur la table, ma copine subissait les assauts de l’homme debout qui la tenait fermement par les cuisses et qui avait remplacé le rythme lent du laboureur par le staccato du métronome. La table se déplaça de trois bons mètres pour se bloquer contre l’évier et ils prirent l’un et l’autre leur plaisir dans un vacarme de cris et de grognements qui nous laissa, Nadine et moi, à moitié assourdis. Ma copine regarda l’homme, les yeux éperdus de reconnaissance, et je me demandai si je n’allais pas devoir ramer tout seul les jours prochains. Nadine n’avait-elle pas tout cédé elle-même à cette bête de sexe ? Heureusement qu’elle était là mais curieusement, elle ne semblait pas du tout jalouse.


Le lendemain, la question se posa si nous allions rester quelques jours ou pas. Nous eûmes, ma copine et moi, une petite scène dans notre chambre : je voulais repartir, pas elle et je comprenais trop bien pourquoi. Du reste, elle n’en faisait pas mystère :



Il y avait de quoi faire des complexes et je manifestai une certaine agressivité, alors que j’avais moi-même usé et abusé de la sensualité de l’épouse.



L’argument ne porta pas car elle croyait à la répétition des parties à quatre. En revanche, l’attitude du couple fut sans ambiguïté.



Deux heures plus tard, nous étions sur notre canoë, ma copine un peu tristounette mais la magie de la rivière aidant, nous retrouvâmes vite le goût de l’aventure. Jeunesse, jeunesse, que tu es versatile ! Nous avions pris pour repère une autre embarcation devant nous et nous accélérions l’allure pour la rejoindre, par jeu. Arrivé à hauteur, nous nous aperçûmes que les deux pagayeurs étaient un monsieur d’âge mûr chauve comme un caillou et poilu comme un gorille, accompagné d’une dame grisonnante aux cheveux très courts et aux formes opulentes, tous deux aussi nus et bronzés qu’on peut l’être. C’était notre couple libidineux de l’autre jour ! Ils nous reconnurent et une discussion amicale s’engagea. Ils nous proposèrent un camping commun au bord de l’eau que nous acceptâmes bien volontiers. Une autre aventure commençait.



(À suivre)





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n° 11423Vos fantasmes alimentent mon imagination29/05/07
Un dîner entre amis
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Auteur : Ben      Série : A la Cour du Roi Soleil - 09

Quand Madame de Marans lui a proposé de l’accompagner à un dîner chez le Prince, Caroline n’a pas hésité un instant. Madame de Marans lui a recommandé de s’habiller avec élégance, mais assez légèrement. C’est vrai qu’il fait chaud. Elle a donc choisi de mettre une robe assez simple aux épaules nues, qui mette bien en valeur sa poitrine mais ne la serre pas de trop près. Le bas de la robe est fendu, laissant apercevoir ses longues jambes galbées quand elle marche. Madame de Marans a sans doute une autre notion de ce qu’est une tenue légère : sa robe est tellement décolletée que sous le fin fichu de soie qui couvre ses épaules, ses gros seins sont dénudés jusqu’au mamelon dont on devine la moitié de l’aréole ! La soirée promet d’être chaude, se dit Caroline.


À leur arrivée chez le Prince, plusieurs convives sont déjà là, en train de s’entretenir gaiment en buvant un verre de vin. Caroline comprend qu’elle se retrouve dans un dîner galant : les femmes sont toutes plus belles et désirables l’une que l’autre, dévoilant sans vergogne leur corps et jouant de tous leurs charmes pour séduire leurs convives. La maîtresse de maison est la plus spectaculaire : elle s’est habillée comme une Princesse romaine, d’une simple toge brodée d’or qui dévoile ses jambes fines et découvre un sein menu au téton insolemment gonflé. Son époux, le Prince, la regarde avec un désir non dissimulé. Le Cardinal est aussi présent, dans son éternelle toge rouge. La Comtesse de Neuville, une petite brune aux yeux de biche affolants, séduit moins par sa parure que par son attitude : féline, caressante, elle ondule de la croupe entre les convives, sourit d’un air sensuel aux femmes autant qu’aux hommes, les touche, les frôle, et donne l’impression de s’offrir à qui voudra la prendre. Son mari ne semble point s’en offusquer. Son attention va à une autre convive, la Marquise de O, qui s’est habillée comme un homme, avec des chausses étroites qui mettent en valeurs ses cuisses fines et ses fesses musclées, et une chemise blanche entrouverte sur des seins merveilleusement galbés. Ses courts cheveux gominés lui donnent un air masculin et dominateur. Il y a là encore un général d’armée à la tenue rutilante, un jeune homme un peu timide qui est à peine plus jeune que Caroline mais qui ne semble pas avoir la même aisance qu’elle, et un noble vénitien très élégant habillé d’un costume de soie précieuse.


À peine arrivée, Madame de Marans est entreprise par le militaire, qui semble bien la connaître et la prend par le bras pour lui chuchoter quelque chose à l’oreille. Elle rit et minaude. Quant à Caroline, elle fait tout de suite connaissance avec le Prince vénitien, qui a un accent délicieux et un regard pétillant qui se perd déjà dans son décolleté. Il la complimente sur sa beauté et sa jeunesse, et l’interroge sur ses premières journées à Paris. Étonnée de voir qu’il la connaît déjà un peu alors qu’ils ne se sont jamais rencontrés, Caroline a un indice de plus que son arrivée à Paris a alimenté les conversations d’une partie au moins de la Cour. Mais elle prend soin de ne rien révéler des ses aventures galantes des derniers jours.


Il manque encore deux convives, mais la Princesse propose que l’on se mette à table sans les attendre. Elle se place au bout de la table. À sa droite, le Prince se penche déjà vers sa voisine, la Marquise de O, et plonge son regard dans son décolleté. À côté de la Marquise, le jeune homme timide que Madame de Marans regarde avec un air déjà concupiscent. À côté d’elle, le Comte et la Comtesse de Neuville. Caroline remarque que la Marquise regarde avec une insistance non dissimulée sa poitrine frémissante.


De ce côté de la table, le Cardinal devise avec la Princesse. À côté de lui, deux places laissées vides. Caroline se trouve donc en face de Madame de Marans. À sa gauche, le Prince vénitien, puis en bout de table, en face de la Comtesse de Neuville qui lui lance déjà un regard coquin, le militaire. À peine sont-ils tous assis que le dernier couple fait son entrée. L’homme, la quarantaine élégante, introduit sa femme avec fierté. Tous les convives se taisent, tant elle est spectaculaire : nue sous une très courte robe d’organza orange, dont le tissu est si fin qu’il en est transparent, elle montre avec fierté son corps capiteux : de gros seins orgueilleux aux larges tétons dressés par l’émoi de se montrer presque nue, une croupe ronde mais ferme, des cuisses musclées, et un pubis complètement glabre aux grosses lèvres gonflées. Ses lèvres sensuelles semblent attendre les baisers, son joli cou est orné d’un ruban assorti à sa robe, et ses oreilles étonnamment menues sont ornées de lourds pendentifs dorés. Le couple salue les autres convives, et s’installe à table entre Caroline et le Cardinal.


Le Vicomte de la Fosse se présente immédiatement à Caroline ; il semble lui aussi déjà la connaître. Quand son épouse s’adresse à Madame de Marans pour s’enquérir de son opinion sur sa nouvelle robe, Caroline comprend tout de suite qu’elles se connaissent déjà. Sans doute sa mentor a-t-elle déjà fait l’éloge de son élève auprès de tous les autres convives.


La Princesse fait tinter sa clochette. Tous les convives se taisent.



Elle fait à nouveau tinter sa clochette. La porte s’ouvre. Caroline a le souffle coupé par l’étonnement. Trois jeunes négresses pénètrent dans la pièce portant chacune un plateau garni d’huîtres ouvertes. Elles sont nues. Leur crâne est rasé, ainsi que leur sexe. Leur peau sombre reluit d’une huile parfumée dont elles sont enduites de la tête aux pieds. Toutes trois portent des espèces de cothurnes dorées. Elles sourient de toutes leurs dents, du plaisir de se savoir belles et désirables.


La première est encore jeune. Elle porte de grands anneaux dorés aux oreilles. Ses petits seins dressés sont couronnés de très gros tétons gonflés, et luisants. Une chaîne dorée ceint sa taille fine. Son sexe épilé ressemble à une prune dont la peau éclatée laisserait apparaître une chair rose et humide. Elle avance fièrement, la tête haute et le dos cambré, sans aucune gêne ni pudeur, plutôt fière du spectacle qu’elle offre.


La seconde est plus âgée et plus grande en taille. Elle a les épaules larges, la taille fine, les cuisses longues et musclées, la croupe ronde, on voit ses muscles fins jouer sous sa peau luisante. Elle a de superbes seins ronds et fermes, dont les tétons durs et dressés sont ornés de petits anneaux dorés. Le même anneau orne son nez, ses lobes d’oreille, et son sexe aux lèvres gonflées et protubérantes. Elle s’avance d’une démarche ondulante en balançant élégamment sa croupe, en regardant chacun des convives dans les yeux d’un air provocant.


La troisième semble diriger les deux autres. Son corps est plantureux, elle montre fièrement ses très gros seins ornés de larges mamelons sombres, dont les bouts percés sont reliés par une chaîne dorée. Son cou est orné de plusieurs colliers dorés, qui ruissellent entre ses seins. Ce qui frappe surtout Caroline, ce sont les bijoux intimes qui ornent son sexe : ses petites lèvres surdimensionnées sont ornées d’anneaux auxquels elle a accroché des chaînes dorées qui entourent ses cuisses ; des espèces de gouttes de métal doré accrochées aux anneaux étirent les nymphes roses et charnues.


Les trois négresses sont superbes, et Caroline sent que son sexe commence à mouiller. Le regard inquisiteur que la Marquise de O pose sur elle la fait mouiller encore plus si c’est possible. Tous les autres convives sont aussi subjugués par le spectacle. La maîtresse de maison est fière de l’effet produit sur l’assemblée. Les trois servantes se dirigent vers elle. Elle prend trois huîtres sur le plateau de la plus jeune. Ce faisant, de son autre main, elle lui passe la main sur les fesses, flattant ses courbes, effleurant la douceur de sa peau, insinuant un doigt lentement dans la raie. Le geste n’échappe pas à Caroline, ni celui du Prince qui, servi par la seconde, ne peut s’empêcher de lui saisir un sein, d’en soupeser le poids, puis de tirer sur l’anneau qui orne le téton pour le titiller. Apparemment ravie, la jeune femme se tourne vers lui et lui sourit.


Quant à la troisième, elle dépose son plateau devant le Cardinal, se campe à côté de lui, prend ses gros seins dans ses mains et commence à les masser. Elle les soulève, les presse, les roule l’un contre l’autre. Elle écarte ensuite légèrement les cuisses et avance son bassin pour lui faire admirer sa vulve. Le Cardinal se recule un peu, et prend à témoin sa voisine, la Comtesse de la Fosse :



La Comtesse se penche devant le cardinal et tend le bras vers l’entrejambe de la négresse. Ce faisant, et comme si cela était voulu, elle presse sa poitrine opulente contre le torse du prélat, tout en s’accrochant à son épaule d’une main caressante. La servante excitée avance encore un peu plus le pubis et écarte encore davantage ses cuisses. La Comtesse tire sur une des chaînettes, étirant sans hésiter la peau. Elle arrache un gémissement de plaisir à la femme, qui se masse les seins de plus belle en fermant les yeux. Béatrice est fascinée par cette vulve humide dont la forte odeur se mêle maintenant à celles des huîtres déposées sur la table. Elle ne peut s’empêcher d’enfoncer son majeur dans la fente poisseuse, de toucher les lèvres, de les écarter pour révéler un gros clitoris dressé. À côté d’elle, le Comte, qui ne rate rien du spectacle et semble prendre plaisir à voir sa femme se frotter contre le Cardinal, attire l’attention de Caroline sur l’élégance de la croupe de la Comtesse, qui leur tourne le dos en cambrant les reins. Il soulève la fine robe de son épouse et lui flatte les fesses. Avec délectation il écarte les globes pour montrer à Caroline combien elle mouille.


En face d’eux, le Prince, tirant sur l’anneau qui orne le téton gauche de la seconde servante, l’oblige à se pencher vers lui. Elle est très belle : ses grands yeux noirs humides, son petit nez percé par l’anneau, ses pommettes saillantes, ses grosses lèvres sensuelles donnent à son visage un attrait très animal. Le Prince l’embrasse à pleine bouche, tout en souriant à sa femme. La négresse lui rend son baiser dardant une petite langue pointue. Elle tourne le dos à la Marquise de O, lui offrant la vue de son petit cul rond. La Marquise ne peut résister, et glisse sa main entre ses cuisses tout en s’exclamant :



D’où elle est, Caroline ne peut voir le spectacle, mais il doit être excitant, car la Marquise ne peut s’empêcher de pencher la tête, et de regarder avec insistance l’entrejambe de la domestique. Caroline ne s’étonne pas de la voir poser ses mains fines et blanches sur les fesses sombres et luisantes, et les écarter. La négresse répond à ses attouchements en cambrant davantage les reins, et en ondulant de la croupe. La Marquise darde alors sa langue pour lécher lentement cette croupe offerte.


La plus jeune des servantes s’est quant à elle glissée entre le jeune homme timide et Madame de Marans. Celle-ci l’encourage à observer sa petite moule dodue. Elle oblige la jeune fille à s’accouder à la table, le cul en l’air et les jambes écartées, pour leur laisser voir son entrejambe. À voir l’expression de surprise de la jeune négresse, Caroline devine que l’amie de sa mère ne se contente pas de regarder, et n’a pu se retenir de la toucher : lui a-t-elle enfoncé un doigt dans le sexe ? Lui a-t-elle touché le bouton ? Lui a-t-elle passé un doigt dans la raie ? La jeune fille pousse des petits cris de plaisir tout en gardant ces yeux mi-clos, bientôt suivis de gémissements de contentement. Madame de Marans lui donne une petite tape douce et claquante sur la fesse, et la jeune fille se relève, reprend son plateau et passe au convive suivant. Caroline surprend alors sa mentor porter sa main à ses lèvres, et sucer son index. Le jeune homme semble très excité. Madame de Marans semble apprécier le goût du sexe de la jeune servante : elle se retourne vers sa voisine, que la jeune fille a commencé à servir. Caroline la voit alors passer sa main par derrière entre les cuisses, et lui glisser l’index dans la prune qui s’ouvre sans peine. L’index s’enfonce profondément, ressort luisant de jus. Madame de Marans le retire, barbouille la moule, l’enfonce à nouveau, le retire, et l’offre à sucer à son jeune voisin qui semble se régaler du liquide acre et odorant.


La troisième servante est restée près du Cardinal. La Comtesse de la Fosse, qui semble bien vicieuse, a commencé à la branler en rythme. Elle a lâché l’épaule du Cardinal, et appuie maintenant sa main à l’endroit de sa soutane où son sexe déjà dressé forme une grosse bosse dans le tissu. Son mari, loin de s’en offusquer, observe la scène en caressant son sexe à travers son pantalon.


C’est alors que la seconde jeune fille, encouragée par le Prince qui lui a chuchoté des ordres à l’oreille, contourne la table et s’approche à la gauche de Caroline. La jeune fille prend quelques huîtres pour les poser sur son assiette. La jeune négresse lui montre un des coquillages particulièrement dodu. Il fait irrésistiblement penser à un sexe de femme. La jeune négresse l’effleure de l’ongle et le caresse comme si elle se caressait le sexe. Caroline en est très troublée. Lorsque la négresse dépose le plateau, et lui désigne son sexe comme elle lui a montré le coquillage, Caroline devine sans peine qu’elle va se caresser pour elle. La négresse passe son index sur son pubis, le glisse vers sa fente. Il pénètre sans peine. Elle le ressort luisant de mouille. Elle le suce. Puis du bout des doigts, elle écarte les lèvres de son sexe. Caroline observe fascinée les petites lèvres rosées, le bouton dressé qui semble attendre qu’on le lèche. La négresse commence à onduler des hanches dans une danse lascive. Les autres convives observent le manège avec d’autant plus d’intérêt que Caroline participe pour la première fois à un de leurs dîners. Sans doute se demandent-ils comment elle va réagir. Elle les regarde l’un après l’autre. Le Prince lui sourit comme pour l’encourager. La Marquise de O a glissé une main dans son décolleté, et se caresse le sein gauche. Elle ne regarde pas Caroline, tant elle semble captivée par la vue de la poitrine splendide de la négresse. Le jeune homme ne sait où regarder. Ses yeux passent d’une négresse à l’autre, comme s’il voulait se rassasier la vue de toutes ces nudités, mais reviennent tôt ou tard sur Caroline, qui lui semble sans doute la convive la plus proche par l’âge. Madame de Marans a un sourire énigmatique : elle est certainement séduite par le corps superbe de la négresse, mais elle semble aussi curieuse de voir comment sa jeune protégée va se comporter. Le Comte et la Comtesse de Neuville se tiennent blottis l’un contre l’autre ; la main du Comte caresse la cuisse de sa femme, qui lui chatouille la nuque en souriant à Caroline. L’odeur du sexe de la domestique se mêle à celle des huîtres, puis la domine peu à peu. La négresse continue à caresser sa fente trempée et à en écarter les lèvres. Caroline prend une huître sur son assiette, et la présente à la négresse qui se penche pour la gober en riant. En se penchant, elle offre sa croupe au Prince vénitien, qui n’attendait que ça pour lui flatter les fesses. La négresse prend à son tour un coquillage, et le présente à Caroline. Comme si elle avait fait un faux mouvement, elle renverse un peu de jus dans le décolleté de Caroline, qui lâche un petit cri de surprise. La négresse prend une serviette, et fait mine d’essuyer le jus qui coule entre ses seins. Elle abaisse le tissu, dévoilant le sein gauche de la jeune fille qui, sans s’offusquer, la laisse faire sans aucune gêne. Au contraire, elle bombe le torse, comme pour mieux montrer sa poitrine aux autres convives. Au lieu d’utiliser la serviette pour essuyer l’eau de mer, la négresse se penche et commence à lécher le sein dénudé, titillant le téton durci avec la pointe de sa langue, puis le gobant et le tétant amoureusement. Caroline ne peut s’empêcher de gémir sous cette langue délicieuse et chaude, et plaque le visage de la jeune femme sur sa poitrine. Il lui semble entendre Madame de Marans parler d’elle au Prince en des termes élogieux et grivois



Pendant ce temps, la négresse qui se trouvait à côté du Cardinal s’est dégagée des attouchements de la Comtesse, et se glisse maintenant entre le militaire et le Prince vénitien. Les deux hommes commencent immédiatement à la caresser, s’attardant sur le bout de ses seins, sur ses fesses, sur les chaînes qui pendent de son sexe. De l’autre côté de la table, la plus jeune domestique est en train de servir la Comtesse de Neuville. Celle-ci prend la main de son mari pour la guider vers l’entrejambe de la jeune négresse et lui faire toucher son sexe.


C’est à ce moment que la Princesse reprend sa clochette et sonne. La porte s’ouvre. Un sommelier pour le moins insolite s’avance. Il est noir lui aussi. Il porte à bout de bras un plateau sur lequel se trouvent plusieurs carafons de vin. Il est nu. Sa peau sombre, huilée comme celle des femmes, révèle d’autant mieux ses muscles qu’il est complètement glabre. Il porte un harnachement de cuir noir : un large collier orne son cou, des lanières enserrent son torse, ceignent sa taille, passent entre ses fesses. Des lanières enserrent également ses testicules et son sexe. Caroline ne peut s’empêcher d’admirer ce pénis : il est très long, son état de semi-érection le fait osciller à chaque pas. Le gland décalotté est luisant. Décidément, la Princesse sait s’entourer d’un personnel de grande qualité. Le nègre s’approche d’elle, se penche pour lui servir un verre de vin blanc et se redresse pour attendre son verdict. Il est superbe, pense Caroline, un vrai athlète qui doit combler toutes les envies de sa maîtresse. Est-ce le fait de se trouver à côté d’elle, ou de voir ses consœurs nues autour de la table, ou de sentir l’état d’excitation de l’assemblée ? Toujours est-il que Caroline voit son long sexe gonfler, se redresser doucement, se raidir et atteindre une taille presqu’aussi impressionnante que celui du Cardinal. Il bande bientôt superbement, au plus grand plaisir de la Princesse qui le complimente. Elle goûte au vin, puis ordonne au sommelier de remplir les verres.


Soudain, sur sa droite, Caroline entend la Comtesse de la Fosse s’extasier. Elle se penche en avant pour découvrir qu’elle a soulevé la soutane du Cardinal, et regarde son gros sexe avec gourmandise.



Comme pour mieux démontrer à son mari son état d’excitation, elle relève sa robe, dévoilant son petit cul qu’elle fait onduler sous ses yeux. Son mari glisse la main entre ses cuisses, la ressort luisante de mouille, et la lèche voluptueusement en clignant de l’œil à Caroline. La Comtesse s’empare de la queue du Cardinal, et commence à la caresser. Ses doigts fins vont et viennent sur le membre épais qu’elle peut à peine enserrer. Tout en le branlant, elle glisse sa main entre ses jambes et commence à se masturber. Le Cardinal s’est installé confortablement, et se laisse faire en souriant à la Duchesse qui observe avec attention les caresses variées que lui prodigue la Comtesse.



La Comtesse se penche. Son mari se recule, pour permettre à Caroline de ne rien perdre de la scène. Il se caresse le sexe. Sa femme commence par darder sa langue et la passer sur le gland. Elle la fait tournoyer, taquine le méat, parcourt la hampe. Puis elle ouvre grand la bouche. Elle fait pénétrer le gland entre ses lèvres en grognant. Le sexe est presque trop gros pour sa bouche. Elle respire bruyamment, et enfonce progressivement le membre épais jusqu’au fond de sa bouche. Elle commence à aller et venir. Elle se masturbe de plus en plus vite : Caroline voit ses doigts agiles pénétrer son sexe et taquiner son bouton avec une certaine frénésie. Le Cardinal semble apprécier sa fellation. Il pose sa main sur sa nuque, et la force à se pencher plus fort. La Comtesse manque de s’étrangler, mais parvient à s’enfoncer la queue au plus profond de la gorge.



Elle la ressort pour respirer, en souriant au Cardinal. Caroline est très excitée par le spectacle, et voudrait se branler. Le Comte lui, n’en peut plus. Il ouvre son pantalon, et sort un sexe tout à fait respectable. Comment sa femme ne peut-elle pas se contenter de ce membre long et dur ? Voyant que son mari a sorti son sexe, la Comtesse s’en empare et commence à le branler, sans cesser de sucer le Cardinal.



De l’autre côté de la table, négligeant les fruits de mer, le Comte et la Comtesse de Neuville ont obligé la jeune négresse a s’asseoir sur le bord de la table, les jambes légèrement écartées, le pubis en avant. Ils contemplent sa vulve gonflée en échangeant leurs commentaires. Le Comte commence à trifouiller la fente déjà gluante. Sa femme l’encourage à enfoncer ses doigts, tout en dégageant elle-même le clitoris pour pouvoir le taquiner. Le Comte enfonce deux doigts au plus profond du sexe étroit. La jeune négresse semble apprécier : yeux fermés, tête renversée en arrière, elle offre son sexe tout en caressant ses gros tétons gonflés. Lorsque le Comte lui enfonce un troisième doigt, elle semble défaillir. Sa peau huilée frémit, elle se cambre. Elle commence à jouir. Le Comte ressort ses doigts luisants, les enfonce à nouveau jusqu’au fond. Puis il se penche pour lécher la fente poisseuse, encouragé par sa femme que le spectacle semble tant exciter qu’elle ressent elle-même le besoin de se caresser l’entrejambe. Elle soulève ses jupons. Par-dessus la table, Caroline ne peut voir son entrejambe, mais elle devine aux mouvements de son bras qu’elle se branle sans vergogne. Elle tend sa main vers la poitrine ferme de la jeune servante, et lui pince le téton. Caroline est fascinée par les frémissements qui parcourent la peau huilée de la négresse, qui ondule maintenant de la croupe sur le bord de la table. Elle se penche en arrière, s’appuyant sur ses bras, et relève sa jambe gauche pour poser le pied sur la table et faciliter l’accès à son entrejambe.


Captivée par le spectacle, Caroline n’a pas entendu la Marquise de O qui s’est levée, a contourné la table, s’approche par derrière et lui murmure à l’oreille :



Et sans lui laisser le temps de réagir, elle plaque ses lèvres sur les siennes et lui enfonce sa langue au fond de la bouche. Elle trouve une langue frétillante, qui répond sans hésiter à ses caresses. Les deux femmes commencent à s’embrasser d’abord avec délicatesse, puis plus goulument, leurs langues se mêlent et s’enroulent, leurs lèvres s’écrasent. Caroline épie du coin de l’œil la réaction de Madame de Marans, et baise encore plus avidement la bouche qui s’ouvre à sa langue pénétrante. La Marquise plaque sa main sur le sein dénudé. Elle en apprécie la fermeté et la rondeur, Caroline savoure la douceur de la caresse. Quand elle lui touche le bout du sein, un grand frisson lui parcourt l’échine. La Marquise s’accroupit, et lui titille le téton du bout de sa langue agile. Puis elle le suce, le fait rouler entre ses dents. Caroline fond de désir. La Marquise s’interrompt un moment pour ôter son chemisier. Elle a de petits seins dressés aux bouts arrogants, que les caresses qu’elle s’est prodiguées auparavant ont gonflés d’excitation. La Marquise reprend ses attouchements, Caroline ferme les yeux en savourant son plaisir. Bientôt, la Marquise lui dénude aussi le sein droit, et commence à le masser doucement. Caroline savoure son plaisir. Arrive un moment où elle ne résiste plus à l’envie de se caresser le bouton. Osera-t-elle remonter ses jupes, et se branler devant tous les autres convives ?


Elle rouvre les yeux. Le spectacle la rassure. À sa droite, la Comtesse s’est placée à califourchon sur les genoux du Cardinal, face à lui. Elle monte et descend sur son pal, qu’elle s’enfonce au plus profond de son sexe en ahanant. Son con est trempé, son jus coule jusque sur les gros testicules du Cardinal. Elle chevauche avec une ardeur joyeuse et sourit à Caroline. Son joli cul tremble à chaque mouvement Son mari lui pétrit les fesses, en regardant, fasciné, le con de sa femme dilaté par le membre énorme du cardinal. De l’autre côté de la table, le Comte de Neuville s’est mis nu, et pénètre avec entrain la jeune négresse appuyée sur le bord de la table, rendue folle d’excitation par le mélange de douleur et de plaisir que lui prodigue le couple. La Comtesse lui pince le bout des seins, les fait rouler entre ses doigts avant de les étirer. De temps en temps, elle oblige son mari à ressortir son membre, pour pouvoir lécher la mouille qui s’écoule du sexe dégoulinant de la jeune servante. Elle prend ensuite plaisir à embrasser tantôt son mari, tantôt la jeune fille elle-même. Celle-ci semble apprécier le goût de son propre sexe, autant que le jeu de langue habile de la Comtesse. Caroline entend les mots que le Comte murmure à l’oreille de son épouse :



Caroline se tourne vers Madame de Marans. Jupes relevées et jambes écartées, les yeux à demi-clos et un sourire béat aux lèvres, elle se laisse caresser par son jeune voisin tout en branlant son pénis dressé. Quant à la Duchesse, encouragée par son mari qui a lui aussi sorti son sexe de ses chausses, elle branle avec ardeur le pénis turgescent de son serviteur harnaché tout en se caressant par-dessous ses jupes.


La Marquise se retourne vers Caroline :



Sur ces mots, la Marquise s’écarte de Caroline, et lui montre l’exemple en ôtant sa culotte. Elle révèle son corps mince et musclé, aux fesses nerveuses, et aux cuisses élancées. Son pubis glabre est gonflé de désir, et la fente est luisante de mouille. Comme elle voit que Caroline hésite à l’imiter, elle se tourne vers la négresse et lui ordonne d’aider Caroline à se dévêtir. La servante négresse s’approche, termine de dénuder le torse de la jeune fille, puis la fait se mettre debout. Caroline termine de se déshabiller, puis se rassied, non sans admirer au passage le joli cul de la servante quand elle se penche pour ramasser la robe et les sous-vêtements tombés à ses pieds. La servante est si excitée que sa moule béante dégouline et répand une puissante odeur de sexe. La Marquise ne peut s’empêcher de lui flatter le cul, de passer son index dans sa moule pour l’enduire de jus, de la faire glisser dans la raie de ses fesses, effleurant l’œillet qui frémit. La négresse cambre les reins pour mieux s’offrir aux attouchements. Mais la Marquise, après avoir enfoncé brièvement son index dans la rondelle palpitante, exacerbe son désir en interrompant immédiatement sa pénétration. La servante se relève, déçue.


La Marquise s’accroupit entre les jambes de Caroline, et commence à lui caresser les cuisses. Elle remonte vers l’entrejambe, et quand elle arrive au pubis, Caroline sent déjà que sa mouille lui dégouline entre les fesses. La Marquise enfouit son visage, pousse son nez entre les lèvres de la jeune fille, darde sa langue frétillante dans tous les replis, suce, mordille. Caroline ne peut s’empêcher de prendre ses gros seins dans ses mains, et de se pincer les tétons :



Elle se replonge entre les cuisses de Caroline et recommence à lui titiller le bouton.


À leur droite, la Comtesse de la Fosse est déchaînée, rendue folle par le pénis qui lui dilate la moule. Elle gémit en psalmodiant des mots obscènes, encouragée à la fois par son mari et par le cardinal.



Puis, s’adressant au Duc qui profite du spectacle :



Le Duc adresse un regard à sa femme, qui l’encourage à rejoindre le trio : elle est trop heureuse de pouvoir jouer avec le sexe de son serviteur.


Caroline entend sur sa gauche des gémissements sourds. La négresse aux seins énormes et au sexe orné de chaînes est penchée sur le Prince vénitien et lui suce le pénis en grognant. Debout derrière elle, le militaire la pénètre sans ménagement. Il alterne les longues pénétrations profondes et les petits coups de queue : Caroline jouit du spectacle des énormes nichons aux bouts percés agités par les coups de queue. Le militaire la prend avec une telle ardeur que le Prince vénitien est obligé de lui tenir la nuque pour lui maintenir sa queue au fond de la gorge. Caroline remarque que la négresse se caresse le sexe, et tire elle-même sur les chaînes qui ornent sa vulve pour accentuer son plaisir. Elle grogne de satisfaction, cambre les reins pour faciliter la pénétration, se frotte le bouton et tire sur ses seins.


En face, Madame de Marans s’est penchée sur les genoux du jeune homme, et joue avec sa queue dressée, qui a pris sous les caresses une taille tout à fait respectable. Madame de Marans lui caresse les testicules, enserre la hampe, décalotte le gland pour y poser ses lèvres. Elle épie du coin de l’œil la réaction de Caroline avec un air espiègle, et lui sourit avant d’emboucher le sexe tressautant de désir.


À droite, le Duc est venu se placer dans le dos de la Comtesse. Il lui plaque les mains sur les fesses, et commence à les masser vigoureusement. Il les écarte pour révéler l’œil fripé qui palpite déjà. Le Comte arrête de se branler, il se lève pour écarter lui-même les fesses de sa femme, comme pour mieux les montrer au Duc. Celui-ci prend son sexe en main, pose le gland sur la rondelle. La Comtesse se cambre pour venir au-devant de la queue qui rentre sans aucune difficulté. Prise des deux côtés, la Comtesse crie bientôt son plaisir. Son mari s’est mis à lui caresser la poitrine pour la faire jouir encore davantage.


Excitée par le spectacle, Caroline ne s’est pas rendu compte qu’elle a pris la tête de la Marquise entre ses mains, et la plaque avec force contre son pubis pour la forcer à lui bouffer la chatte. La Marquise s’en acquitte avec plaisir, renifle l’odeur acre et douce à la fois, darde sa langue, suçote, mordille, lèche la moule dégoulinante en grognant.


En face, la Comtesse de Neuville a pris la place de la jeune négresse sur le bord de la table. Elle s’est dénudée. Appuyée sur ses bras, cuisses écartées, elle se fait lécher le sexe par la jeune servante qui se fait prendre en levrette par le Comte. La Comtesse explique à son mari les diverses caresses que lui prodigue la jeune fille ; il lui répond en lui décrivant la fermeté de son cul et l’étroitesse de son sexe. La Comtesse encourage son mari à pénétrer la servante encore plus intensément. Tous trois commencent à gémir.


À droite, la Comtesse de la Fosse ne gémit plus : elle crie presque son plaisir, ne s’interrompant que pour sucer le sexe de son mari qui est venu se placer debout à côté du trio. Le Cardinal a perdu toute retenue, et l’abreuve de mots obscènes tandis qu’elle s’empale sur son pieu :



La Comtesse tremble de tout son corps, mais les trois hommes ne s’arrêtent pas : le Duc va-et-vient sans peine dans son anus dilaté. Il s’enfonce au plus profond, vient claquer du pubis contre ses jolies fesses tremblantes. Le mari se branle quand sa femme lâche son sexe pour reprendre sa respiration. Le Cardinal lui a pris les seins, et les triture vigoureusement. La Comtesse jouit maintenant sans discontinuer, psalmodiant des phrases obscènes qu’elle ne finit même pas :



Soudain le Duc se retire. La Comtesse a compris, elle se relève, s’accroupit. Les trois hommes s’approchent, tenant leur queue en main. Ils se font sucer l’un après l’autre. Le sexe du Cardinal est si gros que la Comtesse a peine à l’emboucher et manque de s’étrangler lorsqu’il lui enfonce au fond de la gorge. Pendant qu’elle suce une queue, elle branle les deux autres. Bientôt, le Duc n’en peut plus. Un dernier coup de poignet, et il éjacule. Son sperme atterrit sur le front, dans les cheveux et sur la joue de la Comtesse. À peine a-t-elle le temps de sucer le gland pour récolter les dernières gouttes de semence que le Cardinal jouit à son tour. Son sperme épais gicle sur son visage, son cou. Elle a réussi à en recevoir une certaine quantité en bouche, et gémit de plaisir : elle aime le goût du sperme. À son tour, son mari s’approche. Elle lui sourit. Il émet un jet puissant qui lui atterrit dans l’œil et sur la joue. Un second jet, tout aussi puissant, lui remplit presque la bouche. Le Comte continue à se branler le sexe, et son éjaculation semble ne pas devoir s’arrêter. Il répand une quantité incroyable de sperme sur le visage, et les seins de sa femme, qui sans doute attendait cela depuis le début. Elle étale le sperme sur ses seins, son cou, son visage, elle suce le pénis enfin tari pour nettoyer les dernières traces. Elle a déjà avalé une grande quantité de semence, mais elle continue à la récolter sur ses doigts avant de les sucer en grognant de plaisir.


Au bout de la table, la Duchesse s’est levée. Penchée par-dessus la table, appuyée sur ses coudes, elle a relevé ses jupes. Le serviteur harnaché s’est placé derrière elle. Il la maintient par la taille, et la pénètre de son long sexe dressé. La Duchesse a ouvert son corset. Ses jolis seins fermes pendent entre ses bras, et balancent au rythme des coups de boutoir que lui assène son partenaire. Elle se place de telle sorte que ses gros tétons, dressés et durcis, effleurent la nappe à chaque mouvement.


Caroline est au bord de l’orgasme. La Marquise lui enfonce bien deux doigts dans le sexe et la ramone vigoureusement, mais elle meurt d’envie de se faire pénétrer elle aussi par un pénis bien dur. Elle invite le Prince vénitien à s’approcher. Il se soustrait à la bouche de la servante. Sa queue est luisante d’avoir été sucée et se dresse avec arrogance. Il s’approche de Caroline, qui se saisit de son sexe sans hésitation, et l’attire à elle pour poser ses lèvres sur le gland turgescent. Elle l’embouche avec délice, salive et agite sa langue. Elle se penche un peu pour observer la réaction de Madame de Marans. Celle-ci s’est placée sur les genoux du jeune homme, elle lui tourne le dos, embrochée sur son sexe, une main sur son bouton et l’autre sur ses seins, et observe la Comtesse couverte de semence.


La Marquise se relève, vient se placer à côté de Caroline pour laisser le Prince prendre sa place entre les cuisses de la jeune fille. Elle se penche vers elle, tend ses lèvres et l’embrasse avec fougue. Caroline lui rend son baiser, darde sa langue pour des jeux subtils, et tend la main pour lui toucher le sexe. La Marquise est trempée, ses lèvres ouvertes répandent une forte odeur de sexe. Elle a dû se caresser tout en la suçant, car elle défaillit dès que Caroline touche son clitoris gonflé. Le Prince approche son sexe, le pose sur sa fente. Caroline l’enserre de ses jambes et l’attire en elle. Il commence à la ramoner, d’abord lentement, puis plus vite. Caroline est déjà au bord du plaisir. Elle se dégage des baisers de la Marquise, qui se met à lui sucer le bout des seins. Caroline ne peut plus se retenir. Un formidable orgasme l’emporte tandis qu’elle ne peut plus retenir ses cris de plaisir. Entre ses cuisses, le Prince en veut davantage, et continue ses va-et-vient. Elle est comblée, mais se prépare à des orgasmes multiples. Très excitée, elle a enfoncé deux doigts dans le sexe de la Marquise qui continue à lui sucer avidement le bout des seins.


À sa gauche, le Comte et la Comtesse de Neuville ont changé de position. Ils ont forcé la jeune négresse à s’agenouiller. La Comtesse s’est placée derrière son mari, et le branle d’une main tout en se caressant de l’autre. La jeune servante, la tête renversée et la bouche ouverte, attend en se caressant les seins le moment où le Comte éjaculera.


De ce côté-ci de la table, le militaire oblige la négresse aux seins énormes à se retourner. Il vient placer sa queue sous son nez. La servante a compris son désir. Elle s’approche, prend ses seins dans ses mains, les presse autour de la queue dressée. Le militaire commence à aller et venir. À chaque mouvement, il agite les fabuleux nichons. La négresse abaisse la tête, laisse filer sa salive pour que le gland glisse bien entre ses seins.


En face, le Comte gémit de plus en plus fort. La Comtesse accélère son branle, et elle peut bientôt diriger vers le visage de la jeune négresse un long jet de sperme dont la blancheur tranche sur la peau sombre. La Comtesse se penche, pour lécher le visage de la jeune servante et se délecter de la semence répandue. La vision de ce spectacle déclenche le second orgasme de Caroline, encore plus puissant et profond.


À sa gauche, le militaire n’en peut plus lui non plus. Ses mouvements se font de plus en plus énergiques et violents, il presse lui-même les gros seins de la négresse et en pince les bouts. La négresse se masturbe d’une main, puis Caroline la voit passer son index entre ses jolies fesses, pour l’enfoncer ensuite dans sa rosette. La vision de son doigt qui s’enfonce sans difficulté dans son œillet fripé la fascine. Le militaire suspend bientôt ses mouvements, se raidit… La négresse ouvre grand sa bouche. Il éjacule violemment jusqu’au fond de sa gorge, le sperme dégouline sur ses gros nichons, se répand partout.


Entre ses cuisses, Caroline sent que le Prince est prêt à jouir. À côté d’elle, la Marquise le devance néanmoins de peu. Elle serre ses cuisses sur la main de Caroline en râlant. Tout de suite après, le Prince jouit sans se retirer d’elle. Elle sent le jet puissant au fond de son sexe et ne peut retenir un troisième orgasme, d’une telle intensité qu’elle manque de perdre connaissance.


Lorsqu’elle reprend ses esprits, tout s’est calmé autour d’elle. Elle n’a pas vu Madame de Marans prendre son plaisir, mais elle devine, à la voir se pourlécher les lèvres, qu’elle apprécie le goût du sperme du jeune homme. Quant à la Duchesse, elle attend en souriant à Caroline que son serviteur ait terminé de lécher lui-même le sperme qu’il a répandu sur son dos.


Quand il a fini, la Duchesse rabat ses jupons, se rassied et agite sa clochette. Les serviteurs quittent la pièce. Les convives ont repris leur place. La plupart sont restés nus. La conversation reprend, légère et charmante. Caroline attend la suite du repas avec curiosité…





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n° 11442Vania06/06/07
L'initiation
critères:  fh fhhh couleurs extraoffre cocus inconnu nympho grossexe fépilée forêt boitenuit collection exhib noculotte pénétratio gangbang init humour
21189 caractères
Auteur : Vania      Collection : La sans culotte attitude

Le 22 mai dernier, j’étais arrêtée à un feu rouge quand j’entendis sur ma gauche un léger coup de klaxon, comme un appel. Je me suis tournée ; à mon côté, une voiture décapotable. Au volant, un monsieur grisonnant. Il me fit signe. J’ai baissé la vitre. Et lui, d’un air paternel :



J’étais agacée. Le feu passait au vert, je ne pouvais vérifier : il me fallait démarrer. J’ai roulé cent mètres et dès que possible, j’ai contrôlé de la main : la culotte était là ! Alors que moi, j’attends le Prince Charmant et ses mots d’amour délicieux, pourquoi faut-il que je m’attire toujours ce genre de plaisanteries douteuses ? Pourtant, le monsieur qui m’avait parlé avait l’air bien convenable…


Une semaine plus tard, j’étais arrêtée au même feu rouge. Je m’entendis appelée par un klaxon, cette fois par la droite. Une camionnette. Le conducteur était un jeune homme en salopette, sans chemise et très musclé. Il abaissa sa vitre et me fit signe. J’ouvris moi aussi. Il me dit, avec un gentil sourire :



Je ne dis rien. Je tenais les dents serrées. Par quelle aberration la même blague stupide se répétait-elle au même endroit ? Par scrupule, j’ai vérifié néanmoins : ce furent des poils de pubis que ma main toucha dans l’entrecuisse… J’avais bien oublié de me culotter !


J’allai à un entretien d’embauche, à l’issue duquel je me rendis directement chez un ami, Juan, un Espagnol qui m’avait invitée, avec deux ou trois copains à lui, dans la grande maison près d’un bois qu’il habitait alors. À peine arrivée, Juan m’accompagna dans ma chambre pour que je puisse me rafraîchir, comme on dit. Juan est un bel homme, avec une bouche très sensuelle. Il badina, comme à l’accoutumée, me posa quelques questions aimables. Timide comme je suis, j’ai bredouillé des « Oui. » Je ne suis pas franchement sexe mais là, sans culotte, en compagnie de cet homme à l’accent si charmant, à deux pas du lit entrouvert… j’avoue que je me suis sentie plus chaude que d’hab’ ! Juan m’a regardé bizarrement et puis, il m’a laissée seule, comme à regret, m’effleurant juste au passage, pour franchir la porte.


Je me rafraîchis donc, d’un grand jet d’eau froide, à califourchon sur le bidet. Puis je descendis au jardin. J’y trouvai un jeune homme :



Il était en salopette. Je ne sais pourquoi : il me fit l’impression d’être nu sous sa salopette. Il n’avait pas de chemise et j’eus le pressentiment qu’il n’avait pas de slip non plus ! Il rit, avec un drôle de regard. Puis, complice :



Quant à moi, j’étais bien sans culotte, n’est-ce pas ? s’enquit-il. Je dus me justifier : ce n’était qu’un oubli !



« Robert est fou », pensai-je.


Toutefois, de retour dans ma chambre, je me suis remémoré ses arguments : c’est plus joli, super confortable, une impression de liberté, etc. C’était vrai qu’après le trouble ressenti lors de mon entretien d’embauche (et peut-être à cause de celui-ci !) je m’étais vite habituée à rester cul nu. D’ailleurs, je n’avais pas éprouvé l’impérieuse nécessité d’aller me culotter pour venir chez Juan… Et puis, nous étions en plein été. Il faisait chaud. Bref, je me suis rasé la chatte. C’était plus frais, sans conteste. Ça me rajeunissait ! J’étais à l’aise ! Je rejoignis le salon, avec comme qui dirait le vent du large sur la choupette. Je me sentais ouverte à la vie, prête à tout ce que l’existence ici-bas pouvait m’offrir comme satisfactions.


Robert disait que la « sans culotte attitude » ne signifie pas qu’on est de mœurs légères. Les filles comme ça sont simplement plus naturelles, moins hypocrites, prétendait-il. Il avait raison : je me sentais libre, sans entrave. Pas « vicieuse » pour un sou : seulement moi – si vous voyez ce que je veux dire. Je m’assumais, telle quelle.


Je posai une fesse sur un bout du divan quand le fils de Juan fit son entrée dans la pièce. C’était un jeune gars vraiment bien foutu, entre dix-neuf et vingt-deux ans. Après les politesses d’usage, il s’assit dans le fauteuil qui me faisait face. Il ne put s’empêcher de porter le regard sous ma jupe, avec un air gêné.



Discrètement (nous étions quand même chez son père !), je relevai la jupe, puis écartai les cuisses, pour lui montrer le « rien » en question. Surprise moi-même par tant d’audace, j’ai piqué un fard et tout mon corps s’enflamma soudain. J’avais la chatte trempée. Le sexe dégoulinait. Et comme je n’avais ni protège-slip, ni slip… se dessina sur le velours du divan une auréole gluante qui en disait long sur mon état psychologique.



De crainte que Juan ne nous découvrît, je fis signe au garçon, dont le sexe raidi sortait par la braguette, de ne pas se dévêtir davantage. Puis je l’ai entraîné dans une encoignure et fis semblant de relacer mes chaussures. Ainsi, je me baissais, en lui présentant mon derrière d’un geste naturel. Comme il éprouvait un peu de mal à me pénétrer, j’ai guidé sa queue – de taille respectable, ma foi ! – qui finit par rentrer. C’était exquis ! Je fus tout de suite au bord de la jouissance, mais je me retins. J’eus beaucoup de mal à ne pas crier. Je me mordais les lèvres pour ne pas le faire, mais quand au troisième ou quatrième coup de rein, il s’est lâché… j’ai poussé un gémissement sans équivoque, qu’on entendit sans doute dans les autres pièces… Je me suis redressée. Le garçon a remballé son engin. D’un kleenex, j’ai épongé le sperme qui me coulait le long des jambes. Je me suis tamponné la moule, et j’ai rabattu la jupe. L’affaire n’avait pas duré deux minutes !


J’étais heureuse et légère ! Épanouie ! Transformée ! Séduite par la facilité, l’authenticité de ce rapport furtif qui n’avait d’autre objet que lui-même, sans prise de tête. Parce que j’ai une chatte, et qu’elle le vaut bien ! Au point que je me demandais comment aborder la question avec mon petit ami. Cela faisait deux ans que nous étions ensemble et toujours j’avais refusé qu’il m’exhibât. Or voilà qu’un Robert inconnu avait convaincu sa blonde chérie de montrer son cul fraîchement rasé au fils d’un ami, et de se faire prendre au débotté ! La blonde n’en éprouvait aucune culpabilité, se promettant au contraire de recommencer !


Justement, lorsque Robert nous rejoignit, ce fut accompagné du monsieur grisonnant : celui-là même qui s’était trompé sur ma petite culotte, huit jours auparavant ! C’était à n’y rien comprendre ! Qu’importe : moi, j’étais très excitée. Tous ces types étaient des voyeurs : le jeune fils de Juan mais surtout Robert et cet homme plus âgé, véritables « dénicheurs » de filles sans culotte… Même si le dernier s’était trompé (à moins qu’il ne se fût agi de la prémonition d’un homme d’expérience ?)


Assise sur le divan, je fus prise d’une bouffée de chaleur. Je dus ôter le premier bouton de mon chemisier, pour mieux respirer. Puis, je ne sais ce qui me prit : j’en ouvris deux, trois. Les hommes me fixaient en se caressant le sexe sans complexe, à travers l’étoffe du pantalon. Aucun n’avait de sous-vêtements. Ils étaient debout, contre moi : on devinait sans peine la forme de leurs sexes. Alors je leur ai montré un nichon. Il ne me vint pas à l’esprit que nous pouvions être découverts… J’y pensai quand le plus vieux sortit sa bite qu’il agita pour en faciliter l’érection. Alors je me dis que Juan devait être complice de tout ça… Peut-être des caméras nous filmaient-elles ?



Les trois queues étaient dehors, comme par enchantement. Elles me semblèrent bien grosses à quelques centimètres de mon visage. Mes seins me faisaient mal. Je dus les libérer complètement, pour me soulager. Les hommes étaient en extase. Moi, je tournais la tête vers une bite, puis vers l’autre. Je touchais l’une, puis l’autre. Je les masturbais à tour de rôle.



La seconde n’avait pas le même goût que la première. La troisième était encore plus sucrée que la seconde. Je pompais presque à les faire jouir mais – c’est ma spécialité, avec mon petit ami – je m’arrêtais toujours avant, par un curieux instinct, une sorte d’empathie. Finalement, j’ai écarté les cuisses et relevé ma jupe sur mon sexe glabre. Ce geste simple déclencha en moi un orgasme indéfinissable, inconnu jusqu’alors. Les trois hommes éjaculèrent au même moment, presque en même temps. Le fils de Juan gicla sur mon visage. Robert m’aspergea la poitrine. Quant au sperme du plus vieux, il échoua sur mon bas-ventre.



Je nageais dans le foutre, j’en avais partout ! Je dus avouer que ça me plaisait. J’aimais surtout me sentir disponible, libre de faire « ça » d’un moment à l’autre. En fait, j’étais heureuse d’être enfin décomplexée. Je regrettais d’avoir si longtemps occulté ma féminité par ces culottes de grands-mères, sans parler des strings qui, sous le fallacieux prétexte de libération féminine, vous mettent le cul entre deux chaises : c’est du ni-ni gnangnan d’adolescent boutonneux !


Mon petit ami avait souhaité que j’aille cul nu, de temps à autre. Je n’avais jamais voulu. Quelle imbécile j’avais été ! Une fois, il m’avait même emmenée dans le bois, près de chez Juan, à la recherche d’un voyeur qui me plairait. Nous roulions doucement, il y en avait beaucoup, mais je disais qu’aucun ne me convenait ! Mon petit ami était très excité, pourtant. Il aurait voulu que je me déculotte, que je montre mon minou à un type bien monté. Pour lui faire plaisir, j’ai dit à un moment : « Tiens, celui-là n’est pas mal. » On l’a laissé s’approcher mais quand il s’est collé à la vitre, le pantalon aux genoux, avec un dard turgescent, exacerbé par l’attente, dont j’aurais pu disposer à ma guise, d’un claquement des doigts ou d’une œillade… j’ai refusé de me déshabiller. Mon petit ami n’a pas insisté. Pourtant, quelque part, j’en avais envie. Mais ça ne me semblait pas convenable… Je le regrettais. Depuis ma conversation avec Robert, dans de pareilles circonstances, je me lâcherais complètement ! Et même davantage !



---oooOooo---



La première fois que je suis ressortie avec mon petit ami, suite à cette journée mémorable, ce fut pour aller en boîte. J’avais revêtu une robe rouge, des chaussures à talons hauts, rouges également. Et bien évidemment, je n’ai pas mis de culotte !



Je souris et lui fis signe d’approcher. Assis dans le canapé, il eut une lueur d’incompréhension dans les yeux… Debout devant lui, j’ai relevé la robe, laissant apparaître mon sexe de fille dans tout son reality-show.



Le doudou en resta stupéfait.


Nous sommes allés dans un établissement où les femmes attablées sont habillées de façon très suggestive… J’étais dans le ton ! Lumière tamisée, des alcôves entrouvertes… Des ébats privés, pratiqués en public. Avec ma robe, d’entrée je fis flasher deux jeunes Sénégalais. De grands types fringants, très classe. J’entraînai rapidement les deux hommes dans une alcôve confortable, avec mon petit ami. Ce dernier était gêné. Il en aurait presque paniqué. Cependant, c’était bien à lui de m’exhiber, selon son fantasme favori qui était désormais ma nouvelle nature ! Les Noirs me fixaient, l’air concentré, comme des athlètes de haut niveau. Ils respiraient tous deux profondément. On sentait les vibrations de leur musculature, la tension qui les sous-tendait.


Mon ami se décida enfin. D’une main tremblante, il commença à me déboutonner. Puis il dégagea mes gros seins, qui jaillirent… Il les caressa et invita les deux hommes à en faire autant. Les types me les tripotèrent sans vergogne, me les malaxant de quatre mains avides. J’aimais bien qu’ils me palpent ainsi, avec un plaisir franc. Sous pression, ils expiraient longuement. On aurait dit qu’ils exhalaient une odeur d’adrénaline. Je dilatai les narines. Ça m’excitait beaucoup.


Mon petit ami leva alors le rideau rouge, découvrant mes cuisses et, progressivement, il mit ma chatte à nu. Je lus un moment d’inquiétude dans ses yeux, mêlé d’un dernier doute. Séquence émotion quand il dit :



À ces paroles, je me rendis compte que j’allais me donner sans retenue à deux jeunes inconnus sous le regard de mon petit ami. À cette idée, j’étais déjà au septième ciel !


Les deux pantalons glissèrent.. Je crus qu’ils ôteraient la chemise, mais non… Mon dieu ! Ce serait donc là, tout de suite ! Jailli de son starting-block, le premier me culbuta dans l’alcôve. Il me plaqua d’autorité sur la couche, les bras en croix. Je me sentie pénétrée à fond, d’un coup ! avec un cri rauque. L’homme explosa immédiatement. Tant de soudaineté me secoua de plusieurs orgasmes ! Pourtant, je n’avais eu le temps de penser à rien ! Ce fut instinctif, pulsionnel, irrésistible. Quelque chose comme une libération. Mon petit ami se branlait devant ce spectacle inespéré. Mais déjà, le second larron revendiquait la place ! Il prit le relais, d’une queue très épaisse que j’aperçus à peine tant il me la planta rapidement dans le ventre. Ma chatte déborda de sperme et de sécrétions vaginales mélangées. Le Noir ressortit aussitôt son membre qui m’éclaboussa de foutre, en jets puissants. Le type se pressait les couilles des deux mains pour en extraire tout le jus. Jamais je n’avais vécu ça ! Les giclées aigre-douces me submergeaient. Je transpirais d’aise, d’une sueur saine. Je ressentais pleinement le bonheur d’être femme. J’étais pleine. Je me souviens que je disais : « Merci, merci… » J’étais comblée !


Comblée, un peu sonnée aussi ! Quelle expérience, faut-il dire !


J’arrangeai vaguement ma tenue et rejoignis les toilettes en titubant, escortée des deux Noirs reconnaissants. Nous dûmes traverser la boîte, entre les tables. Les Noirs étaient en chemise, le pantalon sur le bras. Les clientes de la boîte nous considéraient avec envie. J’eus la vanité d’en être fière. Comme les deux Noirs le souhaitaient, je fis pipi devant eux sur le water à la turque, pour les remercier de la vigueur exceptionnelle avec laquelle ils m’avaient honorée. Franchement, ils avaient été à la hauteur de mes espérances les plus folles. J’avais été « servie » et j’avais l’intention de continuer à me servir de la sorte ! Quant à mon petit ami, il éprouvait de la difficulté à se reboutonner, tant il bandait !


Quand nous quittâmes la boîte, les deux Noirs nous attendaient sur le parking, accompagnés d’une charmante Noire de dix-neuf ans, très foncée de peau, avec de petits seins et un cul en 36. Ses compagnons la firent monter dans notre voiture. Elle ne portait pas de culotte. Quand elle s’installa, je lui vis sans peine la chatte. Elle ne se souciait pas de dissimuler son appareil génital, qu’elle avait étonnamment développé, avec de petites lèvres hypertrophiées, aux allures de papillon de nuit. Elle déclara tout de go qu’elle n’avait pas encore pris son pied ce soir et qu’elle en avait foutrement envie ! Que dirions-nous de débusquer quelques voyeurs au bois ? interrogea-t-elle.


Sereinement, la jeunette expliqua qu’elle appréciait tout particulièrement les types bien frustrés, qui se branlent comme des dingues en matant les femmes dans les bagnoles. Elle s’amusait à les faire baver (dans tous les sens du terme) en s’exposant nue comme un ver luisant sur la banquette arrière. La crise ! assurait-elle. Il fallait voir ça ! Quand l’un de ces névrosés disposait d’un engin à la dimension de ses besoins (de « gros » besoins, apparemment), elle se le faisait en levrette par la portière. Elle parlait de vrais phénomènes, très en manque : de véritables bombes sexuelles à retardement ! Avec certains, elle se régalait ! Des dérouillées XXL ! Que d’émotions !



Celui-ci n’en avait cure. Super étonné, il fonçait déjà, d’un empressement fébrile. Quand il dut s’arrêter à l’orée du bois, à cause d’un feu rouge, une voiture nous klaxonna. Par la vitre baissée, l’examinateur de mon entretien d’embauche nous lança :



Puis il suivit notre véhicule sous les arbres, où des ombres silencieuses qui rôdaient prenaient vie à la lumière de nos phares.


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n° 11450Vania06/06/07
La richesse sexuelle
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16214 caractères
Auteur : Vania      Collection : La sans culotte attitude

XXL au centre commercial


Samedi dernier, je suis allée au centre commercial près de chez moi, pour déjeuner. L’endroit est très fréquenté le week-end, notamment par de jeunes garçons très intéressants. Bien que la nuit-même j’avais fait l’amour avec un routier des Carpates, le sexe me titillait ! Était-ce dû à l’excitation ? En tout cas, je fus prise d’une envie soudaine. Le genre de besoin pressant qui ne peut attendre. Direction : les toilettes ! Alors que je filais du côté des dames, je remarquai un grand Africain d’à peine vingt ans à la porte des hommes. Il était magnifique. Bien sûr, je connaissais la raison de sa présence. Un signe furtif de ma part suffit : il me suivit dans les WC pour handicapés…


Je m’accroupis tout de suite au-dessus de la cuvette et me mis à pisser. Je n’eus pas besoin de baisser ma petite culotte, puisque je n’en porte jamais. Comme je ne m’étais pas lavé la chatte depuis la veille, ça sentait. Mon odeur et celle du pipi ont excité mon compagnon. Il ôta son sweat-shirt et le jogging. Il ne portait rien en dessous. Il se retrouva nu, en baskets. Sa peau noire brillait d’une transpiration âcre. Sa longue queue décalottée bandait. Quand je me suis tamponnée avec le papier, en écartant bien les lèvres, et sans qu’il fût besoin d’autre chose, du sperme perla du membre noir. Le gars lâchait de petites giclées, comme en trop-plein.


En fin de semaine, il avait l’habitude de ce genre de rencontre, avec les ménagères qui faisaient leurs courses. Ses fesses rebondies plaisaient aux dames. Il me sourit, un peu triste. Moi, ce n’étaient pas les sourires qui me motivaient.



Il s’est rapproché, avec un drôle d’air. J’enroulai la base de son grand bazar avec une mèche de mes cheveux et serrai le tout dans ma chevelure, comme un garrot. Je lui pinçai les couilles du bout des doigts. De l’autre main, je prélevai du sperme qui coulait de l’urètre et l’étalai sur la queue. Ensuite, je mordis celle-ci, à petits coups de dents durs et incisifs. Le garçon faisait des efforts comiques pour se retenir. Ses jambes tremblaient. Ses abdominaux étaient contractés. J’appuyai son gland sur mes canines. Au moment où je rapprochai les mâchoires, il éjacula violemment à l’intérieur de ma bouche. Il propulsa une quantité de foutre invraisemblable, dans des râlements de fin du monde. J’avais beau déglutir, ça débordait sur mes joues, sur le menton, avant de tomber par terre. Je dus me pencher vers l’avant pour ne pas m’en répandre partout sur les vêtements.


Quand je sortis des waters, ce fut pour tomber sur mon patron. Il était accompagné de la secrétaire qu’il venait d’embaucher : une gamine basanée de vingt ans, débarquée de Madagascar. Il paradait, en lui payant des babioles. On le voyait heureux d’épater la pauvre fille. Celle-ci le considérait avec des yeux incrédules. Le couple était si désassorti qu’il n’y avait aucune illusion à se faire sur la suite des événements…




La secrétaire malgache


Je ne sais ce qui se passa, mais le lundi, mon patron tançait la frêle enfant :



Bref, il était contrarié. Je détaillai l’oisillon : sa vêture était irréprochable. Étonnée, je me plaçai à côté du bonhomme. Il trônait dans son grand fauteuil, derrière son vaste bureau, tandis que la petite étrangère tremblait de tous ses membres au milieu de la pièce.


Comme à l’accoutumée, le patron passa le bras sous ma jupe. Puis il insinua son index tendu dans la raie de mes fesses, en signe de protection.



La première phalange de son index s’était introduite dans mon anus.



Je pris à part la secrétaire modèle, qu’on aurait voulu top model. Les conditions sous-jacentes à sa venue à Paris ne lui étaient pas apparues clairement. Les intermédiaires s’étaient contredits entre eux. Elle n’était pas de mauvaise volonté. Mais la seule expérience qu’elle avait eue avec un Européen à Tananarive l’avait dégoûtée…


Elle était sortie en boîte de nuit avec un groupe d’amies de son âge. Des Européens leur avaient payé le champagne. Sans doute avait-elle trop bu ? En tout cas, elle s’était retrouvée aux chiottes avec un Blanc, qui l’avait tout de suite embrassée et caressée, sans se gêner. Puis il lui avait baissé la culotte. Bien sûr, elle n’était plus vierge depuis longtemps. Mais elle n’avait pas aimé qu’il la traitât de chienne. Il lui avait dit de montrer son cul, qu’il allait la baiser comme une chienne… Elle avait dû se tourner, se pencher en avant, les mains sur la cuvette. Sa tête cognait dans le réservoir de la chasse d’eau à chaque coup et, à chaque coup, il disait : « Tiens, prends-ça, chienne ! » Quand elle s’était extraite du cabinet, ce fut pour voir que ses copines avaient fait pareil avec les autres Blancs et qu’elles étaient contentes… Certaines allèrent même dormir avec les Blancs à leur hôtel… Mais elle, ça lui avait suffi !


Je fus étonnée de cette confidence. Mon interlocutrice n’était pas du tout une pucelle effarouchée. Le fait qu’elle me racontât cette aventure témoignait donc d’un malaise véritable. Je compris que « coucher » n’était pas un problème pour elle. Au contraire, dans sa courte existence, ç’avait été souvent une solution. En revanche, ce qui l’était, un problème, c’était de le faire avec Monsieur Hadelshoffen, un gros Allemand qu’on disait brutal et grossier. C’est pour quoi elle n’avait pas mis le petit soutien-gorge et le string roses que lui avait donnés le patron, ni le top qui était trop serré, ni la jupette qui était trop courte, ni les chaussures dont les talons étaient trop hauts…





Rencontre avec Monsieur Hadelshoffen


On comprenait à son visage et au ton de sa voix qu’elle était perturbée. Le monde de l’entreprise ne lui était pas familier. Je commençai par la féliciter sur ses qualités de secrétaire, pour entrer peu à peu dans ses bonnes grâces. Puis je lui fis ressortir qu’il n’était pas rare de trouver du plaisir là où l’on n’imaginait que désagrément. Certes, les déconvenues sont toujours possibles mais je l’exhortai à plus d’optimisme :



À force d’arguments simples et de quelques ruses, je parvins à la convaincre. Elle finit par accepter d’apporter les dossiers à Monsieur Hadelshoffen. In extremis… L’alerte avait été chaude ! Je pris place avec elle à l’arrière de la voiture de fonction du patron. Assise à côté des dossiers, elle était anxieuse. Elle me sourit d’un air tristounet, comme pour être encouragée. Sans un mot, elle s’allongea sur la banquette, avec la tête sur mes cuisses. Je troussai sa jupe, écartai la ficelle de son string rose, et lui branlai le clitoris. Elle se pelotonna, comme une chatte. Je la branlai doucement, mais avec fermeté ; contrôlant sans difficulté des sensations que je devinais.


Le chauffeur conduisait prudemment, s’arrêtait aux feux rouges. Par les vitres, on voyait la tour Montparnasse, l’obélisque de la Concorde, la colonne de la place Vendôme. Je cajolais le bouton de chair, ni trop, ni trop peu. L’odeur du sexe poilu de la fille emplissait l’habitacle. Elle me sembla mûre à point quand nous arrivâmes enfin au domicile parisien de Monsieur Hadelshoffen.



(…)



Quand elle ressortit du domicile parisien de Monsieur Hadelshoffen, la jeune Malgache me sembla éprouvée. Elle portait les lourds dossiers sous le bras. Elle avait des cernes sous les yeux. Elle ne me regarda pas tout de suite. Moi, j’avais un peu mauvaise conscience. Mais elle déclara sobrement que Monsieur Hadelshoffen avait signé les papiers, sans même jeter un œil dans sa direction.



Je découvrais la coquine aussi dévergondée que je me l’étais imaginée… J’avais eu raison de la forcer ! J’étais contente ! Elle reprit :



Nous prîmes le chemin du retour, satisfaites. Dans la voiture, la petite eut une nouvelle poussée d’excitation. Des jeunes déambulaient en bande sur l’avenue. Ils s’amusaient. Les garçons poussaient des hurlements, certains tenaient des canettes de bière. Les filles avaient relevé leur tee-shirt et montraient aux passants des seins pointus. C’était des étudiants qui avaient fait des études d’ingénieur. Pendant l’année scolaire, ils n’avaient pas eu le temps de sortir. Ils étaient en manque.



Elle sortit de la voiture pour se mêler au groupe, pour rire, pour faire des choses avec les garçons de son âge, avec les filles aussi, peut-être, pour faire plein de choses. Sur la banquette, elle avait abandonné les dossiers signés, à côté de son string rose qui sentait le bonheur.




C’est bien moi la meilleure !


Peu de gens imaginent qu’une jeune femme puisse aller se faire baiser comme ça, sans culotte, par des inconnus, uniquement parce qu’elle en a envie, parce qu’elle mouille. Peu de gens s’avouent leurs désirs. Peu de gens croient que leurs pulsions sont saines dès lors qu’elles concernent le sexe. Le problème est qu’on confond « baiser » et « aimer », alors que ça ne s’écrit pas pareil, et que ce ne sont pas les mêmes organes qui sont en jeu : la bite et la moule n’ont rien à voir avec le palpitant. Se faire bourrer le vagin par une queue ne fait pas aimer celui qui a la queue, même si c’est une grosse. Inversement, pourquoi faudrait-il aimer pour se faire baiser ? Toute cette confusion aboutit à la misère sexuelle. La «sans culotte attitude,» c’est la richesse sexuelle des femmes !


Quoi qu’il en soit, je rapportai seule les dossiers au patron. Il attendait dans son bureau, en fumant. Quand j’entrai dans la pièce, il faisait des dessins pornographiques avec ses cendres de cigarette. Il leva les yeux, s’empara des documents :



Il ne dit rien d’autre, pour bien montrer comment il savait s’y prendre avec une employée devant un chef. Les dossiers rangés, le patron me fixa avec insistance.



Je ne reçus pas de réponse, si ce n’est que le regard posé sur moi traduisait une contrariété manifeste. Le patron détestait tout signe d’atermoiement chez les filles qu’il baisait régulièrement. Il s’avança et posa ses mains sur mes seins, en appuyant dessus, comme s’il voulait écraser l’incident.



J’esquissai un sourire, presque sincère. La nuit, qui était tombée depuis longtemps, accentuait la frénésie des jeunes étudiants qu’on entendait dehors. Ils s’amusaient dans les rues, couraient, se rattrapaient, se prenaient dans les halls des immeubles, se lâchaient, recommençaient… Moi, j’aurais voulu un sourire. J’aurais voulu que le patron me sourît en retour, pour personnaliser un peu les événements qui nécessairement allaient s’ensuivre. Mais le patron était trop occupé à plier son pantalon sur le grand fauteuil. Il avait décidé de ne pas me renvoyer mon sourire. Il tira une bouffée de sa cigarette :



C’était une phrase que je disais parfois…


La sueur perlait sur mon front. La vérité est que si j’avais eu du courage, j’aurais laissé tomber. J’ai failli pleurer. Mais d’un autre côté, j’avais décidé d’aller jusqu’au bout de la « sans culotte attitude ». Je chuchotai, à travers mes lèvres tremblantes :



Il me prit en levrette. Il ajouta :



Je fermai les yeux, contractai le vagin. Je sentais le sang affluer dans le pénis. Le patron y allait par de longs va-et-vient. J’avais beau serrer les cuisses, il arrivait quand même à me pénétrer jusqu’au fond. J’étais littéralement possédée par une sensation intense, diabolique ! Je me sentais réconciliée avec la vie. Je jouis vite, effectivement : avec des spasmes et les bruits de gorge que provoque la difficulté de respirer. Toujours en moi, le patron s’immobilisa, poussa un râle guttural puis, complètement vidé, s’abattit sur mon dos. Il me serra dans ses bras, la tête reposant sur ma nuque.


En se rhabillant, le patron qui s’était détendu, devint charmant. Il me félicita pour la signature du contrat et, d’un geste obscène, me fit comprendre qu’il me complimentait pour le reste aussi. Moins pressé, il consacra quelques minutes à me parler des filles de l’entreprise : Nicole qui suce, Béatrice qui n’est vraiment pas propre, Cathy qui se masturbe, etc. Il raconta des anecdotes plutôt inavouables qui m’étonnèrent, surtout en ce qui concerne Béatrice.



Puis il ajouta, de sa belle voix grave :




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n° 11580Maldoror25/07/07
Polly
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19589 caractères      
Auteur : Maldoror      Série : Cum, blood and bullets - 01

1.




Alors elle s’est allumé une clope. Une Lucky. La dernière. Aucune importance, on la fumerait à deux. On en avait rudement besoin, histoire de récupérer un peu. Ses doigts tachèrent d’hémoglobine le filtre encore vierge, de ce sang étranger de flic qui avait éclaboussé sa poitrine, souillant son corps frêle de lolita vicieuse… Il faut dire qu’on n’était pas beaux à voir, tous les deux. Elle, tee-shirt rose Pretty like drugs et culotte blanche maculés d’un sang poisseux jusqu’aux seins, et moi, torse nu avec un holster en guise de cravate. Avec ces conneries, c’est tout juste si j’avais eu le temps de passer mon futal. Et ça m’ennuyait beaucoup d’avoir laissé ma veste à cinq mille dollars là-bas. Bon sang, une Versace en plus… En attendant, je me trouvais à moitié à poil avec ma princesse, Polly, dans une berline cabossée et plombée jusqu’au delco, le tout sur une Nationale merdique, et pas moyen de penser à autre chose qu’à son cul. J’avais tellement envie de baiser que mon pantalon de toile suffisait à peine à contenir les ardeurs de ma chose. Une vraie trique d’enfer, un peu comme celle qu’on peut choper quand on passe devant les bordels mexicains tellement y a d’étalage…


Elle me tendit la clope et je tirai une bouffée, le goût de ses lèvres dans ma bouche. Je vis ses yeux de vipère descendre rapidement d’un étage et un léger sourire se dessiner à la commissure de ses lèvres.



Puis elle approcha ses lèvres fines à hauteur de mon oreille droite pour y glisser subrepticement sa langue. Ses doigts délicats effleurèrent le tatouage d’Eraserhead sur mon torse, puis glissèrent timidement le long de mes abdos attaqués par la Bud pour enfin disparaître dans le creux de mon pantalon.


Cette garce savait s’y prendre avec les hommes. Dix-neuf ans à peine et totalement open aux expériences les plus poussées. « Du trash et des baisers », tel était son credo… Elle et moi ne cessions de forniquer depuis notre rencontre il y a un an. C’était à croire que la collision de nos libidos avait provoqué un tremblement de terre à l’intérieur de nos corps, et la sauter trois fois par jour ne suffisait pas à la satisfaire. Fort heureusement, j’étais moi-même dans ma pleine jeunesse, vingt-quatre printemps, et il m’était arrivé de l’enfiler jusqu’à sept fois dans la même journée. Elle était une source intarissable d’excitation, réalisant mes fantasmes les plus retors. Ses fantasmes étaient, paraît-il, de réaliser les miens. À cela s’ajoutait une beauté d’une perversité peu ordinaire. La taille haute, un cul ferme et galbé, de longues jambes de gazelle et de petits seins perpétuellement dressés, ce qui lui évitait de porter le traditionnel soutien-gorge dont rêvent les adolescentes. J’aimais la regarder, nue, son épaisse crinière de platine caressant ses fesses en une gerbe d’étincelles tandis qu’elle balançait des hanches jusqu’à moi. Mais ce qui m’excitait au plus haut point, c’était ce grain de beauté qui pointait au-dessus de ses lèvres et ce regard de folle qui n’avait de cesse de me troubler tandis qu’elle me suçait en gémissant de plaisir. Bien des heures après, j’y pensais toujours, ne pouvant m’empêcher d’y lire encore et encore le pacte infernal qui me liait à elle.


Pour l’heure, ses doigts aux ongles vernis de rose qui avaient empoigné mon membre ne cessaient d’aller et venir dans mon pantalon de toile. Polly tortillait des hanches en me suppliant du regard, la main droite enfouie au plus profond de mon caleçon. Elle me palpait maintenant les couilles avec une étonnante douceur, signe que la suite serait des plus sauvages. En effet, la tendresse n’avait rien de sexuel chez elle. Les mots sucrés et les gentilles caresses, elle se les réservait pour plus tard. Avec elle, le sexe était un animal, une bête insatiable qu’il fallait à tout prix dompter pour tenter de la satisfaire. Les préliminaires étaient une chimère qu’elle ne voulait pas connaître…


Pris d’une envie incontrôlable de la déchirer, j’enfonçai la pédale de frein de la berline qui glissa abruptement sur le bas-côté dans un nuage de poussière. Le désert d’Arizona s’apprêtait à assister à l’une des scènes de baise des plus torrides. J’ignorai le klaxon du truck qui passa en trombe de l’autre côté de la route et empoignai la tignasse de ma jolie blonde pour lui rouler une pelle d’enfer. Et comme je glissai ma langue dans sa bouche pleine de salive, je sentis ses mains impatientes arracher les boutons de mon pantalon. À mon tour, je la débarrassai de son tee-shirt coagulé tandis qu’elle ouvrait la portière côté passager. Ses mains m’agrippèrent ensuite par la ceinture pour m’attirer vers elle. À genoux maintenant sur le sable, les paumes en appui sur le montant chromé de la bagnole, elle m’attendait en geignant et en secouant sa lourde chevelure, faisant voler les mèches de ses cheveux à l’extérieur de l’habitacle. Enfin, je me débarrassai du holster, le posant à portée de main sur mon siège en cuir, et pris place sur le sien, mes cuisses emprisonnant son corps de poupée désarticulée dans un étau. Polly bâilla à s’en décrocher la mâchoire, ce qui voulait dire dans son langage à elle qu’elle allait me gratifier d’une pipe inoubliable.


J’eus à peine le temps de baisser mon pantalon sous mes fesses qu’elle engloutissait ma longue queue jusqu’à la garde, sa bouche un fourreau humide et brûlant. Puis elle commença à aller et venir, lentement, pour mieux s’assurer de mon excitation. Elle adorait la sensation du membre qui s’épanouissait pleinement dans sa bouche. Elle me suça ainsi pendant quelques secondes, s’arrêtant une fois pour cracher un épais coulis de bave sur mon membre imbibé de salive. Avant de me pomper comme une folle en gémissant, les paupières closes. Au-delà de sa bouche, c’était tout son corps qui m’aspirait, jouant des hanches pour être encore plus bandante. La regarder s’agiter de la sorte, son dos frémissant au rythme de ses halètements qu’accompagnait un bruit de succion, était un plaisir à l’état brut.


Je posai mes mains sur le haut de son crâne, empoignant sa crinière en malaxant les mèches de ses cheveux qui collaient à sa bouche et rejetai brusquement sa tête vers l’arrière, afin de laisser respirer ma queue. Polly ouvrit une bouche béante, un épais filet de salive au coin des lèvres, aspirant une grande bouffée d’air en me scrutant du coin de l’œil.



Elle aimait qu’on la traite de chienne, comme le confirma sa moue approbatrice.



Ses mains prirent appui sur mes cuisses et saisirent mon membre durci pour l’agiter de nouveau.



Et elle se rua de nouveau sur ma queue gorgée de sang, titillant mon gland avec sa langue rose avant de me gober une fois encore en entier. Je sentis mon prépuce cogner contre son palais, alors conscient de passer une étape dans cette fellation extatique. Au contact de mon sexe à l’intérieur de sa gorge, Polly réprima un léger vomissement, ce passage étant le prix à payer pour toute gorge profonde. Elle me pompa ainsi longuement, ponctuant en cadence ses allers-retours par de petits cris étouffés, parfois au bord de l’étouffement. Ses yeux verts ne cessaient de me fixer, hypnotiques, pour se repaître de la fièvre qui s’était emparée de mon visage. Je n’en pouvais plus de désir. La bouche de Polly empalée sur ma queue, ses halètements répétés et le rythme infernal de ses lèvres ne mettraient plus longtemps à me faire jouir. Alors mes mains saisirent ses lourds cheveux de part et d’autre de sa tête, et je l’immobilisai, elle, pour mieux baiser sa bouche. Je m’engouffrai au plus profond de sa gorge à coups de reins saccadés, en hurlant comme un loup à la lune. J’étais maintenant allongé, les épaules sur le siège en cuir noir du conducteur, et mon bassin la travaillait avec une vigueur extraordinaire. Je la sentais tressaillir, frémir sous chacun de mes assauts dans sa bouche, des litres de salive se déversant tout autour de ma queue pour venir imbiber mes couilles.

Puis.


Je me relevai brusquement pour m’arracher à cette voracité. Et tandis que je me branlais au-dessus de son visage, Polly ne cessait de m’exciter avec ses regards et ses jeux de langue assassins. D’épaisses traînées de bave avaient coulé sur son menton pour dresser des passerelles improbables entre sa bouche et ma queue.



J’explosai en lâchant un râle qui déchira le silence du désert. Six jets abondants qui noyèrent son visage dans une cascade d’écume blanche. Le premier, puissant, domina son faciès pour retomber dans sa chevelure et ainsi scinder sa jolie petite gueule de salope d’une balafre de foutre. Le deuxième heurta violemment son œil droit pour dégouliner le long de sa pommette en une coulure âcre et blanche. Sans doute surprise par la violence de l’impact, Polly détourna le visage avant de reprendre la pose. Le troisième s’éclata massivement dans ses narines et le quatrième atterrit copieusement sur sa lèvre supérieure. Je déposai enfin les deux derniers sur sa langue tendue, un coulis de sperme qu’elle ne tarda pas à faire disparaître. Son visage se résumait désormais à d’épaisses cicatrices de foutre sur sa peau de miel. Un régal pour les yeux.



Puis elle s’esclaffa en lâchant une bulle de sperme.



Alors, dressée sur ses genoux, la cambrure orgueilleuse et les bras croisés dans son dos, elle ouvrit la bouche pour me montrer le cocktail de foutre et de salive qui baignait son palais. Sa main gauche caressait délicatement mon gland en berne, recueillant habilement les filets de sperme sur ses doigts. Puis, comme si elle exécutait un tour de magie, elle avala l’ensemble – je la vis déglutir – avant de m’en donner la preuve en exhibant à nouveau sa langue. Elle essuya enfin ma queue dans son épaisse tignasse et je m’aperçus tout à coup que salive et foutre s’étaient mêlés aux éclaboussures de sang sur son cou et ses seins, composant une fresque singulière.


Quant à moi, j’étais épuisé. J’avais les jambes en coton et mon cœur battait à plein régime. Je m’imaginai le roi du monde. Un immense bonheur avait poussé mon corps jusqu’à ses dernières limites au moment de l’orgasme. Polly savait me rendre heureux, elle me procurait régulièrement cette dose d’adrénaline que seuls les braquages peuvent révéler. Car c’est ainsi. L’argent n’est pas toujours la seule motivation des braqueurs de banque. Je la remerciai ainsi d’un baiser sur ses lèvres et recueillis un amas de sperme dans ma bouche au passage. Ce n’était pas la première fois que je goûtai à mon foutre, et je m’étais, à vrai dire, toujours demandé comment il pouvait être si écœurant. Chez moi, l’abondance primait largement sur la saveur. Polly finit ensuite par se relever, le visage luisant de sperme sous les rayons du soleil. Elle échappa une grimace, cracha un filet de bave épais et visqueux, puis passa un ongle sur sa joue, comme pour libérer le grain de beauté emprisonné sous cette couche plâtreuse qui commençait à sécher sur sa peau. Ses seins tapissés de foutre et de sang pointaient en ma direction, comme pour mieux me signifier son désir.



En appui sur ses coudes anguleux, les jambes écartées fermement ancrées sur le sol poussiéreux, elle exhibait sa culotte dans une parfaite indécence. Il s’agissait d’une simple étoffe de coton de couleur blanche, avec, au niveau de sa fente, cette inscription en lettres roses, pleine de promesses : Suck me baby. La serpillière qui lui servait désormais de tee-shirt reposait à ses pieds, enfouis dans des platform-boots roses dont les lanières grimpaient le long de ses mollets comme la vigne sauvage. Elle paraissait ainsi de grande taille, à la vérité ne dépassant pas le mètre soixante-dix. Une panoplie dont je savais qu’elle ne se séparerait jamais, vu son admiration pour Katie Jane Garside, la chanteuse de Queen Adreena, un groupe de rock totalement lunaire que nous avions vu en concert à Détroit. Polly n’avait pu résister à la sortie et avait acheté ces fringues qu’elle ne quittait plus. Avoir oublié sa robe à l’hôtel avait déchaîné chez elle une rage folle, avant de la plonger dans un profond mutisme durant plusieurs heures.


Mais cette catatonie était désormais bien loin. Polly jouait de ses hanches saillantes, ses frêles omoplates sur le capot brûlant de la bagnole et les cheveux collés par le foutre dans les yeux. Elle avait baissé sa culotte à mi-cuisses et me présentait sa fine toison de miel en caressant sa fente du bout des doigts. Le blond platine de ses cheveux étincelait au soleil. Puis d’un geste de la main, elle me fit signe d’approcher.


Alors je sortis une nouvelle fois ma queue et, juché sur mes jambes à quelques enjambées, la regardai durcir pour s’élever à l’horizontale. Elle était d’une longueur incroyable. J’avais la formidable impression que sa taille augmentait au fur et à mesure de nos parties de culbute, décuplant mes érections à la limite de la douleur.



J’exécutai quelques pas et perçus un grondement sourd dans le lointain. Le ronflement d’un moteur. La carcasse métallique d’un immense roadtrainer luisait sur l’asphalte à cinq cents mètres environ. Le routier ne manquerait pas de nous remarquer. La voiture garée en hâte sur le bas-côté, criblée de balles, Polly en chaleur sur le capot et moi, à moitié à poil, étaient autant d’éléments susceptibles d’attiser la curiosité de n’importe quel quidam.


D’un bond, je filai récupérer le holster dans la berline côté conducteur, le passai sur mon torse à même la peau, la crosse du Glock .17 9mm. Parabellum à quelques centimètres de mon tatouage d’Eraserhead, et retournai auprès de Polly, perdue dans ses fantasmes. Les paupières closes, elle battait des cils en se mordant les lèvres, le majeur de sa main droite logé dans sa fente délicieuse et les doigts de sa main gauche caressant son clitoris. La situation, pourtant critique, bercée par les plaintes de ma princesse, provoquait dans chacun des muscles de mon corps une tension très palpable, à la fois effrayante et terriblement excitante.


Il me fallait agir vite. D’un geste vif, je fis glisser sa culotte à ses chevilles et m’insérai entre les cuisses de Polly qui dégagea aussitôt ses doigts pour m’offrir sa chatte. Ses paumes prirent appui sur le capot baigné de soleil et ma petite pute échappa un long gémissement lorsque je m’enfonçai brutalement en elle. Elle mouillait atrocement, à tel point qu’elle avait inondé l’intérieur de ses cuisses.



Je l’empalai maintenant de toute la longueur de ma queue, cette dernière coulissant dans sa fente étroite avec une facilité déconcertante. Je la fouillai cependant en hâte, surveillant du coin de l’œil le camion qui passait en trombe sur le bitume en jouant de sa sirène. Tout se dessinait au mieux lorsque je l’entendis s’immobiliser tout à coup, à une trentaine de mètres, le crissement des freins me vrillant les tympans et l’odeur de pneumatique dans les narines. Polly, elle, ne devinait que ma queue. Je vis ses muscles se contracter un à un, sa poitrine haletante se soulever, agitée de soubresauts et de plusieurs convulsions, tandis que je déchirai son sanctuaire. Une abondante traînée de sueur rampait le long de mon échine et plusieurs gouttes de transpiration perlaient à mon front alors que je maintenais fermement son bassin entre mes mains afin qu’elle entame son deuxième orgasme.


De l’autre côté de la route, un homme en casquette descendit du camion. Élancé, il portait un jean, un marcel et une paire de santiags. Le claquement de la portière et le ronronnement du moteur en sommeil ne suffisaient pas à couvrir les cris de Polly. Elle avait désormais passé ses mollets dans mon dos pour mieux assurer mon emprise et cambrait régulièrement ses reins pour imprimer le rythme que je devais suivre. Je distinguais sa culotte pendue à sa cheville droite à hauteur de ma tête virevolter dans mon dos sous chacun de mes coups de boutoir. Incontestablement, c’était Polly qui dominait la situation, ce qui n’était pas pour me déplaire. Car l’homme n’était plus qu’à une dizaine de mètres.



Mais avant même que se formule un embryon de réponse dans ma tête, la main de Polly saisit la crosse du Glock dans mon holster et actionna la détente en direction du routier. La déflagration perfora le silence pour s’évanouir dans les collines du désert. L’homme fut touché de plein fouet par la balle qui lui lacéra la poitrine dans une gerbe de sang. Son corps fut propulsé quelques mètres plus loin pour s’écraser lourdement sur le bitume, déjà inondé de rouge. Stupéfait par ce geste imprévisible de Polly, qui avait décidé à ma place à la vitesse de l’éclair, je m’étais arrêté de la baiser, aussi rengaina-t-elle le flingue dans mon holster avant de me repousser de la plante du pied, exhibant ses ongles vernis de rose. Et comme si de rien n’était, elle se retourna, déposa sa poitrine sur le capot, tel un oiseau sur sa branche et s’étala de tout son long avant de planter ses jambes dans la terre sablonneuse pour m’offrir le galbe de son cul.



Décidément, Polly me surprendrait toujours… Je crachai un épais coulis de salive entre ses fesses et pris ma queue humide dans ma main pour fourrer son joli petit cul, lentement tout d’abord, afin qu’elle puisse nettement percevoir ma progression au plus profond de ses entrailles.


Et après l’avoir empalée à fond, elle jouit immédiatement, les yeux fermés et le sourire aux lèvres. J’empoignai alors sa crinière à pleine main, l’autre en appui sur son cul, et la déchirai ainsi dans une terrible chevauchée pendant une longue minute au cours de laquelle Polly eut un nouvel orgasme. Avant de me retirer subitement pour jouir dans sa raie, déversant sur son cul trois jets compacts et saccadés qui s’éparpillèrent en une pluie d’étoiles filantes laiteuses.


C’est ici que mes genoux décidèrent de me lâcher. Je tombai lourdement sur le sol, les bras en croix et la poitrine haletante, tandis que Polly reposait négligemment sur le capot, cul à l’air, telle une poupée souillée. Le sperme dégoulinait déjà le long de ses cuisses pour rejoindre ses mollets tendus. Quelques minutes s’écoulèrent ainsi sans que rien ne vienne briser ce silence. Jusqu’à ce qu’elle se relève enfin pour me déposer un baiser, trempée de sueur et de foutre, les cheveux en fièvre. Elle se rendit alors au chevet du cadavre, en roulant naturellement des hanches, et je vis bientôt sa silhouette s’évanouir derrière l’aile gauche de la berline. Elle reparut quelques secondes plus tard, radieuse. Un large sourire illuminait son visage suintant le foutre et la transpiration.






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