n° 12487 | Le chaud | 19/04/08 |
Quelle soirée | ||
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10799 caractères | ||
Auteur : Le chaud |
Jour J : 20 h
La sonnette de mon appartement retentit. Qui peut bien venir chez moi à cette heure-ci ?
J’ouvre, et là quelle surprise :
Pour comprendre ce dialogue, il faut revenir quelques jours en arrière.
Jour J – 5 : 22 h 47 (très précisément)
Me voilà assis devant mon ordinateur, la souris se dirige vers le sigle Internet. Immédiatement, la page de Google s’affiche et je tape l’adresse d’un site de rencontre gay que je ne citerai pas. Une fois sur le site et mes identifiants rentrés, je tape mon annonce :
Jeune passif de 23 ans très chaud et très gourmand désire se faire prendre successivement par trois mecs 30-40 ans bien membrés de préférence.
Aucune limite !
Pourquoi trois mecs me direz-vous ? Tout simplement parce qu’après avoir testé avec un, puis deux mecs, ma logique et ma soif de sexe me poussent toujours plus loin.
L’annonce enregistrée, j’éteins mon PC et me couche, des rêves plein la tête.
Jour J – 4 : 7 h
Mon premier réflexe en me levant est bien sûr d’allumer mon ordinateur et de me diriger vers le site de rencontre pour consulter mes messages.
Et justement, 2 messages m’attendent bien sagement dans la boîte aux lettres virtuelle.
Le premier est vite supprimé, il s’agit d’une publicité pour une soirée. Le deuxième, en revanche, est exactement celui que j’espère. Une réponse à mon annonce de la veille :
Nous sommes trois, bien membrés, très chauds, et nous pouvons t’offrir ce que tu recherches. Contacte-moi vite !
Ci-joint, tu trouveras une photo de nous trois…
Je découvre effectivement une photo de mes trois futurs amants potentiels. Je remarque de suite que l’un d’eux est noir et j’imagine alors à quel point il peut être bien membré.
Jour J – 4 : 7 h 8
Je m’empresse de répondre :
Rien que le fait de voir la photo m’excite terriblement, je suis OK.
Comment tu vois les choses ?
Jour J – 4 : 8 h 15
La réponse est déjà arrivée, il doit être aussi excité que moi pour camper devant son PC à cette heure-ci :
Génial ! Ce sera une surprise pour toi, mais j’ai déjà mes petites idées, je te promets une soirée d’enfer !
Samedi soir, 20 h, je passe te chercher chez toi si tu veux ?
Jour J – 4 : 8 h 21
Pas une seconde de réflexion, mes doigts s’agitent sur mon clavier et la réponse part aussitôt :
Parfait, j’ai hâte d’y être !
Encore un message pour lui donner mon adresse, et voilà, c’est fait. Il n’y a plus qu’à attendre samedi.
Revenons donc au Jour J.
Jour J : 20 h 10
Je suis assis dans la voiture d’un de mes amants du soir, en direction du lieu de la fête. Après une vingtaine de minutes, me voilà au pied d’un immeuble, puis après quelques marches, me voilà sur le palier d’un appartement.
J’entre à la suite de mon amant. Il me demande d’entrer dans la première pièce sur ma droite. Je tourne la poignée, je suis dans la salle de bain. Que du classique : un lavabo et une baignoire. Seulement, la pièce n’est pas vide. En effet, un homme se tient devant le lavabo. Il me regarde et m’invite à me rapprocher de lui.
À partir de ce moment là, je prends les choses en mains. Je me baisse et m’agenouille à ses pieds. Son pantalon se retrouve rapidement sur ses chevilles, aussitôt rejoint par son caleçon. Je découvre alors son membre : il est effectivement conséquent, mais je suis presque déçu, je m’attendais à plus gros. Qu’importe, je saisis de ma main droite cette queue qui m’est offerte, pendant que ma main gauche se pose sur ses couilles.
Puis, après quelques mouvements de la main pour lui faire prendre de la vigueur, j’enfourne cette belle queue dans ma bouche, je fais jouer ma langue tout autour de ce membre. Je le suce avidement pendant plusieurs minutes, lorsqu’il prend le contrôle de la situation. Il me fait relever et m’enlève mes chaussures, mes chaussettes et mon pantalon. Visiblement, il paraît surpris de constater que je ne porte pas de sous-vêtements… Enfin, mon tee-shirt rejoint le tout au sol.
Je suis complètement nu devant lui. Il me fait mettre une jambe sur le rebord de la baignoire et vient se placer entre mes jambes. C’est alors que je sens sa langue se poser sur mon petit trou. Sensation exquise ! Il me lèche le cul et j’imagine qu’il lubrifie bien l’entrée.
Il se relève et se place derrière moi, je n’ai pas changé de position, je me sens offert, ouvert. Il se plaque contre moi et je sens sa queue sur mes fesses. Il joue avec ma raie, puis il positionne son membre sur mon petit trou. Moment d’arrêt… Et enfin, la progression commence… Son sexe est gros, mais sa salive fait son travail et je le sens entrer en moi millimètre par millimètre.
Ma respiration s’accélère et une légère douleur se fait sentir, mais le plaisir revient vite et sentant cela, il accélère à son tour ses mouvements, il m’encule fermement et à bon rythme. Je peux sentir mon cul s’ouvrir un peu plus à chaque poussée et je me surprends à pousser quelques cris de plaisir, que mon amant accueille à chaque fois par un mouvement plus sec.
Soudain, il se retire et s’assoit sur le rebord de la baignoire, il me fait signe de m’asseoir sur lui, face à lui. Je m’exécute et m’empale sur son mandrin. Cette position est encore meilleure. Je monte et descends sur sa queue, essayant de me l’enfoncer le plus possible dans le cul. Je sens à l’expression de son visage et à sa respiration, que mon amant ne tiendra plus très longtemps.
Effectivement, il me fait quitter ma monture et m’invite à m’agenouiller devant lui. Il se branle légèrement au-dessus de mon visage et, soudain, une première salve s’abat sur mon front, puis une deuxième sur mon nez et ma bouche. Encore deux jets qui s’écrasent sur ma bouche et me voilà complètement recouvert de foutre.
Un coup d’eau sur la figure et mon amant me fait sortir de la pièce, nu, et m’invite à me rendre dans la pièce voisine. J’entre. Cette fois-ci, c’est un bureau, avec pour seul meuble, une table d’ordinateur et… mon premier amant, celui qui m’a amené en voiture.
Il est au milieu de la pièce, nu comme un ver. Son sexe est plus gros que celui de mon premier hôte et je me jette littéralement sur cette si belle queue. Je l’aspire, je la pompe, je la suce, je la lèche : tout y passe, son membre et ses couilles… Je le suce comme jamais je n’ai sucé un homme et visiblement, il aime ça.
Au bout de quelques minutes, il retire sa queue de ma bouche et me fait mettre à quatre pattes sur le tapis. Il se place derrière moi, m’écarte les jambes et m’appuie légèrement sur le dos pour me faire cambrer encore plus. J’ai le visage posé sur le sol et le cul complètement relevé : quelle vue il doit avoir !
Je sens alors un liquide sur mon petit trou, il vient de me cracher sur le cul. Sa salive coule le long de mes cuisses. Mais je n’ai pas le temps de m’en soucier, son gland est déjà posé sur mon anus brûlant. Il m’écarte encore un peu les jambes et commence à forcer l’entrée. Il a plus de mal que le premier à rentrer, mais il y parvient tout de même et il commence alors un mouvement de va-et-vient entre mes reins.
Je sens parfaitement sa queue en moi et le plaisir est immense. Parfois, il sort complètement de mon cul pour y revenir d’un geste brusque, m’arrachant à chaque fois un cri de douleur, mêlé à un plaisir ascendant. Il accélère encore ses mouvements, me labourant totalement le cul. Je sens ma rondelle se dilater sous l’assaut et je ne contrôle plus rien.
J’ignore combien de temps il m’a enculé : lorsqu’il se retire de mon anus, ne laissant qu’un trou béant, j’ai perdu toute notion du temps. Il m’allonge sur le dos, s’agenouille à côté de moi en se branlant. Sa semence ne tarde pas à m’inonder le ventre et le torse. Tout ce liquide chaud et épais que je ne peux alors m’empêcher de toucher et de répandre sur tout mon buste.
Il me tend alors une serviette. Je m’essuie et me lève difficilement, les jambes pantelantes et l’esprit encore embrouillé. Il me fait sortir et m’indique la troisième pièce. J’entre. C’est la chambre : une grande armoire, une commode, un meuble télé avec la télé et un grand lit… Mon troisième amant, le noir de la photo, est couché dessus, les jambes écartées, avec pour tout vêtement un slip de coton blanc déjà fortement déformé par son sexe.
Je m’approche alors et me place entre ses jambes. Je saisis chaque côté de son slip et le fait lentement glisser le long de ses cuisses, découvrant ainsi une queue effectivement très imposante et surtout très belle. Je la contemple un instant, puis la prends en bouche. À lui seul, son gland prend déjà beaucoup de place et ma langue joue avec son frein. J’en profite également pour gober ses couilles. Je lèche sa hampe sur toute sa longueur, pour en revenir au gland. J’ai l’impression que sa queue a encore un peu grossi.
Il se lève, cherche dans son sac et en sort un tube de lubrifiant. Il m’allonge sur le dos, relève mes jambes, écarte mes cuisses et commence à appliquer ce gel froid sur toute la surface. Il teste l’élasticité de ma rondelle en y introduisant un, puis deux doigts. Quelle sensation extraordinaire. Mais le plus dur reste à faire ! Il se place entre mes jambes et plaque son gland sur ma rosette. Lisant l’inquiétude sur mon visage, il fait très doucement et rentre son gland délicatement. Il s’arrête un instant pour me laisser m’habituer à sa taille et reprend sa progression, toujours aussi lentement.
Je ferme les yeux et me concentre sur mon plaisir pour éviter de ressentir la douleur. Lorsque j’ouvre les yeux, je vois que sa queue est entièrement en moi. Je peux alors sentir son gland au fin fond de mes entrailles et je peux également sentir à quel point ma rondelle est dilatée. Il me lime, d’abord très lentement, puis en accélérant légèrement ses mouvements, le plaisir est à son paroxysme, sa queue me remplit totalement le cul et son frottement contre mes parois est vraiment divin ! Sans m’en rendre compte, j’ai joui, j’ai éjaculé sur mon torse.
C’est le moment qu’il choisit pour se retirer de mon cul et me présenter sa queue devant la bouche. Instinctivement, je l’ouvre grand et reçoit sa décharge au fond de la gorge : de puissants jets de sperme m’envahissent la bouche et, sans me poser de question, j’avale sans rechigner. Il vient alors frotter son sexe sur mon torse, recueillant au passage le fruit de ma propre jouissance, et me présente à nouveau sa queue pour la nettoyer. J’avale alors mon propre sperme et prends soin de laisser son sexe aussi propre qu’un sol fraîchement lavé.
Quelques minutes pour reprendre mes esprits et je me retrouve dans le salon (tiens une pièce que je n’avais pas encore visitée) à prendre un verre avec mes trois amants du soir. Nous restons une partie de la nuit à discuter et ils me ramènent chez moi au petit matin.
Quelle aventure, quelle soirée.
À bientôt peut-être… Si jamais l’idée de me faire quatre mecs me prenait !