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n° 12715Amateur de romance, d'érotisme...11/07/08
La jeune Asiatique et le chibre - Partie 2
critères:   f asie grossexe douche cérébral revede fmast fgode jouet init tutu fantastiqu -fantastiq -mastf
8112 caractères      
Auteur : Mister AD      Série : La jeune Asiatique et le chibre - 02

Tu es de retour chez toi. En arrivant, tu vas dans la cuisine te servir un grand verre d’eau glacée. Ta gorge est alors sèche depuis trop longtemps.


Lorsque tu t’assois à la table de la cuisine, tu places face à toi ton paquet. Serrant ta main entre tes cuisses, tu ressens une envie irrésistible de l’ouvrir et de te servir de son contenu.


Tu ne vois que des images torrides de toi et de deux hommes, oui deux, toi pourtant si sage. Tu vois leurs sexes bien gros et bien dressés devant ta bouche si avide. L’un après l’autre, tu lèches leurs énormes bites.


Te mordant la lèvre, tu prends le paquet et l’ouvres enfin. L’énorme pieu repose sagement devant tes yeux voraces. Tu l’observes lentement, sans le toucher, sa peau lisse et si réelle, ses veines gonflées et gorgées d’aucun sang. Il n’y a que du plastique devant toi. Tu as pourtant de la difficulté à reconnaître l’objet.


Tu as acheté un godemiché !


L’objet, pourtant si énorme, te fait frémir de désir et de peur à la fois. Déjà, tu l’imagines dans ton sexe, te pilonnant, t’appuyant dessus et l’avalant dans ta chatte bien lubrifiée. Oh oui… tu vas probablement avoir besoin de lubrifiant pour le mettre en toi.


Dans ta salle de bain, le soir même, tu te fais couler un bain chaud. Tu portes toujours les vêtements de la journée. Lentement, cérémonieusement, le tissu de ces vêtements glisse sur ta peau pâle. Tu te retrouves ainsi devant le bain, ne portant que ta culotte bien humide de toute ton excitation de la journée et de toutes les idées qui fouillent ton esprit.


Une fois prête, l’eau à la bonne température, la mousse déjà débordante de blancheur, tu glisses dans le bain. En entrant en contact avec ton sexe, l’eau presque bouillante t’envoie une décharge dans tout le corps. Installée, tu bouges les mains sous l’eau, t’adaptant à cette température.


Ton regard ne fixe qu’une seule chose, le membre debout sur le coin de la baignoire. Son gland dardant l’air humide de la salle de bain, n’attendant que ton désir et ton sexe suintant abondamment.


Il devra patienter quelques minutes encore. Tu laisses l’eau te réchauffer et détendre tes muscles. Ton sexe s’ouvre, palpitant d’impatience. Tes mains parcourent tes cuisses et ton ventre, tu n’as qu’une seule envie, sentir le membre déjà en toi.


Au moment où tu poses tes fesses sur le bord de la baignoire, tu hésites. Et s’il te faisait mal. Si ton sexe était trop petit pour cet énorme truc. Non, ce n’est pas possible. Le concombre de l’autre fois était presque de la même taille.


Tu te sens perverse pendant un moment, ta respiration s’accélère, tes joues rosissent. Tu prends le gode dans ta main, te demandant même comment une chose aussi grosse pourrait être sucée. Sortant la langue, tu entreprends de lécher le pourtour du gland et un étrange goût de caoutchouc te prend la gorge. Sans arrêter ton mouvement, tu continues à en lécher toute la longueur, laissant ici et là une bonne épaisseur de ta salive.


Ta main droite allant et venant près de ta bouche, serrant si fort l’objet, l’autre main s’active vivement sur ton sexe. Ton clito n’a pas pris de temps à se montrer, l’eau du bain l’a si bien réchauffé.


Plaçant enfin le gode sur sa base, bien droit sur le bord du bain, tu t’élèves bien haut au-dessus, t’enlignant dans la mire du phallus. Le gland de caoutchouc ouvre tes lèvres et s’immisce lentement à l’entrée de ta chatte. Ça y est, il va te déchirer en deux, penses-tu.


Tu descends sur la chose, et celle-ci entre en toi. Tes chairs s’écartent. Tu fermes les yeux un moment, la douleur de la pénétration laissant place à un plaisir électrisant. À mi-chemin, le gode ralentit. Tu t’imagines alors un homme bien costaud sous toi. Un homme qui te pénètre vigoureusement. Son sexe déjà à mi-chemin semble d’une longueur interminable.


Tu progresses encore un peu… puis remontes pour en retirer quelques centimètres de ton ventre. Il plonge de nouveau, gagnant le reste du terrain. Il est alors bien fiché en toi, le gland butant contre le fond de ton sexe. Tu halètes fortement, tes doigts s’activant sur ton clito à une vitesse folle, ton autre main posée sur le gode, cherchant nerveusement le bouton d’activation.


Après plusieurs essais, tu réussis enfin à activer l’objet, de petites vibrations se font alors sentir. Des frissons te parcourent, tu arrives à peine à te maintenir debout sur l’objet, tes pieds glissant au fond de la baignoire. Tu te reposes à nouveau sur le bord, sursautant une fois sous le contact froid de tes fesses avec la céramique, une seconde fois sous une décharge du membre.


Ta main le retire de ton con, frottant vivement le gland vibrant sur les rebords de ta chatte maintenant dégoulinante. Tu ne te contrôles presque plus, voyant l’énormité plonger en toi, vibrant en toi. Tes doigts pincent ton clito, tournent autour de lui, l’agacent et l’abandonnent, le chatouillent et le massent. Ta respiration rauque emplit la pièce. Ta main pousse sans cesse la chose en toi, activant du bout des doigts une vitesse supérieure, puis une autre.


Sur les quelques points indiquant ces vitesses, tu en as déjà franchi les trois-quarts, mais ton sexe n’en a cure. Tu désires avant tout jouir. Tu vois l’homme bien membré te défonçant à toute allure. Il a de multiples visages, sa peau possède de multiples couleurs, pourtant son membre tel du roc est tout aussi énorme. Et il vient en toi. Il te fait jouir.


Tu jouis, tes pieds fouettent l’eau du bain, la mousse recouvre les murs, le sol, ta peau pâle. Tu ne possèdes plus ton corps. Tu actives les dernières vitesses du gode. Tu sursautes, tu hoquettes de plaisir. Le dernier mode de vibration est alors actif. Le phallus sursaute dans ton ventre, il donne des pulsations vibratoires, il semble pourtant que quelque chose ne va pas. Tu le retires lentement, très lentement, profitant de l’étirement de ta jouissance. Le gland ressort enfin. Le membre factice est recouvert de ta jouissance. Le son délicat de sa vibration se mêle à ta respiration… puis, peu à peu, l’apparition des pulsations s’espace… puis…


Ta main recouvrant ton sexe, ta paume se réchauffant avec tes lèvres bouillantes, tu observes, intriguée, le comportement étrange du jouet. Puis l’étonnant se produit : il gicle. Une bonne quantité de foutre s’échappe en un jet du gland et se répand sur ton ventre. Tu pousses à ce moment un petit cri de surprise.


Tu diriges nerveusement le jouet vers les murs plutôt que ton ventre. La substance chaude et visqueuse coule sur toi, d’un réalisme déroutant. Un second jet s’échappe de l’objet, puis un autre, puis un autre. Ces trois jets bien puissants se répandent sur le mur près du bain. Malgré l’épaisseur du liquide, il coule bien rapidement dans l’eau du bain, laissant une légère trace sur le carrelage.


Tu te relèves chancelante. Reposant ainsi dans ta nudité, tu regardes le bain, puis l’objet que tu tiens toujours dans ta main. Tu le poses sur l’évier de ta salle de bain. Tes doigts glissent sur ta peau et passent rapidement sur la tache de foutre. Cette trace s’étalant maintenant le long de ta cuisse. Tu viens lécher le bout de ton index, goûtant à cette substance étrange. Ça ressemble de plus en plus à du vrai… même le goût s’y colle.


Tu n’as pas le temps d’y réfléchir plus, l’eau du bain semble bouillir soudainement. De gros bouillons apparaissent à la surface de l’eau, quelque chose semble avoir pris contrôle de la baignoire. Tu es si effrayée que tu te replies sur toi-même, le foutre coulant sur tes fesses, tu contemples le phénomène.

Quelque chose sort du bain. Une tête perce la surface de l’eau, recouverte encore de quelques parcelles de mousse. Le corps d’un homme se dévoile peu à peu devant toi. L’inconnu se dévoile, puis se tient debout au fond de la baignoire. Un pied à la fois, il en sort et se positionne à tes côtés.


Entièrement nu, je te fixe, un étrange sourire aux lèvres. Tu me contemples, semi-effrayée, toujours excitée par tes caresses. Ton regard glisse sur mon corps couvert d’eau et de mousse, puis se pose un long moment sur mon sexe, bien droit et pointant vers toi. La taille, les veines, la forme, tout correspond. Tu reconnais mon membre : c’est ton gode !





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n° 12716Maguy11/07/08
Le réveil de Marie-Pierre
critères:   fh fffh grp couleurs couple extracon collègues grossexe fête voir fellation cunnilingu anulingus 69 préservati pénétratio fsodo partouze -groupes
21774 caractères      
Auteur : Maguy

Ce jour-là, Marie-Pierre est arrivée en pleurs dans mon bureau. Son mari avait laissé traîner son téléphone portable. Un SMS était arrivé avec juste un « je t’aime » suivi d’une lettre correspondant à un prénom. L’époux s’était emberlificoté dans des explications oiseuses. Marie-Pierre est alors partie à l’hôtel avec sa valise.


Et moi, je me suis retrouvée face à ma subordonnée avec un problème de cœur à régler. Comme si je n’avais que ça à faire !


Mais je l’aime bien, Marie-Pierre. Vingt ans d’expérience professionnelle, une fille sérieuse sur qui on peut compter. Trop sérieuse peut-être. Avec ses cheveux toujours attachés sur la nuque, ses tailleurs un peu stricts, ses éternels talons, ses mains bien manucurées, sa voix un peu affectée, elle fait vraiment BCBG. Pourtant, c’est loin d’être une mocheté. Les hommes lui font un peu de gringue comme s’ils étaient attirés par son côté distant. Le côté feu sous la glace. D’autant que ses formes sont loin d’être rebutantes. Mais elle ne sait pas se mettre en valeur. Ah si j’avais son corps !


Moi, avec mon 1, 55 m, le 95 D en haut et le 44 en bas, je fais un peu boulotte. Je suis la victime de l’inflation : + 5% de cellulite ici, +3% de vaguelettes là. Mais je m’assume très bien, rassurez-vous. Je suis la reine du décolleté plongeant et du string visible. Ma libido fonctionne à plein régime.



Elle ne se fit pas trop prier et le soir, après le dîner, pendant que mon homme regardait la télé, je la pris à part dans le salon et je la confessai. Déballage très classique :



Elle marqua un temps d’arrêt, visiblement surprise par la verdeur de mon langage, un peu contradictoire avec ma fonction.



Pendant que je parlais, je voyais ma Marie-Pierre rosir, pâlir, se rétracter, se décomposer, comme si je l’avais insultée. Elle fut longue à retrouver la voix.



Nous rejoignîmes mon mari devant la télé, mais je ne suivais pas l’émission. Je mûrissais mon plan. La phase une aurait lieu le soir même, une fois la télé éteinte. Mon mari était loin de se douter de ce qui l’attendait et du rôle qu’il allait jouer.


Je commençai par prendre une douche. Puis j’expliquai le scénario, à poil sur le lit à mon cher et tendre qui s’en amusa beaucoup. À dire vrai, le canevas était ultra simple : nous allions créer un porno en « live », baiser la porte ouverte le moins discrètement possible avec tous les artifices du genre. Dans la chambre d’à côté, Marie-Pierre ne pourrait rien manquer, au moins à l’oreille. On commença par se balancer de belles crudités :



Et nous voilà partis à nous suçoter et nous léchouiller, avec force aaahhlll, slurp, mmmh et autres bruits de succion.



Aussitôt dit, aussitôt fait. À quatre pattes au bord du lit, j’offris mon copieux pétard, dûment humecté, à la bite bien tendue de mon cher et tendre qui y mit la lenteur et la précaution nécessaires. Une fois qu’il fut dans la place, je beuglais mon plaisir en tortillant du croupion et en commentant sa performance :



Un vrai porno de série Z. Je ne suis pas la fille de l’érotisme intellectuel. Puis mon mâle me retourna sur le pieu, m’écarta les cuisses en mettant ses bras sous mes mollets et se mit à le limer avec science et expertise. J’étais la proie de ce que j’appelle les délicieux trois F : forée, fouillée, fouaillée. Besognée dans mon tréfonds, les pieds au ciel, les yeux dans le vague et le verbe haut Je ne pensais plus qu’à ce chibre connu et estimé qui me conduisait tout droit à l’orgasme. Je me fichais bien du reste, y compris de Marie-Pierre, et je m’abandonnai avec des bruits de gorge, comme toujours quand je prends mon pied. Les couilles de mon mari battaient de plus en plus vite sur mes fesses et claquaient sur ma peau. Flac ! Flac ! Flac !



Il se retira soudain pour éjaculer en grognant sur mes seins avant de s’abattre sur mon flanc, rompu de fatigue et de plaisir. Après avoir récupéré, il murmura à mon oreille :



Je souris. La première partie de mon plan avait marché au poil.


La deuxième partie commença le lendemain au petit-déj’. Marie-Pierre était déjà habillée de pied en cap, prête à repartir au boulot pendant que je traînais encore en peignoir devant mon bol de thé.



Tu parles ! Elle avait dû revivre le film toute la nuit pendant que moi, je dormais comme un bébé. Un peu plus tard, dans la voiture qui nous conduisait au boulot, je la relançai sur le sujet :



En la regardant en coin, je vis qu’elle avait rougi.



Marie-Pierre parut réfléchir et marqua en tout cas un temps d’arrêt.



Notre conversation s’arrêta là car nous étions arrivées et chacune repartit vers ses tâches quotidiennes. Pourtant, sa remarque m’avait donné à penser. Il se trouve qu’à mon cours de gym hebdomadaire, vient une jeune Sénégalaise prénommée Absa. Parfois, son compagnon vient la chercher et les conversations s’arrêtent car c’est vraiment un très beau mâle de près de deux mètres, souple, souriant, toujours bien sapé et charmeur comme pas deux. Absa ne m’a jamais caché que leur vie sexuelle est très libre, à l’africaine et qu’elle ne connaît pas la jalousie. Or, je venais de me rappeler que le samedi suivant, j’étais invitée avec mon mari à une réunion de leur communauté pour célébrer la fête nationale. Ce serait bien le diable si on n’arrivait pas à faire craquer Marie-Pierre au cours de cette soirée. Je contactai Absa qui accepta en rigolant de participer à ce petit traquenard :



Marie-Pierre ne se fit pas prier pour accepter et le samedi venu, nous étions, elle, moi et une troisième nana (une grande perche de 30-40 ans aux yeux ronds qui lui donnaient un air candide) les seules blanches d’une manifestation joyeuse et colorée réunie autour du plat national, le thieubou-dieun, délicieux poisson au riz. Mon mari avait préféré, le malheureux, regarder le foot à la télé à la maison. Les femmes, de tous âges, étaient en boubou, les hommes habillés à l’européenne, sauf le mari d’Absa, Boubacar. Le couple était en effet prévu pour une danse au son des tam-tams.


Quelle danse ! Placés face à face, ils s’agitaient en tous sens pour mimer une sorte de coït sauvage. Les obus d’Absa en sortirent du boubou et je crus que son mâle allait la prendre là, devant tout le monde. La soirée s’annonçait chaude. Mais ce n’était rien à côté de ce qui suivit un peu plus tard.



Je pris Marie-Pierre par le bras, sous prétexte d’aller aux toilettes ensemble. En passant devant une chambre, le spectacle qui s’offrit à notre vue nous figea sur place. Mon accompagnatrice fit mine de partir mais je la poussai littéralement à l’intérieur et bloquai sa sortie. Sur une natte améliorée, entourée de spectateurs attentifs et bavards, une accorte négresse, bâtie comme Serena Williams, chevauchait un jeune homme magnifiquement fait. Elle lui palpait ses couilles aux formes splendides, lourdes et gonflées de sperme, en passant son bras derrière son dos tout en allant et venant d’avant en arrière et de droite à gauche comme pour profiter de la vigueur de la queue.


À entendre les interpellations et les commentaires de l’assistance, je compris que la fille s’appelait Brigitte et le garçon Pat. C’était d’ailleurs ce qu’il y avait d’à peu près intelligible à nos oreilles gauloises mais l’essentiel était visuel. Spectateurs et spectatrices proposaient des positions, qu’en général, les vedettes de ce show particulier acceptaient. Le garçon paraissait particulièrement endurant mais la fille commençait sérieusement à perdre les pédales, feulant, couinant, griffant, faisant des "8888" avec son prodigieux pétard, si bien que le rythme du dénommé Pat s’accéléra soudain, encouragé par les spectateurs, une femme allant même jusqu’à lui mettre la main aux couilles pour lui donner encore plus d’allant. Brigitte hulula en jouissant et Pat lui envoya de belles giclées blanches sur sa peau noire sous les applaudissements du groupe.


J’étais trempée. Quant à Marie-Pierre, je vis à sa tête qu’elle était mûre, archi-mûre. Un petit coup sur la branche et le fruit allait tomber, sûr et certain. Suffisait de trouver l’outil…


C’est alors qu’Absa me tira par la manche pour m’amener dans une autre pièce où un autre spectacle étonnant nous attendait, Marie-Pierre et moi. Boubacar, allongé nu sur un canapé, offrait son membre à la bouche gourmande d’une superbe négresse aux cheveux tressés, vêtue d’un soutien-gorge et d’un string roses qui tranchaient sur sa peau noire. Un détail me frappa : elle avait la cheville bandée, comme si elle souffrait d’une entorse. Mais du côté des maxillaires, les ligaments allaient très bien.



De fait, la jeune femme pompait avec conviction pendant que Boubacar, les mains sous la nuque et les yeux au plafond, semblait vivre un moment particulièrement agréable.



Puis elle me le tendit comme elle m’aurait passé un joint. Que faire ? Sucer ou ne pas sucer, tromper ou ne pas tromper ? Je pensai furtivement à mon mari bien calé devant son match de foot à la télé. Et je plongeai comme on se jette à l’eau sur ce gland dodu dont j’appréciai d’emblée la saveur un peu sauvage et la consistance ferme, tout en faisant coulisser ma main le long du membre, en insistant sur la base, la plus sensible, et en tâtant un peu les couilles bien pleines (mon péché mignon). Mais je n’eus pas le loisir de m’attarder à savourer ce fruit défendu : Absa me repoussa pour faire la place à Marie-Pierre.


Oh la goulue ! Ma copine goûta, goba et avala le membre entier comme une vraie pro. Ah, elle m’avait bien eue, la vertueuse bourgeoise ! Boubacar perçut tout de suite le changement et remua les fesses de contentement. Marie-Pierre pompait comme si elle n’avait pas pompé depuis dix ans. Ses joues se gonflaient et se creusaient avec des bruits de succion qui remplissaient la pièce. Elle y allait avec une telle conviction que l’homme perdit son sourire béat pour afficher un rictus qui pouvait signifier une éjaculation imminente. Sentant le danger, Absa prit Marie-Pierre par les cheveux et la retira de force :



Elle sortit d’une poche une capote et en coiffa le gland de son compagnon en lui disant :



Boubacar commença à déshabiller Marie-Pierre qui se laissait faire comme une petite fille, la déposa sur le canapé et entreprit de la lécher à grands coups de sa langue bien rose. Sa partenaire lui malaxait la nuque crépue en soupirant pendant qu’il allait et venait le long de sa vulve, se servant habilement de son nez. Puis il se releva et la pénétra d’un coup, d’un seul.



Après avoir encaissé de vigoureux coups de bite, elle réclama un changement de position que l’homme lui accorda. Ils inversèrent les rôles : Boubacar dessous, Marie-Pierre dessus. C’est là que je compris que ma chère petite collègue n’était pas l’oie blanche annoncée. Sa manière d’onduler les hanches en cherchant en même temps de la main les couilles de l’homme révélait la baiseuse sortant d’un long sommeil. Boubacar n’avait plus son air béat du début. Son rictus et sa façon de se trémousser sous ma collègue révélaient l’imminence de son plaisir. Il est vrai qu’il avait été magnifiquement préparé, par moi entre autres. Marie-Pierre lui mit ses seins dans la figure en accentuant le mouvement du pal. Je vis sur ses fesses la chair de poule annonciatrice de l’orgasme pendant qu’elle bramait. La queue noire jaillit du doux fourreau avec un drôle de bruit, une espèce de « pop », pour expulser de puissantes giclées de sperme qui firent gonfler la capote. Absa arracha le latex pour finir son homme à la bouche. J’en avais assez vu et je sortis pantelante, prête à m’empaler à mon tour sur la première pine passant à portée, de quelque couleur qu’elle fût.


J’entrai dans une chambre voisine. Elle était déjà occupée. Je reconnus d’emblée la grande duduche (la troisième blanche) avec laquelle j’avais partagé le poisson au riz et qui m’avait avoué avoir un faible pour la peau noire. Couchée en travers du lit, elle se faisait posséder par un grand diable à coiffure rasta, à genoux entre ses cuisses grandes ouvertes pendant qu’un mulâtre chauve et un peu bedonnant, mais au visage agréable, placé juste en face, offrait sa queue à la bouche de la fille, laquelle était obligée de basculer sa tête en arrière pour le gober. Celui-ci me fit signe de les rejoindre et je m’assis sur le lit.


Le mulâtre quitta la bouche gourmande de la grande perche pour m’offrir son engin à sucer. Je ne me dérobai pas. J’avais trop envie. Très vite, je fus nue, couchée à côté de la fille et tout aussi ouverte.


À ma demande, l’homme me lécha longuement avant de se couvrir et de me pénétrer. Il savait y faire, le bougre. Il me caressait les seins (mon point faible) tout en me limant sans hâte. Son sexe brûlant me faisait un bien fou. Il insistait sur mes parois vaginales comme s’il voulait creuser ma chair intime. Moi qui aime que ça dure, je sentis très vite que ce coït allait être bref. J’allai à sa rencontre en ruant dans les brancards et en étant très vulgaire. Le mulâtre chauve me traita de salope mais éjacula dans son latex. Je me sentis envahie par un sentiment d’apaisement, très vite teinté de culpabilité. Non seulement j’avais trompé mon mari avec un inconnu, mais j’y avais pris plaisir.


J’avais envie d’un verre et je me retrouvai autour d’une table avec trois couples qui venaient de baiser et s’apprêtaient à remettre ça. Ils me proposèrent de les rejoindre mais je déclinai. Cette fois, j’avais envie de rentrer et je cherchai Marie-Pierre. Elle était affalée sur un lit en train de récupérer, des traces de sperme bien visibles le long des cuisses.



Curieusement, elle ne résista pas et se rhabilla sans discutailler. Après quelques au revoir et promesses de retour (non sans nous être aperçues qu’Absa et Boubacar avaient décidé de copuler en toute légitimité conjugale), nous étions dans la voiture sur le chemin du bercail. J’attaquai Marie-Pierre :



Un petit silence se fit. Marie-Pierre avait l’air de balancer. Mais elle se lança :



Les jours suivant au travail, nous fîmes comme si rien ne s’était passé durant cette fameuse soirée. Mais au fil des semaines, Marie-Pierre amorça une véritable métamorphose. Elle se fit couper les cheveux et teindre en roux, elle se mit à porter des tenues sexy et à devenir beaucoup plus agréable dans la relation professionnelle. Un jour, je l’abordai franco :



Sur le coup, je ressentis une petite pointe de jalousie. Mais Marie-Pierre me rassura très vite :



Je restai interdite. Moi qui avais œuvré pour que la prude se libère, c’était elle maintenant qui me parlait comme à une coincée. Mais au fond, je l’avais bien cherché…




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n° 12717Trash12/07/08
Commande - Deux
critères:  fhhh extracon collègues grossexe plage noculotte fellation cunnilingu pénétratio coprolalie gangbang exercice -fhhh -plage
19009 caractères
Auteur : Trash      Série : Commande - 02 / 02

Second et dernier volet des aventures de Séverine sur la plage. La suite, attendue par certains, de Commande - Un



Le lendemain, après le cinquième repas, pas de virée crapuleuse sur la plage. Magnifique orage, avec ciel noir zébré d’éclairs, pluie diluvienne, grondements du tonnerre. Il valait mieux rester aux abris. Tout le monde alla se coucher. Et, bien sûr, j’eus la visite de Séverine. Elle était vêtue de son seul survêtement, sans slip et sans soutien-gorge, je le devinai. Prête à être baisée. J’ai commencé par passer mes mains sous le haut pour lui caresser les seins et les mamelons, ce qu’elle adora. Ensuite, j’ai passé une main sous l’élastique de son pantalon pour m’assurer qu’elle commençait à mouiller. C’était pire que ça ! Trempée. Elle en frissonna et serra ses cuisses. Alors, je l’ai branlée debout, cela l’excita encore plus. Elle eut de la peine à rester droite. Ses genoux ployèrent plusieurs fois. Elle recommença à danser, tout en s’agrippant autour de mon cou et tournant sa langue avidement dans ma bouche. J’accélérai le mouvement de mon doigt dans sa fente et sur son clito, pour hâter l’orgasme. Je lui promis avec des mots obscènes de la branler à nouveau au moyen d’un va-et-vient de deux doigts dans sa chatte, mais après l’avoir tringlée et giclée. Son mari le lui faisait souvent, m’avait-elle avoué. Elle explosa en se collant à moi comme une furie. Puis se relâcha.



Elle s’exécuta. Il lui restait le pantalon.



Elle glissa le pantalon à mi-cuisses et attendit.



Elle s’affaira avec précipitation et se mit à pomper avec frénésie. Elle suçait divinement bien : un vrai régal. Elle n’avait appris qu’avec un seul homme, mais elle avait bien appris !



Je lui retirai complètement le pantalon du training.




Elle manifesta une docilité empressée.



Je la pénétrai d’un seul coup, mon pubis lui heurtant la chatte. Je me couchai sur elle, la saisis aux hanches et la défonçai à grand coups de boutoir. Elle perdit pied immédiatement, cherchant la queue avec son bassin, me serrant de toutes ses forces. Elle jouit dans les trois minutes qui suivirent, arc-boutée, tétanisée. Je changeai de position, en perpendiculaire à elle, lui enserrant une cuisse entre les miennes, la pénétrant à nouveau. Ma main se posa sur son mont de Vénus, mon doigt cherchant son clito. Elle se mit à haleter.



Elle ne répondit pas. Alors j’interrompis mon va-et-vient et j’arrêtai de la branler.



Elle se rebiffa encore un peu puis capitula :



Je recommençai à la doigter et à la queuter. J’accélérai le mouvement.



Elle se débattit comme une furie, asphyxiée par l’orgasme, lorsque je lui giclai la chatte. Puis je fis comme elle avait aimé sur la plage : deux doigts bien droits dans la chatte, je la limai dans mon sperme. Elle devint folle, proféra des obscénités, puis se raidit et explosa une nouvelle fois.


Le lendemain, il fit beau toute la journée. Le repas fut joyeux et débridé, sans la moindre allusion à ce qui allait se passer ensuite, mais que tout le monde avait à l’esprit. Gérard et Michel furent d’une gentillesse extrême avec Séverine et se tinrent correctement. Séverine était aux anges. Elle observa à la dérobée les deux gars des cuisines, dont Philémon, qui s’étaient joints à nous. Je la sentais supputer ce qu’elle allait trouver chez Philémon, après la pub que je lui avais faite. Elle respira plusieurs fois profondément.


Je me levai :



Michel et Gérard, se tournant vers Séverine :



Et Michel, hilare :



Séverine répliqua du tac au tac :



Éclat de rire général. Tout le monde se dirigea vers la plage.

En arrivant derrière la petite dune, nous entourâmes Séverine. Elle nous défia du regard.



Fabuleux ! Séverine qui prenait la direction des opérations – je n’ose pas encore dire "les choses en main" mais, cela aussi, ça n’allait pas tarder…



Les cinq shorts atterrirent illico sur le sable. Comme si une consigne avait été donnée, personne, sous son short, n’avait mis de sous-vêtement. Nous formions maintenant un demi-cercle autour d’elle. Elle paraissait fascinée par nos membres, les observant longuement sous la lumière blafarde de la lune, n’osant se décider, n’osant les toucher.


Pour Séverine, mère de famille modèle, femme exemplaire, épouse fidèle, qui n’avait jusqu’alors pas connu d’autres hommes que celui qui l’avait dépucelée et épousée, pour Séverine qui rêvait depuis des années de baiser avec d’autres hommes que son légitime, ces cinq membres dressés vers elles devaient lui sembler un cadeau impensable et inespéré, qu’elle n’aurait même jamais osé imaginer. Et pourtant, ces cinq membres étaient là, à sa portée, tendus dans sa direction avec un but bien précis. Ils se rapprochèrent de son ventre lorsque le cercle se referma un peu. Gérard suggéra :



Même scénario que l’avant-veille. Je passai derrière Séverine, lui posai les mains sur les épaules et appuyai jusqu’à ce qu’elle se mette à genoux devant les quatre hommes, à la bonne hauteur. Séverine se laissa faire et saisit le premier membre, celui de Gérard, qu’elle embrassa. Puis elle saisit les deux suivants avec chaque main et leur appliqua le même traitement. Le dernier était celui de Philémon. Séverine paraissait fascinée : qu’on puisse avoir une bite si grande, elle n’en revenait pas. Je la sentis partagée entre la crainte d’avoir à s’enfiler ce gigantesque bambou, et l’envie irrésistible et pressante de connaître les sensations qu’elle allait en retirer.



Philémon passa sa main derrière la tête de Séverine et l’attira vers lui. Le gland disparut dans la bouche largement ouverte. Vu la taille de celui-ci, impossible d’enfourner la totalité du membre.



Séverine s’exécuta. Elle tenait d’une main le membre gigantesque qu’elle suçait et de l’autre agrippa la queue de Manuel, le second cuistot, et se mit à la branler. Gérard et Michel se mirent à genoux, sur ses cotés et commencèrent à la caresser : les seins, le ventre, les fesses. Derrière elle, je lui caressai la nuque et le dos avec mon membre, gentiment, longuement, en effleurant, sans appuyer. Gérard arriva le premier à la chatte de Séverine.



Gérard commença par caresser la fente, puis s’attaqua au clito. Séverine ne put retenir un frisson et un gémissement. Elle pompa encore plus fort la queue de Philémon et accéléra la branlette de Manuel. On la sentit se tortiller, se trémousser sous le doigt impitoyable. Michel mouilla son doigt à la chatte, et chercha sa cible entre les fesses de la victime consentante. Il l’introduisit puis pratiqua un mouvement de va-et-vient de plus en plus rapide.



Toutes ces mains, toutes ces queues, tous ces doigts, toutes ces caresses, et la perspective énoncée par Michel eurent raison de Séverine qui lâcha un jet de mouille sur les doigts de Gérard puis poussa un grand cri et explosa dans l’orgasme.



Des mains la saisirent et la couchèrent sur le dos en la pelotant au passage. Elles lui saisirent les cuisses pour relever les jambes.



Michel caressa l’intérieur des cuisses et descendit vers la chatte. Séverine avait fermé les yeux. Il lui ouvrit les lèvres avec les doigts, les roula entre ses doigts, puis sa tête se pencha entre les cuisses bien ouvertes. Sa langue commença par lécher la fente, et attaqua ensuite le clitoris. Séverine suçait Manu et branlait Gérard. Philémon lui malaxait les seins et caressait les mamelons du bout de sa bite énorme. Je promenais la mienne sur les joues, le front, le cou et les oreilles. La langue de Michel titilla le clito de plus en plus vite, tandis que deux de ses doigts, luisants de mouille, opéraient un va-et-vient rapide dans sa chatte. Le ventre de Séverine commença à se contracter spasmodiquement.



Là encore, les paroles crues déclenchèrent l’ouragan. Séverine se tétanisa et jouit sans prévenir. Michel continua à la limer avec ses deux doigts.



Michel accéléra encore sa caresse et Séverine jouit derechef, puis s’affaissa.



Notre Philémon nous en boucha un coin. Il plaça Manu derrière Séverine, les avant-bras placés sous ses aisselles et lui ordonna de la soulever. Pas de problème pour un costaud comme lui, ni sur l’intensité, ni sur la durée de l’effort à fournir. Gérard et Michel, placés de chaque côté, passèrent les mains sous le dos de la victime, à hauteur des fesses et de la taille. Philémon termina de la soulever entièrement en entourant les cuisses de ses bras. Moi, je donnai un coup de main à Manu et regardai, médusé, ne voulant pas perdre une miette du spectacle. Séverine était maintenant soulevée en l’air, à l’horizontale, cuisses ouvertes, la chatte à hauteur de la bite gigantesque de Philémon, qui s’approcha de la fente. Une énorme bite sombre entre deux cuisses toutes blanches. Et pour Séverine, une bite dure comme du béton, entre deux cuisses si tendres. Le contraste était saisissant. Le gland s’arrêta à l’entrée.



Doucement, par paliers, Philémon l’enfila. Séverine se mordait les lèvres et avait les yeux exorbités. La sensation de ce pieu démesuré qui l’empalait dépassait tout ce qu’elle avait pu imaginer l’instant d’avant. Elle la sentit aller jusqu’au fond d’elle-même et des ondes de plaisir irradièrent tout son corps. Philémon entama son mouvement d’avant en arrière. Son bassin vint cogner les fesses de la baisée avec régularité. Il allait lentement, laissant à la femelle, cuisses ouvertes et chatte totalement offerte, le temps de savourer le va-et-vient de cette monstruosité. La respiration de Séverine devint sifflante. La baiseuse n’était plus qu’une seule pensée : celle de cette bite qui occupait tout son corps. Philémon commença à accélérer. Maintenant que Séverine était accoutumée à la taille de l’engin, il n’avait plus aucune raison de la ménager. Il alla de plus en plus vite, à grands coups de boutoir, qui arrachèrent des cris de plaisir à Séverine, au rythme du mouvement.



Il accéléra encore, dans une véritable rage. Séverine n’était plus qu’une plainte de plaisir. Nous eûmes de la peine à la maintenir contre l’énorme marteau piqueur dont chaque coup la repoussait en arrière. Enfin, avec un grognement sourd, Philémon libéra sa giclée de sperme, en deux jets. Le premier dans le vagin, bien au fond, le second, sortant la bite d’un coup, sur le ventre et les seins de Séverine. Des mains étalèrent le sperme sur le corps crucifié.



Nous reposâmes Séverine sur le sable. Elle semblait absente, les yeux mi-clos, encore sonnée par l’ouragan qu’elle venait de subir. Manu doubla tout le monde. Visiblement, il n’en pouvait plus. Il s’installa à genoux devant Séverine, lui ouvrit la moule en écartant ses cuisses, les entoura de ses bras et les releva contre ses épaules. Il admira la fente offerte encore dégoulinante de sperme. Sa queue avança, le gland se positionna à l’entrée. Il se coucha sur la femelle lubrique, puis d’un coup de reins violent la pénétra à fond. L’énorme bite de Philémon avait préparé la chatte à ce nouvel assaut. Manu se déchaîna immédiatement.



Il la tringla de manière frénétique. Séverine recommença à accompagner chaque coup de queue d’un petit cri. Postés autour d’elle, nous la caressions de partout, surtout les seins et la nuque… Gérard passa sa main entre Manu et Séverine, parvint à atteindre la fente et le clito. Aux mouvements rapides de son coude, on remarqua que son doigt devait la branler à toute vitesse. Séverine fut prise de tremblements. Michel empoigna sa tête derrière la nuque, la tourna vers lui et la força à ouvrir la bouche. Séverine avala cette queue tout en continuant de gémir sourdement



Philémon nous étonna encore. Pas de pause récupératrice pour lui. Il avait recommencé à se branler avec frénésie, et brusquement, rapprochant sa queue du visage de Séverine, lui lâcha une nouvelle giclée de sperme sur la figure, dans les cheveux, et sur le haut des seins. Il étala sa semence sur Séverine qui ferma les yeux pour savourer la douceur de la caresse. Michel retira sa queue et Philémon mit ses doigts plein de sperme dans la bouche de Séverine qui les lui lécha. Manu accéléra encore en poussant des "han" sourds à chaque coup. Je sentis qu’il allait se lâcher et susurrai à l’oreille de Séverine :



Pour Séverine l’oralisation accélérait la venue de l’orgasme. Elle poussa à nouveau un grand cri et s’arc-bouta. Elle devait jouir intensément. Cela eut pour effet de faire craquer Manu. Lui aussi sortit sa bite avant la fin de l’éjaculation et lâcha le reste du sperme sur la chatte, la toison et le ventre de Séverine. Il libéra ses cuisses et contempla la chatte et la toison inondée par le jus épais et chaud qu’il étala sur le ventre et les seins.



Manu la doigta :



Manu introduisit trois doigts dans la fente et se mit à la branler.



Il accéléra.



Gérard prit la place de Manu. D’une main il frotta sa bite de haut en bas le long de la fente, de l’autre il doigta le clito bien visible, largement offert. Séverine recommença à se tortiller.



Gérard ne se fit pas prier. Il agrippa les hanches de Séverine, la pénétra lentement puis commença son queutage dès qu’il fut couché sur elle, la plaquant très fort au sol. Gérard avait aussi compris que Séverine était sensible aux mots crus.



Yeux exorbités, Séverine buvait ses paroles tout en savourant le poids du mâle sur elle et la queue qui l’entreprenait entre ses cuisses. Sa chatte noyée dans le sperme des giclées précédentes subissait le piston du dard avec délices.



Séverine obéit. Ses mains se plaquèrent sur les hanches de Gérard et s’y accrochèrent.



Séverine accéléra les mouvements de Gérard. Ses mains se firent de plus en plus pressées, de plus en plus insistantes. Puis elle hurla :



Elle se cambra, levant le bassin du sol, ouvrant les cuisses au maximum. La giclée la fusilla.



Je prévins Séverine :



Tout ce spectacle avait rendu fou Michel qui n’en pouvait plus d’attendre. Il défonça Séverine quasi brutalement, mais la victime avait l’air d’apprécier cette bestialité et n’en jouit que mieux. Il réussit à lui arracher deux orgasmes avant de la crucifier sur le sable avec son sperme.


Nous revînmes de la plage, chacun se dirigea vers sa chambre. Je coinçai Séverine dans l’obscurité, lui prit le bras, et la conduisit vers la mienne. Elle se laissa faire sans protester. Je la fis entrer, refermai la porte derrière nous, lui descendis son pantalon de training, libérant sa chatte encore bien humide. Puis je lui retirai le haut du training. Elle ne broncha toujours pas, passive et soumise, acceptant sans discuter ce qu’elle savait qu’il allait lui arriver. Totalement nue elle attendait.



Elle eut un sourire.



Elle hésita un peu, mal à l’aise mais surexcitée :



Je passai ma main derrière sa tête et lui ordonnai :



Elle se pencha, bouche ouverte…



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Erotisme torride

Tendre Amour

Bon Scénario

Belle Ecriture

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n° 12828Hélène et Marc08/09/08
Au bois
critères:   fh fhh inconnu copains grossexe groscul forêt voir exhib photofilm fellation pénétratio sandwich fsodo fouetfesse -fhh -nature
61411 caractères      
Auteur : Ln007

On s’est retrouvés un jour de juin à quatorze heures à la Porte Dauphine, à l’orée du Bois. Pour deux personnes qui entretiennent une relation seulement amicale, l’objet de notre rendez-vous est plutôt atypique. Sans compter qu’entre autres difficultés, la réussite de « l’entreprise » est avant tout subordonnée au bon vouloir de la météo. Dieu merci, la température est douce en cette saison quasi estivale et le ciel est dégagé. C’est un bon point mais rien n’est acquis !


Elle est arrivée d’un pas nonchalant, les cheveux noués, un sac de toile en bandoulière, vêtue d’un petit chemisier blanc légèrement transparent et d’une jupe courte et serrée. Elle ressemble à une étudiante à la fois sage et insouciante, qui s’offre une petite balade au vert.


Nous reparlons de mon idée sur un ton apparemment badin mais elle ne semble toujours pas convaincue. Elle est sceptique, pas tant sur le déroulement des opérations, que par rapport au résultat escompté. Elle ne se trouve pas très photogénique. Chemin faisant, je lui rappelle que mon idée n’engage à rien et que si elle tourne au fiasco, ça n’aurait strictement aucune importance. Au moins nous aurions fait une belle promenade au milieu de la chlorophylle. Elle acquiesce d’un haussement d’épaule mais à vrai dire je ne sens pas très bien le coup.


Il reste à trouver le lieu approprié, ce qui n’est pas aisé compte tenu de la densité de population parisienne en baguenaude. Après nous être écartés des sentiers battus, nous abordons une végétation plus luxuriante. Elle ouvre la voie et chaloupe en évitant les ronces. Sa petite robe faussement sage moule ses fesses et je jette des regards furtifs sur le mouvement de ses hanches.


Un petit coin s’offre à nous et un regard circulaire nous confirme qu’il n’y a pas âme qui vive à cent mètres à la ronde. Surtout, nous sommes protégés des regards indiscrets par toutes sortes de fourrés et d’arbustes assez hauts. Au bout de quelques minutes, on se croit presque seuls au monde. Les choses sérieuses peuvent enfin commencer !


Il était convenu que le scénario serait soft et progressif. Je n’ai pas d’appareil numérique pour vérifier la qualité des photos mais avec une pellicule de 36 vues (plus une autre au cas où le jeu lui plairait !), nous ne sommes pas démunis. J’essaie de la convaincre de poser naturellement, comme si de rien n’était. Vaste programme.

Elle pose son sac à terre et se prête de mauvaise grâce, avec une pose empruntée, aux trois premières photos. Ses lunettes de soleil dissimulent mal un visage figé. Elle m’avait d’ailleurs prévenu qu’elle détestait « poser bêtement ». Je lui demande alors de faire comme si elle était seule, de se laisser aller, bref de m’oublier ! Elle relâche ses cheveux, son visage s’éclaire un peu et elle me lance sa première mise en garde.



Ça commence bien, en effet…

Les trois photos suivantes sont meilleures. Toujours debout, elle pose de façon plus naturelle et n’a plus les yeux rivés sur l’objectif. La bouche entrouverte, les lunettes relevées, elle mordille un brin d’herbe, prêtant ainsi à son visage une expression vaguement romantique et légèrement sensuelle. Je lui parle pour qu’elle reste naturelle et constate avec soulagement qu’elle commence à se détendre. J’en profite pour faire d’autres photos de son minois, sans qu’elle regarde l’objectif.



Qu’à cela ne tienne. Je lui suggère de progresser dans la présentation, prétextant que je n’ai qu’une pellicule et que nous ne pouvons nous permettre de rater les photos.



Sitôt dit, sitôt fait. Elle regarde cette fois l’objectif avec plus d’aisance.



Elle dévoile ses épaules, croise les mains sur sa poitrine, et m’offre un petit sourire de vacancière pendant que je la shoote. Elle se tourne spontanément, relève ses cheveux pour dégager sa nuque et me demande de faire une autre photo de trois quarts arrière avec le même cadrage pour que n’apparaisse toujours pas le tissu.


Tout ça n’est pas mal mais ça reste banal et beaucoup trop sage à mon goût. Je décide d’aller un peu plus loin.



Je m’apprête à prendre la photo mais la présence du soutien-gorge dessert le tableau. Je lui demande de l’enlever le temps de la pose. Elle affiche une petite moue d’hésitation mais elle obtempère. En deux temps trois mouvements, elle s’est délestée discrètement de son armature. Elle croise à nouveau ses mains sur sa poitrine et je la shoote à nouveau. La sensualité gagne du terrain. Son dos nu exposé à la lumière naturelle, son chemisier négligemment abandonné sur sa jupe apportent sans conteste une connotation érotique à la scène.


Je lui fais part de mon sentiment et lui propose d’exploiter cette pose. Je lui demande de bien vouloir garder la même position, mais en baissant un peu sa jupe, de sorte que le froncement de son chemisier se trouve cette fois sous les hanches et laisse entrevoir le haut de ses fesses. Elle accepte sans barguigner et offre à l’objectif une perspective encore plus prometteuse.



Des deux pouces, elle fait descendre le tissu. Elle est nue jusqu’à la naissance des fesses. Surtout, on ne voit pas sa culotte. Spontanément, elle relâche ses bras et pose ses mains sur ses hanches. La chute de reins est mise en valeur et on aperçoit discrètement le galbe et la pointe de son sein gauche. L’illusion est parfaite : si les photos sont bien cadrées, on l’imaginera nue sous son chemisier. Tout à trac, elle me dit :



Elle a reboutonné son chemisier mais son soutien-gorge gît toujours par terre. A-t-elle vraiment envie d’en rester là ? Je la sais a priori très pudique mais cet « oubli » contredit quelque peu son propos. À travers la soie que la lumière rend plus transparente, je devine sans peine le contour et la pointe de ses seins. Le contrat que nous avions passé est clair (rien que des photos, en tout bien tout honneur) mais je sens poindre en moi une certaine excitation.



Je cadre le buste et le visage et prends deux photos.



Elle lève les yeux au ciel puis tourne la tête pour s’assurer que personne ne nous voit. Elle marque un temps d’hésitation et enfin, d’un air un peu contraint pour montrer quand même sa réticence, elle enlève son chemisier. La poitrine nue, seulement vêtue d’une jupe courte et serrée, elle est plutôt bandante. D’ailleurs je sens ma queue gonfler dans mon pantalon… Ses seins ne sont certes pas très volumineux, mais ils sont fermes et hauts et ont une jolie rondeur. Je prends trois photos, la dernière en plan rapproché car je veux qu’on voit bien ses tétons ! Elle me regarde avec effronterie.



Au moins ça la fait rire. Je remarque que son expression a changé. Son regard vif trahit un soupçon d’intérêt. Elle semble commencer à prendre goût au jeu et en mon for intérieur je prie pour que rien ne vienne l’interrompre.



Sous couvert d’hésitation, j’y vois un aveu. Non seulement elle a vaincu ses premières réticences, mais elle semble prête à casser d’autres barrières. Je ne m’en étonne pas. Sous un dehors classique et intello, j’avais déjà remarqué en elle une prédisposition à sortir des sentiers battus pour emprunter des chemins de traverse qui mènent tout droit aux plaisirs que d’autres s’interdisent. C’est d’ailleurs cette ambivalence feutrée qui m’avait séduit chez elle : ce mélange de classicisme bon teint et de sensualité résurgente. Son adhésion aux conventions sociales ne l’empêche pas, in fine, d’assouvir ses envies secrètes.



Elle a raison. Notre enclos est trop confiné pour la suite de nos aventures.



Naturellement, elle s’apprête à se rhabiller.



Son rire incrédule fuse mais elle est décontenancée, oscillant entre la raison qui exige qu’elle recouvre immédiatement sa pudeur et une envie naissante de transgresser un interdit qui, à bien y réfléchir, n’est pas si dangereux que ça. On n’est pas au Jardin du Luxembourg. Elle hésite encore, fait mine de se rhabiller puis se ravise.



C’est gagné. Autant pour elle que pour moi. Elle fourgue son soutien-gorge dans son sac et ramasse son chemisier. Pendant les premiers pas, elle est sur le qui-vive, plaquant l’étoffe sur sa poitrine, et ne cesse de regarder dans toutes les directions en maugréant « C’est n’importe quoi ! » et autres appréciations du même acabit. En fait de quelques pas, nous zigzaguons entre les fourrés, les taillis, les ronces et autres herbacées qui gênent notre progression. Elle finit par libérer sa poitrine. Elle est plus à l’aise et elle cesse de ronchonner.


Pendant que nous déambulons, je reluque le balancement harmonieux de ses épaules et de ses seins. Je ne sais si le sourire énigmatique qu’elle affiche maintenant reflète la cocasserie de la situation ou s’il augure un futur prometteur. En tout cas, elle prend un plaisir de moins en moins dissimulé à errer les seins nus dans ce décor champêtre. Elle n’est plus sur la défensive, elle assume sa liberté. La situation devient émoustillante. Nous échangeons un sourire silencieux, certains désormais que notre jeu ira crescendo. La connivence aidant, tout devient plus facile.


Je la précède et prends quelques photos. Tout en marchant, elle sourit à l’objectif, qui est devenu son grand complice. Une autre barrière est tombée.


Après cinq minutes de marche, nous apercevons une vieille maison, dans l’enceinte d’un petit parc, sans doute destinée aux gardiens ou aux ouvriers des Parcs et Jardins, comme il s’en trouve quelques-unes dans le Bois. Le terrain est clôturé par un mur. À première vue, la maison est inhabitée, tous volets fermés et envahie de lierre. Elle semble intéressée.



Oui, mais à condition qu’il n’y ait personne. Je fais rapidement le tour de l’enceinte. Un gros portail en bois est cadenassé et la chaîne est rouillée. Revenu sur mes pas, je lui fais la courte échelle pour qu’elle se hisse sur l’acrotère.



Elle est assise en amazone sur le mur et je prends une photo en contre-plongée. Je lui passe ses affaires et entreprends d’escalader le mur. De l’autre côté se trouve un talus qui va faciliter notre descente. Un rapide coup d’œil nous confirme que les lieux sont désaffectés. L’endroit ne ressemble pas à un Éden mais il est propre et on pourra poursuivre, désormais en toute liberté, notre petite séance de photos de charme.


Elle s’assoit sur une souche, les jambes croisées haut dévoilant ses cuisses et allume une cigarette. J’aime cette pose, classique et ultra féminine, et j’en profite encore pour prendre une photo. Plus je l’observe, plus je la trouve sensuelle, comme si son corps et son esprit se libéraient. Le regard lointain, elle semble réfléchir à la suite des opérations. Je la laisse à ses cogitations et j’en profite pour en griller une. Elle se lève enfin, semblant avoir pris une décision.



Elle me regarde avec un sourire incrédule.



Elle s’exclame comme si elle répondait à une incongruité, mais mon propos n’est pas pour lui déplaire. Elle attend simplement que je lui suggère ce qu’elle consentira à faire, à condition d’y mettre les formes.



Je lis dans son regard toute la malice du monde.



Avec une lenteur calculée, elle dégrafe sa jupe, la plie soigneusement et la range dans son sac. Elle n’est donc pas pressée de la remettre… Sa petite culotte de dentelle noire, largement échancrée, damnerait un saint ! Moi qui pensais qu’elle porterait une banale culotte de coton, je suis ravi de cette découverte… Le triangle du tissu voile à peine son pubis, soulignant le galbe de ses hanches, et ses fesses sont presque nues, désormais offertes à la convoitise.



Elle pince les lèvres et pivote lentement comme une petite fille, les bras en suspension, pour que je m’imprègne du spectacle. J’ai un faible pour les femmes qui ont une morphologie gynoïde, les épaules étroites, la taille fine, toutes en courbes à partir des hanches. C’est exactement son cas.



Sa réflexion ne l’empêche pas d’être consciente de l’effet qu’elle provoque. Elle commence à arpenter le terrain et une nana qui se balade en petite culotte dans la nature, forcément ça ne laisse pas indifférent un homme normalement constitué. J’écarte les branches devant son passage et nous furetons. Personne n’est venu ici depuis longtemps. Revenu à notre point de départ, je m’approche d’elle et ne peux m’empêcher de passer une main baladeuse sur ses fesses bien rondes, l’assurant qu’elles sont aussi délicieuses au toucher qu’au regard. Elle apprécie le compliment mais me rappelle qu’on est là pour faire des photos.


Elle a une idée derrière la tête. C’est elle qui va prendre les commandes, cette fois. Elle me tourne le dos, s’accroupit devant la souche et y prend appui sur les coudes. Les sangles de ses sandales croisées sur ses chevilles ajoutent à la provocation.



Ce que j’en pense ? J’ai devant moi une fille qui commence à devenir sérieusement délurée ! Foin de minauderies, la voici accroupie sur la pointe des pieds, les cuisses écartées en position propice à l’empalement, vêtue en tout et pour tout d’une minuscule dentelle arachnéenne dévoilant bien plus qu’elle ne cache ses rondeurs fessières.



Je prends trois photos. L’une de face afin de capter son visage qui en dit long sur ses talents cachés, une autre en hauteur, vue de dos pour avoir une vue d’ensemble, et enfin une dernière, carrément braquée sur son cul somptueux, sans qu’elle s’en aperçoive.



Joignant le geste à la parole, je lui relève les épaules et exerce une petite pression sur la cambrure de son dos pour faire ressortir encore mieux la rondeur de ses deux hémisphères. Elle a la position altière de la femelle en passe de s’offrir, ni debout ni soumise. Mon sexe est à hauteur de son visage et elle ne peut ignorer la protubérance dans mon pantalon. Elle ne dit rien. Encore deux photos…



Quoi, déjà ? Elle qui était si bien partie, pourquoi s’est-elle ravisée ? Pas exactement… Plutôt que de se relever, elle pose les genoux à terre et reste immobile, les bras croisés sur la souche. Je suis un peu décontenancé par cette curieuse interruption de séance. Je décide de prendre les devants.



Le plaisir n’en sera pas gâché pour autant… Je pose l’appareil photo, m’agenouille derrière elle et entreprends de la masser délicatement, là où elle est censée avoir mal. Mais là, justement, à voir son cul tendu à trente centimètres de mon visage, j’ai un appétit d’ogre ! Je bande dur et j’ai une envie irrépressible de lui arracher sa culotte, pourquoi pas avec les dents ! Mais il faut que je me contienne et je la masse lentement, derrière le genou en remontant jusqu’en haut des cuisses.


Elle a une peau lisse et douce, dédiée à la caresse. J’observe que ma sensation tactile est décuplée par cette séance de photos. À l’avoir ainsi longuement caressée des yeux à travers l’objectif, dans son dénuement progressif, je me suis en quelque sorte imprégné de sa peau. Il y a quelque chose d’intime et d’émouvant dans cette perception.


Et elle, que ressent-elle ? Je me penche en avant. Elle est alanguie, la tête inclinée sur le côté, les yeux clos et affiche un petit sourire d’aise. J’approfondis un peu mon massage. Mes mains s’immiscent imperceptiblement dans l’aine et frôlent le tissu. Du bout des doigts, je devine sa vulve à travers la soie.



J’adore ce genre de réponse qui invite implicitement à continuer. Le massage prodigué prend une autre tournure et elle ne s’en effarouche pas. Alors je continue. J’accentue les caresses d’une seule main entre les deux cuisses. Je m’engage sur un sentier plus audacieux et j’en arrive à caresser maintenant du bout des doigts sa vulve. Je sens qu’elle mouille. C’est un délice absolu d’effleurer son mont de Vénus à travers le tissu humide. Je n’en peux plus, il faut absolument que je libère ma queue qui me fait souffrir le martyre. Elle est comprimée dans mon pantalon et si je ne fais rien, elle va exploser. D’une main, je déboutonne ma braguette le plus discrètement possible et je la sors, gonflée à bloc, raide comme un pieu. Enfin à l’air libre ! Si elle se retourne, j’aurai l’air malin…


Elle sait dans quel état je suis et elle en joue. Imperceptiblement, elle écarte encore un peu les cuisses, exhale un soupir.


J’ai trop envie d’elle. Advienne que pourra ! Plutôt que de continuer à la caresser à travers la soie comme un puceau, je prends la lisière de sa culotte entre les doigts et la fais glisser doucement sur ses hanches. Lentement, la raie de ses fesses se dévoile. Elle ne proteste pas. Je continue. Me voilà arrivé à mi-parcours. Consentante au dénuement définitif, elle me laisse faire. Elle déplie un court instant les jambes pour faciliter la tâche et reprend sa position initiale.


La voici intégralement nue, « vêtue » de ses seules sandales, exhibant la plénitude de son cul dans une superbe impudeur alors qu’il y a une heure à peine, elle s’effarouchait de devoir montrer ses seins. Elle ne bouge toujours pas mais son souffle est court. Je suis troublé par la tournure des événements.



De sa part, une telle réflexion ne m’étonne pas. Je suis censé endosser la responsabilité de ce qui se passe et bien sûr, elle n’est qu’une pauvre victime abusée. Ça ne me choque pas outre mesure. Ça fait partie de notre petit jeu de rôles.



Elle veut bien. Je caresse sa croupe à pleines mains comme si je la modelais, me repaissant de ses rondeurs.



Mes doigts glissent dans l’ornière de sa raie, s’immiscent dans sa fente tiède et humide. Je m’apprête à les porter à mes lèvres. Elle redresse brusquement la tête.



Elle veut prendre son temps et je n’ai pas les moyens de protester. À sa manière, c’est elle qui mène la danse.



Elle se retourne vivement et braque ses yeux sur l’objet du délit.



Je me déshabille comme un bizuth, un peu gêné. Elle m’observe sans vergogne, me jauge sur pièce. Elle a un petit sourire de dépit.



La garce ! J’essaie de ne pas me démonter.



Elle s’assoit sur la souche. Je constate avec plaisir que son pubis est taillé très court, accentuant sa nudité. Elle est dans l’expectative.



Elle se marre. Femme qu’on fait rire…



Je m’approche d’elle. Elle pose ses mains sur mes fesses et se penche en avant. Délicatement, elle passe sa petite langue sur la base de mes couilles, descendant jusqu’au scrotum, puis remontant jusqu’à la racine de ma bite, sans jamais la toucher. Après ce tour de reconnaissance, les mouvements de sa langue deviennent plus amples. En parfaite experte, elle fait des mouvements circulaires, avale parfois de ses lèvres une couille qu’elle continue de branler avec sa langue. Elle me lèche avec application comme si j’étais recouvert de chantilly !


Tout à son ouvrage, elle caresse subrepticement mon anus avec son index. Il y a des mecs qui n’aiment pas ça, considérant sans doute que c’est faire injure à leur virilité, les cons, mais pour moi c’est la cerise sur le gâteau ! Je sens à cet instant que je vais bientôt exploser. De temps à autre, elle lève les yeux et je lis dans son regard gourmand le plaisir évident qu’elle voue à sa tâche. « Tu caches bien ton jeu », pensé-je. « Tu as un art bien à toi d’exciter un mec et de le pousser dans ses limites. »


J’imagine secrètement un voyeur en train de se délecter de la scène. Cette perspective ne me refroidit pas et depuis le temps qu’elle m’excite, je ne vais pas tenir longtemps.



Elle s’écarte un peu, empoigne ma bite et me branle fermement, avec un regard de défi qui signifie que c’est elle qui tient le jeu. N’y tenant plus, j’abdique et j’ai un orgasme presque douloureux à force d’intensité. Mes couilles sont bien remplies et mon sperme se libère en giclées abondantes. Elle observe la scène avec un intérêt amusé.



Penaud, je me sens pris en faute comme un collégien. Elle a parfaitement dominé la situation et m’a expédié au septième ciel sans m’accorder le droit de la posséder. Elle ne m’a même pas sucé, la salope ! Chapeau bas, mais je me jure de prendre ma revanche, d’une façon ou d’une autre.


J’ai besoin de récupérer. Elle sort alors de son sac une grande serviette de plage qu’elle étale sur l’herbe.



Elle a tout prévu… On s’allonge sur le dos, profitant d’une autre cigarette. Malgré son air détaché, j’ai l’impression qu’elle m’en veut secrètement d’avoir joui si vite.



Après le chaud, le froid.



Avec un air ingénu, elle fait mine d’interroger le ciel. Elle m’intrigue de plus en plus, gardant toujours cette part de mystère, même dans les situations les plus osées, ne dévoilant rien qui puisse la mettre vraiment à nu quand bien même elle a abdiqué toute pudeur, feignant d’accorder peu d’importance à ses ressources.



Elle élude. Je n’espérais nullement qu’elle confesse le plaisir qu’elle a à partager ces moments inédits avec moi. Mais elle fait totalement l’impasse sur son propre plaisir : celui de faire monter jusqu’à l’exacerbation son désir et celui d’autrui. Et je suis certain qu’elle n’en a pas terminé.


Il est seize heures et le soleil nous inonde sans nous accabler de chaleur. C’est un temps idéal pour la bronzette. Elle sort de son sac un flacon d’huile solaire.



Elle a vraiment pensé à tout, cette petite cachottière !



Plus pour très longtemps, ma chérie…



Je fais couler un petit filet d’huile sur sa poitrine que je masse délicatement, m’attardant sur les mamelons. Je fais rouler un téton sous mon doigt.



Tiens, tiens… Des deux doigts j’emprisonne le téton et je le pince. Elle a une petite grimace teintée de plaisir qui m’incite à continuer. Je le tords délicatement dans un sens puis dans l’autre et le tire vers le haut. Je le sens durcir et m’attaque au deuxième. Ses tétons se sont gonflés, dressés comme deux pointes arrogantes. Les yeux fermés, elle exhale des petits spasmes au fur et à mesure que j’accentue la pression.


La voilà bien échauffée, prête à subir de nouvelles explorations. Je délaisse ses seins et laisse tomber quelques gouttes sur son ventre que je masse avec la paume, sans oublier les hanches. Je fais couler un peu d’huile sur son pubis, s’infiltrant dans les poils, glissant dans le pli de l’aine. J’en rajoute un peu à l’extrémité de son pubis, juste au-dessus de la porte d’amour. J’observe tout cela avec attention. Le liquide progresse vers son vagin, mouillant ses lèvres. Dans un soupir, elle croise les bras derrière la tête, supputant la suite. Ma main progresse dans son antre, mêlant l’huile à sa sève. Je trouve son clitoris et je l’agace pour qu’il durcisse à son tour. Elle est abandonnée, les yeux toujours clos, toute résistance vaincue. J’introduis un deuxième doigt. Son sexe s’ouvre davantage même si je sais que son accès m’est interdit.


Je bande à nouveau, mais de façon moins compulsive que tout à l’heure. Son corps, dont les formes sont accentuées par l’effet de l’huile, brille au soleil.



Elle soupire d’agacement.



Je la photographie dans toute sa lascivité, les bras croisés derrière sa tête, les jambes à moitié repliées. On devine plus son entrejambe qu’on ne le voit. Sa position, prélude à l’amour, n’est pas feinte et je suis certain que la photo sera parlante. Je reviens à côté d’elle. Elle effleure ma cuisse de sa main et cherche ma queue à tâtons. Elle la trouve bien dure, palpitante, à nouveau prête à l’emploi. Elle a une petite mimique de contentement et la caresse négligemment du bout des doigts.



Elle rigole. Un ange passe. Sa caresse se fait plus précise.



Sa question faussement naïve me fait sourire.



Elle se tourne vers moi. En chien de fusil, la tête inclinée au-dessus de mon ventre, elle prend ma bite à pleine main et me branle sur toute la colonne, en un mouvement souple et régulier, sans trop la presser mais en l’enveloppant fermement dans sa paume. Cette fois encore, je constate qu’elle n’est pas novice en la matière.


Elle se rapproche encore de moi, baisse la tête, continue à m’exciter la racine de la queue. Je ne vois pas son visage mais je sais ce qu’elle va faire. Je sens ses lèvres envelopper mon gland. À mon tour je ferme les yeux et me laisse envahir par sa bouche. Avec un art consommé, elle me suce posément, sans précipitation, mêlant ses caresses buccales à sa dextérité manuelle. Pendant qu’elle m’entreprend, ma main glisse sur ses fesses, à l’affût de son sexe. Elle relève la tête.



Elle a susurré ça d’une voix mielleuse. Je déglutis et j’essaie de réfléchir à ma réponse.



Elle a l’art de donner le change en faisant passer une envie partagée pour mes propres désirs !



Je m’écarte d’elle. Elle m’attend mais je ne veux pas la prendre à la missionnaire. Elle mérite tellement mieux que ça, cette adorable sainte nitouche ! Sans crier gare, je relève ses jambes et maintiens ses chevilles à la hauteur de mes épaules. Les cuisses écartées, le cul en l’air, la voici devenue en un tour de main prête à se faire embrocher. Je me délecte de ce panorama unique et obscène, de sa fente ouverte au-dessus de sa petite rondelle. Je me sens l’âme d’un soudard. Elle est surprise par mon entrée en matière mais ne proteste pas.



La tête renversée, les cheveux étalés sur l’herbe, elle attend l’invasion. J’introduis mon dard dans son con, juste au bord pour humecter mon gland de son jus. Merveilleuse position que celle-ci, qui me permet de faire et voir en même temps ! Je m’enfonce un peu, puis ressors, effleurant ses lèvres, et m’enfonce à chaque fois davantage. Je veux faire durer le plaisir. De ma pine, j’explore sa caverne obscure, m’enfonçant au plus loin que je peux. Je la pistonne sans précipitation excessive, mais de toute la longueur de ma queue pour ne rien perdre. Je sens mes couilles battre contre son cul moelleux.


Elle commence à haleter, la bouche ouverte, les reins envahis par l’onde de plaisir. Je ne la bourre pas seulement d’avant en arrière mais aussi de gauche à droite pour bien l’élargir. Je veux que son sexe devienne béant.


Je sors d’elle, un instant seulement.



Elle me ramène à elle en un geste d’impatience



Ça devient de plus en plus trivial. Elle m’électrise. Je me réintroduis en elle jusqu’à la garde.



Tandis que nous baisons, elle se livre enfin, sans fard. Merveilleuse boulimique de sexe qui cache si bien son jeu, tu ne résistes pas au plaisir d’être possédée de toute ton âme et tout ton corps par la magie d’une pine qui la fouille sans relâche.


J’accélère le rythme. Mes flancs claquent contre ses cuisses avec la sonorité bestiale des chairs qui s’entrechoquent. Nous avons atteint la vitesse de croisière et forniquons longtemps, nos corps à l’unisson.

Son souffle s’accélère en un signe annonciateur. Elle appelle l’air comme si elle allait se noyer. Elle va jouir sans moi. Alors pour l’achever à mon tour, je la défonce comme un bélier, sans pitié. Elle fait un grand ô avec sa bouche, serre les poings et se cabre. Comme mue par une force invisible, elle se tend et, vaincue à son tour, elle explose de toute sa voix. Un cri de femelle sauvage.


Elle reprend son souffle et ses esprits puis, sans daigner me regarder, se retourne et s’allonge sur le ventre. Je m’assoie à côté d’elle et ne peux m’empêcher de lui envoyer une vanne.



Je n’insiste pas. Une minute de silence s’impose.


Elle est alanguie, les bras abandonnés le long du corps. Je n’ai rien d’autre à faire que de la contempler dans sa sensualité. J’observe ses épaules rondes et menues, sa taille fine, la courbe de ses hanches, généreuses juste comme il le faut, la cambrure de son dos et le galbe de son cul rebondi. Son corps et sa peau sont ceux d’une adolescente.



Elle se redresse sur ses coudes et affiche une petite moue.



Elle ne manque pas d’air, décidément.



À nouveau je l’oins, côté verso cette fois, d’abord sur ses épaules et ses omoplates. Je la masse lentement, le plus délicatement possible, soucieux d’éviter désormais toute connotation sexuelle dans mes gestes. Me voici sur ses hanches, si douces, si souples. Maintenant les fesses. Sur chaque globe, j’appose un peu d’huile et les masse, d’abord sur les extrémités, puis vers le centre, là où se dessine la raie. Comment veut-elle que je reste stoïque ? Nous sommes nus et moi je ne suis pas rassasié. Surtout, il ne faut pas que ma queue la touche. Je rajoute un peu d’huile à la naissance de sa croupe, mes mains effleurant sporadiquement le vallon soyeux de son entre-fesses. Je décide de me mettre franchement derrière elle. Assis sur ses mollets, j’entreprends le massage des cuisses, de bas en haut. La voici totalement huilée. Elle peut enfin se livrer aux bienfaits au soleil.


Une demi-heure passe sans que nous échangions le moindre mot.


Soudain, un craquement de branche. Un autre, puis encore un autre.


Nous sommes pétrifiés pendant une seconde qui semble une éternité. Je tourne la tête et aperçois alors une silhouette à quelques mètres qui s’avance tranquillement. Très vite, je jette son chemisier sur ses reins et enfile maladroitement mon slip. Pas le temps de faire mieux.



L’homme s’approche d’un pas sûr. Âgé d’une quarantaine d’années environ, trapu, il est vêtu d’un treillis et d’un débardeur. C’est sûrement un ouvrier chargé de l’entretien. Nous voilà dans de beaux draps.



Il est un peu fruste mais n’a pas l’air méchant.



Il allume une cigarette et l’observe à la dérobée, pas pressé de nous voir décamper.



Je l’interroge du regard. Elle se tourne légèrement sur le côté et l’observe du coin de l’œil, plus attentivement qu’elle ne le voudrait.



On se regarde et on pouffe.



Je me demande bien ce qu’il peut « bricoler » ici, mais le savoir à proximité n’a pas l’air de la déranger. Elle est restée allongée. En se tournant sur le côté tout à l’heure, son chemisier a glissé un peu, découvrant ses hanches et le haut de sa fesse droite. Je suis certain qu’elle s’en est rendu compte mais elle n’a rien fait pour le rajuster.



Elle affecte l’innocence mais elle est visiblement émoustillée par la présence de ce beau mâle dans les parages. Elle ne songe d’ailleurs pas à se couvrir davantage. Quant à moi, ça ne me dérange pas outre mesure. De toute façon, elle préfère que je reste à côté d’elle.


Curieusement, elle qui aspirait tant à profiter du soleil sans être importunée, elle me demande s’il reste encore de la pellicule. Encore trois satanées photos.



La voici redevenue bien mutine, tout à coup.

Première photo. Allongée sur le ventre, en appui sur les coudes, le menton sur les mains, jambes serrées, un pied croisé sur l’autre. Classique, mignon.


Plus que deux photos. Il ne faut pas les louper. Elle tourne le buste sur le côté, se redresse sur un coude, sa tête reposant sur une main, et écarte sa jambe libre. Ce faisant, la polissonne a encore fait glisser le tissu, dévoilant sa fesse droite dans toute son ampleur. Je suis sûr qu’elle l’a fait exprès. Cette position particulièrement suggestive a l’avantage d’accentuer la cambrure de ses reins et de donner à ses fesses une rondeur callipyge. Elle renvoie un regard plein de promesses à l’objectif.



J’acquiesce du regard. Elle tourne la tête à gauche et à droite et s’en débarrasse négligemment. La voilà à nouveau nue, la croupe exposée dans toute sa plénitude. Elle sait ce qu’elle fait, elle n’ignore pas que notre « ange gardien » n’est pas loin. Ses yeux virevoltent. Je ne sais exactement si elle attend ou si elle redoute qu’il la surprenne dans cette posture.



Sa voix est oppressée. Je sais maintenant qu’elle l’attend.


Elle porte son regard au loin, derrière mon épaule. J’ai un pressentiment et me retourne. Il est planqué derrière un arbre et nous observe, torse nu. Sans affolement apparent, elle garde la pose. C’est pour elle l’occasion ou jamais. Après cette dernière photo, elle n’aurait plus de prétexte. Elle ose et le fixe un instant, le regard brûlant. Elle a le feu aux joues, c’est la tempête dans sa tête, mais elle ne se démonte pas. Affectant l’indifférence à s’exhiber de la sorte, elle se jette dans le vide, assumant les conséquences de cette décision folle. Voudrait-elle reculer qu’il serait trop tard. Elle ira jusqu’au bout pour assouvir son désir.


Le type s’avance à pas de loup et m’interroge d’un regard hésitant. D’un hochement de tête indifférent, je lui confirme que sa présence n’est pas franchement indésirable, puisqu’elle a décidé de ne pas se couvrir.



Les dés sont joués. Je me tourne vers elle. Elle est statufiée.



J’ai dit cela sans réfléchir, emporté par l’envie de la provoquer dans son audace. Elle ne proteste pas et se mord les lèvres, mélange de honte et de désir qu’impose une telle exhibition devant un inconnu. La tête sur ses bras croisés, elle s’exécute lascivement. Elle écarte davantage sa cuisse et, sans même que j’en aie formulé le souhait, relève sa croupe. Elle est superbement obscène, son cul luisant ouvert, dévoilant toute son intimité. Je prends la photo. Elle se met aussitôt sur ses genoux et passe sa main sur ses cheveux pour se donner une contenance. Elle reste nue et attend. J’entends son cœur battre d’ici.



La trivialité du propos la fait réagir.



J’approuve silencieusement sa stratégie. Elle a affranchi le gars sur la nature de notre relation tout en feignant de banaliser une situation assez explosive. J’attends la suite.



Elle a toujours son sourire moqueur mais je la sais très excitée.



Il avale sa salive.



Le type est sur la défensive, ne sachant toujours pas quelles sont ses intentions.



Mauvaise pioche, gros balourd. Elle le toise avec une expression un peu contrariée.



Elle tend la main vers son chemisier. Il se précipite.



Elle délaisse le chemisier, se lève et continue à le regarder tranquillement, debout les mains sur les hanches. Elle n’a décidément pas froid aux yeux. Il détaille à nouveau sa nudité avec un regard concupiscent.


Le buste en avant, les mains dans le dos, elle fait quelques pas. Féline, elle passe et repasse devant lui, toujours disposée à converser comme s’il s’agissait d’un simple visiteur. Le gars reste les bras ballants, ne sachant toujours pas à quel saint se vouer. Pour ma part, j’y vois du grand art. Elle conjugue une attitude nonchalante à une situation torride pour encore mieux lui faire perdre la tête.



Elle se met alors à marcher droit devant elle, en ondulant des fesses, puis revient sur ses pas, les yeux brillants et fait un tour complet sur elle-même.



C’est le moment crucial car sa réponse sera déterminante.



Elle a dit cela d’un ton léger comme si la décision ne lui appartenait pas. Le gars respire un grand coup. Le petit jeu a assez duré.



Elle ne répond pas. Il espère un signal. Elle le regarde et acquiesce d’un hochement de tête. Elle veut bien qu’il essaie. En vérité, elle en meurt d’envie.


Il s’avance lentement et la saisit par les hanches, lui caresse les seins puis les fesses, très vite lui met un doigt pour s’assurer qu’elle est mouillée. Elle approuve et écarte les jambes. Elle se colle à lui et caresse de ses lèvres son torse, s’attardant sur ses tétons avec sa langue. Elle descend lentement et sa bouche parcourt son ventre. Elle s’accroupit pour terminer l’exploration jusqu’au nombril. Elle lève les yeux vers lui en un regard lourd d’intentions. Elle entreprend de déboutonner sa braguette. Libérant les boutons avec application, elle fait glisser lentement le pantalon. Elle caresse ses cuisses musclées et effleure la bosse du slip. Elle marque un temps d’arrêt, se demandant si ce qu’elle croit deviner est bien réel. Elle tend le slip et le fait glisser à son tour. Sa queue surgit à deux doigts de son visage, énorme, épaisse, tendue à l’extrême. Elle est ébahie par la dimension de l’engin, se demandant comment elle va l’accueillir.

Elle tourne la tête vers moi.



Maintenant, elle doit assumer. Elle l’entreprend doucement. Elle lui lèche d’abord savamment les couilles, comme elle l’a fait avec moi, puis agace son gland avec sa langue. Elle y prend goût et l’enveloppe de ses lèvres. Elle le suce progressivement, l’avale à chaque fois un peu plus. De temps à autre, pour reprendre sa respiration, elle le branle avec volupté. Elle manie sa queue religieusement, comme un objet sacré, s’en délecte du toucher et du regard, s’en caresse amoureusement les joues puis la happe à nouveau, s’enfonce encore un peu plus, en ressort et la fait coulisser jusqu’au bord de ses lèvres mouillées dans un bruit de succion gourmande. Pour mieux la voir à l’œuvre, il ramène ses cheveux en arrière. Comme elle a faim, la salope ! C’est une suceuse goulue, une pompe à bite insatiable ! Elle l’avale presque entièrement. Sa bouche est devenue sexe, défiant les lois de la respiration.



Il en profite pour enlever son treillis. À moitié allongée sur lui, le cul en offrande, elle continue à le sucer et à le branler avec avidité puis elle détourne la tête. D’un geste incertain elle me fait signe de venir derrière elle. Que puis-je faire pour elle, si occupée à sa tâche ? Elle prend ma main et m’invite à caresser son con. Je la branle un peu mais très vite elle reprend ma main et la glisse plus haut, entre ses fesses.

Je vois où elle veut en venir. Je lubrifie mon doigt avec son jus et introduis l’extrémité dans sa rondelle. C’est étroit et chaud. Elle a arrêté de le sucer pour mieux appréhender la pénétration digitale. Elle empoigne le dard du mec comme un mât de sauvetage et attend, tel un animal piégé. J’enfonce très doucement mon doigt dans son trou, le fais aussitôt ressortir pour le détendre puis l’enfonce à nouveau. En même temps, j’élargis un peu sa rondelle par une petite rotation. Elle n’a aucun mouvement de douleur. Le terrain me semble bien préparé. Je l’humecte à nouveau et poursuis mon invasion rectale. Mon doigt est maintenant enfoncé aux trois quarts. Elle pousse pour qu’il pénètre complètement. J’introduis un deuxième doigt et je réitère la manœuvre. Son trou s’est élargi, il a passé avec succès l’épreuve de l’admissibilité.


Veut-elle que je l’encule ? Non, pas maintenant en tout cas… Elle rampe sur son comparse et le chevauche. Elle veut s’empaler sur le braquemart géant. Elle s’enfonce sur le gland avec précaution. Il est tellement bien monté, le bougre ! Méthodiquement, elle remonte un peu pour redescendre un peu plus en un lent va-et-vient. Elle veut se baiser complètement. La voici arrivée au bout. Elle adresse un petit sourire de victoire au queutard et reprend son mouvement pour terminer de rôder la machine. L’impétrant, au départ encombrant, se love confortablement dans sa moule et devient un hôte impérial. Maintenant qu’elle l’a apprivoisé, il est à elle. Elle veut le manger de tout son ventre, dans toute sa longueur et toute son épaisseur.


À califourchon sur la bête, elle entame une danse du ventre envoûtante. La tête droite, les seins dressés, elle s’imprègne de cette invasion abondante en un mouvement vertical souple et incessant. Elle coulisse sur le pal, remonte jusqu’au prépuce puis redescend, s’y assoit complètement et s’élargit en ondulant d’avant en arrière puis en mouvements circulaires. Il a empoigné ses hanches et se met à claquer ses fesses de ses mains rugueuses. Elle aime cette punition sonore et tactile qui lui brûle le cul et les sens. Elle montre son plaisir à sa façon, s’exclamant de saisissement à chaque claquement sur sa chair puis cambre ses reins pour en redemander.


Cela ne lui suffit pas, elle glisse ses mollets sous ses cuisses pour encore mieux s’empaler. Lui, relève un peu les jambes. Elle bascule en avant, le cul bombé, agrippée aux épaules du mec. À son tour, il la pistonne, de plus en plus frénétiquement, pétrissant et claquant son cul sans ménagement. Ses fesses rougies s’écrasent sur le pilon, sa chatte ruisselante clapote contre ses couilles. Elle halète, le regard perdu, femelle en chaleur transcendée par cette bite infernale qui la baise sans relâche. La tête renversée, elle a un long spasme et se laisse retomber lourdement sur le ventre du tringleur. Premier orgasme.


Elle reste empalée sur lui, soupirant comme après l’effort. Elle caresse amoureusement son torse et se penche en avant. Ses cheveux tombent sur son front. Elle effleure ses lèvres, l’embrasse doucement puis relève la tête.



Elle ondoie à nouveau sur la queue à moitié enfoncée dans son con. Elle tourne la tête et me fixe de son regard penché. Dans ses yeux je devine une envie qui la taraude. En un mouvement lancinant, elle se balance d’avant en arrière, sans jamais s’enfoncer complètement sur la queue mais en cambrant sa croupe à l’extrême, figure maîtresse de cette pantomime. Son invitation muette n’échappe pas au lascar.



Alors il relève encore son bassin et écarte les jambes. Elle a compris le signal et se penche encore en avant, ventre contre ventre, la queue à moitié rentrée dans le vagin. Elle est cambrée à l’extrême. Je m’approche d’elle.



Des deux mains, elle écarte ses fesses pour me signifier que c’est maintenant. J’humecte mes doigts de ma salive et la lubrifie un peu. Son anus s’est resserré mais je vais l’enculer directement, sans la doigter au préalable, puisque c’est ça qu’elle veut. Du gland je tapote sa rondelle ourlée et je pousse un peu en tenant ma queue bien droite. La porte interdite s’entrouvre à peine. Le trou de ma pine s’y engouffre. Je pousse encore un peu. Mon gland glisse lentement mais sûrement, comme au ralenti. Elle est toujours serrée et j’éprouve une sensation exquise à sentir le bout de ma queue ainsi emprisonné dans cet orifice interdit. Je reste quelques secondes ainsi, le temps que son anus se façonne à cette entrée en matière. La double pénétration en est à sa première phase. Je sors et rentre à nouveau. Son sphincter s’est élargi. Je m’introduis encore d’un centimètre, forçant un peu plus son intimité secrète.


Elle a un petit sursaut d’appréhension mais pas de douleur. Pour m’inviter à ne pas abandonner, elle prend ma main dans la sienne et pousse un peu sur ma queue. Elle rentre encore d’un centimètre. Elle commence à s’ouvrir, m’appelle de sa profondeur. Je poursuis ma progression, lentement mais implacablement. Je suis maintenant à moitié dans son cul, sans qu’elle rechigne. Elle commence à découvrir cette sensation unique d’avoir une deuxième bite en elle et elle ne le regrette pas. Le demi-tour est proscrit, il est acquis que nous irons jusqu’au bout. Je m’enfonce encore dans le tunnel. Elle a mal, forcément, mais elle sait que cette douleur va bientôt se métamorphoser en un plaisir insensé. Alors dans un élan d’impatience, elle s’enfonce sans faillir sur ma queue. Elle a un cri de douleur et serre les dents, les yeux clos, attendant que l’orage passe. Nous ne bougeons plus. Elle rouvre les yeux et souffle comme après une course éperdue, la sueur au front. Son cul est en feu mais elle a dompté la matière. Je suis complètement en elle.


Pour la première fois de sa vie, la voici empalée dans le con et dans le cul. Combien de femmes n’ont pas éprouvé ce désir secret et lancinant d’être ainsi possédée ? De se vouer au plaisir, sacrilège depuis la nuit des temps, de remplir leurs deux orifices à la fois ? Elle a franchi le pas, guidée naturellement par ses dispositions sexuelles à la faveur de la providence.


Elle est solidement arrimée mais il faut que son trou du cul se dilate avant de commencer la chevauchée fantastique. Je la tiens par les épaules, lui par les hanches. Il n’est pas idiot, il sait qu’il ne doit pas bouger pour le moment. Du fond de son cul, je fais coulisser lentement ma queue en arrière, comme si j’allais la libérer, mais je m’arrête à mi-parcours. Je m’enfonce à nouveau, jusqu’au bout. Elle est encore étroite mais bien disposée. Je recommence la manœuvre plusieurs fois, en remontant à chaque fois un peu plus. Elle s’ouvre franchement, maintenant. Je coulisse dans son fourreau avec une relative aisance. Elle y met du sien, accompagnant le mouvement d’une petite ondulation du bassin. Je prends ses seins dans les mains et les caresse doucement. Ses tétons sont durs comme du bois. Elle a les yeux mi-clos et se laisse entraîner.


Elle seule peut savoir ce qu’elle ressent, mais l’expérience n’est pas pour lui déplaire. Pour ma part, j’éprouve un plaisir particulier à être le premier à l’enculer de la sorte, apportant ma contribution à sa nouvelle découverte.



Elle opine en silence et ondule un peu plus d’avant en arrière, pas trop pour ne pas se désarçonner de l’autre bite. Épousant son rythme, je lime son cul plus amplement. Je coulisse maintenant sans résistance, son fourreau se détend. Je sors pour voir. Sa rondelle s’est dilatée, pas aussi ouverte que son vagin mais assez pour m’offrir l’entrée du tunnel sans péage. Je m’y engouffre à nouveau sans escale et je la ramone comme si je baisais sa chatte. Son cul chaud et souple devient chatte.


Au tour de l’autre de reprendre du service. Il la lime à nouveau, doucement, en même temps que moi. Nos pines s’enfoncent en elle à tour de rôle. La tête en arrière, les yeux fermés pour mieux en ressentir la pénétration, elle se laisse envahir par ce mouvement alternatif, bien calée sur nos deux queues.





> De : Virginia69@club internet. Com

> À : Martin5a7@hotmail. Fr

> Objet : Qu’est-ce que tu me fais faire…

Je mouille comme une fontaine…

Moi qui aime les préliminaires tu ne me facilites pas la tâche en abandonnant à un moment pareil ! Ok je prends le relais.




Pièce jointe :


Transpercée, écartelée par l’avant et par l’arrière, elle se gargarise de nos queues invasives. Le tête à tête avec mon collègue me trouble un peu. Je n’ai pas l’habitude d’avoir un visage masculin si près de moi alors que je suis au bord d’exploser. Je me concentre sur la croupe épanouie et féminine dans laquelle je vais me perdre. Elle ferme les yeux, elle se tient de profil, gardant la position qu’elle avait pour nous parler à tous les deux. Son souffle se fait de plus en plus rapide. Elle est tendue comme une corde de violon et vibre à chacun de nos mouvements. Elle est sur le point de jouir.


D’un regard échangé avec le gardien sur-dimensionné, je m’assure qu’il va lui laisser le temps de venir avant nous. Il est peut-être un peu rustre, mais il a un certain savoir-vivre. Peut-être ma présence, et l’aspect "social" de cette scène l’incite-t-il à plus d’attention pour sa partenaire qu’il n’en a habituellement. Le fait est qu’il a l’air de bien se maîtriser et de ne vouloir écourter notre double galop à aucun prix.


Le souffle rapide de notre monture fait place à un râle guttural et sauvage qui va crescendo jusqu’à exploser en un véritable hurlement. Son corps se raidit, chaque muscle est tendu comme un arc, tandis qu’elle se couvre d’un léger voile de sueur. Elle lève les deux bras et s’ébroue joyeusement un sourire béat sur les lèvres.



C’est le signal d’une chevauchée fantastique qu’elle orchestre d’un air détaché. Une compétition s’installe implicitement entre nos deux queues bien raides qui voudraient toutes les deux cracher leur venin la première. Plus de mouvement cadencé, plus de caresse pour les rondeurs de notre partenaire, rien qu’une agitation frénétique pour sortir de cette situation, retrouver notre quant-à-soi, nos vêtements et notre vocabulaire habituel.


J’ai l’avantage d’un orifice plus étroit, plus sinueux, moins usité et plus excitant. Ma pine est délicieusement enserrée de la base au gland. Sa rondelle s’est légèrement rétrécie depuis son orgasme, ce n’en est que plus stimulant. Je suis sur le point de jouir quand j’entends un mugissement bovin. Merde, il m’a grillé sur le poteau. Je viens une seconde après lui, mais j’ai en ce qui me concerne l’orgasme assez discret.


La sortie est toujours moins glorieuse que l’entrée, bite humide et ramollie. J’aime bien m’attarder un peu d’habitude - là, non. La présence de "Queue d’Âne" trouble un peu notre duo romantique, même si je sais bien qu’elle lui doit beaucoup, à ce braquemart géant qui a eu la bonne idée de venir se mettre à sa disposition au moment voulu.


Notre ami a sorti un mouchoir douteux de sa poche, s’essuie rapidement, se rhabille et nous lance un : « Bon, ben, salut la compagnie » en s’éloignant d’un pas rapide.


On reste nus comme des vers, alanguis, vidés, relaxés, dans le soleil de la fin d’après-midi. Elle se love contre mon épaule :



Je lui caresse les seins et les hanches :



Elle me tend les lèvres pour un baiser très long et très doux avec plein de petits coups de langue dans tous les sens, puis elle commence à y mettre les dents. Ça se termine en partie de cannibalisme.


On se rhabille et on prend le chemin du retour. Elle a l’air ailleurs. Puis elle se tourne vers moi d’un air mutin :






Copyright © 2008
Demandez l'accord des Auteurs avant toute diffusion


Erotisme torride

Tendre Amour

Bon Scénario

Belle Ecriture

Plein d'Humour

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n° 12831Mister AD09/09/08
La jeune Asiatique et le chibre - Partie 3
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20625 caractères      
Auteur : Mister AD      Série : La jeune Asiatique et le chibre - 03

Cette histoire fait suite à "la jeune asiatique et le chibre". Entre le deuxième épisode et l’intermède, notre jeune amie asiatique et soumise a subi un entraînement au sein d’une petite communauté. Disons simplement qu’elle a travaillé dans un hôtel comme femme de chambre…


Ce texte sera disponible sous peu, une fois les corrections terminées. Voici donc la suite de ses aventures…


Mister AD




Intermède



Plusieurs semaines se sont écoulées depuis ton aventure dans cet hôtel de Montréal. Suite à mes recommandations, tu n’y es restée qu’un seul mois de plus pour parfaire ton éducation de soumise. Tu as mis quelques semaines avant de te remettre de cette expérience, tes petites fesses toujours sensibles depuis tant de pénétrations féroces.


La Maîtresse de l’hôtel avait bel et bien fait de toi une bonne fille répondant aux besoins de tes Maîtres. Tu avais ainsi découvert toutes sortes de plaisirs qui t’étaient encore inconnus.


Tu retournes par la suite vivre dans ton petit appartement, revenant assez régulièrement me voir à mon bureau. Bien entendu, tu y es obligée. L’aide que t’apporte Katherina, mon employée, t’est indispensable par moments. Elle te guide admirablement, t’apprenant à bien satisfaire mes caprices, ainsi que ses désirs à elle.


Étant toujours étudiante et n’ayant pas d’emploi régulier, tu travailles à temps partiel avec Katherina au sex-shop. Tu découvres peu à peu l’univers dans lequel j’évolue. Tu n’hésites pas à t’amuser lors de mon absence, à jouer avec quelques-unes des nouveautés dans la section des jouets.

Tu découvres tant de plaisirs qui ont été absents de ta vie jusqu’ici. Le soir, chez toi, tu reviens sans cesse avec un nouveau gode, de nouvelles billes, que tu testes pour ta propre connaissance.


Tu ne touches pourtant pas à ton petit trou, étrangement interdit de contact selon mes ordres. Tu ne dois laisser personne y toucher sans mon autorisation. Seulement à quelques rares occasions, je t’ordonne de te branler devant moi, impudiquement, un gode planté tout au fond de ta chatte, vibrant à toute allure, et un plug anal dans ton cul. Prise entre ces deux jouets, tu savoures lentement et solennellement ma bite que je masturbe dans ta bouche, ma main posée sur ta nuque.


Il arrive que nous sortions les soirs de week-end. Je t’emmène prendre un verre, soit seule ou en compagnie de Katherina. Parfois je vous emmène toutes les deux dans mon antre pour une nuit sans repos.


En quelques mois, tu deviens une excellente soumise. Tu es toujours pleine d’espoir et d’énergie. D’autres soirs, j’entre dans des clubs échangistes, toi à mes côtés. Gardant admirablement ton sérieux et contenant ton excitation à merveille, tu me suis alors que je fais connaissance avec les membres du club. Je choisis les gens les mieux posés et biens vigoureux, hommes ou femmes, pour participer à nos ébats.


Dans les étages supérieurs du club se trouvent les chambres privées. J’ai une suite bien sûr toujours disponible pour mes activités. Après avoir choisi les candidats potables selon leur forme et en sondant ton regard qui passe du calme à la lubricité, je les invite à monter dans la suite.


Là-haut, je t’admire. Je te vois obéissante et sensuelle. Ton regard si tendre se pose sur les engins gigantesques des candidats. Tu fais alors office de servante pour l’occasion, allant d’un à l’autre pour servir des rafraîchissements. Peu après, tu perds ta culotte, tes seins se libèrent de ton corsage. Tu offres une seconde tournée, te penchant sur chaque membre pour le prendre dans ta bouche.


Tu lèches aussi les chattes offertes à ta langue. Puis, chacun d’entre eux vient te prendre, leur membre te défonçant sans repos. Tu subis chacun des assauts sans crier. Tes gémissements se couvrent aussitôt. Tu avales tout le foutre qu’on t’offre. Tu obéis à mes ordres et tu te laisses baiser par ces inconnus. Ta bouche se remplit de foutre, tu l’avales. Ta bouche se déforme sous l’assaut de ces pénis, tu les aspires. Ton désir se comble. Mon désir explose devant ces scènes d’une perversion inouïe.


Je reste parfois de mon côté, la conjointe d’un des hommes me suçant avidement, ou bien se laissant pistonner allègrement… Je te regarde et jouis très souvent en prenant plaisir devant ton plaisir.


Et c’est en te regardant te soumettre à mes perversions que j’en viens à la conclusion que la pause a assez duré. Tu es prête pour la prochaine étape. J’ai maintenant des missions importantes à te confier. Tu n’as alors que très peu de temps pour te reposer. Prépare-toi au pire.



L’Hôpital 1 – dans l’autobus



L’autobus arrive à l’heure prévue à la gare de Montréal. Tu montes à son bord, te demandant sans cesse quel peut être le but de cette mission que je viens tout juste de te confier.


Tu as quitté ton domicile au milieu de la soirée, prenant ton sac de voyage et peu de bien, n’oubliant surtout pas l’élément clé : l’enveloppe brune. Tu ne devais pas l’ouvrir tant que l’autobus n’était pas parti.


En parcourant l’allée, tu de diriges lentement vers le fond, pour aller t’asseoir près d’un couple dans la fin vingtaine. Tu parcours du regard les autres passagers. Quelques personnes âgées, des gens d’apparence ordinaire. Tu fixes quelques secondes un Black bien costaud, portant un complet. Lorsque tu passes près de lui dans l’allée, il ne lève même pas les yeux de son ordinateur. Tu souris intérieurement, te remémorant les quelques aventures précédentes, où un autre Black très bien membré avait malmené ta petite chatte. Tu te sens devenir quelque peu humide, accélérant le pas vers ton siège.


Tu baisses les yeux vers tes bagages à main, dont ton gros sac de cuir. Des images du Black traversent ton esprit, puis tu repenses au contenu du sac. Grâce à ce sac, je t’accompagne partout où tu vas. Mon membre de caoutchouc repose toujours dans sa boîte, au fond du bagage. Tu l’ouvres, mais pour en ressortir l’enveloppe brune que je t’ai confiée.


Jetant un regard méfiant autour de toi, tu sens l’autobus avancer. Un long voyage s’amorce. Sans même en savoir la raison, tu te diriges vers une lointaine bourgade très éloignée de Montréal. Cette bourgade, du nom de Saint-Françoise-de-la-Réjouissance, est si éloignée et perdue, qu’elle ne figure presque sur aucune carte.


Avant d’ouvrir l’enveloppe, tu regardes un moment les passagers des sièges devant toi. Puis tu regardes rapidement le couple de l’autre côté de l’allée. La femme chuchote à l’oreille de son copain. Riant et se frottant allègrement contre lui.

Tu admires un moment les magnifiques cheveux roux de la jeune femme et sa silhouette voluptueuse. Son décolleté plongeant dévoile sa superbe poitrine. Tu te mords la lèvre inférieure, mouillant un peu plus en l’imaginant nue, baisant son copain… ou même te bouffant la chatte.


Tu te concentres de nouveau sur tes documents. Et là, tes yeux s’agrandissent. Tu trouves dans l’enveloppe une série de rapports et de photos étranges… Ce que tu lis te renverse. Tu mouilles de plus en plus, les photos des plus explicites te préparent à ce qui s’en vient au nord. Tu tentes de croiser les jambes, tournant chaque page, ton sexe brûlant désire de plus en plus tes caresses. Tes yeux se tournent rapidement vers le dos de la tête du Black, penché sur son ordi… puis sur la jeune femme à côté.


Celle-ci caresse vivement la bosse qui s’est formée sous le pantalon de son copain. Elle se lèche les lèvres, regardant autour d’elle. Tu croises alors son regard. Elle se mord les lèvres, souriant, te déshabillant du regard.


En décroisant tes jambes, tu dévoiles de nouveau tes cuisses, ta peau pâle, ta jupe remonte encore plus… La jeune femme regarde son copain et lui chuchote encore une fois à l’oreille.


Et toi, tu n’en peux plus. Toutes ces images et ces rapports étranges dans l’enveloppe t’ont allumé terriblement. Tu veux à tout prix changer de culotte, et en profiter pour te doigter… Non, encore mieux.


Tu fouilles ton sac pour trouver la boîte contenant mon vit… puis tu te lèves vivement pour entrer dans la cabine de toilette. Rapidement, après avoir verrouillé la porte, tu fais glisser à tes chevilles ta petite culotte colorée.

Tu relèves ta jupe, ton sexe coulant à flot entre tes cuisses. À l’aide de tes doigts, tu en écartes les lèvres, ton jus luit sous la faible lumière de la cabine. Nerveusement, tu réussis à sortir le membre de caoutchouc du boîtier. Tu le frottes un très court moment entre tes doigts.


Les veines sur sa surface te rendent folle. Sa texture si réaliste te donne l’eau à la bouche. Je suis près de toi dès ce moment. Tu frottes ton clito frénétiquement avec le gland, ton jus se répand sur sa surface, puis tu l’enfonces lentement de toute sa longueur.


Activant la plus basse vitesse, tu sens tes yeux se retourner, une décharge électrique remontant sur ta colonne… Il entre et ressort en toi… Comme si tu ne contrôlais plus dès lors le mouvement de ta main, la pénétration étant entièrement sous mon désir. La vitesse de la pénétration s’accélère. Tu ressors entièrement le membre de ta petite chatte, écartant toujours les lèvres de quelques doigts. Puis je reviens à la charge, la vibration semblant augmenter légèrement toute seule.


Vulgaire, sans retenue, tu es assise sur le siège des toilettes. Ta culotte roulée en boule sur le sol de la cabine est toujours bien couverte de ton plaisir. Ta main se démène entre tes cuisses, mon membre artificiel te pistonne avec vigueur. Tu frottes ton clito… tu vacilles.

Tu suces rapidement le bout de tes doigts, tu les mordilles même. Tu t’empêches de crier. Tes cuisses se serrent et calent mon énorme membre au fond de toi. La vibration se poursuit de plus belle… et tu jouis. Tu frissonnes, et, en sueur, tu trembles de plaisir. En retirant le vibro de ta chatte, tu penses un moment à le nettoyer entièrement avec ta langue… pourquoi pas ?


Tu retournes t’asseoir à ta place. Tu trembles encore un peu. Le front en sueur, tu serres l’objet dans ton sac. La jeune femme à tes côtés semble s’être endormie la tête sur les genoux de son homme. Ton plaisir t’a épuisé.


Le soleil déjà couché, l’autobus poursuit sa route dans la nuit, vers ta destination étrange. Tu décides de fermer les yeux pour somnoler un peu… tu en as besoin j’imagine. Tu replaces instinctivement ta jupe, et croises tes mains sur toi… et tu t’endors.



L’Hôpital 2e partie – Toujours dans l’autobus



Tu es réveillée en sursaut. Quelqu’un t’a frôlé l’épaule en passant dans l’allée pour se rendre aux toilettes. Tu bâilles et tu regardes devant… la cabine de l’autobus plongée dans une étrange noirceur. La route est toujours aussi vague devant. L’obscurité entoure le véhicule dont seul le son du moteur confirme qu’il est toujours en mouvement.


Le Black n’est plus au-devant. Il vient d’entrer dans la cabine de toilette. À côté, tu restes surprise de ce que tu découvres. La jeune femme rousse et plantureuse ne dort visiblement plus. Sa tête remonte à petits coups près du ventre de son homme. Tu n’as plus de doutes sur ses activités. Elle avale à grand bruit la bite de son copain, lèche et aspire le gland, sa salive s’étendant sur tout le long de la tige rigide.


Tes paupières s’ouvrent. Tu tentes de distinguer le plus de la scène malgré la noirceur. La rousse replace ses cheveux, caresse d’une main les couilles, puis reprend vigoureusement sa pipe. Tu deviens soudainement fébrile. Ton ventre se réchauffe à cette vision si excitante. La jeune femme se déplace, elle est visiblement très excitée elle aussi. Son copain glisse sa main à l’intérieur de son décolleté, souriant silencieusement et extirpant un sein bien rond et alléchant de sous le soutif.


Tu entends à peine la femme gémir des caresses sur sa poitrine, ses tétons bien durs sont triturés entre les doigts agiles de l’homme. Elle glisse enfin sa main vers ses cuisses, remontant sa jupe pour se doigter.


Tu fais lentement la même chose. Tu glisses tes doigts sous ta jupe, la remontant à tes hanches… pour découvrir l’absence de ta culotte. Caressant ta chatte déjà à nouveau très humide, tu regardes la bite du gars disparaître entre les lèvres affamées de la femme. Sa salive luit sous la faible lumière, tout comme la mouille de son sexe qui se répand sur le siège et entre ses doigts.


Ta respiration se fait difficile, tu presses tes seins sous ta main, ta chatte brûlante désirant plus que tes caresses. Tu te demandes alors où peut bien être ta culotte.


Au même instant, le Black se pose une tout autre question. Tenant entre ses mains une queue énorme, bien gorgée d’excitation, il tient aussi ta culotte tout près. Il respire à fond ton odeur intime, regardant la récente tache que ta mouille a faite sur le dessin de Mickey Mouse. Sa bite se massant au creux de ses grandes mains… il se branle rapidement en imaginant la probable propriétaire de la culotte. Et il entend alors un court gémissement tout près de la porte.


Soudain, en entendant la porte de la toilette s’ouvrir, tu tentes de replacer ta jupe sur ta petite chatte, reprenant tant bien que mal tes esprits. Le couple voisin, lui, ne fait rien pour arrêter ses ébats. Les doigts de la rousse s’activent toujours sur son clito déjà en bonne voie d’exploser de plaisir.


Le jeune Black apparaît devant toi. Il a déjà rangé son membre, malgré l’énorme bosse qu’il forme sous le pantalon. Tu le regardes, surprise de le découvrir… puis découvre également la bosse. Tu hésites à dire quelque chose, le désir te déchirant le ventre.


Il s’assoit sans attendre à la place voisine. Et là, il lève sa main près de toi : ta culotte Mickey entre ses doigts. Tu peux alors sentir l’odeur enivrante de son jus. Tu te mords les lèvres. Jetant la culotte à côté, il prend ta main et vient la poser sur la bosse monstrueuse. Il te fait signe de le caresser. Tes doigts se crispent sur son sexe, tu sens bien la tige s’étirant sous le tissu, d’une longueur impressionnante.


Après quelques pressions de tes doigts, l’homme change vite d’avis et ouvre sa braguette pour t’exposer son vit. Tu te figes devant la beauté et la grosseur de son membre, l’eau à la bouche. Tu le branles d’abord lentement puis entames une rapide masturbation. Tu n’as pas le choix, il est si électrisant et excitant.

Tu lui permets en écartant les cuisses de placer sa main sur ton sexe et de te doigter à son tour. Ses doigts longs et épais se faufilent entre tes lèvres, excitant ton clito, pénétrant tes chairs moites. Tu n’as toujours pas le choix, tu dois même le branler à deux mains tellement il est gros, tes mains si petites.


De son autre main, il te penche la tête et t’invite, te recommande même de prendre la chose dans ta bouche. De son côté, la jeune rousse est penchée vers vous, les seins en dehors de son décolleté, les mains de son copain malaxant avidement et adroitement sa poitrine voluptueuse. Elle cambre ses reins vers lui, se positionnant tant bien que mal. Elle retient alors un long gémissement, la queue de l’homme la défonçant presque aussitôt. Sa chatte est si humide que seuls les clapotis de son excitation se font entendre près d’elle. L’homme arrive même à faire claquer silencieusement son ventre contre le bassin de sa copine.


Le Black, très excité, appuie de plus en plus sur ta tête. Tu avales comme tu le peux la tige épaisse, le gland se frayant un chemin entre tes lèvres. Tu le branles dans ta bouche soyeuse, ta langue en léchant tous les côtés, aspirant ce membre foncé et odorant. Tes lèvres se tordent sous la taille de la chose, tu regardes rapidement le Black, ce dernier fixant les seins de la rousse se balançant, sans que les mains de l’homme les retiennent.


La bouche pulpeuse de sa copine s’ouvre pour laisser passer l’air, sa respiration si rapide et pourtant silencieuse… Ses lèvres s’écartent sous de longs cris inaudibles de plaisir.


Le Black maltraite presque ta bouche, ses doigts alternant entre ta chatte et ton anus à peine dilaté. Tu espérais pourtant qu’il ne touche pas à ton petit trou toujours sensible depuis tes récents ébats. Tu serres les cuisses sur sa main, ne pouvant plus tellement contenir ton plaisir. Tes gémissements s’étouffent dans ta gorge, bloqués par la masse de chair entrant et sortant.


Alors tu retires un moment le membre de ta bouche, respirant de longues goulées d’air, branlant d’une main la tige visqueuse… Ta salive s’écoule sur son gland gonflé, un filament reliant tes lèvres à la chose. Le Black t’invite vivement à te relever et il t’emmène vers les toilettes.


À peine après avoir verrouillé la cabine, le Black te pousse vers l’avant, tirant brutalement ta jupe vers le haut. Sa main frotte sur ta chatte alors suintante. Tu te crispes, te retenant contre la paroi devant la cuvette. Tu cambres bien tes fesses et tu sens la bite énorme encore bien couverte de ta salive. Le gland chaud et poisseux se colle à ton entrée, et il pousse bien fort.


La tige s’insère avec effort en toi. Tu sens tes chairs s’écarter avec difficulté. Tu pousses de petits gémissements, déchirée de l’intérieur… Et là, il ressort, puis entre à nouveau, encore plus loin. Ses testicules claquent une fois contre ton pubis. Ta sueur s’écoule sur ton corps. Ta peau luisant dans l’obscurité, ta toison débordante de gouttelettes.


Ses mains s’agrippent sur tes fesses, il te pousse vers l’avant pour mieux te ramener vers sa bite ensuite. Tu sens l’énormité en toi, qui va-et-vient, qui te prodigue tant de plaisir et qui agrandit ta chatte. Tu n’entends plus rien d’autre que le son de ta propre respiration… Le Black à l’aspect si paisible est une véritable bête.


Ses doigts serrent si fort tes fesses que ses jointures blanchissent. Tu ne peux que te pencher encore plus vers l’avant, te cambrant toujours plus. Ses mouvements sont ceux d’un animal. Il grogne presque et respire bruyamment. Il se glisse près de ton oreille et te chuchote un paquet de trucs que tu ne discernes qu’à moitié.



Tu te tords de plaisir devant cette bestialité. Ses grandes mains se déplacent, l’une d’entre elles enserre bien fort ton sein droit. Ton téton est si dur que tu jouis presque à son contact. Tu te retiens contre la paroi, te balançant en avant et en arrière, les coups résonnent dans tout ton corps.

Tu jouis une seconde fois… ta chatte se serrant tant bien que mal sur cette masse de chair te pistonnant le ventre. Tu te crispes encore une fois, pousses d’autres gémissements. Le Black se retire et te retourne pour te faire face.


Tu sens l’énorme vide en toi, ta main se posant sur ta plote béante, un trou laissé par la chose. Le Black se branle devant ton visage, tu te branles encore et encore, la chaleur de ton ventre tarde à disparaître. Il pose une dernière fois son gland sur tes lèvres, un jet blanc et épais explose dans ta bouche. Puis un autre, et encore un autre. Une quantité incroyable se répand, tu arrives à peine à tout avaler. Se branlant encore un peu, le foutre cessant de s’écouler de son vit, il le range dans son pantalon et sort rapidement de la cabine.


Tu restes un moment seule dans la faible lumière de la toilette. Tes seins brûlent, tes pointes encore dures et sensibles. Tu te caresses encore du bout des doigts, ton clito lui aussi hyper sensible. Sur le bord de ta bouche, tu sens les restes du sperme odorant. Tu en as encore une bonne quantité sur la langue et sur les dents… Avalant le restant, tu te relèves pour replacer tes vêtements.


En sortant, tu constates que le Black a retrouvé sa place et son ordinateur. La rousse maintenant presque nue se branle à l’aide d’un gode. Ce dernier entre et ressort de sa chatte à une vitesse folle, ce qui te laisse constater que la bite de son copain lui pistonne l’anus. La vitesse et le silence de leurs ébats t’excitent à nouveau.


La jeune femme t’attire vers elle alors que tu reviens à ton siège. Posant sa main sur ton épaule, elle approche son visage du tien pour t’embrasser sensuellement. Ses lèvres pulpeuses caressent ta bouche et viennent récupérer le jus toujours présent sur ton menton. Sa langue s’insère dans ta bouche pour la nettoyer.



Au lieu d’attendre ta réponse, elle recule un peu et reprend ses caresses. Tu te cales dans ton siège, touchant légèrement ta chatte sensible. Tu regardes la fin de leurs ébats, te sentant toujours bien réveillée.


Tu te demandes alors combien de temps reste-t-il au voyage. Qu’est-ce qui peut bien t’arriver d’autre à bord de cet autobus ? Et que diable va-t-il t’arriver là où tu dois aller ?



À suivre…





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Erotisme torride

Tendre Amour

Bon Scénario

Belle Ecriture

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n° 12878maguy28/09/08
Une expérience échangiste
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20638 caractères      
Auteur : Maguy

À la suite de deux précédentes expériences narrées sur ce site (voir « Mon mari est mon amant » et « Crudités de saison »), je n’avais fait qu’effleurer la question de l’échangisme. À 49 ans, il me semblait que c’était le moment ou jamais d’aborder franchement cette forme de relation sexuelle. Je me sentais suffisamment mûre et sereine, encore bien dans mon corps et toujours à l’aise dans ma tête. Restait le plus difficile : convaincre mon mari. Oui, je sais, en général, c’est l’inverse qui se produit. Mais voilà, nous sommes en 2008 et les femmes ne sont plus ce qu’elles étaient, ma bonne dame et mon bon monsieur !


Au cours d’une discussion familiale autour d’un poulet du dimanche, en compagnie de mon beau-frère et de ma belle-sœur, le sujet était venu sur le tapis. Je l’avais lancé, un brin provocante, histoire de voir comment mes commensaux allaient réagir. À ma grande surprise, mon beauf et sa femme échangèrent un sourire complice et, après quelques sous-entendus, lâchèrent le pavé dans le poulet :



Mon mari regarda sa sœur, la fourchette en l’air et la bouche bée. Il n’en croyait pas ses oreilles.



La discussion embraya sur ce thème. Ma belle-sœur, prénommée Annie, était intarissable. La quarantaine rayonnante, bien installée professionnellement, elle assurait que cette expérience, entamée il y a une dizaine d’années (eh oui !), avait contribué à son assurance. Son mari, Alex, affirmait qu’il avait gagné en virilité. Bref, mon mari et moi, nous nous sentions comme deux ploucs. Surtout moi.



Un ange passa. Mon mari ne réagissait pas.



Mon mari finit par accepter, à condition de bien s’en tenir à un rôle d’observateur. Et que je sois bien sage…


Deux semaines plus tard, nous entrions dans une belle demeure retirée dans les environs de notre ville, au milieu d’un petit parc. Annie nous avait expliqué qu’il ne s’agissait pas d’une véritable boîte échangiste, mais d’un lieu privé tenu par des hôtes libertins qui ne recevaient que sur parrainage. Dans les faits, cela revenait à peu près au même. Une espèce de majordome à la virilité ostentatoire nous reçut pour nous conduire à un étage. C’était un genre de mezzanine qui faisait le tour d’un patio, au milieu duquel se trouvait une grande piscine équipée de transats et de tapis de sol. Ce patio était couvert, mais ce jour-là, la verrière était ouverte.



Annie et Alex nous conduisirent à notre table, qui dominait la piscine. Ils avaient salué pas mal de monde en route. Visiblement, ils étaient comme chez eux. Elle portait une robe fendue jusqu’à la taille et très largement décolletée dans le dos, qui révélait l’absence de soutien-gorge ; lui, une chemise ouverte et un jean. Ils nous avaient conseillé d’adopter une tenue discrète, si nous ne voulions pas être importunés. Moyennant quoi mon homme était en costard et moi en tailleur. On jurait un peu.


Après avoir grignoté quelques tapas et bu quelques rosés d’Anjou, je me demandais si nous étions dans une soirée mondaine ou dans un lieu conçu pour le sexe. C’est à ce moment que quelques baigneurs firent leur entrée en bas, à la piscine. Entièrement nus. La trentaine, plutôt bien faits. Ils entrèrent avec précaution dans l’eau, nageottèrent, et commencèrent enfin à se toucher. Une autre fille se hissa sur le bord de la piscine et écarta les jambes, invitant un homme à venir la lécher. C’était parti. Les conversations au premier étage s’arrêtèrent. En bas, l’ambiance était aux préliminaires. Une dizaine de personnes se caressaient, se suçaient, se léchaient, s’embrassaient aussi. Puis vint la première pénétration et la piscine se transforma très vite en baisodrome. Certains copulaient dans l’eau dans un grand clapot, d’autres sur le bord, les filles couinaient, les hommes ahanaient.



Moi, je commençais à avoir très chaud dans mon tailleur, mais pas question d’aller me joindre à cette orgie aquatique sans mon mari, qui continuait d’observer les débats avec intensité, sans parler. J’avoue que j’avais hâte de voir la sœur de mon mari en action. Mais ils se firent attendre. Je me demandais s’ils ne s’étaient pas arrêtés dans un salon, quand je les vis apparaître avec un autre couple d’âge mûr. Ils avaient dû discuter au rez-de-chaussée. Je remarquai que l’homme qui les accompagnait était déjà en érection. Avait-il été sucé par Annie ? Celle-ci le prit par la main et le conduisit à un transat où elle s’allongea, les jambes largement écartées, offerte. L’homme fourra son museau dans sa chatte et les mains de ma belle-sœur se crispèrent sur sa nuque. À côté de moi, je sentais mon mari de plus en plus nerveux.



Je cherchai Alex des yeux. Il était dans la piscine avec la femme qui l’accompagnait à l’entrée. Leurs jeux préludaient à l’amour. À côté d’eux, un homme possédait une femme en la collant contre le mur de la piscine. Mais je revenais à Annie et son amant, qui s’apprêtait maintenant à la pénétrer, les bras tendus en appui sur le transat. Quand il fut en elle, une onde de chaleur parcourut mon bas-ventre. Annie verrouilla les reins de son partenaire et lui planta ses talons en haut des fesses pour se le mettre bien profond. C’en était trop pour mon mari, qui se leva et quitta la table, moi lui courant après de peur qu’il me plante là. Dans la voiture, il ne desserra les dents que sur la fin du voyage.



On en était resté là. Nous nous étions rencontrées quelques jours plus tard avec Annie pour évoquer cette première expérience ratée. Elle me confirma que l’homme avec lequel elle avait fait l’amour était une relation ancienne du couple et qu’ils avaient appris à se connaître avec le temps.



La proposition me tentait. Avec Annie, je ne risquais pas le coup tordu. C’était aussi un bon moyen d’obliger mon mari à être en accord avec ses idées.



En fait, tout se passa beaucoup plus facilement que prévu. Alex avait dû présenter habilement la chose à son « beauf ». Le soir convenu, ils étaient partis voir un match de foot et nous avaient laissées libres. Je n’en revenais pas. Pour un peu, je me serais dégonflée au dernier moment. Mais Annie ne me laissa pas le choix :



Cette fois, pas question d’un tailleur strict. Annie me fit visiter sa garde-robe et me proposa un délicieux fourreau en soie qui soulignait jusqu’à la raie des fesses :



Elle opta pour un vêtement semblable, si bien qu’on avait l’air de deux sœurs dévergondées en goguette.


En entrant dans le parc, j’étais déjà excitée comme une pucelle et Annie fut obligée de me calmer :



Les deux couples nous attendaient à table. Il y avait l’homme et la femme que j’avais déjà vus à l’œuvre la première fois avec mon beau-frère et ma belle-sœur. La cinquantaine distinguée, parfaitement conservée, à l’image de la femme que je n’avais pas bien observée la première fois, et dont la prestance me rappela une présentatrice connue de la météo à la télé. L’autre couple était dix ans plus jeune. L’homme me plut d’emblée, avec ses cheveux ras, sa barbe finement taillée et ses mains puissantes. La femme, brune aux cheveux coupés au carré, semblait discrète, effacée, presque déplacée en ce lieu. Les deux hommes fixaient mes obus moulés de soie avec une intensité sans équivoque. Je compris tout de suite qu’ils voulaient me baiser.


Avec sa gouaille habituelle, Annie s’ingénia à détendre l’atmosphère, déjà assez chargée d’érotisme. Les tapas furent vite expédiées. Plutôt que de rester au-dessus de la piscine où les premiers couples apparaissaient déjà, elle proposa de descendre dans un salon où une musique invitait à la danse. Un slow, évidemment. Le plus jeune des deux hommes, prénommé Ivan, m’invita. Ses larges mains se posèrent sur mes fesses charnues, comme pour en apprécier les rondeurs. Après les tapas, les appas. Je le sentis durcir. Moi-même, je n’étais pas sèche et j’imaginais qu’il devait apprécier les deux petites excroissances raidies au bout de mes seins contre son abdomen. Mais l’autre homme, Félix, lui tapa sur l’épaule pour lui demander de laisser la place et me voilà repartie pour un autre tour de piste. Mon regard attrapa Annie qui, assise sur une banquette, s’offrait un jeu de langues avec la femme de Félix pendant que celle d’Ivan (oui, la timide) disparaissait sous la table, la tête entre les cuisses de ma belle-sœur. L’atmosphère devenait chaude, et un autre couple apparut, très intéressé par la scène saphique que je viens de décrire.


Pour dire les choses crûment, j’avais de plus en plus envie de pénis. Comme les deux hommes se montraient empressés auprès de moi, je voyais même le moment arriver où j’aurais deux phallus pour le prix d’un. L’un d’eux prit le fourreau de soie par en bas, le roula, le replia et le fit passer par-dessus ma tête après m’avoir fait lever les bras. J’étais nue. Totalement nue. Sauf les escarpins. Et mon alliance. J’eus une brève vision de mon mari sur un gradin de stade, au moment où je fus soulevée de terre et déposée avec précaution sur une sorte de lit romain. Une langue agile et chaude prit possession de mon intimité au moment où une queue épaisse, parfaitement décalottée, raide comme une branche, surgit sous mon nez.



Je suçai, et sans me faire prier en plus. À la seconde précise où j’embouchai ce membre puissant, je devins échangiste. La suite ne pouvait être qu’une confirmation. La langue qui me fouillait au même moment devenait de plus en plus envahissante. Presque comme un sexe. Comme j’ondulais, Ivan sentit que le moment était venu de me pénétrer. Je délaissais la queue de Félix pour me concentrer sur le visage de l’homme qui venait d’entrer en moi, et qui n’était pas mon mari. Je le fixai droit dans les yeux. Peut-être y vit-il une lueur de défi à sa virilité, car ses coups de reins se firent plus profonds, plus denses. Félix avait disparu pour me laisser en tête-à-tête, si l’on ose dire, avec ce mâle puissant, bien décidé à me faire jouir. Il me retourna pour une séance de levrette qui dura un long moment, peut-être justement parce que cette position permettait à mon amant de durer tout en appréciant les rondeurs de mes hanches. Lorsqu’il interrompit son va-et-vient, il était en nage et je ruisselais moi-même. Pas seulement de transpiration. Il s’assit sur le lit, la queue fièrement dressée :



Prenant appui sur ses genoux, face à la petite salle, je me fourrai le pieu sans difficulté dans ma vulve béante et entamai un roulement de hanches. En face de moi, ma belle-sœur chevauchait Félix. Elle allait vers la bite avec une telle ardeur que je pouvais presque entendre le membre viril cogner contre le fond de sa matrice. Ses seins tressautaient à chaque impact, tout son corps vibrait, ses brames emplissaient le lieu. Elle dominait totalement l’homme, lui imposait son rythme, le soumettait aux circonvolutions de son cul en folie. J’enviais la souplesse de ses reins et me mis moi aussi à guider la queue dans les recoins de mon intimité surchauffée. Mon mâle à moi poussait le raffinement jusqu’à doigter mon anus tout en me limant. Je ne m’appartenais plus vraiment.



C’est alors qu’un homme apparut, la queue dressée, face à moi, pour que je le suce. Mais seul Ivan m’importait. Je voulais l’essorer, le vider, avoir ses couilles pour moi seule. Je le pris par la main :



La piscine n’était plus qu’un lupanar aquatique. Des couples s’enfilaient dans un mètre d’eau. Des femmes en suspension buvaient la tasse avant de ressortir la tête en crachant. D’autres femelles s’accrochaient aux échelles pour mieux renvoyer la balle aux boules. La plupart baisaient là où l’eau effleurait les marches d’entrée dans le bassin. Je remarquai que beaucoup de femmes se faisaient doigter. À l’évidence, ces messieurs cherchaient à souffler après avoir éjaculé. Un bac à sable était rempli de préservatifs oblitérés.


Mon partenaire m’entraîna en me tenant par la main et l’eau me parut un peu fraîche. Il se colla à mon dos pour me réchauffer et je sentais sa queue contre mes fesses pendant qu’il empaumait mes seins, les soupesait, les flattait et titillant leurs pointes durcies. L’homme m’entraîna vers un transat disponible. Nos peaux humides s’appelaient irrésistiblement. Il me fit allonger, me prit les chevilles, écarta mes jambes et se plaça à genoux pour me pénétrer. Ma vulve aspira littéralement sa queue. Je me sentis écartelée mais totalement ouverte et disponible. J’aurais simplement aimé un peu plus d’appui pour mieux riposter mais c’est lui qui menait la danse. Je vis alors que beaucoup de monde nous regardait mais je n’en avais cure. Je voulais baiser, point barre. J’étais venue pour ça. C’est alors que mon partenaire m’imposa de me mettre à quatre pattes :



À ma grande surprise, il se vexa. Il me laissa tomber comme une vieille bouée et se retourna vers une gamine qui le regardait avec des yeux énamourés et le suça illico. Revers de l’échangisme. J’aurais pu chercher fortune n’importe tout ailleurs mais l’épisode me refroidit. Et d’ailleurs, j’avais un peu froid. Je cherchai Annie. Vannée, elle pionçait sur un lit dans une chambre jouxtant le salon où je m’étais déchaînée, en compagnie d’une rombière qui avait dû dépasser ses propres limites. Toutes deux étaient évidemment à poil. Le lit étant vaste, je les poussai et me laissai aller à mon tour à un petit somme. J’avais besoin de récupérer.


Ce fut Annie qui me réveilla. Cette fois, elle était rhabillée et m’apportait mon fourreau laissé quelque part à l’abandon :



J’avais dormi trois heures ! Cette frénésie sexuelle n’était visiblement plus de mon âge. De fait, la piscine était vide désormais. Quelques couples s’étaient isolés ici ou là. La gamine qui m’avait piqué mon mec s’ouvrait à un costaud à lunettes, pliée en deux, les talons sur les épaules du mâle :



Dans la voiture, au cœur de la nuit, je me demandais quel accueil allait me réserver mon mari footballeur. Je jouais pourtant la fière :



Toute fière, elle m’annonça qu’elle avait joui trois fois dans la soirée avec trois partenaires différents :



J’admirais sa liberté de corps et d’esprit et je n’étais pas sûre d’échapper à un profond sentiment de culpabilité une fois rentrée chez moi.


En arrivant, toutes les lumières étaient éteintes, sauf celles de notre chambre conjugale. Mon mari dormait la télé allumée. Il avait dû plonger dans le sommeil en m’attendant. Il dormait nu, comme d’habitude, mais sur le dos, ses copieuses parties génitales bien étalées entre ses jambes écartées. J’étais encore sous l’excitation du plaisir ressenti quelques heures plus tôt et une onde de chaleur me brûla le bas-ventre. À peine déshabillée, je rampai sur le lit, relevai le pénis au repos et entrepris de lécher les couilles bien pleines et si généreusement offertes. Mon mari eut un sursaut mais me laissa faire dans son demi-sommeil. Je jouais avec les bourses et sentis le membre grossir dans ma main pour devenir ce que j’avais appelé depuis longtemps sa « matraque ». Le gland rose et gonflé ne tarda pas à occuper mes joues. Mon mari me tira par les cheveux :



Cette fois bien réveillé, il se rua en moi comme un faune en rut avec une telle vigueur que je me demandai s’il n’allait pas me transpercer de part en part avec sa matraque.



Ce n’était pas la première fois que mon cher et tendre devenait vulgaire en me baisant, mais cette fois son déchaînement dépassait les précédents. Et aussi étonnant que cela puisse paraître, cela me plut. Cela me plut même beaucoup. Je lui griffai les épaules, les flancs, les fesses en couinant de protestation pendant qu’il me ramonait jusqu’à mon tréfonds en me houspillant. Sa virilité féroce me mettait en pâmoison. J’en redemandais et il s’en rendait compte, le salaud ! Il me retourna comme un coussin, mouilla mon anus de son doigt humide et me sodomisa pas tout à fait dans les règles de l’art. Je hurlai de douleur mais accompagnai le mouvement et très vite, je sentis ses couilles battre contre mes fesses. Ce contact me subjugua et un orgasme dévastateur me prit des orteils à la nuque. Il se retira et éjacula copieusement sur mon visage après m’avoir une nouvelle fois retournée. Quelle giclée ! J’en avais jusque dans les cheveux. Je me dis in petto que mon homme avait encore les moyens de procréer, mais la question du moment n’était pas là. Il devint soudain très tendre, comme s’il avait expulsé son agressivité avec le foutre. Il me prit dans ses bras, éteignit la lumière, et on s’endormit ainsi jusque tard dans la matinée.


Le lendemain, j’hésitai à aborder le sujet échangisme au petit-déj’, encore tout entière à nos ébats torrides de la nuit. Mais comme il m’interrogea, je lui racontai sommairement mon expérience, insistant sur le côté baise aquatique et laissant prudemment de côté la frénésie érotique de sa sœur.



Et sur ce, débarrassant rapidement les vestiges du petit-déjeuner, ôtant son peignoir et exhibant son membre tendu, il me prit là, sur la table, pour mon plus grand plaisir…





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n° 12912Humoureux11/10/08
La collègue de ma femme s'éclate dans un club échangiste
critères:   ff fhh grp extraoffre grossexe soubrette voir lingerie fellation pénétratio échange partouze init -boitenuit
16272 caractères
Auteur : Humoureux

Hélène, ma femme, me relance une nouvelle fois !



Au fond de moi-même, je meurs d’envie de découvrir ce milieu, même si voir ma femme se faire sauter par un inconnu me gêne, mais il faut bien que je donne le change…



Aussitôt dit, aussitôt fait. De fait, la présentation est assez "classe". L’endroit paraît confortable, chaleureux, bien décoré, très intime. Quelques photos des lieux et de récentes soirées nous rassurent à priori.



Les jours passent trop lentement à mon gré, tant j’ai hâte de pouvoir satisfaire ma curiosité. Même si, parfois, j’angoisse un peu, ignorant tout de ces soirées et de la tournure qu’elles peuvent réellement prendre.


Arrive enfin le samedi. Déjeuner rapide. Puis Hélène m’abandonne pour rejoindre sa grande copine Janine.



Ma ponctualité légendaire me fait arriver à l’heure chez Janine. Elle m’ouvre la porte et me gratifie d’un chaud bisou.



Janine et Hélène ont bien fait les choses. Le champagne est au frais dans un seau plein de glaçons. Deux plateaux de toasts maison me mettent en appétit.


Tout en dégustant le champagne, j’observe ma femme et sa copine. À l’évidence, elles sont allées toutes les deux chez le coiffeur. L’une et l’autre portent une tenue classique : robe noire étroite, collier de perles, bas noirs en soie, chaussures à hauts talons. Leurs robes moulantes laissent deviner des porte-jarretelles. Un excellent point ! Je me perds un peu dans mes rêveries. Janine les interrompt :



Nous prenons la direction de l’autoroute de Normandie. La voiture embaume du 5 de Chanel dont toutes les deux se sont aspergées. Elles avaient vraiment décidé de me prendre par les sentiments. Ouahhh…


Une fois l’autoroute quittée, direction la vallée de Chevreuse, une petite route en lacets puis un chemin bordé d’arbres nous mènent à un portail fermé.



Une fois entrés dans le parc, après un détour, nous arrivons devant une chaumière discrètement éclairée par des torches. Quelques voitures stationnent déjà. Plutôt haut de gamme : coupés BMW, Mercedes, 4x4 Porsche, même une splendide Ferrari. C’est quand même assez rassurant. Nous n’allons pas nous retrouver dans une soirée de hippies !


Un valet très classe, gilet rayé, gants blancs, nous ouvre la porte et nous invite à passer au vestiaire. Accueil des propriétaires des lieux. Lui en smoking blanc, elle dans une robe longue noire qui lui moule le corps à merveille et laisse supposer une poitrine de rêve. À l’évidence, elle ne porte pas de soutien-gorge.



Le maître des lieux nous laisse entre les mains d’un couple habitué des lieux.


Les présentations sont faites, baisemain à la clé pour les dames. Patrick, élégant quadragénaire, architecte, nous présente à sa femme Mado, tailleur Chanel, boucles d’oreilles en or, superbes bagues, sac Chanel. À priori, rien de la partouzeuse… Après avoir échangé quelques banalités, nous allons prendre un verre au bar, tout en saluant les autres couples présents. Champagne, whisky, porto, gin, cocktail maison… Tout pour se mettre dans l’ambiance sur fond de musique douce jouée par un pianiste hors du temps.


Un buffet, dressé devant la cheminée, nous permet de nous restaurer. Caviar, saumon fumé, foie gras, brochettes, mini sandwiches… La soirée se présente bien, ma foi !


Pour nous mettre dans l’ambiance, le service est assuré par deux mignonnes soubrettes habillées comme il se doit (si ce n’était un décolleté provoquant !) et par deux splendides noirs vêtus d’une chemise blanche et d’un pantalon blanc moulant qui ne laisse guère de doute sur leur anatomie généreuse. De quoi faire fantasmer les dames !


Un deuxième buffet de desserts somptueux, arrosés au champagne, avec de délicieux cafés italiens, achève de nous mettre dans une douce ambiance propice à une soirée pleine de surprises.


Le pianiste commence à jouer une valse. Le maître des lieux donne le signal en venant inviter Janine, qui rougit. Je ne résiste pas au plaisir d’inviter sa femme et, tout en la prenant dans mes bras, je découvre que son dos est complètement nu. Ma surprise la fait éclater de rire ! Hélène aussi qui ne tarde pas à rejoindre la piste, toute heureuse de pouvoir m’observer !


À la valse succèdent plusieurs slows plus langoureux les uns que les autres et qui permettent aux couples de se faire et se défaire, afin de faire plus ample connaissance, en tout bien tout honneur ! La série de slows terminée, alors que les lumières se sont progressivement faites plus discrètes, la maîtresse des lieux invite les dames à passer quelques instants au vestiaire :



Nous entrons dans une petite salle faiblement éclairée, au milieu de laquelle trône un grand lit rond entouré de plusieurs fauteuils confortables et de sofas de dimensions variables.


Une fois confortablement installés, nos deux soubrettes entrent dans la pièce, se glissent langoureusement sur le lit et entreprennent un numéro lesbien de tout premier ordre. Après avoir échangé quelques baisers langoureux, elles commencent à se déshabiller avec une lascivité qui ne laisse pas les spectateurs indifférents. Au bout de quelques minutes, il ne leur reste plus que le string qu’elles s’enlèvent à tour de rôle avec les dents tout en se caressant les seins, l’occasion d’engager un cunnilingus torride. De quoi nous faire patienter et presque oublier le retour de nos femmes…


Le temps que nos deux soubrettes mettent un point final à leurs ébats saphiques et voici les femmes qui reviennent, escortées par les deux noirs, la chemise grande ouverte !


Je retrouve ma femme Hélène et sa collègue de bureau Janine, bras dessus bras dessous, vêtues toutes les deux d’une guêpière avec redresse-seins, ma femme en blanc, Janine en noir. Leurs poitrines sont admirablement mises en valeur et j’avoue être assez fier des seins de ma femme, même si sa collègue a des seins plus volumineux et d’une excellente tenue. Les maquillages ont été accentués. Les porte-jarretelles qui avaient attiré mon attention prolongent les guêpières et retiennent les magnifiques bas de soie qu’elles portaient déjà à mon arrivée. On dirait deux sœurs, tant leurs tenues sont semblables. Je suppose qu’Hélène a emprunté une guêpière à son amie, d’autant que leurs mensurations sont similaires !


Fasciné par les tenues sensuelles d’Hélène et Janine, je ne porte qu’un œil distrait sur les tenues des autres dames. Les bodys ouverts alternent avec les déshabillés transparents laissant deviner un mini string. Le soutien-gorge ouvert en cuir se porte également très bien avec une culotte ouverte du même cuir. C’est un vrai festival de dessous coquins, voire érotiques.


Les deux noirs commencent une samba effrénée sur le lit autour duquel toutes ces dames se sont assises. À leur tour de bénéficier du spectacle. Les chemises s’envolent. Les pantalons s’ouvrent lentement, histoire de faire saliver ces dames. Rapidement, nos deux noirs ne portent plus qu’un mini string fluo qui a beaucoup de difficulté à cacher leur sexe déjà bien tendu. L’un des deux noirs s’agenouille devant Janine et l’invite à lui caresser le sexe. Janine ne peut éviter un petit cri d’admiration, redoublé quand le sexe, toujours à l’abri dans le mini string, s’approche de son visage.


Janine n’hésite pas un seul instant : elle saisit le sexe en érection, le sort du string et le porte à sa bouche afin de le sucer avidement. Sa voisine essaye vainement de partager le plaisir avec elle. Mais Janine, avide de sexe, ne lâche pas sa proie et l’enfonce au plus profond de sa bouche, goulûment.


Le deuxième noir est renversé sur le lit, à côté de son compère, et plusieurs femmes s’acharnent sur lui afin de le déshabiller entièrement, de le caresser, de le sucer, à tour de rôle. L’occasion d’honorer de tels sexes est en effet assez rare !


Je me suis installé derrière Hélène et lui caresse les seins dont les tétons sont en pleine érection. À l’évidence, le spectacle l’excite autant que moi, d’autant que nous avons maintenant devant nous les jambes et les fesses largement écartées de Janine, toujours en train de sucer goulument son noir. Ses lèvres se sont gonflées et quelques gouttes d’excitation commencent à perler de son sexe.



À ce moment, nous sommes rejoints par le couple qui nous a fait les honneurs du club. Mado, vêtue d’un body noir lui moulant parfaitement les seins, s’assied à côté d’Hélène et se penche sur son épaule. Patrick s’approche de nous et nous glisse :



Il s’approche de Janine, lui adresse un sourire sans équivoque tout en se masturbant. Janine, toujours en train de sucer le noir, regarde le sexe en érection de notre nouvel ami, le prend en main et commence à le branler au rythme de ses succions. Discrètement, le noir se retire de la bouche de Janine et invite notre ami à prendre sa place, ce que ce dernier accepte sans hésitation.


Mado se fait de plus en plus tendre avec Hélène et j’observe le manège avec un petit sourire, tout en poursuivant mes caresses sur les seins de ma femme. Je tiens, pour l’instant à marquer mon territoire. Mais mal m’en prend car Mado m’attrape les mains, avec un regard qui ne souffre pas la discussion, les plaque sur ses seins et se met à caresser avidement les seins en exhibition d’Hélène.


J’avoue que je ne puis résister à la chaleur des seins de Mado, au travers de son body. Pourquoi se gêner ? Puisqu’elle s’intéresse aux seins de ma femme pendant que son mari se fait besogner par Josiane, autant en profiter. J’écarte donc le body et fais sortir cette paire de seins un peu lourds, dont les aréoles se sont empourprées sous l’excitation. Emporté par l’élan, je les caresse de plus en plus fort, je les malaxe, ce qui a le don d’exciter Mado, qui passe un bras autour du cou de ma femme et se met à lui sucer, mordiller les seins.



De fait, il fait si chaud et tout un chacun s’est déshabillé. À mon tour donc de me retrouver en caleçon, le sexe déjà bien excité.



Il est vrai que nous avons toujours, tous les trois, une vue imprenable, malgré la pénombre, sur le sexe grand ouvert et brillant d’excitation de Josiane. Mais je préfère laisser cet honneur à notre ami qui apprécie à sa juste valeur la fellation à laquelle il a droit.


Hélène, qui ne semble plus trop conserver sa maîtrise d’elle-même, se laisse entraîner sur le lit par Mado. Les deux femmes y roulent, à côté de Josiane et de son partenaire du moment. Mado embrasse de plus en plus violemment ma femme et s’applique à la débarrasser de sa magnifique guêpière, non sans lui avoir auparavant détaché le bas des jarretières.


Les deux corps sont intimement enlacés, Hélène arrache littéralement le body de Mado et les deux femmes sont maintenant nues ; seuls les bas d’Hélène lui laissent un soupçon d’intimité ! Je me sens un peu seul, au bord du lit, même si deux couples plus ou moins occupés sur les sofas s’intéressent de temps en temps à la scène.


Je tente de me glisser discrètement contre les deux femmes. Mais Mado m’intime de m’éloigner non sans m’avoir fermement pris les parties, histoire de dire : pas de ça, jeune homme…


Janine, qui a tout compris de ce qui vient de se passer à côté d’elle, me fait gentiment signe de la rejoindre. Elle me tombe le caleçon et me suce avec délicatesse. Elle a bien compris que si elle accélère de trop, je vais vite jouir !


À tour de rôle, elle s’intéresse à notre nouvel ami et à moi. J’ai ainsi l’occasion d’observer les deux femmes, dont la mienne, qui font honneur au code d’accès de la grille d’entrée et s’accordent un soixante-neuf d’anthologie. À l’évidence, Hélène a tout oublié de nos accords de départ…


Janine, qui ne veut pas être en reste - et qui est venue pour ça ! - invite notre ami à mettre un préservatif et à la pénétrer.


Me voici maintenant allongé à côté de ma femme en plein délire érotique avec une autre femme. Notre nouvel ami a pénétré sauvagement Josiane, qui ne peut plus maîtriser maintenant la fellation dont elle m’honore. Patrick meurt d’envie de sodomiser Janine, après lui avoir allègrement mis un puis deux doigts dans sa petite rose. Mais Janine s’y refuse…



J’apprécie la délicate attention… Et elle reprend sa fellation jusqu’à ce que j’explose dans sa bouche.

Notre ami se vide à son tour dans son préservatif, tout en poussant un petit cri significatif qui ne semble guère perturber ma femme et sa nouvelle amante.


Janine se couche alors sur le dos et nous invite, les deux hommes, à venir lui caresser les seins avec nos sexes encore un peu en érection et couverts de notre jouissance. Pendant ce temps, nos deux femmes tombent d’épuisement, dans un grand éclat de rire, après un nouvel orgasme.


Et dire que ma femme et moi étions venus dans ce club pour être de simples spectateurs !!!



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n° 12568Tout est vrai ! Je le jure !15/05/08
Ma première orgie ou le jour où j'ai tout compris au sexe.
critères:  fffh grp couleurs frousses grossexe bateau collection facial fellation cunnilingu fgode fist pénétratio fsodo hsodo partouze gangbang pastiche humour -humour -totalsexe
17193 caractères      
Auteur : Patrick R. D.      Collection : Mes premières fois

Dans un précédent texte, j’avais eu le plaisir de partager avec vous mon initiation au sexe (une histoire vraie frelatée dans le texte modestement intitulé "Mon initiation, où le jour où j’ai compris les femmes"). Vu qu’on ma souvent demandé une suite (si si, on me l’a vraiment demandée), la voici donc. Bien entendu, tout ce qui suit est véritablement et véridiquement vrai ! Cependant, par respect pour les personnes concernées, j’ai changées le nom des jeunes femmes qui apparaissent dans l’histoire (en fait, c’est surtout que je ne me souviens plus du nom de ces cochonnes).


L’histoire se passe un an après ma merveilleuse initiation au sexe avec une amie de ma mère. Entre temps, j’avais eu de multiples aventures sexuelles, avec environ une centaine de jeunes femmes, mais jamais encore avec plusieurs en même temps. À nouveau, je commençais à m’inquiéter et me demander si j’étais normal. C’est vrai, j’ai toujours été un peu timide, et même si j’avais réussi à vaincre ma timidité en devenant un homme, tardivement, puisque j’étais resté puceau jusqu’à mes dix-huit ans, je restais au fond de moi un peu timide. Et là, je me posais des questions, car à dix-neuf ans, je n’avais toujours pas participé à une partouze ! Heureusement, grâce à un heureux concours de circonstances, ma vie devint normale lors de ce superbe mois de juin.


J’avais décidé d’arrêté mes études car sa ne serre à rein. Vu que j’avais été jusque en seconde, j’avais a pris tout ce qu’il m’été utile de l’apprendre. J’avais bien compris que on apprener rien à les colles. Et donc, alors que tous les autres jeunes de mon âge étaient encore bloqués dans des salles de classe au lycée, ou pire, à l’université, j’avais la chance de passer une semaine de vacances à Saint-Tropez. La mega classe ! J’y étais invitée par une autre amie de ma mère qui appréciait beaucoup ma compagnie. Un jour, m’ennuyant un peu, j’étais parti me balader sur le porc. Là, las, je tombais sur une véritable colonie de cochonnes. Ah la la ! Un magazine organisait une séance de photos sur un yacht avec une bonne dizaine de mannequins anorexiques, et elles ne portaient rien d’autre que de minuscules maillots de bains. C’était incroyable. Alors que je me trouvais sur le quai, près du bateau, la bouche ouverte, un filet de bave dégoulinant sur mon ticheurte, un homme, parce qu’il y en avait quand même deux sur le bateau aussi, m’appela par mon surnom :



Je montais aussitôt sur le superbe yacht, sous les regards pleins d’envie des tops models. Je ne savais pas ce que me voulait le photographe (j’avais deviné qu’il était le photographe car il avait un énorme appareil autour du coup), mais je me doutais que voyant mon physique de rêve, il avait pensé à me voir poser au milieu de ces superbes jeunes filles. Je précise qu’elles portaient uniquement des bikinis, d’ailleurs particulièrement petits. Je n’en croyais pas mes yeux, ni même mes oreilles.



Il me montra une espèce de grand truc en papier aluminium brillant et me dit de le tenir au-dessus de ma tête, sur le côté. C’était pour éclairer les filles, mais il y avait du soleil et en plus pas d’ampoule dans ce grand réflecteur, je n’ai pas compris à quoi ça servait, mais il avait l’air content et ça faisait rire les filles et comme on dit, fille qui rit est à moitié dans ton lit. Et là, elles étaient dix à rire ! Les salopes ! Elles étaient là, à poser les unes contre les autres, nues sous leurs maillots de bain, n’attendant que moi… Je me souviens parfaitement de toutes ces filles. Rien que d’y repenser, j’ai une érection de vingt-cinq centimètres.


Dans l’ordre, de la gauche vers la droite, à moins que ce ne soit l’inverse, mais ce n’est pas très grave, il y avait deux blondes très minces, avec de tout petits seins, une brune encore plus mince, carrément maigre, une autre brune, mais bizarrement avec des seins normaux, mais très maigre elle aussi, une fille à la peau matte et aux cheveux noirs, mince, moins maigre que les autres et avec des jolis seins pas trop petits, une fille aux cheveux courts en bataille, je ne sais plus la couleur des cheveux, on dira qu’ils étaient roux, mais elle avait des fesses bien rondes, une fille à la peau noire, très maigre, qui n’avait quasiment pas de seins, et puis une autre blonde, aussi mince que les autres, et enfin une métisse superbe, c’était ma préférée à ce moment, avec un corps musclé de sportive très joli et des jolis cheveux frisés.


En fait, vous l’aurez compté, ça ne faisait que neuf filles, mais j’aime bien dire dix parce que c’est plus rond et plus parlant que neuf. J’aurais pu affabuler et en rajouter une, mais je préfère rester honnête et rester dans l’exacte voracité des faits. Tenir le réflecteur était vraiment un boulot à la portée du premier abruti venu. Je me chargeais donc de ce travail avec brio. Il suffisait de le tenir levé toujours dans le même sens et pendant ce temps, je n’avais rien d’autre à faire que de mater les filles tranquillement. Le photographe leur faisait enchaîner les poses et parfois certaines partaient se changer et revenaient avec un bikini toujours aussi petit mais dans une autre couleur.


A un moment, Melissa, métisse d’Ibiza, revint avec un string ficelle dont ladite ficelle disparaissait totalement entre ses deux magnifiques globes fessiers. J’en restais bouche bée. Elle se retourna vers moi et put constater l’effet que me fessait cette belle paire de fesses. La séance photo était finalement très longue et je commençais à fatiguer à tenir ce grand truc les bras tendus au-dessus de ma tête. Je le dis au photographe qui trouva que le moment tombait bien pour faire une pause. Rapidement, une des blondes vint me voir pour me proposer un petit massage des épaules pour me remettre de mes efforts. Bien évidemment, j’acceptais. La blonde, qu’on appellera Ingrid, me dirigea vers un transat et me dit de m’y allonger. J’ôtais mon ticheurte (oui, un ticheurte, pas un T-shirt, c’est Word qui le dit !) et m’allongeais sur le dos.



Je m’allongeais et me laissais aller. Ingrid commença alors un massage par mes épaules, mais je sentis rapidement deux autres mains me masser les chevilles et remonter lentement le long de mes jambes musclées. La blonde descendait vers le bas de mon dos et quand j’ouvris les yeux, Melissa, la jolie métisse se trouvait devant moi, seins nus elle aussi et se mit à participer à la fête. Sur le transat à côté, une autre fille en massait une autre, et elles étaient déjà complètement nues.



Il y avait heureusement d’autres transats sur le pont du beau bateau, et le photographe s’y allongea, mais sur le ventre et une des blondes, on la pèlera Greta, se mit immédiatement à le sucer. C’est alors que Melissa me fit me retourner sur le dos. Ingrid en profita pour aussitôt s’empaler sur mon sexe dur comme du fer sans la moindre hésitation et sans le moindre préparatif malgré la petitesse de son sexe étroit de mannequin et la grandesse de mon pénis. De contentement, je poussais un grand cri : Râââââââhhhh !


Ce cri fut en partie étouffé par la chatte de Melissa qui atterrit sur ma bouche. Pendant qu’Ingrid me chevauchait comme une furie, j’entrepris de brouter le minou de ma jolie métisse. Sous les caresses expertes de ma langue, Melissa eut rapidement un premier orgasme. Ce fut le premier d’une longue série puisque que grâce à mon expertise ès cunnilingus, je lui prodiguais rien de moins que cinq orgasmes en à peine cinq minutes. J’entendais des gémissements partout autour de moi. Entre les deux autres types qui besognaient chacun une fille et les filles qui s’amusaient entre elles, les cris de plaisir de cessaient pas un instant. D’ailleurs, sur les yachts voisins le spectacle avait du succès puisque de nombreux matelots admiraient la scène et à n’en pas douter ils étaient surtout admiratifs de mes performances sexuelles hors normes. Après son cinquième orgasme, Melissa s’évanouit et tomba dans les bras d’Ingrid qui elle aussi n’en pouvait plus de chevaucher mon puissant membre d’acier. Cela se fit d’ailleurs sous les applaudissements de l’équipage du yacht de la mafia russe située juste à côté.


Je saluais les marins et les remerciais de leurs encouragements et laissais les deux filles se reposer un instant et me dirigeais vers le transat le plus proche ou une brune et une blonde se broutaient le minou mutuellement en un soixante-neuf endiablé. Je me plaçais devant l’un des deux bouts et présentais ma pine bien dure et encore pleine de la mouille d’Ingrid pour que la brune me suce quelques instants puis je m’enfonçais d’un trait dans le cul étroit de la jeune blonde, qui venait d’un pays de l’Est et s’appelait Sofia. La brune, une Italienne répondant au doux nom de Carla continuait à lécher le clitoris de la blonde qui ainsi excitée poussa un long cri de plaisir. Je la pistonnais comme un fou, échauffé comme jamais je ne l’avais été de ma vie entière ! J’avais l’impression que mon sexe n’avait jamais été aussi gros et dur. Et pourtant en tant normal il est déjà très gros et dur !


Pendant ce temps, le photographe et son assistant prenaient en sandwich la rouquine aux cheveux courts. C’était finalement celle que je trouvais la moins jolie, et c’est pour ça que je ne citerai pas son prénom. À côté, Melissa était bien revenue de ses émotions et avait saisi le téléobjectif du photographe (je me souviens très bien qu’il s’agissait d’un Canon 400mm avec une focale de 5,6) et s’en servait comme d’un gode dans le sexe de la fille à la peau matte, je crois qu’elle était Sud-américaine et portait un nom impossible à retenir. Celle-ci avait bien paru avoir un peu mal au début, mais rapidement, ses cris de plaisir furent si puissants qu’on n’entendait plus qu’elle.


Elle criait vraiment très fort, et n’en pouvant plus d’entendre ses hurlements de plaisir au final un peu fatigants, je décidais de la faire taire. Dans ce dessein, je quittais le cul de la russe Sofia pour aller lui planter mon sexe dans la bouche. La jeune tchèque fut évidemment déçue de voir s’éloigner un aussi beau membre, mais la Sud-américaine me suça avec un plaisir tel que cela fit aussi plaisir à la Slovaque qui se mit aussitôt à se masturber comme une folle. Elle n’eut pas le plaisir de regarder cette superbe fellation bien longtemps, car en moi aussi le plaisir montait, montait, montait…


Cela faisait à ce moment environ trois quarts d’heures que je bandais comme un fou et pistonnais sans discontinuer vagin, anus ou bouche de top model, et je n’avais pas encore joui. La voir me sucer ainsi pendant que Melissa la godait avec fougue, le tout sous le regard hagard et plein d’envie de la Hongroise m’excitait incroyablement. Je n’en pus plus et éjaculais longuement dans la bouche de cette excellente fellationneuse.


Le plaisir de sentir mon sperme couler en flots puissants ininterrompus dans sa bouche fut tel qu’elle eut alors un orgasme incommensurable. Elle se cambra comme tétanisée par la violence de cette vague de plaisir et ne put faire autrement que de laisser mon pénis sortir de sa bouche, laissant s’échapper quelques jets de mon précieux fluide corporel qui atterrirent sur ses seins et son ventre plat de top model. Melissa, sans lâcher le gode-téléobjectif, se jeta dessus comme une affamée, et lécha tout son corps pour ne pas en perdre une goutte. Les deux filles s’embrassèrent ensuite, histoire de se partager mieux encore mon précieux fluide.


Je n’avais pas tout suivi ce qui s’était passé autour de moi, mais à ce moment, le photographe était pris dans un étonnant sandwich sodomite, la bite enfoncée dans le cul de la noire maigrichonne et la bite de son assistant dans son propre cul. Les trois semblaient y prendre un plaisir intense. Je me dis à ce moment qu’il n’était pas question que l’assistant m’approche.


Après quelques secondes de repos, et alors que mon sexe n’avait pas complètement débandé, Melissa, métisse d’Ibiza, toujours dévêtue, vint vers moi comme une chatte en chaleur, et se mit à me pomper avec une sensualité et une bestialité telles que mon sexe durcit et gonfla au point qu’elle arrivait à peine à gober mon énorme gland rouge de désir. De peur qu’elle ne s’étouffe, je me levais et la fis se retourner. Elle s’appuya de ses deux mains contre la rambarde, face aux marins russes ravis, écarta les jambes et je m’enfonçais d’un trait dans sa chatte. Celle-ci était tellement mouillée que je ne sentais pas grand-chose, je décidais donc de le lui mettre ma bitte dans son joli petit anus. J’eus un peu plus de mal à m’y enfoncer. Elle semblait étroite de ce côté.



Je pris cet encouragement à continuer au pied de la lettre et m’enfonçais d’un trait jusqu’à sentir ses adorables fesses rebondies contre le bas de mon ventre. Immédiatement, elle se mit à gémir de plaisir, d’autant plus que Sofia, qui avait toujours le téléobjectif enfoncé dans la chatte, était passée entre nos jambes et elle lui avait enfoncé une main entière dans le vagin. C’était génial, je sentais parfaitement les doigts de la Slovène contre mon pénis à travers la paroi de l’anus de Melissa. Par moments, la Biélorusse fermait presque entièrement sa main autour de mon pénis ! Ingrid nous rejoignit rapidement et reprit en main le téléobjectif pour reprendre le godage de Sofia.


Ayant déjà joui une fois, cette fois je pouvais tenir un peu plus longtemps. Melissa abandonna après son dixième orgasme (ce devait faire une vingtaine pour l’après-midi). Légèrement fatigué, j’en profitais pour me coucher sur le dos sur un transat, et l’une après l’autre, les huit autres tops me chevauchèrent, même la rouquine, que je fis me chevaucher de dos pour profiter de ses fesses car c’est ce qu’elle avait de mieux. Je les besognais toutes ainsi, certaines revenant plusieurs fois pour avoir le plaisir de goûter au bonheur de sentir mon pieux de plaisir aussi bien dans leur sexe que dans leur anus. Même Melissa, après un peu de repos revint prendre sa dose de bite dans les fesses, car maintenant, elle ne voulait plus être prise que par là. Épuisés, le photographe et son assistant se reposaient en se caressant nonchalamment l’un l’autre, parfois rejoints par une fille en manque. Au bout d’une heure trois-quarts environ (oui c’est court, mais j’étais vraiment très excité), je sentis que j’allais venir. Je me levais et leur criais :



Toutes les filles se regroupèrent alors à genoux devant moi et me caressèrent tout le corps. Elles étaient en admiration pour mon superbe sexe bandé prêt à exploser. Soudain, je vins enfin et m’arrangeais pour que mes jets partent sur chacune d’elle et qu’il n’y ait pas de jalouse. Elles se mirent alors à me lécher le gland et se lécher entre elles trop heureuse de recevoir ma jouissance. Tous ensemble, de bonheur, nous criâmes :



C’est alors que les gendarmes de Saint-Tropez arrivèrent sur le pont pour nous demander d’arrêter, sous prétexte que nous avions soi-disant une attitude contraire aux bonnes mœurs et que certains voisins s’étaient plaints. Pourtant, tout le monde ne s’en était pas plaint, car en descendant du yacht, le patron du bar d’en face m’offrit une bouteille de champagne pour me remercier car sa terrasse avait été remplie tout l’après-midi.



Si cette histoire vous a plu, n’hésitez pas à me demander la suite de mes aventures sexuelles véritables. J’ai encore plein de superbes histoires à partager avec vous. Comme la semaine dernière, où j’ai été littéralement violé par une équipe de foot féminin (avec les remplaçantes), ou encore pour vous raconter ma visite au salon de l’érotisme de Las Vegas où j’ai été choisi parmi 350.000 participants pour donner du plaisir sur scène à l’ensemble des meilleures actrices porno du monde.


PS : Je sais que des personnes à la vie sexuelle triste et sans relief seront jalouses et auront du mal à croire en cette histoire. Mais je le re pète, tout est vrai, à quelques détails près, bien sûr…





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n° 12575Marco Sexo19/05/08
Joyeux anniversaire
critères:   hhh couleurs grossexe vacances hotel hsoumis hmast facial fellation hsodo
11947 caractères
Auteur : Marco Sexo

Je m’appelle Marc, j’ai trente ans et je vis depuis près de trois ans, en couple avec Fabrice, non loin de Rennes. Nous nous sommes rencontrés sur Internet, le courant est tout de suite passé entre nous et nous nous sommes installés ensemble au bout de seulement six mois.


Me concernant, je travaille comme attaché de direction dans un cabinet d’expertise comptable, Fabrice, pour sa part, dirige une boutique de vente de téléphones mobiles. Pour être complet, physiquement, je mesure 1,75 mètre pour soixante-sept kilos, je suis plutôt fin, Fabrice mesure 1,87 mètre pour quatre-vingts kilos, une silhouette plutôt sportive, mais tout de même assez svelte.


L’histoire que je souhaite partager se déroule au moment de mon trentième anniversaire. Pour fêter l’événement, mon homme m’offre un voyage d’une semaine dans un hôtel trois étoiles de Cuba. Le jour exact de mon anniversaire tombe la veille de notre retour en France. Je suis prévenu suffisamment à l’avance pour prévoir mes congés.


Rien de vraiment passionnant ne s’étant déroulé entre le moment de l’annonce et celui du départ, je fais une « petite avance rapide » pour situer l’action directement à l’aéroport.


L’avion étant retardé de trente minutes, nous allons prendre un verre à la cafétéria, une fois les bagages enregistrés, pour ne plus avoir à s’en soucier. Finalement, le vol décolle avec plus de quarante-cinq minutes de retard, mais le trajet, bien que très long, se déroule sans le moindre problème, ni orage, ni trou d’air, un voyage parfait en somme.


L’arrivée à Cuba est paradisiaque, du hublot de l’avion, j’aperçois déjà les plages à perte de vue, la mer turquoise et les palmiers. Dès notre descente d’avion, l’air chaud, presque étouffant, nous enveloppe et nous ravit.


Et puis, vient le moment de pénétrer dans l’hôtel, pour moi qui n’ai jamais mis les pieds dans un trois étoiles, ce moment est grandiose. Tout y est si lumineux, si clair, si propre, c’est un véritable enchantement pour les yeux, je me sens presque gêné par toutes les attentions dont nous sommes bénéficiaires. Les cubains sont extrêmement accueillants et je sens déjà que le séjour va être riche en émotions.


Effectivement, les cinq premiers jours seront inoubliables, entre visites de monuments et farniente, entre la plage et le soleil, tous ces moments passés en compagnie de Fabrice sont simplement un pur bonheur.


Le matin, nous partons assez tôt pour visiter les villes aux alentours et certains monuments, l’après-midi, nous allons à la plage pour profiter du soleil, des cocktails et de l’océan.


La veille du départ, c’est-à-dire le jour de mon anniversaire, la journée se passe comme les précédentes, mais vers dix-neuf heures, Fabrice me demande de descendre à l’accueil pour m’assurer que la prise en charge de nos bagages pour le lendemain sera effectuée.


Lorsque je remonte dans la chambre, elle est vide, Fabrice n’est plus là, mais un petit mot est posé sur le lit.



SURPRISE : Tiens-toi prêt à 20h00…



Je suis bien sûr très heureux que mon homme ait préparé une surprise pour moi, mais je suis aussi très troublé et impatient de savoir ce qu’il me prépare. Je dois avouer qu’à ce moment, l’excitation me gagne, sachant à quel point Fabrice aime me faire des surprises coquines.


Je me douche, m’habille et attends impatiemment vingt heures. L’horloge me paraît ralentir et l’attente est interminable, encore plus de vingt minutes à patienter.


Vingt heures… La poignée de la porte de la chambre tourne, Fabrice entre, suivi par Ernesto, un cubain employé de l’hôtel, qui travaille en cuisine et essentiellement pour la préparation des petits déjeuners. Nous avons fait la connaissance d’Ernesto lors d’une soirée à l’hôtel, son français étant impeccable.


Sur le moment, j’avoue ne pas vraiment comprendre ce qu’Ernesto fait ici, mais Fabrice a vite fait de m’éclairer sur le sujet.



Cette dernière phrase décuple mon excitation, l’idée de me donner entièrement à ce beau cubain, d’être « sa chose » et tout ça devant mon homme, c’en est trop, mon slip va exploser tellement mon érection est forte.


Fabrice prend alors place dans un fauteuil en osier, retire son pantalon puis son caleçon et commence à se branler. C’est ce moment que choisit Ernesto pour s’asseoir sur le canapé et m’inviter à le rejoindre.


Je m’assieds à ses côtés, passe une main sous son tee-shirt et commence à lui caresser le torse… Il est très musclé, je sens la forme parfaite de ses pectoraux, ainsi que celle de ses abdominaux.


Ma deuxième main se dirige alors vers son entrejambe, je lui caresse le sexe à travers son pantalon, il ne semble pas encore être en totale érection, mais la taille de son membre me paraît déjà très conséquente.


Ernesto me demande alors de me mettre à genoux entre ses jambes et du regard, m’invite à retirer son pantalon. Je saisis l’étoffe de chaque côté de ses hanches. Il relève légèrement les fesses pour me laisser descendre son vêtement.


Son pantalon sur les chevilles, le dernier rempart avant sa queue reste son slip de coton blanc, déjà très déformé par une bosse qui me réjouit. N’y tenant plus, je fais glisser le morceau de tissu le long de ses jambes et la première chose que je remarque, outre le fait que son sexe, même au repos et déjà bien plus gros que celui de mon homme, c’est la grosseur de ses couilles. Deux énormes couilles que je ne peux m’empêcher de toucher, puis de lécher.


Mes premiers coups de langue ont pour effet de « réveiller » la bête, qui progressivement se tend et se durcit. Je la saisis alors de ma main droite et je peux constater qu’elle est effectivement largement supérieure en taille et en diamètre à celle de Fabrice.


Irrémédiablement, ma bouche est attirée vers ce superbe engin, je commence par poser mes lèvres sur le bout de son gland et j’y dépose un petit baiser. Puis lentement, mes lèvres s’ouvrent et glissent le long de son gland, jusqu’à ce qu’il soit entré entièrement dans ma bouche. J’ai toujours adoré sucer, Fabrice en sait quelque chose ! Je lui « offre » ma bouche presque tous les jours et il paraît que je suis plutôt doué.


J’enfonce ainsi le sexe d’Ernesto plus profondément dans ma bouche, ma langue tourne autour de son membre et joue avec son frein. Son sexe est tellement imposant que je ne peux pas le mettre en entier dans ma bouche, je le branle donc en même temps que je le suce.


Visiblement, il aime beaucoup ça. Il a les yeux fermés et sa respiration se fait plus pressante, il pose ses mains à l’arrière de ma tête et appuie légèrement, m’obligeant à maintenir sa queue au fond de ma gorge. Il relâche son étreinte. J’en profite pour regarder en direction de Fabrice. Il se branle toujours en se délectant du spectacle, il m’adresse un petit sourire et m’encourage à continuer ma fellation, ce que je fais avec gourmandise.


Pendant que ma bouche s’active sur cette somptueuse queue, ma main gauche s’attarde sur ses couilles, que je malaxe et caresse tendrement. Au bout de plusieurs longues minutes, Ernesto se lève du canapé, me demande de me déshabiller et de ne conserver que mon slip. Je me lève donc à mon tour et m’exécute. Désormais, seul mon slip sépare les yeux d’Ernesto de mon intimité.


Justement, ce dernier vient se placer derrière moi, me fait pencher en avant et, lentement, fait glisser l’étoffe de coton le long de mes cuisses. Le fait qu’il ait le visage à hauteur de mon cul, me fait rougir, j’imagine qu’il regarde mon petit trou. Il écarte d’ailleurs légèrement mes fesses pour en avoir une meilleure vue.


Je sens un doigt qui parcourt ma raie et vient se poser sur mon anus. Il répète ce geste plusieurs fois. Pendant ce temps, je regarde Fabrice : il se branle toujours aussi énergiquement.


Ernesto me fait alors placer sur le canapé, le torse sur le dossier et les genoux sur les coussins. Il m’écarte les jambes et appuie légèrement sur mon dos pour me faire cambrer davantage. Dans cette position, je me sens complètement offert à ses moindres désirs et, de plus, il a une vue imprenable sur ma grotte.


À ce moment, Fabrice se lève de son fauteuil et vient se placer devant moi, m’offrant sa queue à sucer, je m’empresse de l’enfourner et retrouve des sensations bien connues de notre vie sexuelle. J’entends Ernesto derrière moi qui déchire un emballage de préservatif, je veux tourner la tête pour le regarder, mais Fabrice refuse que sa queue sorte de ma bouche, je suis donc en « aveugle » !


Soudain, je sens le sexe d’Ernesto se poser sur mon anus. Fabrice, qui quelques instants plus tôt voulait garder son sexe bien au chaud dans ma bouche, décide de passer derrière moi pour voir la queue d’Ernesto entrer en moi. Et c’est justement ce qui se produit : Ernesto commence à forcer l’entrée et son gland rentre d’un coup sec. Un léger cri de douleur sort de ma bouche, mais il ne s’en laisse pas compter et il continue sa progression.


Je sens sa grosse queue entrer en moi millimètre par millimètre. Cette sensation est vraiment exquise, nouvelle aussi, du fait de la différence de taille entre le sexe d’Ernesto et celui de mon homme.


Fabrice, justement, écarte mes fesses pour faciliter l’accès à mon amant du soir, il en profite également pour me caresser l’intérieur des cuisses, ce qui a pour effet de me faire m’ouvrir un peu plus Ernesto rentre alors d’un coup, son sexe est presque entièrement au fond de mon cul, ma respiration s’accélère et, me sentant dans un état second, Fabrice commence à me toucher le sexe et me branler légèrement.


Je suis au septième ciel, un superbe cubain monté comme un étalon m’encule fermement pendant que mon homme me branle. La position fait visiblement mal au dos de mon étalon, il se retire alors de mon cul et s’assied sur le canapé. Il m’invite à m’asseoir sur lui. Je me place face à lui et m’empale lentement sur sa tige. Je m’empresse alors de monter et descendre à un rythme assez soutenu sur son mandrin, tout en caressant son torse.


Mais cette fois, c’est moi qui fatigue un peu ! Ernesto le ressent et me demande de m’allonger sur le dos. Il vient se placer entre mes jambes, en place une sur son épaule, relève légèrement mes fesses et me pénètre à nouveau, plus sèchement cette fois.


Il accélère le rythme de ses mouvements. Il ressort presque entièrement son sexe de mon cul pour s’y réintroduire d’un coup sec… Pendant ce temps, Fabrice me présente sa queue, que je m’empresse de sucer avidement.


Puis au bout de quelques minutes, Ernesto semble sur le point d’exploser. Fabrice se recule, Ernesto se retire de mon cul, enlève son préservatif et donne sa queue à sucer. Voyant ma déception de ne plus avoir un membre dans mes entrailles, Fabrice prend la place de mon amant cubain et m’encule à son tour.


Quelques secondes avant qu’il jouisse, je demande à Ernesto de m’éjaculer sur le torse. En effet, seul mon homme a le droit de m’offrir le fruit de son plaisir. Ce sont de longues giclées de sperme chaud qui viennent s’écraser sur mon torse et mon ventre… Une quantité impressionnante que j’étale de ma main sur tout mon buste.


De grosses gouttes de sueur perlent sur le front d’Ernesto, il m’adresse un petit sourire, la queue toujours à la main.


Puis c’est au tour de Fabrice de se retirer de mon cul et de m’offrir sa queue à sucer. Quelques secondes suffisent pour qu’il m’inonde la bouche de son sperme chaud et sucré. Comme à chaque fois que je le suce, j’avale avec gourmandise tout le liquide. Ce voyage restera inoubliable pour moi à tous points de vue et j’espère retourner à Cuba un jour, dans le même hôtel ! Qui sait ? Peut-être qu’Ernesto sera encore là.


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n° 12593Maguy26/05/08
Crudités de saison
critères:   fh grp couleurs inconnu voisins nympho grossexe grosseins vacances piscine fête voir exhib nudisme noculotte fellation anulingus préservati sandwich -groupes -voyeuract
17771 caractères      
Auteur : Maguy

Nous avions loué, mon mari et moi, une maison sur la côte atlantique, dans un quartier plutôt huppé où la piscine est quasi obligatoire. Le hasard a voulu que nos voisins fussent une comédienne assez connue, écrivain à ses heures, et son ami, un play boy au type asiatique qui devait bien avoir quinze ans de moins qu’elle (j’ai su après qu’elle avait quarante-deux ans). Nous avions sympathisé très tôt puisque son petit chien était venu se perdre dans notre jardin, ce qui l’avait amenée à sonner à notre porte. Je ne l’avais pas reconnue tout de suite mais en l’écoutant parler, l’évidence m’était apparue et elle avait confirmé mon intuition, me demandant seulement de rester discrète. Telle était bien notre intention, à mon mari et moi, n’étant pas du genre à nous incruster dans la vie des autres.


Un soir, notre attention fut cependant attirée par une animation inhabituelle chez nos voisins. Ils devaient recevoir des amis, à entendre les allées et venues, les éclats de rires et les plouf sonores dans la piscine. Après avoir attendu, nous finîmes par regagner notre chambre, non sans irritation pour cette gêne inhabituelle.


Vers 2 heures, je ne dormais toujours pas et je sortis prendre l’air. Mon intérêt fut alors attiré par des bruits proches de la piscine. J’écartai la végétation jouxtant la clôture et fis la petite curieuse. Plus exactement, la petite voyeuse. Au bord de la piscine, sur des chaises longues mais aussi dans l’eau, des couples faisaient l’amour. Je reconnus entre autres notre comédienne, chevauchant son partenaire avec d’amples mouvements du bassin tout en suçant un autre homme au sexe long et effilé. Une onde de chaleur parcourut aussitôt mon bas-ventre. Je regardai, fascinée, ces couples totalement libérés dans leur sexualité, ces femelles gémissant et couinant, ces mâles aux grognements bestiaux qui tous plongeaient dans la piscine après avoir éjaculé dans leur préservatif, dérangeant d’autres couples batifolant dans des clapotis aquatiques. Je restai là jusqu’à ce que la party se déplace à l’intérieur de la villa, probablement dans des lits car l’heure était maintenant très avancée.


Je regagnai ma couche, surexcitée par ce spectacle, pour découvrir mon mari nu, couché en chien de fusil, les couilles bien apparentes, compressées et gonflées entre ses cuisses resserrées. J’y mis aussitôt la langue. Il sursauta comme si je l’avais mordu.



Au bout d’un moment, la main et la langue aidant, il commença à ronronner en même temps que son pénis prenait une taille et une rigidité ad hoc. Je l’escaladai et m’empalai d’un coup, trempée par mon voyeurisme autant que par mes succions. Je pensai à l’actrice, à ses amples mouvements de bassin, à ses circonvolutions en souplesse, et je procédai de même, afin que la bite me fouille moi aussi dans mon tréfonds. Très vite, je sentis le plaisir me gagner, accélérai mon va-et-vient tortueux cependant que mon cher et tendre ruait à ma rencontre en décollant ses fesses du lit. Je me retirai très vite pour prendre son sperme en pleine face et m’en lécher les babines. Nous nous endormîmes aussitôt après la douche.


Le lendemain matin, pendant que je préparais le repas de midi, on frappa à la porte de la cuisine. C’était la comédienne, en tee-shirt (sans rien dessous) et en short, qui nous apportait un panier de pêches de son jardin. Souriante et avenante, pas star pour deux sous, elle ressemblait à une touriste ordinaire en tenue de vacances.



Son regard devint malicieux.



Nos propos pleins de sous-entendus en restèrent là et notre conversation prit un tour plus anodin avant que notre voisine retourne chez elle. L’après-midi, le mauvais temps m’incita à faire un tour à la librairie locale. Le livre de la comédienne était bien en évidence – un recueil de nouvelles - et je l’achetai, dans la perspective de lui demander une dédicace. Je m’y plongeai dans mon salon et ne fus pas surprise d’y trouver une forte charge érotique. Le style était très travaillé, le propos parfois un peu obscur mais les mots particulièrement crus. Curieux de trouver des « couilles », des « bites » et des « baise » dans un langage par ailleurs châtié. Dans une des nouvelles, la narratrice faisait état d’une expérience pendant laquelle elle avait été possédée par trois hommes à la fois. Voilà qui me renvoyait directement à mon voyeurisme nocturne…


Le lendemain, je sonnai à sa grille, le livre à la main, pour obtenir cette fameuse dédicace. Elle m’accueillit très simplement, en short et chemisier et me conduisit dans son salon où se trouvait déjà son compagnon, un Eurasien d’à peine trente ans à vue de nez, mince et noueux comme une liane, vêtu en tout et pour tout d’un slip de bain qui contenait difficilement des organes génitaux au volume particulièrement impressionnant. L’actrice surprit mon regard dirigé vers l’entrejambe du jeune homme qu’elle m’avait présenté sous le prénom de Liam. Nous regardâmes s’éloigner souplement cette petite merveille sexuelle aux fesses comme des noyaux de pêche :



Je bredouillai des paroles stupides et elle sourit en rédigeant sa dédicace. Je me sauvai un peu confuse avec le bouquin et décidai de tout raconter à mon mari, depuis le début.



Le lendemain, l’idée me vint de me rendre à la plage naturiste toute proche et d’inviter ma voisine à m’accompagner, mon mari n’étant pas porté sur le bronzage intégral. Elle accepta sans rechigner, son compagnon étant occupé à l’entretien du jardin. Je lui demandai si elle ne craignait pas d’être reconnue, voire d’être photographiée pour échouer dans quelque gazette ou sur internet.



A dire vrai, sur une plage naturiste, une femme à poil ne se remarque pas plus qu’une autre. Avec ses petits seins et son corps mince, où l’on lisait sur sa peau la trace plus blanche du slip et du soutien-gorge, l’actrice se faisait plutôt moins remarquer que moi avec mes gros nibards caramel et mon cul charnu de même couleur. Quelques regards masculins s’attardaient sur mes formes de quasi quinquagénaire et mon pubis fourni car, contrairement à l’actrice, je suis ennemie du rasage. J’avoue que j’en étais plutôt flattée. Tantôt allongées, tantôt sur les coudes, nous papotions comme deux copines du même âge. Elle me parlait de son métier, de ses projets, de son ambition littéraire et théâtrale, de quelques acteurs et actrices de sa connaissance dont la vie privée l’amusait. Elle s’interrompait parfois pour regarder passer un beau mâle, accompagné ou non :



La verdeur de ses propos ne laissait pas de m’étonner de la part de cette intello germanopratine et je le lui dis.



Je pouvais difficilement dire le contraire…


Apercevant un type qui lorgnait mes seins, elle me glissa :



Cette séance de plage nous rapprocha et, le lendemain, je l’invitai à déjeuner avec son ami. Elle débarqua avec une robe presque ras du cou devant mais décolletée jusqu’au sacrum derrière. J’étais quasi certaine qu’elle ne portait pas de slip. Liam moulait ses copieux avantages dans un bermuda et un débardeur. Pour ma part, j’avais opté pour un paréo qui tenait par le bon vouloir de mon buste.


Au cours du repas, après avoir beaucoup parlé cinéma et théâtre, j’abordai la question du sexe et particulièrement l’amour de groupe, car je voulais savoir ce que notre voisine pensait réellement du sujet.



Au jour et à l’heure dite, nous étions au rendez-vous avec une idée bien ancrée en tête : quoi qu’il arrive, regarder, rien que regarder. Mais entre les intentions préliminaires et la réalité, il y a souvent un léger décalage. Dans l’entrée, notre voisine nous reçut dans le plus simple appareil et nous invita à faire de même en passant par le dressing. Sa soirée imposait la nudité intégrale autour de la piscine. Pour moi qui suis naturiste, la chose ne posait pas de problème mais mon mari marqua une nette réticence et fit mine de repartir.



C’est donc dans la plus totale nudité, à l’exception d’une paire de tongs fournie par notre hôtesse, que nous rejoignîmes le jardin où nous attendaient les autres invités.


Nous voilà donc au bord de la piscine pour les présentations. Je l’avoue, cela me faisait tout drôle de rencontrer des inconnus comme pour une soirée mondaine avec pour attribut vestimentaire une simple paire de claquettes. Il faut toutefois reconnaître que la tenue était adaptée aux circonstances car la chaleur était particulièrement lourde. Mais l’actrice avait l’art de décontracter tout le monde, ne serait-ce qu’avec une rangée de bouteilles propres à détendre l’atmosphère autant que les gosiers. Je remarquai d’emblée une actrice allemande que j’avais vue dans un film, sauf qu’elle avait bien quinze ou vingt ans de plus et un petit ventre rond. Elle était flanquée d’un barbu style soixante-huitard attardé avec boucle d’oreille et tatouages sur les bras.


Un autre couple plus jeune nous fut présenté : une scripte et son ami, aussi bruns de peau et de poils que les Allemands étaient blonds et roses de coups de soleil. La fille était déjà très excitée et dévorait les mâles d’un regard qui avait tendance à se diriger en dessous du nombril. Enfin, il y avait un costaud musculeux que j’identifiai d’emblée comme un hardeur susceptible d’épauler les messieurs défaillants auprès des dames. Et bien sûr l’inévitable Liam, dont je pus enfin admirer les couilles plantureuses et le pénis en manche de pelle.


De nos agapes, je ne dirai pas grand-chose, si ce n’est que les crudités étaient à l’honneur (j’ai trouvé ça parfaitement assorti à l’hôtesse) et qu’elles nous permirent de faire connaissance les uns les autres. L’alcool aidant, nous en oubliions notre nudité obligatoire qui nous était devenue presque naturelle. Je constatai cependant que l’Allemande se rapprochait de plus en plus de Liam, jusqu’au moment où sa main s’attarda sur ses parties intimes pour finir par lui branler franchement la queue, laquelle prit très vite des proportions impressionnantes. Apparemment, la scripte n’entendait pas laisser le champ libre à la plantureuse Teutonne et offrit ses petits seins à sucer à l’Eurasien qui se trouva bientôt enseveli par deux femelles affamées, la blonde aux hanches larges et la brune au petit cul, toutes deux claquettes au pied, ce qui me fit rire in petto. Pendant ce temps, notre hôtesse s’était rapprochée du hardeur et après quelques mimis mouillés s’occupa sérieusement de son gland violacé. Je vis alors arriver avec terreur le barbu germanique, visiblement très intéressé par ma poitrine, mais mon mari s’interposa :



Notre hôtesse était possédée à la fois par l’ami de la scripte et par le hardeur dans une figure compliquée qui la faisait couiner telle une souris géante. Mon mari bandait comme un cheval en matant l’Allemande, qui poussa un cri rauque quand l’Eurasien la pénétra, puis jappa comme une chienne à chaque coup de pilon : « aw aw aw ! » Je compris qu’il était temps que je le soulage, d’abord sous la forme d’une pipe puis d’un coït en bonne et due forme sur une des chaises longues de la piscine. Le barbu se branlait en me regardant m’infliger le délicieux supplice du pal vaginal et je lui lançai un « Raus » sonore qui le laissa de marbre. Du moins jusqu’au moment où son sperme gicla sur ma hanche, sous l’effet d’une masturbation frénétique. À dire vrai, je ne savais plus trop où j’habitais car mon mari se montrait déchaîné sous moi, m’adressant des coups de bite tellement toniques que je décollai direct vers Mars.


Lorsque je retrouvai mes esprits, la plupart des invités avaient gagné l’intérieur, à l’exception de l’Allemande qui récupérait dans la piscine, les jambes écartées et les bras en croix, cette fois nu-pieds, visiblement satisfaite par le phénomène eurasien. Je réalisai alors que nous avions pratiqué l’amour conjugal dans une authentique partouze, ce qui n’est en principe pas le but de la manœuvre.



Lequel s’empressa de répondre par l’affirmative, de peur sans doute de me voir capituler devant l’Eurasien, voire le Rocco Siffredi de service. Ce en quoi il n’avait pas tout à fait tort car dans l’état d’excitation où j’étais, je me sentais prête à braver tous les interdits.


Dans la nuit éclata un orage terrible qui inonda notre cuisine et qui nous ramena à des réalités plus terre à terre. Le temps s’en trouva détraqué pour plusieurs jours et nous saisîmes l’occasion d’effectuer quelques excursions en voiture. Au retour de l’une d’elles, nous constatâmes que la maison de nos voisins était fermée. À l’évidence, ils étaient repartis à Paris, et sans même nous dire au revoir. Nous les imitâmes quelques jours plus tard. Depuis, j’ai revu l’actrice dans un téléfilm où elle jouait le rôle d’une mère de famille trompée et abandonnée par son mari, luttant avec courage pour élever seule ses enfants. Elle était sans doute très crédible aux yeux des téléspectateurs. Aux miens, pas vraiment…






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n° 12629Maldoror08/06/08
Le Blue Inn
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22960 caractères      
Auteur : Maldoror      Série : Cum, blood and bullets - 09

Cum, blood and bullets



9. Le Blue Inn





Le Blue Inn. Un motel à quelques bornes de Peach Springs.

Une chambre. Louée par Kelly-Ann, la seule qui n’était pas encore habitée par la mort.


Elle était maintenant sous la douche. La salle de bains lui était apparue comme un refuge où elle pourrait pleurer en secret sa compagne. Je maudissais ces putains de dégénérés qui avaient failli nous coûter la vie une fois de plus. De vrais spectres que nous traînions dans notre sillage.


Polly reposait sur le matelas, adossée contre l’oreiller et les jambes repliées. Elle fumait une Lucky Strike tirée d’un paquet acheté par Kelly-Ann au motel avec des provisions : canettes de Coors, paquet de clopes, chips et sandwiches. Miss America avait réussi à négocier une thermos de café auprès du jeune employé, un étudiant à qui elle avait donné un biffeton pour l’oublier dès qu’elle aurait tourné les talons. Difficile de ranger aux oubliettes la bimbo et les éclaboussures de sang séché sur son cul, mais je faisais confiance à sa capacité de persuasion.


Polly gardait le silence, les yeux dans l’écran de télévision qui projetait sur son visage les éclairs des clips obscènes et violents. Elle était indemne, miraculeusement indemne. La balle n’avait fait que lui effleurer une côte, mais cela avait suffi à la plonger dans le néant quelques minutes. Ce n’était qu’une légère entaille qui la gênerait pendant plusieurs jours, à croire qu’elle régénérait et que la mort ne voulait pas d’elle.


Quant à moi, j’avais été épargné. Une force animale nous accompagnait dans notre quête de survie. Je restais pourtant convaincu que la chance n’avait rien à voir dans tout ça. Fumant ma clope et me délectant d’une bière fraîche devant les stores que j’avais pris soin de tirer, je savais que c’était les porte-flingues que j’avais butés qui avaient sauvé ma Polly. J’avais échangé leurs âmes contre la sienne, j’avais contraint la mort à ce pacte diabolique.


Une nouvelle fois, Billy avait refusé de se mêler à nous, préférant l’humidité du cockpit de la Mustang à une intimité qui lui était étrangère. Il n’avait pas paru spécialement touché par le fait que nous réservions un réveil de choix à son frère Jason, solidement menotté à une chaise dans la chambre. Un ruban adhésif sur la bouche, l’homme restait assommé, la tête en berne. Il faudrait nous expliquer, mec ! Qui étaient ces types ?


Mais l’heure n’était pas à l’interrogatoire. Nous étions tous épuisés. J’écrasai mon mégot dans le cendrier et me retournai pour contempler Polly, ce joyau que la fange avait tenté de me reprendre. Son tee-shirt roulé en boule traînait sur la moquette de la chambre comme une serpillière. Si bien qu’elle n’arborait plus que ses platform boots qui semblaient ne plus vouloir la quitter. Sa peau était maculée de tous les fluides organiques qu’un corps humain pouvait contenir. Foutre, urine, sang, éclats d’os, de cervelle et de chair, rien ne semblait avoir été laissé au hasard. Polly était bien le bras armé de la mort, c’était elle l’ange exterminateur, non le type à la dégaine de mac, ainsi que je l’avais supposé.


D’un geste furtif, elle détacha ses cheveux qui s’éparpillèrent aussitôt sur sa délicieuse poitrine. Puis elle prit une nouvelle bouffée et glissa lentement sa main entre ses cuisses. Sa paume commençait à caresser sa toison pour ramper lentement vers sa fente et faire vibrer son bouton d’amour. Dans l’écran de la télévision qu’elle avait rendue muette d’une simple pression du pouce, non plus les clips des rappeurs californiens, mais une scène de fellation. Jenna Haze taillait une pipe monumentale à un chibre colossal. Filmée en grand-angle, on ne voyait que le visage de la pornstar qui engloutissait le membre goulûment.


Cette scène paraissait exciter Polly qui glissa son majeur en elle avant d’échapper un long soupir, les yeux fermés et la mâchoire pendante.



Il y avait dans cette révélation une aura mystique, comme si tous les deux, nous n’étions plus que sexe et violence. Une boule de feu qui se consumait et ne demandait qu’à exploser.


Je m’approchai du lit et me débarrassai de mes fringues puantes. J’étais dans un état proche du sien, effleurant des ongles plusieurs croûtes de sang séché sur mon visage. La tuerie avait été effroyable, les clients ayant payé très cher le spectacle improvisé par les filles.


J’étais très fatigué mais, pour ne pas changer, ma queue restait dotée d’une vigueur exceptionnelle. Je bandais déjà comme un forcené et sentais cette soif de sexe hanter chacun de mes muscles, résolue à ne plus jamais me quitter. J’étais déterminé à la baiser, animé par un désir primitif et sauvage malgré l’épuisement.


Alors je fourrai sa clope dans ma bouche et m’allongeai à ses côtés, laissant déambuler ma main sur son ventre tiède. Et tandis qu’elle me couvrait le cou de baisers, j’explorai son nombril du bout de l’index. Avant de replier mes mains sous ma nuque. Ce fut le moment qu’elle choisit pour laisser glisser sa joue sur mon torse et lécher le tatouage sanglant d’Eraserhead. Ses doigts effilés malaxaient mes bourses avec dextérité, chaque caresse déchaînant en moi des éclairs de plaisir. Puis sa paume brûlante empoigna ma queue pour lentement l’agiter. Je connaissais maintenant une parfaite érection, exhibant mon membre sans retenue. Long et viril, il était impressionnant, à la fois lisse et débordant d’énergie.



Un sourire perla à la commissure de mes lèvres.



Et tout en prenant mon sexe à deux mains, elle glissa à quatre pattes entre mes cuisses. Bizarrement, sa posture était identique à celle de Jenna Haze dans l’écran. Son visage en grand-angle et ses fesses orgueilleuses pointaient au plafond en raison de son incroyable cambrure. Sa poitrine perlait majestueusement sur les draps, me laissant entrevoir les aréoles de ses seins.


Polly déploya sa langue et bâilla à s’en décrocher la mâchoire, le regard en feu et le vice sous la peau. Elle plaça ensuite ses lèvres à l’extrémité du gland, les mains sur mes couilles, et le fit lentement coulisser dans sa bouche, ses émeraudes plantées dans mes yeux. Sa prouesse fut un véritable délice, la chaleur et l’humidité envahissaient mon membre au cours de son interminable progression. Elle éprouva toutefois quelques difficultés pour descendre jusqu’à la garde, tant ma queue était imposante. Sa bouche était comblée, mais elle me fit le cadeau d’aller plus loin encore, m’empalant doucement dans sa gorge en entrouvrant légèrement les lèvres. Elle avait réprimé ce hoquet caractéristique qui m’assura de sa détermination.


Elle resta ainsi quelques secondes, avant de commencer à aller et venir pour me pomper en gémissant, balançant à chaque succion sa lourde crinière sur ses épaules.



Et je tirai une nouvelle bouffée sur ma cigarette avant de l’écraser dans le cendrier.



Elle me prit de nouveau dans sa bouche, inclinant mon membre de manière à provoquer un renflement au niveau de sa joue.



Elle s’était maintenant redressée sur ses genoux, la main en coupe sous son sein pour mieux le laper. Un regard de braise me pourfendait sous son épaisse chevelure qui dégoulinait en cascade le long de sa joue.

Lorsque.

La porte de la salle de bains. Kelly-Ann, nue, les cheveux lisses épousant sa peau, collés à ses omoplates. Ses yeux étaient un rien gonflés malgré la fine pellicule de maquillage. Elle arborait un rouge à lèvres des plus sensuels.



Polly tendit la main, l’invitant à venir nous rejoindre. Ce qu’elle fit en balançant des hanches, ses seins lourds et laiteux roulant comme des pommes sur son torse.


Je constatai au passage que Gras du bide s’était réveillé sur sa chaise. Ses yeux avaient perdu de leur cruauté, il était en train de réfléchir au moyen de s’en sortir. Rien à foutre. L’heure était à la baise. Et puis un geste de trop, et il prendrait un pruneau du flingue qui gisait sous l’oreiller de Polly.



Malgré son air farceur, elle était sérieuse.



Je lui caressai les cheveux avant de plaquer ma main sur le haut du crâne. Et d’un mouvement du bassin, je contractai mes abdominaux et me cambrai vers l’avant pour m’enfoncer d’un seul coup dans sa gorge. Kelly fut tellement surprise qu’elle accusa le coup et régurgita aussitôt mon membre en toussant.



J’entendis Polly s’esclaffer à ces propos qu’elle connaissait bien pour les avoir initiés. Alors Kelly se pencha sur mon sexe dressé avant d’écarquiller les yeux.



Ce qu’elle fit. Juchée sur ses genoux, les fesses délicieusement bombées, Kelly-Ann me laissait maintenant me branler dans sa bouche à ma guise. Les mains crispées sur sa tête, je l’entendais défaillir à chacun de mes allers-retours. Elle m’excitait comme un fou, elle et son maquillage. C’était d’ailleurs la première fois que je la baisais et je voulais qu’elle s’en souvienne, la dompter tout comme elle avait voulu le faire pour Sal, quelques heures auparavant.


Pendant ce temps, Polly s’était relevée, un gode-ceinture noir à la taille. Le même que celui que j’avais vu dans notre chambre au Pussy’s. Appliquant doucement son index sur ses lèvres, elle m’intima de garder le silence. Ce serait une surprise pour Kelly-Ann, bien plus encore que pour moi.


Polly grimpa sur le lit avec l’agilité d’une chatte et se positionna derrière la croupe de Kelly-Ann dont je maintenais toujours aussi fermement la tête. À genoux sur les draps, Polly se pencha vers l’avant et glissa sa langue dans la fente de Kelly-Ann, tout en continuant à m’observer. Succombant à une vague de plaisir, la blonde venait de s’abandonner, si bien que je m’enfonçai en elle sans aucune résistance. Voir les ongles de Polly plantés dans les fesses de Kelly-Ann m’excitait au plus haut point. J’avais l’impression de sentir chacun des coups de langue que lui offrait ma princesse.


Puis elle se redressa et, empoignant le cul de Kelly-Ann à pleines mains, la pénétra d’un long coup de reins qui tira à Miss America une plainte étouffée. Elle avait écarquillé les yeux et m’interrogeait maintenant du regard.



Ses mains me firent ensuite lâcher prise, et je libérai aussitôt sa bouche d’où s’échappa un terrible gémissement. Je me levai à mon tour tandis que Kelly-Ann prenait appui sur ses coudes et relevait les hanches, totalement offerte. Polly la déchirait de part en part, prenant toutefois le soin de freiner la cadence afin que son amante savoure pleinement cet instant. Ce fut là, que, n’y pouvant plus, je me glissai dans le dos de Polly.


Je saisis ma queue à pleine main et la passai sur les fesses de Polly, barbouillant sa peau du liquide séminal qui s’écoulait en un filet gluant. Puis je caressai sa fente du bout du gland en suivant le rythme imposé par ma princesse.



Et sans même que j’en prenne l’initiative, Polly m’empoigna et s’empala sur ma queue, déversant sur mes couilles un flot de jouissance. D’un assaut, je la soulevai et l’agrippai par la tignasse pour mieux assurer ma prise. Ce que fit Polly avec la chevelure encore humide de Kelly-Ann qu’elle me tendit aussitôt. Leurs crinières dans chaque main, j’entamai ainsi une incroyable chevauchée, tous trois valsant de concert dans une partie de baise frénétique. Nos cris déchiraient le silence du désert, preuve d’un plaisir décuplé. Je ne comptais plus les orgasmes qui terrassaient leurs corps à chaque instant.


Et lorsque Kelly-Ann céda la première, s’écroulant sur le ventre en gémissant, je sortis mon membre et attirai Polly pour le lui fourrer dans la bouche. L’explosion fut immédiate, libérant un paquet de foutre de plusieurs jets saccadés. Polly, accroupie sur ses talons, me suça entièrement, avant de se pencher vers le visage de Kelly-Ann, maintenant allongée sur le dos. Miss America descella alors ses lèvres rouges et Polly déversa le foutre dans sa bouche, s’appliquant à laisser quelques filets sur les joues de sa maîtresse qui déglutit en souriant.



Épuisé et en sueur, je me laissai choir sur les draps humides. Deux langues léchèrent aussitôt ma queue pour la délester des dernières coulées de sperme avant que les filles ne se réfugient dans mes bras. Kelly-Ann m’embrassait dans le cou tandis que Polly sommeillait, la paume de sa main sur ma queue, en signe d’appartenance.


Le tout, sous le regard inquiet de Jason.




* * *



Un chuchotement.



La voix de Kelly-Ann, encore dans les vapes. Polly dormait profondément, sa joue contre mon épaule et sa main sur mon membre flétri. Je jetai un œil sur le réveil qui indiquait 11:08 a.m.



Avant d’allumer une cigarette.



Miss América m’embrassa tendrement dans le cou.



Mon sang se glaça dans mes veines, me laissant sans voix. Comment était-ce possible ? Ce que Kelly-Ann considérait comme un tatouage n’en était pas un. Je pensais qu’il s’agissait d’une saloperie que nous avions ramassée, Polly et moi, à notre arrivée à Camp Valley, un genre de bactérie inhérente au lieu. Après tout, le vieux nous avait bien assuré que l’endroit était maudit, chargé d’un air malsain et d’une dégénérescence dont sa famille avait subi les conséquences. Mais alors, comment expliquer que les deux captives qui servaient de putain au Pussy’s n’étaient pas infectées elles aussi ?


Cette question resta en suspens au-dessus de mon crâne, telle l’épée de Damoclès. J’avais la désagréable sensation que la vérité ne devait pas être révélée, comme si je ne serais jamais disposé à l’accueillir, de peur de me brûler les yeux.


Je songeai tout à coup aux porte-flingues. Ils étaient là pour lui, j’en étais persuadé. Gras du bide. Comme nous l’avait annoncé l’ange exterminateur, ils n’étaient pas là pour nous. Gras du bide. Jason. Lui seul pouvait nous en dire davantage. Pour l’heure, il était affalé sur son siège, à nouveau occupé à souffler comme un bœuf dans son sommeil.



Et je filai dans la salle de bains. Là, je pris une longue douche, très longue. Ces quelques heures de repos m’avaient fait du bien, et je sentais mes cellules se régénérer au contact de l’eau glacée sur ma peau. Une vingtaine de minutes plus tard, j’avais l’impression d’avoir mué, abandonnant mon enveloppe mortelle aux égouts. Cela ne m’empêchait pourtant pas de ressembler à un cadavre. Mon visage restait cabossé, mes membres chargés de cicatrices et divers hématomes, et mon squelette me faisait copieusement souffrir. Une étrange sensation habitait mon corps, celle d’un accroissement de mes os, comme s’ils se développaient à l’intérieur. Et puis ce sexe qui n’en finissait pas de pousser, comme un appendice monstrueux. De quoi confirmer l’hypothèse des radiations de Camp Valley.


Ce fut avec mes incertitudes que je regagnai la pièce principale, une serviette autour de la taille. Ce que j’y découvris n’aurait jamais dû me surprendre. Et pourtant. Avec Polly, nous nous trouvions plongés dans un état animal. Nous ne faisions plus que tuer et baiser de manière sauvage. Chaque partie de culbute était un combat qu’il me fallait remporter. C’était à peine si nous trouvions le temps de nous restaurer, comme si le sang et la chair nous suffisaient amplement. Et Kelly-Ann était sur le point de nous rejoindre dans ce chaos.


Allongée sur le ventre, les jambes tendues et la tête entre les cuisses grandes ouvertes de Polly adossée contre le montant du lit, le dos sous un oreiller, Kelly-Ann titillait le clitoris du bout de la langue. À en juger les plaintes qui s’échappaient de sa bouche et les mains atrocement crispées de Polly, elle s’y prenait mieux que moi pour faire jouir ma princesse de cette manière. J’avais souvent testé ce bouton d’amour, mais jamais je n’avais su lui procurer un tel plaisir. Les décharges électriques émanaient toujours de ma queue enfouie en elle.


Polly agrippa tout à coup la tête de la blonde et planta ses griffes dans son crâne pour la maintenir en place, le corps tendu comme un arc. Elle haleta encore quelques secondes avant d’exploser, l’orgasme tordant son ventre et ses membres à la limite de la douleur. Elles restèrent ainsi une longue minute durant laquelle la poitrine de Polly ne cessait de se soulever selon un rythme irrégulier, à la recherche d’un nouveau souffle. Kelly-Ann, quant à elle, persistait à donner du plaisir à sa partenaire par de petits coups de langue répétés.


Une fois revenue sur terre, Polly grilla une cigarette pendant que Miss America glissait lentement sa langue dans sa fente. Les yeux fermés et la tête reposant contre le mur, ma belle s’abandonnait pour la seconde fois. C’en était trop. Il fallait absolument que je participe, que je garde l’exclusivité du sexe de ma complice. Je devais en être l’unique détenteur.


D’un geste, je balançai ma serviette sur le sol et fondis sur elles, la queue dans la main. Debout, les muscles des cuisses crispés à l’extrême, je m’astiquai fermement au-dessus de cette langue lapant la chatte de ma partenaire. Polly, les yeux grands ouverts, me regardait agir, un sourire au coin des lèvres. Je sentis sa main se poser sur ma hanche tandis qu’elle cambrait ses reins à n’en plus finir, m’offrant ainsi la finesse de son ventre.


Les plaintes allaient bon train dans la chambre, on aurait dit une orgie démoniaque tant les gémissements se faisaient puissants. Jaillissant des profondeurs de nos entrailles, nos âmes décharnées se libéraient de leurs chaînes pour déployer leurs ailes lacérées au rasoir.


Explosion.


Une abondante giclée de foutre tapissa la toison de Polly pour dégouliner sur ses petites lèvres. La langue de Kelly-Ann accomplissait mille prouesses, déclenchant des orgasmes de feu à l’intérieur du ventre de ma princesse tandis que j’inondai la peau de ces créatures. Mon foutre se mêla bientôt à leurs délicieux organes respectifs, Miss America recueillant la substance de l’extrémité de la langue pour laisser couler le sperme dans sa bouche.


Puis, les lèvres baveuses, elle poursuivit son œuvre en insinuant une dernière fois sa langue chargée de foutre dans la fente. Cet acte semblait une communion mystique, pleine et entière, comme si nos sexes ne faisaient plus qu’un pour se concentrer dans un noyau de plaisir au cœur de Polly.


Un long hurlement déchira alors le silence tandis que Kelly-Ann succombait à son émotion. Je la vis sangloter, haleter, cherchant mon regard, les yeux embués de larmes clairs et le menton constellé de foutre. Toutes deux me prirent les mains et les serrèrent à me les arracher, comme si nous venions de sceller un pacte sacré, ici, dans cette chambre minable.


J’étais en sueur, le cœur au bord des lèvres. Polly elle, avait joui et la terre avait tremblé. Tout était devenu rouge autour d’elle. Un soleil avait explosé à l’intérieur de ce modeste motel, ravageant tout sur son passage, laissant l’humanité à ses doutes et ses contradictions. Nous filions tous trois dans une étoile, une super-nova du nom de Liberté. Pour preuve, la clope de Polly gisait à terre, dévorant la moquette de la chambre en laissant une odeur de cramé dans l’air.


La bête qui avait brisé ses chaînes à l’intérieur de mon être accepta de retourner dans sa cage et je pus enfin me relever. Kelly-Ann m’attendait, debout, nue à mes côtés. Elle me prit dans ses bras et m’embrassa sur les lèvres. Et lorsqu’elle cessa son étreinte, je remarquai une mouche posée au-dessous de la fine toison de Polly. L’insecte s’abreuvait de mon sperme aux petites lèvres comme une source d’eau claire.


Alors je giflai le cul de Miss America en scrutant cette mouche qui donnait à Polly un faux air de cadavre.



Et le temps qu’elles filent prendre leur douche, la deuxième pour la bimbo, je passai de nouvelles fringues propres. Jason me regardait, les yeux exorbités. Il avait vraisemblablement assisté à la scène et savait maintenant ce dont nous étions capables.





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n° 1263713/06/08
Copain copine...
critères:   inconnu grossexe trans intermast fellation nopéné -transsex
12918 caractères
Auteur : Chopito

De sortie avec un groupe que je ne connais pas trop ou disons plutôt pas depuis longtemps, nous faisons le tour des bouchons lyonnais pour trouver l’endroit idéal pour manger et bavarder tranquillement.


Il y a deux copines assez libérées, deux hommes, artistes dans l’âme et larges d’esprit et… une superbe créature que mon regard ne peut s’empêcher d’accrocher à la moindre occasion, ce qui fait sourire les deux copines. C’est une femme dans la trentaine ou à peine plus, d’une grande assurance, au regard perçant et au caractère trempé, mais d’une sensualité enveloppante, de celles qui vous hypnotisent et vous poussent à des pensées érotiques. De plus, d’une grande beauté féline. Son teint mat doit y être pour quelque chose, comme sa voix légèrement grave et envoûtante. Elle doit avoir des ancêtres d’origine antillaise ou africaine. Mes questions devront trouver des réponses avant la fin de cette soirée et je m’y emploierai !


En observant mon empressement à approcher Liliane, la belle créature, les deux copines n’arrêtent pas de pouffer de rire en douce, comportement qui me parait quand même étrange. En effet, quoi de plus naturel que d’être attiré par une belle femme, surtout avec la discrétion et la retenue dont je fais preuve ?


En nous asseyant autour d’une table, une des deux copines me glisse à l’oreille :



Cela excite ma curiosité au plus haut point, et je m’imagine plein de trucs, du genre : elle doit être lesbienne ou sado-maso, ou folle de sexe. Tant mieux, au moins elle n’est pas banale. Au cours du repas, je m’aperçois joyeusement que je ne lui suis pas indifférent, elle semble même curieuse de mon personnage. J’en profite pour lui envoyer quelques compliments sur sa beauté et sur son charme naturel, ce qui rend hilares les deux copines et j’avoue que cela m’énerve un peu. Liliane le ressent et se penche vers moi pour me glisser :



Je suis de plus en plus intrigué, et un peu perdu. Son sourire ravageur me désarme passablement, et je vois dans ses yeux une lueur de malice et d’envie mélangées… Elle me plait ! Je me risque donc :



Au cours de la soirée, sa féminité charmante continue à me séduire, si bien qu’elle me fait comprendre à demi-mot que je lui plais également. Je suis aux anges. La conversation tourne peu à peu vers le sexe et elle me demande si je n’ai pas de tabou particulier. Bref, si je suis libéré des culpabilités trop courantes. Hou là là ! pensé-je, la fin de soirée risque d’être chaude !


Mon excitation grandissante n’échappe pas aux deux copines qui, s’étant levées, m’appellent du bout de la salle, prétextant une demande de renseignements. Je les rejoins ; elles se pressent contre moi en riant à demi et me susurrent :



Ma tête, à cette minute, devait ressembler à celle du gars qui a ramassé une balle en plein cœur.



Par cet artifice, je réussis à masquer ma déroute intérieure et à enchaîner sur de la rigolade bon enfant mais, dans ma tête, c’est un peu Waterloo… en pire. Cependant la sensuelle Liliane me charme toujours autant, et plus je l’observe plus elle me plait et plus mes pensées sont confuses. Comment un si charmant sourire, une poitrine si parfaite et une démarche si gracieuse pourraient appartenir à un mec ? Impossible ! À mes yeux, pas de doute, Liliane est bien une femme. Son âme est une femme, son charme est féminin et elle me séduit au maximum.


Pendant les conversations croisées, je reste silencieux, et m’imagine plein de trucs, du genre : elle a été opérée pour devenir une femme. Mais a-t-elle toujours un sexe masculin ? Cela me parait impossible, surréaliste. Cela serait d’un contraste fou : une si belle femme avec un sexe d’homme. Dingue, non ?


L’heure tardive nous pousse à partir, et nous déambulons dans les rues de Lyon en copains chahuteurs. Les deux copines commencent à se bécoter, en gloussant à l’idée de finir dans le même plumard. Elles transpirent le désir et nous excitent en même temps. Les deux copains artistes commencent à vouloir s’éclipser. Bye bye ! Bonsoir ! Et Liliane et moi, nous nous retrouvons seuls dans les petites rues de la vieille ville. J’enchaîne :



Vivre un moment pareil, c’est un peu comme se réveiller d’un coma. On ne sait plus vraiment où on habite. Et cela tombe bien, car je l’entends dire :



Ayant un goût prononcé pour les jolies femmes et les aventures originales, j’accepte sans hésiter. Après tout, je ne risque rien. Dix minutes plus tard, nous montons dans son appartement résidentiel qui sent bon le grand luxe, avec un intérieur d’un goût d’artiste comme seule les femmes savent les arranger.


Sans quitter son manteau, elle se retourne vers moi, sûre de son charme, et me dévisage intensément de ses yeux profonds. Elle avance doucement… et moi, je fonds comme une plaquette de beurre au soleil. Mes lèvres viennent chercher les siennes. Un long baiser profond s’ensuit et dans ma tête une pensée surgit : Je suis en train d’embrasser un homme, c’est incroyable !



Le genre d’attitude qui me fait des frissons partout.



Moi, je ne peux plus rien dire car j’ai un trac « balèze » ; j’ignore comment les choses vont se dérouler. Comment est-elle sous sa jupe ? A-t-elle un énorme sexe d’homme ? S’est-elle faite opérer ? Je vais plonger dans le bizarre, une grande première !


Elle disparaît cinq minutes en me laissant devant un verre de whisky qui me redonne des couleurs puis elle revient dans un peignoir sombre qui lui donne un air encore plus mystérieux. Sa poitrine superbe se laisse regarder à demi. Quel canon ! Me prenant par la main, elle m’attire dans une pièce romaine superbe ou trône une grande baignoire centrale à deux places, surplombée d’une douche à pommeau doré. Superbe effet ! Elle commence à me déshabiller doucement, avec application. Je sens mes mains qui tremblent de désir et… d’appréhension. La grande aventure, je vous dis ! En faisant glisser son peignoir sur ses épaules je découvre un corps superbe, un peu musclé mais très fin, avec une taille mince et des reins de princesse, des fesses que je devine très fermes sous un slip rouge vif. Et là, je fais glisser ce tissu soyeux en embrassant ses seins parfaits, libérant… un sexe en début d’érection, assez long, mais pas encore dressé ; je vous assure que cela me fait drôle ! Vraiment drôle !


Me prenant le visage à deux mains pour déchiffrer ma réaction, elle me dit :



Et elle éclate de rire de bon cœur. Un barrage vient de céder, moi je suis plus à l’aise et elle est rassurée par ma réaction d’acceptation. Devant des potes j’aurais l’air fin ! Il y a des situations où l’on a vraiment besoin d’être sûr que personne ne regarde, ni ne sache quoi que ce soit. Le mot intimité prend alors tout son sens, et j’y pense tout à coup :



Mon visage et mes lèvres parcourent ses épaules et son cou, descendent sur ses seins bien ronds. Elle ne rit plus, elle savoure l’instant en sachant que nous allons faire l’amour. Et moi, j’ignore comment cela va se poursuivre. Je me laisse aller à mes envies qui deviennent pressantes. Je glisse mon regard sur son bas-ventre où s’érige un sexe surdimensionné, de couleur mate, faisant ressortir un gland luisant et rose de plaisir. Elle bande aussi fort que moi.


Sa main souple s’aventure sur ma verge tendue et en apprécie les contours, en détaille les reliefs de ses doigts fins, me faisant tressaillir au gré de ses caresses. Elle enveloppe mes testicules en les faisant rouler tout en douceur. Elle aime le sexe masculin, sans aucun doute. Et moi, j’aime la féminité et tout ce qui va avec. Et voir ce corps voluptueux et plein de charme avec cette bite fière et droite qui demande son complément me plonge dans un abîme, un mélange de confusion et d’excitation. Hypnotisme du paradoxe et croisement de genres qui réunit dans une seule personne les antipodes de l’humain ! Je suis dans les mains d’un androgyne.


Je suis habitué, avec une partenaire, à caresser la toison délicate d’un entrejambe discret pour aller chercher la fente humide et glissante des lèvres entrouvertes, pour finir par pénétrer un doigt curieux dans cet écrin de chaleur moite, en provoquant un soupir de plaisir qui appelle la pénétration du sexe tendu. Et là… quand mes mains palpent ces fesses sculpturales et poursuivent vers l’entrejambe offert, elles rencontrent cet organe rigide qui coulisse sous les doigts. Je m’accroupis pour approcher mon visage de ce pieu superbe et j’ai alors, en levant le regard, la vue de ce gros sexe masculin sur fond de seins parfaits et d’un charmant sourire. Hallucinant !


Mes mains se posent sur les hanches fermes de la belle, et ma langue viens palper le frein tendu de son gland érigé. J’hésite quand même, et j’engloutis goulûment le bout de ce sexe lisse et chaud. J’entends soupirer Liliane. Elle m’encourage à continuer pour plus de plaisir et je suce ce gland rose et doux comme un bonbon salé. Ma main droite remonte entre ses fesses dures et fermes, venant masser lentement son anus enserré. J’avale au maximum sa verge cambrée et seul le fond de ma gorge vient arrêter ma passion vorace. Mais un haut-le-cœur me rappelle à l’ordre.



Elle se penche à son tour vers mon sexe bandé. Sa main l’enserre fermement et glisse la fine peau le long de ma hampe tendue, libérant tout à fait mon gland rose et joufflu. Elle n’en fait qu’une bouchée, aspirant à l’excès mon membre tout entier. Il doit aller jusqu’au fond de sa gorge. Elle coulisse ses lèvres sur toute la longueur, me mettant en état de conscience affaiblie. Je ne sens plus que sa bouche gloutonne et brûlante.


– Tu veux goûter ton sperme ? me lance-t-elle tout à coup.

– Fais-moi tout ce que tu veux !


Tout à fait rassurée par mon assentiment, elle avale ma bite encore plus goulûment, en des va-et-vient endiablés dans sa bouche de feu. Elle aspire en pompant, en pivotant la tête, et mes mains sur son crâne suivent la cadence. Je ne peux plus me retenir et le lui fais comprendre en gémissant plus fort. Elle poursuit comme si de rien n’était. Je me vide dans sa bouche dans un spasme éclatant ; d’autres suivent, moins forts mais de longue durée. Elle pompe mon gland en grande aspiration, sensation merveilleuse. Mon sperme est dans sa bouche, elle a tout conservé. Elle se relève malicieuse, prend ma tête à deux mains et me roule une pelle au goût salée et acre. Le baiser se prolonge pendant que ma main enserre son sexe toujours bandé. Nous avalons tout dans un baiser brûlant.


Elle se recule maintenant au milieu de la pièce. Je peux contempler ainsi l’ensemble de son corps, déesse surréaliste au sexe énorme et sombre. Elle s’assoit sur le rebord de la baignoire, se penche en arrière, une main en appui, et se branle de l’autre lentement, donnant à son sexe encore plus de longueur. Me fixant sans faiblir de ses yeux suppliants, elle cherche le plaisir à travers mon regard. Je vois ses yeux se fondre dans la jouissance trouvée. Son souffle s’est arrêté et sa main ralentit. Un jet blanc à jailli, puis deux autres en saccades. Quel plaisir elle a pris avec son sexe d’homme !


Son regard satisfait et complice me remplit d’aise ; elle vient se blottir contre moi en susurrant :



Notre monde est rempli d’aventures et de découvertes… même jusqu’entre les cuisses d’une jolie femme !



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n° 12644 Nouvelle libertine, j'ai envie de rattraper le temps perdu16/06/08
Ma première rencontre libertine
critères:   fh fplusag inconnu grossexe fépilée telnet hmast facial fellation préservati -internet
7204 caractères
Auteur : Elfia28

Étant nouvellement célibataire, j’ai décidé de redécouvrir le plaisir sous plusieurs formes et de briser tous les tabous que mes années en couple ont instaurés.


Venant tout juste de fêter mes 30 printemps, j’ai décidé de m’offrir un petit cadeau d’anniversaire un peu spécial et coquin et cela m’a tellement plu que j’ai eu envie de vous le raconter. Mais avant tout, je vais me décrire. Je viens donc tout juste d’avoir 30 ans, je mesure 1 mètre 70 et pèse 55 kilos. Je suis brune, les cheveux mi-longs et lisses. Je reconnais avoir une poitrine assez généreuse qui plaît à mes partenaires.


Ce soir-là, j’étais seule chez moi et je pianotais sur le clavier de mon ordinateur en visionnant des annonces d’hommes cherchant des rencontres coquines dans ma région. Et là, contre toute attente, mon regard a été attiré par un profil correspondant à mon critère de sélection. Un jeune homme de 25 ans y annonçait être libertin et voulait faire découvrir ce style de rencontre à une novice. Ni une ni deux, je lui envoie un message, spécifiant que j’étais intéressée par son profil et qu’il pouvait me contacter sur ma messagerie instantanée.


Après une discussion assez motivante sur MSN puis au téléphone, un rendez-vous fut fixé pour le lendemain soir… Petite précision, étant donné que je ne pouvais recevoir car je préférais encore être sur mes gardes et ne pas convier n’importe qui chez moi, le rendez-vous se prit à son domicile.


À l’heure convenue et dans une tenue séduisante, je sonnai chez lui.


Quand il m’ouvrit la porte, je ne regrettai pas le déplacement car il était vraiment beau. Je ne pus m’empêcher de le détailler de haut en bas : tout était parfait. Il était sportif, portait un tee-shirt et un jean à la mode, dévoilant des formes généreuses que je ne tarderais pas à découvrir.


Il m’invita à entrer. Il vivait dans un petit appartement décoré dans un style asiatique. Nous avons discuté tout en dégustant une coupe de champagne qui me fit un peu tourner la tête, mais la sensation était excitante surtout dans de telles circonstances.


L’alcool nous désinhiba un peu et le but de la soirée s’amorça. Gaël posa ses mains sur moi et m’embrassa, sa langue s’immisça dans ma bouche. Elle était douce et titillait la mienne vigoureusement. Je m’allongeai sur son canapé et me laissai aller au plaisir. Étendu sur moi, il posa une main sur ma jambe et remonta le long de ma cuisse. Il sourit quand il arriva en haut et découvrit que je ne portais pas de sous-vêtement.


Gaël quitta ma bouche et descendit vers mon cou, il défit mon petit haut et libéra ma poitrine sur laquelle il ne put s’empêcher de porter un regard excité. Il caressa mes seins et fit s’ériger mes tétons qu’il ne tarda pas à lécher doucement comme s’il désirait en faire sortir un liquide sucré. Il continua ensuite sa descente le long de mon corps et défit ma jupe, laissant découvrir mon sexe que j’avais totalement rasé pour l’occasion. Il commença par le caresser de sa main.


Je sentais que mon intimité était déjà ruisselante suite à ses caresses. Il s’abaissa et commença à me lécher goulûment. Sa langue titillait mon clitoris et s’immisçait à l’intérieur de moi, il gémissait et je voyais qu’il se frottait à son canapé. Il entra un doigt à l’intérieur de mon vagin et fit un mouvement d’aller-retour tout en continuant à faire pointer sa langue sur mon clitoris qui était gonflé de plaisir.


Le regard de Gaël croisa le mien et je lui dis que je souhaitais à mon tour m’occuper de lui. Il se leva. J’étais assise sur le canapé, il ôta son tee-shirt et laissa apparaître une musculature qui m’excita pleinement. Je levai les mains vers ses pectoraux puis, tout en le caressant, je les descendis vers ses abdominaux fort bien dessinés et arrivai au premier bouton de son jean qui me sembla prêt à exploser tant son sexe semblait tendu.


Gaël, excité, m’annonça qu’il était fortement pourvu et qu’il était prêt à continuer à me donner du plaisir. Je lui dis que pour le moment le plaisir serait à lui. Je déboutonnai son jean puis il l’ôta, laissant apparaître un sexe très imposant. Sa verge bien droite et toute dure me faisant face, je la saisis et commençai à la caresser.


Les gémissements de Gaël m’excitèrent et je la pris en bouche. Ma langue dessinait sur son gland des cercles humides, je soupesais ses bourses qui pendaient et étaient d’une taille vraiment imposante elles aussi. Ma langue montait et descendait le long de sa hampe et je sentais son precum venir émoustiller mes papilles à chaque fois que je le décalottais. Son membre dépassait bien les 22 centimètres et je ressentis l’envie de le sentir à l’intérieur de moi.


Gaël recouvrit sa verge d’un préservatif et m’installa en levrette sur son canapé. Il s’abaissa et lécha ma fente déjà bien humide. Quand il se redressa, j’eus hâte de le sentir coulisser en moi. Il frappa son sexe bien dur sur mes fesses et l’humidifia avec sa salive… Quand sa verge pointa à l’entrée de mon vagin, je fis un petit mouvement de recul pour qu’il comprenne que je le désirais en moi au plus vite. Gaël comprit mon appel et entra d’un coup en poussant un gémissement.


Il commença à aller et venir en moi. Son rythme était variable, il alternait les allers et retours doux et lents et des mouvements plus intenses et rapides. J’aimais le sentir à l’intérieur de mon vagin, il glissait bien en moi. Il jouait avec ses mains et je ne tardai pas à sentir un de ses doigts qui titillait mon anus et un autre qui titillait mon clitoris. J’étais au bord de l’orgasme, les coups de ses bourses frappant mon clitoris apportaient à mon plaisir une dimension nouvelle et j’aimais aussi entendre ses gémissements qui se mêlaient aux miens.


Gaël ralentit la cadence. Je lui demandais s’il désirait jouir et il me dit qu’il était en effet au bord de l’explosion. Je fis un mouvement pour qu’il sorte de moi et me retournai vers lui. Je saisis son membre et le libérai de son capuchon. En effet, je déteste que mes partenaires jouissent en moi, je préfère pouvoir les voir jouir.


Je posai à nouveau ma langue sur son sexe tout en le masturbant. Gaël se laissa faire, lui debout, moi à ses genoux et il osa même quelques mouvements pour pénétrer ma bouche. Usant de mon regard coquin, je m’allongeai sur son canapé et lui fis signe de se positionner au-dessus de moi et lui demandai, tout en me masturbant pour jouir aussi, de jouir sur ma poitrine.


Gaël saisit donc sa verge et la masturba avec force. J’aimais le regarder, son visage était très expressif dans son plaisir. Sa respiration se fit plus haletante, se mêlant à mes gémissements. Je lui annonçai mon orgasme et commençai à jouir intensément. Il a alors accéléré son rythme et un premier jet de sperme a atteint mon visage, un jet chaud et liquide qui glissait maintenant le long de mon cou, suivi d’une demi-douzaine de jets qui inondèrent mes seins alors qu’il gémissait très bruyamment.


Gaël m’embrassa et caressa mes seins ruisselants de sa semence. Cela m’excita terriblement.


Je garde un souvenir très agréable de cette soirée et espère que cette confession de ma première rencontre à visée libertine vous donnera envie de lire les suivantes. Car depuis, les rencontres n’en ont été que plus enrichissantes encore…


Bisous à vous tous…



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n° 12664Petite Brune Piquante20/06/08
Corps à corps
critères:   fh jeunes grossexe sport voir massage fellation pénétratio -amourpass -fellation
15003 caractères      
Auteur : Petite Brune Piquante      Série : Amour, sexe et autres contrariétés avec un rugbyman - 03



Isa n’a pas le temps de répondre car on sonne à sa porte au même moment.


Ça fait plusieurs jours que je n’ai pas revu Denis car on doit réviser nos partiels de milieu d’année. De plus, il a ses entraînements de rugby, et moi mes répétitions à l’harmonie où je suis seconde flûtiste. J’ai envie de le revoir car nous n’avons pas eu un moment d’intimité depuis notre nuit torride dans le parc. Il me manque mais je prends aussi beaucoup de plaisir dans cette attente, en pensant à lui et en imaginant des scénarios plus érotiques les uns que les autres pour nos prochaines retrouvailles.


Et là, en ce dimanche de mars, ô stupeur, il se présente sans m’avoir prévenue au préalable à la porte du studio de ma meilleure amie ! Et il n’est pas seul. À côté de lui se tient un jeune homme qui me rappelle vaguement quelqu’un… Mais que… Oh non, on dirait le mec avec qui j’ai flirté au nouvel an ! Mais qu’est-ce qu’il fait là ?


Le soir de la Saint-Sylvestre, Isa, Aurélie et moi étions sorties faire la fête et ce beau jeune homme avait attiré notre attention. Il s’avéra qu’il avait été au Lycée avec Isa et on lia facilement connaissance. Comme il plaisait autant à Aurélie qu’à moi, et qu’aucune n’avait envie de renoncer à le séduire au profit de l’autre, on avait instauré une sorte de concours. Bref, à l’issue d’une lutte acharnée, j’avais remporté mon trophée, à renfort d’œillades coquines et d’effets de wonderbra. Or, il n’y avait eu aucune suite à cette soirée. Ni échange de téléphones ni souhait de se revoir.


D’ailleurs, pour l’heure, je n’arrive même pas à me souvenir de son prénom. Je suis très mal à l’aise, je ne sais pas comment réagir. Je n’ai pas souhaité la présence de ce charmant garçon. Que va penser mon nouveau copain ? Que je joue sur plusieurs tableaux… Pour une fois que j’étais sérieusement éprise, ce n’est pas de chance.


Isa me sauve la mise :



J’ai retrouvé un peu de couleurs, je regarde Denis, je pense qu’il a senti qu’il y avait un truc pas net mais il ne semble pas du tout inquiet, sûr de lui, comme à son habitude.



Ouf, je m’en suis bien sortie, un ange passe. Isa se retient de rire. Philippe a l’air un peu mal à l’aise et Denis, lui, me regarde droit dans les yeux, s’avance vers moi et m’embrasse fougueusement devant les deux autres. C’est fou l’effet qu’il me fait, sitôt qu’il m’a relâchée je me laisse choir dans le fauteuil le plus proche.


Le reste de la soirée se déroule très bien puisqu’on finit tous les quatre devant Le Grand Bleu avec une pizza… Dont acte !


_______________



Après cette sympathique soirée, où j’ai bien failli passer pour une vraie garce aux yeux de celui qui hante désormais mes pensées, je sens que je vais devoir déployer tous mes charmes afin de continuer à le séduire…


Qu’est-ce qui peut bien faire plaisir à un joueur de rugby ? Jouer les groupies dans les gradins avec les autres copines des joueurs, non merci, j’ai autre chose à faire d’un peu plus intéressant et productif. D’ailleurs, la seule chose que j’aime dans ce jeu, ce sont les joueurs et un en particulier. Mumm, une séance de massage relaxant après un match, ça devrait produire son effet.


Le mardi suivant, je me rends chez lui après son entraînement, comme convenu la veille en cours de droit civil. Je porte un jean moulant délavé avec un pull en cachemire gris clair au col en V très échancré qui met en valeur ma poitrine et mes sous-vêtements en dentelle ivoire. J’ai revêtu mes talons les plus hauts afin de réduire la distance qui nous sépare (1m62 pour moi contre 2m02 pour lui, le combat est inégal).


J’ai relevé mes cheveux qui restent attachés grâce à deux baguettes chinoises en ivoire, héritées de ma grand-mère et que je porte sur moi dans les moments vraiment importants. Dans mon sac de ville, j’ai glissé une bougie parfumée orange et cannelle ainsi qu’une huile de massage relaxante à l’enivrante odeur de musc.


À peine m’a-t-il ouvert la porte qu’il me soulève dans ses bras et me plaque contre le mur en m’embrassant à pleine bouche. Je noue instinctivement mes jambes autour de sa taille, ce qui a pour effet de lui donner envie de me serrer encore plus fort contre lui et les parois de son appartement. Je lâche mon sac pour croiser mes bras autour de son cou et répondre à son étreinte bestiale. Maintenant, il me soulève par à-coups en s’aidant de son bassin.


Je sens son érection à travers nos vêtements. J’ai toujours autant envie de lui. Être dans ses bras, l’embrasser, sentir son désir, répondre à ses ardeurs, tout cela me fait chavirer le cœur et le corps. Je lui murmure à l’oreille :



Il me met de nouveau en travers de son épaule et me porte ainsi jusqu’à son lit.



Il me dépose délicatement sur son lit en riant et s’allonge à mes côtés.



Je file chercher mon sac et reviens, un sourire mystérieux aux lèvres.


Il s’est allongé de tout son long sur son lit (réalisé pour lui sur mesure vu sa carrure atypique) et me regarde en souriant, sans mot dire, les bras croisés derrière la tête. Une des choses que j’apprécie chez ce mec, c’est qu’il a l’art des silences à bon escient. Il remplit pourtant tout l’espace de sa présence, de sa mâle attitude, de son charisme si inattendu chez un homme de son âge. J’aime son visage carré, ses yeux bleus, ses regards si expressifs, tour à tour tendres, coquins, rieurs mais durs et implacables aussi… Ses sourires narquois, ironiques ou franchement amusés… À ce moment, sa posture lascive et détendue contraste avec la passion déployée quelques minutes auparavant.


J’allume la bougie et éteins la lumière de sa chambre. Je mets un CD de Lenny Kravitz et ôte lentement mon pull et mes talons hauts. Je monte sur le lit et m’approche tout doucement de lui en jean et balconnet, une fiole d’huile de massage à la main. Comme c’est un mec intelligent, il a compris où je voulais en venir et accepte silencieusement d’être mon jouet l’espace de quelques heures.


J’entreprends de le déshabiller totalement. D’abord son t-shirt, puis ses baskets, son jean et enfin, son caleçon moulant.

Je lui intime l’ordre de se retourner et de s’allonger sur le ventre. Quelle belle vue ! Ses épaules, son dos, ses fesses, ses cuisses musclées, tout son corps m’invite à le caresser. J’enduis mes paumes d’huile et les frotte afin de les réchauffer un peu. Quand je pose mes pouces sur sa nuque, il tressaille légèrement. Je commence par de légers attouchements sur le haut de son corps, puis mes mouvements se font plus langoureux, pressants et appuyés.


Mes mains glissent sur sa peau, je sens tout son corps qui se relâche et profite de se moment de détente. Mes doigts remontent jusque dans ses cheveux pour un massage crânien des plus efficaces. Je crois que s’il était un gros matou, il se mettrait purement et simplement à ronronner…


Je sens peu à peu le désir monter en moi. Tous mes sens sont en éveil : le toucher, la vue, l’odorat… Je dégrafe mon soutien-gorge et le dépose à quelques centimètres de son visage. Il essaye de se retourner mais je le saisis prestement par les cheveux d’une main ferme :



Je lèche le lobe de son oreille, son cou. Ma langue glisse lentement le long de son dos et s’arrête sur ses fesses. Mes ongles griffent doucement son dos puis l’intérieur de ses cuisses. La pointe des mes seins frotte sur son joli petit postérieur et je commence a être aussi excitée que lui. Je lèche de nouveau avidement ses fesses et glisse une main entre ses cuisses afin de soulever légèrement son bassin pour me saisir de son sexe. J’y découvre une formidable érection. Ma main la flatte sur toute sa longueur et se fait de plus en plus insistante. Ma langue glisse vers ses testicules pour une caresse buccale… accompagnée de mouvements de ma main sur sa verge tendue à l’extrême.


Cette fois, l’effet est immédiat, il relève ses fesses un peu plus vers mon visage afin de m’offrir son cul magnifique et de libérer de l’espace pour sa queue en érection. Je meurs d’envie d’aller plus loin, de lécher l’intérieur de ses fesses au plus profond de son intimité mais je n’ose pas. Pas encore. Cela viendra peut-être naturellement une autre fois.


Je le fais rouler sur le côté afin de mettre fin à son supplice et lui prodiguer une fellation avec tout l’amour et le désir que je ressens pour lui. Je m’arrête un instant pour le regarder. Il avance ses mains pour titiller la pointe de mes seins. Il est tellement beau en cet instant, le corps offert à ma vue, la bite tendue à l’extrême !


Un léger liquide s’est échappé de son gland. Je me baisse vers lui pour goûter ce nectar. Ma langue joue avec son extrémité un moment puis j’avale sa queue pour la sentir tout au fond de ma gorge.


Comme j’aime le sucer, sentir son sexe énorme vibrer dans ma bouche, s’éveiller, s’agiter pour y mourir bientôt. Je voudrais enlever le reste de mes vêtements et m’empaler sur sa queue pour jouir avec lui de ce moment d’éternité. Mais la taille de son engin me rebute un peu. J’ai peur de ressentir plus de douleur que de plaisir. Alors que là, je sais que je lui en donne, et j’en prends aussi ma part. Je suce sa queue avec une ardeur décuplée et j’ai l’impression qu’il aime vraiment ça. Je l’entends respirer de plus en plus fort et soupirer mon prénom :



Ces paroles devraient me choquer un peu mais en fait elles m’excitent encore plus. Moi aussi, j’ai envie qu’il vienne en moi pour profiter un peu plus de son plaisir.


Mes lèvres se resserrent plus fort autour de sa queue, mes mouvements se font plus rapides et ma main se saisit de ses bourses pleines pour les malaxer avec douceur. Son bassin donne des coups de plus en plus rapides et fait cogner sa verge tout au fond de ma gorge. Elle est tellement dure que j’ai l’impression qu’elle va exploser et finalement, il éjacule dans ma bouche par saccades.


J’avale toute sa semence, gorgée après gorgée, je lèche son gland pour le nettoyer entièrement. Je ne pense plus à me brosser les dents… je goûte son amertume…


Puis, toujours aussi excitée, je m’allonge sur lui et introduis ma langue dans sa bouche. Il répond à mes baisers avec ferveur et vient à son tour se coller contre mon corps. Sa bouche délaisse la mienne pour se consacrer entièrement au bout de mes seins. Ils sont de plus en plus durs et je mouille comme une folle depuis un long moment déjà. J’ai pris autant de plaisir à le faire jouir dans ma bouche que lui à se laisser aller en moi. Mais là, j’ai envie d’aller encore plus loin.


Tout en léchant avec habileté mes tétons, il dégrafe mon jean. Je me retrouve dans ses bras vêtue en tout et pour tout d’un minuscule string. Il introduit un doigt dans ma chatte humide et l’enfonce le plus profondément possible. Il ressort son doigt et en introduit deux, de la même façon. Je n’en peux plus, je voudrais mourir d’extase dans ses bras. Je pousse un gémissement de plaisir. J’ai envie de lui crier de me pénétrer sur le champ, de me posséder comme un fou, de me prendre de la façon la plus violente qui soit mais je n’ose pas.


Peur de me lâcher réellement, de m’abandonner entièrement, de perdre le contrôle. Seulement, il a compris, sans que j’aie eu besoin de dire quoi que ce soit. Il prend son sexe de nouveau dur dans sa main et l’introduit dans le mien. D’abord le gland large et affûté puis tout le reste. Malgré toute la douceur de son geste, je ressens une vive douleur, comme je le pressentais. Mais je suis au-delà de cette douleur, submergée par le plaisir de lui appartenir enfin, de me soumettre à lui. Viens mon amour, viens au plus profond de moi et donne-moi tout ce que tu es, et même un peu plus.


Sa puissance m’ébranle. Je veux jouir. Je le repousse, retire fiévreusement mon string et me mets à quatre pattes sur le lit en lui présentant ma croupe pour lui offerte. Il ne tarde pas à me pénétrer de nouveau. J’aime tellement ça… Ses mains s’accrochent à mes hanches pour assurer les mouvements de va-et-vient de son bassin. Sa queue s’enfonce de plus en plus profondément en moi. Je glisse ma main sur ma vulve en feu et caresse mon clitoris frénétiquement. Le contact de mes doigts à cet endroit et de son sexe en moi ne tarde pas à produire un effet dévastateur sur mon cerveau. La jouissance survient violemment, totalement et je ne peux pas me retenir de crier mon plaisir. Mon sexe se contracte par saccades autour du sien, ce qui a aussi pour effet de le faire éjaculer en moi pour la première fois.


Lui aussi prend son pied. C’est un vrai feu d’artifice. Nos corps se relâchent d’un seul coup et nous tombons entièrement nus dans les bras l’un de l’autre, extatiques. Pour ma part, je suis complètement chamboulée. J’ai envie de recommencer, d’aller plus loin, de découvrir ensemble toutes les manières de donner et prendre du plaisir. Plus rien n’a d’intérêt sinon le faire jouir et jouir de lui. Est-ce qu’il ressent la même chose ? Est-ce qu’il a la même envie ?


On verra… s’il le veut…





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n° 12693Audrey02/07/08
Mon dentiste (3)
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22570 caractères
Auteur : Audrey      Série : Mon dentiste - 03

Puisque vous voulez tout savoir !

Je vous passe les appels téléphoniques plus osés les uns que les autres, mais l’un d’eux vaut le détour.


Lors d’un appel de mon " gourou " pendant un essayage, il m’avait demandé de lui passer la maquilleuse… Avec une certaine décontraction et amusement, la maquilleuse, tout en souriant, avait accepté de prendre mon cellulaire pour parler avec un inconnu… en quelques secondes, ce que je craignais arriva !



En reprenant le téléphone, j’étais confuse de honte, je n’osais plus la regarder.



Il me demanda de décrire la maquilleuse devant elle ! Ses yeux affichaient un étonnement, et sans perdre une miette de notre conversation, les mimiques et autres grimaces approuvaient ou désapprouvaient ma description :



Je m’égosillais, elle avait compris que ma question devait être embarrassante… après une seconde d’hésitation…



Mon embarras devait être visible, mais elle ne m’aidait pas !



L’amusement qui rayonnait sur son visage tendait à me décontracter sans vraiment y arriver.



Sa réponse sans appel, devait conclure l’apostrophe ! Je repris le téléphone :



Enfin, à peine en avais-je fini avec ce calvaire, en raccrochant, que j’allais devoir affronter le regard de cette petite brunette, qui était médusée par cet épisode.



Ma confusion était totale, son regard au-dessus de l’épaule du photographe pendant la séance de shooting, avait créé une gêne visible sur les planches photo, mais de cette expérience, je me sentais grandie, plus forte, capable de relever d’autres défis…

De toutes les manières, je savais que le jour ou je lui dirais "non ou stop" notre relation prendrait fin, je n’avais donc pas le choix !


Ma maquilleuse avait raison, je ne savais jamais à quoi m’attendre avec lui, pas le temps de m’ennuyer, car un peu plus tard, il me téléphona… pour que je passe à son cabinet dentaire.

Il exigea de me voir me masturber dans son fauteuil, lui tournant autour de moi, avec un appareil photo numérique. Scène qu’il me demandait souvent de jouer. J’étais souvent insatisfaite, car il ne me touchait pas pendant mes tristes solo, tantôt lascifs tantôt suggestifs mais très mécaniques, cependant tellement heureuse de lui être totalement obéissante lors de nos jeux d’exhibition.



————————————



Quelle semaine ! Mon homme n’avait que l’OM-PSG à la bouche, match qui devait se dérouler en fin de semaine au Vélodrome. Je m’en souvenais parce que j’avais imaginé une Saint-Valentin un peu différente… Et je ne pouvais pas dire mieux, quand je disais " différente " !


Le lundi soir Nico me baisa… c’est le terme qui convient. Il y a bien longtemps que la tendresse l’avait quitté. Il fantasmait à haute voix sur la possibilité de me voir jouer en groupe, son pouce dans ma bouche pour simuler une bite… Quelques coups de hanches auront eu raison de lui, il aura gesticulé moins de cinq minutes, et s’endormit aussi vite !

Dommage, je commençais à apprécier…(c’est triste parfois la vie de femme !)


Mardi matin, mon amant me téléphona. Il me proposa de passer une journée " surprise " demain en sa compagnie, et comme d’habitude, il m’ordonna de faire une juste description de ma tenue vestimentaire, dessous y compris. Je devais me débrouiller auprès de mes collègues pour passer discrètement le lendemain en compagnie de mon amant… la veille de la journée des amoureux, pas classe !

Il n’y a que les femmes qui comprendront ce que cela veut dire, mais cela m’a " titillé " toute la journée, mêlant parfois stress et envie en m’imaginant les pires perversions des situations que nous évoquions lors de nos conversations téléphoniques.

Je décidai de retirer mon string à la pause de midi tant il était mouillé.


Mercredi, dix heures quarante, je l’attendais… Enfin, il arriva à notre point de rendez-vous avec quelques minutes de retard, je m’engouffrai dans son véhicule… à l’arrière comme d’habitude, l’embrassai brièvement. J’entrouvris mon manteau pour lui montrer ma mini-jupe, écartai les jambes en lui expliquant la douloureuse après-midi que j’avais passée suite à son appel de la veille, pour expliquer la raison de ma nudité sous ma mini.



Son envie de me prendre, était presque palpable dans le ton de sa voix. J’affichai un clin d’œil et un sourire complice comme pour lui dire " Je suis à toi !".


En l’embrassant, mon regard se porta sur un livret sur le siège passager avant, que je pensais être un livre de " cul ". Pour exciter mon chauffeur, je pris l’initiative de prendre en main ce petit livret intitulé Netechan… titre coupé par la tête d’une jeune fille aux seins dénudés…

Les publicités et articles composés de photos étaient assez explicites. Les mots " club échangiste, sauna libertin mixte, hammam et bar lounge " revenaient sans cesse.

Devais-je comprendre que notre journée allait se dérouler dans un lieu libertin ? Je fus interpellée par une feuille publicitaire, pliée en deux, sortie tout droit d’un site internet.

On pouvait lire le programme journalier de cet établissement local, très certainement respectable… Je regardai donc très naturellement le programme du jour :


MERCREDI - Balnéo non-stop de 14h à 19h (Gang Bang) - Entrée offerte aux couples.



Il ne me laissa pas reprendre ma respiration.



Sa question sonnait comme un couperet, une tonalité qui me refroidit et qui voulait dire : « je ne veux pas de relation avec une femme jalouse ».



Sans un mot de plus… Nous roulions vers une destination inconnue en direction d’Aix…

Je décidai de l’exciter un peu en commençant à lire l’article d’une jeune femme qui relatait son expérience échangiste…


Nous sommes arrivés, vers midi, au restaurant du château de la Pioline. Le cadre y était magnifique ! J’étais ravie. Le repas était parfait, notre conversation des plus salaces que le serveur se délectait d’écouter au gré des plats, ne tenant plus. Nous nous étions tellement échauffés… Soudainement, comme lorsqu’il demande : « ouvrez la bouche » en tant que praticien, n’imaginant même pas qu’on puisse lui dire non :



À cet instant s’il m’avait demandé de passer sous la table recouverte de cette grande nappe… Je n’aurais pas hésité une seconde à me fondre sous la table. Il me proposa une fin identique mais dans un lieu moins voyant.



Aussitôt je me levai pour prendre la direction de la scène d’une débauche assurée… Dans mon empressement, j’avais oublié de lui demander si nous nous retrouvions chez les hommes ou chez les femmes. N’osant pas revenir sur mes pas, je me risquai à ouvrir et glisser une œillade à travers la porte des hommes… personne, parfait !

Je m’enfermai dans le premier WC relativement propre. Je nettoyai quand même la cuvette avec du papier. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, ma mini-jupe, mon pull et mon soutien-gorge étaient dans mon sac, gardant pour seuls habits mes bas auto-fixants…

J’entendis la porte des toilettes s’ouvrir… puis frapper à ma porte… j’ouvris, me cachai derrière la porte, pensant que mon amant allait entrer, mais il me saisit le poignet et m’extirpa, j’étais nue devant les éviers.



À ce même moment deux hommes, costume-cravate, la trentaine, type représentant, sourire aux lèvres, me découvrirent nue, à peine surpris. L’un d’eux s’adressa à mon tortionnaire, derrière lequel j’essayais de me cacher :



Attendant une réponse, je comprenais trop bien la situation, j’allais être offerte en dessert aux deux comparses de mon dîneur.



Je n’avais pas la possibilité de fuir, je me résignai donc à m’agenouiller devant eux, et défaire leur braguette… Mon amant en retrait vérifiait que personne ne pouvait arriver. L’excitation due à la situation eut pour effet de faire jouir le premier assez rapidement sur mon épaule.

Il s’en excusa et proposa à mon amant de prendre sa place, ce qu’il ne fit pas, et garda sa place de spectateur ! Le second fut plus dur à " terminer ", mais à force de travail, il essaya de me contraindre d’avaler sa semence en plaquant ma tête contre son sexe.

C’est avec un effort et une légère contorsion que j’esquivai son premier jet, le second, et le troisième… Pensant qu’il avait fini, j’allai replacer son sexe en bouche, quand un dernier jet heurta mon œil !

Avec professionnalisme, je redonnai quelques coups de langue et demandai au premier, s’il voulait un deuxième essai. Mais il refusa en me remerciant.


Sans plus aucune gêne je me relevai nue devant eux, les genoux meurtris par le carrelage. J’essayai tant bien que mal de nettoyer le sperme, ma paupière supérieure gonflait à vue d’œil… « C’est malin ! », pensai-je en me rhabillant.


En sortant, j’avais l’impression que personne n’avait aucun doute sur ce qui venait de se passer. Le sourire du serveur mit fin à mes dernières barrières. Je le regardai fixement dans les yeux en m’adressant à mon amant :



Mon mentor paya, nous prîmes congé de ce lieu charmant, sous le regard de nos deux commerciaux qui étaient accompagnés d’un homme bedonnant. J’avais échappé au pire !



J’étais prête à tout et je crois que j’avais très envie de connaître mes limites. Il n’y avait plus aucun doute sur mon envie de me faire baiser !


C’est à Luynes que je devais me découvrir… enfin, mon chauffeur tournait depuis cinq minutes dans le centre. Il avait oublié l’adresse exacte du lieu de rendez-vous quand enfin, à la vue d’une petite école, il s’écria :



Il ne lui fallut pas deux minutes pour trouver une place pour se garer. Très galant, il ouvrit ma porte, et prit ma main pour me faire sortir, puis passa sa main autour de moi, comme si nous étions un couple légitime ( j’adore cet instant quand j’y pense ). Je cherchai donc du regard un lieu libertin, mais rien…rien qui aurait pu me mettre sur la piste.


Tout en marchant amoureusement, nous nous sommes arrêtés devant la porte d’un magasin vitré recouvert de blanc d’Espagne ( pour les néophytes comme moi, c’est ce jour que j’ai appris que la peinture blanche qu’on applique sur les vitres des magasins en réfection s’appelait ainsi ! ).



Nous sommes rentrés, un homme s’affairait à peindre une colonne, torse nu, vêtu juste d’un pantalon blanc et de grosses chaussures. Sa musculature ressemblait à mon Nico.



Je cherchai du regard un endroit pour savoir où nous allions bien pouvoir nous amuser, mais une poussière blanchâtre recouvrait pratiquement tout endroit possible. Rien sans se salir.



Le second apollon aussi peu vêtu qui descendait des escaliers à ce moment-là, n’était physiquement pas pour me déplaire. Son visage me ravit. J’exprimai ma joie, par un sifflement qui ne laissait aucune ambiguïté sur l’effet qu’il me faisait.



Le salaud ! Mon amant avait osé envoyer des photos de moi certainement en train de me masturber dans son cabinet… J’allais lui en donner pour son grade !



Nous les avons suivis. Le premier étage était composé de deux pièces, et d’une salle d’eau. L’une était cossue avec une moquette rose au sol, qui remontait sur les murs jusqu’au plafond. Un canapé blanc moderne – « Salissant », pensai-je - trônait bizarrement au centre de la pièce. L’autre était une pièce vide, sans intérêt.

En entrant dans la pièce harmonieusement colorée, je laissai tomber sur le sol mon manteau que j’avais pris soin d’enlever dans les escaliers, mon pull suivit… rapidement.


Le premier ouvrier venait d’attaquer le début des festivités en baissant ma mini-jupe, ce qui illumina le sourire des trois petits cochons… N’étant pas Blanche-Neige, je n’allais pas m’enfuir quand un prince charmant me proposait de battre le fer avec son dragon devant la fontaine de jouvence…


Il m’installa sur le canapé, m’écarta les jambes largement, plaça sa petite gueule d’amour sur mon abricot et me fit découvrir avec doigté ses qualités de lécheur, pendant que les deux autres derrière lui se déshabillaient. Malgré la nette différence de taille entre mon amant et le jeune mâle, il n’avait pas à complexer !


Ils se placèrent de part et d’autre de moi. Je commençai par quelques mouvements manuels symétriques pour leur faire prendre une consistance appréciable, les deux ouvriers n’en revenaient pas de voir la taille du sexe de mon amant.

Mon lécheur était vraiment excellent, il frôla mon point de non-retour assez rapidement, ce qui n’est pas habituel - je suis vraiment longue à démarrer, en général.

Mais je voulais maintenant qu’on me baise, je voulais sentir une bite me remplir, sentir le frappement des couilles sur mes fesses, le frottement d’un corps sur mon abricot. Tout en laissant une chance à chacun pour savoir qui serait le premier, entre deux respirations, je haletai quelque chose qui devait ressembler à :



Mon lécheur se redressa, baissa son pantalon à mi-cuisse, mit un préservatif, et me fourra sans aucune autre formalité. Il m’arracha un cri de plaisir !



Enfin, je me faisais limer. Il imprimait un mouvement régulier qui chauffait mon bas ventre - signe de bon présage pour la suite. Toujours en train de branler son collègue et mon amant, l’ouvrier astiqué s’inquiéta auprès de mon amant :



Comme unique réponse, j’enfournai sa bite dans ma bouche avec une arrière pensée souriante… J’avais peur de lui faire mal, les coups de bite reçus étaient d’une rare violence. Je devais changer de position pour mieux jouer avec mon triple-X. Je sortis la bite de ma bouche de l’ouvrier :



Je respectais le désir de mon amant en jouant à la salope, par ce vocabulaire volontairement outrageant. Mon amant se proposa. J’avais bien senti que le petit jeune entre mes jambes serait bien resté plus longtemps, mais il obtempéra avec difficulté…

En me levant, pour changer de position, je trouvai amusant de me présenter :



Il avait encore son pantalon descendu au sol et ses chaussures, sa capote encore sur sa bite, la situation était grotesque.

Mon amant passa un doigt sur mon abricot, avant de s’asseoir.



J’allais objecter que ce n’était pas vrai, je voulais juste être ce qu’il désirait le plus… être sa soumise, sans conditions. Il insista :



Il attendait une réponse, tout en me saisissant fortement les hanches pour que je puisse prendre place sur sa bite.



Je positionnai la bite de mon amant avec ma main, la glissai doucement entre mes jambes et l’embrassai à pleine bouche.



Il badigeonnait de gel son sexe capuchonné d’un préservatif, puis le présenta à l’entrée de mon œillet. La pénétration aussi brusque que brutale, me lança comme une décharge électrique. Je n’avais pas souffert comme ça depuis longtemps !

Pas sans mal, nous étions arrivés à trouver une cadence harmonieuse. Malgré la douleur, je commençais à me laisser aller dans les yeux de mon amant, tout en continuant à l’embrasser, quand, interpellé par de vifs mouvements, mon sodomisateur éjacula dans mes entrailles. Je fis un petit sourire à mon amant.

Seb en recul, nous avait laissés prendre la pose, je n’avais pas fait attention qu’il nous mitraillait avec un appareil photo. Franck se décolla, pour s’asseoir sur la moquette.



Sa familiarité marquait un certain décalage d’éducation. En m’adressant à mon amant :



Tout le monde acquiesça. Je me tournai rapidement. Après quelques tentatives, mon amant n’arrivant pas me pénétrer, Franck lui proposa du gel, et le miracle fut. Il me pénétra avec facilité, un vrai régal. Le photographe s’agenouilla devant moi, en enlevant mes bas, et se crut obligé de préciser :



Hors de propos, mais qui devait laisser entendre qu’il ne sucerait pas la bite qui coulissait à trois centimètres de sa petite langue.


J’appliquai fermement la tête de mon lécheur pour qu’il puisse s’exécuter prestement. Il s’acquitta particulièrement bien de sa tâche, puisqu’il réussit à me faire jouir avec sa langue, aidé certes par la pénétration anale de mon amant.

Je me souviendrais particulièrement de ce moment… ma tête sur l’épaule de mon amant qui me caressait savamment de ses doigts, entre frôlements et pincements de la pointe de mes seins. De plus les petits coups de reins, pendant que les caresses buccales de Seb, qui tournoyaient sur le bouton de mon abricot, me rapprochaient chaque seconde du Nirvana.


Mais Franck, en caressant la plante de mon pied gauche, fit tomber la dernière barrière. Le puissant cri de libération me fit tomber dans un état comateux. Quand je repris conscience, Seb m’embrassait à pleine bouche. J’étais prise de part et d’autre, telle une tranche de jambon dans un croque-monsieur. Leurs bites me pénétraient sans ménagement, je me faisais défoncer sans complexe comme dans les productions pornos dont j’étais l’actrice, comme ceux que Nico aimait regarder en me bourrant ! Il éjaculèrent pratiquement en même temps :



En une seconde, il enleva le préservatif qu’il avait eu la peine de mettre, pour trouver ma bouche, qu’il remplit de quelques giclées. Comme une bonne écolière, j’usai mes dernières forces à le sucer, pendant que mes mains malaxaient ses bourses.



L’image de ma bouche déformée par la bite de ce jeune ouvrier, à quelques centimètres des yeux de mon amant, le sperme s’échappant de mes lèvres à chaque mouvement de bite dans ma bouche firent gonfler le sexe de mon amant à l’intérieur de mon p’tit cul annonçant une éjaculation puissante.



Mon amant jouissait. Il me posa comme une poupée de chiffon sur le côté, les fesses relevées, la tête et les épaules sur le canapé. Ma libération fut de courte durée, car mon cul plein de sperme avait inspiré Franck. Il s’enfonça sans aucune difficulté. Je ne sentais pas sa bite mais seulement les tapotements de ses hanches et de ses couilles sur mes fesses.

Ce traitement dura dix bonnes minutes et je le sentis jouir sur mon dos. C’est dans la même position que je m’endormis.


Cela faisait déjà plus de deux heures que nous étions arrivés, quand mon amant me sortit de ma léthargie et me proposa de rentrer. Je n’avais plus de force, mes jambes tenaient désarticulées telle une girafe sous un soleil de plomb. Mon manteau sur les épaules, nue dessous, mes affaires dans mon sac.

Nous prîmes congé des deux ouvriers par un petit baiser pour chacun. Ils voulaient la promesse de me revoir dans la semaine. Toujours éreintée, ma tête sur l’épaule de mon body-guard, celui-ci déclina leur offre… mais ne manquerait pas de les contacter par mail.


Je me suis rendormie rapidement dans la voiture. Mon chauffeur m’avait installée à la place du passager, et avait ouvert largement mon manteau laissant mon corps à la vue de tous. Galante attention, il avait monté le chauffage pour ne pas me faire souffrir du froid et, sûrement aussi, pour mieux m’exposer.

C’est en fait dans cette posture qu’il me réveilla dans le parking d’une rue jouxtant le lieu de l’association dans laquelle je travaillais. Je me suis rhabillée en quatre mouvements, je fis le tour du véhicule et en embrassant mon amant :



Et voilà ! J’avais osé lui dire que je l’aimais ! C’était l’idée qui trottait sans cesse dans ma petite tête en rentrant et je me demandais si ce petit mot de trop, ferait que nous nous reverrions… ou pas !




Je vous rassure, nous sommes toujours ensemble… et en sa compagnie je n’ai plus aucune limite, tout est permis !


Ne riez pas, le soir mon officiel, après m’avoir embrassée, me suggéra d’aller voir mon dentiste à cause de l’odeur due à une éventuelle carie. Il n’y avait pas photo, je sentais la bite. Et lorsque qu’il rajouta que j’étais belle, je ne pus retenir un sourire face au miroir de la salle de bain, avec mon œil poché.


P. S. : Nico, je sais que tu lis régulièrement ce site. Alors ose…soumets-moi avant qu’il ne soit trop tard !


Je t’aime, aussi !




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