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n° 13211Michel 324/03/09
Le dernier bastion de la bonne éducation
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16574 caractères
Auteur : Michel 3

Liliane est laborantine dans une pharmacie lilloise. C’est une fille sérieuse à son boulot, toute rose dans sa blouse blanche, gentille et serviable. Très BCBG. D’ailleurs, ses parents sont tous deux médecins. À vingt-trois ans, elle habite toujours dans leur grande maison de Lambersart. Elle mène une existence bourgeoise, confortable et banale. Une vie de petite fille riche. Par ces temps de crise, c’est une chance. Mais d’un autre côté, elle s’ennuie souvent.


Heureusement, il y a les sites de conversation sur la toile. Pour elle, c’est une fenêtre ouverte sur la diversité. Quand elle est seule à la maison, elle se connecte à des sites de rencontres. Sans grande originalité, son pseudonyme est Lili23. Le « 23 » désigne son âge. Des hommes viennent la draguer. Il y en a d’aimables et d’autres qui sont drôlement cochons. Elle-même se fait tantôt confidente, tantôt provocante. Elle surfe au gré de sa curiosité. Bien sûr, c’est un jeu. Un jeu de rôles. Un passe-temps d’intellectuelle. Liliane n’envisage aucunement de rencontrer les autres pseudonymes. Qui sont-ils ? Le prince charmant décrit dans le profil ? Ou bien de vieux messieurs libidineux ? Quelle horreur ! Liliane est prudente. Elle se limite au virtuel.


Le virtuel n’a d’autres bornes que celles de l’imagination. Et Lili23 ne se prive pas de délirer. Timide dans les premiers jours, elle ne recule plus devant l’audace. Un de ses jeux favoris est de faire croire qu’elle organise des concours de gros sexes… Elle pianote avec espièglerie : « Concours de bites ». C’est son côté carabin. Elle raconte qu’elle se donnera au gagnant. Elle reçoit toujours un déluge de réponses de la part de joyeux drilles. Ça l’amuse. La plupart se lancent dans une description extraordinaire de leurs attributs. Certains lui envoient même des photos ! Il y en a qui demandent le lieu et la date du concours. Elle donne des indications fantaisistes. Par exemple : « Derrière la palissade du parking désaffecté, sur le côté de la gare routière, ce samedi à 20 heures ». C’est de la rigolade.


Un seul correspondant a l’air de prendre le concours de bites au sérieux. Son pseudonyme est Afro18. Il a soi-disant dix-huit ans. Liliane ne compte plus les fautes d’orthographe dans ses courriels. Comme si l’exaltation lui mélangeait les doigts sur le clavier ! Malgré les propos frustes du jeune homme, une certaine alchimie s’opère entre eux. Liliane n’a pas le cœur de l’envoyer paître. Elle diffère le concours de jour en jour, sous des prétextes futiles. Lui, semble garder l’espoir que le fameux concours aura bien lieu. Comme il se fait pressant, elle finit par lui dire comme à d’autres : « Derrière la palissade du parking désaffecté, sur le côté de la gare routière, ce samedi à 20 heures ». Et puis elle n’y pense plus.


Le samedi, Liliane laisse la pharmacie à 20 heures. À la sortie de son travail, elle part prendre un autocar à la gare routière pour se rendre chez elle à Lambersart. Tandis qu’elle longe la palissade du parking désaffecté, elle se souvient du rendez-vous qu’elle a fixé à Afro18. Par curiosité, elle cherche une fente dans la palissade. Elle en trouve une et risque un œil de l’autre côté. Elle aperçoit un jeune Africain qui peut avoir dix-huit ans. Il est mignon, musclé. Liliane ne sait pas si c’est effectivement Afro18 ou bien si c’est un type qui traîne par-là. De toute manière, elle passe son chemin. L’autocar qu’elle doit prendre quitte la gare quelques minutes plus tard.


Sur la toile, Afro18 est déçu. Il s’est bien rendu au rendez-vous. Le pauvre a tout de suite compris que Lili23 se moquait de lui, puisque aucun autre homme ne s’y trouvait. On ne peut pas concourir tout seul ! Liliane ne sait que répondre. Alors pour faire diversion, elle change de sujet.


Elle lui demande si le « 18 » dans son pseudonyme correspond à son âge. Il la détrompe : c’est pour « dix-huit centimètres ». Liliane sourit. C’est une taille honorable par rapport à la moyenne mondiale qui est de quinze centimètres. Mais dans un concours de sexes, elle en imagine de plus avantageux ! Afro18 la séduit par sa naïveté. Derrière la palissade, ce garçon ne lui a pas paru méchant. Et puis, elle est son aînée de cinq ans, ce qui lui confère un léger ascendant. Elle se demande si elle ne pourrait pas le rencontrer, finalement. Histoire de lui serrer la main, de s’excuser et de se quitter bons amis. Brave fille, elle décide donc de lui fixer un nouveau rendez-vous, mais dans un café cette fois.


C’est le lendemain, à la buvette de la gare. Afro18 est pile poil à l’heure. Liliane doit insister pour qu’il prenne une consommation. Il ne parle pas un bon français. Liliane comprend qu’il n’est pas dans le pays depuis longtemps. La situation de ses papiers n’est pas nette, paraît-il. Manifestement, il est mal à l’aise. Il prétend qu’il cherche du travail sur Internet, avec l’aide de camarades. En fait, il semble surtout fréquenter des sites que visitent des amatrices de jeunes blacks. Est-ce que Lili23 aime les noirs ? Liliane répond qu’elle aime la terre entière. Mais la conversation est laborieuse. Afro18 est nerveux et semble pressé de quitter le café. C’est dommage. Liliane aimerait en savoir davantage sur lui et sur ses difficultés. Tant pis ! Ils finissent par s’en aller. Une fois sortis, Afro18 est fébrile. Une étrange lueur brille dans ses yeux. Il semble attendre quelque chose. Liliane lui propose son numéro de portable, au cas où il serait dans le besoin.


Mais Afro18 fait comprendre qu’il voudrait qu’elle le suive. Où ? Pourquoi ? Elle ne saisit pas. Elle le suit toutefois, par bienveillance. La sollicitude envers les plus défavorisés n’est-elle pas naturelle ? Alors qu’ils parviennent à la palissade du parking désaffecté, Afro18 lui désigne un passage. Liliane proteste qu’elle n’a rien à faire derrière cette palissade, surtout que la nuit tombe ! Mais Afro18 prend un air de chien battu. Quelles sont ses intentions ? Il bégaye piteusement. Le pauvre fait presque pitié ! C’est déraisonnable, mais Liliane peine à croire qu’un garçon si bien fait de sa personne peut lui vouloir du mal. Et puis, Lili23 a quelque chose à se faire pardonner. Alors, tout en se demandant si elle ne commet pas la plus grande bêtise de sa vie, Liliane se décide à franchir la palissade qui sépare les lumières de la ville de la pénombre grise du parking. Ce sera sa B.A. pour aujourd’hui.


Comme dans un mauvais film d’épouvante, la frêle Liliane déambule dans l’ombre d’Afro18. Ils descendent tous deux dans la partie souterraine du parking, ce qui l’inquiète beaucoup. Le coin est vraiment sinistre. Soudain, elle s’aperçoit que deux autres noirs les attendent, à la lueur d’une lampe à gaz. Patatras ! Liliane se convainc qu’elle est tombée dans un piège, comme une innocente. Paniquée, elle veut crier mais elle reste muette. Elle a conscience d’avoir la bouche ouverte mais aucun son ne s’en échappe. Cependant, Afro18 semble navré de cette frayeur. Et les deux autres garçons paraissent encore plus déconcertés que lui. Aucun n’a de geste hostile. Aucun ne fait mine de la toucher. Au contraire, ils se tiennent à bonne distance. En dépit des apparences, ou des idées préconçues, il ne s’agit peut-être pas d’un guet-apens. Alors quoi ?


Toujours sur ses gardes, Liliane a l’intuition de ce qui se passe. Son estomac se noue subitement. C’est simple : Afro18 lui organise le concours de bites ! Avant qu’elle puisse en douter, les trois garçons cyniquement alignés baissent leurs pantalons. Ils s’exposent mi-nus devant elle ! Carrément ! Avec une impudeur consternante… Liliane ne sait où se mettre ! Par une logique implacable, la voilà confrontée à la réalisation de son fantasme. Mais le rêve exaucé n’a rien d’érotique… On dirait de sordides vendeurs à sauvette. Qui déballent complaisamment leur marchandise, sans scrupule. En l’occurrence, de longs boudins noirs vaguement visqueux. Ce sont leurs bites vivantes, obscènes. Tant ils sont certains que l’étalage de leur écœurante nudité exercera sa séduction perverse sur Lili23. Ne se décrit-elle pas comme une nymphomane en chaleur, qui organise des concours de bites, pour se faire prendre par les plus grosses ?


Bizarrement, aucun des trois sexes ne se dresse. Pendus aux bas-ventres, ils balancent entre les cuisses. Ils ne sont pas si gros mais surtout très longs. Liliane se dit que 18 centimètres, c’est la dimension au repos. Les types ne se comparent pas les uns les autres. Leurs regards convergent vers Liliane. Ils scrutent chez elle les signes de lubricité espérés. Ils lui sourient pour témoigner de leur complicité salace. Ils ne doutent pas que Lili23 est comblée par leur triste initiative. Quelle certitude dans la bassesse de ses instincts ! Telle est prise qui croyait prendre ! Liliane s’interroge sur la façon de se sortir de cette farce. Elle n’est pas sûre de pouvoir rebrousser chemin. Et puis, les trois garçons commencent à s’exciter. En tout cas, ils se mettent à se masturber…


Ils se masturbent et leurs sexes se redressent, pour le coup. Ils deviennent disproportionnés. Liliane se souvient d’avoir lu un ouvrage intitulé : « La légende du sexe surdimensionné des noirs ». L’auteur fait remonter ce préjugé à l’époque coloniale et en dénonce les fondements racistes. Mais les sexes que Liliane observe ne sont pas une illusion d’optique. Les gamins sont montés comme des éléphanteaux ! Elle veut expliquer qu’il y a méprise. Mais Afro18 hausse le ton. Il commande à Lili23 d’approcher, dans un désordre impressionnant de mouvements. Il est véhément. Liliane préfère obéir, de crainte de l’exciter davantage. Il lui montre un mètre ruban posé sur un vieux pneu. C’est le moment de mesurer ! Les types sont toujours dans leur délire de concours… Qu’à cela ne tienne, Liliane les mesure sagement l’un après l’autre. Le suspense est insoutenable. Les nominés s’angoissent… Et le gagnant est… Afro18 ! Avec 26 centimètres !


Ses deux concurrents félicitent le vainqueur, avec des clins d’yeux graveleux en direction de Liliane. Ils se remballent à regret puis disparaissent dans la nuit. Liliane est soulagée de ne plus se trouver qu’en présence d’Afro18. Avec une bande de garçons, des dérapages sont toujours à craindre. Il suffit d’un geste de trop et tout bascule. C’est qu’elle n’oublie pas qu’elle s’est promise au lauréat. Quelle folie ! Le garçon est capable de s’imaginer qu’elle est consentante pour faire l’amour avec lui. Comme si les filles bien élevées donnaient leurs jolis derrières à des inconnus dans les parkings désaffectés, la nuit venue ! Hélas, Afro18 se déculotte complètement ! Il espère toucher sa récompense !


Pour commencer, Afro18 veut que Lili23 le masturbe ! Ses mimiques sont sans équivoque à ce sujet. Que faire ? Maligne, la jeune laborantine se dit que c’est un moindre mal. Elle n’a qu’à le faire éjaculer. Vidangé, il se calmera ! Elle sera tranquille… Considérée sous cet aspect physiologique, l’opération en devient presque thérapeutique. Liliane prend donc le sexe entre ses doigts et se met à branler. Au demeurant, c’est une gâterie qu’il lui a déjà fallu consentir à Hubert et Charles-André. Avec un peu de technique, ça ne dure pas longtemps. Deux minutes ? Trois minutes ? Par malheur, Afro18 se révèle bien plus endurant. Ce n’est pas que Liliane ne soit pas vaillante mais branler un engin si long et si gros n’est pas si facile. Elle essaie des deux mains. Rien n’y fait ! Le calibre la désespère. Bientôt, ses bras la font souffrir.


Afro18 s’en désole. Pour éviter la crampe, il réclame une fellation. Cette fois, c’en est trop. Liliane proteste que ça va comme ça et qu’elle veut partir. Le jeune homme fait des gestes rassurants. Mais il n’a rien compris. Il croit que c’est une simple question d’hygiène. Qu’à cela ne tienne ! Dans le parking, il y a un tuyau d’eau. Il s’en empare, ouvre le robinet et se rince abondamment. Sa bite est impeccable. Rien à redire sur la propreté ! Pas une odeur, plus une saleté ! Pour en finir une bonne fois pour toutes, Liliane s’accroupit aux pieds d’Afro18 et le lèche tout au long de la queue. Puis elle lui suçote le gland, du mieux qu’elle sait faire. Avec Hubert et Charles-André, l’éjaculation est rapide. Quand elle sent venir le sperme, elle se dégage tout en recrachant ce qu’elle a pu avaler. C’est le prix que la condition féminine doit payer au désir égoïste des hommes. Voilà tout ! Malencontreusement, avec Afro18, le temps passe sans qu’il se lasse. Toujours accroupie, Liliane s’épuise. Elle finit par perdre l’équilibre. Elle se relève péniblement et chancelle…


Afro18 l’agrippe par la taille. Elle lui doit de ne pas tomber, au risque de se blesser. Le jeune homme en profite pour l’embrasser. Ou plutôt, pour lui filer un patin de première bourre. Ses lèvres sont salement charnelles. Sans hésiter, il enfonce la langue. Liliane est surprise. Le garçon embrasse bien. Certes, c’est un foutu grossier personnage. Mais il est beau, musclé et il embrasse bien. Et puis, en fin de compte, il ne commet aucune brutalité. Elle n’est pas violée. Depuis le début, elle se laisse faire. À quel moment s’est-elle débattue ? En plein examen de conscience, Liliane doit se l’avouer : elle ne veut pas mourir sans. Sans savoir l’effet que ça fait. Personne n’en saura rien ! Mais d’un autre côté, n’est-ce pas infâme ?


Liliane est perdue dans ses contradictions quand tout à coup, elle sent un doigt s’enfoncer. Un doigt s’enfonce en elle. Un doigt dans le derrière. Ça, elle ne s’y attendait pas ! Le jeune homme la rassure :



Liliane décide de ne pas résister. Ce doigt dans le cul, c’est une surprise qui lui plaît ! Elle s’étonne elle-même. Sous ses airs de fille de bonne famille, n’est-elle pas la plus salope de la pharmacie ? Est-ce Caroline, ou Sylvie qu’on dit à demi vierges, qui feraient un concours de bites ? Pour finir doigtée la nuit par un inconnu ? Dans les souterrains d’un parking désaffecté ? Avec pour seuls mots intelligibles « Vaseline… Vaseline… » !


Le doigt s’enfouit dans les profondeurs. Il touche la zone obscure de l’inconscient. Liliane se révèle telle qu’en elle-même. Progressivement, une vérité la pénètre : elle en a envie, elle en est persuadée maintenant. Elle veut connaître le goût qui est le plus fort. Sans doute est-ce l’occasion ou jamais… Elle se dégage de l’étreinte d’Afro18 et se place effrontément en position. Penchée en avant, jupe relevée sur les fesses. Sans doute est-ce répugnant, mais tant pis ! Le désir est irrépressible, inéluctable. Ses père et mère seraient là que ça n’empêcherait plus rien ! Elle entend Afro18 qui enfile un préservatif. La première sodomie, ça compte dans la vie d’une fille et c’est imminent. Elle serre les dents. Inénarrable : Afro18 l’encule ! Ça y est ! Mon dieu, quelle secousse dans l’anus !


Liliane n’a même pas retiré sa culotte. Elle fait ça tout habillée, comme dans les quartiers ! Comme dans les caves des HLM, comme dans les parkings désaffectés… N’est-ce pas l’improbable réalité ? Liliane savoure son indignité. Elle la déguste sans réticence, en souplesse. La sensation est monstrueuse, à proportion de cette énormité toute noire qui la défonce. Elle n’a pas assez de gros mots pour la dire. Liliane ne sait ce qu’elle goûte le plus : la merveilleuse dilatation de ses viscères ou son incroyable ouverture d’esprit. Diantre, il n’y a pas qu’Hubert ou Charles-André dans la vie ! Putain ! Liliane ressent soudain qu’Afro18 éjacule. Cette fois, il est précoce ! Malgré le préservatif, elle se sent pleine de sperme. Une plénitude humide et chaude qui lui baigne le ventre. Afro18 râle comme mille morts. Quelques instants plus tard, elle le découvre la capote à la main. C’est un modèle XXL à réservoir. Il déborde d’un volume invraisemblable de foutre.


Le couple franchit la palissade en sens inverse. Ni vus ni connus ! Liliane est vidée. Elle se déleste d’un billet de banque dans la vareuse d’Afro18.



Puis elle le quitte rapidement, pour prendre au plus vite le dernier autobus de Lambersart. Elle redoute surtout qu’on la remarque. Elle se fait discrète. Le monde est petit et les cancans vont bon train. Ce que colportent les gens est parfois ahurissant ! Mais personne ne remarque rien, même pas sa légère claudication quand elle marche. À vingt-trois ans, les tissus sont élastiques.


Liliane réintègre la pharmacie dès le lendemain, sans rien qui paraît. Elle est rose et pimpante, comme à l’accoutumée. La clientèle apprécie ses manières distinguées. Face à la pornographie et à la dégradation des mœurs, la bourgeoisie demeure le dernier bastion de la bonne éducation.


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n° 13216Femme, trentaine, artiste rêveuse jusqu'au bout de l'âme25/03/09
Confession d'une pute
critères:   fh inconnu prost grossexe hotel cunnilingu pénétratio fdanus fsodo exercice humour québec -humour -tarifé
6703 caractères      
Auteur : Gypsy

Je n’embrasse jamais mes clients. Y’en a qui s’essaient, mais je détourne la tête. Ça me dérange pas de leur faire une pipe ou de leur licher le cul, mais mes baisers je les réserve pour mon chum. Il me semble que dès la minute où t’ouvres la bouche pour embrasser quelqu’un, y’a comme une part de toé qui se dévoile, c’est rempli d’amour et de tendresse… Entékas moé je vois ça de même !



L’autre soir j’en ai pogné un qui m’a payé toute une ride… Il m’a demandé :



Comme les hommes n’aiment pas se faire comparer aux autres… Ils voudraient être ceux qui te fourrent le mieux et c’est donc important de leur dire qu’ils ont la plus grosse queue ou qu’ils sont « spécial » à tes yeux… Je lui ai répondu :



Entékas, toujours est-il que j’ai embarqué dans son char pis on s’est rendus au motel Idéal sur le bord de l’autoroute. Ça ne coûte pas cher, c’est propre et pis je connais le boss, il me fait des bons prix. Le bonhomme, euh l’homme, ben entékas, le gars, là, il devait avoir à peu près 43 ans, y’était pas laitte à regarder ! Je me suis dit que ça ferait changement des vieux cochons qui sentent le pepperoni…



Arrivé là-bas, je m’en vais payer pour la chambre. J’ai réussi à avoir celle que je prends d’habitude. La # 103, c’est celle que la décoration est la plus belle. Ben quoi ? Si c’est plate, j’veux avoir quelque chose de beau à regarder ! Comme d’habitude j’ai dit au gars d’aller prendre sa douche. J’aime pas ça moé savoir qu’ils sont pas propres avant de me toucher. J’en ai profité pour fumer un joint, ça me relaxe et ça me met dans le mood… Ben, pas nécessairement dans le mood, mais ça me fait sentir un peu ailleurs que là. Y’appellent ça de la fuite, anyway, qu’y’appellent ça comme ils voudront, moi j’ai pas envie d’être là, mais j’ai pas le choix…



Fait qu’une fois que le gars est sorti de la douche, y’est sorti de la toilette flambant nu, c’est rare qu’ils font ça, d’habitude ils se gardent toute une petite gêne. Vous auriez dû voir son engin, shit j’ai eu peur ! J’en avais jamais vu des comme ça, ça devait ben mesurer douze pouces c’t’affaire-là… Là c’était vrai quand je lui ai dit :



Je comprends stie, je me suis dit qu’y’était pour me défoncer, j’ai eu peur… Mais j’y ai dit :



Ben là, y’est v’nu dur en côlisse ! Il doit avoir gagné un pouce de plus, ça veut dire treize pouces ça hein ? 12 pouces + 1 pouce… Je lui ai demandé :



Je me suis déshabillée et je me suis étendue. Y’est embarqué sur le lit aussi. Je me suis dit qu’y’était pour me prendre par en arrière, que ça durerait environ cinq minutes et puis que je pourrais rentrer chez nous… Ben non, le v’là-tu pas en train de commencer à me licher les cuisses pis les fesses. C’était la première fois qu’un gars me faisait ça. D’habitude ils veulent juste v’nir et que ça soit fini. Pendant qu’il me lichait partout, il m’a ramassé un sein tout doucement. Encore là, j’pas habituée à la douceur moé… Ça m’a faite bizarre, je trouvais ça le fun… Je lui ai demandé :



Fait qu’il a continué à me lécher partout, me caresser les seins, me masturber par en arrière. Il l’a trouvé vite mon point sensible. Pareil comme s’il savait depuis longtemps où y’était caché mon clito. Il m’a rentré un doigt dans la chatte et pis un deuxième. C’était assez spécial parce qu’on aurait dit qu’il avait trois ou quatre mains ! Il me caressait, me léchait partout. Un moment donné j’ai perdu le contrôle de moé, j’ai eu du fun… J’ai ben essayé de me dégager de cette position, car c’pas à moé d’avoir du fun, mais à lui, c’est lui qui me paye. J’ai pas d’affaire à jouir moé là… Mais c’était tellement bon, j’pouvais plus m’arrêter d’en prendre. Un moment donné, j’y ai dit :



Il s’est levé debout, m’a ramassée par les hanches en me les relevant à quatre pattes, on aurait dit qu’il avait fait ça toute sa vie. Dès qu’il m’a relevée, sa queue est entrée toute seule comme si elle connaissait déjà le chemin… Tabarnac c’était quelque chose ! J’ai eu d’l’air d’une belle conne ! J’m’étais vantée d’être capable de le prendre. J’pas mieux qu’une autre des tites filles. J’ai beau faire ça plus souvent, j’pas plus profonde ! Fait qu’il s’est payé la traite en m’enfilant dans chatte, sa queue était énorme, je la sentais de tout bord, tout côté, ça me faisait mal et plaisant en même temps, dur à expliquer… Pendant qu’il me pénétrait, il me rentrait un doigt mouillé dans le cul. J’aime pas ben ça ce trou-là d’habitude, parce qu’après j’ai de la misère à chier pendant deux jours… Entékas, il savait quoi faire parce qu’il le mouillait, mouillait… Ça m’excitait au plus haut point, je me lamentais comme jamais je l’ai fait avant…

J’me suis surprise à aimer ça. Bout de criss, ça fait deux ans que je fais ce métier-là, pis c’est la première fois que j’aime ça qu’on me joue dans le cul…


Sans que je m’en rendre compte, pour moé le joint était fort en estie, y’a changé de trou avec sa queue. J’étais rendue qu’il me poignait les seins en m’enculant à grands coups… C’était cool en côlisse ! Aïe là, y s’est payé la traite ! Il pouvait rentrer au complet pis ça ne me faisait pas vraiment mal. C’était super hot ! Ça y’a pris à peine une couple de minutes pis y’est venu dans mon cul. Je me suis contractée à ce moment-là, pis en sortant, son sperme m’a tout beurré la chatte ! J’tais tellement excitée que j’ai continué à me masturber avec, y’avait l’air de trouver ça ben excitant lui aussi…



Une fois que j’ai atteint l’orgasme, je me suis levée et suis allée prendre une douche, j’étais pleine de sperme partout et puis j’avais eu chaud. Quand je suis sortie de la salle de bain, ça sentait le cul à plein nez dans la chambre, le gars était parti, mais avait laissé 200 $ sur le lit… C’est plate, parce que je m’étais dit que j’aurais ben aimé l’embrasser sur la bouche ce gars-là…






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n° 13218Ysan26/03/09
Métamorphose
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16952 caractères
Auteur : Ysan      Série : Mademoiselle de Saint-Hubert - 02 / 05

Rappel du chapitre précédent : Ysan c’est moi, quarante ans, artiste peintre mondialement connu. Je vis à Paris dans un vaste loft dominant le Bois de Boulogne, c’est là que je travaille. Fatima est ma servante, superbe Ivoirienne à la beauté sculpturale. Au fil des ans elle est devenue ma confidente et ma complice. Malgré mes objections elle m’appelle « maître », ayant un jour entendu l’un des mes clients un peu snob me nommer ainsi, ce vocable prétentieux lui avait beaucoup plu. Je collectionne les maîtresses : femmes du monde, jeunes bourgeoises, épouses modèles, toutes veulent poser nues pour moi. Elles savent choisir les positions et les tenues les plus érotiques mais je ne suis pas dupe, elles viennent me voir surtout pour réaliser leurs fantasmes. Cette vie facile dans l’aisance et les plaisirs a basculé le jour où mon galeriste m’a mis en contact avec la comtesse Solange de Saint-Hubert de Bois-Colombe, une demoiselle d’une trentaine d’années, image du puritanisme le plus austère. Passionnée de peinture, elle avait acheté plusieurs de mes toiles mais consacrait l’essentiel de son temps et de sa fortune à la gestion d’un orphelinat en Afrique noire. Pour financer son action caritative, elle avait décidé d’organiser une importante exposition de peinture. J’avais accepté de m’occuper de tout avec le sentiment de pouvoir enfin faire œuvre utile. Dès le lendemain de notre entretien je prenais l’avion pour un long périple en Europe et aux États-Unis, il me fallait convaincre les musées et les collectionneurs de nous prêter les toiles correspondant au thème tragique qu’elle avait choisi : « Les calvaires du genre humain ».


CHAPITRE II


MÉTAMORPHOSE




Où que je sois, tous les soirs la comtesse me téléphonait à l’hôtel pour faire le point. Elle débutait toujours par « Bonsoir maître, j’espère que je ne vous dérange pas » et terminait par « Bonne nuit maître, reposez-vous bien ». Moi je l’appelais « mademoiselle la comtesse ». Un jour j’ai tenté « mademoiselle Solange » et j’ai eu l’impression qu’elle en était ravie. D’ailleurs, au fil des jours, nos conversations devenaient de plus en plus amicales et détendues. Et il m’arrivait d’attendre son appel avec une certaine impatience.


Quand j’étais en voyage, j’avais pour habitude d’appeler régulièrement Fatima, en mon absence c’était elle qui régentait tout à l’atelier. Lors de mon premier appel les problèmes domestiques ont été vite expédiés, elle voulait surtout savoir ce que je faisais :



Effectivement ma chasse aux œuvres d’art fut un vrai succès. J’avais obtenu les accords de nombreux musées pour nous prêter des toiles dans l’esprit du thème choisi : corps déchirés de Francis Bacon, bordels sinistres d’Auguste Chabaud, soldats mutilés, prostituées tragiques et bourgeoises obscènes d’Otto Dix, esclaves orientales de Delacroix et enfin un grand chef d’œuvre du musée de Munich, l’enfer de Jérôme Bosch. Solange n’en croyait pas ses yeux. Son exposition sur « les calvaires du genre humain » serait un succès.


Dès mon retour elle a voulu m’inviter au restaurant : la Grande Cascade au Bois de Boulogne, établissement antique et solennel qui lui ressemblait bien. Cette fois j’ai fait en sorte d’être là avant elle. Elle est arrivée peu après toujours vêtue de son sinistre tailleur gris mais un sourire radieux illuminait son visage. J’ai eu droit à ses remerciements chaleureux pour les résultats brillants de ma tournée de prospection. Nous parlions de l’organisation de l’exposition quand brusquement son visage s’est empourpré. Elle avait quelques difficultés à s’exprimer :



Nous venions de faire un grand pas vers un peu plus d’intimité, ce qui n’était pas fait pour me déplaire. Notre repas s’est poursuivi dans une convivialité agréable, mais dès mon arrivée j’avais remarqué à une table voisine l’une de mes anciennes maîtresses en compagnie de son mari. Pendant tout le repas elle n’a cessé de nous épier. Quand nous sommes partis je l’ai saluée, elle m’a répondu avec un sourire moqueur.


Après le repas nous sommes allés chez moi. Solange voulait voir les toiles que j’allais exposer. Fatima nous attendait, elle a noyé Solange sous un flot de remerciements « une grande comtesse qui s’occupait des enfants abandonnés de son pays ». Solange était émue. Par contre j’ai vu son trouble quand je lui ai présenté mes toiles : prostituées aux tenues provocantes, esclaves enchaînées, Fatima écartelée, Fatima empalée sur un énorme pieu :



Sa réflexion a été de courte durée, en début de soirée elle m’a téléphoné pour me donner son accord. Nous avons fixé la première séance de pose au lendemain. Peu après je recevais un appel de mon ancienne maîtresse rencontrée au restaurant :



Le lendemain Solange était très angoissée quand elle est arrivée pour la première séance de pose. Je lui ai proposé d’aller se déshabiller derrière un paravent et j’avais prévu un grand drap lui permettant de cacher sa nudité. Enveloppée dans ce drap je l’ai vue marcher vers le divan, telle Jeanne d’Arc se dirigeant vers le bûcher.


Quand elle a été allongée, je me suis approché et délicatement je l’ai dénudée. Elle m’a souri. Bien sûr elle avait gardé sa culotte, une affreuse culotte en coton blanc comme je m’y attendais, mais son corps aux proportions harmonieuses était magnifique. Je ne m’étais pas trompé.


J’ai dessiné et peint pendant plus de deux heures. Au fil du temps elle s’est détendue et nous bavardions. Fatima nous a servi le thé, Solange est venue s’asseoir auprès de moi enveloppée dans le drap blanc et puis sagement elle est repartie prendre la pose. En fin d’après-midi, quand elle a été rhabillée, elle paraissait plus détendue :



Elle s’est mise sur la pointe des pieds pour me prendre par le cou et m’embrasser sur les deux joues. Le temps que je réalise, elle était déjà partie.


Fatima était pressée de savoir comment s’était déroulée l’après-midi :



Quand Solange est arrivée pour la séance de pose suivante, elle était méconnaissable : robe printanière multicolore mettant en valeur sa taille fine et ses petits seins arrogants, escarpins, bijoux fantaisie, ses longs cheveux blonds libérés du chignon, elle était superbe. Longuement je l’ai complimentée pour sa beauté et son élégance. Elle s’est dirigée en virevoltant vers le paravent pour se déshabiller. J’ai eu l’impression qu’il lui tardait d’être nue. D’ailleurs elle est ressortie très vite de sa cachette, juchée sur ses hauts talons et vêtue uniquement d’un adorable string brésilien en dentelle rose. J’appréciais les conseils donnés certainement par Nady. Ce n’était plus Jeanne d’Arc marchant vers le bûcher. Solange avançait lentement vers le divan, me laissant tout le temps de l’admirer et de la complimenter à nouveau.


Sans avoir besoin de mes conseils, elle a pris la pose : bras en croix et à plat ventre sur un coussin qui accentuait la cambrure de ses reins. Quand mon modèle était bien en place sur la toile j’avais pour habitude de compléter le dessin par une série d’accessoires, fruits de mon imagination et de mes fantasmes. En l’occurrence j’avais prévu de figurer deux puissants tendeurs fixés aux poignets de Solange pour maintenir ses bras en croix et de fines lanières de cuir liant ses jambes l’une contre l’autre.


Pour réaliser ce tableau j’avais pris une toile de même format que celle où j’avais représenté Fatima, ma superbe servante noire, allongée sur le dos et écartelée : les jambes maintenues par des sangles fixées aux chevilles, les bras repliés sous les reins. Une lanière apparente permettait de comprendre que les poignets étaient attachés entre eux. Cette position inconfortable obligeait Fatima à bomber le torse, mettant en valeur sa superbe poitrine. Enfin tout le haut de son corps était immobilisé par deux lourdes chaînes fixées à un collier d’esclave.


J’avais imaginé de donner des titres parallèles à ces deux tableaux de même format : « L’esclave noire » et « L’esclave blanche ». Tous les érotomanes amateurs de soumissions sauraient apprécier : la Noire en position pour être prise par-devant, la Blonde pour être prise par derrière. Dans sa naïveté charmante, Solange n’avait pas encore compris où je voulais en venir.


La séance de pose terminée, elle est venue vers moi, sans pudeur dans sa nudité érotique, pour admirer mon travail. Je bandais comme un bouc en rut, mais j’avais décidé de me maîtriser. Je ne voulais pas brûler les étapes. Heureusement Solange est vite partie se rhabiller derrière le paravent pour réapparaître dans sa charmante robe multicolore.


Il y avait, dans un coin de l’atelier, une copie en plâtre du David de Michel-Ange. Elle s’est attardée longtemps devant la statue et puis elle est venue vers moi, rougissante :



Il faisait toujours très chaud dans mon atelier, je ne voulais pas que mes modèles prennent froid et j’avais pour habitude de travailler nu sous ma blouse d’artiste. Sans attendre la réponse de Solange j’ai vivement ouvert ma blouse pour lui montrer mon sexe en forte érection. Elle a été surprise mais m’a paru plus fascinée que troublée. Cette situation insolite m’a rappelé les prémices de l’adolescence, quand mes petites camarades de jeux voulaient voir mon « zizi » :



Délicatement elle a pris ma bite dans une main alors que de l’autre elle caressait mon gland. J’ai bien cru que j’allais décharger, mais j’ai réussi à me maîtriser. Elle, semblait préoccupée :



Elle s’est approchée de moi et comme la veille s’est pendue à mon cou pour m’embrasser. Cette fois je ne lui ai pas tendu la joue, elle m’a embrassé trois fois sur les lèvres. Moi je la serrais par la taille, frottant mon sexe contre son ventre. Dès son départ je suis allé à la cuisine raconter la scène à Fatima :



Sans me demander mon avis, Fatima s’est agenouillée devant moi et a pris en bouche ma verge turgescente qu’elle a enfoncée jusqu’à la garde. Je n’ai jamais compris comment elle pouvait avaler sans s’étouffer une bite aussi grosse que la mienne. Elle a amorcé de rapides mouvements de va-et-vient, ses lèvres pulpeuses caressaient délicieusement sur toute sa longueur mon sexe en feu. Pour moi le plaisir était particulièrement violent chaque fois que mon gland frottait contre le fond de sa gorge. À ce rythme, je n’ai pas tardé à éjaculer. Comme à son habitude, Fatima a tout avalé et semblait se délecter de mon sperme.


Dans la soirée, j’ai téléphoné à Nady, la spécialiste du prêt-à-porter chez qui j’avais envoyé Solange :




À suivre



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n° 13229Jeune antillais au sang chaud04/04/09
Un monde à part
critères:   fh hh hhh hbi extracon inconnu voisins grossexe grosseins hsoumis miroir vidéox photofilm facial fellation hsodo
23650 caractères
Auteur : Mickael      Collection : Y a pas que la fesse dans la vie, y a le sexe aussi

Je suis Mickael, et voici mon histoire. Tout ce qui vous sera raconté est vrai.


Je suis un métis, un beau métis à ce qu’on dit. 1 m85 pour 80 kg, je suis plutôt bien foutu.


J’avais dix-neuf ans, je vivais toujours chez mes parents, dans un petit quartier tranquille de la Martinique. Côté femmes, je suis rarement resté célibataire… L’année de mes dix-neuf ans me donna envie d’essayer autre chose…




CHAPITRE 1 – Fascination



Mon éducation religieuse m’a toujours mis en tête que deux hommes qui couchent ensemble, c’était mal… et pourtant, depuis longtemps je fantasmais sur certaines choses. Le sexe des hommes me fascinait, surtout les gros. Ces gros morceaux de chair qui se gonflent et qui ont l’air si bons à sucer.


Pendant un moment je me suis masturbé en pensant à des hommes montés comme des taureaux qui me remplissaient les trous… Du sexe à l’état pur, je ne voulais pas faire l’amour avec un homme, je voulais me faire défoncer.


Un soir, j’ai décidé de me rendre sur un tchat. À ma grande joie, des forums pour mecs pullulaient, et il m’a pas fallu longtemps pour avoir quelques discutions privées, surtout avec un pseudo qui faisait comprendre que j’étais là pour me faire remplir. La plupart des mecs qui sont venus me parler étaient assez longs à me faire des propositions. L’un d’entre eux attira cependant mon attention :



On m’avait jamais parlé comme ça, je me suis mis à bander rapidement : apparemment j’appréciais…



L’idée me plaisait, ça faisait deux semaines que j’avais pas fait l’amour, suivre un inconnu en sachant que ce qu’il veut c’est mettre sa queue dans ma bouche m’excitait.


Je pris rendez-vous avec lui sans trop hésiter, j’étais déterminé.


Mon téléphone sonna, il m’attendait devant chez moi. Je me suis précipité dans sa voiture, il commençait à pleuvoir. J’entrai, et quand je l’ai vu, son visage ne m’était pas inconnu… Un métro d’une trentaine d’années, bien habillé. Il me dit qu’il s’appelait Pascal.


Je me rendis compte que j’avais donné rendez-vous à un mec et que je lui avais même pas demandé son prénom ! Tout à coup ça m’est revenu. Ce Pascal travaillait à la télé, c’était un animateur d’une télé locale. C’était ma première fois et j’étais tombé sur un gars médiatisé, y avait de quoi flipper un peu, ce que je fis.


Je savais pas dans quoi je mettais les pieds, mais après tout, lors de notre première fois avec une femme on a aussi un peu le trac… J’allais essayer quelque chose d’inconnu et qui était moralement pas bien aux yeux de la religion, ça m’inquiétait, mais je ne pouvais lui dire de s’arrêter et de me ramener ! Il fallait aller jusqu’au bout.


Pendant le trajet on a parlé, du moins il m’a parlé. Je me contentais de répondre, le plus souvent par oui et par non… Je commençais à être gêné par la situation. Nous sommes rapidement arrivés chez lui. Il me dit de m’installer sur le canapé devant sa grande télé. Il me servit à boire, puis s’installa à côté de moi :



Joignant les gestes à ses paroles, il baissa sa braguette, et me fit poser la main sur son entrejambe. Le contact de ma main sur ce bâton déjà bien dur me fit oublier ma gêne, j’avais ce que je voulais juste sous la main maintenant…



Je sortis sa queue de sa prison… La vue de ce sexe d’homme tout droit pointant vers le ciel me fit bander terriblement. Elle était pas très longue, environ seize centimètres de long, et juste épaisse comme il faut. Ce n’était pas la grosse queue d’acteur porno dont je rêvais, mais elle me plaisait.


Je m’approchai de ce membre tendu, je lui fis un baiser sur le gland. C’était doux, c’était chaud, et j’aimais l’odeur de son sexe… J’ouvris grand la bouche et j’avalai son chibre à moitié. Il fit un « haaaa » de soulagement, il aimait ça. J’aimais également, je suçai goulûment ce kal (nom créole pour bite).


J’essayais de le faire rentrer au plus profond de ma bouche, c’était la première fois, mais je me débrouillais plutôt bien… Quelques minutes plus tard, je fus interrompu dans ma frénésie buccale par un goût âcre propulsé à toute vitesse au fond de ma gorge. Quand il vit que je reculais pour l’éviter, il me tint la tête, et je reçus le reste en plein visage. C’était chaud, pas très appétissant. Je venais de me faire remplir la gorge de sperme.


Il se leva, alla dans la salle de bain, et me laissa comme ça, accroupi par terre, avec son sperme qui me coulait des lèvres. J’avais certainement avalé une bonne partie… J’étais mal à l’aise, je me sentais sale. Je me suis demandé ce que mes parents allaient penser de ça si ça s’apprenait. Je me suis rapidement débarrassé de ce liquide blanc qui maculait mon visage et mes cheveux avant de prendre le chemin du retour. Avant que je sorte de sa voiture pour rentrer chez moi, il me dit :



Je lui ai dit OK, sans trop m’attarder. Je voulais rentrer me coucher pour essayer d’oublier tout ça. Dans le lit, je me repassais la soirée dans ma tête… Cette première expérience m’avait laissé un goût amer, dans tous les sens du terme… Je me suis demandé si j’avais eu une bonne idée…


Mais au fond de moi, m’être livré à cet homme, lui avoir laissé utiliser ma bouche comme une pompe à sperme m’avait beaucoup excité. Je m’endormis avec les idées confuses ce soir-là, je ne savais pas encore quel effet boule de neige je venais de déclencher…




CHAPITRE 2 – Tentation



De nombreux jours s’écoulèrent depuis cette nuit… Je me posais des questions… Étais-je gay parce que j’avais pris plaisir à sucer un homme ? Est-ce qu’il fallait que j’efface tout ça et que je n’y repense plus ? Comment faire semblant de pas aimer quelque chose et pourquoi le faire si on y trouve un certain plaisir ?


Je savais pas trop comment gérer la situation. À cette période je couchais avec une Ex à moi. Elle était seule et moi aussi, nous avions gardé le contact et, de temps en temps, elle passait chez moi pour se « relaxer ». Nos ébats sexuels furent très violents à cette période… Je voulais me persuader que tout allait bien, donc je lui faisais l’amour avec rage, presque à sa grande satisfaction.


C’était une femme qui aimait baiser ! Elle aimait « coker », comme on dit ici, et je la comblais à grands coups de queue. Malgré tout… je pensais toujours à mon petit secret. L’idée d’avoir fait quelque chose d’interdit et que personne le sache me plaisait… J’avais envie de recommencer, je le savais, et j’ai pas longtemps résisté à la tentation.


J’avais effacé le numéro de Pascal, le soir où il m’a fait basculer du côté obscur. Par réflexe certainement : sur le coup je voulais pas le revoir. Et voilà que je regrettais presque. Mais je vis le bon côté de la chose : j’allais essayer une nouvelle queue. Une queue différente… J’espérais alors qu’elle serait plus grosse que la première. J’affinai donc mes critères de recherche sur internet par le biais de forums et autres tchats pour trouver cette nouvelle bite.


Un jour, sur un forum je vis cette annonce :



Homme de 35 ans, TBM, cherche jeune mec passif pour moments chauds.



TBM… Sur le moment j’ai pas tout de suite compris. Lorsque je me suis rendu compte que ça voulait dire « Très Bien Monté », il m’a tout de suite intéressé. Avec moins d’hésitation cette fois-ci, je pris rendez-vous avec lui. Ce qui me fascinait le plus jusqu’à maintenant dans ce milieu, c’était la facilité avec laquelle les mecs baisaient entre eux.


Pendant des années j’ai connu une vie sexuelle standard, bien remplie c’est vrai, mais standard… Et ce monde que je venais de découvrir était plein de surprises. J’avais jamais connu ça avec une femme ! Échanger quelques mots sans se voir sur internet, et une heure après se retrouver dans un lit avec, c’est particulier.


Cet aspect facile et cru de la chose me plaisait beaucoup. Rapidement j’y avais pris goût. Le rendez-vous fut fixé. L’heure H arriva, un 4x4 noir avec des vitres teintées m’attendait devant la maison… Il s’appelait Manuel, un black assez haut, environ 1m90, beau mec… On sentait qu’il faisait du sport.


Cette fois-ci, je décidai de jouer le jeu. Pendant le trajet, je mis ma main sur sa queue, il lui fallut pas longtemps pour commencer à bander ! Je fus impressionné par la taille de ce que je tenais… Je savais que j’allais m’amuser, :-)


Nous sommes arrivés dans une cité, les bâtiments étaient très hauts. Il me dit qu’il habitait au dernier étage. Nous avons pris l’ascenseur. Quand les portes se furent fermées, il me mit une main sur les fesses. Je trémoussais le cul comme une chienne en chaleur.


Son appartement était coquet. Il y avait un grand aquarium dans le séjour. J’adore ça : j’en achèterai, un jour. Je m’assis sur le canapé, il me servit à boire, un grand verre de coca avec des glaçons. Il se mit à côté de moi, prit ma main et la déposa là où elle était ya pas si longtemps. Il recommençait à bander. Chaque battement de cœur faisait tressauter son gros sexe.


Je me dépêchai de le mettre à l’air libre… Quel sexe ! C’était la deuxième queue que je voyais et elle m’impressionnait beaucoup… Bien droite, bien large, terminée par un superbe gland, bien large lui aussi. Il était entièrement rasé, ses couilles pendaient un peu, car elles étaient assez grosses, elles aussi… Une pure merveille de la nature.


J’ouvris très grand la bouche pour accueillir ce sexe. Je gobai le gland avec appétit. Il prit ma tête avec ses deux mains et m’invita à avaler plus… Centimètre par centimètre, il fit entrer son énorme « kal » dans ma gorge. J’en pouvais plus, je prenais un pied incroyable, assis là en train de pomper un grand black.


Un moment je me suis arrêté pour prendre ses couilles en bouche. J’aspirai l’une, puis essayai de faire rentrer l’autre. Pas très évident au début, mais j’y suis arrivé. Je suis gourmand de nature. D’une main, il saisit son sexe et me frappa le visage avec. Il était lourd, je le sentais cogner et s’étaler sur toute la longueur de mon visage.


Il se branla violemment et me balança son jus en pleine face. J’ouvris la bouche pour essayer d’en attraper quelques gouttes. J’étais en transe. Il poussa un soupir de soulagement. Il devait avoir les couilles pleines, il m’en avait vraiment mis partout. Il me donna une serviette, je m’essuyai comme je pouvais. J’en avais même dans l’oreille.


Il alluma la télé, c’étaient les infos. Il commença à parler des événements qui se déroulaient au pays, puis il me confia qu’il était policier. Intéressant… Pour plaisanter, je lui dis qu’il me ferait sauter mes P.V. après m’avoir sauté.



J’eus brièvement une image mentale : moi, entouré de queues en uniformes. Humm… Quand il vit mon regard coquin, il prit sa queue dans la main, se leva, se mit devant moi, et introduisit son sexe encore mou et plein de sperme dans ma bouche une nouvelle fois… Je jetai un coup d’œil sur mon verre de coca, il restait des glaçons…


Je lâchai sa queue à demi dressée pour prendre les glaçons, je les mis dans ma bouche, puis je recommençai mon taillage de pipe. Le froid le fit rapidement bander, à ma grande joie. :-) Son téléphone sonna, il devait partir, j’ai dû arrêter de le sucer (GRRRRR) pour qu’il puisse y aller. Il me ramena chez moi et me dit qu’il aurait aimé me revoir. Cette fois-ci, je ne me fis pas prier… Moi aussi, je voulais le revoir !


Ce soir-là, je dormis bien. Ma mâchoire me faisait légèrement mal après tous ces efforts. Je n’arrêtais pas de penser à ce tête-à-tête.




CHAPITRE 3 – Addiction



J’ai revu Manuel une vingtaine de fois peut-être. J’ai récemment perdu sa trace : son téléphone est coupé depuis plusieurs mois. Il a dû trouver une femme et a décidé de se ranger. J’ai tout de même eu le temps de bien le connaître, nous avons parlé de temps en temps de tous ces mecs qui baisent entre eux.


On n’a pas fait que baiser, mais malgré tout quand on parlait, généralement c’était de sexe. J’aimais passer du temps avec lui. Je continuais à chercher de nouveaux mecs, je voulais faire des rencontres.


J’avais vingt ans à cette période. En six mois j’avais rencontré au total cinq gars. L’un d’entre eux me fit découvrir la sodomie. Je ne voulais pas que Manuel soit mon premier, son énorme membre me faisait peur. L’idée de me faire prendre par ce gourdin m’excitait certes, mais j’appréhendais néanmoins le moment. Je ne lui avais pas caché d’ailleurs. Il voulait me baiser, mais il comprit que je voulais commencer en douceur.


Celui qui me dépucela du cul se nommait Philippe. Un métis clair de peau, environ 1m80, trente ans. Il portait des lunettes. Il avait l’air vraiment gentil derrière son doux visage, mais ce mec était un sacré cochon. Il m’initia aux lavements. Ça consiste à se vider les intestins à l’aide d’une poire remplie d’eau, ou d’un jet d’eau quelconque. Ainsi, une sodomie se pratique sans surprises fécales.


Il avait une belle queue. Elle était loin d’être aussi grosse que celle de Manuel, mais elle faisait du bien là où elle passait. Il aimait baiser en insultant son partenaire et en le dominant, voire même en l’humiliant. Je m’approchais presque du trip sado-maso ! Il me traitait de tous les noms :



Je parlais par épisodes. Il me limait le cul très violemment, je pouvais pas parler correctement dans de telles conditions. Il me giflait aussi des fois, me tenais la mâchoire d’une main en me demandant si j’aimais être traité d’une telle façon… J’aimais pas, j’adorais.


Il me fit découvrir la baise extrême, ce genre de baise que vous sentez toujours pendant plusieurs jours dans votre bas-ventre. Il me fit aussi découvrir les sex-toys. Il avait trois godes de tailles différentes, ça allait du petit qui chatouille à la copie de la queue de King Kong. Après plusieurs passages chez lui, je pus m’asseoir sur une bouteille de 70 cl et l’aspirer sans faire gaffe.


Il avait transformé mon anus en une véritable chatte, un trou béant prêt à absorber tout ce qu’on lui présente. Il prit même des photos, histoire de me présenter à d’éventuels copains à lui. À cette période j’ai vraiment touché le fond en matière de débauche. J’enchaînais les rendez-vous… Un soir j’ai eu 3 rendez-vous d’affilée ! Je me faisais « coker » plusieurs fois par semaine. De temps en temps je voyais Manuel et Philippe. C’étaient mes « habitués ».


Vous vous doutez bien que j’ai aussi pensé à l’amour à plusieurs, les partouzes. J’aimais baiser avec un mec, avec deux ça devait être encore meilleur ! Un soir je les ai invités, je leur ai envoyé le même texto :



Salut, tu fais quoi ce soir ?

J’ai envie de me faire défoncer par deux bites !

J’ai un mec sous la main, ça te dit ?



Une heure plus tard, Philippe était là. On a attendu Manuel en regardant des pornos. On a vite fini par faire pareil… Il alla dans la chambre à côté pour prendre le miroir rond de salle de bain. On l’avait déjà utilisé. Il posa le miroir sur le bureau et me força à me regarder le sucer. Il était encore au fond de ma gorge quand on frappa à la porte. C’était mon deuxième invité.


Quand il est entré, Philippe était assis, la queue à l’air, pleine de salive. Manuel me dit alors que j’étais une sacrée salope et il me donna une claque sur les fesses. Il fit connaissance avec Philippe, puis il défit sa ceinture… C’était parti.


Ils m’ont entouré et m’ont dit de me mettre accroupi au milieu de ma chambre. Je suçai mes deux gaillards comme si ma vie en dépendait, j’étais aux anges. Je paniquais un peu en espérant que mes parents ne débarqueraient pas. Ils étaient à l’anniversaire d’une tante, ils ne devaient normalement pas être là avant trois bonnes heures.


Philippe m’enfila rapidement. Il me tenait la tête pour que je puisse mieux sucer Manuel. Après un bon moment, Manuel prit sa place, il s’enfonça en moi d’un coup, sans forcer, j’eus même l’impression qu’il tentait de faire rentrer ses couilles, car il me donnait de grands et profonds coups de bassin. Ses grosses couilles claquaient contre les miennes. Il me prit en levrette pendant que Philippe m’embrochait par-devant. Je ressemblais sûrement à un poulet rôti dans cette position.


Manuel me donna quelques derniers grands coups. Il se retira, enleva sa capote et vint éjaculer sur mon visage et, au passage, sur la queue de Philippe qui était encore dans ma bouche. Lui non plus ne tarda pas à jouir… À quelques secondes d’intervalle, ils auraient explosé en même temps. J’ai pris une douche de sperme ce soir-là.


Philippe m’interdit de me laver tout de suite, il voulait que je les raccompagne à la porte avec le visage dégoulinant. Quand ils furent partis, j’allai dans la salle de bain, et je me regardai avec tout ce sperme sur le visage… Je me sentais chienne, j’aimais donner du plaisir aux hommes et ils me payaient en sperme.


Cette sexualité me plaisait, c’était un défouloir extraordinaire. Après chaque baise je me sentais comblé ! En me faisant prendre par des mecs, en me mettant à la place de l’être baisé et non du baiseur, j’ai de mieux en mieux fait l’amour à mes compagnes féminines. Je suis devenu un amant encore meilleur, plus attentionné… Faire l’amour ce n’est pas que rentrer et sortir d’un vagin ! Coucher avec moi, c’était devenu un voyage All Inclusive.


Je menais donc une double vie : mes petites copines et mes mecs. Je faisais l’amour de toutes les façons possibles, je sentais en moi un certain équilibre. À cette période, j’avais alors atteint vingt-deux ans. Je ne peux pas vous dire combien de mecs j’ai connus au total… En l’espace de trois ans, j’ai dû coucher avec une bonne cinquantaine de gars. Parmi eux, il y en a eu quelques-uns qui m’ont marqué, d’autres dont je ne me rappelle ni le visage ni le nom. Quelques situations cocasses m’ont marqué…




CHAPITRE 4 – Confession



À vingt-deux ans, je travaillais déjà. J’avais trouvé un bon job dans une boîte informatique. Un jour alors que je tchattais, je suis tombé sur un client à moi. Ce genre de plan est assez bizarre, vous voyez la personne assez souvent, vous la connaissez, et voilà que vous découvrez une autre facette de cette personne.


Beaucoup des mecs que j’ai rencontrés étaient mariés ou en couple. Vous connaissez forcément quelqu’un qui aime ce genre de sexualité, ça, j’en suis certain ! J’ai été capable de mener une double vie très mouvementée… Quand on veut, on peut ! Et les gens qu’on soupçonne le moins sont parfois ceux qui en font le plus. J’ai croisé des gens connus et médiatisés au pays, artistes télé et radio… Plus personne ne m’a surpris !


C’est un peu comme dans Matrix : le monde des machines et le monde des hommes. Je me suis retrouvé une fois dans une forêt du sud à me faire pilonner par un chanteur de zouk, marié bien sûr. Je suis déjà rentré chez moi après m’être fait éclater les trous par un, deux, ou même trois hommes (oui, après deux, j’ai voulu essayer trois…) en devant faire comme si de rien n’était… Et c’est pas facile ! Se faire baiser vous rend un peu vaseux…


Souvent on m’a dit que je travaillais trop que je devais dormir plus souvent sinon j’allais me tuer… Personne ne pouvait imaginer que ce qui me fatiguait, c’était de me faire passer dessus par qui veut bien. Une fois, j’ai pris contact avec un mec qui habitait le même quartier que moi. C’était la première fois qu’un amant à moi habitait tout près. Ne voilà-t-il pas que cet homme était notre voisin direct ? Quasiment tous les matins, je lui disais bonjour, et maintenant, il me dit qu’il veut me baiser.


J’ai couché avec lui pendant quelques mois, c’était soit chez lui soit chez moi. Il m’excitait beaucoup, il avait cinquante-quatre ans, c’était ma plus vieille queue. Vieille, mais très en forme : 24 cm entre les jambes, ça force le respect. Quand il me baisait, j’avais l’impression de le sentir dans mes poumons. Quand sa femme l’emmerdait, il se rendait discrètement chez moi pour tirer son coup. Il me limait la chatte comme il aimait dire…


Je me suis déjà fait filmer et photographier en train de me complaire dans la luxure… Pour usage personnel, bien sûr, c’était avec mes appareils ! Et je garde tout ça bien en sécurité.


Un jour, j’ai sucé un mec pour cinquante euros. Je voulais pas prendre de rendez-vous avec lui. Je lui ai fait comprendre que je ne le faisais que pour de l’argent en pensant qu’il allait laisser tomber… Mais non, il a accepté.


Une fois, mon voisin de cinquante-quatre ans est venu me voir à mon lieu de travail. Il était dans le coin et, n’ayant rien à faire, il est passé… Cette visite de courtoisie s’est finie par une pipe dans les toilettes. J’ai dû avaler une bonne partie de son sperme pour pas que ça me tache, ensuite je suis retourné travailler comme si de rien n’était.


Vient l’année de mes vingt-trois ans. Le matin, je suis allé me faire faire un tatouage dans le dos. J’ai passé la journée avec mes amis à boire et à rigoler. Nous avons passé la soirée en boîte. À mon arrivée, mon regard a croisé celui d’une femme splendide. Une Femme avec un « F » majuscule. J’ai vu tout de suite la différence d’âge : elle avait l’air d’avoir trente ans, elle portait des talons hauts et une jupe longue, avec une belle fente qui permettait de voir l’une de ses jambes quand elle dansait.


Elle avait une forte poitrine. Ça m’a toujours fait craquer, les gros seins. Un peu comme les grosses queues, j’aime mieux quand y a trop que pas assez. Elle avait une silhouette vraiment aguichante, et son visage de félin me donnait envie de lui parler. J’ai fini par lui parler, on a bu quelques verres, j’ai vu que mon âge la gênait un peu, mais elle a accepté de parler avec moi. J’étais pas sûr que ça finirait par un échange de numéro, mais elle me plaisait ! J’ai pas hésité à le lui faire comprendre.


Sabrina, elle était professeure en maternelle, elle m’a raconté quelques mauvais coups que ses élèves lui avaient faits. Après quelques sourires échangés, je finis par avoir son numéro. Nous nous sommes revus. Nous avons couché ensemble, et nous nous sentions bien ensemble. J’ai fini par m’installer chez elle, elle avait un bel appart dans le centre-ville. Ça fait maintenant trois ans que nous sommes ensemble.


Je vois de temps en temps deux de mes anciens amants. Mon ex-voisin retraité, et Philippe. Philippe, je le vois moins souvent, mais quand il peut, il passe se défouler sur ma personne. J’ai parfois des remords quand je couche avec un mec : Sabrina est une femme formidable, nous comptons nous marier.


J’essaie d’espacer mes rencontres cochonnes, j’ai envie d’arrêter et de ne me consacrer qu’à ma vie de couple… Aujourd’hui ça fait six mois que j’ai pas trompé ma femme. J’ouvre de temps en temps ma session MSN pour voir mes anciennes connaissances. Certains mettent des photos de leur sexe comme avatar, et je me rappelle de tout ce que j’ai pu faire avec…


Ce matin un nouveau contact vient de s’ajouter à ma liste… Ça faisait un bail que c’était pas arrivé. Forcément puisque mes fesses ne sont plus en activité. Il dit s’appeler Marc, un ami de Manuel. Il avait disparu, mais il m’avait pas oublié…





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n° 13233Candauliste comblé et amoureux, transi de sa petite femme06/04/09
Ma sirène de femme et le jardinier
critères:   fh cocus inconnu grossexe fépilée piscine voir exhib nudisme pénétratio -voyeuract -exhib
24105 caractères      
Auteur : Ralph-Henri      Collection : Marion, Lucien, moi et les autres

Ma sirène de femme et le jardinier



Ceci est le récit vrai de ce qui s’est passé un après-midi de juillet 2008, chez nous, dans notre jardin tranquille de basse Normandie, au bord et dans la piscine.


Ma femme Marion, piquante et petite blonde, entretient un corps de rêve en pratiquant une natation de quasi professionnelle. Plusieurs heures par jour. Souvent, mari voyeur, je me poste derrière la vitre de la chambre-pignon qui surplombe le bassin et reste là, mari frileusement amoureux de sa petite femme, à la contempler glisser dans l’onde.


Il faut dire que cette piscine en a déjà vu de belles, car Marion et moi sommes un couple très uni, certes, mais très libertin aussi. Nous « pratiquons » depuis plus de dix ans. Majoritairement en trio avec des hommes triés sur le volet par mes soins et qui viennent régulièrement baiser ma petite Marion et apaiser ses appétits que l’âge a curieusement aiguisés et que mon âge à moi ne peut plus satisfaire. Quelques-unes de ces orgies se déroulent ici. Dans et autour de notre piscine. Bassin ludique pour tout le monde. Petits, grands et même… adultes.


Ce jour-là Marion alignait les longueurs avec l’application et la constance qu’elle apporte à cet exercice chaque jour, chaque matin et chaque soir. Toute bronzée, elle menait son petit corps au rythme impeccable d’une nage crawlée, lisse et silencieuse. Vêtue de ses seules lunettes de nage et de son bonnet de bain. Une longueur crawlée, la suivante sur le dos et ainsi de suite. Bien que spectateur de longue date de ces réjouissants passages, je notais une fois encore que les longueurs dos avaient nettement plus de saveur que les autres. Encore que… À choisir entre son dos, ses fesses, ses jambes, filant en surface sous une mince lame d’eau noyée de soleil… ou les autres longueurs, seins, ventre et naissance des cuisses ne dissimulant pas son petit sexe nu, je n’aie jamais pu me décider.


Il est presque 16 h ce beau jeudi de juillet et j’émerge à peine d’une sieste crapuleuse quand je réalise qu’aujourd’hui les choses ne vont pas se dérouler comme j’en ai l’habitude. Cette fois, tout va aller bien différemment. Mon petit bout de femme (elle triche sur son passeport avec 1m50 !), blonde et toujours gaie comme un petit enfant, est bien loin de se douter de ce qui se trame dans l’ombre des fourrés qui l’environnent.


Et, de fait, dans la partie haute du jardin, au-dessus de la piscine, masqué par un gros chêne et un bouleau à triple tige, il me semble voir comme un mouvement, une ombre, une présence. Quelque chose d’insolite, là-bas entre le tas de compost et le pin de Weymouth qui a tant de mal à se développer à l’ombre de ses grands voisins.


Après quelques minutes, immobile derrière la vitre, je distingue une silhouette qui se déplace très lentement le long de la haie de thuyas, vers les petits buissons en hauteur, à une vingtaine de mètres de la margelle, pas plus. On s’introduit chez nous. On semble même vouloir partager mon spectacle favori. Nous n’avons jamais clôturé cette partie du jardin (pas plus que les autres d’ailleurs) et il n’est pas très compliqué, depuis la route, de se glisser dans la haie et de se retrouver incognito dans cette partie de la propriété que nous négligeons depuis quelque temps, je l’avoue.


Zone ombragée avec vue imprenable sur la piscine et les nageuses qui s’y produisent en tenue légère. Une première assurément. Me voilà tout émoustillé à l’idée qu’un aventurier du voyeurisme ait réussi son coup et vienne se rincer l’œil incognito. Pas tout à fait incognito d’ailleurs. À vrai dire, Marion est très exhibitionniste et cela ne la dérangerait pas du tout de se savoir observée à poil dans ses longueurs.


Mais la situation est un peu différente. Elle ne sait pas qu’il est là et lui ne sait pas que je suis ici.


On verra par la suite que ce schéma, pour simple que je l’expose, n’est pas tout à fait exact. La silhouette a progressivement rejoint le deuxième buisson et se dissimule encore dans l’ombre et les feuillages, à moins de dix mètres du bord de l’eau. Je distingue assez mal, mais je sais maintenant qu’il s’agit certainement d’un homme assez jeune, gauche dans son déplacement, un peu raide dans la façon de se dissimuler, immobile maintenant, à l’affût.


Profitant de ce petit temps mort, je cours chercher des jumelles et découvre bientôt que notre aventurier tapi derrière son buisson n’est autre que Lucien, notre nouveau jardinier.


Le garçon, la petite trentaine, gentil mais pas malin-malin. À vrai dire du genre un peu limite qui doit en avoir plus au sud qu’au nord. Marion et moi n’avons jamais considéré cet athlète des campagnes que sous l’angle du gars simple et musclé. Sous l’angle de sa « fonctionnalité » pour être franc. Un type qui vous creuse un trou comme on allume une cigarette et basta…


À ce moment précis où se situe l’action, mon jugement se modifie sensiblement et j’envisage l’individu en tant qu’être sexué. Cette force de la nature, brut de brut, possède néanmoins tous les attributs de son espèce. Libido comprise. La suite va nous apprendre que la nature commet quelques écarts parfois. C’est tombé sur lui. Le bougre ne le sait ni ne le saura jamais. Mais nous, nous allons être témoins du formidable coup de pouce que ce garçon a reçu du hasard et des non moins formidables prouesses sexuelles que le sort a bien voulu mettre à sa disposition.


L’ami Lucien est donc en position de voyeur et reluque ma femme Marion qui nage à poil dans l’eau tiède, à moins de dix mètres de son jardinier. Sous mes yeux, sans qu’aucun des deux ne se doute de ma présence. Un vrai bonheur pour moi. Ma position surplombant la piscine et le bosquet de Lucien me permet de voir les deux à la fois.


Marion poursuit ses inlassables longueurs avec l’application du devoir à accomplir jusqu’au moment où, bien essoufflée, elle arrête la machine et fait la planche. Comment pourrait-elle deviner la formidable décharge d’adrénaline qu’elle provoque sous les branches ? Son petit corps à la renverse, tout détendu au fil de l’eau. Ses petits seins qui viennent comme respirer à la surface, les pointes en mines de crayons qui dessinent au fil de l’eau d’innocentes arabesques. Le sexe nu épilé, libre et, tour à tour, crevant la surface pour s’enfouir et ressurgir de la pellicule d’eau qui s’obstine à le cajoler sous nos yeux.


Certes la scène n’a rien de bien érotique en réalité. Son naturel, dans cet environnement bucolique, incite davantage au rêve et à la poésie plutôt qu’à je ne sais quelle excitation. Mais les évènements produisent leurs effets de façon très variable sur nous autres, selon notre âge, notre humeur ou notre sexe. Apparemment notre ami voyeur juge la poésie des lieux et du spectacle avec des yeux beaucoup moins sereins. Le garçon ne se contrôle plus très bien et, de mon perchoir, je le vois agrippé aux branches basses du bouleau, la bouche entrouverte et les jambes légèrement fléchies. Il me semble même observer une légère ondulation des hanches. Comme les prémices d’une longue et lancinante agitation qui voudrait s’emparer du jeune homme pour un très long moment et qui va le conduire peut-être à des attitudes et des comportements qu’il ne maîtrisera pas.


Mon intuition ne m’a pas trompé. Lucien, les yeux fixes, regard soudé à la piscine et à ma sirène de femme, tel un automate, dégrafe lentement les boutons de sa chemise. Plus exactement les arrache en force, un par un comme avec une lente violence quasi programmée. Celui du col pour commencer. Les suivants sautent facilement. Aucun ne résiste aux doigts puissants rompus aux tâches les plus rudes. L’animal est doué d’autant de force qu’il a peu de neurones. Il jette sa chemise de toile épaisse, laissant à nu un torse sec et musclé, se débarrasse avec la même tranquille obstination du reste de ses vêtements.


Comme en état d’hypnose, sous contrôle d’un mystérieux gourou, quelque esprit dissimulé dans les frondaisons alentour, et, désormais totalement nu, Lucien reprend sa position de singe, agrippé aux branches basses du bouleau, les jambes légèrement fléchies. Son sexe raide, vertical et parallèle au ventre, vient tutoyer son nombril. Les ondulations du bassin reprennent. Esquissées puis plus marquées, elles donnent le branle à ce sexe aux proportions maintenant phénoménales. Colonne de chair triomphante, véritable pied de nez de la nature facétieuse et frivole. Bien de ceux qui humilient cet homme de peu quand ils l’ont sous leur dépendance rêveraient d’en avoir une accrochée à leur bas-ventre, fut-ce du quart de celle-ci.


Ce garçon est-il seulement conscient du cadeau que lui ont fait les fées à sa naissance en le dotant d’un pareil outil ? Mais le primate ne se soucie pas de son état intéressant. Tout au spectacle qui lui vaut cette érection de concours, il ne se soucie pas non plus du voyeur aux jumelles que je suis et qui braque maintenant la binoculaire sur cette verge phénoménale qui gonfle encore et encore, gourdin gorgé de sang, lourd et sauvage.


Et puis, nouvelle surprise. Sous mes yeux ahuris, la monstrueuse matraque, raide, qui se balance, plantée bien à la verticale au carrefour des cuisses, brille soudain à son extrémité, comme si le gland qui la couronne se nappait d’un vernis transparent. Mise au point de mes jumelles. Je dois me rendre à l’évidence. La bite plantée droit, enracinée au bas du ventre de cet idiot de village dégorge doucement une liqueur translucide, par petites vagues successives, régulières et qui, comme la lave d’un volcan qui se réveille, débordent le méat, roulent sur le gland enflé et ruissellent le long de la tige bandée aux veines bleues bien apparentes maintenant.


Le demeuré libère inconsciemment les prémices de sa semence, sans même se caresser, à la seule vue d’une femme nue dans une piscine. Pas d’éjaculation pour le moment. Une émission sourde et régulière d’un liquide cristallin annonciateur de giclées plus consistantes et plus vigoureuses. Son sexe distendu s’est mué en un obscène bec verseur, tout brillant de ses débordements… Alors, le gol s’agrippe plus fort à ses branches et, la bouche mi-ouverte, le rouge lui monte brusquement à la face. Le voilà cramoisi comme en proie à une violente émotion qu’il ne contrôle plus.


Un rapide coup d’œil hors jumelles et je comprends tout. C’est Marion qui vient de sortir de l’eau et se sèche sur la plage de bois qui entoure notre piscine à quelques mètres à peine désormais de son voyeur de jardinier. La belle et douce personne s’essuie méticuleusement. La serviette éponge passe et repasse sur toute la surface d’une peau dont nous sommes quelques-uns à apprécier la douceur et la chaleur soyeuse. Un œil dehors, un œil dans les jumelles, je les observe tous les deux en parallèle.


Lui, nu, bandé, les yeux lui sortant de la tête. Elle, nue, souple et tranquille sous les caresses de sa serviette. C’est quand elle a écarté les cuisses, un peu en équilibre sur une jambe, et s’est essuyé le sexe que la première salve est partie. Le costaud des jardins se lâche maintenant, à la vue de ce sexe de femme frotté, séché, et de ces cuisses offertes, presque à portée de ses mains. Ce sont maintenant de beaux et longs jets qui fusent de sa lance, amples, à la fois lourds et aériens. Les copieuses giclées de sperme montent et culbutent dans l’espace en loopings généreux. La matière est abondante. D’une blancheur irréprochable. Notre crétin des Alpes n’éjacule pas mesquin. Il faut au moins lui accorder cela. Le produit de ses glandes débordantes inonde l’herbe. Une bonne dizaine de traînées claires zèbrent la pelouse tondue ras de la veille.


Le bougre avait les couilles chargées à bloc. Réservoirs pleins, lance en batterie. La machine enclenche et fonctionne à merveille. Une véritable pompe se met en marche, sans demander son avis ni à l’entourage ni à son propriétaire. Celui-ci se trouve délesté d’une cargaison conséquente de semence. On pourrait même penser que les cales sont vides désormais et qu’il devra s’écouler un bon moment avant que le jeune paysan ne puisse les reremplir, que le flamboyant périscope va être rappelé en cabine et que tout ce petit monde va maintenant rentrer dans le rang et se faire discret.


Grossière erreur. Très grossière erreur comme la suite va nous le montrer. Le singe est donc toujours suspendu à ses branches. Torse sec et musculeux, jambes mi-fléchies et contractées dans une position provocante. Il exhibe et pousse devant lui une verge tendue qu’un fil d’araignée translucide relie au sol. Regard fixe, bouche ouverte. Il n’a pas l’air bien finaud, notre voyeur de piscine privée, avec son air de laboureur et son teint de bûcheron, avec sa bestiale obstination et ses manières téléguidées, prévisibles et inquiétantes à la fois. Que va-t-il lui passer par la tête à présent ? Toujours est-il que son formidable gourdin ne donne aucun signe de relâchement et se tient toujours bien droit, raide et arrogant le long de ses abdominaux.


Dans le même temps, Marion s’est séchée et puis, bien installée sur un matelas-soleil, sur les planches de bois qui bordent notre piscine, expose son petit corps de rêve aux spectateurs privilégiés. Lunettes de soleil, bouquin. La voici partie pour un autre monde. Quelque roman anglais probablement qui va la transporter dans une Angleterre romantique du XIXe, bien loin des assiduités de son jardinier. Erreur, grossière erreur encore une fois.


Derrière ma fenêtre à double vitrage, je n’entends rien bien sûr, mais je vois, grandeur et loupe avec mes jumelles. Je vois les branches flotter sous le vent et ne les entends pas. Comme je la voyais brasser l’eau dans ses longueurs et ne l’entendais pas. Je vois maintenant, dans le même silence artificiel, le jeune mâle, précédé de son phénoménal étendard, sortir de l’ombre et descendre vers le bassin sans plus prendre garde à ne pas se faire surprendre. Il progresse, nu sur les planches, et vient se planter devant elle.


Provocation ou inconscience ? Certainement les deux. Je n’entends pas ce qu’ils se disent et je ne le saurai jamais. Ce dont je suis sûr, parce que, derrière ma vitre, moins de dix mètres me séparent de l’improbable couple, c’est que les choses n’ont pas traîné. Aux mouvements des lèvres, je devine qu’il articule un bonjour laborieux. Marion, que rien ne déstabilise jamais, prend un air très légèrement surpris, pour la forme. Elle doit dire quelque chose comme « mais que faites-vous là, Lucien, dans une tenue pareille ? En voilà une idée ! »


Rien ne déstabilise Marion, c’est vrai. Mais cette fois la surprise était tout de même de taille. Surtout lorsque la pistonnerie de l’hypersexué, aiguillonnée par la proximité d’une femme allongée nue, s’est remise en branle. Lorsque, sans que rien ni personne n’y touche, le monstre a lancé de nouvelles torpilles. Certaines atterrissant dans l’eau, d’autres allant s’écraser sur les planches, plusieurs toutes proches de Marion que ce spectacle semble sidérer et amuser à la fois. Le bonhomme semble inépuisable. La suite nous révèlera qu’il possède des capacités de foutre véritablement hors-norme.


Pour l’heure, Marion est au spectacle. Cette volumineuse verge gorgée, tendue, dressée et pointée sur les nuages, comme en prière, tendue vers le Créateur, ravit Marion manifestement. Cette grande amatrice de sexes masculins est également très attirée par les beaux braquemarts qui passent à sa portée. Je l’ai même vue s’intéresser de près aux organes des étalons, en visite dans quelque haras normand.


Avec une absence totale de pudeur, je la revois, sans que la présence des autres visiteurs ne la gène le moins du monde, se positionner derrière un papa percheron tranquille dans son box et se pencher pour mieux apprécier les formes et les volumes. Elle aime les génitaux masculins et ne s’en cache pas. Souvent je le lui dis. Cela fait maintenant un bon moment qu’elle ne le nie plus. « Ah oui, j’aime bien ! » concède-t-elle avec son fameux petit air de ne pas y toucher.


Là, maintenant, à cet instant, elle y touche bel et bien. La dernière salve lâchée, Marion se ressaisit et se dresse, debout face à la bête pour… agripper à pleine paume la queue du crétin sans que celui-ci ne fasse quoi que ce soit pour échapper à sa prise. Les doigts crispés sur la tige comme les petites pattes d’un oiseau sur la branche. La branche est belle et solide. Les doigts n’en font évidemment pas le tour. Comme pour affirmer leur présence face à ce tube de chair frémissant qui les défie, les phalanges se crispent et tentent désespérément d’étrangler le pieu vivant à l’œil de cyclope.


Las pour les courageux petits serviteurs, loin de réduire la cylindrique machine, voilà qu’ils la relancent dans son inlassable et prodigieuse activité. Telle une locomotive à vapeur, poussée par son chauffeur, qui met en branle ses pistons et ses bielles, engloutit le charbon, expulse la vapeur et s’arrache sous son panache de fumée, la bite de Lucien se réactive au moment où Marion se penchait pour tenter de la prendre en bouche, bien convaincue de ce que l’éjaculation précédente lui laissait quelque répit.


Erreur, grossière erreur une fois de plus. Ni Marion ni moi n’avons encore réalisé en présence de quel phénomène nous sommes. Le gars Lucien n’est comme aucun de tous les mâles que nous avons reçus ici. Pas un ne présentait ni les mesures ni les réserves de ce garçon. Et pourtant, Dieu sait avec quelle application je les sélectionne et les choisis avant de les glisser dans nos draps et les laisser gaver ma femme de leurs sexes et de leur semence dont elle raffole ! Aucun ne peut décharger coup sur coup de telles quantités hors de lui-même, puiser dans des réservoirs sans fond et se répandre à répétition sans même qu’on ne le suce ni ne le touche.


Elle devra s’en persuader définitivement. Et cette fois, quand, penchée sur la bête, lèvres prêtes à s’en saisir comme elle le fait si volontiers avec tous ses amants avant de se laisser enfiler de leurs queues bien préparées, elle reçoit en pleine face le premier jet d’une nouvelle série. Le liquide s’écrase sur son front, rebondit et éclate en auréole dans la lumière autour d’elle. Par réflexe Marion ferme les yeux tout en saisissant la lance à deux mains pour la diriger plus bas. Les vagues suivantes s’acharnent sur la base du cou et les seins. Ces paquets de foutre se ruent tout en violence à l’assaut du petit buste qui brille et ruisselle désormais.


Grande marée. Pour la troisième fois en moins d’une demi-heure, le bâtard monté comme un âne a balancé la sauce, sans mesure, sans compter. Comme si la réserve de ses sucs intimes était sans limites ou que la nature avait doté notre imbécile heureux d’une capacité de fabrication intérieure continue. Unique ! La bordée temporise enfin. Le canonnier planté là, les bras le long du corps, nu, raide et dégouttant d’une liqueur finissante et verticale, fixe la femelle de son regard de zombie et contemple, inerte et stupide la poitrine vernie de la semence dont il vient de l’asperger. Marion le regarde aussi, prononce quelques mots que le double vitrage m’empêche d’entendre là où je suis. Puis, dans un éclat de rire, elle saisit Lucien par la main, l’entraîne, et, tous deux sautent dans l’eau. Je cours chercher le Canon. J’aurais dû y penser depuis longtemps.


À mon retour, je les retrouve immergés, agrippés l’un à l’autre, immobiles, tendus, cramoisis. Dans le temps où je suis allé jusqu’au bureau pour y prendre l’appareil, la situation a carrément évolué. Sans le moindre doute ces deux-là sont fichés soudés l’un à l’autre. Embrochés jusqu’à la garde. En moins de cinq minutes, le mâle, jusque-là figé, statue au présentez-arme, a recouvré mobilité et initiative. Probablement dans la hâte et avec une impatiente violence, a-t-il saisi la petite Marion de ses bras puissants, l’a-t-il tournée et retournée jusqu’à ce que son sexe soit en ligne et l’a-t-il ajustée puis perforée sans ménagement ni douceur. La bite au fond, il aura écrasé la femme contre lui tel un forcené. Pour ne pas ressortir d’elle. Pour décharger aussitôt. Puis encore. Encore et encore bien au fond de ce sexe de femme tout chaud et bien serré. De ce sexe de femme dont il rêve depuis des semaines. Depuis des mois.


Pour l’heure, Canon en main, je les vois soudés l’un à l’autre, face à face, dans un coin du petit bassin. Elle, prisonnière de l’étau de ses mains redoutables de travailleur. Une grosse main, doigts étalés sur ses fesses, capture tout le bas et ne laisse aucune chance de fuite… L’autre presse sa nuque et l’oblige à enfouir le visage au creux de son épaule à lui. Comprimée, écrasée, ligotée comme un petit animal piégé qui attend immobile et frissonnant ce qui va advenir, incapable de bouger, à peine de respirer, Marion subit la sauvage étreinte.


Étouffée, mais pleine du sexe de l’autre. Pas le moindre doute là-dessus. Le couple est immobile dans l’eau. Presque immobile. De là où je suis, je peux distinguer un très léger mouvement de va-et-vient. Notre Lucien, pine immergée, gland abuté au fond du vagin, s’écrase à petits coups dans la matrice qui l’accueille et qui doit recevoir en continu le sperme inépuisable. Obscènes ondulations qui sont comme les indications de ce qui se passe à l’intérieur. À l’intérieur du ventre de Marion. Au creux de sa chatte pleine d’une queue large raide et impérieuse. Gavée des vagues qui déferlent les unes après les autres au plus chaud de sa matrice.


Cette formidable baise entre un homme et une femme, tous deux quasiment immobiles, produit une impression presque dramatique. Deux corps soudés désespérément l’un à l’autre par une formidable nécessité. Deux corps incapables de se décoller. Verrouillés par l’angoisse de se perdre. Lui, la tient en tenaille sans lui laisser un millimètre de liberté. Elle, a planté ses griffes dans le dos du jardinier et s’agrippe comme un petit mammifère obstiné. Les imperceptibles ondulations qui traversent leurs étreintes les balancent un moment, cessent tout à fait puis reprennent inlassablement. À chaque pose, leurs visages se crispent et s’empourprent, leurs muscles se tendent un peu plus.


Puis le très léger balancement reprend jusqu’à… la prochaine pose, le prochain orgasme de Marion, la prochaine éjaculation du jardinier. À imaginer ce chapelet de jouissances sous-marines, j’ai les jambes un peu molles et me sens de plus en plus à l’étroit dans mes vêtements. Voilà trois fois qu’ils s’écrasent l’un contre l’autre à s’en étouffer, trois fois que leurs balancements obscènes s’interrompent, trois fois que, comme dans un film muet, je vois leurs bouches se tordre, leurs visages défigurés lancer des cris sans son, trois fois qu’il se vide en elle, trois fois qu’elle l’aspire, l’avale, l’engloutit. Ils ne savent plus où ils sont, ils ne savent plus ce qu’ils font. À croire que je vais devoir descendre de mon perchoir pour les séparer. À coup de bâton peut-être…


Sans rire, je commence à m’inquiéter pour ma petite Marion prise au piège d’un véritable maelstrom. L’œil du cyclone ne se déplace pas cette fois et reste bloqué sur ma petite femme. Tsunami permanent. Elle jouit encore et encore. Il plonge, plante, élargit et se vide en d’interminables giclées. Je n’y tiens plus. Il faut que j’aille délivrer ce petit corps de son bourreau. Je m’apprête à sortir quand l’improbable se produit. Après dix ou douze assauts de rang, je ne les ai pas comptés, mais il y en eut sans doute plus, tout s’arrête, tout s’effondre. Le corps du puissant mâle se détache de celui de la petite femelle blonde. Leurs têtes se courbent sur leurs poitrines. Les deux combattants lâchent prise de conserve. La baise est terminée.


Marion reprend vite ses esprits et cette méchante petite personne reprend aussitôt son rôle de patronne. D’un geste autoritaire et définitif, elle désigne une plate-bande. Lucien sort de l’eau et se dirige vers ses vêtements. Marion l’arrête d’un geste tout aussi autoritaire. Quelques instants plus tard, Marion a repris son bouquin. Allongée sur la plage, calme et détendue. À dix mètres de là, arcbouté sur sa bêche, Lucien a repris le boulot. À poil et déjà luisant de sueur. Marion ne peut pas voir ce que je vois. La verge du jardinier se réveille. L’après-midi n’est pas terminé.






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Erotisme torride

Tendre Amour

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n° 13290Zebigouane15/05/09
Mon histoire vraie chez les nudistes
critères:  fffh inconnu grossexe grosseins vacances nudisme entreseins fellation pénétratio méthode pastiche humour -humour
9870 caractères      
Auteur : Zebigouane

Bonjour ! J’ai vu que sur ce site pas mal de gens venaient raconter leur histoire qui leur est arrivé en vrai. J’ai hésité longtemps à vous écrire mais je crois que mon histoire, elle est assez extraordinaire, le genre qu’arrive qu’une fois dans une vie, alors elle mérite que je la raconte.


Je me présente, je m’appelle Henri (c’est pas mon vrai nom mais je veux pas qu’on me reconnaissance dans la rue après), je voudrais bien réussir ma vie, être aimé, tout ça tout ça. Je suis pas super bien foutu, pas comme les gars qu’on voit dans l’Île de la tentation, mais je suis pas moche non plus. Mon plus gros avantage, c’est que j’ai une grosse bite. Mais ça les filles elles peuvent pas le savoir juste en me voyant alors j’ai raté pas mal d’occasions. Et comme je suis pas black c’est pas marqué sur mon front que je suis bien membré.


Ma bite, elle fait 12 cm au repos et 27 cm quand je bande. Je sais plus combien ça fait en pouces, j’avais calculé une fois des fois que je rencontrerais une américaine, mais j’ai oublié. Les américaines elles sont trop bonnes, on les voit à la télé dans les séries, elles ont toutes des gros seins ! Ça doit venir de leur alimentation surement. Moi j’aimerais bien que les filles d’ici elles mangent comme les américaines ! Les gens disent que la cuisine française c’est la meilleure du monde, mais je suis pas d’accord ! Pour le vin, je dis pas.


Bref, ma bite elle est plus grosse que celle de Rocco. Et j’en profitais même pas sous prétexte que j’ai pas la gueule à Alain Delon. Je me suis dit que c’était pas juste, que si les filles la voyaient elles auraient trop envie de baiser avec moi et je leur montrerais que je suis pas manchot. Mais bon, je peux pas me mettre à poil dès que je vois une fille qui me plaît !


Cette question me hantait depuis l’adolescence. Au lycée les filles elles se moquaient de moi, surtout après la fois où Agnès avait remarqué la tache sur mon pantalon quand je suis sorti des toilettes avec le livre de sciences-nat à la main, ouvert à la page sur l’appareil reproducteur féminin. Ce jour-là je me suis juré qu’un jour elles me supplieraient de les baiser avec ma grosse bite, toutes ces petites pimbêches qui roulaient des pelles à leur copain à chaque récré.


Et puis un jour, enfin c’était un soir en fait, Rocco m’est apparu en rêve et m’a donné la solution. C’était juste après avoir regardé « Rocco chez les nudistes en chaleur ». Du coup j’ai oublié d’aller le rendre au distributeur et cette saloperie de machine m’a facturé deux jours parce que j’avais dépassé de trente minutes l’heure limite. Mais c’est pas grave, ça valait le coup parce que c’est grâce à ça que j’ai vécu mon histoire extraordinaire.


L’endroit où les filles pourraient me voir nu c’est une plage de nudistes ! Et dire que j’ai attendu toutes ces années sans pouvoir montrer ma grosse bite à une fille alors que la solution était si simple ! J’aurais dû louer ce film bien plus tôt.


Le hic c’est que j’habite à Paris et que les plages nudistes à Paris j’en ai pas trouvé et que quand j’ai pensé à ça on était en février alors il fallait que j’attende mes vacances mais c’était embêtant quand même parce que tous les ans je vais en vacances à La Bourboule avec Maman, rapport à ses rhumatismes, et qu’il fallait que lui dise que cette année je partirai de mon côté parce que une fois en trente-trois ans j’avais bien le droit quand même. Maman s’est mise très en colère, elle a menacé de m’expulser et alors là je suis pas prêt de retrouver un distributeur aussi près de chez moi, trois minutes à pied, c’est important parce que j’ai pas le permis alors je lui ai dit d’accord j’irai avec toi.


Mais je suis plus malin qu’elle alors je lui ai joué un bon tour ! Je suis allé sur internet et j’ai repéré qu’il y avait une plage nudiste sur un lac près de La Bourboule. Et toc, Maman ! En attendant le mois de juillet j’ai bien étudié la carte pour savoir comment y aller et j’ai bien étudié « Rocco chez les nudistes en chaleur » pour voir comment il faisait.


Bref, on est arrivé à La Bourboule (c’est joli, je sais pas si vous connaissez) et j’ai profité de la sieste de Maman pour lui chiper sa voiture et filer au lac des nudistes.


Et là, c’était vraiment mon jour de chance parce que sur la plage il y avait que des filles ! Que des blondes avec des gros seins et une petite chatte rasée ! C’était l’équipe suédoise de natation synchronisée qui était en vacances dans le coin alors elles sont allées se faire bronzer toutes nues parce que quand elles font leur show il faut pas qu’elles aient la marque du maillot, c’est super important l’esthétique dans ce sport-là.


Au début elles m’ont pas remarqué parce que j’étais habillé. Je suis passé devant elles tranquillement, sans me presser en ayant l’air de rien et j’ai posé ma serviette devant elles. Je voyais bien qu’elles faisaient semblant de pas me voir mais qu’elles me reluquaient par en-dessous. C’est normal, elles étaient en manque parce que dans leur équipe il y a que des filles et qu’elles étaient en vacances depuis longtemps dans un pays qu’elles parlent pas la langue alors elles pouvaient pas faire de rencontre.


Je me suis mis tout nu. Alors là, dès qu’elles ont vu ma grosse bite (elle fait 0, 89 pouces, j’ai recalculé des fois que des américaines liraient ce texte, avec internet c’est possible), elles ont toutes (ah bah non, elles parlent pas français les américaines, elles pourront pas lire, zut ! ) poussé un (ben si, je suis bête, les chiffres c’est les mêmes en américain ! ) cri d’exclamation et elles ont écarquillé les yeux parce qu’elles n’avaient jamais vu une aussi grosse bite.


Celle qu’était la plus près, Ingrid, elle s’est précipitée vers moi et elle m’a demandé :



Moi j’étais un peu gêné bien sûr mais je voyais bien qu’elle était en manque et qu’elle avait jamais vu une aussi grosse bite et qu’elle en reverrait surement jamais dans sa vie alors je lui ai dit :



Alors là elle a pris ma bite dans ses mains et elle a commencé à me branler. Elle est devenue énorme (ma bite, pas Ingrid), encore plus énorme que je l’avais jamais vue et pourtant je la vois souvent. Je suis sur qu’elle a dépassé les 27 cm. (Merde, 0, 89 c’est des pieds, pas des pouces ! Combien ça fait en pouces ? Putains d’amerloques, ils peuvent pas parler en litre comme tout le monde ! )


Elle me branlait bien, Ingrid, je sentais que ça venait mais je résistais parce que à ce jeu-là je suis super entraîné ! Et puis sa copine Samantha est arrivée, elle l’a poussée parce qu’elle aussi elle voulait avoir ma grosse bite. Elle a mis ma grosse bite dans sa bouche, elle a tout rentré d’un coup. Elle avait une super technique, elle suçait avec sa bouche et en même temps elle me léchait les couilles avec sa langue.


Toutes les filles autour étaient super excitées, elles étaient toutes sur le dos les jambes écartées et elles se caressaient leur petite chatte rasée en rêvant à ma grosse bite, parce qu’elles en avaient jamais vu une aussi grosse.


Alors Tabatha est arrivée, elle s’est allongée devant moi et elle m’a demandé de lui lécher sa petite chatte rasée. Mais moi je lui ai dit non, c’est dégoûtant, les filles c’est par là qu’elles font pipi. Moi ce que je veux c’est mettre ma grosse bite dans une petite chatte rasée.


Alors j’ai attrapé Pamela par les hanches et je lui ai enfoncé ma grosse bite dans sa petite chatte rasée. Elle s’est mise à crier.



Toutes les filles sont arrivées, elles voulaient toutes que je leur défonce leur petite chatte rasée avec ma (10, 63 ! ça fait 10, 63 pouces, cette fois c’est bon ! ) grosse ( 10, 63 je le mets en gras pour que les américaines le voient mieux) bite.


Alors elles se sont toutes mises à genoux côte à côte en me présentant leur cul. J’avais douze petites chattes rasées devant moi. Alors j’ai mis ma grosse bite dans la première. Tracy s’est mise à crier :



Comme elles étaient toutes super impatientes que je leur défonce leur petite chatte rasée avec ma grosse bite, elles ont toutes mis leurs doigts dans la petite chatte rasée de leur voisine pour les faire patienter.


J’ai défoncé la petite chatte rasée de Courtney pendant au moins… pendant longtemps et puis je suis passé à la deuxième. Jenna s’est mise à crier :



J’ai défoncé la petite chatte rasée de Kelly pendant longtemps et puis je suis passé à la troisième. Clara s’est mise à crier :



J’ai défoncé toutes les petites chattes rasées de toutes les suédoises, une par une. Julia, Laure, Katsumi, elles criaient toutes :



Après avoir défoncé leur petite chatte rasée, je bandais toujours comme un Rocco alors je leur ai dit de se mettre sur le dos, je me suis mis à genoux par-dessus elle et j’ai mis ma grosse bite entre leurs gros seins et je me suis branlé comme ça pendant qu’elles serraient leurs gros seins contre ma grosse bite, elles sont vraiment trop bonnes ces américaines avec leurs gros seins, c’était bon, je sentais que ça venait, c’était bon, c’était bon, c’est bon, c’est trop bon, j’ai éjaculééééééééé…





Uuuuuuuuh…





Ah zut, l’y a des tuches qu’ne marchent plus sur le claver !


Vlà, c’état mn hstre vrae chez les nudstes. Bn, j’a enve de drmr mantenant.





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Erotisme torride

Tendre Amour

Bon Scénario

Belle Ecriture

Plein d'Humour

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n° 13300Pervenche M19/05/09
Mon mur a des oreilles
critères:   fh 2couples grossexe voir fellation pénétratio fsodo échange journal confession humour -prudes -voyeuract
32586 caractères
Auteur : Pervenche M

15 MAI :


Seigneur ! Quelle histoire ! Il faut absolument que je prenne ma plume pour coucher sur le papier le tumulte des sentiments qui m’assaillent !


Vais-je perdre la raison ? Ma main tremble tandis que j’écris et tente de me remémorer les événements qui se sont succédé ces deux dernières semaines… En réalité, je n’éprouve aucun mal à m’en souvenir, car tout reste encore bien présent dans mon esprit, mais les pensées se bousculent dans un si troublant désordre que je crains de ne jamais parvenir à les retranscrire fidèlement.


Tout a donc commencé au début de ce mois de mai, par un beau dimanche, lorsque mes nouveaux voisins ont emménagé. Les précédents locataires – des gens ô combien aimables – m’avaient avertie de leur départ, et c’est avec un pincement au cœur que je les ai vus s’en aller vers un autre toit. Leur petite famille, récemment agrandie, ne pouvait désormais vivre à l’aise dans un espace aussi restreint !


Quel contraste, depuis lors ! Ce jeune couple nouvellement installé mène si grand bruit que j’ai cru que le mur qui les sépare de moi avait tout à coup minci ! Jamais auparavant, malgré la présence toute proche d’un ménage avec deux enfants, je n’avais réalisé à quel point les maçonneries de l’immeuble étaient mal insonorisées.


Lors de leur emménagement, les nouveaux occupants étaient accompagnés de quelques proches qui restèrent tard dans la nuit à déplacer avec fracas meubles et bibelots tout en s’interpellant à haute voix. Je n’ai trouvé le sommeil qu’à grand-peine, mais je me suis montrée compréhensive, un déménagement étant toujours un événement.


Il ne s’est guère écoulé plus de deux jours – ou devrais-je écrire « deux nuits » ? – avant que je n’acquière la conviction que mes voisins avaient installé leur chambre à coucher dans la pièce même où dormaient auparavant les deux filles des précédents occupants.


Doux Jésus ! Est-ce donc cela que l’on nomme « péché de la chair » ? Je ne sais pas. Je crains de ne plus le savoir. Initialement, j’ai cru qu’ils se disputaient. J’entendais des bruits et des éclats de voix, alors que je venais de me glisser entre mes draps, et j’ai immédiatement songé qu’ils seraient bien avisés de tenir leurs querelles d’amoureux dans la cuisine ou la salle à manger, plutôt que de l’autre côté de ce mur si léger qui les sépare de moi !


J’ai prêté l’oreille – Seigneur, pardonne-moi ! – et ce que j’ai ouï m’a donné à penser qu’ils étaient loin de se disputer. Sans être aucunement spécialiste en la matière, je ne doutais point qu’une femme se querellant avec son homme n’aurait probablement pas répété plusieurs fois, avec exaltation : « Oh, oui ! Oh, oui ! Oh, oui ! » tandis qu’il poussait des grognements que n’aurait point reniés un goret !


Il me revient que Maman m’avait conté, qui repose au cimetière à présent – paix à son âme ! – que le devoir conjugal est un passage obligatoire pour toute femme désirant une descendance. « Tu enfanteras dans la douleur », as-tu dit, Seigneur, mais tu n’as pas précisé si l’étape permettant de faire naître en elle la vie doit s’avérer également synonyme de souffrance.



Les sons qui me parvenaient depuis l’autre côté du mur instillaient toutefois le doute dans mon esprit. Non seulement ce ne semblait pas vite se terminer, mais la voisine ne pensait certainement pas « à autre chose ». Je n’étais même pas sûre qu’elle fermait les yeux. Une nuit, en plus des « Oh, oui ! Oh, oui ! » qu’elle répétait à l’envi, j’ai cru entendre quelque chose comme :



Maman m’avait-elle menti ? Chaque soir, l’oreille aux aguets, j’écoutais. Un matin, nous sommes sortis en même temps, et nous nous sommes dit bonjour avant d’échanger quelques banalités. Ils m’ont regardée et m’ont souri, mais j’ai nourri l’impression qu’ils se moquaient un peu de moi. Surtout quand j’ai glissé dans la conversation une discrète allusion sur leur « tapage nocturne ».


Ils n’ont pas émis de commentaire bien précis. Je me montrais indiscrète. Je ne les avais pratiquement jamais rencontrés jusqu’à ce jour et il me semblait impoli d’omettre de leur adresser quelques mots de bienvenue, mais aller plus avant dans l’évocation de leur vie privée était probablement déplacé. Je n’aurais peut-être pas dû leur parler, finalement. J’aurais même dû éviter de les regarder. Les quelques instants passés ensemble sur le trottoir m’ont permis de mettre une image sur les sons que je percevais chaque soir et de me rendre compte à quel point ma nouvelle voisine était différente de moi.


Allongée dans mon lit, j’imaginais, en entendant les « Oh, oui ! Oh, oui ! », cette femme aux cheveux clairs dont j’avais aperçu la naissance des seins sous un chemisier échancré, les cuisses rondes sous une courte jupe, les ongles des orteils teintés de rose… j’imaginais donc cette femme complètement nue, couverte par son homme dans la moiteur de la chambre et la chaleur du lit. Je voyais cet homme, grand et musclé, à la peau bronzée et luisante de sueur, se saisissant de…


Non ! Je n’en pouvais plus, Seigneur ! Je voulais fermer les yeux, devenir sourde, trouver un sommeil qui s’obstinait à ne pas venir. Je me suis acheté des bouchons, que j’ai placés dans mes oreilles le soir avant de me coucher, espérant passer ainsi de meilleures nuits.


Ce vendredi, j’ai dû y renoncer ! Jeudi, je n’avais pas entendu le réveille-matin, et j’ai failli manquer l’autobus ! Je ne puis arriver en retard en l’étude. Maître Duponchel est très attaché à la ponctualité, et pourquoi devrais-je lui donner tort ? La ponctualité n’est-elle pas la politesse des rois ?


Nous sommes à présent dimanche, et ce soir je ne pourrai utiliser les boules antibruit de crainte de ne pouvoir me réveiller demain à sept heures ! Je prie afin qu’ils ne recommencent pas. Il arrive qu’ils se montrent calmes, comme quelques jours après leur arrivée lorsque j’ai supposé que Madame était indisposée, mais le répit fut de si courte durée que j’ai prestement chassé cette hypothèse !


J’écris « Madame », mais elle se prénomme Gabrielle. Elle me l’a dit, quand nous avons un peu bavardé. Lui, il s’appelle Jean-Louis, mais je le savais déjà, car elle crie souvent son prénom au milieu des « Oh, oui ! ».


Il se fait tard. Tout reste tranquille. Je pose ici ma plume pour une ultime prière avant de me glisser sous la couette. Seigneur ! Accorde-moi une nuit paisible, au sommeil réparateur ! Mais si ce n’est point là ce que tu veux, Seigneur, que ta volonté soit donc faite !



16 MAI :


Je suis épuisée ! La nuit dernière, j’ai à peine fermé l’œil. Je guettais, enfouie sous les draps, les clameurs et gémissements qui ne pourraient manquer de traverser la minceur du mur, mais rien n’est venu ! Le calme absolu ! Pourtant, dans la soirée, j’avais entendu le bourdonnement de leur télévision et perçu quelques bruits de voix. Ils étaient donc bien présents !


Jamais auparavant je n’avais réalisé à quel point le propriétaire de la maison avait effectué une curieuse opération en aménageant deux logis au départ d’un seul ! Le vaste bungalow avec jardin avait été scindé en deux dans la recherche d’un profit locatif maximal. Et tant pis pour ce mince mur de séparation !


C’est incroyable, ce que le silence peut ressembler à du vacarme lorsqu’on n’a plus coutume de l’entendre ! D’entendre le silence, veux-je dire, pour autant qu’on puisse entendre du silence.


J’ai commis quelques bévues dont je ne suis pas coutumière, à l’étude. Fort heureusement, j’ai pu les rectifier avant que Maître Duponchel ne s’en aperçoive. Il est très à cheval sur la précision du travail. Je ne voudrais pas qu’il me gronde, il affiche déjà habituellement une humeur bougonne et, je l’avoue, il m’effraie un brin ! Je sais pourtant qu’il apprécie ma collaboration. Dernièrement, il m’avait même complimentée.



Mais il avait ajouté, d’un ton bourru :



Qu’entendait-il par là ? Je n’avais pas osé le lui demander, et de toute façon je n’en aurais pas eu le temps, car il avait immédiatement quitté le bureau pour aller déjeuner. Comment peut-on se montrer gaie lorsqu’on travaille chez un notaire ?


Quelques minutes plus tard, Félicie était entrée, un petit arrosoir à la main.



J’avais médité là-dessus, et puis ça a commencé à me trotter dans la tête, surtout à cause de ma nouvelle voisine, Gabrielle. Sûr qu’elle devait attirer les regards des hommes, bien qu’elle ait déjà le sien ! Je me suis morigénée d’avoir de telles pensées. Je ne pouvais injustement la soupçonner d’être ce qu’elle n’était pas. Jusqu’à preuve du contraire, je me devais de la classer parmi les épouses fidèles, très attachées à leur mari !



17 MAI :


Encore le calme, la nuit dernière ! Seraient-ils lassés de leurs ébats ? Serait-ce une mauvaise période pour Gabrielle ? Quelle étrangeté ! À présent que j’ai droit au silence, j’en viens à regretter le bruit ! Une chose est sûre : si le tapage m’empêche usuellement de dormir, son absence ne génère pas l’effet inverse ! J’ai dû me lever pendant la nuit et me préparer une camomille. Il faudra que j’y pense avant de me mettre au lit, désormais. C’est une bonne boisson pour le soir.



19 MAI :


Je me sens mieux ! Ils demeurent plus calmes. Parfois, je les entends rire, mais je reprends peu à peu des forces, grâce à un meilleur sommeil. Mes voisins étaient probablement trop enthousiastes à la suite de leur emménagement. C’est vrai que l’habitation est idéalement située, avec une vue agréable depuis la baie vitrée qui donne sur le jardin et les alentours plutôt bien pourvus en espaces verts.


La possibilité existe également qu’ils aient tenu compte de ma petite remarque au sujet de leur tapage nocturne et qu’ils aient décidé de mettre la sourdine. Tant mieux !



22 MAI :


Est-ce l’arrivée du printemps ? La fièvre du samedi soir ? Ou tout simplement la fin d’une période défavorable ? La nuit dernière a été agitée. J’en frémis encore ! Je n’oserais transcrire ici tout ce que j’ai ouï, mais mes voisins paraissaient tenir la grande forme !


En rentrant de la réunion mensuelle du Cercle des Amis de la Feuille Séchée, où j’étais allée présenter les récentes trouvailles ayant enrichi mon herbier, j’ai croisé sur le trottoir quelques personnes qui s’en retournaient d’avoir passé la soirée avec Gabrielle et Jean-Louis, et auxquelles ces derniers lançaient des « au revoir » depuis la porte de leur logis. Il devait être environ vingt-trois heures.



En fermant derrière moi, il m’a semblé entendre ma voisine pouffer, mais sur le moment je me suis crue victime de mon imagination.


J’avais hâte de me coucher. Les réunions du CAFS sont passionnantes, mais se terminent tard. Une fois dans mon lit, j’ai compris que la nuit ne serait pas tranquille. Au chaud dans les draps, j’ai bien vite réalisé qu’ils « remettaient ça ». Pardonne-moi, Seigneur ! J’aurais dû à ce moment faire usage de mes boules antibruit, mais la boîte était dans la salle de bain, ce qui m’a occasionné un temps d’hésitation – assez coupable – pendant lequel je me suis interrogée :



Je pense qu’elle disait, si j’ai bien tout compris :



En tout cas, quelque chose qui ressemblait à ça. Et puis, lui, c’était plus distinct :



Il y avait aussi des :



Et ça s’est terminé par :



J’ai collé mon oreille contre le mur – oui, je l’avoue, je me laissais aller à quelque indiscrétion – pour mieux entendre ce qui se disait chez mes voisins. J’en ai honte, à présent, mais sur le moment ce fut plus fort que moi ! Mon corps frémissait, mais je n’avais pas froid. C’étaient des frissons d’origine nerveuse.



Jean-Louis ne répondait pas, alors elle a poursuivi :



Et puis une série de cris qui en disaient long mais qui ne montraient rien, alors que j’aurais bien voulu voir ce qu’elle subissait qui lui procurait tant de plaisir. Je pouvais l’imaginer, mais malaisément puisque je n’ai nulle pratique de la chose…


Maman, m’as-tu menti, toi qui prétendais que le devoir conjugal n’a rien d’agréable ? Ou alors, c’était ce père que je n’ai pas connu qui te rendait cette chose difficile à supporter ?



En entendant tout ça, j’étais en sueur, mais je ne m’en étais pas aperçue. J’écoutais, fascinée, obsédée par ces cris. Je poussais la tête tout près du mur, où j’avais approché mon oreiller. Le drap et la couverture, tirés jusqu’à mon menton, maintenaient ma chaleur dans le lit. Mon cœur battait à tout rompre. J’ai posé la main sur mon ventre, par-dessus la robe de nuit, et j’ai continué à prêter l’oreille.



Je n’en pouvais plus ! Était-ce possible ? De… de la sodomie ? Car c’était là ce à quoi ils se livraient, j’en étais persuadée. En tout cas, je l’imaginais, à leurs paroles et au bruit qu’ils produisaient !



Au moment où mon voisin a crié « Je viens ! Je viens ! », j’ai soudain pris peur. Allait-il venir me reprocher mon indiscrétion ? Ce n’était pas cela, bien sûr ! J’avais tellement honte, Seigneur, tellement honte !


Entre mes jambes serrées, je sentais une pointe d’humidité. Je n’en pouvais supporter davantage ! Je me suis levée sans bruit et me suis rendue à la salle de bain pour me laver à l’eau froide ! Le contact avec le gant de toilette trempé et glacé m’a fait claquer des dents. Je revenais sur terre. Je me suis demandé à cet instant s’il ne serait pas opportun de déplacer mon lit à l’autre bout de la maison, mais la perspective de dormir dans la cuisine ou dans la salle d’eau ne me réjouissait guère.


J’ai achevé une partie de la nuit dans un des fauteuils du petit salon, et je n’ai regagné ma couche qu’à l’approche de l’aube. Tout demeurant calme, j’ai dormi jusque midi. Ce soir, pourtant, je ne puis m’accorder cette fantaisie. Demain lundi je dois me réveiller en bonne forme à sept heures pour me rendre à mon travail. Je m’installerai dans le divan.



23 MAI :


Quelle idiotie, mon déménagement vers le salon, la nuit dernière ! Si les voisins avaient chahuté, je l’aurais entendu quand même. Moins fort sans doute, mais je l’aurais entendu. C’est resté calme. Ils ne font donc pas ça tous les soirs ?



26 MAI :


Incontestablement, je préfère mon lit à tout autre endroit pour dormir ! En semaine, je travaille, et mes voisins aussi. Voilà tout. Ils rentrent probablement aussi fatigués que moi et ils n’ont pas l’esprit à la gaudriole. C’est bien ainsi.



30 MAI :


Mon écriture devient épouvantable. Je ne maîtrise pas les mouvements désordonnés de mes mains. Je pressens que ma tension artérielle n’est pas encore revenue à la normale, malgré les médicaments que m’a prescrits ce matin le médecin. Dois-je le préciser ? Je n’ai pas pu me rendre à mon travail. J’ai téléphoné à Maître Duponchel pour le prier de bien vouloir excuser ma défection soudaine. J’ai cru percevoir un brin d’ironie dans sa voix lorsqu’il m’a demandé si j’avais fait des folies de mon corps ce dimanche…


Il faut que je profite du silence relatif du moment pour coucher sur papier les événements qui se sont déroulés durant ce délirant week-end ! J’ai peur d’oublier des choses, une nouvelle fois, malgré que tout demeure encore bien frais dans ma tête, car mon état de fraîcheur personnel ne s’affiche pas au mieux. Tant pis si je mélange quelque peu !


Tout a commencé vendredi. Je m’étais habituée au retour au calme, mais ce soir-là vers vingt-deux heures, lorsque je me suis glissée au lit, j’ai bien entendu qu’ils devaient faire une petite fête, à côté. Cette fois, pourtant, j’ai eu la bonne idée de faire usage de mes bouchons antibruit. Aucun problème à les utiliser, puisque je ne devais pas me lever à sept heures le lendemain. C’est épatant, ces menus objets, mais ils présentent néanmoins un inconvénient : une fois mis en place, ils vous empêchent d’entendre quoi que ce soit. Même le silence. Cela possède un petit côté angoissant, il me semble.


Allongée dans l’obscurité, je ne parvenais pas à trouver le sommeil. Cette ambiance ouatée me pesait. De temps à autre, j’ôtais les bouchons pour m’assurer de la nécessité de les garder, prêtant l’oreille au moindre bruit en provenance de la maison voisine. J’ai fini par m’endormir pour me réveiller ensuite, puis me rendormir… au point de ne plus pouvoir dire, à l’heure où j’écris ces lignes – il est près de seize heures –, si j’ai dormi avec ou sans mes accessoires antibruit.


Je ne me suis levée qu’en fin de matinée pour accomplir la corvée emplettes. Il faisait doux, mais un peu lourd. Une de ces belles journées de printemps qui semblent propices à la balade, mais qui vous épuisent en raison des effets cumulés d’un certain manque d’air et d’un manque certain de bonne forme physique au sortir de l’hiver.


L’après-midi, j’ai fait un brin de ménage, de rangement, puis de repassage de mes chemisiers blancs et de mes jupes plissées. Je venais juste de refermer la penderie lorsque Gabrielle a sonné à ma porte.



Elle m’a remerciée et elle est retournée chez elle. J’ignore si je l’avais vraiment rassurée, mais moi je ne l’étais pas du tout ! J’ai vérifié que les bouchons auriculaires reposaient à portée de main sur ma table de nuit, et j’ai attendu stoïquement qu’arrive l’heure de la bamboula endiablée dont j’imaginais déjà les nuisances sonores.


Question musique, je dois reconnaître qu’ils ont tenu parole : à vingt-deux heures trente, les disques qu’ils écoutaient ne me parvinrent plus que de manière très assourdie, et j’ai soupiré d’aise en me glissant entre mes draps. Les choses ne s’annonçaient pas trop mal.


Mais pourquoi donc Gabrielle avait-elle pris la peine de m’avertir, si elle comptait produire moins de tapage qu’à l’habitude ? J’ai compris à ce moment que la présence de leurs invités les empêchait de se livrer à leurs bruyants ébats amoureux ! Seule la musique pouvait donc poser quelque problème de voisinage. J’imaginais qu’il devait être plus aisé de diminuer le volume d’un amplificateur que celui des vocalises de ma voisine lorsqu’elle s’adonne aux plaisirs du lit…


Couchée dans un calme relatif, j’ai fini par m’assoupir sans même avoir à faire usage de mes bouchons. Je ne pouvais présumer à ce moment de l’erreur que je commettais ! À l’instant où de nouveaux bruits m’ont réveillée, quelques minutes d’attention m’ont permis de deviner que la fête avait fortement dégénéré : plus question de repas entre amis, de musique et de conversations à bâtons rompus. Aux vocalises, à présent bien connues, que Gabrielle entonnait de sa voix de soprano s’ajoutaient le contralto de sa copine et un duo de contrebasses en soutien. Mes voisins se livraient-ils à une orgie de sexe ? À quatre ? Mon Dieu ! Oh ! Mon Dieu !


C’est à ce moment que j’ai commis une effroyable bévue, poussée par – je le crus à cet instant – un zeste d’agacement, mais il s’agissait aussi d’une bouffée de curiosité malsaine. Oui, malsaine, Seigneur, je l’avoue. Me pardonneras-tu jamais ? J’ai quitté le lit pour les pantoufles et me suis glissée hors de la chambre. J’aurais dû me désintéresser de tout ça, utiliser mes bouchons auriculaires, mais c’était plus fort que moi ! Je ne pouvais plus tolérer une telle situation. J’ai enfilé un peignoir et me suis dirigée vers le vestibule. Il fallait que ça cesse ! C’était du moins ce que je me disais pour me donner bonne conscience ! D’ailleurs, quelle autre démarche aurais-je pu tenter ?


Quand j’ai posé la main sur la poignée de porte, j’ai frémi : allais-je vraiment oser interrompre leurs ébats ?


J’ai ouvert doucement. Dans la rue, tout était calme. Quelques pas rapides me conduisirent devant l’entrée voisine. Au moment où mon index s’élevait vers le bouton de sonnette, un doute m’a assailli. Une menue hésitation… et puis l’effroi ! La clé ! Je n’avais pas pris ma clé ! J’ai hâtivement rebroussé chemin, mais ma porte était désespérément close. Et le trousseau sournoisement suspendu de l’autre côté de la serrure. Et moi, et moi… seule dans la rue !

Quelle idiote je faisais !


J’ai réfléchi un bref instant, mais lorsque j’ai vu s’approcher la lueur des phares d’une voiture, j’ai rapidement longé la façade et tourné à l’angle de la maison, me faufilant entre le pignon et la haie de conifères, la main tâtant la brique, décidée à trouver le salut côté jardin.


La baie vitrée du living était hermétiquement close, comme je m’y attendais, alors j’ai poursuivi jusque sous les deux petites fenêtres hautes. Celle de la salle de bain était fermée, mais la dernière, celle des WC, était entrouverte. Mais pourrais-je me faufiler à l’intérieur par cette étroite ouverture ?


À l’instant où j’allais tendre les bras pour tenter d’accrocher des doigts le rebord du châssis, des bruits de voix me sont parvenus assez distinctement. Les voisins ! Je les avais déjà presque oubliés, mais ils se rappelaient à mon bon souvenir ! À travers la haie de lauriers se glissaient grognements et gémissements, tandis que rampait sur les dalles de la terrasse le rai jaunâtre de la lumière du living. À croupetons, puis à quatre pattes, j’ai honteusement adopté une position me permettant de couler sous les basses branches un regard indiscret.


Que n’ai-je tenté de fuir cette vision ? Pourquoi suis-je devenue pareille au lapin pris dans le faisceau d’un projecteur ? Encore le lapin n’aurait-il pas bronché ! Seigneur ! Est-ce parce qu’une voix de femme répétait :



À quatre pattes, j’ai progressé vers la lueur, papillon de nuit blessé et incapable de voler mais attiré malgré tout par la brûlure de la lampe. Dans l’obscurité, je me savais quasi invisible. La baie vitrée, entrouverte sur ses rails, me laissait contempler un pan de la scène et entendre le jeu des acteurs. Je ne voyais qu’une comédienne, celle qui disait précisément à ce moment :



Sa tête et ses épaules nues oscillaient d’avant en arrière, tandis que le reste de son corps était dissimulé par le dossier d’un divan. Les avant-bras collés à l’accoudoir, elle ouvrait la bouche, gémissait, criait au travers des mèches de cheveux qui lui masquaient partiellement les yeux. Ce n’était pas Gabrielle et sa tignasse blonde, mais l’homme qui était de toute évidence occupé à la besogner et dont je voyais quelque peu émerger la tête au-dessus du dossier était mon voisin Jean-Louis !


Mon Dieu ! Et j’oyais d’autres cris. La voix de soprano de Gabrielle, aisément reconnaissable, se livrait à ses vocalises habituelles :



Auxquelles répondait un timbre de baryton :



Ils avaient donc mélangé les couples, Seigneur ! Ils s’échangeaient les partenaires ! J’en tremblais au point de ne pas sentir la dureté rugueuse des dalles de la terrasse sous mes paumes et mes genoux. J’aurais dû avoir honte et m’enfuir, Seigneur, je l’avoue. Et j’avais honte, Seigneur, oui, j’avais honte mais ne m’enfuyais pas ! Et pendant ce temps, Seigneur, l’autre femme, celle qui devait s’appeler Agnès, continuait de jeter des « Mon Dieu ! » blasphématoires.



J’avais presque l’impression que ça lui faisait mal, mais ça devait lui faire du bien quand même. Oh, Mère ! Pourquoi m’as-tu menti ?


Mais à qui cette femme adressait-elle des « Mon Dieu ! Mon Dieu ! » ? À Jean-Louis ?


Je me suis légèrement avancée – pardonne-moi, Seigneur, je ne savais plus ce que je faisais – pour mieux voir les détails de cette débauche, de cette orgie, de cette bacchanale ! J’en frémissais toute !

Quand Jean-Louis est soudain apparu, complètement nu, j’ai failli m’enfuir par réflexe. J’eus dû ! J’eus dû, Seigneur, j’en suis consciente, mais sur le moment je n’y pensais point !



Et elle l’a fait ! Agnès l’a fait, tandis que j’entendais toujours Gabrielle pousser ses cris :



Puis, il s’est adressé à Agnès :



Et c’était vrai, Seigneur. J’avoue que l’objet était énorme, luisant, et tout baveux quand Agnès l’a sorti d’entre ses lèvres. Puis elle l’a léché, enfourné, sucé… c’était… c’était effrayant !


Oui, mais c’était fascinant. Et comme elle avait la bouche pleine, elle ne disait plus rien, et Jean-Louis faisait simplement « Mmmm… Mmmm…, c’est ça, oui, comme ça… » en posant la main sur la tête d’Agnès.



Elle a encore vocalisé, puis elle s’est calmée, alors Jean-Louis a interrompu ses « Mmmm… » pour lancer :



Pendant ce temps, l’autre femme ne restait pas inactive.



J’ai vu Agnès qui enfournait la bête presque à fond, et j’ai cru qu’elle allait étouffer, ou vomir, parce qu’elle a toussé un peu. Jean-Louis a ri, et puis Agnès l’a de nouveau sucé, en bavant et en produisant des bruits mouillés.



Et puis elle a crié :



J’étais en train de me dire que ces gens avaient beaucoup tendance à évoquer ton nom, Seigneur, au cours de leurs ébats, mais je n’ai guère trouvé le temps d’y penser davantage, parce que Jean-Louis a grogné, et que son liquide blanc a giclé très fort sur le visage et les cheveux d’Agnès ! C’était épouvantable ! Comment pouvait-elle prendre ça dans la figure ? Je n’ai pas pu retenir un petit cri de surprise. J’ignore s’ils m’ont entendue, Seigneur, et s’ils m’ont vue, mais je fus victime d’un tel accès de frayeur que j’ai prestement fait demi-tour et me suis glissée sous la haie de lauriers.


En toute hâte, je me suis redressée de l’autre côté, et j’ai sauté pour attraper le rebord de la fenêtre. En me hissant, j’ai laissé choir mes pantoufles, et me suis écorché les pieds contre le mur. Je devenais comme folle. L’ouverture était étroite, très étroite, mais je ne suis pas grosse, et puis je paniquais à l’idée que mes voisins me découvrent, alors dans des craquements d’étoffe, j’ai rampé sur le bord du châssis.


Lorsque j’ai basculé vers l’avant, j’ai pensé brusquement que ce qui m’attendait en bas n’était rien d’autre que la cuvette des WC. ! En un réflexe salvateur, j’ai lancé les mains vers le bas et attrapé les rebords de la planche. J’ai tenté de retenir mon corps qui suivait, en crochant mes doigts de pied au dormant de la fenêtre, et ma chute s’en est trouvée ralentie.


Afin d’éviter de choir fesses en avant dans une sorte de galipette qui m’aurait fait douloureusement heurter du dos la porte du petit local, mes bras se sont repliés sous mon poids tandis que mes genoux descendaient tout droit sur la commande de vidange du réservoir de la chasse. Comme j’avais la tête en partie engagée dans la cuvette, j’ai eu droit au rinçage du crâne par six litres d’une eau froide joliment teintée de bleu !


Telle fut ma punition, Seigneur. J’ai passé la journée de dimanche à soigner mes plaies et écorchures, je n’ai pas osé mettre le nez dehors de crainte de rencontrer mes voisins, et le soir j’ai essayé de dormir dans le salon, mais ça n’allait pas. Je tremblais de froid – ou plutôt de peur – et rester allongée dans un fauteuil ou sur le divan me rappelait trop violemment la scène à laquelle j’avais assisté.


Je me suis traînée jusqu’à la chambre et, une fois dans mon lit, j’ai tenté de trouver un sommeil qui se refusait à moi. Mes voisins étaient silencieux, mais je craignais sans cesse qu’ils ne viennent frapper à ma porte pour me reprocher ma curiosité malsaine. Je n’arrivais pas à me persuader qu’ils ne m’avaient ni vue ni entendue, malgré le bruit qu’ils produisaient eux-mêmes à ce moment-là.


Les heures passaient avec une lenteur désespérante, et lorsque je baissais les paupières surgissait cet énorme engin, luisant, baveux, Agnès disait :



Alors, honteuse et effrayée, j’ouvrais les yeux et je me trouvais à nouveau dans cette chambre, et j’imaginais les sons me parvenir à travers le mur, et la voix de soprano de Gabrielle qui en rajoutait :



Et Jean-Louis qui répondait :



Dans mon lit, dans le noir, je fermais les yeux et – Seigneur, me pardonneras-tu jamais ? – mes doigts glissaient sous ma robe de nuit, sur ma peau frémissante, dans l’humidité de mon entrejambe…


Oh ! Seigneur ! J’ai honte ! Comme j’ai honte ! Mes mains tremblent ! Je ne pourrai plus écrire encore ! Pardonne-moi mon Dieu, mais quoi qu’en pense ma défunte mère – paix à son âme – il faut que je sache, même si je dois en mourir de honte, même si je dois en périr dans les flammes de l’enfer, il faut que je sache, donc, si ça fait tant de bien que ça d’en avoir une grosse, une groooosse… plantée là… là… là où ça me brûle depuis près de deux jours !


Seigneur, donne-moi le courage d’en parler à mes voisins !






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n° 13302AUX PLAISIRS DES DAMES20/05/09
La délivrance
critères:  h fh fhh couple extracon cocus copains nympho grossexe piscine boitenuit danser jalousie voir exhib miroir fellation pénétratio fdanus fsodo -couple+h -cocucont -fellation
20821 caractères
Auteur : Alain C      Série : A l'auberge des confessions - 01 / 07

Comme toutes les années depuis maintenant cinq ans, moi et quelques collègues dînons ensemble dans une auberge de la région. Cela pour fêter dignement notre amitié. Nous sommes encore six ce soir. Six comme à notre premier rendez-vous. Il y a Mauricette, la quarantaine passée, brune avec des mèches aux cheveux courts, vêtue d’un pull et d’une mini, avec des bottes. Yves, un peu plus âgé aux cheveux gris, bien habillé, corpulent, le regard vif, des poches sous les yeux. Isabelle, la trentaine, grande et mince, les cheveux courts encadrant un visage très pâle, où la bouche rouge éclate comme un fruit, une silhouette élancée, soulignée par un haut de soie blanche, ras du cou, et un pantalon de cuir noir très ajusté qui met en valeur d’interminables jambes. Avec ses escarpins, elle mesure un mètre soixante-quinze. Véronique, la plus jeune du groupe, resplendissante dans un tailleur strict de couleur claire sous lequel elle ne porte pas grand-chose. Pour finir Thierry, un visage brutal, le moins drôle de tous, vêtu en jean et chemise. Et, bien sûr, ma personne.


L’endroit est très agréable, les tables suffisamment éloignées les unes des autres pour avoir un peu d’intimité. L’ambiance est déjà très joyeuse entre nos trois couples.


La soirée se réchauffe. Un je ne sais quoi nous a incités à venir parler sexe, l’alcool aidant sans doute. Chacun se sentant suffisamment libéré de tout préjugé, pour vivre une aventure immorale gardée pour la plupart secrète tout au fond de sa mémoire. Mais ce soir nous avons décidé de briser la barrière du silence, et de partager avec les autres convives, une confession. Mais pas n’importe laquelle. Celle qui fait grimper au plafond. La plus chaude possible.


Je prends tout de suite la parole, racontant le plus naturellement possible mon histoire.


Ma première femme était une femme brune. Ses yeux noirs étaient en amande, une belle poitrine qui se tenait bien droite. Elle pouvait, sans doute, se passer de soutien-gorge, mais elle était bien trop pudique pour cela. Ses petites fesses menues formaient un adorable derrière rebondi. Sa vulve bombée était gracieusement fournie de poils crépus.


Après un moment de déprime suite à une rupture. Alexandre, un ami, était venu partager une soirée, en notre compagnie, dans un restaurant. Le repas fut très copieux. L’alcool aidant, Isabelle, mon épouse devenait moins timide. Elle ne prenait même pas le soin de remonter la bretelle de sa longue robe noire, qui avait glissé sur son bras. Alexandre, l’ami qui était assis en face, en était ravi. Ses grands yeux plongeaient directement dans l’échancrure du corsage de mon épouse. Je n’osais rien dire.


Le café but, Isabelle, se disant en forme comme jamais, me demanda de les conduire en boîte. Je fus surpris de sa demande, elle qui n’aimait pas ces endroits. Je soupçonnais l’alcool d’y être pour quelque chose. Comme si je voulais me rassurer… mais de quoi ? J’avais un drôle de pressentiment.


Arrivée dans la seule discothèque branchée des environs. La piste était noire de monde. Isabelle voulut m’entraîner sur la piste, mais je refusai. Je ne savais pas danser, ce qui ne l’a pas empêchée d’y aller, en entraînant Alexandre.


Assis sur une banquette, je sirotais un whisky-coca. Dans la foule qui s’agitait sur la piste, mon épouse était la seule à porter un vêtement sombre. Les jeunes filles portaient des tenues claires. Les corps se trémoussaient, dégoulinants de sueur. Sur les tissus, commençaient à se dessiner de larges auréoles de transpiration. Une odeur acide mêlée de tabac froid avait envahi l’atmosphère. Les projecteurs et les lasers donnaient une image psychédélique de la piste. Soudain, les spots s’éteignirent, au profit d’une lumière bleutée qui ne reflétait que les formes claires. Ma femme apparut dans toute sa splendeur. Une série de slows commençait.


Je me sentais très seul dans mon coin. Isabelle semblait m’avoir oublié. Elle dansait dans les bras de notre ami. Le temps de commander un autre verre et je me retournai en direction de la piste. Tout en sirotant mon alcool, je n’avais d’yeux que pour mon épouse qui se prêtait de plus en plus volontiers aux mouvements de son partenaire. Suspendue à son cou, elle dansait lascivement. Son ventre était plaqué contre celui d’Alexandre.


Il la tenait par la taille. Ses grands bras l’enlaçaient. Je sentis le sang me monter au visage, quand ses mains se glissèrent sur les fesses de mon épouse. Il fit disparaitre entièrement le petit cul de ma femme dans ses larges paumes. Je reprenai espoir quand elle les repoussa avec un regard chargé de reproches.


Une femme vint alors s’asseoir près de moi, et se mit à me causer. J’avais du mal à me concentrer sur ce qu’elle me disait. Elle se fâcha aussitôt de mon impolitesse. Elle aussi avait pas mal bu. Je dus faire semblant de m’intéresser à ce qu’elle me disait pour la calmer. Discrètement, je regardais la piste du coin de l’œil. La lumière rendait Isabelle encore plus blanche, mais ses joues rougissaient. Il me semblait que sa robe avait disparu, et que des ombres dansaient lentement autour d’elle. Subitement, les formes qui l’entouraient me la dissimulèrent. Je la cherchais éperdument, mais en vain. Je remarquai avec effroi qu’Alexandre, lui aussi avait disparu.


Et cette femme qui continuait à me débiter ses conneries. Une angoisse terrible me serrait la poitrine. Je me levai d’un bond et me dirigeai vers les toilettes. J’ouvris la porte des sanitaires sans réfléchir d’avantage. Des jeunes femmes sursautaient en me voyant, et cessaient de se remaquiller pour me jeter carrément dehors en m’insultant. Je me rendis alors dans les toilettes des hommes.


Des images horribles défilaient dans ma tête. Je voyais ma petite biche à genoux, en train de sucer la queue d’Alexandre. Il la tenait par la nuque, il se branlait carrément dans sa bouche. Mon épouse ne se rebellait pas. Au contraire, elle ouvrait grand la bouche pour que l’autre salaud s’enfonce profondément dans sa gorge.


Je devais ressembler à un fou, quand je pénétrai dans les W-C des hommes. J’en inspectais le moindre recoin, l’oreille aux aguets. Je devais me rendre à l’évidence, il n’y avait personne. Sur la piste, une musique plus rythmée éclata. Je retournai précipitamment à ma place, pour voir avec soulagement mon épouse assise à ma place, Alexandre à ses côtés…


Isabelle était essoufflée. Elle transpirait abondamment. Son visage était rouge et échevelé, sa longue robe du soir était toute froissée. Les bretelles pendaient, dévoilant un peu plus sa poitrine. Les boutons, sur le côté de sa robe, étaient dégrafés jusqu’à la hanche. La chair blanche et luisante de la cuisse était visible et elle ne cherchait pas à la masquer. Ses yeux fixes brillaient d’une étrange lueur. C’était sûrement les effets de la danse et de l’alcool conjugués qui avaient mis ma femme dans cet état.


Un peu plus tard, j’étais allongé sur le lit de notre chambre, complètement nu, attendant Isabelle qui terminait de se laver dans la salle de bains. Je n’avais aucune certitude qu’il s’était vraiment passé quelque chose dans les toilettes, je ne voulais pas gâcher la fin de notre nuit.


La porte de la salle d’eau, en claquant, me fit revenir à la réalité. Je jetai un œil sur mon sexe. J’étais en train de bander comme jamais. Isabelle était là, sa fine dentelle blanche épousait parfaitement ses formes. Je ne fis rien pour lui cacher mon érection. Elle me regarda, étonnée. Je la fixai. Elle dénoua lentement sa ceinture, puis éteignit la lumière. J’entendis dans l’obscurité le froissement du tissu, qui glissait à ses pieds. Aussitôt, son corps vint se lover contre le mien.


Sans un mot, mon épouse enfila elle-même ma queue dans sa chatte, en me chevauchant. Elle faisait preuve d’une audace peu coutumière. Elle pensait peut-être à Alexandre, pendant qu’elle s’activait sur ma verge. Lui qui dormait pas loin de notre chambre. Je l’avais invité à passer la nuit chez nous. En tout cas, elle prenait un réel plaisir à monter et à descendre tout en ondulant des hanches. Nous étions rarement excités l’un et l’autre à ce point. Je profitai de ce trouble commun pour essayer de connaitre la vérité.



Elle haletait carrément en se tenant à mes épaules. Ses reins étaient cambrés à l’extrême.



Elle enfouit son visage dans mon cou. Elle n’osait pas répondre. J’insistai.



Je crus que j’allais éjaculer.



Elle se mit à donner des coups de cul de plus en plus rapides. J’étais au bord de l’orgasme. C’était fou, j’allais jouir parce que ma femme avait été troublée par un autre homme. Je voulus vraiment savoir.



Nous nous retrouvâmes, le corps inondé de sueur, honteux à présent de ce que nous avions dit. Je me tournai sur le côté pour m’endormir. Un malaise oppressant m’avait gagné une fois l’excitation retombée.


Dans la nuit, je me réveillai en sursaut. Quelque chose n’allait pas. Je tâtai les draps. Isabelle n’était plus dans le lit, à mes côtés. J’allumai la lumière, j’allai voir dans la salle de bains, puis aux toilettes, le salon. Personne, tout était calme. Je ne comprenais pas. C’est en revenant dans ma chambre que j’aperçus une raie de lumière, sous la porte de la chambre d’ami. Là justement où était installé Alexandre. Je m’avançai lentement. Mon cœur battait à tout rompre dans ma poitrine. La sensation d’angoisse était revenue, plus forte que jamais. Je collai mon oreille contre le battant et perçus des soupirs étouffés, des gémissements. II n’y avait aucun autre bruit à cette heure avancée de la nuit.


Je me penchai pour coller mon œil dans la fente de la serrure. Ce que je vis me glaça.

Isabelle était à genoux devant la glace de l’armoire. Ses lèvres étaient affreusement déformées par le gland enflé et rouge de notre ami. Ils étaient nus tous les deux. Elle suçait le long membre en hochant la tête, comme je l’avais imaginé, quelques heures plus tôt. Il gonflait les joues de mon épouse.


Pendant qu’elle aspirait la hampe, Isabelle palpait en même temps les testicules d’Alexandre. Deux grosses couilles lisses qui ballotaient dans ses paumes. Ses fesses se crispaient à chaque fois qu’il lui enfonçait sa queue un peu plus loin dans la bouche. Ma femme, à moitié étouffée, continuait sans relâche à pomper, comme si sa vie en dépendait.


Je n’en revenais pas. À moi, elle donnait rarement sa bouche, sauf pour me faire bander, quand elle avait vraiment envie de faire l’amour, et toujours dans l’obscurité. Là, elle se comportait sans aucune pudeur. Elle était prête à tout pour se faire bourrer par cette grosse bite.


Soudain, je réalisai que je n’avais aucune envie d’intervenir. Pire, je bandais terriblement. Mon sexe n’était pas celui d’Alexandre, mais dressé entre les pans de ma robe de chambre, il semblait avoir grandi. Sans plus attendre, je me branlai comme un fou, pendant que ma femme se mettait à quatre pattes. Alexandre s’empressa de l’imiter, se plaçant derrière elle. D’un seul coup, il lui planta sa queue dans le vagin.


Sous la brutale poussée, mon épouse, si menue, tomba le nez en avant. Le salaud n’en fit même pas cas. II en profita au contraire pour lui défoncer carrément la chatte. Isabelle ne protesta pas. Elle s’offrait même d’avantage, tendant ses fesses, le cul en l’air. Il la limait de plus en plus vite. Elle était aux anges, ses joues toutes rouges de plaisir. Un bonheur total se reflétait sur son visage. Elle jouissait comme je ne l’avais jamais vue. Cette vision me fit décharger contre la porte.


Dès que l’excitation s’estompa, je m’enfuis comme un voleur. Ce n’est qu’au petit matin que j’entendis ma femme rentrer. Je n’avais pas fermé l’œil de la nuit, et elle non plus sans doute. Dès qu’elle se coucha près de moi, je la serrai dans mes bras, m’allongeant sur elle. Aussitôt, je me remis à bander, sans pouvoir m’en empêcher. Sa chatte était encore pleine de foutre.


J’y enfonçai ma queue et je m’aperçus que je nageais carrément dedans. Isabelle se laissait manipuler comme une poupée. J’osai profiter de sa docilité. Ma main glissa sous ses fesses, l’autre s’empara d’un de ses nichons, le pressant comme si j’avais voulu le remodeler. Pendant ce temps, mon index s’insinuait dans son cul. J’y trouvai, avec stupeur et émoi, autant de sperme que dans son vagin. Alors, je retirai ma bite de son con pour la placer plus bas, entre ses fesses. Il ne me fallut qu’un seul coup de reins, pour m’enfoncer dans son cul.


Mon épouse devait se sentir indigne et sale, pour se laisser malmener comme une pute. De façon obscène, elle offrit son ventre en frétillant de la croupe sous mes coups de queue.



Ce furent ses seules paroles. Elle se mit à haleter et la jouissance nous emporta tous les deux en même temps.


Quelques heures plus tard, une sourde excitation recommençait à me gagner, comme la première fois. Je dus me rendre à l’évidence, Isabelle avec d’autres hommes m’excitait. Il avait vraiment fallu qu’un mâle vienne faire son entrée dans notre couple pour le découvrir. Mon sexe était dressé, jamais je n’avais bandé aussi fermement.


En fin de journée, nous nous retrouvâmes tous les trois, autour de notre piscine. Isabelle me prit la main et m’entraîna dans l’eau. Au bout de quelques brasses, ma femme et moi revînmes nous étendre près d’Alexandre, sur les bains de soleil. Isabelle se prélassait en s’étirant. Je la regardais faire, amusé. C’est alors que l’ami se leva et plongea à son tour dans la piscine. Quelques allers et retours et le voilà qui remontait par l’escalier. Mais surprise, son maillot lourdement trempé avait glissé au plus bas sur son anatomie très en forme. Isabelle l’observait discrètement. Je recommençais à être excité, et elle aussi, car une auréole était en train de se former sur le devant de son maillot.


J’étais sûr qu’elle mouillait autant que je bandais, sous ma serviette, que j’avais préalablement glissée au centre de mon corps, cachant mon excitation. Je m’approchai lentement pour lui parler dans le creux de l’oreille, pendant qu’Alexandre s’allongeait sur la margelle de la piscine, après s’être rajusté.



Je la sentis frissonner tout contre moi. Elle tremblait même un peu.



Elle se figea, détourna la tête pour me regarder droit dans les yeux.



Mon épouse s’était redressée sur son bain de soleil. Elle baissa le regard en cherchant ses mots.



Pendant ce temps, Alexandre bronzait, le maillot déformé par son érection. J’en avertis ma femme.



Isabelle fixa l’ami. Elle m’avoua alors.



Je compris qu’elle était toujours soucieuse de ma jalousie, mais je la rassurai.



Je tirai la serviette et l’élastique de mon maillot. Ma queue douloureusement comprimée se tendit d’un seul coup vers mon nombril. Les yeux de ma femme se mirent à briller. Elle voulait être certaine de mon consentement.



Ma queue tressautait sur mon ventre.



Nous nous regardions. Je lui cachai que je l’avais vue. Je voulais l’entendre de sa bouche.



Elle parlait bas, en tripotant lentement ses cuisses l’une contre l’autre. Je ne pus m’empêcher de me branler en l’écoutant.



C’était trop excitant. C’est pour ça qu’à la discothèque, je l’ai suivi aussitôt sur la piste. Pendant que nous dansions, je sentais sa queue contre mon ventre. Je n’ai pas pu résister, quand il m’a entraînée dans les toilettes. Il m’a baisée dans une cabine.

Je l’ai rejoint plus tard dans la nuit, pendant que tu dormais. Je m’en voulais, mais je ne pouvais pas m’en empêcher. Dans sa chambre, je me suis livrée à lui. Je l’ai sucé. Il m’a enculée. J’étais comme prise d’une crise de folie. Je voulais son foutre partout, dans la chatte, dans la bouche et dans le cul. Je m’en suis voulu, après. Pourtant, je t’aime, mais je ne peux pas résister.


Je n’en revenais pas. Elle, toujours si pudique, se montrait à présent sous un jour différent. Elle essaya de se faire pardonner.



Je ne lui laissai pas le temps de reprendre ses esprits. Elle continuait toujours à comprimer son sexe entre ses cuisses.



Avec des gestes lents, ma femme retira son soutien-gorge, et tendit son buste en avant. Puis elle fit glisser son slip en se trémoussant vicieusement.



Elle écarta les jambes, tout en séparant ses lèvres brunes et fripées. Sa corolle était luisante de mouille. Son clitoris pointait entre ses poils. Soudain elle se retourna, se mit à quatre pattes en ondulant des hanches. Je l’encourageai en me branlant moi aussi.



Elle s’empressa d’écarter la raie de ses fesses. Son anus rose et strié apparut dans l’étroit sillon tapissé de poils fins. Les sphincters étaient encore boursouflés des pénétrations qu’elle avait subies. Un peu de chair rouge sortait au bord de l’anneau bistre. Je vis celui-ci gonfler. La perverse poussait sur ses sphincters pour nous exhiber l’intérieur de son cul. Elle en frétillait, comme une chienne en chaleur. Je n’en pouvais plus.



Elle se releva d’un bond et partit en direction d’Alexandre. Arrivée devant lui, elle se figea. Ils se dévisagèrent pendant un court instant. Puis, Alexandre me jeta un bref coup d’œil. II voulait être sûr de mon consentement. Je me branlais trop vite, trop fort, pour qu’il ait des doutes. II se releva lentement, alors que ma femme venait s’accroupir à sa place. Elle prit la queue qu’il lui tendait et l’enfonça aussitôt dans sa bouche. Isabelle se mit à sucer le gland violacé comme si c’était une friandise. En même temps, elle se cramponnait aux fesses d’Alexandre pour qu’il la pénètre jusqu’au fond de la gorge. Au bout d’un moment, elle délaissa la bite pour s’agenouiller, dos tourné. Elle lui présentait son cul en le suppliant.



Le jeune homme se plaça derrière ses fesses et ajusta son gland contre son anus. Elle était si excitée, et lui si lubrifié, que je vis la queue rentrer d’un seul coup dans son cul. Quelques secondes après, il l’enculait à toute vitesse. Isabelle criait de bonheur. Ne pouvant plus me retenir, j’éjaculai sur le dallage, en m’écroulant.


Je mis de longues minutes avant de me décider à contempler de nouveau la scène. Ma jalousie refaisait surface, maintenant que l’excitation était passée. Je relevai les yeux. II n’y avait plus personne.


Elle est revenue quelques jours plus tard pour m’annoncer qu’elle me quittait pour Alexandre.



(A suivre… )



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n° 13311BRUNO25/05/09
La plage en juin
critères:   hh inconnu grossexe plage exhib hmast intermast préservati hsodo -occasion -hhomo
9407 caractères      
Auteur : Bruno2

J’arrivai sur la plage, enfin. Il faisait chaud, le soleil était déjà haut et j’étais essoufflé. Deux heures de marche pour l’atteindre cette plage ! Mais c’est le prix à payer. Ce n’est pas la plus belle des plages, non. Mais elle a ses avantages, car deux heures de marche en plein soleil, les familles avec marmots, bouées, parasols et panier pique-nique cela ne les tentaient pas. Monsieur aurait pris un coup de soleil sur son crâne dégarni, les gosses auraient hurlé qu’ils ne voulaient plus avancer et madame serait tombée en syncope avant de l’atteindre. Ceux qui font cet effort ont chacun leur raison. Il y a ceux qui apprécient le calme, les amoureux de la nature, mais il y a surtout les pédés.


C’était un endroit de drague célèbre dans toute la région. Les petites dunes de sable qui la bordent et les taillis derrière les dunes n’y étaient pas pour rien. Mais aujourd’hui j’y venais surtout pour y passer une journée tranquille, loin du bruit, loin des gens. Je ne m’attendais pas à y faire des rencontres. On était début juin, mardi. Les gays y venaient surtout le week-end et seulement en fin d’après-midi, la semaine.


J’avais mon sac avec de l’huile solaire, ma bouteille d’eau, des fruits et un Dashiel Hammet que je n’avais pas lu, trouvé par chance la veille chez un bouquiniste : tout pour passer une bonne journée qui s’annonçait comme une vraie journée d’été.


Je fus content de trouver la plage totalement déserte. Je m’arrêtai dans un creux formé au sommet d’une petite dune de sable. Impeccable pour être à l’abri des regards d’éventuels passants et de la petite bise qui soufflait. Avant de m’installer, je scrutai la plage. Personne.

Génial.


Deux mecs au loin sur leur planche à voile et un catamaran à l’horizon. C’était les seules présences humaines visibles.


Je sortis de mon sac ma serviette de bain et me déshabillai. Lorsque je fus à poil, comme chaque fois, je me mis à bander. Me sentir nu, caressé par le vent, me faisait à tous les coups le même effet. Je sentais ma queue enfler, durcir. J’étais seul, la bite dressée, c’était génial. Je regardai une nouvelle fois autour de moi pour m’assurer que j’étais bien seul. Rien du côté des taillis, rien à droite sur la plage, mais à gauche je vis les deux mecs tirer leur planche à voile sur le sable. Merde.


Je m’accroupis, en espérant qu’ils ne m’aient pas remarqué. L’un était grand, baraqué, l’autre plus petit, mince, semblait plus jeune. Le plus grand inspectait la jambe du jeune qui s’était sans doute blessé. Je les voyais discuter mais j’étais trop loin pour les entendre. Le plus âgé remit sa planche à l’eau, l’autre lui fit un signe comme pour dire « ça va bien, ne t’occupe pas de moi » et s’assit sur le sable en se massant la cheville.


Bon. Je n’étais plus seul mais ce n’était pas grave. Ils finiraient bien par partir. Je m’allongeai sur ma serviette, pour profiter du soleil. La marche m’avait tout de même un peu fatigué, je m’étirai et fermai les yeux.


Le pied.

Le bruit de la mer, du vent, les cris d’une mouette.

J’étais bien.


J’étais tellement bien que je sentis ma queue s’enfler à nouveau. Je savais que dans ce cas-là, il n’y avait qu’une solution, c’était de me vider les couilles. Une bonne branle et elle me laisserait tranquille pour un bon moment.


J’aime bien ma queue. Oui, j’ose le dire, je l’aime bien. Je la trouve belle. Plutôt longue, dans les dix-huit centimètres, assez grosse, bien droite avec pour la terminer un beau gland. Les gars qui l’ont eue en bouche ou entre leurs fesses m’ont souvent fait des compliments. « T’as une belle queue ». Ça fait toujours plaisir.


Je savais que je n’aurais pas à l’astiquer bien longtemps avant de m’asperger de sperme. Mais soudain, j’eus l’impression d’une présence. Je me soulevai sur un coude, mais ne vis rien. Personne. Par contre la planche à voile du jeune était toujours sur la plage, mais pas de trace de son propriétaire. L’autre était déjà loin au large.


Où était-il donc passé ? Soudain je me retournai et le vis derrière moi, à deux mètres à peine.


Il devait avoir dix-huit ans à tout casser, le corps mince mais déjà un peu musclé. Il avait des yeux bruns aux longs cils qui lui donnaient un regard presque féminin dans un beau visage d’adolescent entouré de cheveux foncés qui lui arrivaient presque sur les épaules. Je vis tout cela en un dixième de seconde, mais ce qui attira surtout mon regard n’avait rien d’adolescent et encore moins de féminin. Il tenait à la main un sexe énorme. En tout cas qui me paraissait énorme, ainsi dressé dans un corps aussi jeune.


Il vit mon trouble et sourit. Il s’approcha, s’accroupit à côté de moi. J’étais tétanisé, ne sachant que faire. Le garçon était bien moins gêné que moi. Sans un mot, il prit mon sexe en main et commença à le lécher comme un chocolat glacé.


Glacé, il ne l’était pas, je le sentais devenir brûlant, prêt à exploser. Bon Dieu, qu’est-ce qui m’arrivait ? Est-ce que tout cela était réel ? Est-ce que je rêvais ? Je tendis la main pour saisir sa queue. Je ne m’étais pas trompé, c’était un des instruments les plus gros et les plus longs que je n’ai eu ainsi en main depuis dix ans que je collectionnais les mecs. Je le branlai doucement tandis qu’il me pompait la verge, l’enfonçant au plus profond de sa gorge, quand il arrêta ma main. Il me regarda dans les yeux en souriant et dit :



J’étais abasourdi ! Le plus beau des éphèbes me tombait du ciel, me faisait une pipe d’enfer et, en plus, il voulait se faire baiser. Un instant je me demandai si je n’avais pas fait une crise cardiaque et qu’en réalité j’étais déjà au paradis. Mais si c’est ça le paradis, je signe de suite.


Non pas qu’il était mon type de mec. J’étais plutôt branché macho. Tous les amis que j’avais eus jusqu’à présent étaient tous assez baraqués. C’était cela qui me faisait flipper : baiser un mec, un vrai. Mais voilà que j’allais défoncer un gamin ! Car c’était l’impression qu’il me faisait. C’était encore un gamin mais qui savait drôlement bien « jouer docteur » !



Je fouillai fébrilement dans mon sac et en sorti une poignée de capotes ainsi qu’un tube de lubrifiant que je jetai sur ma serviette. J’aime baiser, mais je ne pouvais pas le blesser tout de même ! Est-ce qu’il avait déjà fait ça, d’abord ? J’eus un remord :



Il éclata de rire :



Dans ce cas. Je pris un préservatif et le sortis de son emballage. Il me le prit des mains.



Il voulait me le mettre lui-même. Pas de problème ! Ma queue, bien tendue n’attendait que ça. Mais au lieu de cela, il prit le préservatif et l’enfila sur son sexe. Que faisait-il ?


Aussitôt sa verge enveloppée, il se saisit du tube de lubrifiant, en fit couler sur le bout de ses doigts et avant que je ne puisse réagir, il m’en enduit l’anus. La seconde d’après il écartait mes jambes et je sentais cette énorme queue pousser l’entrée de mon cul.


C’était fou ! Jamais encore je ne m’étais fait baiser. Ce n’est tout de même pas un gamin qui allait m’enculer !


Le temps que ces phrases me passent dans l’esprit et il était en moi. Je découvrais soudain cette sensation inconnue jusqu’alors d’être « pris », « possédé ». Je ne sentais même pas la douleur tant cette sensation dépassait tout.


Il était en moi. Je serrais les fesses pour mieux sentir le va-et-vient de sa queue. Il souleva alors mes jambes et les posa sur ses épaules afin de me pénétrer plus à fond. Je comprenais soudain les mecs que je baisais et qui criaient « plus fort, vas-y, à fond, oh, oui, baise-moi ! »


Au bout d’un moment je l’entendis dire dans un souffle :



Je n’eus pas à lui répondre. À l’idée qu’il allait déverser sa semence, un jet de sperme jaillit de ma queue et m’aspergea le torse. Le second jet m’atteignit le visage et comme j’avais la bouche ouverte, je sentis le goût salé de mon sperme sur ma langue. Il se retira de moi, enleva rapidement le préservatif et sans plus toucher son sexe, le laissa cracher de longs jets de foutre qui m’arrosèrent plus encore. Jamais je n’avais vu autant de sperme sortir d’une queue ! J’en avais partout : sur les jambes, la queue, le torse, jusque dans mes cheveux.


En riant, il se laissa tomber sur moi et fit glisser son corps sur le mien pour s’enduire de nos deux semences mélangées.



Et tout en me regardant dans les yeux il m’embrassa doucement.



Nous restâmes enlacés ainsi quelques minutes avant de courir jusqu’à la mer et plonger en riant. Jamais je n’avais été aussi euphorique.


Lorsque nous sortîmes de l’eau, il regarda vers le large.



Je lui indiquai l’adresse de la villa que j’occupais. Il m’embrassa sur les lèvres avant de jeter :



À minuit et demi ce jour-là, on frappait à ma fenêtre. Il s’appelait Sylvain, il venait d’avoir dix-huit ans.





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n° 12936Chanterelle19/10/08
Réveillon lingerie avec un collègue antillais de mon mari
critères:   fh couleurs extracon cocus grossexe fête lingerie fellation fsodo -occasion -extraconj
21929 caractères      
Auteur : Chanterelle

Est-il nécessaire de préciser que cette histoire est absolument véridique, sans quoi elle n’aurait aucun intérêt ? Tout cela est arrivé lors du dernier réveillon que nous avons passé avec mon beau-père. Une attaque cardiaque l’emportait quelques semaines plus tard et je me demande encore si elle ne fut pas en partie causée par les événements qui marquèrent cette mémorable soirée.


Depuis quelques années, nos deux grandes ados ne réveillonnaient plus avec nous. Cette fête traditionnelle était alors devenue un simple repas tardif à quatre : Thierry, qui est mon mari, ses parents et moi. C’est peut-être un peu pour ça aussi que Thierry avait invité Mikaël cette année. Pour rompre la routine, mais aussi pour ne pas le laisser seul à l’hôtel célébrer le nouvel an loin de sa famille. Mikaël était le directeur de la nouvelle agence de Fort-de-France récemment fondée par la firme de mon mari. En congrès sur Paris au moment des fêtes, il avait été ravi d’accepter notre invitation, plutôt qu’errer seul et sans ami dans la ville ou se gaver de télé à l’hôtel.


Je ne suis pas raciste, mais je n’arrivais pas à me faire à l’idée d’un Noir dans notre salon, assis sur mes canapés, mangeant à ma table. Cette pensée me troublait sans vraiment me déranger, mais l’anticipation me rendait nerveuse. Bien sûr, il ne me viendrait pas à l’esprit de les discriminer, de leur refuser les mêmes droits qu’aux Blancs ou de déporter une famille intégrée vers son pays d’origine comme une marchandise, mais tout de même, l’idée d’un contact avec un homme noir m’avait toujours légèrement dégoûtée. Pas tant la couleur de la peau que certains traits du visage. Une aversion pour les nez épatés, une franche répugnance envers les grosses lèvres. Et mes filles avec un noir… ? Un frisson d’horreur finit de me refroidir tandis que j’épluchais les poireaux pour le soir.


Thierry partit chercher ses parents vers huit heures. Henri et Maryvonne devenaient trop vieux pour conduire. Il n’était de toute façon pas prudent de leur laisser prendre la route seuls un soir à chauffards comme une Saint-Sylvestre. Mais alors que nous ne l’attendions pas avant neuf heures, le taxi de Mikaël le déposa devant chez nous cinq minutes à peine après le départ de mon mari. Je n’étais évidemment pas prête. Je lui ouvris la porte en tablier de cuisinière. Je n’étais pas prête non plus pour le choc visuel. Mikaël était obèse, énorme et complètement chauve. La cinquantaine, triple menton garrotté par une chemise claire boutonnée jusqu’au col, veste noire sur mesure plus large que la porte, bagouzes à chaque doigt et montre en or, il me dominait d’au moins deux têtes. Sa face ? Celle d’un bébé bouddha d’ébène !


Je sursautai. Il fit poliment semblant de ne pas le remarquer. Il me tendit sa main avec courtoisie. Je lui offris la mienne et cinq boudins noirs l’enlacèrent avec une surprenante délicatesse pour la porter à ses lèvres tandis qu’il s’inclinait. Il ne m’effleura pas ; il connaissait les usages. Seul son souffle lécha le dessus de ma main, minuscule et fragile pin-up dans la patte de King Kong. Ses narines sucèrent mon parfum.


Réprimant un frisson, j’invitai l’ami de mon mari à pénétrer dans le salon et lui indiquai un sofa. Mikaël ne fit aucun effort pour meubler la conversation. Après lui avoir servi un whisky, je réglai les derniers détails en cuisine puis m’excusai auprès de lui car je souhaitais me changer avant l’arrivée de mes beaux-parents. Je m’en voulais déjà un peu d’avoir accueilli un collègue de Thierry dans cette tenue, surtout un directeur d’agence. Je fis une rapide toilette et fus prête en quelques minutes. Mikaël me complimenta poliment pour mon élégance. Afin de rompre la glace, je lui demandai de me parler de la Guadeloupe. Il me répondit un peu sèchement qu’il n’en savait pas grand-chose car il était Martiniquais. Je fondis en excuses. Je ne savais plus où me mettre.


Heureusement, Thierry et ses parents ne tardèrent pas. Les deux seniors s’étaient sapés comme un dimanche. Mamie Maryvonne, toujours un peu pincée, arborait un ensemble beige très classe sous son manteau de vison, et papi Henri portait avec fierté son fameux costume gris et sa légion d’honneur comme aux commémorations du onze novembre. Il ricanait sans cesse entre ses fausses dents des incongruités audibles de lui seul, que Maryvonne depuis longtemps prétendait ignorer.


En présence de mon mari, Mikaël se fit plus loquace. L’alcool déliait-il sa langue ? À l’apéritif, la conversation s’orienta évidemment sur les Antilles et leur cortège de préjugés métropolitains, et Papi et Mamie se retinrent de tout commentaire déplacé sur « ces gens-là », même s’il semble qu’à un moment papi Henri aurait marmonné une séquence borborygmique interprétable comme le début de : « Les Noirs, ils ont une grosse… », avant que son épouse ne lui coupe le souffle d’un coup de coude.


Je ne me souviens plus comment, une fois à table, nous commençâmes à parler de fidélité conjugale. Le sujet ne me passionnait pas. Thierry et moi formions un couple sans histoires. C’est pourtant lui qui semblait alimenter le débat. Il relançait sans cesse Mikaël alors que les deux hommes étaient d’accord sur le fond : oui, tromper en pensées, c’est déjà tromper. Non, ils ne désiraient jamais d’autre femme que la leur. Oui, tout le monde à cette table était fidèle et droit dans ses bottes. Nous étions entre gens de bonne compagnie.


Depuis qu’il s’était détendu, je commençais à apprécier une sorte de puissance tranquille chez Mikaël. Il devait afficher le même calme déterminé en négociation que pour cette triviale joute verbale avec un adversaire (mon mari) qui ne faisait pas le poids. Par respect pour son hôte, il se contentait d’être toujours d’accord avec lui sans rien concéder de fondamental, et Thierry ne s’en rendait même pas compte. Sans doute pour cela, Mikaël était directeur d’agence alors que Thierry semblait bien parti pour stagner à des postes inférieurs jusqu’à sa retraite.


Il me fut difficile de dépasser l’apparence physique de Mikaël, pour ne plus voir que l’humain brillant, ambitieux et cultivé, sous la masse animale lui servant de corps. Il transpirait. Il avait détaché le bouton de son col et la sueur luisait sur les plis de son cou, sur son front et ses larges paluches qui maniaient mon argenterie avec une dextérité inattendue. Je lui reconnaissais un charme intellectuel et n’avais plus aucun problème pour l’accepter chez moi. Il y semblait à présent à l’aise. Il aimait le bon vin et mon mari lui remplissait son verre dès qu’il était vide. Mikaël en savoura chaque gorgée, humant parfois son verre, mais se laissa néanmoins griser légèrement au-delà des limites de la modération, si bien qu’au fromage il parlait assez fort et souffla même une paillardise à Papi, ce qui sidéra Maryvonne. Je me retins d’exploser de rire. Mon mari semblait aux anges.


Quand je revins de la cuisine avec le dessert, j’eus la surprise de croiser Mikaël dans le vestibule séparant la cuisine du salon. Je n’avais pas allumé dans le couloir car les lumières des deux autres pièces me suffisaient pour traverser. Dans la pénombre, sa gigantesque silhouette se découpa devant moi. Je faillis en lâcher mon gâteau. Il s’excusa. Son odeur remplissait la pièce. Une odeur chaude et musquée. Assez forte, charnelle, mais relevée comme d’une pointe d’exotisme, d’iode, de sel ou de piment. Je ne trouvais rien à dire. Il communiquait directement avec mes narines, mes poumons, ma poitrine…



L’invitant à me suivre, je lui indiquai la porte des toilettes, l’ouvris pour lui et allumai la lumière. Il me remercia et passa très près de moi (car j’étais déjà trop troublée pour penser à m’écarter) quand il entra dans le cabinet. Il marqua une légère pause avant de refermer la porte car ma main était restée sur la poignée, côté extérieur. Je la retirai précipitamment. Quand la porte fut close, je restai bouche bée dans la pénombre. Je ne l’avais pas quitté des yeux, jusqu’à la dernière seconde. Le bruit d’un jet fourni tombant au fond de la cuvette me ramena sur terre et je clignai fermement des yeux comme si cela allait changer quelque chose à mon état.


En rentrant dans le salon, je fis tout pour paraître détendue et orienter la conversation avec ma belle-mère sur les recettes de gâteaux. Quand Mikaël fut revenu, j’évitais son regard mais, durant tout le reste du repas, je me surpris à l’espionner en douce à la moindre occasion.


Enfin vinrent minuit et le moment de s’échanger les cadeaux. Thierry m’avait offert un livre que j’ai détesté et dont je tairai donc le titre. Mikaël avait prévu pour nous une bouteille de rhum vieux d’une rare qualité et j’avais pour Thierry un coffret collector de son pianiste préféré. Mamie me confia deux enveloppes à remettre aux filles, mais c’est papi qui avait préparé une grosse surprise sans rien nous dire. Quand j’ouvris son cadeau, je découvris un ensemble de lingerie fine comprenant soutien-gorge translucide, string microscopique et porte-jarretelles, le tout en dentelle extrêmement soignée. C’était en même temps superbe et de très mauvais goût. En tout cas, cela jeta un froid. Maryvonne était outrée. Papi ricanait doucement sur un mode figé en hochant la tête comme un culbuto. Thierry semblait absent. Mikaël au contraire imposait sa masse sombre derrière moi. Je tremblais, de rage, et d’humiliation, et de dégoût pour ce vieillard lubrique qui me voulait vêtue comme une prostituée dans le lit de son fils. Et la présence de Mikaël ne faisait rien pour me calmer. J’étais morte de honte. Je savais que Thierry ne serait d’aucun secours. Toujours le bon fifils à papa, il ne ferait rien contre son père. Mikaël n’avait pas à intervenir dans ce qui devait rester un incident familial. Seule Maryvonne pouvait quelque chose pour moi, mais elle restait muette, lèvres jointes et narines pincées. Alors papi, pour une fois, articula une phrase compréhensible :



On n’aurait pas pensé que Maryvonne pouvait pâlir plus, mais elle y parvint. Thierry eut un hoquet. Mikaël ne broncha pas. En ce grand moment de solitude, je foudroyai Henri du regard sans aucun résultat remarquable. J’étais prête à lui lancer son cadeau à la figure quand Thierry vola in extremis au secours de son père et me scia net dans mon élan.



Quand je me retournai vers lui, mon regard lui demandait assez fort s’il était devenu fou, mais un haussement d’épaule me répondit que non, tout allait très bien et tout était normal. Je me tournai alors, désespérée, vers Maryvonne qui étouffa une toux discrète dans sa serviette avant de s’excuser et se diriger vers les toilettes sans un regard pour moi. Elle avait depuis longtemps pris l’habitude de ne pas se mêler des perversions de son mari et de son fils, tant qu’elle pouvait y échapper.


En dernier recours, je me tournai vers Mikaël et ma gorge se noua quand nos regards se croisèrent. Je fus prise de vertiges. Ses yeux me faisaient fondre. Leur éclat, si profond, si intense. Une telle énergie, contenue, prête à jaillir ; terrifiante puissance d’un mâle désiré. Sa voix grave et posée donna le coup de grâce :



Je ne peux pas expliquer pourquoi j’ai cédé. Quelque chose dans sa voix, dans le ton employé, dans son personnage à la fois effrayant et fascinant. J’acceptai. Mais quand je voulus me diriger vers notre chambre pour me changer, Thierry me retint :



Avant que je n’aie pu expliquer à Thierry ce que je pensais de son père, sa lingerie et son soi-disant spectacle, Mikaël me fit taire d’une œillade qui transperça mon cœur et il me signifia d’un hochement de tête qu’il approuvait fermement la demande de mon mari. Je n’ai pas su lui résister. C’est alors sans le quitter des yeux que je me suis entièrement déshabillée devant les trois hommes, mais surtout devant et pour lui. J’ignorais les deux autres. Je me suis redressée, nue au milieu de mon salon, puis j’ai enfilé une à une les pièces de lingerie. Papi Henri avait dû bien mater ; tout était à ma taille. Le contact du string me fit frémir. Il masquait à peine mon sexe. Une paire de bas accompagnait l’ensemble. Accrochés au porte-jarretelles dont les bretelles encadraient mes hanches, leurs liserés marquèrent bientôt les courbes du haut de mes cuisses. Le soutien-gorge me moula parfaitement, gonflant mes seins à merveille et laissant deviner par semi transparence les bouts de mes mamelons.


Les hommes me demandèrent de marcher, de tourner sur moi-même, prétendant admirer la finesse de l’ouvrage, la qualité de l’étoffe, mais me buvant des yeux tous les trois sans complexe ni vergogne. Enfin, Thierry me pria de remettre ma robe en gardant la lingerie.



Maryvonne revint des toilettes quelques minutes plus tard comme si de rien n’était. Nous prîmes le café et même un digestif sans que l’incident ne soit évoqué.


Vers une heure du matin, papi piquait du nez. Il était temps que Thierry raccompagne ses parents chez eux. Nous appelâmes un taxi pour Mikaël. Hélas, pour un soir de réveillon, on nous proposa deux heures d’attente. Nous aurions dû réserver avant. J’invitai alors Mikaël à rester dans la chambre d’amis pour cette nuit. Les mots sortirent de ma bouche d’un trait, avant que je ne réalise tous les sous-entendus. Maryvonne haussa vaguement un sourcil, papi ricana et mon mari jugea que c’était une excellente idée. Il partit raccompagner ses parents, me laissant seule avec Mikaël.


Je me sentais vraiment potiche et en même temps j’avais le feu au ventre. Suivie de notre invité, je montai préparer la chambre. La décence aurait voulu qu’il me précède pour accéder à l’étage. Il n’y a qu’au bordel que la dame passe devant dans l’escalier. Je crois qu’il n’ignorait pas le protocole, mais qu’il y fit sciemment une entorse pour profiter d’une vue inégalable sur mes jambes et mon fessier prometteur qui tendait ma robe à hauteur de son nez. Ou pour me mettre encore plus mal à l’aise. Quand nous sommes entrés dans la chambre, j’étais trempée jusqu’à l’anus et je n’attendais plus qu’une chose : qu’il me prenne sur le lit. J’arrivais à peine à tenir debout.


Sans actionner l’interrupteur du lustre, je me suis approchée de son lit dans le noir et j’ai allumé la petite lampe de chevet. L’abat-jour diffusait une lueur ambrée propice aux égarements. Je me suis retournée. Mikaël se tenait sur le pas de la porte. Il s’est approché de moi. Très près de moi. Je n’osais pas faire un geste. Une de ses mains s’est posée sur mes hanches. De l’autre, d’un revers des doigts, il ramena derrière mon oreille une mèche rebelle. Sa main poursuivit son mouvement vers ma nuque et son visage s’approcha du mien. Je détournai prestement la tête, échappant de justesse au baiser.



Sa main droite venait d’agripper mes cheveux et la gauche remonta vers mes seins lorsque qu’il me bâillonna de ses lèvres charnues. Soudain prise de vertige, je lui cédai ma langue. La sienne, épaisse et chaude, s’immisça dans la bouche que j’offrais en réponse à son baiser vorace. Je me sentais petite, fragile entre ses bras, mais ouverte, accueillante… humide. Mes cuisses s’écartèrent d’elles-mêmes. Sans pouvoir me contrôler, j’ai posé une paume sur sa braguette. La bosse était dure et plus grande que ma main. J’ai trouvé la fermeture et je l’ai fait glisser. Il m’a aidée à défaire le bouton et j’ai extrait son sexe du caleçon tendu. Écrire que sa verge était colossale reviendrait à manquer une belle occasion d’employer l’adjectif titanesque. Un concombre de cette taille aurait pulvérisé les records agricoles. J’ai mal à la mâchoire chaque fois que je repense à cette fellation.


Sa main dans mes cheveux me tira vers le bas et me fit mettre à genoux. Son gland, sous mon nez pressa contre mes lèvres. Je le laissai instinctivement me pénétrer. J’en lustrai la surface en y passant ma langue pour le rendre glissant car j’aime sentir un nœud coulisser dans ma bouche. Je voulus le prendre en main pour le branler mais il m’en empêcha.



Il lisait dans mes pensées. J’en rêvais déjà, de ses giclées de crème, car j’adore sucer et il l’avait compris, mais je manquai de m’étouffer à l’idée d’une sodomie. Je ne l’avais jamais pratiquée, ni avec mon mari, ni avec mes rares flirts de jeunesse. Thierry me l’avait bien suggéré une ou deux fois. J’avais toujours refusé. Plus parce que je trouvais ça sale que par peur d’avoir mal, d’ailleurs. Mais avec Mikaël, je n’imaginais même pas encaisser cet engin. Je l’envisageais déjà à peine dans mon vagin.


Pendant que je le suçais, Mikaël dégrafa ma robe dans mon dos. Je m’en débarrassai sans lâcher son sexe des lèvres. Me revoir en lingerie l’excita encore plus ; il m’empoigna par les cheveux. Des nausées m’assaillaient quand son gland touchait ma glotte mais son goût m’enivrait. Je n’avais qu’une envie : ouvrir mes lèvres en grand, tirer plus loin la langue et le sentir entrer chaque fois plus profond. Il m’ordonna d’ôter mon soutien-gorge et je m’exécutai sans cesser de sucer, les sens hypnotisés par ce membre qui gonflait de plaisir en glissant sur ma langue, par ses essences suintantes laissant envisager des lampées savoureuses, abondantes, à venir…


Il me fit mettre à debout puis m’indiqua le lit, où je me m’installai spontanément à quatre pattes, lui tournant le dos. Il écarta la ficelle de mon string et passa un de ses gros doigts entre mes cuisses. J’avais fondu comme du beurre. Son doigt, léger sur mon clito, insista en passant sur l’orée de mon antre et étala mon jus jusqu’à mon anus, sur lequel il pressa pour en éprouver la souplesse. Contre toute attente, je m’ouvris. J’en avais trop envie. Son doigt força la voie et je perdis la tête.


Je n’ai pas demandé à Mikaël de me sodomiser, mais j’ai écarté mes fesses à deux mains ce qui revient au même. Complètement cambrée, la joue contre le couvre-lit et le cul grand ouvert, je me sentais offerte comme jamais avant. Pourtant, j’avoue que j’ai eu mal… au début. J’ai souffert le martyre et j’en pleurais de douleur et de frustration. Il a été patient, mais ferme, me rappelant souvent à ma condition d’enculée par des claques sur les fesses et des insultes obscènes. Je crois que c’est ce qui m’excitait le plus. Ça, et le sentiment d’abandon nécessaire à une sodomie agréable. Quand enfin je sus l’accepter complètement, la douleur disparut et je laissai l’ami de mon mari me défoncer l’anus. Je faillis perdre la voix tellement il me fit hurler de plaisir. Tout mon corps vibrait sous ses coups de pilon. J’ai bien cru ne jamais arrêter de jouir.


Il se retint d’éjaculer jusqu’à m’avoir grillé la moitié des neurones puis, en s’arc-boutant, il m’inonda le cul. Son sperme, en lubrifiant la pénétration, me fit décoller une nouvelle fois. Quand il débanda enfin, il se retira en douceur et m’embrassa tendrement. Ce n’était pas ce qu’il faisait de mieux. J’étais un peu déçue car j’aurais bien aimé qu’il jouisse dans ma bouche (c’est ce que je préfère) mais il m’avait fait jouir comme nul autre avant lui et j’avais découvert la jouissance anale, ce qui allait bouleverser ma vie sexuelle. Après un rapide baiser sur ses lèvres et un clin d’œil pour lui signifier que j’avais apprécié, je ramassai mes affaires sous un bras et me rendis nue à la salle de bain pour faire un brin de toilette avant que mon mari ne revienne. Mon anus béant bavait.


Quand Thierry est arrivé, je venais de me coucher. J’eus le culot de lui dire qu’il avait pris son temps et il s’excusa d’avoir tant tardé. Il sembla déçu que je ne porte pas la lingerie offerte. Je lui expliquai qu’il était trop tard et que j’étais fatiguée. Alors il me demanda si j’avais profité de son absence pour le tromper avec Mikaël.



Pour tout vous dire, je ne suis toujours pas certaine qu’il m’ait crue, mais ma réponse sembla le satisfaire. Il était épuisé et s’endormit paisiblement contre mon sein.





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n° 13028Deralust03/12/08
Le début du chamboulement
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11043 caractères
Auteur : Deralust      Série : Ma vie n'est plus la même - 01 / 04

Depuis vingt minutes, je suis devant mon ordinateur et une page blanche. Je ne sais comment débuter le récit de ce qu’il m’est arrivé le mois passé. Rien que d’ y penser, mon cœur palpite. Cela a changé ma vie et ma perception du monde qui m’entoure. Je vais commencer par me présenter et probablement que le reste suivra.


Je suis un homme… et j’ai trente-cinq ans. Ma femme Véronica, a quant à elle tout près de trente ans. Nous sommes mariés depuis huit ans et nous avons deux enfants. Nous habitons une magnifique maison à l’architecture moderne et très chic. L’amour de ma vie est photographe et je possède un grand bureau d’architecte. Elle est grande, mince, a un visage magnifique, des lèvres sublimes et un cul qui fait tourner la tête de bien des hommes. Évidemment, pour avoir une si belle femme, je ne suis pas mal non plus. Je suis grand et possède une carrure athlétique, une mâchoire anguleuse et des yeux qui, selon ma femme, vous transpercent et vous font fondre l’âme. Je dirais aussi qu’à tous points de vue, je suis gâté par la nature…


Ce qui nous intéresse ici a commencé à mon bureau il y a environ deux mois. Étant complètement surchargé, j’ai décidé d’engager deux stagiaires. Un jeune homme, dans la vingtaine, nommé Charles et un superbe canon, Lisa. (Vous vous dites que vous me voyez venir, mais attendez, vous serez surpris.)


Dès le départ, ma superbe stagiaire m’a fait des avances. Elle ne finissait plus de venir me poser des questions en me frôlant les bras et en effleurant sa poitrine contre mon épaule. J’avais bien sûr de la difficulté à me contrôler et un jour, alors qu’elle s’est penchée devant moi pour ramasser une feuille tombée malencontreusement par terre, tout en me permettant de voir ses dessous à faire rêver, j’ai décidé de la confier à mon associé. Étant divorcé depuis peu, il saurait profiter pleinement des talents de ma stagiaire. C’est à partir de cet instant que mon histoire devient surprenante, surtout pour moi. Un vendredi après-midi, alors que j’avais décidé d’emmener mon stagiaire à une partie de golf organisée avec des collègues pour le remercier du travail accompli depuis son arrivée, au moment de la douche d’après match, j’ai été surpris par la beauté de son corps. Habitué à le voir en complet avec sa figure de gamin de seize ans malgré qu’il soit dans la vingtaine, la maturité de ses muscles et la force se dégageant de son corps m’ont chamboulé. Jamais je n’avais encore fantasmé sur un corps d’homme, mais les lignes bien dessinées de ses pectoraux et la coupe de ses abdominaux m’ont séduit.


Malheureusement, Charles a aperçu mon regard insistant sur sa plastique à faire envier bien des hommes, mais curieusement, il m’a fait un clin d’œil, s’est rhabillé et m’a laissé, désorienté, avec mes nouveaux fantasmes. Pendant plusieurs minutes, je me suis questionné sur ma vie et mes convictions sexuelles. De retour avec mes collègues, alors que tout le monde était habillé, fort heureusement, je me suis détendu et je n’ai plus pensé à ma petite incartade de pensées.


C’est au moment où je me suis couché que l’image du corps de mon beau stagiaire m’est revenue en tête. Alors que ma femme me caressait la poitrine, question d’éveiller mes ardeurs, je ne cessais de songer aux muscles aperçus l’après-midi et pour la première fois ce soir-là, j’ai fait l’amour à ma femme en pensant à autre chose qu’à son corps magnifique.

Qui plus est, j’ai pensé au corps viril d’un homme. Alors qu’elle se déhanchait au-dessus de moi de façon à faire entrer au plus profond de son être ma généreuse virilité, je ne pouvais chasser l’image du torse musculeux de mon esprit. Au moment de l’orgasme, j’ai même imaginé que la main qui se posait sur mon corps n’était pas celle de ma femme, mais plutôt celle de mon stagiaire et j’ai été surpris par l’intensité du bonheur qui m’a envahi. Ça faisait plusieurs années que je n’avais pas eu un orgasme aussi puissant.


Le lendemain au bureau, je me suis faufilé, alors que Charles avait le dos tourné, pour me rendre à mon bureau. C’est dans le milieu de l’avant-midi que j’ai eu pour la première fois à le confronter. Il est entré sans cogner, comme à son habitude, et m’a demandé des conseils à propos d’un client qu’il devait contacter. Durant notre conversation, il n’a rien laissé paraître et est reparti aussi vite qu’il était entré.


Après son départ, sa silhouette de dieu grec m’est revenue en mémoire et je me demandais comment un homme d’à peine vingt-deux ans, qui n’a l’air de rien lorsqu’il porte un complet, pouvait être aussi sculpté sous ses vêtements. Il devait aller souvent à la gym pour avoir un corps aussi musculeux. Cela m’a fait penser que depuis quelque temps, je passais beaucoup trop de temps au bureau et que je devrais prendre mieux soin de mon corps.


En finissant le travail ce soir-là, j’ai décidé de passer à la salle d’exercice avant d’aller souper avec ma famille. En arrivant à l’accueil, la jeune femme, qui travaille depuis quelques années, m’a reconnu et m’a dit qu’elle était contente de me revoir. J’avais toujours pensé que je l’attirais et à la manière dont elle me regardait encore ce jour-là, j’en ai même eu la certitude.


La séance d’entraînement s’est très bien passée. Mes muscles n’étaient pas trop rouillés et j’ai réussi à faire ma demi-heure de cardio habituelle. Alors que je retournais au vestiaire pour prendre une bonne douche revigorante, j’ai eu la surprise de me retrouver face à Charles.



C’est ainsi, alors que nous nous préparions respectivement à aller sous la douche, que j’ai découvert qu’il s’entraînait chaque jour et qu’avant, il faisait partie d’une équipe de natation. Il avait arrêté lorsqu’il avait commencé à travailler chez nous.


Plus la conversation avançait, moins j’étais capable de m’empêcher de regarder son corps qu’il dévoilait au fur et à mesure. Nous avons alors pris nos serviettes et nous sommes dirigés vers les douches. Je ne ratais pas une chance de voir l’eau savonneuse couler sur son corps imberbe. Cela mettait magnifiquement en valeur sa peau halée. J’ai pu alors détailler ses fesses rebondies, ses cuisses de fer et son dos musculeux. Sous les jets d’eau, mon stagiaire avait l’air d’une reproduction de statue de marbre. C’est sur cette pensée qu’il m’a lancé :



Sa question m’a tellement surpris que je me suis mis à rire.



Heureusement, ma réponse a eu l’air de le surprendre tout autant que sa question. Il m’a alors regardé d’un drôle d’air, mais s’en est rapidement remis. Il s’est tourné face à moi, s’est approché jusqu’à se coller contre moi et m’a embrassé comme jamais on ne m’avait embrassé. Nos langues se sont emmêlées en même temps que nos mains ont commencé à découvrir nos deux corps respectifs. Alors que j’ai senti ses mains descendre vers mes fesses, j’ai senti son sexe gonflé contre le mien, qui, bien qu’il soit toujours au repos, avait déjà une grosseur enviable. Malgré les sensations incroyables qui s’infiltraient en moi, j’ai réussi à reprendre le contrôle de mes idées et je l’ai doucement repoussé.



J’ai été tellement surpris que sur le coup, je n’ai pas réagi et quand j’ai réalisé ce qui se passait, il était trop tard. C’était tout simplement trop bon. Sa langue jouait autour de mon gland décalotté alors que ses mains soupesaient mes boules et que sa bouche aspirait de manière à m’arracher les plaisirs les plus profondément enfouis. Je n’ai pu l’empêcher de continuer et j’ai d’abord déposé mes mains sur ses épaules pour ensuite mettre mes deux mains sur sa tête de façon à lui enfoncer mon engin au plus profond de sa bouche.


C’était la première fois qu’une personne parvenait à gober entièrement mon sexe. Un mouvement de va-et-vient s’est alors imprimé tout seul à mes hanches et au bout de quelques minutes de ce traitement fantastique, j’ai atteint un orgasme encore plus fort que le soir précédent. Lui, il a tout avalé et a pris le temps de bien me nettoyer avec sa langue. Il s’est alors relevé tranquillement, léchant mes abdominaux et la pointe de mes seins au passage pour venir m’embrasser avec une ardeur que j’avais peu connue.


Lorsque nous avons fini par nous laisser, nous nous sommes rhabillés en vitesse. J’étais alors honteux de ce que j’avais fait avec mon stagiaire, mais j’éprouvais toujours une intense attirance vers ce corps d’homme si bien dessiné. Tout juste avant qu’il ne remette définitivement son slip, je n’ai pu m’empêcher de jeter un œil à son engin, qui lui aussi n’avait rien à envier à personne, étant quelque peu plus épais mais tout juste moins long que le mien, et pour la première fois, j’ai éprouvé une grande envie de prendre en main un sexe d’homme et d’y goûter. Mes pensées me dépassaient, mais je ne pouvais les réfréner. Alors qu’on était toujours seuls dans les vestiaires, je n’ai pu m’empêcher de lui demander :



Sur ce, nous nous sommes laissés et je suis retourné à la maison, me remémorant les plaisirs que Charles venait de me procurer. Ce faisant, une autre érection est alors apparue sous mon pantalon et c’est ainsi que je suis rentré, la mallette devant moi pour cacher la bosse qui le déformait.


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n° 13053Maldoror16/12/08
The Devil's cumshot
critères:   fffh nympho grossexe bizarre voiture exhib facial fellation pénétratio policier fantastiqu -fantastiq -roadmovie
11703 caractères      
Auteur : Maldoror      Série : Cum, blood and bullets - 12

Cum, blood and bullets



12. The Devil’s cumshot





Les souvenirs éclataient comme des bulles de sang à l’intérieur de mon cerveau. Chaque douleur, chaque étourdissement portait désormais un nom, celui des diablesses qui m’accompagnaient. Masochista, Verba, Sodomia, et Carnivora, mes sœurs de souffrance. Ces femmes n’avaient plus rien d’humain, elles étaient à mon image. Désormais, mon plaisir n’était que sexuel, mais ce n’était plus de la baise, tout se résumait à une simple envie de consommer, de dévorer l’autre. Il était permanent. Je parlais sexe, je buvais sexe, je mangeais sexe, je respirais sexe, je baisais sexe. Je voulais que ce putain de monde explose dans une immonde partouze, le noyer dans un bain de foutre pour le laver de son hypocrisie, faire éclater ce corset aux lacets de morale bien pensante. La quête de sens qui m’avait animé jusqu’alors s’écoulait entre mes doigts comme du sable fin et se résumait à quelque chose d’inscrit dans la mémoire d’une autre vie.


La Mustang en arrêt sur le bas-côté venait de rendre l’âme dans un tourbillon de fumée. Le moteur avait tout simplement pris feu. Nous étions devenus fous, habités par la soif animale de dévaster le moindre obstacle. Et j’en étais le grand ordonnateur, l’homme du chaos. Accompagné de mon armée des ombres. Quelque chose était né à l’intérieur de mon cerveau, à l’instar d’une longue gestation qui se serait subitement révélée. Et dans l’exécution de ce terrible plan, je savais que les recrues ne manqueraient pas.


Les filles étaient installées sur la banquette arrière, Carnivora au milieu, à califourchon sur mes genoux, ses seins contre la tête d’ Eraserhead sur mon torse, ma queue dans sa fente et sa chevelure rebelle dégoulinant sur ses épaules. Je ne pouvais plus m’en passer. Elle se soulevait irrégulièrement, comme si le fait de me sentir en elle suffisait à son bonheur. Elle plaisantait, fumait une clope, buvait au goulot les bières que nous tendaient Sodomia et Masochista toutes deux à nos côtés. Mon bras enlaçait l’épaule de la petite de la morgue pour caresser les mèches blondes de ses cheveux. Verba, elle, se tenait sur le siège du passager avant, notre chauffeur rock’n roll répondant au doux nom de Billy.



Je fis un mouvement du bassin pour la pénétrer plus profondément et lui tirai un gémissement de surprise. Le sourire aux lèvres, elle déversa la canette de bière sur sa poitrine, le liquide doré s’écoulant en cascade sur les monts de ses petits seins que je m’empressai de lécher en compagnie des deux sœurs. Nos langues s’entremêlaient sur la peau suintante de Carnivora, glissantes, rampantes, vives comme des mygales. D’où j’étais, je pouvais remarquer l’essaim de mouches dévorer la nuque du géant qui ne bronchait pas.


Lorsque je fus rassasié de plaisir, j’agrippai les hanches de Carnivora et l’exécutai d’un puissant coup de reins avant de sortir ma queue pour m’éparpiller sur son ventre, noyant son nombril de six giclées de foutre compact. J’étais maintenant doté d’une capacité hors norme et pensais pouvoir aller au-delà encore. Mon membre paraissait à sa taille optimale, celle qui distingue le mâle du monstre de foire.


Avant même que je ne leur demande, Sodomia et Masochista se précipitèrent sur le ventre de Carnivora pour recueillir le sperme ruisselant, comme s’il s’agissait maintenant de leur breuvage quotidien. Je les contemplai ainsi passer leurs langues agiles sur la peau de ma belle qui frétillait comme un poisson tout droit sorti de l’eau, me demandant encore si la scène de la morgue avait existé. Ma semence était source de vie, mieux encore de résurrection, si j’en croyais ce que j’avais vu. De mon éjaculation était apparue Masochista, une effroyable naissance. Et pendant que les interrogations nourrissaient mon cerveau embrumé, les deux sœurs taquinaient l’épiderme, excitaient la chair, exploraient son nombril, caressaient mon gland, leurs dents mordillaient mes bourses.


Lorsqu’elles eurent tout nettoyé, elles se redressèrent, attendant mes ordres comme deux chiennes inassouvies. À mon signe de tête, Verba s’était occupée de soulager Billy. Elle avait tout d’abord fait la grimace mais n’avait osé refuser d’obéir à ma seconde sollicitation. Je l’avais vu courber l’échine pour faire disparaître sa tête derrière le dos massif du géant. Il l’avait alors laissée faire comme si c’était sa première fois, se contentant d’appliquer ses lourdes pattes sur la nuque de Verba. Elle n’avait d’ailleurs pas mis longtemps à le faire venir. Je la vis réapparaître, la bouche pleine d’un foutre bavant sur son menton, les yeux embués de larmes tant l’effort de contenir sa queue que j’imaginais immense avait été éprouvant. Je fis un geste du chef et elle entrouvrit les lèvres pour me signifier qu’elle avalait. Je la vis déglutir en hoquetant. Avant d’ouvrir de nouveau la bouche en tirant la langue, faisant la moue, l’air de dire « satisfait ? ».


J’approuvai d’un hochement de tête et me dégageai de l’étreinte de Carnivora pour rajuster mon pantalon. Puis je me hissai au-dehors de l’habitacle, les yeux en fièvre. Il faisait chaud malgré la nuit tombante. Le soleil au loin n’était plus qu’une demi-sphère brûlante fondant à même le bitume pour s’écouler comme une mare étincelante. L’asphalte engloutissait les dernières heures d’humanité de ce monde pour la vomir aussitôt le lendemain.


La troupe ne tarda pas à me rejoindre. Une meute aux allures de commando surréaliste, alliant le sexe et la mort dans une nudité destructrice. Carnivora était nue à partir de la taille, ses longues échasses sanglées aux mollets par ses platform-boots roses qui lui conféraient cette assurance des femmes fatales. Elle avait revêtu un de ces tee-shirts incendiaires dont elle avait le secret et déniché je ne sais où. Très moulant, il dessinait parfaitement l’empreinte de ses petits seins, s’arrêtant au niveau du nombril, de sorte à laisser sa toison libre à tous les regards. De couleur rose, l’étoffe représentait un nouveau visage de pornstar californienne, celui d’une certaine Taylor Rain, maculé de foutre, une dingue de baise qui s’était lancée dans le X après le 11 Septembre, m’avait avoué ma compagne. Attifée de cette manière et balancée comme elle était, elle semblait une déesse aux allures de putain ! Son épaisse crinière ondulait au creux de ses reins pour lécher ses fesses au galbe délicieux et son grain de beauté à la commissure des lèvres persistait à embraser mes sens. Elle était solaire et vénéneuse avec son Desert Eagle dans la main. Prête à cracher son venin. Et lorsque je lui avais demandé où en était son désir de rester nue à jamais, elle s’était contentée de répondre qu’elle se sentait plus désirable comme ça… pour le moment.


Sodomia arborait toujours ses hautes bottes et son uniforme US de bimbo. Les seins empaquetés dans un Wonderbra qui menaçait d’exploser à chaque instant, et la toison masquée par un string bleu en lycra recouvert d’étoiles. Son cul était incroyable, il était sans conteste le plus bandant, détrônant sur ce point celui de celle que j’avais un temps nommé Polly. Quelque part, elle me rappelait un peu la Wonder Woman de ma jeunesse qui avait nourri les fantasmes d’une multitude d’adolescents sans avenir. Sa chevelure blonde en queue-de-cheval dégoulinait sur sa nuque jusqu’aux omoplates, cachant la spirale qui marquait désormais chaque membre du groupe. Sur chacune de ses cuisses, reposaient fièrement les deux crosses brunâtres de Colts Python, sagement logés dans les holster de son ceinturon.


Quelque chose avait changé dans le regard de Masochista. Un instinct plus noir, plus ténébreux, l’habitait. Une légère traînée de Kohl soulignait la mine sombre qui ombrageait son visage et ses lèvres étaient aussi noires que la nuit. Lardé de cicatrices et d’ecchymoses, son corps ressemblait à s’y méprendre à celui d’une poupée rafistolée. Une énorme balafre couturée zébrait son ventre pour remonter au niveau du sein gauche, précisément là où les balles l’avaient déchiquetée à la sortie du Dixie. Les empreintes des projectiles meurtrissaient encore sa chair, découvrant les entrées de cavernes infernales dans l’épiderme. Son ossature frêle et anguleuse accentuait davantage ce faux air de survivante d’une guerre atomique impitoyable. Elle aussi portait la marque spiralée, s’écoulant au-dessous de ses cheveux lisses d’un blond opaque. Elle les portait désormais assez courts, les ayant saccagés à coups de ciseaux avant de passer le tranchant des lames sur ses avant-bras pour laisser un sillon brunâtre sur sa peau laiteuse. Pour tenue, elle présentait un ensemble noir en latex saillant comme des liens, une culotte et un soutien-gorge à la manière de Betty Page, de sorte que, de profil, sa poitrine semblait une paire d’obus taille humaine. De longues cuissardes très moulantes venaient compléter ce tableau de parfaite déjantée qui avait insisté pour que je lui passe un collier noir autour du cou. Muni d’une chaînette accrochée à sa culotte, je pouvais à tout moment m’en saisir pour la soumettre à mes moindres caprices.


Restait enfin Verba, « celle qui dit la vérité ». D’un noir de jais, sa chevelure abondante s’écoulait dans son dos comme une cascade infernale. Les émeraudes qui étincelaient au fond de ses yeux paraissaient distinguer quelque chose que le commun des mortels ne pouvait percevoir, comme si elle voyait l’invisible ou qu’elle avait regardé l’interdit en face. Son sourire affichait une étrange plénitude, presque lassé à jamais de son existence terrestre. Cet air grave chargé de secret contrastait avec la tenue d’écolière qu’elle arborait sans pudeur, lui donnant ce côté anglais que possèdent les étudiantes très coquines d’un pensionnat austère. Au-dessus d’un mini kilt à carreaux verts qui accentuait les courbes de ses cuisses, s’élevait un chemisier blanc maintenu par un seul bouton, laissant entrevoir la vallée de ses seins entre lesquels serpentait une cravate de couleur identique à la minijupe. À ses pieds, des escarpins à boucle de cuir vernis complétaient cette panoplie de celle qui possédait le savoir. Contrastant avec l’érotisme que générait cet uniforme de lolita capricieuse, le Beretta était solidement ancré dans sa poigne tandis qu’elle tirait négligemment sur sa clope, les fesses en appui contre la portière du conducteur.


Billy et moi restions fidèles à ce que nous avions été. Lui, le colosse dans sa salopette maculée de graisse et d’éclaboussures de sang, la cagoule de cuir sur la gueule, les biceps gonflés sur une peau tannée par le soleil et dévorée par les flammes de l’enfer, la hache à la main. Et moi, torse nu, en basket et pantalon de jogging aux couleurs de la Jamaïque. Dans ma main, l’arsenal obligatoire : le fusil à pompe Benelli, et une cartouchière enroulée autour de ma poitrine.


Nous étions tous parés, prêts à faire la guerre à ce monde pourri jusqu’à la moelle, résolus à crever un jour sans laisser de survivants pour raconter la légende que nous avions commencé à nourrir de nos exploits sanglants. Nous étions les chiens des enfers, la cavalerie du mal, l’horreur et l’abjection réincarnées. J’étais le Démon. Billy mon suivant. Elles, mes putains, mes immondes putains ! Nous étions les vomissures du Diable, son éjaculation sale et puante.


J’allumai une clope après en avoir offert à l’assistance, et tandis que nous grillions ce qui pouvait s’apparenter à notre dernier souffle de vie en silence, je vis dans la nuit tombante plusieurs lueurs rouges clignoter au loin. Reconnaissables entre mille, celles des John Wayne, celles des flics. Je leur préparais un spectacle, un grand spectacle, celui des sexes à fentes automatiques.




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n° 13065Deralust18/12/08
Je prends le contrôle
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13905 caractères
Auteur : Deralust      Série : Ma vie n'est plus la même - 02 / 04

Dans la dernière semaine, mon stagiaire au corps de dieu grec m’a fait découvrir une nouvelle facette de mon appétit sexuel. Après une petite fellation à la salle de sport, nous nous sommes laissés, et je suis retourné à la maison, me remémorant les plaisirs que Charles venait de me procurer. Ce faisant, une autre érection est alors apparue sous mon pantalon, et c’est ainsi que je suis rentré, la mallette devant moi pour cacher la bosse qui déformait mon pantalon. Ma femme, venant m’embrasser pour me saluer, s’est aperçue de mon état. Elle s’est collée plus à moi encore, et a mis beaucoup d’ardeur pour un simple baiser de bienvenue.


Ce soir-là, j’étais déchainé, tout comme elle. J’étais tellement excité par les sensations vécues l’après-midi, que j’en ai fait voir de toutes les couleurs à ma femme. En me mettant au lit, je lui ai sauté dessus, je lui ai littéralement mangé les seins, ce qui n’a pas manqué de lui donner de bons tremblements, puis je suis descendu à son sexe, que j’ai léché, mordillé et englouti.

Elle est alors partie dans un orgasme comme jamais elle n’en avait eu. Elle s’est mise à trembler et à crier, enserrant ma tête de ses jambes de façon à la comprimer contre sa chatte.


Après quelques minutes d’extase, et ensuite de repos, question de revenir à elle, elle s’est mise à quatre pattes devant moi, m’invitant de son cul bien rond à la posséder. Je me suis empressé de me placer derrière elle, de poser mes mains de chaque côté de ses hanches, et d’un seul coup en la ramenant à moi, je l’ai pénétrée. Sa caverne immense convenait toujours parfaitement à mon engin. Elle a poussé un petit cri, mélangé de douleur, de surprise et de plaisir. Je lui ai laissé quelques secondes pour s’habituer à moi, puis j’ai rapidement commencé plusieurs coups de va-et-vient, imprimant la cadence de mes mains et avec mon bassin. Mes testicules venaient buter contre ses grandes lèvres alors que mon sexe coulissait gracieusement à l’intérieur du sien. Mon gland, qui écartait ses petites lèvres à chaque passage, lui donnait un immense plaisir. Quelques fois, il sortait complètement de sa fabuleuse caverne, mais d’un coup de hanches, je la pénétrais profondément à nouveau. Après une vingtaine de minutes de ce traitement, ma femme est partie dans un autre monde pour une seconde fois, j’ai senti ses parois internes se resserrer, emprisonnant mon sexe dans le sien, et après un frisson intense, qui est parti de mes orteils jusqu’à ma tête, j’ai éjaculé au plus profond de son être en criant mon plaisir.



Je ne pouvais quand même pas lui avouer que je fantasmais sur mon stagiaire depuis deux jours, et qu’il m’avait fait une fellation comme jamais elle n’avait réussi à le faire elle-même. Ça l’aurait tuée et aurait ruiné ma famille et mon mariage. Je suis peut-être malhonnête là-dedans, mais le mal que la vérité apporterait serait beaucoup plus grand que ce petit mensonge. À partir de ce moment, j’ai décidé que jamais je ne révèlerais mes petits penchants à ma femme. (À ce moment-là, je ne savais pas ce qui devait arriver quelques jours plus tard.)


Le lendemain, lorsque je suis arrivé à mon bureau, j’ai aperçu le regard insistant de mon stagiaire en passant près de lui. Ses yeux vert profond m’ont transpercé l’âme, et je me suis senti fondre alors que je renversais la pile de documents placée sur le bureau de ma secrétaire. Je me suis empressé de me confondre en excuses et d’entrer me cacher dans mon bureau. Jamais je n’avais été aussi maladroit. Alors que je venais tout juste de m’asseoir derrière le bureau, Charles est entré, un sourire radieux illuminant son visage d’ange.



Le reste de la journée s’est passé comme toutes les autres. Charles faisait bien son travail, sans laisser paraître quoi que ce soit ; cependant, pour moi, la journée n’en finissait pas. Je ne cessais de penser à ce qui pourrait arriver le soir même. J’imaginais le magnifique sexe de Charles coulissant dans ma bouche sous les jets d’eau des douches, ou son cul offert à mes coups de reins dans la salle de racquet-ball. Le soir venu, lorsque je suis entré dans les vestiaires, j’ai découvert Charles, torse nu, qui m’attendait.



J’ai alors senti Charles défaillir sous mon regard insistant. Le rouge lui a monté aux joues et il s’est empressé d’enfiler son short et son polo de sport. Ce n’est que dans la salle de racquet-ball que j’ai remarqué que ce short lui moulait complètement le paquet, et que son polo mettait magnifiquement en valeur ses pectoraux à travers le tissu. Pour en ajouter, mon stagiaire ne manquait pas une occasion de se placer devant moi en se penchant légèrement vers l’avant pour mettre en valeur ses fesses rebondies. Au fil du match, les plus minimes contacts se faisaient de plus en plus insistants. Il me félicitait à chaque bon coup en me tâtant les fesses, plutôt qu’en les tapant comme tout bon adversaire. Je me suis aussi dégourdi. Lorsque je passais prêt de lui, je lui flattais les pectoraux en lui claquant les fesses. Au départ, Charles menait largement la partie. Il était très fier de son coup et ne manquait pas une occasion de me dire que le café serait bon, très bon. Cependant, vers la fin, j’ai réussi à réduire l’avance jusqu’à même l’emporter.



C’est ainsi que nous sommes revenus dans les vestiaires et que nous sommes allés vers les douches. Charles a choisi la douche en face de moi et s’est mis à se savonner le corps de façon extrêmement provocatrice. Il ne cessait de laver, ou plutôt de caresser son sexe, qui a commencé à prendre de la vigueur. Cette vision a eu de l’effet sur mes sens et j’ai moi-même commencé à bander.



Maintenant, c’était trop tard. J’avais franchi le pas. Je me doutais de ce qui allait suivre dans la soirée. Ma femme avait un contrat et les enfants allaient à une fête d’amis. C’était ce soir ou jamais, et depuis les derniers jours, j’espérais secrètement franchir le pas et satisfaire mes pulsions toutes nouvelles.


Curieusement, il a rapidement terminé de se doucher, et nous sommes allés nous habiller. Nous avons pris chacun notre voiture et je l’ai suivi jusqu’à son appartement, situé dans une grande tour résidentielle. Lorsqu’il a ouvert la porte d’entrée, j’ai découvert un immense loft décoré de façon très masculine. Il s’est empressé d’ouvrir les longs rideaux qui tombaient du plafond, et j’ai aperçu une vue fantastique de la ville.


Alors que je regardais la cité, j’ai senti Charles arriver derrière moi. Il m’a tendu un verre par-dessus l’épaule et m’a enserré la taille par derrière. Son menton est venu se poser sur mon épaule et nous sommes restés là, tels deux amoureux, pendant quelques instants. Dans ses bras, je découvrais un nouveau genre de relation. J’étais habitué à me sentir homme lorsque ma femme était dans mes bras, mais là, avec Charles qui me surplombait en m’enlaçant, je me sentais plutôt féminine. C’est ainsi que mes sens et mes désirs ont pris le contrôle de mon corps. J’ai attrapé la tête de cet homme tout en restant collé contre son torse, j’ai cambré les hanches et je me suis mis à jouer du bassin. Je l’ai embrassé langoureusement. Je me sentais femme. Lui n’est pas resté insensible à mes provocations, et il a commencé à jouer avec mes pectoraux, de la même manière que j’aurais joué avec les seins de ma femme. Je n’en pouvais plus. Je me suis retourné, lui ai léché les oreilles en lui lançant qu’il me fasse découvrir sa chambre à coucher. Il s’est alors empressé de me faire monter les escaliers menant à la mezzanine où se trouvait sa chambre, qui surplombait tout son appartement.


Je l’ai alors forcé à s’asseoir sur son lit drapé de blanc, et j’ai commencé un strip-tease digne des plus grandes danseuses. Tout en me déhanchant, j’ai lentement soulevé mon chandail, question de dévoiler mes abdominaux bien dessinés, jusqu’à l’enlever complètement. Je me suis alors retourné et j’ai graduellement descendu mes jeans, révélant peu à peu mes jolies fesses rebondies à travers mes sous-vêtements. J’ai attendu d’être vêtu seulement de mon slip pour me retourner et m’avancer vers Charles qui, comme le dévoilait son pantalon, n’était pas insensible à ma danse sensuelle.

Je suis alors monté sur le lit de façon à ce que mon entrejambe soit à la hauteur de son visage et, tout en attrapant sa tête par derrière, j’ai appuyé mon sexe tendu à travers le tissu contre sa bouche. Il m’a alors masturbé avec sa bouche.

Lorsqu’il a voulu attraper le bord de l’élastique, pour ainsi libérer mon engin de mon slip, je me suis rapidement retiré et je lui ai fait signe de patienter. J’aimais me sentir femme devant cet homme viril qui me regardait avec un regard rempli de désir. J’ai alors baissé mon sous-vêtement, et mon sexe s’est vivement redressé au moment où il a été libéré. Je me suis retourné, dos à mon futur amant, et je me suis assis sur lui de façon à ce que mes fesses nues se retrouvent sur son sexe tendu à travers ses jeans. C’est ainsi que j’ai débuté des mouvements circulaires du bassin, frottant mon cul contre son entrejambe. Il m’a alors caressé le dos, débutant par les épaules et descendant jusqu’à mes hanches, puis mes fesses. Un grand frisson m’a alors parcouru et j’ai ressenti un désir montant dans mes entrailles. Je me suis alors aperçu que c’était le sexe de Charles frottant sur mon petit trou qui me faisait cet effet. J’ai ainsi eu le goût qu’il prenne possession de ma caverne encore jamais explorée. Je me suis retourné vers lui et il a tout de suite lu dans mes yeux mon désir.



Il s’est rapidement dévêtu et a attrapé un tube de lubrifiant. Après avoir enfilé un condom sur son sexe, qui m’a alors paru beaucoup trop gros, il m’a fait mettre à quatre pattes, le cul relevé dans les airs. Ainsi offert, j’anticipais la douleur que l’engin monstrueux de Charles me causerait. C’est alors qu’il a commencé à me lécher, et le plaisir qui m’a envahi m’a fait oublier toutes mes appréhensions.


Peu après, Charles a pointé son gland contre mon entrée. Il a lentement poussé, et j’ai été surpris par la facilité avec laquelle mon cul acceptait sa présence. Au moment où son gland est complètement entré, j’ai été soulagé. Le reste a suivi plus facilement. Mon amant a alors commencé de doux mouvements de va-et-vient, question que je m’habitue à cette présence.

J’ai alors senti un vrai plaisir provenant du plus profond de mon être. Charles s’est alors retiré et s’est couché sur le dos. Je l’ai enjambé et je me suis empalé sur lui. Ainsi, je contrôlais moi-même les va-et-vient avec des mouvements de hanches, et je le sentais encore plus profondément. Je sentais bien son gland frôler mon entrée sans jamais sortir complètement, et s’enfoncer au plus profond de ma caverne.

J’ai déposé mes mains sur ses pectoraux et lui a commencé à me masturber. Il suivait la cadence que j’imprimais avec mon bassin en la reproduisant sur mon sexe. Parfois, il soulevait lui même le bassin, ce qui me surprenait et me faisait monter graduellement vers l’orgasme. Peu à peu, Charles soupirait plus fort et accélérait ses mouvements de bassin, ainsi que la vitesse à laquelle il faisait coulisser ses mains sur mon sexe. Puis tout à coup, il s’est raidi et a lâché un cri tout en descendant au maximum ses mains sur ma virilité, ce qui a étiré ma peau à son comble, et nous sommes partis dans un intense orgasme. Charles s’est vidé les couilles dans mon cul et moi j’ai explosé sur son torse musclé. Je me suis alors écroulé sur lui et nous nous sommes endormis ainsi collés l’un à l’autre.


Lorsque je me suis réveillé, Charles m’avait laissé dans son grand lit blanc. J’ai alors entendu le son de la douche et j’ai eu envie de le rejoindre. De toute façon, je devais me laver avant de rentrer. Quand je suis entré dans la salle de bains, j’ai aperçu mon nouvel amant au travers des vitres buées. Il était déjà en train de se masturber.



C’est ainsi que j’ai laissé mon premier amant, un sourire aux lèvres, me promettant de recommencer le plus tôt possible, tout en me rendant soudain compte que je n’avais toujours pas goûté au plaisir de tenir son sexe dans ma bouche. J’en salivais déjà.


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n° 13132Une femme transformée...31/01/09
Ahmed
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67779 caractères      
Auteur : Jérôme Alpha       Série : Marie ou la descente aux enfers du plaisir - 01

AHMED


Comment en suis-je arrivée là ? Je suis entrée dans un monde de dépravation et de vice. C’est déjà assez grave, mais le pire est que j’aime cela ! Comment la femme respectable que j’étais, il y a encore six mois a-t-elle pu laisser la place à celle qui se vautre dans la luxure ? Je vais vous le décrire par écrit, comme me l’a ordonné mon dernier amant (si je peux l’appeler ainsi). Il souhaite que je vous raconte ma descente dans le vice.


Je me présente, Marie B…, 39 ans, mère de trois enfants, une fille et deux garçons. Je suis responsable dans un grand laboratoire d’analyses chimiques. Je forme des responsables de laboratoires du monde entier aux dernières technologies d’analyses environnementales. Je suis mariée à un homme charmant, Jérôme, qui est responsable technique dans une grande entreprise nationale. Il est souvent absent professionnellement, car il est appelé à travailler à l’étranger. Notre vie s’écoule tranquillement et si la passion des débuts de notre union s’est un peu émoussée, nous sommes heureux et nos relations sont empreintes de complicité et affection mutuelle. Une tendresse énorme nous unit.


Nos relations sexuelles se sont espacées lentement pour n’être plus que mensuelles, voire plus rares, comme en ce moment. Je ne suis plus très attirée, ni intéressée par tout ce qui touche de près ou de loin au sexe et au plaisir.


Sur le plan physique, je suis châtain clair, presque blonde avec des yeux bleus. Je mesure un mètre soixante-dix et pèse cinquante-cinq kilos. Mon travail ne me permet pas de faire des folies vestimentaires. L’utilisation de produits dangereux n’est pas compatible avec des vêtements luxueux. Je ne fais pas non plus d’excès de maquillage. De simples petites touches pour mettre en valeur mon regard et un rouge à lèvres pour soutenir ma carnation de blonde. Je porte les cheveux coiffés à la lionne. Au cours de mes trois grossesses, j’ai particulièrement fait attention à ma ligne et je n’ai pas pris plus de kilos qu’il ne fallait.


Aujourd’hui, je n’ai pas honte de mon corps. Mes seins ne s’affaissent pas et mes hanches ne sont pas enrobées de cellulite. Mon mari adore ma poitrine. Il faut dire que mon 90 C, j’en suis fière. Mes seins ne tombent pas et pointent encore. Mais personne, en dehors de mon mari et des médecins que je consulte, n’a eu le privilège de les admirer et de les toucher.


Depuis le début du mois de janvier, Jérôme est en Afrique du Sud pour implanter un système français et l’adapter aux normes africaines. Malgré Internet, sa présence rassurante me manque. Il ne reviendra qu’au mois de novembre. Les vacances se préparent pour tous et dans la maison règne une activité débordante. Ma fille termine sa première année de fac et a trouvé un stage en Angleterre du mois de juin au mois de septembre. Mon premier fils part accompagner un groupe en Roumanie pour les vacances scolaires. Mon second fils part en camping avec son association pour les deux mois de juillet et août. Moi, je n’ai rien de prévu. J’avais envisagé de rejoindre Jérôme, mais ce dernier voyage continuellement à travers l’Afrique du Sud et n’est jamais plus de deux jours au même endroit. J’ai donc décidé de rester en France.


Le 3 mai 2003, mon directeur m’informe de l’arrivée d’un responsable de laboratoire sénégalais. Je devrai le prendre en charge dès le 4 mai.


Le 4 mai 2003, vers 10h00, mon directeur entre dans mon labo. Il est accompagné d’un jeune homme noir. C’est mon nouveau stagiaire. C’est un colosse. Il mesure presque deux mètres et est très large d’épaules. Il est d’une beauté stupéfiante. Moi qui ne suis pas particulièrement attirée par les hommes de couleur, je dois dire que je suis sous le charme. Son visage se fend d’un grand sourire.



­- Ahmed, voici Marie, votre maître de stage. Méfiez-vous, sous ses airs gentils, elle est redoutable et très exigeante avec ses stagiaires… Bien, je vous laisse entre de bonnes mains.


J’accueille Ahmed comme tous mes stagiaires. Mais j’avoue que son sourire et sa beauté me troublent. Je lui explique les travaux que nous réalisons et le contenu de son stage.


La semaine s’est bien passée. Ahmed travaille vite et bien et, de plus, pige très bien ce que je lui demande. Il est de plus en plus enjoué et de très bonne compagnie.


Depuis son arrivée, nous déjeunons toujours ensemble. Ahmed n’est pas habitué aux nourritures occidentales et découvre des saveurs inconnues. Nous rions de ces découvertes pas toujours de son goût. Je le questionne de plus en plus sur son pays, sur ses traditions. Il me parle de la vie au Sénégal. Il est célibataire et souhaite retourner au pays pour le faire évoluer et s’installer, avoir une famille et des enfants. Il aimerait trouver une française pour lui donner des enfants et venir avec lui au Sénégal. Je lui dis que ceci est certainement possible. Il me rétorque qu’il aimerait trouver une femme comme moi. Je suis cloué par sa répartie. Je ne sais que dire. Je bafouille un peu et change de sujet.


Tout le mois de juin est passé à une allure folle. Entre les enfants qui préparent leurs départs respectifs, le travail de maison et le travail au labo, je suis sur les rotules. Ahmed m’aide du mieux qu’il peut. Il progresse à vitesse grand "V".


Si nous continuons à déjeuner ensemble, nous prenons le temps en fin de journée de faire un point. Ces discutions dérivent immanquablement sur sa vie privée. Je fais en sorte de ne pas comprendre les sous-entendus réguliers qui reviennent dans ses propos. Nous abordons un grand nombre de sujets. En temps que féministe, je lui dis ma façon de penser sur l’excision des fillettes. Il est convaincu de l’absurdité de ces pratiques. Je m’étonne de sa culture et de ses points de vue toujours construits et réfléchis.


Je suis seule à la maison depuis dix jours. Pour la fête nationale, j’ai invité Ahmed à passer la journée. Il fait un grand soleil, cette matinée. De la terrasse, le jardin resplendit et la tache bleue de la piscine créé une atmosphère de vacances. Il est neuf heures et je traîne en peignoir après avoir pris mon petit déjeuner. J’ai donné rendez-vous à Ahmed vers dix heures. Je me précipite dans la salle de bains. Douche, maquillage léger comme à l’habitude et parfum… mais quelle tenue choisir ? Chic, BCBG ou détente ? J’essaie un mixe des deux. J’enfile une parure de sous-vêtements couleur chair, puis un chemisier de soie blanche et par dessus un ensemble veste sans manche de lin blanc cassé et une jupe que j’ai toujours trouvée un peu courte. Mais aujourd’hui, le beau temps m’incite à la porter. Je me regarde dans la glace et constate que ma poitrine est mise en valeur dans mon soutien-gorge. Je suis obligée de fermer un bouton, sinon l’on distingue l’amorce de la vallée qui sépare mes globes jumeaux. Mon mari adore et, s’il était là, il m’imposerait de déboutonner au moins deux boutons. Perdue dans mon inspection, la sonnette de la grille d’entrée me sort brutalement de ma rêverie.


Je me précipite à la porte d’entrée. L’écran du portier vidéo me renvoie l’image d’Ahmed. Je lui indique qu’il peut entrer et déverrouille le portillon. J’ouvre la porte et attends sur le perron. Il arrive dans un ensemble beurre. Il est magnifique. Il m’offre un bouquet de roses rouges. Je suis un peu gênée. Il me dit que cela n’est qu’un petit présent en guise de remerciement pour la très bonne journée qu’il va passer en ma compagnie. Je sens le rouge me monter aux joues.



­- Venez, entrez…


Je m’efface pour lui laisser le passage, mais pas suffisamment. Il me frôle et j’ai le temps de sentir son parfum, son odeur d’homme. Il entre dans le salon.



­- Vous êtes un flatteur, Ahmed…

­- Non, je le crois vraiment.


Je cherche une diversion


­- Puis-je vous offrir un café, Ahmed ?

­- Avec grand plaisir…



­- A l’intérieur, si cela ne vous dérange pas…


Je vais dans la cuisine préparer le café. Je reviens dans le salon pour disposer les roses dans un vase. J’ai un peu chaud et j’enlève ma veste. Je pose le vase sur la table face à Ahmed. Je le regarde. Son regard s’est insinué dans mon décolleté. Il a une vue sur ma poitrine. Je me redresse rapidement. Je suis troublée par ce regard de mâle sur la femme que je suis. Pour me permettre de me rependre, je vais chercher le café. Je reviens avec le plateau où trône deux tasses et le sucrier. Je me penche encore. Mes gros seins ont poussé sur les boutons et l’un deux s’est échappé de la boutonnière. Les deux boutons supérieurs de mon chemisier étant ouverts, Ahmed peut découvrir mes deux globes soutenus par un soutien-gorge pigeonnant qui accentue encore leur opulence.


Ahmed plonge encore un fois son regard. Je le laisse profiter du spectacle pendant quelques secondes. Mais je remarque que ses yeux se sont baissés. Ils sont en train de parcourir ma silhouette. Comme je me trouve entre Ahmed et la fenêtre, il doit en plus de mon décolleté, admirer mes jambes par transparence de ma jupe. Je suis un peu surprise de son attitude, lui qui n’a qu’une seule fois émis l’hypothèse qu’il aimerait avoir une femme comme moi. Je me laisse tomber dans le fauteuil situé derrière moi. Dans mon mouvement de recul, ma jupe remonte à mi cuisse. Le regard d’Ahmed me suit, me pourchasse. Ses yeux se sont baissés et, dans le mouvement, je suis certaine qui a eu une vue plongeante sur mon entrejambe et mon joli slip blanc…


Ma tête tourne et c’est un peu comme si je perdais connaissance… Aussitôt, Ahmed se lève et vient à côté de moi. Il est genoux contre le fauteuil. Il me parle doucement de sa voix chaude et rauque, excitante à souhait. Il pose une main sous mes cuisses et l’autre sous mon épaule droite. Comme une plume, il me soulève et m’allonge sur le canapé. Il place un coussin sous mes pieds en prenant soin de m’ôter mes chaussures. Que m’arrive-t-il ? Je suis perdue dans un rêve… Ahmed me parle toujours et me caresse le front et les cheveux… Il part vers la cuisine et revient, son mouchoir blanc immaculé, trempé d’eau froide, humecte mon front. La fraîcheur me calme, mais je suis lasse, alanguie. Je n’ai aucune envie de me relever, aucune envie qu’Ahmed parte. Il me parle doucement, mais je ne comprends pas ce qu’il me dit. Son visage est très proche. Il est à genoux. Il se penche vers moi. Son regard noir se perd dans mes yeux.


Très doucement, son visage s’est approché du mien. Je vois et comprends parfaitement ses intentions. Que m’arrive-t-il ? Ses lèvres charnues rejoignent les miennes. Un petit mouvement de ses lèvres et sa langue vient caresser les miennes. Mes lèvres ne résistent pas à la douceur du contact. Il a compris que je suis vaincue, que je vais lui céder, que je vais accepter ce baiser… Il tente de nouveau de sa langue de me faire ouvrir mes lèvres.


Mes lèvres s’entrouvrent, ne faisant plus obstacle à sa langue chaude et dure qui investit ma bouche. Ce nouveau baiser est, cette fois, bien plus profond. Bien vite sa langue s’est mise en mouvement et c’est la mienne qui joue avec la sienne. Puis plus le baiser se prolonge, plus il se transforme en un baiser passionné.


Pour favoriser notre échange, il glisse son bras droit autour de mes épaules. Il m’oblige très doucement à accentuer ce baiser. Je n’ai aucun mouvement de recul, bien au contraire. Moi, une femme mariée, sage, rangée, je me conduis comme la dernière des traînées. Je suis dans le commencement d’un adultère. Je vais tromper mon mari pour la première fois et je commence à y prendre un grand plaisir. Son bras autour de mes épaules me serre contre lui. Je me blottis contre lui. Mais Ahmed n’est pas moins homme. Si sa main droite est très sage autour de mes épaules, il n’en est pas de même pour la gauche. Je la sens qui se pose sur ma hanche droite. Je sens la chaleur de cette paume à travers le tissu souple. Lentement, cette main commence un lent va-et-vient de ma hanche au haut de ma cuisse. Mon instinct de femme respectable resurgit :



­- Chut…


Il me ferme les lèvres des siennes. Elles sont chaudes et douces et je ne résiste pas. Je réponds à son baiser enflammé. Mais je me libère et réussis à lui dire :


­- Ahmed, s’il te plait, laisse-moi te dire…

­- Que veux-tu me dire ?



Mais la tentation est trop forte et une pulsion envahit mon corps. C’est moi, comme une midinette, qui lui tend les lèvres et lui reprend goulûment. Mes paroles et mes gestes sont en totale contradiction. Je laisse sa main posée sur ma cuisse. Je ne cherche pas à empêcher ses mouvements. Doucement, elle glisse sur ma cuisse et rencontre le bas de ma jupe. Sa chaleur m’électrise et je l’embrasse à pleine bouche. Je ne peux pas résister à cet appel charnel. Lentement, la main remonte sous ma jupe. Chaque pause est marquée par une appréciation de la fermeté de ma chair par de petites palpations. J’enlace son cou de mes bras.


Son bras droit enveloppant mes épaules, sa main en profite. Elle glisse sur mon chemisier et rencontre la masse de mon sein droit emprisonné dans son bonnet de soutien-gorge. Je ne résiste pas. Je suis dans ses bras en jupe et chemisier avec sa main toujours bien avancée sur ma cuisse. De nouveau, nos lèvres se sont rejointes. Sa langue se met à danser un ballet sauvage dans ma bouche, tournant et retournant autour de ma langue et suçant celle-ci, comme si c’était un petit sexe


Cette sarabande me fait craquer. J’oublie tout, et je jette par dessus ma conscience tous mes préjugés de femme sérieuse. Le baiser m’enflamme et mon corps ne peut se retenir. Il commence à onduler. Ma respiration s’accélère. Sa main enfouie sous ma jupe apprécie le grain souple de ma peau. Lentement elle remonte plus haut. C’est à cet instant, que mon bassin se met à bouger à réclamer une caresse plus précise.


Ahmed retire son bras de mes épaules. Tout en continuant à me dévorer la bouche, ses doigts longs et agiles s’aventurent sur le devant de mon chemisier. Ils sont à la recherche de boutons… Ahmed doit avoir une expérience phénoménale. Les boutons sautent les uns après les autres de leurs boutonnières respectives. D’un revers de main, il écarte les pans offrant à son regard brûlant ma poitrine gonflée. Mes seins emprisonnés bombent au-dessus de la dentelle et les pointes tentent outrageusement la dentelle. Ahmed se recule pour admirer le spectacle que je lui donne.



Aussitôt, il se jette sur mon sein et, à travers la dentelle, pince mon téton. La sensation est éblouissante. Je bascule dans un monde que j’ignorais. Ma pointe de sein irradie une sensation étonnante que je ne connaissais pas jusqu’à ce jour. Ahmed change de sein. La sensation renaît à partir de la pointe de mon autre sein. Mais Ahmed continue et son autre main ne reste pas inactive. Elle est remontée complètement sous ma jupe et ses doigts font connaissance avec la dentelle de mon slip. Ce dernier est trempé et ne peut contenir le flot de mouille que mon sexe vomit littéralement. La main palpe mon sexe. Elle a trouvé en haut de ma fente, ce fameux petit bouton infernal. Ahmed le malaxe entre son pouce et son index tout cela à travers la dentelle. La sensation est incroyable.


Son autre main très habilement fait sauter l’agrafe de mon soutien-gorge. Ahmed saisit avec ses dents le pontet qui relie les deux bonnets et tire en arrière. Je lui facilite la tâche en libérant mes bras. Mes deux seins sont libres de toute entrave et s’offrent aux caresses et titillements des mains d’Ahmed. Il torture gentiment mes tétons durcis, les presse entre ses doigts. Il continue de les sucer et les mordiller. Mon ventre réagit vivement à ses caresses pleines de douceur. Je sens mon entrejambe se transformer en fontaine. Nos bouches ne se quittent plus. Je ne me reconnais plus. Une pulsion me traverse. Je glisse ma main sur son entrejambe pour palper l’ampleur de son excitation.


­- Ce n’est pas vrai…


Son sexe est en érection. Je l’empaume par-dessus son pantalon pour lui rendre sa caresse intime. Il se redresse doucement, remonte ma jupe en haut de mes cuisses. Je prends appui sur mes talons pour lui permettre de passer les rondeurs de mes fesses. Il m’aide à me relever et la jupe continue son ascension. Au passage, elle emmène mon chemisier et le tout est jeté sur le tapis du salon. Ses mains redescendent et avec beaucoup de délicatesse, saisit l’élastique de ma culotte et l’entraîne vers mes pieds. Le mouvement est tellement lent qu’Ahmed peut se repaître de la vision de mon corps, de mon sexe poilu. Mon mari aurait aimé que je m’épile, mais je n’ai jamais répondu favorablement à sa demande. Je suis maintenant entièrement nue. Ne voulant pas rester seule en tenue d’Eve, je m’enhardis et trouve à tâtons le bouton de son pantalon. La fermeture éclair de la braguette est là. Le zip déchire le silence de la pièce. Je saisis la ceinture et tire comme une forcenée vers le bas. Ahmed se met en appui sur ses pieds. Il ne porte pas de slip et son sexe en érection vient battre brutalement son ventre. Ahmed recule sur ses bras et sa tête plonge entre mes cuisses.


Allongée sur le dos, je me laisse embrasser partout. La bouche d’Ahmed tête, lèche, mordille mes tétons. Ils sont durs comme du béton. Je gémis de plaisir. Ahmed est très excité et, doucement, descend jusqu’à ma chatte… Les jambes écartées, je m’offre impudiquement. Hormis mon gynécologue, personne ne m’a vu ainsi, même Jérôme qui n’aime pas cette pratique. Le compas de mes cuisses largement ouvert, je tends mon minou, grand ouvert et humide, aux lèvres de mon futur amant. À grands coups de langue, Ahmed lape la chatte offerte. Je ne peux retenir un feulement dans ma gorge. Ahmed s’arrête, me regarde et me demande :


­- Tu aimes ?


Je m’entends répondre d’une voix langoureuse :



Ahmed plonge de nouveau entre mes cuisses béantes. Je ne peux pas me contenir. Je commence à crier de plaisir. C’est la première fois que ceci m’arrive. Le bonheur me submerge. Je pose mes pieds sur les épaules d’Ahmed pour mieux lui donner ma chatte à manger. Je sens mon sexe fondre et se liquéfier. Ahmed avance une main vers mon ventre palpitant, atteint ma toison, puis mon sexe trempé. J’ordonne à Ahmed :


­- Avec la bouche, fais avec la bouche !


Je me demande si je ne suis pas en train de devenir folle. Ahmed s’agenouille entre mes jambes. J’offre ma chatte, ivre de bonheur à cet homme qui a su me révéler à moi-même. Ahmed aspire les chairs tendres de mon sexe. Il s’arrête un instant pour se régaler de la vue que je lui donne. Mon bassin s’agite d’une façon désordonnée, et une plainte rauque sort de ma gorge…



Ma jouissance me surprend. Ahmed est aussi étonné de ma réaction brutale. Il se redresse et vient vers moi. Il me tend ses lèvres. Je les aspire buvant ainsi ma propre liqueur. Une main ne reste pourtant pas inactive. Elle plonge entre mes cuisses et découvre mon clitoris. Il est énorme. Jamais je ne me suis sentie aussi excitée, jamais je n’ai eu un clito aussi gros et aussi sensible. Ahmed est étonné :


­- Ton bouton d’amour est énorme !


Il délaisse ma bouche et s’accroupit devant mes cuisses largement ouvertes. De ses deux doigts, il ouvre ma grotte intime sous la pression de ses doigts. Puis, tout en haut de ma fente, je vois mon clito. Il darde ses deux ou trois centimètres. Il est tout gonflé et violacé. J’en suis moi-même toute étonnée. Ahmed lape ma mouille et titille de la pointe dure de sa langue mon clito. Sa main revient. Son majeur frotte les lèvres humides. Il s’insinue entre elles et pénètre ma caverne. Luisant de mouille, il remonte vers mon clito, le presse, le malaxe. C’est insoutenable, je crie mon plaisir. Je supplie Ahmed :



Devant une telle demande, Ahmed reprend de plus bel. Il me doigte avec encore plus de ferveur… je tressaille. Mon clito n’est plus protégé par son capuchon. Ahmed le pince entre le pouce et l’index. Chaque pression me fait sursauter. Ahmed arrête ses agacements. Sa tête plonge vers mon clito. Il suce ma petite excroissance, puis n’hésite pas à le mordiller. Il me regarde, il m’épie. Il surveille la montée lente et inexorable de mon plaisir. Je crie. Jamais personne ne m’avait pratiqué cette caresse avec autant de douceur, de délicatesse. Je commence à comprendre pourquoi l’orgasme s’appelle aussi "petite mort"…


­- Ne t’arrête pas, Ahmed, je t’en supplie !


Désormais Ahmed sait que je suis à sa merci. Il sait que je suis prête à tout pour ressentir encore ce plaisir divin. Ahmed a compris. Je suis prête à subir tous ses caprices. La bouche ouverte, je cherche ma respiration. Ahmed prend un malin plaisir à ne pas me laisser dépasser le seuil de non retour.


Dès que je commence à partir, il arrête sa caresse, puis recommence quand la pression est retombée. Sa main quitte ma chatte. Il se relève et vient m’embrasser goulûment. Il en profite pour me caresser les seins. Il les pétrit doucement. Laissant mes lèvres, les siennes gobent mes seins. Mes gros seins sont durs, gonflés et tendus. Ils sont presque douloureux. Ils sont surmontés de deux belles et larges aréoles rose sombre. Au milieu de chacune d’elles pointent mes tétons, énormes et turgescents. Ils sont très longs et très gros. Ahmed les embrasse voracement. Ses lèvres les pincent, les serrent. Puis ses dents entrent en jeu. Par petites impulsions des mâchoires, mes tétons sont mâchouillés. Je ne supporte plus rien tellement c’est intense. Je supplie :


­- Donne-moi ton sexe, s’il te plait, ton sexe…


Ahmed se relève et se positionne face à moi. J’ai réussi à m’emparer de son sexe. Il est énorme. Je ne connais que le sexe de mon mari. Je le pensais bien monté. Mais là, j’ai en face de moi un mandrin fabuleux. Je n’arrive pas à faire le tour de sa queue (me voilà à parler comme une traînée !) avec mes doigts. Je regarde ce sexe comme si c’était une apparition, un rêve ! Je lui dis :


­- Tu es merveilleux, somptueux… Tu sais que tu es le deuxième homme que je vois nu de ma vie.



Ahmed me chuchote à l’oreille :


­- Si tu la veux, elle est à toi ! elle est pour toi ! suce-la ! mange-la !


Je le regarde, suite à cette proposition :


­- Tu veux que je suce ton sexe ?



­- Tu veux que je te suce le sexe… Mais je le l’ai jamais fait ! Mon mari ne me l’a jamais demandé !


Ahmed me sourit avec une lueur d’ironie dans le regard.


­- Ne te moque pas de moi !



Je me dis qu’il faut que j’y aille. Je ne dois pas rester ignare. Je m’approche du bâton dressé :


­- Tu sens bon, tu sens l’homme ! Qu’est-ce que je dois faire ?


Je suis assise sur le canapé. Mes seins oscillent devant moi.


­- Caresse-moi de la pointe de tes seins.


Je m’exécute. La sensation est très agréable. Plus je frotte mes seins à sa verge, plus celle-ci tressaute. Mes caresses sont efficaces, car la respiration d’Ahmed se fait plus rapide. Je pose mes mains sur son sexe.



Je commence à le branler doucement. Son sexe devient de plus en plus dur et grossit encore dans ma main. Pendant quelques instants, je continue mon manège, mais instinctivement, j’approche mon visage de ce sexe qui me fascine. Son gland est à quelques centimètres de ma bouche. Je tends ma langue et titille le méat. C’est très doux. Aucun goût désagréable comme je le pensais. Je pose mes lèvres sur son gland. Quelle douceur ! Je le suce entre mes lèvres. Ma langue ne reste pas inactive et s’enroule autour du gland soyeux. J’ouvre ma bouche en grand. J’absorbe lentement le gland en prenant garde de ne pas le blesser avec mes dents. Lentement, je commence de petits mouvements de va-et-vient.


Au fur et à mesure, ma bouche prend acte de la dimension du gourdin que je suce. Enfin au bout d’une dizaine de minutes, je réussis à avaler le gland tout entier dans ma bouche. Ahmed ne peut s’empêcher de bouger et pousse lentement son sexe en avant. Il me tient par l’arrière de la tête. Le gland bute contre le fond de ma gorge. J’ai un haut-le-cœur. J’arrête ma fellation pour laisser échapper un petit cri de surprise. Ahmed s’excuse. Je le reprends courageusement en bouche.


Ahmed me prend la main et me fait comprendre de lui masser les testicules de l’autre main. Deux à trois minutes plus tard, je cesse ma caresse. Ahmed pousse un petit cri de déception :



­- Tu as envie de ma queue ?

­- Oui, très envie, une énorme envie…


Je me lève et prend la main d’Ahmed dans la mienne et le tire pour l’emmener vers le couloir. Il se lève et passe un bras sous mes genoux, l’autre autour de mes épaules et me soulève tel un fétu de paille. Je lui prends les lèvres. Mon mari m’avait considéré une femme exutoire à sa libido. Jamais il n’a pensé que je pouvais être sa maîtresse, me faire découvrir les plaisirs de la chair et de la luxure. Je le guide dans le couloir et vers la chambre conjugale. Il me dépose sur le couvre-lit.


Aussitôt, il me caresse le ventre en descendant progressivement vers ma toison blonde. Il s’est installé à genoux entre mes jambes qui pendent au dehors du lit et sa tête est entre mes cuisses. Ses mains vont de mes hanches à mon nombril. Lentement, sans avoir l’air de rien, son majeur devient de plus en plus insistant. Il glisse entre mes lèvres tuméfiées et humides. Il empaume mon mont de vénus. Au creux de sa paume, mon clitoris est devenu énorme. Il se gonfle de sang et devient de plus en plus sensible. Le frottement est très agréable, mais devient agaçant. Il le saisit entre ses doigts et le malaxe, le triture. Mon clito prend des dimensions que je ne lui avais jamais vues avant, même lorsque je me masturbe. De l’autre main, il me pénètre le sexe. Je fonds littéralement. Je lui inonde les doigts. C’est presque comme si j’urinais. Les caresses conjuguées me font un effet bœuf. Je me contorsionne pour éviter ou, au contraire, pour mieux me prêter aux caresses libidineuses d’Ahmed. Une envie m’assaille. Mes seins se durcissent. Ils ont besoin de frôlements.


Trop occupé par mon sexe, il ne peut me pratiquer les caresses dont j’ai très envie. Je décide de me soulager seule. Les sensations sont grisantes. Mes aréoles sont brûlantes, mes seins fermes, comme gorgés de lait… De ma main droite, je me caresse les seins, Ma main gauche s’aventure enfin sur sa tête crépue et l’entraîne vers ma chatte. Ses mains écartent mes cuisses et sa langue prend possession de mon vagin. Il tourne un peu son visage, repousse ma cuisse gauche de sa joue et réussit à entrer entièrement sa grosse langue dans mon vagin. Il la remonte doucement, me faisant ainsi connaître des sensations inouïes. J’ai envie qu’il s’occupe de mon clito. Sa langue vient jouer avec mon bouton d’amour et il me pénètre sauvagement avec trois doigts. Je cherche ma respiration, puis le mouvement de sa main me fait perdre la raison. Ma tête tourne de droite à gauche. Je gémis, je crie, je feule mon plaisir. Sa main provoque un bruit de succion dans mon sexe inondé. Je bascule dans un orgasme terrible, une main sur un sein, l’autre enfonçant la tête d’Ahmed sur mon sexe qu’il entreprend d’aspirer de plus en plus fort, tout en continuant à me masser le clitoris. Sa grosse langue si douce et pourtant râpeuse m’emplit totalement. Je me raidis et bascule la tête en arrière, les cuisses resserrées autour de sa tête. Il me les écarte un peu, je dois le bloquer dans ses mouvements. Il m’impose une position et me bloque dans mes propres mouvements. J’ai l’impression qu’il me viole… Je crie ma jouissance à pleine gorge. Je sens mon cœur battre dans mon clitoris et ai l’impression que cet orgasme ne s’arrêtera jamais. Ahmed m’encourage dans mon plaisir et je sens un doigt inquisiteur me masser l’anus pendant mon plaisir. Je m’entends prononcer des phrases sans suite et des paroles grossières qui ne sont pas de mon langage courant. Première entorse à mon éducation.


­- Non, non… N’arrête pas, oui… Continue… C’est très bon… C’est trop bon… Encore… Plus fort, tes doigts… Baisse ma chatte… Pince mon clito, tripote-le, fais-moi jouir…


Et là, brutalement, sans prévenir, je pousse un hurlement de femme que l’on tue. C’est presque cela. Mais là, je jouis comme jamais cela ne m’était arrivé auparavant. Ahmed me prend les lèvres et m’embrasse langoureusement. Et là, je ne peux retenir mes larmes. Ahmed s’interroge :



­- Idiot ! Je suis heureuse… Tu m’as rendu très heureuse… Je n’ai jamais joui aussi fort…


Je l’embrasse fougueusement. Mais je sens le sexe monstrueux d’Ahmed qui bat mon flanc. Son sexe tendu me semble énorme et mes yeux agrandis ne se font pas à la dimension de la "chose". Il me fait asseoir, se met debout en face de moi. Il est monté comme les représentations du Satyre dans tous les tableaux de la mythologie. Je suis donc face à une colonne de marbre noir. Moi qui avais toujours refusé cette caresse à mon mari par crainte des odeurs fortes, je trouve qu’Ahmed sent bon. Son gland décalotté arrive largement au-dessus de son nombril. Ses testicules sont énormes et bien visibles. Je tends la main vers « la chose » et il me pointe son énorme membre sur les lèvres.


Je me penche un peu plus et m’enhardissant, le prends entre mes lèvres. Je commence par sucer du bout des lèvres le champignon énorme et violacé. Une perle de liquide émerge de son méat. Une envie irrésistible me traverse. Je lape cette émanation. C’est douceâtre, presque sucré. Lentement, je le décalotte et absorbe la grosse prune violette. Cette caresse doit lui plaire car il me semble que son mandrin grossi encore sous cette succion. Le bout de son gland vient de franchir mes lèvres. J’en ai la bouche pleine. Mais je ne cesse pas ma succion. Je le fais sortir de ma bouche en prenant soin de bien l’enduire de salive. Le bruit qui s’en suit l’excite encore plus. Il bande plus fort encore. Je me distends les lèvres pour avaler cette chose qui me procure une satisfaction intérieure inconnue à ce jour. Il pousse un gémissement de plaisir, rejetant la tête en arrière. Ses mains s’appuient sur mes épaules.


C’est le plus énorme, le plus gros, le plus long sexe que j’ai jamais vu et encore moins touché. Tout en suçant le gland, je fais aller et venir ma main sur le reste de la hampe. C’est à cet instant que contre mon poignet viennent buter deux petits citrons. Ses couilles (et cela continue ! Ma fille, ton éducation fout le camp !) velues sont dures. La tentation est trop forte. Je les saisis dans ma main et les fait rouler l’une contre l’autre. Jamais je n’aurais cru que cette action puisse plaire à un homme. Son gland grossit encore. C’est une baudruche, ce truc là. Il ne va pas pouvoir se retenir. Il va m’éjaculer dans la bouche, moi qui n’ai jamais voulu sucer mon mari, je suis prête à accepter qu’il se vide dans ma gorge. Je suis prête à le boire.


Mais il se recule. Son gland échappe à mes lèvres. Je pousse un "non" de déception. Bien installé sur ses genoux, il me caresse les cuisses avec des gestes d’une infinie douceur. Je me cale plus confortablement sur le lit, me doutant confusément de ce qui va m’arriver. Il se positionne mieux sur ses genoux, face à moi. Je me redresse sur les coudes. Sa tête est maintenant proche de la sienne. Mon bras gauche enserre sa tête et il se rapproche de moi pour que je puisse l’embrasser. Mes lèvres fines reviennent au contact de sa grosse bouche. Sa langue qui joue avec la mienne. C’est un ballet, une lutte presque une guerre que nos langues se font. C’est très agréable. Je reprends mon souffle. Je le regarde, les yeux ivres de bonheur. Son regard est brillant.


­- Tu m’as rendu très heureuse…

­- Je te remercie du compliment…



­- Attends, il va venir…


Je me laisse partir en arrière. Il s’allonge de tout son poids sur moi. Pour ne pas être écrasée, j’écarte les jambes et il s’installe sur moi. Je sens son membre énorme qui est coincé entre nos deux abdomens. Le contact de cette matraque m’électrise et relance mes envies libidineuses. Je me sens femme, femelle, disponible au mâle, prête à la saillie. Il m’embrasse dans le cou. Cette caresse est celle qui me rend folle d’envie depuis toujours. Jérôme ne s’en est pas toujours rendu compte, mais un baiser dans le cou me transporte au bord du septième ciel. Il se jette sur mes tétons dardés du plaisir à venir et du bonheur d’être traitée comme une femelle. Ses mains glissent sous mes fesses et me soulève. Il m’écarte les deux globes. Mon sexe se fend encore.



­- Moi-aussi… Fais-le !


J’ai trop envie qu’il me mette sa queue dans le ventre (voilà encore un dérapage verbal…). J’écarte les cuisses. Je l’attends. Il écarte le compas de mes cuisses, à genoux entre elles, A cause de la différence de taille, il descend beaucoup, se repose sur les poignets, son membre à l’horizontale. Il s’avance. Qu’est ce qu’il attend ? J’ai envie qu’il me pénètre, qu’il me prenne, qu’il me mette sa queue dans le ventre. Je veux qu’il m’embroche, me défonce qu’il me fasse rendre l’âme. J’ai envie qu’il me fende, me pourfende, je veux sa queue au fond de mon ventre, au fond de mes entrailles que sa queue me monte à la gorge… (là, ma fille, tu commences sérieusement à penser à avoir des envies comme un vraie salope !) J’écarte au maximum les cuisses.


Passant mes mains sous mes cuisses, je saisis mes lèvres intimes et les écarte. Je me conduis telle la pire des salopes. Il a compris et s’amuse de mon envie débordante. Il joue de son gland sur ma vulve, sur mon clitoris, à entrer, à sortir, à s’attarder sur ses lèvres. J’imagine la grosse tête chercheuse de son sexe qui se rapproche, flaire aux portes de mon antre béant et humide, palpitant et avide. Cette fois, il est là. Il ne cherche plus à partir ou à m’agacer. Son gland écarte mes lèvres, repousse mes chairs, passe un premier obstacle de chair. Il pénètre, doucement. Gros comme il est, Ahmed doit savoir qu’il lui faut de la douceur, du tact, voire de la prudence. Mais il doit aussi sentir qu’il ne rencontre aucune résistance, bien au contraire. Je suis béante et attends son entrée. Je suis la plus réceptive possible. Il se sent en confiance. Il me fait mettre mes jambes sur ses épaules. Dans cette position, je lui offre une voie royale sur ma chatte luisante de cyprine. Prenant appui sur ses épaules, je soulève mon bassin pour mieux faciliter l’envahissement. Il pousse toujours. Je me sens comblée, remplie et pourtant, d’après ce que je touche, seulement un tiers de son membre est entré… Mes mains quittent mon sexe pour ses fesses. Je les saisis à pleines mains.


­- Tu as mal ?



Non, mes mains se sont crispées sur son cul (oh encore) pour l’attirer en moi. Il entre encore et toujours, sans difficulté, sans que ma chair ne se rebelle. Comme ma chatte pourrait-elle ne pas l’accepter, vu que ma mouille déborde de mon sexe et me coule entre les fesses. Son gland bute un peu plus haut et boute mes chairs plus intimes encore. J’ouvre mes yeux. Il me regarde, surveillant mes réactions à son entrée triomphante dans mon ventre. Il me chuchote à l’oreille :


­- Ton sexe est très doux… et très serré. C’est très bon… pour moi, et pour toi ?

­- Moi aussi, c’est très bon…


Il cherche mes lèvres, il veut m’embrasser. Je tourne la tête, gênée par ce geste trop intime. Mais il revient à la charge. Au diable mes préjugés, mes réticences. Je lui cède mes lèvres. Il me mange la bouche. Quelques secondes plus tard, je lui demande :


­- Viens !


Il est entré de plus de la moitié. Son bassin pèse encore sur mon ventre. Il avance encore. Je bascule mon bassin et j’écarte encore (si cela est encore possible !) mes cuisses. Une dernière contraction de ses reins et cette fois il est entré totalement. Son gland vient buter conte le col de mon utérus. J’ai la sensation d’être pleine, remplie. Mon sexe est complet, ne peut plus rien accepter. Chaque poussée vient taper un endroit que jamais personne ne semble m’avoir touché. Chaque avancée me provoque une sensation inconnue, électrisante. Je jouis brutalement sous la pénétration profonde. Je m’ouvre encore. Je lui donne mon sexe. Mes genoux tapent sur mes épaules. Il sent que je jouis. Il entame une cavalcade, une courte série de va-et-vient. Il accélère la cadence. Je n’en peux plus. Il va me rendre folle. Il me pilonne de longs coups de reins. Chaque butée me fait pousser des petits cris, chaque recul me fait chercher ma respiration. Il accélère le mouvement, me possède "à fond", me remplit, me défonce le sexe de longues minutes. Il va si loin que j’ai peur que sa queue me remonte dans la gorge.


C’est une première, une grande première. C’est plus qu’agréable, c’est merveilleux… Jamais je n’avais connu une telle jouissance, un tel plaisir sous la queue de mon mari. Je crie sous la violence de l’orgasme. Mon ventre me fait mal, mal de plaisir. Je veux que cela cesse, mais en même temps, je veux que cela dure encore, très longtemps, toujours peut-être… J’ai l’impression que mon cœur va sortir de ma poitrine, que je vais mourir d’un infarctus… Je perds ma respiration sous le plaisir. Je retrouve ma respiration superficielle de mes accouchements. Mes mains, crispées sur ses fesses dures lui indiquent que mon sexe a encore faim de lui. Je veux le retenir, le garder en moi, mais aussi lui demander de sortir de moi, mais de revenir. Je veux être sure que je ne rêve pas, pour être sure que sa queue en moi est bien la réalité. Je suis un jouet au bout de son sexe démoniaque. Mais c’est trop bon. Je gémis en le regardant dans les yeux et lui dis tout mon plaisir.


­- Ne t’arrête pas. C’est bon, c’est trop bon.


Mes jambes se détendent violemment. Ma jouissance, mon plaisir explose dans ma tête, dans mon ventre. Brusquement, ses mouvements deviennent plus amples et plus puissants. Sa matraque me malmène la chatte. Il se crispe. Je le sens venir en moi. Son sexe m’envahit de ses spasmes annonceurs de sa jouissance proche. Mon ventre s’ouvre, s’offre encore plus à son plaisir. J’ai envie qu’il soit bien dans mon ventre. Bloqué au fond de mon sexe, il se met à jouir de longs flots de sperme. Il va me perforer, me fendre en deux… Son sexe va sortir de l’autre côté de moi… Quelques derniers coups de reins et je sens les derniers spasmes de sa jouissance. Il reste au plus profond de moi. Je me fais l’impression d’être un vulgaire poulet, embrochée de part en part… Mais que c’est bon, cette sensation d’être qu’une femelle lubrique… une femme aimée et désirée… Une femme comme je n’ai pas été depuis bien longtemps. Nous reprenons lentement nos esprits. Ahmed est toujours planté au fond de mon ventre. Je suis bien, béate de plaisir et de bonheur. Mon ventre irradie de bonheur. Une sensation curieuse me parcourt le ventre.



­- Tu es un monstre…


La queue d’Ahmed, en effet, palpite de nouveau dans mon sexe à peine repu. Elle reprend de la vigueur. Il se dégage de moi et s’allonge comme moi sur le côté, me caressant doucement les seins de sa main droite. Je sens sa grosse queue poisseuse de sperme reposer, puis battre contre ma fesse. Mon sexe baille et se vide entre mes cuisses d’une grande quantité de sperme…


Il me caresse et je me laisse faire. Une de ses mains joue avec mes seins et surtout mes tétons encore légèrement douloureux. L’autre court sur mon ventre encore douloureux, mais si repu, si bien. Mais mon Dieu que c’est bon !! Je me suis totalement béate. Je pense au bien être de mon corps repu de sexe. Je n’en reviens pas. Je suis redevenue femme ce soir, grâce à cet Africain qui est là derrière moi, calé en petite cuillère. Il a de nouveau envie de moi. Sa Bête bat contre mes fesses, cette bête qui se relève tout doucement. J’ai envie qu’elle me fasse encore l’amour, j’ai encore envie d’elle.


Sa tête est penchée dans mon cou. Son souffle léger provoque chez moi des frissons. J’ai la chair de poule sur les cuisses. Il en joue. Il m’embrasse dans le cou. Je me laisse partir dans cet instant de béatitude. Ses bras autour de mon torse me serrent contre lui. Ses mains jouent de nouveau avec mes seins. Ils sont aussi volumineux et aussi sensibles que pendant mes grossesses. Mes tétons sortent comme de petits sexes au milieu de mes aréoles granuleuses. Une de ses main posée sur mon ventre est descendue vers mon mont de vénus. Un doigt fureteur s’insinue dans ma chatte. Je n’ai aucun geste de recul, ni de défense. Bien au contraire, je facilite la progression de l’intrus en ouvrant mes cuisses.


Depuis mon orgasme, je suis entièrement disponible. Ma main passe dans mon dos et attrape le bâton de chair. Il est tout poisseux de nos sécrétions. Mon contact lui fait de l’effet. Son pénis saute dans ma main. Je l’empoigne et commence à le masturber doucement. Ma main enregistre un gonflement de l’objet. Il grandit et grossit instantanément. C’est une merveille, cette chose là. Il suffit de demander pour être servie… J’ai le sentiment qu’elle ne va pas s’arrêter d’enfler. Sa longueur et son diamètre m’impressionne. Ahmed est réellement monté comme un âne ! Il pose sa main sur mon épaule et me pousse gentiment. Je bascule à plat ventre. Mes cuisses s’ouvrent d’elles-même. Je lâche sa matraque pour placer mes mains à la hauteur de ma tête.


Vu la position qu’Ahmed me fait prendre, je me doute de ce qui va m’arriver. Je n’ai pas de crainte, une simple appréhension. Je m’attends à une douce violence. Le sexe d’Ahmed est au garde à vous, coincé entre mes fesses J’aime bien ce contact. Pourtant il revient sur mon coté. Sa main me flatte les fesses. Un doigt passe et repasse entre mes globes jumeaux. Il s’approche de mon cratère le plus secret. Jamais personne n’a osé s’aventurer dans cette région interdite de mon corps. Jamais personne n’a essayé de profiter de ce puits secret. La pulpe du majeur entre en contact avec la pastille fripée. Le toucher très doux m’est agréable. Mais il continue sa course pour finir dans un sexe.


J’ai honte. Mon sexe dégouline, bave, se vide un peu. Le majeur entre en moi et ressort humide et gluant. Ce doigt poisseux et odorant remonte vers mes fesses. Je vois où il veut en venir et je me tais. Je sens le doigt se poser sur mon petit trou et à le masser doucement. Je suis consentante. Je sais ce qu’il veut et malgré la crainte de la douleur et la honte de cette pratique, je m’offre, la tête posée sur le lit. Le doigt continue son doux et lent massage un moment et puis fermement me perfore l’anneau musclé. Je pousse un petit cri d’animal. Mais aussitôt, il ressort laissant un vide et reprend son manège infernal. Vraiment, Ahmed est un expert en la matière. Il va-et-vient dans mon anus, sort son doigt pour l’enduire de nos sécrétions, l’enfonce de nouveau profondément.


Quelques minutes d’une telle action me travaillent. Ce contact, cette pratique que je redoute tant me fait envie maintenant. Ahmed se penche vers mon anus. J’ai honte. Il va voir mon trou du cul comme je ne l’ai jamais montré. Une fraîcheur subite me fait serrer les fesses. Il vient de saliver directement dans mon petit trou et immédiatement y enfonce deux doigts entiers. Il pousse, il tourne, il fouille au plus profond de mon cul offert. Je pousse des gémissements. Ahmed retire brutalement sa main. Pendant un court instant, je suis vide. Je n’ai plus rien, ni dans la chatte ni dans le cul.


Ahmed se met à genoux. Il passe son bras sous mon ventre et me soulève. J’ai compris. Je m’installe à genoux, les fesses en l’air. Je n’ai pas d’hésitation, je ne discute pas, j’obéis. Son sexe me bat entre les fesses. Ses mains se placent de part et d’autre et saisissent la partie charnue de chacun de mes globes. Il les écartent doucement. Je pense que mon œillet brun et fripé, ne devient point de mire du regard lubrique d’Ahmed. Il a un accès libre à l’objet de ses convoitises. Mon anus est ainsi dégagé et prêt à subir ses assaut. Mais je ne veux pas subir. Je prends doucement son pal et le dirige vers le centre de mon cul.


J’ai un peu peur et je ne veux pas qu’il m’éventre. Je ne vais pas lui laisser l’initiative. Je vais m’enculer sur son gros machin tout en douceur Je l’attire à moi, il se rapproche. Je le sens bien obéissant. Après tout, c’est moi qui accepte la sodomie alors, il me laisse carte blanche. Ma main presse sa queue. Je pose l’extrémité de son gland sur ma rosette. J’entreprends de m’enfiler dans l’anus le gland au début. L’intromission commence. Tout d’abord, le gland est très gros. Il y a une telle différence de taille entre son gland et ma rondelle. N’a aucun rapport de volume avec mon anus. Jamais cela ne rentrera, malgré le mélange de ma mouille et de son sperme mêlé qui enduit ma muqueuse anale. Je présente à tâtons, le bout de son gland sur le centre de mon cratère. Je recule mon cul vers ce pal tendu et je pousse sur mon sphincter pour m’ouvrir. Ahmed me guide et me conseille :


­- Pousse comme si tu allais à la selle…


Je voudrais bien le voir à ma place… Je sens la chaleur de sa queue contre mon anneau. La lubrification aidant, il glisse et entre en moi. Curieusement, le début se déroule plus facilement que prévu. Le gland se décalotte et entre sans coup férir d’un seul trait. Je me sens me dilater de plus en plus. Je suis inquiète. Je me retourne et, par dessus mon épaule, je lui jette un regard apeuré. J’ai peur qu’il me fasse mal. Il s’arrête et me demande :


­- Ca va ? Je ne te fais pas trop mal ?

­- Non, mais va doucement… Et j’espère que tu vas me faire du bien…


Il ne bouge plus. Il laisse le temps à mon sphincter se dilater. Mon cul se dilate comme par enchantement. D’un petit coup de rein, je lui fais comprendre qu’il peut continuer à me pénétrer. Doucement, il pousse, sans cesse et sans aucun arrêt. Inexorablement et surtout sans aucune brutalité, sans forcer sur ma rondelle, son sexe avance, dilate, perfore mon cul. Ses mains, crochetées sur mes fesses, m’ouvrent l’anus facilitant ainsi le viol (comme si c’était un viol !) Mes mains appuyées contre la tête de lit, les fesses écartelées par les mains puissantes d’Ahmed, je suis sa prisonnière. Il me pénètre inexorablement.


Je pousse, lui aussi, nous poussons tous les deux pour la réussite de notre entreprise. Je m’ouvre, il entre… Violée consentante, j’éprouve un délicieux sentiment de plaisir à être forcée. Je suis en train de subir le pire des supplices, celui du pal et j’y prends un certain plaisir. Mais je constate, preuves à l’appui que le supplice peut aussi être un délice. Je me fais empaler et je trouve cela bon et agréable… Il pousse toujours et, bonne élève, je l’aide de toutes mes forces. Je ne vois pas où il en est dans mon enculage. Je tourne la tête et constate, outrée, notre reflet dans la glace fixée au mur. Je vois aussi, non sans une certaine crainte que le sexe monumental d’Ahmed est loin d’être totalement entré dans mon fondement. Il pousse toujours doucement, enfiché qu’il est dans mon cul. Une question me vient soudainement : comment un petit cul comme le mien va-t-il pouvoir absorber un tel morceau ? Et cela n’est pas fini, vu qu’il en reste un bon bout en dehors. Voyant mon regard dans la glace, il s’enquière de ma condition :



­- Oui, bien sûr, mais tu es tellement énorme que je me demande si je vais pouvoir tout avaler ce que tu me proposes…

­- Ça te plaît ?



La lente, mais inexorable poussée continue jusqu’au moment où je sens le contact de ses couilles sur le bas de mes fesses. Cette fois, il est entré, tout entré. Il reste quelques instants, immobile, pour que ma rondelle accepte la dimension de son mandrin. Il est entré entièrement en moi ! Je n’aurais pas imaginé que je me ferais sodomiser un jour. Jamais je n’aurais cru que c’était physiologiquement possible. Jamais je ne pensais que j’aurais accepté cette relation, moi, une femme BCBG. Mais le constat est bel et bien là. Je me fais enculer en levrette sur le lit conjugal par un noir au sexe démesuré. Je sens son énorme sexe au plus profond de moi et j’y prends un certain plaisir. Et à ce moment, c’est moi qui commence à bouger mon cul. Lentement, j’entame une série de va-et-vient. Je m’empale à chaque fois au plus profond, et cela de plus en plus vite. Arc-boutée sur mes bras, je lui donne, je lui offre mes reins. Prenant appui sur moi, ses mains passent sous mon torse, il saisit mes gros seins blancs qui ballottent au rythme de ses assauts. À chaque poussée de mes fesses, ses couilles claquent sur mes fesses.


Pourtant, une poussée plus violente que les autres me fait tomber à plat ventre. Dans le mouvement, le braquemart gigantesque percute mon ventre. Je crie. Ahmed s’arrête de peur de me blesser. Je le retiens d’une main sur ses fesses et l’encourage à continuer d’un mouvement du bassin. Il me pilonne comme un forcené. Je me laisse faire. Il m’épingle comme un papillon. Je halète. J’ai soif. Ma bouche est sèche. Mais je suis fière et consciente de réaliser une grande première : ma première sodomie. Cela m’excite et me fait mouiller comme une malade. Ahmed n’hésite pas et ne se retient plus. Soudain, c’est comme un éclair d’orage, un orage des plus violents. Du fin fond de mon ventre, une boule a grossit, puis s’est enflée. Elle explose. Je rue des quatre fers pour qu’Ahmed me défonce, me pilonne. Je hurle, je crie :



Je me mets à ruer des quatre fers comme pour amplifier la pénétration. Je pose mes mains sur mes fesses et les écarte. Je veux qu’il comprenne que je lui offre ma première sodomie, ma première enculade. Ahmed comprend et pilonne ce joli cul de femme blanche. Je suis heureuse, j’aime. Puis d’un seul coup, alors que le traitement que je subis me plaît plus que tout, sans savoir pourquoi, Ahmed sort lentement sa queue brillante de mon anus. Il écarte de nouveau mes fesses. Je me doute, car je sens la fraîcheur de l’air dans mon rectum, que mon anus est distendu, béant. Ahmed positionne de nouveau son sexe en face de mon anus et il s’y enfonça lentement, mais sans s’arrêter. Cela me sembla bizarre de sentir cet énorme sexe me perforer lentement le cul.


Depuis qu’il me sodomise une nouvelle fois, je cherche ma respiration. À croire que la place prise par son sexe, chasse l’air de mes poumons. Le plaisir de la pénétration se termine quand ses testicules viennent claquer sur mes fesses. Puis, sans cesser son mouvement, il se retire. Je crois qu’il va sortir de mon rectum, mais non, il laisse son gland dans mon anus. Il recommence sa pénétration ; les allers-retours se font sur un rythme lent, mais régulier. Doucement, la cadence s’accélère. Depuis la nouvelle pénétration, j’ai bloqué ma respiration. Je suis muette, et malgré ma bouche ouverte, je cherche de l’air, comme un poisson sur la berge d’un étang.


Les mouvements d’Ahmed déclenchent un nouvel orgasme anal. Je le sens venir, monter. Je gémis et, d’un seul coup, l’orgasme arrive, déferle. Je hurle de plaisir, lui demandant de me défoncer comme une putain. Je me conduis comme telle, comme une fille de mauvaise vie. Pour l’encourager dans son action, je donne des coups de reins en arrière pour accentuer de sa propre volonté son envie de se rouler dans la luxure. Il se retire encore, laissant un vide cruel dans mon ventre. Je lui dis de ne pas sortir, de me prendre encore. Pourtant, son sexe sort encore, puis encore. Son gland est au bord de ma rondelle, je serre mon cul pour le garder. Je me retourne vers lui et d’un regard suppliant lui dis :


­- Reviens, entre encore, reviens fort, très fort…


Son regard se plante dans le mien et, sans rien dire, il pousse d’un seul coup son sexe au plus profond de mon cul, le tout d’une seule et unique poussée. La nouvelle intromission de son braquemart me submerge de bonheur. Ce sont comme des flashes certainement comparables à ceux que l’on obtient avec des drogues, douces ou dures. Je n’ai jamais essayé, mon reste d’éducation bourgeoise… Je crie. Il reste quelques secondes, plante son sexe en moi et repart. Je gémis, je supplie. Il donne un grand coup de reins et revient aussi vite, aussi loin, aussi fort. Ses coups de reins sont de plus en plus marqués. Le plaisir arrive à toute vitesse. Je le sens gonfler dans mon ventre. Il vient… Il est là.


Un coup de poignard me transperce les reins. Je suis immobile, comme paralysée. Mon corps n’est plus qu’un réceptacle à sexe et mon cerveau est incapable d’avoir d’autres pensées que pour le sexe et le plaisir qui en découle. Je hurle. Je m’arc-boute sous lui et m’offre ainsi encore plus. Il me perfore. Il entre et sort de moi sans aucun problème. Je le sens sortir parfois entièrement de mon cul, mais il y retourne d’un trait, comme si sa queue avait toujours connu le chemin. Plus rien ne fait obstacle à une entrée tonitruante. Mon cœur bat la chamade. Je manque d’air. J’arrête de crier pour prendre ma respiration. Il entre, sort, entre, sort. Ahmed est devenu une machine à me baiser, un mandrin qui me pilonne sans cesse. Moi, je ne suis plus qu’un trou, qu’un cul qui s’offre pour se faire enculer. Il m’encule pendant longtemps et pourtant cela dure trop peu. Je hurle toujours. Je n’en peux plus. Le plaisir fait place à la douleur. Mon sexe, mon anus, tout est douloureux de plaisir. Je n’en peux plus. Je lui crie :



Ma demande le libère. Il se vide aussitôt. Son sperme s’écoule dans mon ventre. De longs jets, de longues saccades qui se déversent en moi. Une tornade de plaisir commence dans mes reins et s’achève dans mon cerveau. Mes sens sont exacerbés. Je ressens très exactement ce qu’il me fait subir. Ahmed se vide une nouvelle fois, mais en inondant mes entrailles. Plaisir différent, mais agréable, très agréable. Je m’écroule sur le lit. Ahmed se laisse choir sur moi. Il m’écrase, mais j’aime sentir sa force tranquille sur moi. Si mon corps a difficilement accepté son sexe, il ne veut plus le laisser partir. Je serre les fesses, contracte mon anus pour le garder en moi. Mais Ahmed n’en peut plus. Il débande. Malgré tous les efforts de mon sphincter dilaté, je ne peux empêcher le sexe d’Ahmed de me quitter. Je me vide de lui. Il bascule sur le côté près de moi.


Cette première expérience de sodomie a été fabuleuse. Ma bouche est trop sèche pour parler. Il m’embrasse. Il ruisselle de sueur.


­- C’est bon, que c’est bon… Magnifique, exceptionnel, rare…

­- C’est, tu ne peux pas savoir, c’est fort, très fort, trop fort… J’ai failli m’évanouir



­- Tu es merveilleuse…



­- Tu regrettes ?

­- Bien sûr que non… Au contraire, j’ai hâte de recommencer…



­- Tu m’as tellement fait jouir par mon sexe que tu avais bien mérité de me sodomiser, moi, la petite blanche BCBG.


Je suis heureuse comme jamais je ne l’ai été. Mes yeux s’embuent. Je passe une main derrière sa nuque pour l’amener à moi. Il se penche vers moi et je l’embrasse goulûment. Je me sens dépendante de lui, comme reliée à lui par un cordon ombilical, ou plus exactement par son bâton de chair merveilleux. Je sens que, lui seul, saura me faire jouir. Je suis sa chose, son objet. Tout le reste de la journée, nous n’avons fait que dormir, manger et baiser. Jamais je n’ai fait cela avec Jérôme, même juste mariés.


Nous sommes sortis le soir pour admirer le feu d’artifice. Ahmed a exigé que je porte une jupe fendue. Assise auprès de lui sur la pelouse, il ne s’est pas gêné pour me caresser le sexe. Il avait aussi souhaité que je ne porte pas de soutien-gorge. Je lui ai obéi. C’est donc les fesses à l’air et les seins nus sous mon ensemble en jean’s que j’ai assisté à l’embrasement du ciel, un peu comme le mien en cette merveilleuse journée.


Nous sommes revenus à la maison. Ahmed voulait retourner à son hôtel. Mais je n’ai pas voulu. Je le voulais encore pour moi toute seule, je le voulais dans mon lit pour qu’il me fasse l’amour, pour qu’il m’encule, pour que je le suce. Je suis une vraie chienne… Dès notre entrée dans le hall de ma maison, je saute sur Ahmed. Je le pousse contre la porte d’entrée. Je me blottis dans ses bras. Je l’embrasse à pleine bouche. Je lui mange la langue. Il sait mon point faible. Ses lèvres se posent sur mon cou. Il m’embrasse et, aussitôt, je frissonne. Je deviens folle. Ses mains dézipent mon blouson. Expertes et brûlantes, elles happent mes seins dont les tétons sont instantanément durs et arrogants. Ils pointent au creux des paumes roses d’Ahmed. La caresse est délicieuse et horrible à la fois. Elle m’excite et me fait me tortiller comme un ver coupé.


Tout mon corps est là, prêt, ouvert, disponible. Je me laisse bercer, porter par cette vague qui naît dans mes reins. Ma tête tombe en arrière pour laisser les lèvres d’Ahmed parcourir mes seins. Il les dévore avec d’infinies précautions. Ils sont là, ronds et fermes, brûlants et durs. Mes tétons pointent sous sa bouche experte qui les suce, les enveloppe. Je ne peux résister. Des soupirs de plaisir sourdent de ma bouche. Mon blouson tombe au sol. Sa main trouve la fermeture de ma jupe. Je l’embrasse avec violence quand le zip de la fermeture déchire le silence de la nuit. Je suis nue. Je défais, un à un, les boutons de la chemise d’Ahmed. Je découvre son torse musclé et glabre. Mes mains le parcourent, le sentent, le caressent. Il sent bon, un parfum mêlé à sa propre odeur indéfinissable, mais excitante, un mâle en rut, suçotant mes seins généreux. Mes mains redécouvrent des gestes lointains et oubliés. Elles descendent vers son ventre, la ceinture de son pantalon. Une bosse déforme le tissu au niveau de sa braguette. Je la caresse doucement et tendrement. Sa main me saisit par les cheveux et me contraint à l’embrasser. Son souffle et le mien se mêlent, nos langues se mélangent. Il me soulève et me colle à mon tour contre la porte.


L’aluminium est froid contre mon dos. Son genou écarte mes cuisses sans aucune difficulté. Perchée sur mes talons hauts, son sexe se frotte contre mon pubis. Il se met à genoux. Je sens son souffle sur ma chatte. Les cuisses écartées, j’offre à sa langue mon clito gonflé et tout humide. Je suis en nage et très humide.


­- Tu es toute trempée… Tu as envie…

­- C’est de ta faute… Tu m’as obligée de me promener nue sous mes vêtements et tu m’as tripotée tout le temps du feu d’artifice… alors à toi de faire le pompier de service et d’éteindre l’incendie.


Il replonge vers mon entrejambe. Je ne vois que sa tête qui s’agite entre mes cuisses dans la douce pénombre du hall. Le nez planté sur ma chatte, il s’applique à me faire monter au septième ciel. L’orgasme est là, tout près, tout proche. Ahmed grogne son plaisir à me brouter mon petit abricot.


­- Tu devrais t’épiler le sexe…



­- Si, ton sexe serait mis en valeur…

­- Tu le veux ?



­- Je le ferai…

­- Ou bien, je te le ferai…

­- Si tu veux…


Il me bascule sur le tapis de l’entrée. Allongé, son sexe monumental se dresse vers le plafond. C’est une belle queue, sombre et trapue, avec son énorme gland. Je l’effleure de mes doigts, de la langue. Je me recule un peu pour la regarder mieux. J’ai envie de cet engin. J’accepte d’en prendre soin, de la bichonner. Elle m’a trop fait plaisir toute la journée. Je glisse une de mes mains en dessous de la bite et empaume les couilles velues. Elles sont lourdes. Elles apparaissent grosses dans ma petite main, noires sur mes doigts clairs. Je suis d’humeur joyeuse et préviens Ahmed :



Ahmed prend la balle au bond et me rétorque :


­- Chère madame, si vous croyez qu’il le faut, n’hésitez pas, videz-les…


Alors, attirée par la bite chaude comme par un aimant, j’entreprends de la sucer. Je le suce lentement, consciencieusement, sans cesser de caresser doucement les couilles en dessous. J’ai peu pratiqué la fellation avec Jérôme. Pendant des années, mon mari rentrait de son travail à n’importe quelle heure, stressé et énervé. Il avait envie de faire l’amour. Il considérait que c’est le rôle d’une femme de satisfaire son homme quand il a envie. Mais il était très souvent incapable de bander, enfin de bander vraiment. Je devais sucer sa bite à moitié molle. Je me sentais humiliée de ne pas être assez désirable pour qu’il bande dur. Un beau jour, j’ai cessé de le faire. Nous nous sommes disputés, mais j’ai tenu bon. Jérôme ne m’avait plus demandé de le sucer. Cette nuit, tout est différent. Ahmed bande dur depuis longtemps.


Pendant le feu d’artifice, il s’est approché derrière moi. Son sexe gonflé s’est calé entre mes fesses. Je me sens belle et désirable. Après tout, je suis encore un joli petit lot et conserve de très bons restes. Je trouve normal qu’un homme ait envie de me sauter. Alors sucer cet énorme gourdin, c’est un vrai plaisir. Je ne le refuse pas, bien au contraire. Je commence à prendre l’engin dans sa bouche, à aller et venir autour de ce gland que je connais si bien. Ma langue va-et-vient autour de la queue. Je tente de l’engloutir entièrement, surprise et à la fois flattée de ne pas pouvoir. En effet, Ahmed devient de plus en plus gros. Sa queue durcit, saute dans ma bouche. Je ne m’en lasse pas et continue à tripoter les couilles dures, sans que ma bouche ne cesse son travail. C’est Ahmed qui jette l’éponge le premier :


­- Arrête, je vais partir…

­- Laisse-toi aller… Vide-toi dans ma bouche…


Je n’en reviens pas. Moi qui détestais le goût de la semence masculine, je la réclame, je la veux. Je veux que son sexe se vide sur ma langue, je veux connaître le goût d’Ahmed.


­- Non je veux ton sexe…

­- Tu es sûr…

­- Petite garce… Petite salope…


Je suis surprise par les propos d’Ahmed.


­- Je veux bien que tu te vides dans ma bouche, mais n’oublie pas ma condition sociale. Rappelle-toi que je suis mariée, que j’ai été élevée chez les bonnes sœurs et qu’une femme qui se respecte n’est pas censée se livrer à de telles horreurs ni se faire traiter de salope…


­- Excuse-moi…

­- Arrête, sinon je continue et je te vide les couilles, je te les assèche… en te pompant la bite.



Je lui dépose un bisou sur le bout de son gland accompagné d’une léchouille du méat…



Il n’attend plus que moi. Je me place à califourchon et guide le gland violacé au bord de ma grotte intime. Je me laisse descendre, centimètre après centimètre sur cette superbe queue noire. Ma chatte l’accueille et j’absorbe le mandrin en poussant de petits soupirs de plaisir.


­- C’est bon, très bon… Elle est bonne, ta queue, elle est dure et chaude…


Ahmed m’observe, les yeux mi-clos, me pétrissant les seins, me les caressant. Et il commence un lent et puissant mouvement de va-et-vient, je me cambre sur lui, il joue du bassin de plus en plus vite.


J’ai trop envie… Je pars… Je sens mon vagin qui serre le sexe d’Ahmed dans des contractions longues et puissantes. Je mouille tellement que je me répands sur ses cuisses.



Ahmed prend la direction des opérations. Il me bascule et de me retrouve à quatre pattes. Je sais ce qu’il désire et je ne suis pas contre, bien au contraire. Je lui tends mon petit cul et Ahmed ne se fait pas prier. Il pose son gland gonflé par toutes ces réjouissances sensuelles à l’entrée de ma fente. Il pénètre d’un coup et me ramone sans ménagement, tout en me caressant les fesses de ses larges mains. Quel pied ! Cela explose dans mon ventre. Tout le bas de mon corps est douloureux du plaisir qui monte. Je ne sais même plus ce que je dis. Je jouis sous son pilonnage. Puis il sort de ma fente et remonte plus haut vers mon anus. Il frotte son gros gland contre mon petit trou qui était vierge ce matin. Après avoir humidifié ma rondelle, il place à son entrée le bout de sa queue et pousse doucement…


­- Allez, ma petite bourgeoise, je vais te sodomiser en douceur… Je suis sûr que tu vas adorer, comme cette après-midi…


Sa queue pénètre peu à peu ma rondelle. Mon anneau musclé se détend. D’être les fesses en l’air, à la merci d’un énorme mandrin noir m’excite de plus en plus. Ses mains me tiennent fermement le gras des fesses. Je pousse en arrière mes fesses, dès que je sens mon anus qui se distend. Sa queue entre, s’installe, prend sa place, glisse doucement dans mon conduit anal. Je suis enculée, à quatre pattes, nue, avec juste mes bas auto-fixant et mes chaussures. Ahmed me propose :


­- Empale-toi, ma Marie adorée, empale ton beau petit cul sur ma queue…


Je tends mon cul. Son mandrin me perfore, défonce mon intimité… Brutalement, une sensation nouvelle me surprend. Ses couilles frappent sur mes fesses. Il est fiché aux tréfonds de moi. Le plaisir est tel que j’explose. Je crie de plaisir. Je le supplie de me prendre à fond, de me défoncer, de me pourfendre. Moi, la petite bourgeoise BCBG, je me conduis comme la dernière des traînées, comme une fille de mauvaise vie, comme une chienne. Ahmed commence son travail de sape. Il me pilonne, me pistonne. Il m’encule de toutes ses forces avec toute la vigueur de sa jeunesse et de sa force. Le fait d’enculer une blanche doit le stimuler.


À grands coups de reins, il m’empale. Il joue du pouvoir sexuel de sa queue. Une fois au fond de mon ventre, il ressort presque de mon anus dilaté, le gland est au bord de mon cratère, puis il repart au fond de mon boyau. Je l’encourage dans sa mission. Je ne cherche pas à retenir cette jouissance qui, une nouvelle fois, me terrasse. Je crie mon plaisir et ma jouissance déclenche celle d’Ahmed. Il se lâche et éjacule dans mon cul. Il grogne tel un fauve. Nous restons un grand moment allongés sur le tapis. Sa queue perd du volume lentement et je me vide du surplus de nos sécrétions. Nous reprenons nos esprits. Nous passons dans la salle de bains, parsemant sur le carrelage du couloir des tâches blanchâtres suspectes. Je demande à Ahmed de finir la nuit avec moi. Il accepte. Quelques minutes plus tard, propres d’une douche bien méritée, nous nous installons sous la couette et plongeons dans un sommeil réparateur. Il est 4 heures du matin. Je vais avoir une drôle de tête demain matin au travail.


Le lendemain, nous avons l’un et l’autre une tête de déterré… Pendant tout le reste de la semaine, nous vivons ensemble. Ahmed se conduit comme mon mari. Heureusement que nous habitons une maison perdue dans la campagne. Vendredi, Ahmed reçoit un fax. Il doit retourner d’urgence dans son pays. Cruelle soirée. Nous avons baisé toute la nuit. Au petit matin, un taxi l’a pris à la porte de la maison.





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Erotisme torride

Tendre Amour

Bon Scénario

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n° 13154Maguy12/02/09
Confessions d'une femme médecin
critères:   fh ffh hplusag fplusag jeunes couleurs copains collègues médical uniforme nympho grossexe groscul poilu(e)s plage campagne travail voir exhib hmast facial fellation anulingus préservati double sandwich fsodo hdanus échange partouze
26613 caractères      
Auteur : Maguy

Je m’appelle Marie-Claire et je ne vous dirai pas mon âge car c’est celui où l’on commence à le cacher. Je vous indiquerai simplement que j’ai un mari et deux enfants et que j’exerce la noble profession de médecin généraliste dans le quartier populaire d’une grande ville du sud de la France. Un boulot prenant qui ne laisse pas beaucoup de place au loisir et offre une vue plongeante sur les misères de la société. Les corps n’ont plus de secret pour moi : jeunes, vieux, beaux, laids mais presque toujours malades. Le fait de commercer en permanence avec la maladie (et la mort) impose un rapport différent avec le physique et le psychique. Je ne vais pas me lancer dans la psychologie de bazar mais disons que ça donne le goût de vivre et de jouir.


Dans ce contexte, le sexe a toujours constitué pour moi une part importante de mon existence. L’amour, je le réserve à l’homme de ma vie qui ne m’a jamais quittée malgré mon boulot de dingue et mon tempérament de feu. Il sera quasi absent de ce texte. Il y a en moi une version animale qui demande à s’exprimer en dehors de l’amour. J’ai eu assez tôt dans ma jeunesse la conscience que j’avais un besoin vital de sexe. C’était pendant mes études de médecine. Les carabins sont réputés pour être de chauds lapins et je confirme. Dès la première année d’études, une soirée un peu arrosée dans l’appartement d’un copain dégénéra en partouze et je m’aperçus que j’aimais être prise par un, deux, trois hommes à la suite, voire deux à la fois. Une révélation. Très vite, ma réputation fut faite : j’étais une femme à hommes. Une baiseuse. Une chaude du vestibule, cette partie du sexe féminin que connaissent les gynécos. Certains disaient même une nympho, ce que je trouve très exagéré. On peut aimer baiser sans être une salope, non ? On comprendra donc pourquoi je ne me suis pas mariée avec un médecin, mais avec un homme simple et vrai, d’une condition sociale inférieure à la mienne, éloigné du monde médical, ignorant tout de mon passé un peu tumultueux. Ou faisant mine de.


Bien que très attachée à lui, je lui ai vite été infidèle, mais seulement physiquement. L’inconvénient d’être très occupée par mon boulot me fournit en contrepartie des opportunités de galipettes ici ou là. En médecine généraliste, on ne voit pas que des femmes enceintes, des vieux anémiés ou des gosses enrhumés. Il arrive qu’un homme, jeune et bien fait, franchisse la porte du cabinet pour une affection mineure, notamment des sportifs. J’avoue être sensible aux corps minces, aux ventres plats, aux jambes longues. Et surtout aux slips bien remplis, derrière comme devant…


Je me souviens d’un jeune athlète venu passer une visite médicale de formalité pour obtenir sa licence et dont les parties génitales copieuses débordaient littéralement du léger coton. Il avait l’air coquin et dégagé du gars qui connaît le succès auprès des femmes, et j’y fus aussitôt sensible. Après l’avoir ausculté sans doute d’un peu trop près, je ne résistai pas à un trait d’esprit en désignant son entrejambe :



Le gars était bien du genre spirituel.



Je me marrai franchement mais le jeune homme me prit la main et me la mit carrément sous son scrotum. Je suis incapable de résister à une belle paire de couilles et ma main s’attarda sur le petit sac de chair. Bien entendu, le mec se mit à bander. Sans réfléchir, dans le feu de l’instant, je laissai ma bouche envelopper son gland, dense et brûlant, et entrepris une fellation d’autant plus frénétique qu’elle était totalement imprévue. Au bout de quelques minutes, après m’être longuement intéressée à son méat, le pénis se mit à palpiter et je reçus une énorme giclée qui fouetta ma glotte, déborda sur mes joues et coula sur mon menton. Je m’essuyai avec le rouleau de papier recouvrant la table d’examen et lâchai :



Inutile de vous dire que le jeune type reçut l’avis favorable pour la licence. L’objectivité m’oblige à préciser qu’il revint le lendemain à un horaire creux et que, cette fois, c’est moi qui fus nue sur la table d’examen pendant que le gaillard me pilonnait avec une ardeur qui m’enthousiasma. Craignant pour la durabilité de ma table chèrement acquise, nous poursuivîmes nos échanges à même le sol. Je m’imposai de mon plein gré une séance de pal en position accroupie qui mit la résistance de mes cuisses de skieuse à l’épreuve mais me permit une pénétration vertigineuse. Comme quoi le ski a du bon. L’heure des rendez-vous sérieux approchant, je fus toutefois dans l’obligation de prendre mon pied, le garçon ayant rempli son latex avec des grognements de satisfaction.


Deux jours après, je recevais une visite d’un copain de la même équipe. J’ai tout de suite vu le piège où je risquais de m’enfoncer : le gars repartit avec son certificat médical, mais sans pipe. Je m’efforçai dès lors d’éviter les parties de jambes en l’air à mon cabinet, sans toutefois y parvenir à tous les coups.


Avant de poursuivre, je dois vous préciser que celle qui vous écrit n’a rien d’une beauté de magazine. Je suis grande (1,78m) et charpentée (74 kg), avec de solides cuissots forgés par une pratique hivernale et estivale de la montagne en compagnie de mon mari. Mes hanches sont larges et accueillantes aux étroits bassins masculins. Mes fesses charnues appellent la main de l’homme, qui les palpe et les écarte volontiers. Si mon visage aux forts maxillaires peut paraître un peu joufflu, je suis assez fière de mes seins, larges et lourds, que mes amants adorent empaumer. Mais je m’efforce de les dissimuler derrière de vastes chandails qui effacent également la rondeur de mes fesses. On ne rencontre pas toujours la fine fleur de la société dans un cabinet médical et mieux vaut éviter les tentations de viol. Cela s’est vu. Néanmoins, je crois pouvoir dire que j’ai un regard, une voix… un style, quoi, qui plaît aux hommes. Et quand ils me plaisent, je sais le leur montrer… et les convaincre. Pour dire les choses vulgairement, comme un carabin, je leur mets cérébralement la main aux couilles. Et parfois plus que cérébralement.


Je discerne assez vite ceux que j’appelle les « bons coups ». Lesquels, d’ailleurs, ont vite fait de débusquer en moi la femelle bienveillante derrière le médecin généraliste. Mon léger toucher en a électrisé plus d’un. Encore faut-il nouer connaissance de manière plus approfondie. Mon expérience de la gent masculine m’a appris à la diviser en deux grandes catégories : celle qui, en érection, a la pine droite, et celle qui l’a légèrement incurvée. Je n’ai pas réellement de préférence, même si je me dis parfois qu’une forme courbe va chercher des zones plus secrètes et plus jouissives de mon intimité.


Quand la connivence s’est installée, il n’est pas très difficile à un médecin motorisé de croiser la route d’un monsieur motivé en rase campagne. Pour tout vous dire, j’adore baiser en pleine nature, du moins quand il fait beau, et je traîne toujours avec moi une espèce de tapis qui est comme ma relique à plaisir. Si mon partenaire y met suffisamment de conviction, j’exprime volontiers verbalement tout ce qui me passe par la tête au risque de faire rougir les arbres.


Parmi mes expériences érotiques, beaucoup se sont produites au domicile de mes malades… ou supposés tels. Je me souviens notamment d’un couple d’âge mûr qui m’avait appelée en urgence pour la femme. Quelle ne fut pas ma surprise de la trouver chez elle vêtue de cuir alors que son mari, entièrement nu, me tendait un martinet, m’expliquant qu’il adorerait me voir fouetter son épouse. Je dus lui expliquer avec ménagement que cette thérapeutique n’était pas reconnue par le serment d’Hippocrate. Plus émouvante fut la requête d’une mère qui réclama mes services pour son enfant handicapé mental, âgé d’une vingtaine d’années. Expliquant combien son fils se montrait frustré de ne pouvoir assouvir ses pulsions sexuelles, elle me demanda de le masturber. Après lui avoir expliqué qu’il n’était pas nécessaire d’avoir fait sept années d’études pour cet exercice dans les cordes d’une certaine catégorie de professionnelles, son désespoir me fit craquer et le jeune homme eut droit à une branlette de doctoresse. Un cas unique, je m’empresse de le préciser.


En revanche, je dois reconnaître que j’ai rendu parfois visite à un monsieur pour d’autres raisons que médicales. Il faut dire qu’il possédait un art consommé du cunnilingus. Le jeu consistait à ce que je m’installe sur la table de sa cuisine, délestée de mon pantalon, de mon slip, de mes chaussettes et de mes chaussures, mais en gardant le haut. Mon hôte, assis sur la chaise, déjeunait de ma vulve, nullement rebuté par une toison brune et luxuriante. J’ai toujours été très sensible à une langue bien placée et cet homme-là (que je retrouve encore parfois pour cet exercice spécifique, quand je suis dans le besoin) avait le don de trouver l’endroit précis où mes terminaisons nerveuses étaient les plus sensibles. Ce qui est remarquable, c’est qu’il ne m’a jamais pénétrée, comme si son pénis, c’était sa langue.


Cependant, j’ai quand même besoin de temps à autre d’être fouillée par autre chose qu’un petit bout de chair rose. Pour ce faire, j’ai une adresse régulière : un cabinet d’infirmiers avec lequel je ne suis pas qu’en relations professionnelles. Il est tenu par deux gars qui, tout comme moi, ont besoin de temps à autre d’oublier la misère humaine dont ils font commerce. La première fois que j’entrai en contact avec l’un d’eux, je sus d’emblée que j’allais bientôt l’avoir entre les cuisses. J’avais reconnu en lui le queutard et lui avait décelé en moi la baiseuse. Le lendemain de notre première rencontre, en début d’après-midi, à l’heure creuse des infirmiers, j’étais pliée en deux sous lui, les talons sur ses clavicules, ses grosses couilles battant mes grosses fesses, son chibre épais fouillant mon vagin comme une tête chercheuse. Une véritable et solide histoire de cul médicale commençait.


Elle connut un nouvel épisode quelque temps plus tard quand, notre rapport s’étant développé plus que de coutume ce jour-là, il fut provisoirement interrompu par l’entrée du collègue de l’infirmier en question, venu chercher sa trousse. Comme je connaissais fort bien l’intrus, une certaine gêne se fit jour mais mon partenaire eut le talent de la dissiper très vite en invitant son collègue à se déshabiller et nous rejoindre, ce qu’il accepta sans rechigner. J’eus alors droit, entre autres friandises, à une double pénétration remarquable qui me ramena au temps de mes soirées d’étudiantes, quand je passais pour une spécialiste de cette figure acrobatique. On rajeunit comme on peut. J’ajoute que cet infirmier se sentirait déchoir si une de nos parties de baise devait se dérouler sans sodomie, son péché mignon. Je ne sors jamais de son cabinet sans sentir un peu la vaseline, dont il possède des stocks impressionnants.


Mais je manquerais à tous mes devoirs de confession si je ne mentionnais pas mon meilleur amant le pompier. Pas n’importe quel pompier : un capitaine. Oui, je sais, ça fait un peu cliché tout ça mais sachez, mesdames qui me lisez, que les pompiers sont parmi les hommes en uniforme les plus portés sur la chose que je connaisse, et j’en connais un rayon. J’ai fait la connaissance de mon capitaine sur un incendie nocturne où j’avais été appelée en urgence pour suppléer à une défaillance provisoire du SAMU, un vieux monsieur étant salement intoxiqué dans son taudis. C’était l’été, je m’étais habillée à la hâte, j’avais enfilé un pantalon vite fait et revêtu un chemisier à même la peau, boutonné à la diable. Même la nuit, aucun homme ne pouvait ignorer mes deux obus en liberté sous le tissu. Le capitaine me regardait d’un drôle d’air sous son casque. Je vis tout de suite que je l’avais ému pendant que je posais le masque à oxygène sur le vieux monsieur, mes seins tout près de s’échapper par l’ouverture du corsage. De l’oxygène, c’est lui qui en aurait eu besoin, ma parole !


Le lendemain, il m’appelait au téléphone pour je ne sais trop quel prétexte officiel. En fait, il voulait me revoir et je savais bien pourquoi. Rendez-vous fut pris à mon cabinet entre deux malades. Je vois encore la tête des bonnes femmes dans la salle d’attente, lorsqu’elles virent débouler cet homme majestueux en grand uniforme et képi. Moi-même, j’étais assez intimidée au début. Pour débloquer la situation, j’offris au capitaine de lui prendre sa tension, comme ça il ne serait pas venu pour rien. Il ôta sa veste et sa chemise, dévoilant un torse velu et grisonnant. Je commençais à devenir fébrile et faillis manquer son bras avec le stéthoscope. J’avais à peine commencé à presser la poire qu’il m’attrapa par les épaules et me roula une pelle comme je n’en avais pas eue depuis le lycée. Je lâchai tout et lui rendit la pareille dans un état second pendant qu’il me pétrissait les seins à travers mon soutien-gorge. Je me retrouvai sous lui sur ma table d’examen, une nouvelle fois mise à rude épreuve et voulus me dégager dans un éclair de lucidité. Mais il était super costaud et je le sentais durcir. Moi-même, je devins toute molle et me surpris, dans un curieux réflexe, à écarter les jambes alors que j’étais encore en pantalon.


Ce fut le signal. Sans un mot, il se leva, se débarrassa de son uniforme, libérant un phallus digne de l’antique cependant que je me débattais avec mon jean et envoyais chemisier et soutien-gorge sur mon ordinateur. Mais pompier ou pas, je fouillai mon tiroir pour sortir une capote à peu près adaptée à son format. Maintenant qu’il était arrivé à ses fins, il n’était pas pressé. Il me fit languir en me léchant du front aux orteils, suçotant ici, mâchouillant là. Je ruisselais de désir sur le papier de ma table, me demandant quand il allait enfin soulager mon bas-ventre de ses contractions. Quand enfin il me pénétra, je miaulai, en me fichant complètement de ma salle d’attente. Heureusement que mon cabinet est bien insonorisé ! En appui sur les montants, il cognait littéralement ma vulve de son pieu, m’arrachant de petits cris de joie dans cette position dite du missionnaire qui n’est pourtant pas celle que je préfère. Mon doigt fouisseur lui massait la prostate, ce qui le rendit fou. Il me besogna ainsi pendant un quart d’heure avant de s’effondrer, en nage, sur mon corps également ruisselant de sueur. Et dire que je n’avais pas de douche dans mon cabinet ! Pas très hygiénique, tout ça…


À lire ce qui suit, on pourrait déduire que je me suis surtout polarisée sexuellement sur le corps médical, ou proche de celui-ci. De même pourrait-on croire que je néglige sexuellement mon époux, ce qui n’est pas vrai non plus. Les vacances restent un moment privilégié de notre couple, sur tous les plans. Mais puisque j’ai fait vœu de sincérité dans cet écrit, je dois admettre une infidélité estivale survenue il y a quelques années dans une station balnéaire de l’Atlantique. Les circonstances, il est vrai, étaient particulières. Alors que nous étions sur la plage en famille, un incident survint au large. Un baigneur s’était aventuré trop loin et avait bu une grosse tasse avant d’être récupéré par les CRS. N’écoutant que mon devoir de médecin, je m’étais précipitée pour porter secours au malheureux et aider le tandem de maîtres nageurs sauveteurs.


Dans ma hâte, j’avais simplement oublié un détail : je ne portais qu’un minuscule slip de bain spécial bronzage dissimulant à peine mon pubis et deux tiers de la raie des fesses. J’avais les nichons à l’air pendant que je maniais la bouteille d’oxygène, ce dont je ne m’aperçus qu’en interceptant le regard troublé des deux CRS. Heureusement, le bonhomme ventripotent sauvé des eaux revint à lui et fut transporté par les pompiers qui, entre temps, étaient arrivés. N’empêche : j’avais tapé dans l’œil des deux costauds, qui m’invitèrent le lendemain à boire un coup dans leur cahute. Je dois dire d’emblée que je demandai à mon mari de m’accompagner mais il refusa, n’ayant pas de prédilection pour la police nationale, même en maillot de bain et tee shirt.


Je m’y rendis donc, cette fois en tenue décente et on sympathisa. L’un des deux était vraiment beau mec. Je n’étais pas insensible à son regard mâle et ses pectoraux saillants. N’étant pas sexuellement en manque (mon mari assure très bien l’été, merci), je n’éprouvai pas le besoin d’approfondir le sujet. Je commis toutefois l’erreur de revenir dans la cahute deux ou trois jours plus tard, sans y avoir été invitée. J’avais remarqué que le CRS de permanence sur la chaise n’était pas l’un de mes deux potes, qui devaient donc être à l’abri en train de siroter une bière. J’entrai presque sans frapper, non sans avoir entendu au préalable un bruit bizarre, ou plutôt des voix, et même une voix de femme. Le spectacle me cloua sur place : l’un des deux CRS besognait une Anglaise à peau rose sur la couchette devant mon pote et un autre type qui se masturbaient en regardant le couple. Si je précise que la femme était Anglaise, c’est parce qu’elle répétait « fuck me, yeah, fuck me hard, don’t stop please » pendant que son partenaire la régalait de ses coups de queue.


Le spectacle de cette bite tendue entrant et sortant de ce vagin ruisselant me mit aussitôt en émoi et mon CRS (celui qui se branlait) s’en aperçut, le salaud. En moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire, mon bikini voltigea et je fus allongée sur la table pour un cunni royal, en dépit de mes vives protestations. Elles auraient évidemment été plus convaincantes si je n’avais pas écarté largement les cuisses et agrippé la nuque de mon lécheur, comme pour l’inciter à poursuivre. Celui que je supposai être le mari de l’Anglaise m’offrit sa bite à sucer et dans l’état où j’étais, il ne risquait pas de se voir opposer un refus. Bref, je fus pénétrée, forée, fouillée, fouaillée par la police montée, et même bien montée. Le gars m’avoua qu’il en avait eu envie dès le premier jour après qu’il eut joui sur mon ventre et le mari de l’Anglaise idem sur mes seins. Je quittai la cahute la tête à l’envers et le cul en feu. La mer bienfaitrice me permit de retrouver une contenance avant de retrouver mon homme sur la natte familiale. Mais je vous l’avoue, ce jour-là, je ne fus pas très fière de moi. N’empêche que j’avais joui. L’Anglaise passa devant nous avec son mari et nous adressa un petit « hello » coquin, que mon mari ne comprit pas, heureusement. Elle me parut tout à coup assez mal fichue avec son gros cul et ses petits seins. Franchement, je suis mieux.


Une année sur deux, je me rends à un congrès de médecine de ville. On sait ce que valent les congrès. C’est pour la plupart l’occasion de faire la fête sans être embarrassé par leur conjoint. Pour certains, c’est aussi l’opportunité de bonnes parties de cul en toute impunité et sans lendemain. Je peux vous dire que le viagra pour les messieurs et les hormones lubrifiantes pour les dames ne connaissent pas un usage restreint, d’autant que les prescriptions sont inutiles avec tout ce que nous donnent les labos. Avec ma collègue Arlette, divorcée et totalement libre, nous prenons toujours une chambre double (obligatoire) ensemble. Nous passons l’essentiel de la première des trois journées à chasser le mâle. De préférence jeune et fraîchement issu de l’internat. Et s’il est mince et musclé, c’est le rêve. Les autres, ceux qui nous connaissent déjà, et qui se sont arrondis avec le temps, on leur fait la bise, c’est tout. On se les garde en cas de pénurie.


Mais c’est bien le diable si dès le premier soir, l’une de nous deux n’amène pas un mec potable dans la chambre. Quand il est seul, on se le passe et on lui file du viagra pour qu’il puisse assurer, s’il se sent un peu juste. À deux contre deux, c’est beaucoup plus jouissif. Arlette est une petite bonne femme rondelette avec un bagout incroyable et un cul monté sur roulements à billes. Baiser à côté d’elle, l’entendre couiner et déblatérer des mots crus, c’est un supplément d’excitation. Elle a une curieuse façon de jouir, en jappant comme une petite chienne ("aw ! aw ! aw !"). Mais le type a intérêt à être à la hauteur, sinon elle le met minable.


On a étudié des petites scénographies avec nos amants. Par exemple, on se place côte à côte sur un des deux plumards et on invite ces messieurs à nous posséder ensemble en levrette. On regarde nos nichons ballotter entre nos bras, et on se marre en prenant notre pied. Ou mieux encore, on se met face à face pour lire le plaisir dans nos yeux et voir nos mecs se dépouiller pour nous faire jouir, du moins quand ils y arrivent car il y a des déceptions. Il arrive qu’une de nos conquêtes refuse la partie à quatre mais c’est rare. En général, ces messieurs sont trop contents de sortir du ron-ron des rapports conjugaux, qui plus est avec des collègues, ce qui les excite encore plus. Arlette étant une fan de la double pénétration, c’est devenu un passage obligé dans notre chambre et je m’y plie moi-même sans rechigner, bien que préférant la sodomie classique. Quand on revient du congrès, on a le cul endolori et les yeux cernés, on n’a pas appris grand-chose de médical mais on a pris du bon temps et on peut attaquer la semaine avec le moral. C’est sans doute l’essentiel.


Je me souviens particulièrement d’un congrès dans la région lyonnaise où j’avais levé dès le premier jour un jeune et splendide confrère de Fort de France qui m’avait paru intéressé par mon décolleté plongeant mis spécialement pour la circonstance. Dans ces cas-là, pas besoin de se parler longtemps, entre adultes consentants on se comprend très vite. Il s’agissait de griller ma copine Arlette car je n’avais pas trop envie de partager ce morceau de reine. Le chocolat au lait m’a toujours inspirée. Justement, Arlette se trouvait coincée par un atelier toute la soirée et j’emmenai mon Martiniquais dans ma chambre après le café. À poil, ce mec était sculptural, noueux comme une corde, une vraie aubaine pour une femme comme moi qui ne suis plus vraiment une jeune fille.


Nous étions en train de faire connaissance par un 69 particulièrement appliqué quand la porte s’ouvrit et Arlette surgit. Elle avait eu vent par une collègue (la garce) de notre escapade et m’engueula fortement pour avoir joué perso, tout en se mettant elle-même à poil, histoire de se présenter à ma conquête dans les meilleures dispositions. J’intimai l’ordre à Marius (c’était son prénom) de poursuivre l’exploration de mon intimité et de ne pas s’occuper du reste pendant qu’allongée sous lui, j’embouchais son gland dodu. Et voilà qu’Arlette se mit à lui bécoter les fesses (il est vrai ravissantes), à les écarter et à lui loger la langue dans l’anus, profondément, comme un sexe. On ne lui avait jamais fait un truc pareil, à Marius, surtout aussi vite, et il en oublia ma chatte pour s’intéresser à cette femelle en chaleur, aux courbes italiennes. Arlette lui saisit la queue et là, je compris que j’étais mal barrée. Elle a en effet une manière très particulière de sucer, ou plutôt d’emboucher, engloutissant le pénis comme une avaleuse de sabre, jusqu’aux couilles, et sans vomir. Pas un mâle ne résiste à un exploit pareil. Je dus la bousculer pour avoir ma part de gâteau et m’empaler sur le chibre somptueux en cherchant les bourses derrière mon dos pour les flatter, pendant qu’elle même chevauchait sa bouche. Je ne voyais même pas mon partenaire, totalement masqué par ma copine. Le lit n’était que bruits de succion, de clapotis et de gorge.


Mais je pris ma revanche en sortant mon grand numéro de danseuse tahitienne. Je dispose en effet d’une souplesse de hanches qui me permet des circonvolutions croupières auxquelles aucun homme ne résiste. Expulsée par celui qui voulait profiter visuellement de mon mouvement perpétuel, Arlette contre-attaqua en lui offrant son anus et je vis à nouveau le gland luisant quitter mon intimité pour les profondeurs abyssales du postérieur de mon affamée collègue. Ce petit jeu de concurrence dura une bonne partie de la nuit, insatiables que nous étions toutes les deux. Le médicament qui fait bander vint à notre secours et au petit jour, le pauvre Marius avait le méat et le prépuce rouge vif. Il partit dormir dans sa chambre mais il était tellement crevé qu’il en rata l’avion du retour. Quant à nous, on a séché la dernière matinée en restant dormir dans notre chambre.


J’ai l’air de m’amuser mais en ce moment, je ne fais pas très bonne figure. Il y a quelques semaines, en descendant un escalier après une visite, j’ai trébuché et en voulant me rattraper, je me suis fracturé la clavicule. Le coup dur pour un toubib, obligé de se trouver une remplaçante, et à fréquenter le kiné pour la rééducation. Alors, j’ai du temps pour écrire. Pour baiser, c’est plus compliqué, mais on y arrive. Vous allez dire que je suis incorrigible mais j’ai un jeune kiné tout mignon qui s’occupe de moi dans la thalasso que je fréquente. Dans la rééducation, il est prévu divers trucs pas agréables mais ce que je préfère, c’est le gros jet qui vous masse des pieds à la tête avec un flot d’eau salée. Au début, c’étaient des filles qui me massaient. Puis un jour, mon petit kiné s’est occupé de moi. De sentir son jet sur le creux de mes reins, sur la raie de mes fesses, entre mes seins et sur mon ventre m’a procuré une émotion érotique, comme si c’était son sperme qui m’arrosait. Il a fini par s’en apercevoir. Il est vrai que j’ondulais et me masturbais pendant qu’il m’inondait le dos. Quand il a fermé sa lance, je me suis avancée tranquillement vers lui, toute mouillée et me suis collée contre sa blouse comme une sangsue en l’embrassant sur la bouche. De la folie furieuse. Mais il m’a rendu mon baiser et je lui ai tâté les parties, histoire de voir à qui j’avais affaire. Il était mûr.


Quelques minutes plus tard, nous étions nus dans ma chambre en train de nous flairer comme des animaux puis je le chevauchai avec ardeur, position qui me faisait le moins mal au dos. Il faut reconnaître qu’il avait une capacité étonnante à me faire sauter en l’air avec sa queue et ses reins. On aurait dit un marteau-piqueur inversé. J’oserai dire un marteau-niqueur. Mais il était quand même encore un peu limité en inventivité et maman a dû lui apprendre des choses. Par exemple, à me mettre un doigt dans l’anus tout en me baisant. Au début, il n’a pas compris et j’ai dû lui expliquer que j’adorais ça. Je peux vous dire qu’en ce moment, il prend des cours intensifs et il sortira de mon séjour plus averti qu’avant. Au fond, pour l’éducation sexuelle, rien ne vaut un médecin.








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Erotisme torride

Tendre Amour

Bon Scénario

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