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n° 09331Carpe Diem Diemque25/06/05
Dunes
critères:  fh inconnu grossexe vacances plage volupté fsoumise hdomine voir exhib cunnilingu pénétratio
18436 caractères      
Auteur : Patrik

En ce milieu d’après-midi, il commençait à y avoir un peu trop de monde sur la dune que j’avais choisie pour parfaire mon bronzage. Trop d’enfants qui jouaient à la balle en m’aspergeant de sable. Sans compter les bonhommes qui me reluquaient du coin de l’œil. Je ne suis pas un top model mais je ne suis pas trop mal faite sauf que je trouve mes seins rikiki. J’ai une vague ressemblance avec celle qui joue la bonne fée dans le destin fabuleux de je ne sais plus qui, "Tatum", un nom comme ça, film que je n’ai jamais vu, mais à force qu’on me le dise, j’ai fini par y croire.


Je décide alors d’aller voir ailleurs si j’y suis. Il faut dire qu’avec mon string foncé pour tout vêtement, de loin je dois donner l’impression d’être une naturiste ! Donc, je remballe, au grand dépit des mâles du coin, en remettant mon haut de bikini. Enfin, si on peut appeler comme ça, deux triangles miniatures et la ficelle qui va avec. C’est vrai que je n’ai pas grand-chose à couvrir mais j’ai la nette impression que sur une fille qui ferait du 90B, ça cacherait tout juste les aréoles, et encore !


Je place mon sac en bandoulière et je m’enfonce dans les multiples chemins de sable qui parcourent la végétation des dunes. À certains endroits le chemin se transforme en tunnel végétal et il faut ramper pour éviter les ronces et autres épines. Maintenant je suis loin du commun des mortels. Je débouche sur une clairière pas terrible.


Avisant un tunnel sur ma droite, je décide de voir jusqu’où il va. Trente mètres plus loin, j’arrive dans une belle crique abritée de tout regard, au sable légèrement rosé. Pas mal ! Je tourne la tête pour inspecter les lieux. Pas mal, non plus ! Un brun ténébreux tout nu bronze, fesses à l’air. Il a un beau petit cul très tentant comme je les aime.


Comme le paysage que j’ai sous les yeux est splendide, je décide de m’installer non loin du jeune homme qui ne bouge toujours pas, visiblement assoupi. J’étends ma serviette de plage, tout en l’observant du coin de l’œil.


Son visage est dissimulé sous une épaisse chevelure sombre qui lui tombe le long du cou. Après un regard circulaire, je détache le haut de mon bikini puis, quelque peu intimidée, je me décide à retirer aussi le bas. Je me dis qu’il serait bon que je profite de l’intimité de cette crique de sable pour obtenir un bronzage intégral. Comme mon corps est plutôt laiteux, il n’y aura pas de démarcations prononcées. Je me félicite de cette bonne idée d’avoir voulu chercher un endroit plus tranquille. De plus, avec ce corps d’Adonis superbement offert à mon seul regard, je suis vraiment gâtée aujourd’hui !


La crème mise, le soleil réchauffe ma peau nue tandis qu’une brise d’été me caresse divinement. J’en ai des frissons partout, mes tétons roses et tendres se durcissent de plaisir. C’est comme si de doux doigts invisibles effleuraient délicatement mon corps qui dore. Avec délice, je m’allonge sur ma serviette pour m’offrir totalement aux chauds rayons.



Contrairement au bel inconnu non loin de moi, je suis allongée sur le dos et j’offre sans pudeur le spectacle de mon entière nudité aux éventuels voyeurs qui pourraient passer par ici. Mais ceux-là, je m’en fiche royalement ! De toute façon, là où je suis, pas de risque ! Par contre, la seule pensée que mon si proche voisin pourrait poser les yeux sur moi commence drôlement à m’exciter !


Mais, à première vue, mon ténébreux doit être complètement assoupi. S’il se réveille, comme je suis dans son axe visuel, il devrait avoir une agréable surprise. Enfin, je l’espère !


Là-haut, le soleil brille derrière mes lunettes foncées, ses caresses me plongent peu à peu dans une lourde torpeur, ma respiration s’apaise lentement, je sens que je m’enfonce dans une douce somnolence, bercée par la brise légère. Je jette un dernier coup d’œil sur mon voisin, je comprends maintenant pourquoi il est dans les bras de Morphée…


J’y sombre à mon tour.


Je fais ce rêve étrange et pénétrant d’un homme que j’aime et qui m’aime… Non, ça, ce n’est pas de moi, cette phrase. Je ne sais plus quel poète a écrit ça mais j’aime bien. Un rêve étrange et pénétrant… Vous m’en direz tant !


Cette brise légère souffle sur ma peau, entre mes seins, tournoie autour de mes tétons chauds et dressés. Son souffle rafraîchissant glisse sur mon ventre, s’engouffre dans ma fine toison comme de fins doigts qui veulent s’en amuser, caresse mes jambes des cuisses aux orteils. C’est si divinement bon que je m’étire d’aise comme une chatte heureuse.


Le zéphyr continue sa course vagabonde sur les moindres paysages de mon corps laiteux, entre mes cheveux, le long de mon cou, sur mon visage, sur mes paupières closes. La brise contourne à nouveau mes petits seins, les enrobant de fraîcheur et de chaleur, je sens mes tétons vibrer imperceptiblement sous son frôlement. Puis, un alizé plus téméraire et audacieux s’engouffre résolument dans mon bosquet, mes boucles fléchissent au gré de ses multiples ramifications, frôlant mes lèvres intimes, s’immisçant dans ma fente légèrement humide. Un doux frisson me fait vibrer de la tête aux pieds.


C’est si réel que j’en ouvre les yeux et…


Eh !? Je rêve ou quoi ??


Ce que je vois est absolument incroyable : l’inconnu est en train de me lécher la chatte avec une ardeur folle !!


Déjà, je suis trop déboussolée pour protester, sa langue me mettant dans un état de douce torpeur. Sous ses assauts, mon corps se soulève, se tend, s’arque, ondule d’une manière irrépressible. Le beau brun, dont le visage est plongé dans les replis intimes de ma chair, a réussi un extraordinaire tour de magie : il me contrôle corps et âme, au gré de ses foudroyantes caresses. Je ferme les yeux. Je mordille ma lèvre inférieure, ma gorge a déjà peine à contenir le flot de gémissements qui accompagne chacune des vagues de plaisir qui m’irradient des cheveux jusqu’aux orteils.


Lorsque mes yeux s’entrouvrent légèrement, je peux apercevoir, entre mes cils, ses doigts bronzés torturer la pointe durcie de mes seins. Le contraste de nos peaux est saisissant, la mienne est d’une blancheur d’albâtre, la sienne est sombre. Il me rend complètement folle, cet homme !


N’y tenant plus, je m’empare de sa main libre pour la guider vers mon clitoris prêt à exploser. Elle s’en accapare alors sans pitié, le pinçant ou le frottant doucement pour accélérer mon escalade vers l’extase. Je suis tellement excitée que je sens ma cyprine couler entre mes fesses ! Il a vraiment le don, lui, avec les femmes… Il y avait longtemps que je n’avais pas eu un tel amant. Un parfait inconnu en plus !


Ça y est, je jouis !! C’est si fort, si puissant que je pousse un râle guttural, d’une telle bestialité que j’en suis toute surprise. Gênée, à court de souffle, je me redresse lentement pour admirer mon tout nouvel amant dont le visage est encore camouflé entre mes cuisses. Quant à moi, j’ai le visage en feu de l’orgasme qui m’a terrassée, mais aussi de la honte de m’être ainsi livrée sans protester. Je suis cramoisie, toute tremblante.


Il lève alors la tête vers moi, je sens d’ici que mon amant de passage va être amusé par mon expression de désarroi. J’ouvre la bouche, haletante, je suis à deux doigts de bêtement me présenter, mieux vaut tard que jamais comme on dit ! Je me retiens à temps. Il se redresse et oh… ce que je vois me stupéfie !


Mon beau brun a des yeux d’un vert émeraude qui rejaillissent de façon hallucinante sur sa peau bronzée. Étrangement, il a une petite mèche blanche, idem pour ses tempes légèrement grisonnantes. Autour de ses lèvres, une barbichette laiteuse augmente son air viril. Mon beau jeune homme est en réalité un beau grand mâle mûr dans la force de l’âge, de presque deux mètres et visiblement doté d’une sacrée expérience du corps des femmes !


Mais ce qui me surprend le plus est de voir son sexe d’acier émergeant d’un buisson blanc. Le contraste est phénoménal ! Une tige dantesque, bien armée, partie pour perforer toutes les chattes de la terre. Ce n’est pas qu’elle soit surdimensionnée mais elle est diablement vaillante, d’une courbe parfaite, bien moulée, irréprochable : un délice pour femme.


Je réalise que sa musculature est en rapport. Quelques vagues poils blancs sur son torse magnifient encore plus ses pectoraux. Si ce type avait une barbe plus fournie, j’aurais vraiment cru qu’il était la réincarnation de Zeus sur terre. Il a quelque chose de hors norme, de divin.

Mes yeux ne pouvant se détacher de son corps, mon désarroi est plus grand encore, ce type n’est pas pour moi, il est impossible qu’il ait bien daigné s’occuper de moi, et pourtant il me tend la main en me souriant. Je sens que mes jambes vont me lâcher ou que je dois m’enfuir à toute vitesse : mon instinct hurle dans ma tête qu’il y a un danger immédiat à rester près de lui.


La gorge nouée, je secoue la tête pour me ressaisir. Je dois fuir, et vite. Il y a chez lui quelque chose de magnétique qui m’envoûte dangereusement. Je dois décamper avant qu’il ne me retienne de force par un seul regard.



Péniblement, j’ai réussi à me relever et à m’enrouler dans ma serviette sous son regard magnétique. Tout mon corps est parcouru de soubresauts incontrôlables. Je ramasse mon sac de plage et je suis sur le point de tourner les talons quand je vois cet homme mûr me saisir l’avant-bras. Son contact électrique n’est aucunement brutal, mais d’une fermeté qui ne me permet pas de me défiler. Un faible cri s’étrangle dans ma gorge.


Il sourit, tout simplement, sûr de lui.


J’ai envie de me rebeller, de lui signifier que je n’ai pas d’ordre à recevoir d’un inconnu… Mais, devant cette poigne d’acier, je ne sais comment me dérober. Il me regarde toujours avec une telle intensité, un regard…farouche… mais rempli, non de bestialité, mais de sauvage puissance. Des yeux tout simplement hypnotiques qui me commandent de ne pas résister, de me soumettre à sa volonté de mâle dominant.


Son regard est insoutenable, alors je baisse imperceptiblement les yeux. Malgré la trouille qui m’envahit, je ne peux m’empêcher d’admirer son torse puissant contre lequel j’adorerais m’endormir. Je rougis à cette idée. Un ventre parfait, pas trop de tablettes de chocolat, ce type a une anatomie parfaite, sans verser dans le culturisme. Plus bas, son sexe amorce son repos, je regarde, fascinée, cette tige puissante s’amollir tout en douceur et souplesse.


Le feu aux joues, je détourne la tête : dans quelle situation me suis-je fourrée ? C’est alors que je constate une chose étrange, on dirait que la nuit arrive déjà. C’est impossible, je n’ai quand même pas dormi autant ? Il faudrait que je regarde l’heure sur mon téléphone portable qui est dans mon sac, mais je suis comme pétrifiée à ses côtés, on dirait que, seul, mon cerveau a un semblant d’indépendance.


Je réalise qu’il est toujours nu. Dans le crépuscule naissant, il ressemble à ces statues grecques que j’ai maintes fois vues dans les musées que je fréquente régulièrement, puisque j’ai fait "Lettres Classiques" option "Antiquité". J’aime lire un texte d’époque sous la colonne d’un temple ou face à une statue. Comme je n’ai pas toujours les moyens d’aller en Grèce ou dans le sud de l’Italie, je me contente de prendre un abonnement dans les musées.

Mais là, je ne suis plus dans un musée et ce n’est plus une statue qui est face à moi dans toute son éclatante et sculpturale nudité. Je m’aperçois que, même au repos, son engin est… attractif…


Il s’approche de moi, m’attire en même temps à lui. Dieu ! que je me sens si petite à ses côtés ! Je suis comme détachée, flottante, ma raison me hurle de foutre le camp tout de suite, mon désir me dit de rester.


Il se plaque à moi, son bras puissant contre mon dos, sa main au creux de mes reins, son corps brûlant m’électrise sans retour. Ses lèvres se sont fougueusement emparées des miennes, sa langue s’immisce dans ma bouche avide et je sens bien vite ses doigts farfouiller mon intimité, s’insinuer sournoisement entre mes cuisses, se frayer leur chemin entre mes lèvres intimes qui deviennent rapidement poisseuses à leur contact insistant. Je suis perdue dans les caresses sauvages, mais oh ! combien troublantes et excitantes de cette statue vivante. Je ferme les yeux.


Doucement, il me fait pivoter, sans quitter mes lèvres de sa bouche vorace. Mon dos plaqué à présent contre son large torse, mes fesses consentantes moulent sans vergogne son pieu raidi. Son autre main se glisse sur mon sein droit, le pinçant et le tirant délicatement. Ça y est, je perds complètement les pédales, le septième ciel est tout proche, si proche, trop proche. Pas la peine de résister, je suis comme une marionnette qu’il agite, qu’il manipule au gré de son bon plaisir. Moi, je suis debout, sans aucune résistance, sans m’insurger, délicieuse victime de ses caresses ensorcelantes.


Sa main malaxe mon sein avec fermeté. Chaque parcelle de mon corps est sollicitée, mes sens s’affolent, jamais je n’ai ressenti quelque chose d’aussi intense ! Tout n’est que douceur, frissons, délice…


Entre les mille et une vagues de plaisir qui m’inondent, j’entrouvre les yeux…


L’horizon lointain est rouge sang, la chaleur des dunes monte, enveloppe mon être en fusion. Mon corps est parcouru d’incontrôlables tressautements de plaisir. Je sens l’extase monter en moi, inexorablement, comme une grande vague qui s’élève puissamment et qui menace de se fracasser contre les rochers déchiquetés d’une côte sauvage. Des doigts farfouillent mon vagin moite tandis que mon clitoris turgescent est habilement tourmenté par des doigts faméliques et vicieux. À chacune des délicates tortures infligées, mon bassin se soulève dans une onde de choc complètement délirante. Je ferme à nouveau les yeux.


C’est comme si mon corps en tant qu’entité charnelle n’existait plus, comme s’il était devenu pur plaisir, une sorte de halo irradiant d’exaltation brute. Une longue et sourde plainte s’échappe de ma gorge. Quelque chose de dur et doux glisse entre mes fesses, lentement vers le bas ; mon cœur bondit : je le veux en moi, sans aucune forme de procès. J’imagine une tige énorme qui veut s’insérer à l’orée de ma fente dégoulinante, ma grotte qui s’apprête à être fouillée de fond en comble.


Mon corps n’est plus qu’une corde tendue à se rompre, tous mes muscles sont en contraction, une chaleur intense déferle en moi. Il n’est pas encore en moi que déjà je sens un feu interne qui me dévore. Tout l’horizon est rouge sang, l’air ambiant vrille de mille étincelles qui papillotent autour de moi.


Un long et dur serpent glisse entre mes fesses, s’accroche à l’intérieur de mes cuisses et cherche visiblement un antre où aller exploser. Cette chose perverse et brûlante laisse un sillon sur ma chair frémissante, effleurant à présent mon buisson embrasé. Tout mon corps est cabré, prêt à l’accueillir, à ce qu’il plonge en moi, au plus profond, au plus lointain.


Il cogne à l’orée de ma grotte humide, sa masse fuselée écarte doucement mes lèvres détrempées et avides de sa chair tendue, lèvres qui se referment sur son gland incandescent, qui l’enrobent, le flattent, le recouvrent, le conquièrent exclusivement. Il plaque son bassin sur mes fesses, sa tige d’airain entre profondément en moi, m’explose, me pulvérise. Mon corps est assailli de spasmes, un foyer intense s’allume en moi, ses coulissements exacerbent mon désir, son pieu lime mon intimité, l’échauffe, la brûle en mille désirs. Jamais je n’ai connu un tel sentiment, une telle flambée de plaisir, c’est comme si les limites de ma jouissance reculaient sans fin, sans limites.


Une nouvelle vague brûlante de plaisir monte en moi quand le coulissement de ce membre impressionnant s’enfonce, à nouveau, délibérément en moi, sans effort. Incroyable, ce membre puissant s’enfouit en moi de toute sa longueur, tout en douceur et en volupté, sans fin, telle une longue et interminable chute dans un enfer de sensations incandescentes. Je jette mes bras en arrière et lui saisis les fesses de mes mains avides, pour capturer son beau petit cul ferme et surtout le plaquer plus encore contre moi, le sentir s’enfoncer plus loin encore ! C’est divin, c’est extraordinaire l’effet que me fait cette pénétration ardente. Combinée à la main qui me caresse et me titille le téton, l’orgasme qui s’ensuit est puissant, libérateur, un incendie des sens. Je ne peux réprimer le long gémissement de plaisir qui me délivre de toute cette jouissance contenue.


J’entends son souffle rauque à mes oreilles, sa passion, son désir de mon corps, je sens toute la chair de son sexe emplir ma grotte, mon corps, mon âme. Tout s’enflamme, tout s’embrase, un bûcher passionnel incendie les moindres recoins de la femme que je suis. Un dernier cri, et il jaillit en moi comme une flamme, un enfer d’ardeurs, je me consume toute dans le brasier de ma jouissance, de cette communion infernale entre nos sexes enflammés, ma chair grésille sous tant d’exaltation, de feu, d’extase…


Oui, je me consume toute… toute…


L’enfer, le paradis, le néant…


Lentement, il s’agenouille. Tristement, il contemple le petit tas de cendres roses qui repose au creux de ses paumes. Une brise légère passe, quelques grains mauves s’envolent. Il soupire, sincèrement désolé :



La nuit tombe, les nuages passent, la végétation bruisse, le temps s’accélère, il reste agenouillé comme pour une ultime prière, tandis que, un à un, les grains de sable d’entre ses mains virevoltent dans la crique nichée au creux des dunes.

La lune continue sa course dans le ciel, les ombres tournent en longues silhouettes sur les épineux, il reste immobile, figé, tel une statue antique, indifférent au temps qui passe, comme si celui-ci n’avait aucune emprise sur lui.

Puis le soleil se lève, la luminosité revient, blafarde, la brise nocturne s’affaiblit, une douce chaleur revient. Un dernier grain s’envole en milieu de matinée. Il soupire une dernière fois puis se relève. Il tend l’oreille : une faible agitation lui parvient, d’autres personnes, d’autres possibilités. Debout, majestueux, il fixe un point précis d’une dune avoisinante : la végétation bouge, laissant visiblement le passage à quelqu’un. Une jeune femme, il le sait.


Alors il ouvre le passage.


Sourire aux lèvres, l’espoir revenant, il étend sa serviette puis s’étend dessus, à plat ventre. Avant de sombrer dans un demi-sommeil, il songe :






Dédicacé à Witchmayfair@hotmail.com, ce présent texte contient beaucoup d’elle, au sens propre comme au sens figuré…




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n° 09383L'ours Tiber08/07/05
Le sexe, c'est facile...
critères:  ff fffh jeunes grossexe tutu
5241 caractères      
Auteur : L'ours Tiber

Je mets quoi comme CD ? J’ai de tout : Britney Spears, Destiny Child, Usher… Usher, les paroles sont trop trop belles, c’est pas du commercial comme Craig David.


Ho baby baby I’m so in love with you…


Yeah trop le kif…


Ma mère m’a laissé l’appartement, ce soir. Tu vois, elle me fait confiance, elle sait que je suis plus mature que les jeunes de mon âge… Tu sais, je sais bien que tu n’es pas venue pour réviser l’interro de chimie. Je te plais, hein, Caroline ?


Ne dis pas non, je le vois dans tes yeux. Je peux sentir ton attirance pour moi à des kilomètres, c’est une odeur particulière… Ne rougis pas, tu n’es qu’une faible créature, c’est la nature, tu ne peux pas échapper à ton désir.


J’ai un an de plus que toi, je sais que c’est beaucoup, mais je suis super ouvert, la différence d’âge ne me fait pas peur. Tu sais, j’aime les blondes. Je t’ai remarquée en cours de Français. Tu joues les petites filles modèles, mais je sais que tu caches un tempérament de feu. Je sais voir ce genre de chose. Tu crois que je n’ai pas remarqué la façon dont tu me regardes en pouffant lorsque tu es avec Sidonie et Nathalie ? Et la façon dont tu t’habilles ? Les pantalons moulant, les débardeurs Jennyfer… je sais que c’est pour moi, tu n’as pas besoin de le dire, un homme comprend ces choses-là.


J’ai l’air très exigeant, mais je baise aussi des filles moches. Après tout, les moches aussi ont le droit de s’amuser parfois, c’est aussi notre devoir en tant que beaux de vous aider, on doit pas rester entre nous, on doit partager notre expérience avec ceux qui ont moins de chance. Vous avez les mêmes droits que nous. T’es pas une bombe mais t’es quand même assez bonne.

Si ça peut te faire plaisir, je veux bien qu’on baise mais ne dis rien à personne, tu comprends : question de réputation. Tu as des gros seins, ça me plaît. Ton boule est pas mal non plus, il ressemble un peu à celui de Tabatha Cash, tu connais ? Ne crains rien, je suis un homme d’expérience, j’ai fait l’amour avec au moins… quinze filles, et même des qui étaient en Terminale. Et puis j’ai toute la collection Marc Dorcel, je sais tout ce qu’il faut savoir.


Ho… tu en avais envie, hein, de toucher mon gros sexe. Vas-y, caresse-le. Ça te plaît, hein, tu n’as jamais rien touché d’aussi gros…


Chaud, ici ? Heu, non, je trouve pas… Ah, je comprends… mais tu n’as pas besoin d’excuse pour te déshabiller devant moi, c’est naturel. Vas-y, fais glisser ta robe sur tes gros seins. Tu ne portes pas de soutien-gorge ? Jamais ? Par contre, tu portes un string, je le savais. Tu es une femme, les femmes portent des strings. Enlève-le. Je vais faire le sexe dans ton corps comme jamais on ne te l’a fait. Tu vas hurler de plaisir, elles le font toutes. Ça me fait plaisir de te donner tout ce bonheur.


En attendant, défais ma ceinture et suce-moi. N’aie pas peur, vingt-huit centimètres, ça impressionne toujours au début… Oui, tu aimes ça, hein. Vas-y, prends-la toute entière, je sais que tu en as envie, je ne peux pas t’en vouloir. Salooopeee ! Tu vas jouir… Ne te retiens pas, je comprends, trop de plaisir… Voilà…


Alors, comment était ce premier orgasme ? Puissant, hein ? Je t’en promets cinq autres ce soir, je ne suis pas très en forme, la journée de classe a été longue. Je ne laisse jamais jouir mes conquêtes aussi vite, d’habitude, mais parfois, même en essayant de doser l’effort, on est trop efficace. Repose-toi un peu. Tu veux du Banga ?


Tiens, on sonne à la porte. Va ouvrir, s’il te plaît, je suis occupé, je dois répondre au sms de Greg. Alors, qui c’est ? Sidonie ? Fais-la entrer ! Salut, Sidonie, ça va ?

Sidonie ? Ho, les filles ! Pas sérieux ça, à peine Sidonie est arrivée que vous vous mangez déjà la langue, toutes les mêmes…


Au fait, Sidonie, tu passais pourquoi ? N’en dis pas plus… histoire classique en somme… tu te caressais tous les soirs dans ton lit en imaginant que je te faisais l’amour et tu as craqué, trop envie de sentir mon gros sexe en toi, alors tu as décidé que c’était ton grand soir. C’est normal, ne rougis pas.

Ah, tu as invité Nathalie aussi ? Entre Nathalie, comme on dit : plus on est de fous… Oui, je ne séduis pas qu’avec mon physique ravageur, je manie l’humour comme un Katana, je suis drôle comme un samouraï.

Les pec’ ? C’est trois heures de muscul’ tous les jours, c’est le prix à payer pour vous faire rêver, tu peux toucher.


Sophie ? Oui, bien sûr, joins-toi à nous, tu vois Sidonie, Nathalie et Caroline ont déjà bien commencé. Ça te plaît de les voir se caresser les unes les autres ? Sacrée Nathalie : deux langues et quatre mains rien que pour elle. Oui, bien sûr, va te joindre à elles, j’arrive… Tiens, quelqu’un ouvre la porte, encore une…


« Juliiennnnnnn, c’est maman. Je suis rentrée, t’es où ? »


Surpris, Julien est tombé de son lit. Le choc l’a ramené rudement à la réalité. Caroline n’est pas là. Sidonie, Sophie et Nathalie non plus, d’ailleurs aucune fille n’entrera ici jusqu’à ses dix-huit ans… Sur sa minichaîne, Usher vomit encore ses problèmes de cœur.

L’ours en peluche Tobby, son vieux complice, son ami d’enfance, est recroquevillé sur le lit, mortifié par le viol buccal qu’il vient de subir, il ne bouge pas, il ne parle pas, son innocence vient de disparaître. Jamais plus il ne sera le même.




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n° 09543Erotomane mettant une pincée de réel dans ses récits13/08/05
Bouddha
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31642 caractères      
Auteur : Toubab

Merci à Mélanie2010 pour notre correspondance et ses idées, qui m’ont aidé à me mettre à la place d’une femme.




Vanessa est ma meilleure amie. On s’est connu à la fac, en première année, et on a tout de suite bien accroché. Fan de rock gothique, elle partage mon goût pour les tenues noires et le même mépris pour nos camarades décérébrées, vêtues comme les bécasses à la mode. On avait vraiment tout pour aller l’une vers l’autre. À la fin de cette première année, comme on s’entendait super bien, on a décidé de partager un appartement, histoire d’avoir quelque chose de plus spacieux que nos studios minuscules, sans pour cela se ruiner.


Van m’avait prévenue qu’elle n’était pas pudique et aimait bien se promener à moitié nue chez elle. Je reconnais qu’au début j’étais assez gênée de la voir déambuler en culotte, en string et parfois les fesses à l’air. Et puis, avec le temps, je m’y suis habituée et j’ai même fini par faire comme elle. Il y avait quelque chose d’ambigu entre nous : des regards appuyés, des compliments échangés, des frôlements soi-disant innocents qui trahissaient une attirance allant plus loin que la simple amitié.

Il faut dire que Van a énormément de charme. C’est une petite brune au cheveux courts presque rasés, au visage fin et anguleux. Elle a la peau très blanche et un corps assez androgyne : petites fesses et petite poitrine pointue ornée de tétons pâles. Mais ce qui m’attire le plus, ce sont ses piercings sur la langue et dans le nombril, ainsi que son tatouage tribal qui couvre un bras et une partie du buste pour venir souligner son sein droit. Surtout, il y a son sexe entièrement rasé, fine fente délicate fascinante de nudité. Physiquement, elle paraît plus fragile que moi, qui suis assez grande et possède un corps féminin et bien charpenté. Mais cette fragilité n’est qu’apparente, car elle dégage une force de caractère et une énergie intérieure fascinantes.


Lors de notre installation, nous avons instauré un petit rituel bien sympathique : des soirées « Confession » où, l’esprit embrumé de vapeurs cannabiques, nous parlions de tout et de rien en toute franchise. Nos discussions déviaient immanquablement sur le sexe, nos expériences et nos fantasmes – bien aidées en cela par Van, qui parle aussi librement de sexe qu’elle exhibe son corps. Ces confessions intimes nous laissaient dans un état d’excitation intense et je crois qu’on espérait secrètement, l’une comme l’autre, qu’elles nous permettraient de franchir le pas d’une relation physique saphique. Personnellement, j’avais toujours été attirée par les rapports lesbiens, mais je n’osais rien dire à Van - encore moins après qu’elle m’ait dit avoir déjà fait l’amour avec une autre fille. En fait, nous avions toutes deux peur de nous découvrir et de risquer de se voir repoussée par l’autre. C’est bizarre, car on se disait tout sur notre sexualité, allant même jusqu’à se raconter notre première fois avec beaucoup de détails, tandis que tout ce qui touchait à nos sentiments réciproques était tabou.


Il n’a fallu qu’une paire de mois pour que nous devenions amantes. Je ne parlerai pas ici de notre première séance saphique, car elle doit rester dans le secret de notre histoire. Disons que cela s’est fait doucement, tendrement, presque naturellement. En tout cas, ce fut une révélation et, depuis plus de deux ans que durent nos jeux lesbiens, il m’arrive encore souvent d’être abasourdie par l’intensité du plaisir qu’une fille peut procurer à une fille. J’avais toujours imaginé que deux filles ensembles faisaient l’amour délicatement, subtilement, dans une ambiance ouatée couleur pastel. Et c’est vrai qu’il y a beaucoup de douceur, en particulier pendant les préliminaires. Mais avec l’excitation grandissante, nous perdons toute retenue et devenons presque sauvages.


On peut dire qu’on s’épanouissait dans un tête-à-tête saphique amical jusqu’à ce que Bouddha fasse irruption dans notre paysage.

C’est Van qui me l’a présenté en mai dernier. Depuis la rentrée, elle avait arrêté ses études et commencé un apprentissage chez un fleuriste ; elle me parlait assez souvent du fils de sa patronne, mais je n’y avais pas vraiment porté attention. Et puis, un soir, en rentrant de la fac, j’ai trouvé ma copine attablée dans la cuisine à côté d’un colosse : Bouddha. Van l’avait fait venir pour lui demander de nous aider à déplacer les meubles avant de repeindre l’appartement. Indéniablement, il a le physique de l’emploi : 1m85 et 119 kg, ça prédispose au travail de force. On peut dire que Bouddha est un bon gros. Dans l’exiguïté de la pièce, son physique était vraiment impressionnant, comparé à moi (1m70, 62 kg) et encore plus à côté de Van (1m55, 43 kg). Mais s’il impressionne, Bouddha ne fait pas peur, car il porte sa timidité sur son visage rond et poupin.

Son aide a été précieuse pour refaire l’appartement et je l’ai assez peu vu jusqu’à ce qu’il nous invite à son anniversaire, le 26 juin.


Quand on s’est préparé pour aller chez Bouddha, j’aurais dû comprendre que Van préparait quelque chose, car elle a mis un temps fou à se faire belle, à se maquiller, à choisir une tenue : pantalon en stretch noir, petit débardeur moulant parfaitement son corps, et string en dentelle rouge que je lui avais offert.

Au début de la soirée, je n’avais qu’une seule envie : rentrer ! Bouddha fêtait ses dix-huit ans, âge moyen de ses invités, et du haut de mes vingt-trois ans, je me sentais bien vieille. Van et moi jurions un peu au milieu de ces ados de bonnes familles, avec notre look gothique et, elle, avec son tatouage bien visible. En plus, un copain de Bouddha, aussi lourd que bourré, a passé son temps à me coller et à me draguer alors que j’essayais de me lier avec une blonde craquante à la poitrine vraiment généreuse. Le comble est que Van, elle, semblait bien s’amuser.


Et puis, à un moment, elle est venue vers moi et m’a dit d’attendre quelques minutes avant d’aller voir discrètement ce qui se passait dans la salle de jeu. Je n’ai pas tout de suite compris où elle voulait en venir et j’y réfléchissais encore quand je l’ai vu se diriger vers la maison en compagnie de Bouddha. J’ai suivi la lumière pour trouver la salle en question, où un petit renfoncement m’a permis de les voir sans être vue.

Van se tenait debout devant Bouddha assis dans un canapé, et elle lui parlait :



Il a répondu oui d’une voix faible.



Bouddha avait les yeux exorbités devant la poitrine de ma copine. Van poursuivit son strip-tease, retirant son pantalon.



Sur ces mots, elle l’a chevauché pour l’embrasser profondément sur la bouche. Bouddha s’est enhardi et a commencé à caresser Van. Elle paraissait si petite dans ses bras, ses fesses disparaissaient entre les mains du géant et ses tétons étaient minuscules comparés aux lèvres gourmandes qui les baisaient. Je fus envahie par une vague de chaleur quand elle a pris la main de Bouddha pour la poser sur son sexe épilé.



J’ai compris qu’il venait d’introduire un doigt dans la grotte de Van quand elle a poussé un petit cri suivi d’un profond soupir.


Même si le spectacle sortait de l’ordinaire, je n’étais pas surprise que Van dirige leurs ébats ni qu’elle commente ce qu’elle se passe : elle a l’habitude de dominer et de parler beaucoup pendant l’amour. Je n’étais pas étonnée non plus qu’elle m’ait demandé de l’observer car, depuis quelques temps, on parlait de notre désir de se regarder faire l’amour avec un homme. Non, ce qui m’a le plus surprise, ce fut le corps de Bouddha : son gros ventre rond et ferme ainsi que son sexe.


Quand Van s’est laissée glisser à ses pieds pour lui ôter son bermuda et son caleçon, elle a libéré un phallus comme je n’en avais jamais vu – et elle non plus, si j’en juge par le « Oh ! » qu’elle a poussé. Une queue longue et large surmontant des testicules énormes se dressait vers le ciel. Les deux petites mains de Van se sont posées lentement sur le pal, en appréciant les dimensions et la rigidité. Agenouillée, elle semblait prosternée devant une divinité. Elle l’a caressé de la pulpe de ses doigts avant d’entamer un va-et-vient le long de la hampe. Puis ce sont ses lèvres qui sont entrées en contact avec le sexe qu’elle a embrassé, léché avant d’en prendre le gland écarlate dans la bouche. Les lèvres écartelées, elle l’a sucé avec délectation.


Le visage de Bouddha marquait l’hébétude et la béatitude. Il était au bord du gouffre des sens et a assez vite dit à Van qu’il était sur le point de jouir. Alors elle s’est redressée, s’est débarrassée de son string et est revenue chevaucher son amant. J’ai senti mon ventre se tordre quand j’ai vu ma copine enfoncer ce sexe hors norme dans son vagin. Ce vagin si doux et si fragile, cette grotte tendre que j’ai tant visitée de mes doigts, comment pouvait-elle accueillir un membre si gros ? Ce n’était pas possible, il allait lui faire mal, la déchirer. Mais non, Van est descendue tout doucement, laissant le temps à ses chairs de s’habituer à l’intrusion et, finalement, son pubis est venu se poser sur celui de Bouddha. Ils sont restés immobiles quelques instants et, au moment où Van allait recommencer à bouger, il a poussé un cri rauque et guttural.



Et là, elle a commencé à onduler des hanches, à les faire rouler d’avant en arrière, de gauche à droite. Son étalon n’a rien dû perdre de sa rigidité car, assez vite, ce sont des va-et-vient qui ont suivi. Mon amante était là, sous mes yeux, en train de jouir de la queue d’un homme. Cela m’a fait un petit pincement au cœur de la voir accorder à un autre les délices qu’elle me réservait. Mais elle m’offrait un spectacle si beau et excitant que je ne lui en voulais nullement de s’amuser avec Bouddha. Je l’enviais même. Mes joues me chauffaient, mes seins étaient durs et tendus, quant à mon minou, il coulait littéralement. Van me tournait le dos et je ne pouvais voir que son bassin engloutir puis régurgiter le membre phénoménal. Elle chevauchait son homme, alternant le trot et le galop, se laissant désormais tomber lourdement sur le sexe de Bouddha. À l’entendre, je savais qu’elle était sur le chemin de l’orgasme. Je reconnaissais ses petits gémissements caractéristiques et n’avais qu’à fermer les yeux pour imaginer son visage marqué par le plaisir : les yeux fermés, un rictus de douleur illuminant ses traits fins, les lèvres serrées pour retenir ses cris.


Combien de temps a duré cette cavalcade ? Je n’en sais rien. Un temps infini, ou presque, car tout a une fin, et c’est Van qui l’a déclenchée : elle a crié à Bouddha de venir, de jouir en même temps qu’elle, de tout lui donner… et il s’est exécuté dans un râle, provoquant son plaisir à elle.


J’étais dehors à tenter de remettre de l’ordre dans ma tête lorsque Van est venue me retrouver. Aussitôt, elle m’a pris la main et, m’emmenant vers la voiture, elle a demandé si j’avais apprécié le spectacle. Je lui ai parlé de mon trouble et de mon excitation, ce qui a semblé la ravir. Sur le chemin du retour, j’ai voulu savoir pourquoi elle avait choisi Bouddha, qui était tout sauf un Apollon.



Oh oui, je l’avais vue ! Impossible de passer à côté sans que l’œil soit attiré.

Le membre de Bouddha a été au centre de notre conversation. On était d’accord pour dire que ni l’une ni l’autre n’en avions vu de si gros. Van a même eu un cri du cœur : « J’ai jamais été prise comme ça ! Infernal ! »


Avant de se mettre au lit, Van est venue me rejoindre sous la douche. Elle savait que je n’avais encore pas joui, et elle a tout fait pour me conduire au septième ciel. Après des caresses sous l’eau, elle m’a fait un cunnilingus fantastique dans sa chambre, avant d’introduire Hector dans nos jeux, ou plus précisément en moi. Hector est un superbe phallus en caoutchouc avec des sangles. Dès que j’ai vu Van s’en harnacher, je me suis mise à quatre pattes pour qu’elle vienne derrière moi. Je me suis faite chatte puis chienne, lançant mon bassin à la rencontre du godemiché jusqu’à avoir un splendide orgasme vaginal. Ereintée par le plaisir, je me suis endormie comme une masse, la tête de Van posée sur ma poitrine.


Mes rêves ont été peuplés de queues bandées et majestueuses.


J’errais nue dans les vestiaires de la piscine municipale à la recherche du sac contenant mes affaires. Chaque fois que j’ouvrais une cabine, je trouvais un homme qui se masturbait : ses traits étaient flous, à l’exception de son sexe, énorme et congestionné. Parfois, je me caressais en le regardant se faire jouir, le regard obnubilé par la semence qui jaillissait avec force sur son ventre et le mien. Dans d’autres cabines, je m’avançais et m’emparais de son membre. Mes mains avaient du mal à en faire le tour mais pourtant, je l’accueillais complètement dans ma bouche ou me l’introduisais d’un trait dans le sexe. À chaque fois, je quittais mon partenaire avant de jouir, pour continuer à rechercher mon sac.


Enfin, en ouvrant une porte, j’arrivai dans une vaste pièce où se trouvait un lit. Sur celui-ci, Van faisait l’amour avec un colosse, allongée sur le dos, les jambes largement écartées. Je m’approchai d’elle et, à sa demande, caressais et embrassais ses seins. Elle était belle, épanouie et heureuse. J’observai le membre puissant se frayer un passage entre les lèvres délicates. Quand Van fit basculer l’homme pour se retrouver sur lui, j’ai constaté avec horreur qu’il avait deux sexes, dont l’un sodomisait mon amante. Van ondulait son corps et jouissait de cette double intrusion. Elle m’invita à prendre sa place mais je refusai : j’allais avoir mal, je ne l’avais jamais fait par derrière et son sexe était trop gros… Je refusai mais, dépossédée de toute volonté, je laissai Van m’installer sur les phallus jumeaux. La double pénétration fut si intense qu’elle déclencha de suite un orgasme. Et je hurlai…


… Je hurlai tant et si bien que je me réveillai en sursaut et en sueur. À côté de moi, Van me demanda si ça allait.



Comme je semblais ne pas comprendre, elle poursuivit :



Instinctivement, je mis une main sur mon minou : il était trempé et brûlant. Morte de honte, je bredouillai quelques mots et me rallongeai pour me rendormir aussitôt.


Le lendemain matin, je racontai tout mon rêve à Van. La séance de voyeurisme de la veille n’y était pas étrangère : inconsciemment, je désirais le sexe de Bouddha, je voulais moi aussi connaître cette expérience. Par contre, je n’arrivais pas à comprendre le passage concernant la sodomie. Je n’ai jamais laissé un garçon pénétrer mes fesses. Van est la seule à avoir exploré cette voie. Et encore, si je trouve agréable qu’elle lèche mon anus ou y introduise le bout d’un doigt, j’ai eu tellement mal quand elle a voulu prendre le godemiché, que je lui ai tout de suite demandé d’arrêter.


Après un long silence, Van m’a dit qu’elle aimerait vraiment faire l’amour avec moi et Bouddha. Mon rêve montrait que j’étais aussi attirée par la perspective d’une expérience à trois. Restait à convaincre notre étalon, ce qui ne devait pas être difficile.


Le vendredi suivant, Van a demandé à Bouddha de nous accompagner à un concert et elle l’a invité à passer la nuit chez nous. La soirée s’est bien passée. À plusieurs reprises, j’ai surpris des regards appuyés de Bouddha en direction de ma poitrine. Il faut dire que j’avais mis un body moulant et décolleté très sexy. En plus, sans soutien-gorge, on devinait bien mes tétons excités par le contact avec le tissu.


Nous sommes rentrés vers une heure du matin et, pendant que Bouddha prenait une douche, Van et moi avons mis le convertible en position lit. Depuis quelques jours, nous dormions dans le salon car la chambre, située à l’étage, devient étouffante dès qu’il fait chaud.


Quand nous avons demandé à Bouddha si ça ne le dérangeait pas de dormir avec nous deux, il a eu du mal à cacher sa gêne, rougissant des pieds à la tête. Ensuite, c’est Van qui a été se doucher, faisant sensation lorsqu’elle est sortie. En effet, elle avait adopté la même tenue que Bouddha : un caleçon et rien d’autre ! Notre colosse timide a tout fait pour rester naturel, mais on voyait bien qu’il était troublé par les petits seins qu’il avait cajolés quelques jours auparavant. Personnellement, je n’ai pas eu la même audace que Van : après mon passage à la salle de bains, j’ai enfilé une longue chemise de nuit en satin, arrivant à mi-cuisse et un mini string.


La fenêtre grande ouverte, seulement éclairés par la clarté de la lune, nous avons discuté tout en fumant une cigarette, tous les trois allongés sur le lit. J’étais impatiente que quelque chose se passe et, en même temps, j’avais le ventre noué. Bouddha était à quelques centimètres de moi, je n’avais qu’à tendre la main pour toucher cette queue dont j’avais rêvé. Mais la distance me semblait être des kilomètres. Je n’osais pas bouger malgré mon envie : je n’avais plus fait l’amour avec un mec depuis huit mois et je mouillais à l’idée de sentir en moi cette barre de chair.


Heureusement, Van s’est décidée à faire le premier pas. Prétextant qu’elle préférait dormir nue (ce qui est vrai), elle retira son caleçon, exhibant à nos yeux intéressés son sexe lisse. Elle nous encouragea à nous mettre à l’aise également. Pour le principe, j’ai fait ma mijaurée, en disant que je n’allais pas me mettre seins nus devant Bouddha. Mais sous l’insistance de Val, j’ai fini par ôter ma chemise de nuit. Agenouillée, je me cambrai pour bien tendre mes seins.



Bouddha n’a rien répondu, alors mon amie a commencé à me caresser la poitrine. Elle sait les gestes que je préfère et ne s’est pas privée de me les faire : soupeser délicatement mes seins, appliquer des caresses appuyées, faire rouler mon téton sous la pulpe de son pouce. Puis Val s’est penchée pour lécher mes mamelons. J’ai serré sa tête contre moi pour l’encourager à poursuivre. Je n’ai pas pu m’empêcher de pousser un long soupir de plaisir quand elle s’est mise à me téter comme un bébé. En même temps, elle a collé son corps fin contre le mien, posant ses mains sur mes hanches et mes fesses avant de faire glisser mon string et de poser une main sur ma toison.


Depuis le début, je fixais Bouddha qui était figé d’étonnement. Le seul signe de vie en lui était la bosse qui palpitait dans son caleçon. Comment aurait-il pu résister au spectacle de deux filles nues enlacées qui s’échauffaient mutuellement ?

Quand j’ai pu croiser son regard, j’ai compris qu’il ne bougerait pas si on ne faisait rien. Alors, j’ai écarté Val de mes seins, je me suis avancée à quatre pattes et, m’agenouillant à côté de lui, je l’ai embrassé longuement sur la bouche. Ses lèvres se sont ouvertes pour m’offrir sa langue, j’ai passé une main dans son caleçon et me suis emparée de son sexe. Hmmm ! Impressionnante à voir, sa queue l’était encore plus à toucher : longue, large, lourde, dure, chaude et très douce, pleine de promesses. Des promesses qui gonflaient encore sous ma main.


Pendant que je le masturbais, Bouddha s’occupait de mes seins. Il les pétrissait et les embrassait avec maladresse et empressement, frottait goulûment son visage contre ces rondeurs sur lesquelles il avait fantasmé toute la soirée. Profitant de ma position, à genoux et le buste tendu vers notre colosse, Van est venue derrière moi pour me lécher. Sa petite langue agile était diabolique, s’insinuant entre mes lèvres, pénétrant ma grotte pour recueillir ma liqueur à sa source. Une bouche sur mes seins et une autre sur mon minou, j’ai joui une première fois, très rapidement. Cette jouissance n’a nullement atténué mon excitation. Au contraire, elle m’a donné encore plus envie de profiter de cette queue généreuse qui vivait dans ma main.


En un mouvement, je me suis retrouvée à califourchon sur Bouddha, présentant son sexe à l’entrée du mien. Sincèrement, je n’aurais jamais cru que mon vagin pouvait être aussi élastique, accueillant avec une incroyable facilité le gland du phallus colossal. À côté de moi, Van caressait ma nuque.



Effectivement, si la largueur du bâton de Bouddha était un délice, sa longueur était un supplice : son gland heurtait douloureusement mon col alors que son sexe n’était pas totalement entré en moi. Je me demandais comment Van et son petit gabarit avait bien pu faire pour tout prendre en elle.

Malgré tout, j’ai pris un pied énorme grâce à l’épaisseur de la queue de Bouddha. Appuyée sur mes bras, je me suis délectée du contact du gland à l’orée de mon vagin.

Trop de mecs pensent qu’une pénétration doit être profonde pour être agréable, ils poussent comme des malades, imaginant sans doute que le déclencheur de l’orgasme se trouve aux tréfonds de notre utérus. Même si j’aime sentir un sexe loin en moi, rien ne m’est plus agréable que de sentir mon amant jouer à l’entrée de ma grotte, de le sentir entrer et sortir, passer et repasser cette petite porte ouvrant sur mon intimité.


Aussi, avec bouddha, je me suis faite jouir rien qu’avec les premiers centimètres de sa verge. Je sentais l’orgasme monter, hâtant sa venue de petits mouvements de bassin frénétiques, l’encourageant de mes gémissements. Je me sentais complètement possédée, à en devenir folle, à en perdre la tête. Mes seins bougeaient au rythme du va-et-vient que je m’infligeais.


Allongée à côté de nous, Van avait désormais introduit deux doigts dans son sexe. Elle me fixait et haletait tout en m’excitant avec des mots crus. Perdue dans mon propre plaisir, je ne faisais pas vraiment attention à ce qu’elle disait. Je répétais inlassablement « Oui, oui, oui.. », mais c’était à destination de Bouddha, de son sexe, de l’orgasme que je sentais naître dans mon ventre. J’étais toute près d’atteindre le septième ciel, voire même le huitième, mais mon ascension fut brutalement interrompu par l’éjaculation copieuse et puissante de mon amant.


La douce tiédeur qu’il a répandue en moi a atténué un peu ma frustration d’être stoppée en si bon chemin. Surtout, son sexe ramolli s’est à peine retiré que la langue de Van est venue le remplacer pour aspirer le fruit de notre plaisir. Cela a déclenché une jouissance encore plus forte que la précédente, et j’ai roulé sur le côté pour me soustraire aux caresses buccales de mon amante. Caresses que Van, du coup, a appliquées sur la queue luisante de Bouddha.


Dans la chambre, la chaleur était devenue étouffante, malgré la nuit déjà bien avancée et la fenêtre largement ouverte. En revenant de la cuisine avec du thé glacé, j’ai eu une vision superbe. Appuyé contre le dossier du convertible, notre colosse caressait délicatement les cheveux de Van qui le suçait toujours, prosternée entre ses jambes. Son derrière était offert à mon regard, les fesses tendues et largement écartées dévoilaient son anus impudique. Je l’ai observée quelques instants avant de l’interrompre dans sa fellation pour lui proposer à boire.


Le sexe de Bouddha avait retrouvé toute sa superbe. Comme Van était désormais occupée à téter la bouteille, je me suis emparé de ce bâton pour le porter à mes lèvres. J’ai mis tout mon art à le lécher, l’aspirer, à faire papillonner ma langue sur la hampe et le gland. J’étais stimulée par Van qui demandait à Bouddha si je le suçais mieux qu’elle ne l’avait fait – question à laquelle le pauvre ne savait pas quoi répondre.


Par esprit de compétition, j’ai lové la queue de notre étalon entre mes seins, chose impossible pour Van et sa poitrine minuscule. Et, pour prendre définitivement l’avantage, j’ai agrémenté ma masturbation de baisers chaque fois que le bout de son sexe venait à portée de mes lèvres. Cela a beaucoup plu à Bouddha car j’ai senti les signes annonciateurs de l’éjaculation ; signes qui m’ont conduite à abandonner son sexe pour lui permettre de relâcher un peu la pression.


Alors, je me suis installée dans les bras de Van, tirant quelques bouffées sur sa cigarette et partageant de profonds baisers avec elle. Assez vite, le désir a repris le dessus et, de caresses en caresses, nous nous sommes retrouvées tête-bêche sur le flanc. L’action conjuguée de la langue de Van sur mon clito, de son pouce dans mon vagin et d’un doigt dans mes fesses a provoqué un orgasme terrible et fulgurant. Ce fut tellement fort que, sur le coup, je me suis mordu le poing jusqu’au sang pour m’éviter de crier. Je me suis écartée de mon amante pour savourer pleinement mon plaisir.


Pendant de longues minutes, plus rien ne comptait que mon corps électrisé et apaisé. J’étais comblée et vidée, heureuse et épuisée. J’ai somnolé un temps et je me serais sans doute endormie si Van ne m’avait pas soudainement agrippé le sein avec violence.



Je me redressai sur les coudes pour constater que Bouddha était en train de pénétrer Van en levrette. Ses grosses mains tenaient les hanches fines de sa maîtresse et, avec une lenteur appliquée, il venait appuyer son ventre dodu contre les petites fesses avant de l’éloigner au maximum.



Pour lui montrer que je la pardonnais, je lui ai fait un bisou sur la joue. C’est étrange comme la jouissance est proche de la douleur : le rictus sur son visage ainsi que la crispation de sa main sur le drap auraient pu être ceux d’un souffrant. Pourtant, elle n’aurait échangé sa place contre rien au monde. Au contraire, chaque fois que l’imposant mandrin se retirait de son vagin, elle reculait sa croupe comme pour retarder le moment où elle serait libérée de lui ; et, quand Bouddha reprenait sa marche avant, elle roulait des hanches pour accentuer la pression du phallus sur ses chairs intimes.



Je lui ai promis de le faire mais avant, je me suis levée et dirigée vers Bouddha. Il a tendu la tête vers ma poitrine et je l’ai laissé se repaître de mes seins tout en chuchotant quelques conseils à son oreille pour m’assurer que le bonheur de Van serait total. J’ai été troublée en regardant l’endroit où leurs deux sexes fusionnaient. Le ventre de Bouddha me cachant un peu la vue, je me suis même penchée pour mieux observer les lèvres distendues de mon amante enserrant ce sexe hors norme.


Je suis revenue m’asseoir vers Van pour la prendre dans mes bras. Petit à petit, Bouddha a accéléré ses coups de reins pour le plus grand bonheur de ma belle. Je pouvais entendre le gros ventre taper contre la petite croupe : à chaque « flok, flok », Van répondait par un « Oh ! » ou un « Han, han !! ». Elle ne gémissait plus, elle râlait. Son corps s’agitait dans tous les sens, frénétique.

Comme je le lui avais expliqué, Bouddha changeait souvent de rythme, stoppant net quand Van se trouvait aux portes de l’orgasme. Je la connais suffisamment pour savoir qu’il faut la frustrer un peu pour que son orgasme explose. Et puis, je prenais du plaisir à diriger son amant et, indirectement, à dominer son plaisir à elle.



A deux reprises, elle a supplié son étalon de reprendre son pilonnage. À deux reprises, il m’a regardée pour que je lui fasse signe de reprendre.



D’un hochement de tête, j’ai fait comprendre à Bouddha que c’était le moment. Alors, suivant mes conseils, il a enduit son pouce de salive et a commencé à caresser l’œillet de Van. J’ai appris au cours de nos jeux lesbiens que la moindre stimulation anale rend Van déchaînée. Là, cette caresse ajoutée aux coups de butoirs de Bouddha a été dévastatrice. Van s’est mise à ahaner et à crier. Elle répétait sans cesse qu’elle jouissait, que c’était bon, grandiose ; elle disait à Bouddha ne plus s’arrêter, d’aller jusqu’au bout. Elle était complètement partie, hors d’elle, et elle a explosé au moment où Bouddha a enfoncé son pouce dans son petit trou. Là, elle a lâché un long « Ouiiiiiiii ! » strident qui a dû s’entendre jusqu’au bout de la rue.

Le souffle court et les yeux fermés elle est restée immobile, tétanisée, pendant que, derrière elle, son étalon s’est cambré en éjaculant en elle.

Je n’avais jamais vu Van dans cet état ni jouir aussi fortement.



Elle est restée quelques instants immobile et silencieuse, pour reprendre son souffle. Quand Bouddha a retiré son sexe, elle s’est laissée tomber, la tête posée au creux de mon épaule. Je l’ai câlinée ainsi jusqu’à ce qu’elle s’endorme. C’était doux et tendre, le calme après la tempête.


Pas plus tard que le lendemain matin, nous avons refait l’amour avec Bouddha, lui faisant découvrir les joies du cunnilingus. Pendant tout l’été, Van a passé de nombreuses nuits avec lui, mais sans moi : c’était un fantasme à réaliser, une expérience agréable, dont je n’ai pas honte mais que je n’ai pas souhaité renouveler.


Aujourd’hui, avec Van, c’est une fille que nous aimerions introduire dans nos jeux. La quête est ouverte…




Copyright © 2005
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Erotisme torride

Tendre Amour

Bon Scénario

Belle Ecriture

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n° 09600Amenophis23/08/05
Le lendemain de la nuit de noces de Rodolphe
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31803 caractères      
Auteur : Amenophis      Série : Un parfum d'autrefois - 12

Denise continue le récit de la noce de son cousin Rodolphe.


Didier se réveilla avec la satisfaction de constater qu’il bandait dur. Cela lui arrivait fréquemment, mais ce matin il fut en même temps assailli par les souvenirs du récit de Denise sur les circonstances de son dépucelage. Marjorie et Rodolphe lui semblaient former un couple insolite qui nourrissait sa passion et resserrait son union grâce à l’échangisme. Cette passion commune était si forte qu’ils s’y étaient même adonnés le soir de leurs noces. Didier trouvait ça d’un érotisme torride, et comme Denise avait laissé entendre que la suite était aussi chaude, il était impatient qu’elle reprenne son récit. En attendant, comme il avait sa queue bandée sous la main, il s’octroya machinalement une petite masturbation après avoir repoussé la couette. C’était un réflexe habituel qui se déclenchait dès qu’il avait une érection et qu’il était seul. Avant d’avoir eu la chance de baiser avec Elizabeth puis avec Denise, il se branlait normalement plusieurs fois par jour. C’est dans cette position que Denise le découvrit.



Denise était en nuisette vaporeuse, transparente et si courte qu’elle ne couvrait ni sa chatte, ni ses fesses. Ses seins tendaient le tissu et se dessinaient nettement, bouts turgescents. Elle s’assit sur le lit et, relevant la verge bandée tendue parallèlement au ventre de Didier, elle l’emboucha et commença immédiatement à enrouler sa langue autour du gland. Le jeune homme, dont la masturbation avait duré un certain temps, était déjà très excité. Et comme il ne contrôlait pas encore très bien ses réactions, il ne put résister à cette caresse experte. Denise qui sentait venir la décharge voulut stopper le phénomène. Elle abandonna donc sa pipe, mais trop tard ! La première giclée l’atteignit au visage qui fut maculé de la bouche au sourcil droit, la deuxième vint s’étaler sur la nuisette à hauteur des seins. Surprise au début, la jeune femme eut le réflexe de serrer la verge et de bloquer le canal spermatique, pendant qu’elle relevait son léger vêtement pour glisser le sexe de son locataire entre les deux globes laiteux de ses seins avant de libérer l’éjaculation. Le reste de la semence masculine coula de ce fait sur sa généreuse poitrine.



Didier simplement paré d’un shorty, Denise toujours couverte de sa nuisette maculée de sperme entamèrent avec appétit leur petit-déjeûner.




Cet aparté terminé, sur l’insistance de Didier, la jeune femme reprit son récit.


« J’étais contente j’avais eu ce que je voulais. Je n’étais plus « vierge », mon cousin avait fait gicler sa « jute » dans ma chatte, ce dont je rêvais depuis que je l’avais vu éjaculer dans la grange. Il m’avait même aussi enculée, achevant totalement de me dépuceler. Cette nuit et sa prolongation matinale terminées, je pensais que nous allions rejoindre le reste de la noce, puisqu’il était prévu qu’elle se poursuivrait pendant le week-end. Contrairement à l’habitude, le mariage avait eu lieu le vendredi car certains invités venaient de loin. On leur laissait donc le samedi et le dimanche pour se remettre et reprendre la route. Bien sûr pour ceux qui restaient, il était prévu de se retrouver et de continuer la fête.


Marjorie décréta qu’elle avait faim, et je découvris que, finalement, moi aussi je prendrais bien un petit déjeuner. Rodolphe empoigna le téléphone :



Fabien et moi on était complètement largués. Fidèle à sa tactique, l’étalon ne disait pas un mot, mais il faisait les yeux ronds. Je posai donc la question.



J’étais un peu déçue. Un peu choquée. Mais c’était normal que Rodolphe n’ait pas accordé la même importance que moi à cette vieille histoire.



Marjorie lui jeta un regard faussement courroucé.



Rodolphe fut interrompu par l’arrivée du petit déjeuner. La porte s’ouvrit sur une superbe blonde d’environ vingt-cinq ans, juchée sur des hauts talons, vêtue seulement d’un petit tablier de bonne tout blanc qui cachait juste la foufounette, et d’un diadème de soubrette dans ses cheveux mi-longs. Elle exhibait deux seins superbement fiers et bronzés aux aréoles très pâles et aux pointes à peine dessinées. Sans être siliconés, ils ne tremblaient pas d’une ligne lorsqu’elle marchait.



Docile, la soubrette fit demi-tour, le plateau en mains, exhibant un superbe petit cul tout bronzé et totalement nu !



Marjorie sauta du lit et vint se plaquer nue contre les fesses de la jeune femme. Elle se mit à frotter son pubis contre les fesses rebondies et empauma les deux seins qu’elle pelota avec ravissement.



Marjorie après avoir débarrassé la blonde de son fardeau, la prit par la main et l’amena près de la couche où nous avions dormi et baisé tous les quatre.



Carla enlaça d’un bras Rodolphe debout contre le lit, et entreprit de lui rouler une superbe pelle. Dans le même temps, elle lui avait immédiatement prit la verge de son autre main, et entamé une petite branlette vicieuse sur le gland. Ce qui eut pour effet instantané d’achever de le mettre en érection.



Sans hésitation, Carla était déjà en train de diriger l’engin qu’elle tenait en main sous son tablier brodé blanc.



Et Marjorie se mit à tripoter la bite de Fabien qui était déjà presque au garde-à-vous en contemplant la femme de chambre avec son petit tablier.



Tout en parlant Carla s’était penchée sur Fabien et avait commencé à lui léchouiller la bite, agaçant d’un bout de langue agile et experte les terminaisons nerveuses de la base du gland.



Sans attendre, Rodolphe qui n’avait pas débandé depuis qu’elle l’avait habilement manualisé, vint se placer derrière la soubrette qui, aussitôt cambra les reins, exposant son abricot fendu la tête en bas, entre les deux pommes de ses fesses. Il ne lui fallut qu’une seconde pour s’introduire entre les grandes lèvres et commencer à pistonner la belle chatte blonde.



Marjorie me sourit et me prenant par la main m’attira vers le trio en train de s’ébattre au pied du lit. Pour la première fois elle manifestait une réelle sympathie à mon égard. Je pense que d’avoir participé à ce que sa nuit de noces ne soit pas traditionnelle lui inspirait des liens d’amitié. Sans hésiter, elle se glissa assise sous Carla qui écarta les jambes et abaissa son bassin, mouvement que dut suivre Rodolphe, pour mettre leurs sexes à hauteur du visage de la jeune mariée qui aussitôt se mit à lécher les couilles de son mari et la chatte de la blonde. Je suppose que ça dégoulinait un peu, au moins de mouille, car elle se passait régulièrement la langue sur les lèvres. Comme elle avait pris la meilleure place, je ne savais comment m’insérer dans le trio. Mais Fabien résolut le problème en retirant sa verge de la bouche de la soubrette et, m’ayant fait pencher en avant, commença à frotter son gland dans ma raie, allant de la chatte à mon petit trou rond. C’est d’ailleurs là qu’il finit par stopper, et commencer à pousser pour pénétrer mon anus. Je me redressai vivement en me retournant, et je lui empoignai les couilles de la main droite.



Fabien haussa les épaules sans répondre, et dès que je me fus remise en position, docilement il m’enfonça sa grosse queue dans le vagin. Carla était peut-être frustrée de ne plus sucer cette magnifique queue d’âne, mais moi j’étais comblée ! J’étais à nouveau dans un état pré-orgasmique lorsqu’une nouvelle personne entra dans la chambre. Cette fois, la porte s’ouvrit sur une superbe brune d’environ quarante ans. Juchée elle aussi, sur des hauts talons, vêtue d’un tailleur gris très strict, ses cheveux bouclés d’un noir de jais tombant sur ses épaules. Mais la jupe était fendue jusqu’à la taille, la veste du tailleur était ouverte, et elle ne portait rien dessous. Ses deux seins superbement fiers et bronzés aux aréoles très bruns et aux pointes turgescentes étaient suffisamment gros pour écarter complètement les deux pans de la veste.



C’était un peu surréaliste car l’intrusion de la Comtesse, puisque Comtesse il y avait, n’avait arrêté ni Rodolphe, ni Fabien. La soubrette avait d’ailleurs fourni ses explications sur un rythme saccadé que les coups de queue de Rodolphe avaient rythmé. Quant à moi, l’engin de Fabien avait fait son effet, et je jouissais comme une folle.



Obéissant et obtus, Fabien me lâcha en plein orgasme. Et comme il l’avait déjà fait avec Marjorie quand nous les avions surpris, il se mit à décharger en quittant mon vagin. Il avait une superbe queue, certes, mais elle avait une fâcheuse tendance à s’épancher lorsqu’elle quittait une chatte. Mes fesses et mon dos furent arrosés de deux longues giclées, et en se tournant il envoya le reste dans les cheveux blonds de la soubrette toujours penchée sous les coups de bite de mon cousin.



Elle s’avança juchée sur ses hauts talons, et s’empara de la queue encore bandée. En bonne connaisseuse de la mécanique masculine, elle fit tout pour entretenir l’érection de notre étalon. D’abord elle la prit en mains et flatta la base du gland hyper sensibilisé par l’éjaculation qu’il venait de produire. Puis, en se léchant ostensiblement les commissures des lèvres, elle se pencha sur l’engin, et commença à le titiller d’un bout de langue expert et tout pointu. Puis d’un seul coup, elle ouvrit largement la bouche et engloutit le gland. À voir ses joues creusées, il était sûr qu’elle devait sucer au maximum ce qu’elle venait de gober. Après quelques minutes de ce traitement qui, non seulement nettoyait la verge de Fabien en absorbant les dernières gouttes de jute qui s’écoulaient du méat, mais qui, par une friction de la langue sur la base du gland, entretenait vigoureusement l’érection du jeune homme, l’énorme bite redevint aussi dure que quand il m’avait pénétré la moule.


C’est à ce moment là qu’une partie des qualités exceptionnelles de la dame s’exprimèrent ! Ouvrant largement la bouche, elle engloutit cette queue monstrueuse pratiquement jusqu’à sa base. Inutile de dire qu’elle devait se l’être enfoncée plus loin que la glotte. Nous étions tous fascinés. Rodolphe avait abandonné le sexe de Carla et regardait, bouche bée, le spectacle. Sans débander d’ailleurs. Sa bite agitée de légers soubresauts prouvait qu’il s’était arrêté alors qu’il était près d’éjaculer dans le vagin de la soubrette. Je remarquai qu’une goutte de liquide pré-spermatique luisait au bout de son gland qui encensait comme un cheval nerveux. Carla s’était, du coup, redressée avec un petit sourire de contentement et qui voulait dire : « Vous allez voir de quoi elle est capable la patronne ». Quant à Marjorie, privée des sexes qu’elle gougnottait, elle regardait aussi la performance de la comtesse.


Je n’avais jamais vu faire ça et je pense que peu de femmes en sont capables, mais Charlotte pouvait réellement sucer la grosse queue de Fabien avec le fond de sa gorge. Sans ressortir plus de cinq à six centimètres de chair, elle se mit à pomper le superbe dard du garçon d’honneur. Il venait juste de décharger, et comme je l’ai dit, il y avait encore des gouttes qui perlaient au bout de son gland. Mais cela n’empêcha pas que le traitement que lui infligeait la comtesse fut tel qu’il eut une nouvelle éjaculation en moins de deux minutes. Son visage se crispa, il plongea ses doigts dans la magnifique chevelure brune et pour la première fois de la soirée, je l’entendis s’exprimer :



Fabien avait sans aucun doute envoyé de grandes giclées de sperme. Nous n’en vîmes pas une goutte. La comtesse avala tout. Sans un haut-le-cœur ! Lorsque manifestement la verge de l’étalon fut au bout de sa décharge, elle ressortit lentement l’engin de sa bouche. Il avait perdu de sa superbe, et ne se redressait plus. Mais il restait gros en diamètre, preuve qu’il avait été soumis à une excitation de feu.



Marjorie, après avoir contemplé l’intervention de notre hôtesse avec ravissement, se précipita dans les bras de celle-ci.



Sur ces mots, Carla et sa patronne s’éclipsèrent et nous nous jetâmes sur le petit-déjeûner.


A suivre…




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n° 09669Stéphanie, 25 ans, blonde et fine.12/09/05
Un engin exceptionnel
critères:  fh extracon grossexe chantage exhib noculotte fmast fellation cunnilingu pénétratio fdanus ecriv_f
21592 caractères      
Auteur : Stéphanue      Série : Les "membres" de l'équipe - 01

Je m’appelle Stéphanie, j’ai 25 ans, je suis blonde, grande et fine. J’attire souvent les regards des hommes avec mon 90C et mes fesses bien formées, montées sur de longues jambes, et j’avoue que cela me plaît. Je suis mariée avec Olivier depuis maintenant trois ans et je suis consciente que si tout se passait bien au début, la routine a vite gagné notre vie de couple, au point que j’ai eu envie de le quitter. Mais laissez-moi plutôt vous raconter pourquoi je suis restée…




Il y a donc deux ans de cela, la routine commençait à gagner notre couple. L’homme sportif et drôle - un grand brun aux yeux verts - que j’avais connu se transformait peu à peu - disons-le clairement - en BEAUF !

Avant, nous passions des week-ends romantiques à nous balader, à discuter, à partager nos activités… Maintenant, c’est son club de foot qui passe avant tout le reste, moi y compris. Entre les entraînements de la semaine, les compétitions du dimanche, la télé entre potes les soirs de match… Bref, j’avais ma dose, jusqu’à ce que je trouve mon propre intérêt dans les "membres" de son club.


C’était au mois de mai. Olivier avait organisé un barbecue, le samedi soir, à la maison, pour galvaniser ses troupes en vue d’un match important le lendemain. J’oubliais de vous dire: Olivier est évidemment le capitaine de son équipe de dernière division départementale, catégorie pieds tordus.


Comme d’habitude dans ce genre de soirées, les hommes étaient autour du barbecue, une bière à la main, en train de refaire les matchs précédents ou de stratégiser sur le prochain, en rêvant des éventuelles répercussions sur leur classement, tandis que leurs épouses ou compagnes du moment se prélassaient dans les chaises longues du jardin en déblatérant sur les célébrités en vue et leurs aventures, plus ou moins cachées ou réelles.

Moi, comme toujours, en bonne maîtresse de maison, j’allais d’un groupe à l’autre avec les plats, entre les bouteilles pleines à vider et les verres vides à remplir.


Je ne sais pas pourquoi, cette soirée en particulier me devenait pénible. Peut-être parce que c’était la je-ne-sais-plus-combien-tième depuis le début de la saison ou peut-être tout simplement me rendais-je compte que je n’avais ma place ni dans l’un, ni dans l’autre groupe.

En tout cas, je songeais sérieusement à aller me coucher avant même la fin de l’apéritif, lorsqu’une conversation accrocha mon oreille et mon intérêt par la même occasion.


Les filles, sans doute grisées par la haute teneur en alcool du petit vin d’oranges maison, avaient dévié des sempiternelles coucheries de stars vers un thème bien plus intéressant : le sexe.

Lorsque je m’approchai d’une oreille attentive, je compris qu’elles en étaient aux performances et mensurations de leurs hommes respectifs qui, à quelques mètres de là, ne se doutaient pas que leurs attributs étaient décrits publiquement avec force détails et à grand renfort de gestes ou de comparaisons avec des fruits et légumes, tels que la banane ou la carotte.


Un peu à l’écart de la discussion, je riais doucement en sirotant ma pina-colada à la paille. J’observais chacune de ces bimbos vanter les mérites de leurs apollons. Je les soupçonnais d’en rajouter un peu, voire beaucoup, sur les détails techniques.

Pour ma part, je me disais qu’il valait mieux pour Olivier que je n’entre pas dans la conversation, car son équipement était loin de la moyenne de ceux que j’avais connus auparavant, encore moins de ceux que ces filles décrivaient.


C’est à ce moment-là que je me rendis compte que dans son coin, la timide Nancy rougissait, mais ne pipait pas un mot. Je fis donc le tour du groupe pour me poser sur le transat laissé libre à ses côtés. Je lui murmurai :



En effet, Nancy, comme son nom ne l’indique pas, est Allemande, fraîchement débarquée de sa Bavière natale avec son mari Torsten. Si lui était grand, fin, roux à la peau très blanche, elle était petite, brune teinte en blonde (les filles savent reconnaître ces détails), avec des formes très avantageuses, car un peu rondes.



Elle me sourit gentiment d’un air entendu.



Elle se remit à rougir et n’osa pas répondre.



Elle rougit encore et je la vis qui voulait bien en parler, mais pas à tout le monde.



Là, j’y allais un peu fort, mais elle avait trop attisé ma curiosité pour que je la laisse éviter le sujet. Toujours timidement, elle jeta un coup d’œil circulaire pour voir si personne ne la regardait et, rapidement, m’indiqua avec ses deux mains un engin d’une bonne vingtaine de centimètres. Pas loin du double de mon Olivier.



Même rituel de vérification de l’entourage, et elle m’indiqua, avec ses deux mains, un diamètre hors norme, nettement trop large pour une seule main ! Là, je ne pus m’empêcher de penser qu’Olivier était battu à plate couture.



Elle rougit encore et me dit dans un filet de voix:



Je n’en croyais ni mes yeux ni mes oreilles. Je ne pouvais détacher mes yeux de ses mains, qui avaient décrit un engin pareil. Soudain, dans un flash, je me tournai vers le groupe des garçons et je vis Torsten, debout au milieu des autres, les dépassant d’une tête avec sa toison rousse. Je l’imaginai surtout nu, imberbe, sauf sa touffe surplombant une queue qui lui descendait jusqu’au milieu de la cuisse. Nancy surprit mon regard et, loin de s’offusquer, me sourit d’un air complice.



Elle se mit à rire elle aussi, mais ne répondit pas.

En moi-même, je pensai :

"Ma petite Nancy, d’accord ou pas, je vais me le faire, ton Torsten !"

Mon sexe en palpitait déjà d’envie.


J’avais hâte que la soirée se finisse. Toutes les cinq minutes, je jetais un œil en direction de Torsten, et je ne pouvais lever mon regard de son short, qui avait l’air bien rempli.

Plus tard, lorsque tous les invités furent partis, non sans que je fasse une bise appuyée d’un clin d’œil à Nancy, pour son "tuyau", et que je me frotte un peu à Torsten, je ne pouvais toujours pas chasser l’image de cet engin de mon esprit.


Une fois au lit, Olivier commença à me caresser et fut fort étonné de me trouver déjà toute mouillée.



Il me tripota le clitoris maladroitement, à son habitude. Je me plaçai donc rapidement en levrette pour qu’il me prenne sans que je le voie et, surtout, pour que je puisse me tripoter moi-même. Je cambrai les reins au maximum et l’encourageai :



Je l’entendais souffler comme un bœuf pendant qu’il me pilonnait. J’imaginai la grosse queue de Torsten déchirant mon antre alors que j’agitais frénétiquement mes doigts sur mon petit bouton d’amour. Je ne tardai pas à jouir, à ce rythme-là, alors qu’Olivier m’envoyait la purée, avant de s’écrouler, épuisé.

Aussi sec, il se retourna et me lança :



Le salaud me laissait en plan, sur ma faim, pour son stupide match de foot.

Toi, mon ami, tu ne perds rien pour attendre. Tu seras cocu bientôt.




Le lendemain matin, je me lève tard. Olivier est déjà parti. Mon sexe est déjà en feu, car j’ai rêvé toute la nuit de la queue géante de Torsten. Un plan a d’ailleurs germé dans ma tête pour parvenir à mes fins. Pour une fois que le foot va me servir à quelque chose !


Il fait déjà chaud et je me prépare rapidement. Un petit tour sous la douche pour me faire belle. Au passage, il faut que j’éteigne le feu qui brûle mon bas-ventre. Je dirige le jet sur mon clitoris. L’écoulement de l’eau sur mon bouton d’amour m’excite au plus haut point. Je ne tarde d’ailleurs pas à jouir en gémissant très fort.

Ce Torsten va devoir éteindre lui-même ce qu’il a contribué à initier - bien involontairement, je dois le reconnaître -.

Déjà 11 heures. J’enfile une robe d’été ample et légère. Elle laisse deviner ma poitrine ferme dont les tétons pointent agressivement. J’enfile un string blanc minimaliste et je me ravise. Après tout, autant ne pas en mettre, ça aidera peut-être à calmer mes ardeurs.


Je saute dans ma voiture, direction le stade. C’est bien la première fois que je suis excitée d’aller voir mon homme jouer au ballon. Le contact du cuir du siège sur mes lèvres lisses m’électrise encore plus. Heureusement que le chemin n’est pas long, sinon j’aurais tout trempé.


Une fois arrivée, je me glisse au premier rang des gradins, avec le lot des supportrices, dont la plupart était chez moi hier soir. Nancy n’est pas là, tant mieux pour moi. Mon mari est sur le terrain et court partout et en tout sens. Je cherche désespérément des yeux mon cher Torsten, mais je ne le vois pas.

En fait, on se trouve juste au-dessus du banc des remplaçants de « notre » équipe et c’est lorsqu’il se lève que je le vois enfin.


Il attrape une bouteille d’eau et, tout en buvant, se tourne vers nous. Il m’aperçoit et me sourit, quand je le vois qui bloque et manque de s’étouffer. Je ne comprends pas tout de suite, mais je suis son regard et m’aperçois que, de là où il est, comme je suis en hauteur, il peut tout voir de mon abricot minutieusement taillé et entièrement dévoilé.

Lorsque je me rends compte de la vision qu’il peut avoir, au lieu de fermer les cuisses, comme l’aurait fait n’importe quelle femme sage, je les écarte négligemment, en le fixant droit dans les yeux.

Il rougit aussitôt et ne sait plus quoi faire. Il finit par se rasseoir, tout confus. Je me dis :

« Un point pour toi, ma Steph ! »


Le match se termine sur une victoire difficilement conquise par nos joueurs. Les hommes filent aux douches. J’avoue que j’aimerais bien aller y jeter un œil pour m’assurer de l’équipement des joueurs.

Lors du traditionnel pot de l’amitié, j’embrasse rapidement et distraitement mon mari et vais me servir un verre de sangria. Au passage, je me frotte à Torsten qui, lorsqu’il se rend compte à qui appartiennent ces seins arrogants, ne sait encore plus où se mettre.

Je me faufile de groupe en groupe et j’entends au passage l’opportunité qu’il me manquait : Nancy, qui était arrivée entre-temps, est en effet en train d’expliquer à Olivier, le capitaine, qu’elle ne pourra pas laver les maillots de l’équipe comme d’habitude, car leur machine est en panne. Olivier semble très embêté. Je saute dans la conversation et leur dis :



Olivier est tout surpris, car j’ai toujours refusé de prendre en charge leurs maillots puants de sueur. Me taper les matchs, passe encore ; faire la bonniche, non merci !

Mais là, j’ai une autre motivation, d’au moins vingt centimètres.



Olivier est ravi de cette solution et Nancy se sent rassurée que le problème soit réglé sans qu’elle perde le contrôle de cette tâche qui la rend utile.


Le lendemain soir, je suis excitée comme une puce. J’ai passé la journée à préparer la soirée. Je me suis apprêtée au mieux : une robe noire légère, fendue sur le côté et, bien entendu, rien en dessous. Des escarpins très hauts qui me font la jambe un peu plus longue et bien galbée. Quelques traits de maquillage, lumières tamisées.

Je mouille déjà comme une fontaine à l’idée de ce qu’il va (enfin) se passer.


À 19 heures pile, ponctualité allemande, Torsten sonne à la porte. Il porte une chemise blanche sur un pantalon en jean crème et, surtout, un énorme sac de linge. Je me rappelle maintenant pourquoi je n’ai jamais voulu m’en occuper. Il me dit timidement :



Une fois arrivés, je lui dis :



Il s’accroupit donc pour me passer un premier maillot. Je me penche volontairement à l’extrême, jambes tendues et légèrement écartées, pour enfourner le tissu dans le tambour frontal de la machine. Au deuxième maillot, je me retourne et le vois rougir d’un seul coup. Je fais mine de ne rien voir et continue mon manège.


Après que nous ayons vidé le sac, je mets la machine en route, je me retourne vers lui et le provoque :



Il est confus et bredouille des excuses.



Je lève le bas de ma robe et lui montre mon minou épilé, avec juste un petit triangle sur le haut du pubis.



Sans qu’il ait le temps de réagir, je m’approche de lui, qui est toujours accroupi, le visage à hauteur de mon abricot, et lui dis :



Il bredouille encore quelques mots confus et ne sait que faire.



Hypnotisé par la vision, il s’approche timidement et pose un léger baiser sur mon pubis.



Je sens déjà le jus de mon sexe commencer à couler le long de mes jambes tellement je suis excitée. Il avance de nouveau sa tête et pose plusieurs baisers à la suite. Enhardi par ma réaction, il pointe sa langue sur mes lèvres lisses. Ce contact m’électrise. Il continue à jouer de sa langue sur mon sexe, glisse entre les lèvres et remonte vers mon clitoris, dressé comme un petit sexe, qu’il décapuchonne. Cette langue chaude et humide sur mon sexe trop excité me provoque une décharge de plaisir inattendue.



Torsten, à mes pieds, ne fait plus du tout le timide et, voyant que je lâche le contrôle, suite aux sensations qu’il me provoque, prend de l’assurance et empoigne mes hanches pour leur imprimer un mouvement d’avant en arrière.

Je me frotte littéralement sur sa langue qui fouille les moindres recoins de mon sexe.


Pendant ce temps, j’ai lâché sa chevelure abondante pour prendre en main ma poitrine dure aux tétons dardés par l’excitation. Je les libère de la robe et commence à les pétrir sans ménagement.

Torsten me fait allonger pour avoir plus de latitude et continue ses jeux de langue, pendant qu’il use de ses doigts pour pénétrer mon vagin dégoulinant de cyprine.

Je soulève mon bassin en cadence pour venir à la rencontre de ses doigts investigateurs. À ce rythme-là, je ne tarde pas à sentir la jouissance monter jusqu’à exploser littéralement, alors que je plaque la tête de Torsten sur mon sexe pour qu’il continue, pendant que mon corps est secoué des spasmes du plaisir.


Epuisée, je me laisse tomber sur le carrelage.



Le tissu du jean est plein à craquer. La situation a l’air de lui plaire. Je pose ma main sur sa poitrine et le fais s’allonger, pour me laisser reprendre le contrôle des évènements. Je déboutonne sa chemise et dépose des baisers sur tout son torse imberbe. Je lèche ses tétons et les mordille avec gourmandise.

Je descends lentement vers mon objectif. Je défais sa ceinture et les boutons de son jean.


L’objet de ma gourmandise, moulé dans un boxer, n’est plus séparé de ma bouche que par une infime barrière de tissu. Je passe ma main le long de ce colosse chaud et puissant et le branle à travers le tissu. Je sors ma langue au maximum et je la passe sur son gland.

Torsten a fermé les yeux et gémit de plaisir. Je passe une main de chaque côté du boxer et le fais glisser vers le bas pour libérer le monstre. Lorsque le diable sort de sa tanière, je comprends que Nancy n’a pas exagéré : son engin est vraiment énorme. Il me faudrait une troisième main pour le couvrir entièrement sur la longueur, et encore ! Je n’arrive pas à l’entourer entièrement de mes doigts.


Mes lèvres palpitent déjà à l’idée de sentir cette colonne de chair à l’intérieur. Je prends l’objet en main et commence à lécher la hampe sur toute sa longueur. D’une main, je soupèse ses bourses, énormes et lisses. Il doit se les raser.

Ma main court le long de l’engin, et je prends le gland en bouche.


Torsten gémit à la sensation de ma langue chaude sur son gland. J’essaie de gober toute sa tige, mais elle est tellement grosse que je n’arrive même pas à la moitié, alors que je la dévore à pleine gorge, à la limite du trop-plein. Je suce et lèche ce gourdin comme une vorace, alternant les passages dans ma bouche avec les caresses de ma langue, branlant l’animal énergiquement sous les gémissements de ma proie.


Je sens qu’à ce rythme, Torsten ne va pas tarder à venir et c’est justement ce que je cherche. Je veux sentir sa semence chaude m’exploser dessus.

Je branle maintenant ma victime à deux mains, léchant le bout avec gourmandise, quand je sens l’engin grossir encore jusqu’à m’exploser au visage.


Je prends quelques jets longs et épais dans la bouche mais, surprise par la puissance, je dois laisser les autres s’envoler vers mon visage et mes seins. Moi qui ai toujours refusé ce final à mon mari…

Je me régale ensuite à lécher avidement les moindres traces de jus d’amour. Puis je remonte le long du corps de mon amant épuisé et l’embrasse à pleine bouche, lui faisant goûter ses propres sécrétions. Je reconnais d’ailleurs sur sa langue le goût de ma cyprine.


Torsten est littéralement vidé, mais je n’en ai pas fini avec lui. Ma petite chatte réclame son gros bâton, dont elle rêve depuis plusieurs jours maintenant.

Je commence donc à me frotter le clitoris sur la longue tige à moitié ramollie. Je quitte ma robe maculée de traces suspectes, pour donner ma poitrine à téter à l’objet de mes désirs. Il joue de sa langue si habile sur mes tétons dressés d’excitation et les gobe avec bonheur. Sa queue reprend doucement sa taille hors norme, au fur et à mesure de mes mouvements de bassin.


Torsten recommence à gémir de plaisir et m’attrape les fesses pour imposer son rythme. Lorsque je le sens dur à ma convenance, je prends sa longue hampe et la présente à l’entrée de ma grotte aux plaisirs.

Le calibre est vraiment en dehors de toutes les catégories que j’ai pues connaître auparavant et j’appréhende un peu, mais mon sexe est tellement lubrifié par l’excitation que l’entrée se fait en douceur.

Je n’en reviens pas de pouvoir faire entrer un tel engin en moi. Je me sens incroyablement remplie par cette colonne de chair qui vient buter contre le fond de ma matrice.


Je laisse passer quelques secondes, pour m’habituer à ces dimensions exceptionnelles, et je me mets doucement à aller et venir sur cette barre de chair. Je joue à me pénétrer uniquement du bout de la hampe, pour quelques allers-retours, avant de m’empaler dessus.

C’est vraiment trop bon ! Torsten semble beaucoup apprécier mes initiatives et je sens monter de nouveau la pression, mais il est encore trop tôt, j’en veux plus.


Je me lève et je prends appui sur la machine à laver, qui tourne maintenant à fond pour l’essorage. Je me tourne et lui dis :



Il ne se fait pas prier et vient vers moi, la pine à la main. Il me l’enfonce petit à petit, centimètre par centimètre, savourant sa supériorité qui lui donne accès à des plaisirs interdits. Je crois que la vision de mes fesses rebondies offertes à ses caprices l’excite encore plus.

C’est à grands coups de boutoir qu’il me prend sans ménagement. Me tenant par les hanches, il me défonce en jurant en allemand. Il prend mes fesses dans ses mains et se déchaîne dessus.


Surprise, je sens son pouce s’immiscer dans sur ma petite rondelle. Je ne suis pas habituée à ce genre de caresses et cela me déclenche un nouvel orgasme. La pression monte de plus en plus, les vibrations et les mouvements de la machine à laver, accordés au piston géant qui me perfore à tout va, déclenchent de nouvelles sensations.

Torsten ne tarde d’ailleurs pas, lui non plus, à jouir sous ce traitement, et nous poussons ensemble un long râle de plaisir.


Définitivement épuisé, Torsten est maintenant penaud, le pantalon sur les genoux, le drapeau en bannière. Je le remercie avec une bise sur la joue et lui remets les maillots désormais propres en lui disant :



Il part précipitamment sans demander son reste. Nous nous sommes vus de nombreuses fois par la suite, mais ça, ce sera le sujet de nouvelles confessions.





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n° 09708Stéphanie, 25 ans, blonde et fine.22/09/05
De muscles et d'ébène
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11824 caractères      
Auteur : Stéphanue      Série : Les "membres" de l'équipe - 02

Après cette première aventure (voir récit 9669), j’ai pris le goût de l’adultère. Plus mon mari passait de temps avec son équipe de football, plus je tentais de me rapprocher des « membres » de l’équipe. C’est ainsi que j’ai connu Kéli.


Kéli est Camerounais. Il a à peine dix-huit ans et est arrivé en France l’été dernier. Il s’est inscrit au club de foot dès la rentrée dans le but de rencontrer du monde. D’après mon mari Olivier, c’est un excellent atout pour l’équipe. Pour ma part, ses capacités physiques m’intéressent bien moins que l’envie irrépressible de goûter au bois d’ébène et de vérifier que la réputation des blacks n’est pas usurpée. Je commençais donc à échafauder mon plan.


Un dimanche d’octobre ; un autre match. Celui-ci est amical, pas de grand enjeu en théorie, mais les joueurs y vont franco et les contacts virils sont très fréquents. Kéli, par oubli ou manque de budget (je n’ai jamais su), ne joue pas en crampons, mais en simples chaussures de sport. Pas étonnant donc qu’au bout d’une demi-heure, à la faveur d’un « contre » (il paraît que ça s’appelle comme ça) un peu trop bourrin, il s’écroule du haut de son mètre quatre-vingt dix en se tenant la cheville. Il sort du terrain en boitant et se dirige vers les vestiaires. Pour lui, la partie est finie. Pour moi, elle ne fait que commencer car je ne vais pas laisser passer une occasion pareille !


Le vestiaire pue la terre, l’herbe mouillée et surtout la sueur froide. Le sol de béton brut semble froid et le mobilier se limite à quelques bancs et des patères sur les murs. Même pas de casiers pour ranger les sacs jetés en vrac sur les bancs ou à même le sol. Il va falloir se passer de tout confort.


À ce point du récit, je dois vous décrire comment je suis habillée : je suis aujourd’hui en jogging. Pas très sexy, vous allez me dire ! C’est vrai pour la plupart des filles qui les utilisent pour cacher leurs formes, mais si l’on sait s’en servir de la bonne façon, c’est une arme fatale pour les hommes. En effet, ceux-ci se retournent souvent et facilement dans la rue sur une jupette un peu courte ou un décolleté plongeant. Un jogging est bien plus indiqué pour une attaque surprise, car une vision fugace que vous croyez volée vous fait souvent baisser votre garde. Mais laissez-moi plutôt vous le démontrer…


Kéli est là, assis sur un banc, la tête entre les mains. Je me dirige vers lui et lui demande :



Je lui lance avec un clin d’œil.



Je me dirige alors vers un coin du vestiaire où j’ai repéré le sac d’Olivier où je sais qu’il garde des bandes et des crèmes anti-inflammatoires. Je sens le regard de Kéli qui me suit, certainement posé sur mes fesses moulées dans mon jogging. Mon string est tellement fin qu’il doit se demander si je porte quelque chose en dessous. Je m’accroupis devant le sac d’Olivier à la recherche de sa trousse de pharmacie. Mon jogging est si serré et bas à la taille que je sais que Kéli ne peut plus avoir de doutes sur ma lingerie. Le papillon dessiné par la dentelle bleue de ma culotte doit s’être envolé de sa cage de coton, capturant le regard du bel africain. Je me retourne rapidement et lui demande innocemment :



Gagné : je suis sûre qu’il matait ma culotte, le cochon. Il tourne rapidement la tête dans la direction opposée et bafouille :



Je parie que, s’il n’était pas black, il aurait rougi à ce moment-là. La fameuse boîte à pharmacie en main, je me mets à genoux aux pieds de Kéli. Je suis très affairée à répartir les affaires sur le sol, mais je sens son regard posé sur moi. La veste du jogging est ouverte sur un petit top moulant parfaitement ma poitrine que j’aie plutôt fière et ferme (90C). Mes tétons dressés par l’excitation ne laissent certainement aucun doute à Kéli sur le fait que je ne porte pas de soutien-gorge. Ma position me permet de serrer les bras, ce qui a pour effet de comprimer ma poitrine et d’augmenter encore mon décolleté. Je tourne mon visage vers le haut et croise le regard de Kéli. Encore pris la main dans le sac ! D’ailleurs, quel homme résisterait à la vision d’une belle plante à genoux à ses pieds, soumise et accessible ? Un simple coup d’œil au short de Kéli me permet de voir que je ne me trompe pas : ce garçon n’est pas de bois…


Je lui prends délicatement le pied et lui retire lentement ses chaussures et chaussettes sans lui faire mal. Sa cheville a en effet déjà bien gonflé. Je prends une noix de gel et commence à lui masser doucement les chevilles. J’admire ses muscles qui roulent sous mes mouvements. Je sens une puissance incroyable dans ce jeune garçon. Mon excitation monte encore d’un cran. J’ai chaud et je me sens mouiller. Je voudrais déjà avoir son gland dans ma bouche. Je lui parle tendrement pendant que je le masse, lui expliquant les blessures que j’ai déjà rencontrées, mais aucun de nous deux n’est vraiment intéressé par cette discussion, concentrés que nous sommes sur ce point de contact sensuel. Ma respiration s’accélère. Je déroule avec précision la bande de tissu autour de sa cheville ; il est comme hypnotisé par mes gestes, par mes paroles et par ce qu’il voit.


En fait, je suis émue par ce post-adolescent candide. Je suis venue en conquérante pour un passage en force comme avec Torsten mais, maintenant qu’il est à mes pieds, c’est moi qui fonds. Je me redresse lentement vers son doux visage, mes yeux plongés dans les siens. Ma main gauche remonte de sa cuisse le long de son torse, jusqu’à son cou. Comme dans un film au ralenti, je ferme les yeux et l’embrasse. Il semble d’abord surpris, immobile, ne sachant comment répondre. Il se laisse ensuite gagner par ce suave baiser, ouvre les lèvres et prends les miennes entre les siennes. C’est comme si une vague de tendresse s’engouffrait en moi par ma bouche et me comble jusqu’au bout de mes extrémités, provoquant un suintement de bonheur entre mes cuisses. Nos langues s’emmêlent maintenant avec force et fureur.


Je n’en peux plus ; j’ai un besoin physique de cet homme, de le sentir en moi. Je glisse ma main dans son short et en sors un sexe lourd à moitié bandé. Je branle doucement cette masse de chair et la sens durcir rapidement. De son côté, Kéli n’est pas en reste. Il m’enlève ma veste de jogging et mon top suit dans la foulée, libérant ma poitrine durcie à l’extrême. Kéli fait glisser ses grandes mains le long de mes épaules, soupèse mes globes et fait rouler mes tétons sous ses doigts agiles. C’est exquis. Kéli bande maintenant comme un taureau. Mon Dieu, quel engin ! Un peu plus court que Torsten, certes, mais encore plus large. Ma main que j’ai pourtant longue et fine n’en fait pas le tour. Je suis fascinée par cette bite circoncise, noire au gland rouge, que je vais maintenant essayer d’emboucher. Je griffe doucement de mes ongles ses boules lourdes et rasées (quelle délicate attention !) cependant que je colle ma bouche le long de sa hampe et remonte jusqu’au frein. Ma langue, suivie de ma main, s’enroule autour de ce pieu noir.


Je mouille vraiment comme jamais ; mon string doit être à tordre. Je glisse une main dans ma culotte et introduit un doigt inquisiteur entre mes lèvres pour le déposer exactement entre mon petit bouton d’amour et mon puits de plaisir. Ce petit replat est mon coin préféré. Je commence à y effectuer des petits cercles de plus en plus larges, frôlant au passage mon clitoris gonflé et mon vagin détrempé. De l’autre côté, j’ai du mal à prendre dans ma bouche ce mât juteux, tellement il est gros. Tous nos sens sont exacerbés. D’abord les mains expertes de Kéli sur mes seins, triturant mes tétons ; ensuite ma main, ma bouche, ma langue, mes lèvres sur ce gourdin exceptionnel ; et enfin mes propres doigts qui vont et viennent entre mon clitoris et mon vagin ; tout cela contribue à me faire exploser dans un orgasme fulgurant. Mon vagin est secoué de spasmes de plaisir. Toute à mon plaisir, je continue à secouer comme une furie le vit d’ébène qui ne tarde pas à expulser sa purée blanche. Surprise, je ne m’étais pas aperçue que Kéli allait venir. J’en prends plein les cheveux, sur les joues et sur ma poitrine. Je me jette sur la pine pour pomper le reste de l’impressionnante quantité de jus d’amour qui en sort.


Empoignant sa bite à pleine main, je la nettoie parfaitement de ses souillures. Elle reprend de la vigueur. Je n’en peux plus, il faut que je sente ce superbe engin en moi. J’enrobe la verge vibrante d’un fin plastique en sachet et je grimpe à genoux sur les cuisses de Kéli et guide son pieu dans ma fente. Il est vraiment plus large que Torsten. Je peux le sentir à la distorsion de mes lèvres qui accueillent ce pieu que je m’insère lentement, centimètre par centimètre. À un moment, je crois même qu’il ne pourra jamais rentrer tout à fait, mais la progression continue et me fait monter un peu plus vers l’extase, jusqu’à ce que je le sente buter au fond de ma matrice, ce qui me déclenche un nouvel orgasme. Tout cela est vraiment exceptionnel.


J’attrape à pleines mains les patères au-dessus de la tête de Kéli. Je m’aide de ces ancres murales et de mes cuisses pour contrôler ma remontée. Chaque centimètre de chair qui sort de mon antre y laisse un grand vide. À ce moment précis, je me rappelle ce que ma mère me disait toujours :


« On se rend compte de ce que l’on a quand on le perd »


T’en fais pas, maman ! Ce coup-là, je vais pas le laisser partir de si tôt ! À la lisière de ma fente, je m’empale de nouveau avec un râle de plénitude. Je recommence l’opération, de plus en plus vite, sur toute la longueur de ce pieu de béton chaud et humide. Mes seins se balancent au rythme de mes hanches endiablées. Au passage, Kéli ne peut s’empêcher de lancer sa langue autour de mes tétons. Je joue tellement loin avec la longue tige qu’elle finit par sortir accidentellement de mon con. J’attrape d’une main la barre d’acier, pose ma tête au creux de l’épaule de Kéli et me frotte lentement et longuement le clitoris sur toute la longue de sa tige en ondulant du bassin. Ce contact m’électrise ; je ne vais pas tarder à jouir, mais je veux sentir son jus exploser en moi. Je replonge donc la colonne de chair en moi et glisse mes mains autour du cou de Kéli et le plaque contre ma poitrine. Il pose ses mains sur mes fesses qu’il écarte exagérément. Sa bite gagne encore un ou deux centimètres de profondeur et mon plaisir augmente d’autant. Je me déchaîne maintenant avec rage pour monter vers l’extase. Kéli et moi crions notre plaisir qui résonne sur les murs nus du vestiaire alors que je sens sa queue gonfler. Nous accélérons encore notre rythme effréné jusqu’à ce que dans un râle guttural et primitif Kéli explose dans le latex. Cette sensation me fait partir au septième ciel alors que je continue ma pompe diabolique, ralentissant lentement la cadence.


Epuisée, les genoux meurtris, je remercie Kéli de cette séance exceptionnelle et m’éclipse avant que la mi-temps ne ramène les joueurs aux vestiaires. Après le match, mon mari Olivier me confie qu’il n’est pas étonné que Kéli se soit blessé car il l’avait retrouvé littéralement « à plat » à la mi-temps. Je ne peux m’empêcher d’esquisser un sourire avant de lui répondre que le garçon aurait certainement besoin de repos car il avait l’air d’être « vidé ». Plus tard dans la soirée, Olivier me fait remarquer que j’aurais pu mettre autre chose qu’un jogging car ce n’est pas sexy. Le pauvre ne connaît pas les secrets cachés des joggings. Et vous, mesdames et messieurs, qu’en pensez-vous ?





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n° 08834Robert10/04/05
Cocu et voyeur
critères:  fh extracon cocus copains grossexe grosseins fellation pénétratio
12881 caractères      
Auteur : Robert


Ce n’est qu’en fin de matinée que je m’aperçut que j’avais oublié le dossier "Mallard" à la maison. Je l’avais emporté la veille au soir pour finir de l’étudier en vue de la réunion du lendemain, et ce matin, pressé par le temps, je l’avais oublié… Je décidai de profiter de l’heure du déjeuner pour passer le prendre à la maison. Cela ne m’arrivait quasiment jamais, et j’étais à mille lieues de me douter de ce qui m’attendait!


Mon déjeuner expédié "sur le pouce", je pris le chemin de la banlieue résidentielle où nous habitions. Il y avait peu de circulation à cette heure là et j’arrivai rapidement dans notre rue très calme. C’était l’été, il faisait chaud et personne ne flânait à cette heure où le soleil est si violent.

Peu de voitures le long des trottoirs et je n’en aperçus que mieux la 205 rouge qui était garée devant chez nous; pas de doute, c’était celle de mon ami Paul !

Cela m’étonna bien un peu car je me demandais bien ce qu’il pouvait faire chez nous à cette heure, mais très vite je me dis que sans doute, sa femme Brigitte, devait avoir emprunté sa voiture, comme cela arrivait parfois lorsque la sienne était en réparation. Brigitte était assez amie avec Evelyne et il leur arrivait souvent de se rendre visite ou de faire du shopping ensemble.


C’est donc sans me douter de quoi que ce soit que j’entrai dans la maison directement par la porte-fenêtre du salon où je m’attendais à les trouver… Mais le salon était vide.


J’allais appeler pour prévenir Evelyne de ma présence lorsqu’il me sembla entendre des rires du côté de la cuisine; puis tout de suite après, une voix qui n’était certainement pas celle de Brigitte ! Le rire était celui d’Evelyne, je l’avais reconnu, mais la voix ?

Intrigué et curieux, mais toujours loin de me douter de quelque chose, je me dirigeai vers la cuisine. Pour cela il me fallait emprunter le couloir et celui-ci était un peu sombre, alors que la cuisine, placée à l’autre extrémité, était, elle, très claire au contraire. C’est ce qui me permit de les apercevoir sans qu’ils ne m’aient vu…

La porte de la cuisine était en effet restée grande ouverte et, à ma stupéfaction, je découvris Evelyne dans les bras de Paul !!! Ce fut comme un coup de poignard qui me frappa en pleine poitrine… J’en restai figé, comme paralysé !

Leur attitude ne pouvait guère me laisser de doute sur la nature de leurs relations, car Evelyne était non seulement dans ses bras, mais elle le tenait par le cou et promenait ses lèvres sur son visage. Qui plus est, son corsage était complètement déboutonné et Paul y avait glissé ses bras pour la serrer contre lui. Mon cœur battait à tout rompre mais je me repris un peu; suffisamment pour me diriger vers la salle à manger dont la double porte vitrée me permettrait de les voir de plus près et sans risque d’être vu, car les volets étant fermés à cause de la chaleur. La pièce était plongée dans la pénombre, constituant ainsi un poste d’observation idéal.


Un bras entourant toujours la taille d’Evelyne, Paul s’était mis à lui tripoter les seins; il les malaxait à pleine main.



Sur ce point je dois dire que j’étais tout à fait de son avis, et que les seins d’ Evelyne m’avaient toujours beaucoup excité. À plusieurs reprises elle m’avait raconté qu’elle avait, adolescente, des seins très fermes, qu’elle trouvait d’ailleurs trop gros, au point d’en être complexée à l’époque. Avec les années, ses seins n’avaient sans doute pas perdu en volume, mais avaient baissé de quelques crans, prenant une forme caractéristique en gouttes, dont elle n’était d’ailleurs pas moins complexée, mais qui étaient à mes yeux (et à ceux d’autres je pense !), très excitants !


Paul ne tarda pas à lui ôter complètement son corsage, en le faisant glisser sur ses épaules, puis il empoigna les deux mamelles d’Evelyne à pleines mains en les serrant entre ses doigts comme pour en faire saillir les bouts, et les porta vers ses lèvres pour les sucer avec avidité.

Evelyne se laissa faire, ferma les yeux de plaisir et laissa échapper quelques gémissements plaintifs, puis comme Paul suçait de plus belle, elle ne put s’empêcher de murmurer :



Ce mot même m’étonna dans la bouche d’Evelyne, qui a toujours un langage très châtié, mais il est vrai que dans ces circonstances…

D’ailleurs je n’étais pas au bout de mes surprises car Paul lui répondit sur le ton de la complicité :



Décidément, j’avais peine à reconnaître ma femme, d’ordinaire si réservée avec moi.



Les yeux d’Evelyne brillaient; elle les plongea dans les yeux de Paul puis le fit reculer légèrement, s’agenouilla lentement devant lui et avec une évidente excitation je la vis s’attaquer à la ceinture du pantalon de Paul, puis aux boutons de sa braguette qu’elle déboutonna sans la moindre hésitation. Le pantalon tomba sans bruit aux pieds de Paul. D’où je me trouvais, placé sur le côté mais un peu en 3/4 arrière par rapport à lui je ne pouvais pas voir exactement la totalité de la scène, mais je voyais bien le visage d’Evelyne, et j’y lisais une évidente excitation. Sans plus hésiter que lorsqu’elle lui avait ôté son pantalon, elle saisit l’élastique du slip de Paul et le lui baissa quasiment à mi-cuisses. Elle sourit, leva les yeux vers lui d’un air de reproche et lui dit :



Moi, dans ma cachette, je bandais comme un fou et je me demandais effectivement comment Paul pouvait ne pas être dans le même état que moi.



Et, ce disant, il se recula et s’appuya légèrement sur le bord de la table de la cuisine. Il avait dû pour cela se tourner davantage vers moi, ce qui me permit de mieux le voir, et de découvrir avec une certaine stupeur (et aussi il faut bien l’avouer, un puissant sentiment de jalousie et d’humiliation), que si le sexe de Paul était effectivement encore flaccide, ce salaud avait de toute évidence été vachement gâté par la nature !

Sans exagérer, son sexe au repos pendait bien d’au moins 15 à 16 cm, avec un diamètre en rapport, ce qui, je dois humblement l’avouer était plus que ce que mon propre sexe pouvait atteindre en érection !


Ce qui me troubla le plus fut bien sûr de découvrir cet avantage anatomique de Paul, mais surtout de réaliser qu’il l’exhibait ainsi à quelques dizaines de centimètres seulement du visage d’Evelyne.

Oh bien sûr je n’ignorais pas qu’Evelyne avait déjà eu d’autres aventures avant de me connaître, elle ne me l’avait jamais caché, mais à cette époque elle ne m’en avait pas non plus dit davantage. Je ne lui avais de mon côté, posé aucune question sur ceux-ci ; sans doute un peu par crainte de savoir vraiment !

Mais là, je ne pouvais me le cacher : Evelyne avait sous les yeux la grosse bite de Paul et j’étais bien obligé d’admettre qu’elle ne pouvait pas ne pas établir de comparaison… Un moment, je réalisai même que tout compte fait, elle paraissait nettement moins stupéfaite que moi…


L’explication me sauta soudain aux yeux: Ce n’était pas la première fois qu’elle me trompait avec Paul ! Je n’en fus que plus troublé lorsque je vis sa main se saisir sans hésiter du lourd pénis et le soulever pour le porter à ses lèvres… Et moi qu’elle ne suçait que du bout des lèvres… et encore, quand j’insistais vraiment pour qu’elle le fasse… Là au contraire, devant moi, sous mes yeux, elle avait gobé d’un coup le pénis de Paul et le suçait sans aucune réticence, et même avec une assez évidente gourmandise.

Je voyais ses lèvres aller et venir sur la hampe luisante de salive. Evidemment, le sexe de Paul ne tarda pas à bander, à grossir et s’allonger. Evelyne en avait les lèvres déformées, arrondies en anneau, les commissures toutes tendues sur ce membre maintenant strié de grosses veines gonflées. Je voyais tour à tour ses joues creusées par la succion ou déformées, gonflées par la poussée du gland… Je ne peux pas vous dire ce que j’éprouvais; voir sa propre femme avec la queue d’un autre homme dans la bouche c’est déjà quelque chose, mais quand cette queue est plus longue de dix centimètres que sa mienne et d’une grosseur en rapport, il y a de quoi « flipper »!…

Et je « flippais » à mort; je trouvais injuste que ce soit moi qui l’aime et que ce soit ce mec qui ne voyait en elle qu’un moyen facile de se vider les couilles qui ait à lui offrir un tel morceau ! C’est une chose qui d’ailleurs n’a jamais quitté mon esprit par la suite; à chaque fois que je me suis retrouvé nu devant ma femme, je n’ai pu m’empêcher de penser que ce type lui exhibait un tout autre engin…


Après avoir sucé Paul pendant une bonne dizaine de minutes, j’entendis Evelyne lui demander :



Je dus presque faire un bon pour m’esquiver… Ce fut de justesse… Ils devaient avoir tous deux très envie de baiser, car je venais juste de m’enfermer dans les toilettes lorsqu’ils passèrent dans le couloir, puis montèrent à l’étage…


Pour moi, il était inutile que j’espère pouvoir les apercevoir. La maison que nous habitions alors était construite de telle façon que cela m’aurait été impossible sans qu’il me voient… Je dus donc me résoudre à rester au bas de l’escalier; tendant l’oreille… Il y eut dix minutes d’un quasi silence puis je commençai à percevoir des gémissements que je connaissais bien… Je n’avais plus aucun doute à me faire, car ces gémissements, Evelyne ne les laissait échapper que lorsqu’elle était déjà pénétrée…


J’entendis ces gémissements, de plus en plus forts, de plus en plus rapprochés, et bientôt ils se changèrent en halètements… Je tendais l’oreille, le cœur battant à tout rompre car jamais je n’avais encore entendu Evelyne exprimer si bruyamment son plaisir… Et ce n’était que le début, bientôt ce furent des râles, puis des cris… Oui de vrais cris qu’elle se mit à pousser, rythmés par les ahanements de Paul… Jamais… Jamais je n’avais entendu ma femme jouir ainsi, jouir si fort… Les grincements du lit me renseignaient sur la façon dont il la baisait; il la limait lentement, régulièrement et puissamment de toute la longueur de son gros membre et puis, par moment, soudain il accélérait brusquement sa cadence… La bourrant à grands coups de pine et j’entendais alors Evelyne gueuler, hurler de plaisir.

Je l’imaginais, cuisses écartées, clouée au lit par la violence des coups de bite… Je crois bien même l’avoir entendue chialer de plaisir…


Mais soudain la sonnerie du téléphone retentit et par un réflexe idiot, incontrôlable, dû à ma peur d’être surpris, je bondis à l’extérieur de la maison… Quelle connerie !

Dès que je fus dehors, je m’aperçus que dans ma précipitation j’avais tiré la porte fenêtre du salon et qu’il me serait impossible de rentrer à nouveau par là… Quant à la porte principale il ne fallait pas y penser car celle-ci était équipée d’un gong automatique à l’ouverture…


Quel con ! J’étais là dans le jardin et, bien qu’en cet après-midi tout fut désert, j’allais finir par être vu par un voisin si je restais là… Je n’avais pas d’autre choix ; je regagnais ma voiture ; mais il m’était impossible de partir…

Je fis deux à trois fois le tour du lotissement puis je finis par me garer au bout de notre rue, assez loin pour ne pas risquer d’être vu et suffisamment près pour apercevoir Paul lorsqu’il partirait…



Il devait être quinze heures… Ce fut l’un des moments les plus longs de ma vie et vous le comprendrez lorsque je vous dirai que Paul ne sortit qu’à dix sept heures quarante cinq de la maison ! Durant près de trois heures ce fut pour moi un véritable calvaire; je ne cessai pas une seconde de penser à ce qu’il devait lui faire; comment il la prenait, combien elle gueulait…

Et contre toute attente cela me faisait bander !





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n° 08893Crystaldan18/04/05
Des conséquences d'une journée de farniente
critères:  fh couple grossexe amour volupté odeurs fellation
5659 caractères      
Auteur : Crystaldan


Un soir d’hiver, mon homme rentre du travail.

Il me trouve emmitouflée dans la couette, couchée sur le canapé.



Pourtant, moi, en costume, comme ça, je trouve qu’il dégage une terrible impression de puissance, de force à l’état brut. Mais c’est vrai qu’il s’agit là d’un grand métis aux lèvres aux mains puissantes et si agiles…


Quant à moi, je ne suis qu’une petite Antillaise avec un magnifique petit cul et de mignons petits seins en forme de cônes (selon ses dires).

A le voir ainsi, je sens des petites palpitations au creux de mon ventre, mais j’y prête peu d’attention.

Cela doit venir du fait qu’il m’a manqué plus particulièrement pendant cette journée de farniente.


Pour faire la conversation, je le suis alors dans la salle de bain. Je l’observe tandis qu’il se douche et je ne peux m’empêcher d’admirer ces magnifiques fesses, bien fermes.

Je sens alors de nouveau les palpitations.

Lorsqu’il sort enfin de la douche, j’aperçois son sexe parfaitement épilé (c’est moi qui le lui fait), pendant, comme la queue d’un éléphant encore au repos.


On a du mal à croire que cette ridicule petite chose toute fripée puisse devenir aussi monstrueusement énorme. À cette pensée, dans mon cerveau se succède une foule d’images fugaces, où cette chose m’avait retournée.

D’un coup, je n’ai plus qu’une seule envie : revoir son énorme queue et la satisfaire.


Je me jette à ses pieds pour avaler sans ménagement sa queue et le sucer violemment.

Pas mécontent, mon homme grogne un AH!!! de soulagement.

Les doigts de ma main gauche viennent se fermer sur la base de son sexe, tandis que je m’efforce d’avaler entièrement sa queue.

Je sens alors son sexe se durcir dans ma bouche, hummmm!!! J’adore cette sensation de puissance. Sa bite m’appartient et m’obéit à l’oeil et notamment au doigt.

Je la retire de ma bouche pour l’admirer. Elle n’est pas encore totalement opérationnelle, mais durcit de seconde en seconde. Elle est vraiment magnifique, cette longue tige couleur marron chocolat. Son gland, quant à lui, est d’une couleur qui tire entre le rose, le marron clair et le rouge sang.

Et puis il y a cette odeur, voluptueuse, capiteuse, dangereusement enivrante, qui me fait perdre mes derniers lambeaux de pudeur. Je la prends à pleine main et me caresse le visage avec. Je sens le plaisir et ce fumet me submerger. Je regarde mon homme, les yeux rougeoyants de désir. Lui me sourit calmement, tout prêt à être mon jouet.

Alors, les yeux fermés, je commence à le sucer très doucement, en creusant au maximum mes joues et en faisant durer les mouvements de va-et-vient.

Ma main gauche vient s’enrouler sur la base de son sexe et une partie de ses couilles, que je caresse légèrement de mon pouce gauche. Tandis que ma main droite s’active à masturber sa tige en imprimant de longs mouvements de vrille.

J’entends les bruits étouffés de satisfaction de mon homme, qui veut se retenir de crier.


J’entrouvre alors les yeux et aperçois le visage de mon homme qui se crispe de plaisir à chacun de mes allers, pour se détendre lors du retour de ma bouche vers le gland.

Arrivée au-dessus du gland, ma langue lape ce petit bout de chair parfumé.


Avide de tant de pouvoir sur mon homme, j’accélère le rythme. Je veux, j’ai besoin de le sentir jouir dans ma bouche, car son odeur me vrille le cerveau.

La réaction de mon homme ne tarde pas, je ressens son coeur battre la chamade, ses muscles se contractent suivant le rythme que j’ordonne. Son souffle devient de plus en plus bruyant, résonne comme une douce mélodie dans mes oreilles.


La situation bascule alors : je ne suce plus, c’est lui qui pénètre ma bouche.

De sa puissante main droite, il me force à le sucer en imprimant le rythme qu’il veut.

Du moins, c’est ce qu’il imagine. Il ne sait pas que j’adore lorsqu’il n’écoute que son plaisir. Le moment où seul compte son plaisir de mâle, je m’imagine être la maîtresse de sa jouissance, car je peux tout arrêter quand je le veux.

Je sens ses bourses cogner contre mon visage. Je ne suis plus que le réceptacle de sa folie et de sa queue. J’ouvre grand la bouche pour qu’il puisse me « pénétrer » le plus loin possible. Mes deux mains s’agrippent à ses fesses pour amortir la violence de ses mouvements


Les mouvements de bassin de mon homme deviennent de plus en plus désordonnés, saccadés. Je sais alors qu’il ne résistera pas bien longtemps à mes/ses propres caresses.

Soudain, il jouit dans ma bouche.

Il m’oblige à tout avaler en maintenant la pression qu’il avait jusque là exercée sur mon cou.

C’est le point le plus désagréable, lorsqu’il s’agit de me/lui faire plaisir.

Lorsqu’enfin, il sort son sexe de ma bouche, celui-ci, à mon grand désespoir, n’est plus tout à fait aussi monstrueux qu’il y a quelques minutes.


Mon Homme me redresse pour me prendre dans les bras, avec une douceur incroyable. Une main posée sur ma nuque, il m’embrasse avec une tendresse infinie, d’abord la joue droite puis la joue gauche. Ensuite il remonte vers mon front et redescend enfin vers mes lèvres. Il glisse ses lèvres sensuelles vers mon cou et les fait remonter vers mon oreille droite, tout en caressant de ses doigts mon bras.


Arrivé à mon oreille, il me souffle : "C’est à mon tour de retourner…"


La suite en fonction de vos critiques.




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n° 08929Martine22/04/05
Si seulement j'avais connu ça avant !
critères:  f fh fplusag extracon extraoffre collègues grossexe revede fmast fellation pénétratio init ecriv_f
7722 caractères      
Auteur : Martine


Bonjour à tous !


Je suis une récente lectrice de ce site qui me donne bien du plaisir. Je me prénomme Martine, 45 ans, mariée depuis 26 ans à Eric, qui en a 52 et qui, comme beaucoup d’hommes, souhaiterait me voir avec un autre, mais devant lui et, en particulier, David.

Je ne suis pas un canon : 1m57 pour 61 kg (Oui, quelques petits kilos à perdre, mais ils sont bien disposés partout) et, pour les intéressés, yeux marrons, sourire ravageur, paraît-il et un joli 90C qui est assez sensible aux caresses.

Nous avons un fils qui a 21 ans, qui s’est envolé du nid et je travaille à mi-temps depuis son départ.

Mon mari Eric travaille dans un atelier et voyage régulièrement hors du département pour être en relation avec d’autres ateliers du même groupe; il lui arrive parfois de passer, en rentrant de déplacement, avec un de ses collègues, David (J’ai appris par la suite qu’il avait 38 ans).


Mon histoire s’est déclenchée peu avant Noël 2004, lors de la soirée de leur boîte, où le personnel était invité avec les conjoints pour un buffet et une soirée dansante. Bien entendu, David a tôt fait de m’inviter pour un slow auquel j’ai répondu positivement. En dansant, il a posé ses mains sur mes hanches, mais n’a pas tardé à remonter dans mon dos jusqu’à sentir mon soutien-gorge, qu’il a suivi jusque sur les côtés. J’ai ensuite senti chacun de ses pouces sur le flanc de mes seins et qui palpaient. J’ai serré les bras, non pas pour garder le contact, mais pour le faire arrêter et je le lui ai fait savoir. Quand il s’est tourné pour me parler, j’ai compris à son haleine qu’il avait abusé des boissons et il m’a subitement dit que si je n’étais pas mariée, il me ferait passer un bon quart d’heure.


Plus tard dans la soirée, nous sommes rentrés et, bien sûr, Eric lui aussi était un peu"chaud". Mais il avait envie de me faire l’amour et, comme je suis loin de détester la chose, j’ai retiré ma nuisette. Quelques caresses plus tard, il était sur moi et je l’ai guidé pour qu’il prenne possession de mon ventre. Une fois bien au fond, comme à son habitude, il est resté sans bouger, pour sentir sans doute la chaleur et l’humidité qui l’accueillent, puis il a commencé à me limer en me touchant les seins… Et il a commencé à me reparler de David, me demandant de faire comme si c’était lui qui était en train de me monter, d’imaginer sa queue glisser dans ma chatte pour la remplir de sauce. C’est vrai, pour la première fois, j’ai pensé me donner à un autre et je suis partie dans une jouissance terrible, forte et longue en recevant le jus d’Eric.


David revenait régulièrement dans nos conversations, intimes ou pas. En mars, il est venu à la maison pour donner un coup de main pour changer des pièces sur le camping-car et, pendant qu’Eric était sous la douche, David est revenu à l’assaut. Je lui ai dit que j’étais mariée, que j’aimais Eric et qu’il fallait oublier ça et ne pas y compter. Inutile de dire qu’il est reparti très déçu. Quand j’ai répété ce qui c’était passé, Eric m’a juste dit que j’avais été méchante.

Mais l’assaut final, c’est moi qui l’ai donné.


Eric a dû partir trois jours pour visiter, comme souvent, à un autre atelier. J’ai appelé David pour lui demander s’il ne pourrait pas venir monter un meuble, mais qu’il fallait compter la matinée. Il a dit oui sans problème.


Le lendemain à huit heures et demi, comme promis, il a sonné. J’étais encore en peignoir quand je lui ai ouvert la porte. On a pris un café ensemble puis je lui ai dit que je montais m’habiller, car ce n’était pas convenable. Il a demandé où était le meuble. Je lui ai dit que, justement, il était dans la chambre et que je l’appellerais lorsque je serais habillée. Je suis donc montée et ai laissé tomber mon peignoir au sol. Je me suis regardée dans la glace et ai pris mes seins en mains pour les palper, en me traitant de salope, de vouloir me faire tringler par un autre, mais j’avais maintenant très envie de lui. J’espérais seulement qu’il baisait bien. J’ai enfilé à même la peau une petite robe à boutons sur le devant et me suis assise sur le bord du lit (pour faire remonter un peu la robe sur les cuisses) qui allait grincer sous les coups de reins de David. Je l’ai appelé. Il n’a pas traîné à monter. Il a jeté un regard dans la chambre sans voir de meuble.



Je lui ai pris une main que j’ai guidée sous ma robe pour qu’il touche mes seins, en lui disant "qu’en bas", il n’y avait rien non plus. Il s’est enhardi, s’est assis près de moi et a déboutonné ma robe pour me la retirer. Il a pu voir ma chatte, qu’il a touchée immédiatement. Elle coulait!!!

Je me suis allongée et il a eu tout loisir d’inspecter mon corps, qui n’a pas tardé à se tendre sous ses coups de langue. Il s’est mis nu lui aussi et je me suis retrouvée avec un engin de bonne taille, plus long et épais que celui d’Eric. Je l’ai pris tout de suite en bouche. Il m’a dit que je suçais bien et que je faisais ça comme une pute et, comme j’adore avaler cette liqueur divine, j’ai accéléré les mouvements. Très peu de ce traitement, et j’ai reçu à pleine bouche quatre bonnes giclées.

On s’est allongé pour parler un peu et se caresser beaucoup. Il a voulu que je me baise seule sur lui, alors je me suis mise dessus et je me suis laissée descendre sur sa colonne. Je n’ai pas vu la différence de grosseur par rapport à Eric, mais alors en longueur, je le sentais plus profond ! Pendant qu’il suçait mes seins, je me suis mise en cadence pour me pistonner la cramouille qu’il m’emplissait si bien. Par deux fois il s’est vidé dans ma fente.

Je n’étais pas fière d’avoir trompé Eric, mais j’étais hyper heureuse car, pour mon premier coup hors mariage, c’était fort et j’ai ressenti la différence dans l’âge, car David est plus jeune de quatorze ans et plus vigoureux…


Après notre partie de baise, on est redescendu prendre un autre café et, sur le canapé, je lui ai fait part des idées d’Eric de me voir avec un autre. Je lui ai dit que j’étais très excitée de l’avoir fait venir et qu’avant qu’il n’arrive, je m’étais satisfaite deux fois avec mes doigts, car je me sentais très chaude (Il avait pu le constater… et me refroidir !).

J’aurais dû me taire : il m’a demandé de lui montrer comment je faisais, car sa femme ne voulait pas le faire devant lui. Je me suis allongée sur le tapis, nue, et j’ai commencé à faire courir mes mains sur moi, enfin comme toute femme qui veut se branler et j’ai sorti mon bouton. J’étais toute chose qu’il me regarde. Il a enlevé son pantalon et son slip. Il rebandait, le salaud. J’ai accéléré mes mouvements et j’ai gravi vite fait la route vers le 7ème ciel.

Pendant que je jouissais, il est venu sur moi et m’a remis sa bite dedans au moment où tous les muscles de mon vagin étaient tendus à se rompre. J’ai eu l’impression d’être dépucelée une nouvelle fois et lui, il a déchargé pour la quatrième fois de la matinée.


Je lui ai promis que si j’acceptais le fantasme d’Eric, ce serait avec lui, mais qu’il garde le secret pour ce qu’on avait vécu, ce matin-là.

Pour le moment, Eric ne se doute de rien, mais il revient à la charge un peu plus souvent. Je crois que je vais céder assez vite, maintenant… Et puis je pense que deux bites pour une femme ne peuvent que lui faire du bien ! Moi, j’ai hâte !!!


Peut-être la suite bientôt, s’il y en a une… J’espère…


Martine




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n° 08947Homme, 38 ans25/04/05
Exhibition au cinéma
critères:  fhh hagé couplus inconnu grossexe grosseins cinéma fsoumise soubrette voir exhib lingerie hmast entreseins fellation init
9368 caractères      
Auteur : Allan


Cela fait longtemps que je lis les récits de Revebebe…Je me décide aujourd’hui à vous en livrer un, le mien.


Je suis Fred, 38 ans. Je vis avec une jeune femme, Samia, 28 ans. Elle est superbe. Elle fait partie de ces femmes qui suscitent le désir de façon presque immédiate chez les hommes. Petite, peau matte, cheveux bouclés bruns, elle est fine, ce qui fait encore plus ressortir ses seins fabuleux et gonflés.


Nous vivons ensemble depuis trois ans, laissant libre cours à nos envies ; nous faisons souvent l’amour.


Peu à peu, je la sens de plus en plus soumise, au point qu’aujourd’hui, je crois qu’il ne tient qu’à moi de l’emmener dans de nouvelles expériences dans lesquelles elle n’aurait qu’à se laisser aller à mes désirs.


C’est donc ce que je décidais de faire, il y a quelques jours.

Nous avons l’habitude de jouer, pendant nos ébats, à adopter des tenues sexy – dessous coquins, tenues vinyle, guêpières, etc… - et ce soir-là, je lui envoyais un mail pour la prévenir que j’organisais la soirée, et que je souhaitais qu’elle s’habille avec une tenue de soubrette que nous avions achetée il y a quelques temps. Je lui demandais de mettre également une paire de bas noirs, un porte jarretelles, et des chaussures à talons qui lui vont si bien.


Je rentrais quelques temps après, pour la découvrir, maquillée, coiffée, et préparée comme je lui avais demandé. Elle s’imaginait que nous allions passer la soirée chez nous, dans nos jeux coquins. J’en avais décidé autrement ce soir-là, et après un tendre baiser, je l’invitais à enfiler un manteau car nous sortions…


Sa première réaction fut de refuser de sortir dans cette tenue. Je lui précisais que nous allions boire un verre, qu’elle pourrait garder son manteau, et que nous irions ensuite au cinéma, et que mon plaisir était de l’imaginer dans sa robe de soubrette sous ce manteau très sage.

Après un moment d’hésitation, elle finit par accepter ma proposition..

Nous sortions donc, prenions notre voiture pour rejoindre un quartier animé de Paris, ce soir-là vers 21 heures.

Mon excitation était visible, et semblait lui faire plaisir.

Nous sommes allés boire un verre, moment pendant lequel elle garda soigneusement son manteau sur elle. Je ne voyais de sa tenue que ses bas voile noirs et ses sandales à talons hauts qui paraient ses pieds superbes aux ongles vernis de rouge.


Nous avons ensuite pris la direction du cinéma.



Je choisis un film à l’affiche depuis quelques temps, dans l’espoir que la salle ne soit pas trop remplie. Mon choix fut bon, les dix premiers rangs étaient vides, hormis la présence d’un homme d’un certain age, je dirais soixante ans environ.

A la surprise de Samia, je choisissais de nous installer dans la même rangée que cet homme, la plaçant à deux sièges de lui.


Quelques minutes après, le noir se fait dans la salle et le film débute.



Après un instant, Samia déboutonna son manteau et l’ouvrit, en le gardant sur elle.



Elle l’ôta alors discrètement, me dévoilant sa tenue. Mon sexe durcit immédiatement alors que je me remémorais la dernière fois où elle l’avait portée. C’est une robe noire, très courte, laissant apparaître la dentelle de ses bas. Elle est ornée d’un petit tablier blanc bordé de dentelle. À manches courtes, elle est très décolletée et l’élastique de la bordure est si souple qu’il suffisait de tirer dessus pour faire sortir sa poitrine. Je réalisais à ce moment qu’elle n’avait pas mis de soutien-gorge, laissant libre son 85D.

Samia était contractée, immobile dans la pénombre. Je posai une main sur son genou, la caressant doucement et l’invitant à écarter ses cuisses. Elle se laissa faire, ne quittant pas l’écran des yeux. Progressivement, je parvenais à lui faire poser sa jambe sur la mienne, dévoilant alors le haut de sa cuisse, au-dessus de son bas.

En regardant de côté, j’aperçus l’homme tourner la tête vers elle, incrédule. J’aimais l’idée qu’il me voie la caresser, qu’il la regarde.

Je me décidais alors à passer un bras autour de son épaule, et à placer ma main dans son décolleté. Je la sentis frémir et vis ses tétons durcir sous la robe. Elle m’embrassa fougueusement, et j’en profitais pour prendre son sein dans ma main, à travers la robe.


A ce moment, le vieux monsieur se leva et sortit de la salle. J’étais un peu surpris, mais le vis réapparaitre deux minutes plus tard, rejoindre la rangée, mais cette fois, il s’assit juste à côté de Samia.

Nous ne bougions plus, elle avec sa robe remontée et sa jambe sur la mienne, moi avec ma main sur son sein.

Une minute passa, interminable, pendant laquelle je ne savais plus quoi faire, ni ce qu’elle voulait, jusqu’à ce que je sente sa main venir sur le haut de ma cuisse. Je repris mes caresses, cette fois sous l’œil attentif de notre voyeur.



Et je la vis ouvrir ses jambes doucement, jusqu’à frôler le genou de l’homme. Je continuais de malaxer ses seins, de pincer ses tétons. Samia commençait à respirer vite, d’autant qu’elle voyait la main de l’homme s’approcher doucement de sa jambe. Comme je laissais faire, elle décida de rester passive et maintenant, le revers de la main de l’inconnu touchait son bas, allait et venait sur sa cuisse. L’homme prit de l’assurance, et commença à lui caresser franchement les jambes, remontant des bas jusqu’à la peau, au-dessus de la dentelle.

Il se pencha alors vers Samia, chuchotant à son oreille. À ce moment, Samia, sans quitter l’écran des yeux, tira sur le décolleté de sa robe et nous dévoila ses seins magnifiques.



Cette demande avait mis Samia dans tous ses états et elle y avait obéi sans hésitation. L’homme avait maintenant sorti un sexe de belle taille de son pantalon, et approchait sa tête du torse de ma belle. Sa bouche était à quelques centimètres de ses seins. Samia les pris dans ses mains, et offrit un de ses tétons à sucer à l’homme, en plantant son regard dans le mien. J’étais subjugué par cette situation nouvelle, par le regard de Samia. Elle me dit à l’oreille :



Elle le fit sans hésiter et je me penchais vers l’homme :



L’inconnu ne se fit pas prier et s’accroupit discrètement devant le siège de Samia. Il écarta encore plus ses cuisses et commença à la laper doucement, à faire aller et venir sa langue entre son cul et son clitoris. Samia respirait de plus en plus vite, et avait maintenant pris ma queue dans sa main et me branlait franchement.



Je vis alors Samia se contracter, enserrer la tête de l’homme entre ses cuisses et mordre son manteau pour ne pas crier.


L’homme se rassit, et maintenant en confiance, prit la main de Samia et la posa sur sa queue gonflée.



Elle alla alors discrètement s’agenouiller devant la queue gonflée et imposante de notre sexagénaire qui n’en espérait pas tant… Elle prit la queue humide entre ses seins et commença à la faire aller et venir. L’homme, très excité, en profitait pour tirer sur ses tétons, avancer son bassin pour que le gland frôle la bouche de ma chérie. Je lui tendais alors un préservatif qu’il s’empressa d’enfiler, avant de prendre la tête de Samia dans ses deux mains et de l’approcher de son membre. Docile, elle accepta le mouvement et ouvrit peu à peu la bouche. Le sexe était long et épais, et Samia le laissa s’enfoncer au plus profond de sa gorge.

L’inconnu entama un lent va-et-vient, ses mains passant de la tête de ma belle à ses seins. Elle, s’appliquait à lui faire une « gorge profonde » dont elle a le secret, tout en malaxant ses couilles gonflées.

Il ne fallut pas longtemps au vieux monsieur pour arriver au point de non retour. Il décida alors d’enlever la capote et de se déverser abondamment sur l’opulente poitrine. Samia finit de prendre cette queue pleine de soubressauts entre ses seins, sentant le liquide chaud sur sa peau.

Elle vint se rasseoir, les seins à l’air, luisant de sperme et resta quelques minutes sans bouger. Et puis elle me dit :



Nous sortimes rapidement de la salle obscure, laissant un vieux monsieur plein de bons souvenirs. Nous sommes rentrés rapidement et la nuit que nous avons passée fera peut-être l’objet d’une autre histoire…




PS : Cette histoire est imaginaire, mais vos commentaires (hommes, femmes ou couples, me feront plaisir)





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n° 08967Patou Rousse Flamboyante27/04/05
Fantasmes au téléphone
critères:  fh frousses grossexe parking ascenseur telnet baillon ecriv_f
11923 caractères      
Auteur : Patou


J’avais rencontré Frank, sur un chat, sur Internet, et après quelques mois d’échanges électroniques, nous avions décidé de franchir le pas et de nous rencontrer. Il est vrai qu’au début de notre histoire, les dialogues étaient très soft et doux, mais au fil des jours et des semaines, Frank m’avait posé des questions très intimes sur mes relations avec mon mari, sur la teneur de mes fantasmes. Nous avions même eu plusieurs fois des chats très intimes, après lesquels je dois avouer, je m’étais masturbée. Frank avait une personnalité très forte et avait trouvé le moyen de me chauffer par ses textes et ses messages parfois doux ou parfois vulgaires, sachant systématiquement m’emmener à son objectif. Nous avions décidé d’une rencontre dans un lieu public, prétextant auprès de mon mari une visite chez mes parents qui habitaient loin de notre domicile. Frank fut surpris de s’apercevoir que mon physique correspondait en tout point à ma description, grande rousse, bien faite, habillé bourgeoisement. Il me scruta pendant plusieurs minutes avec beaucoup de gourmandise. Lui, était d’un physique assez banal, mais quelque chose dans ses yeux le rendait terriblement envoûtant. Nous parlâmes longuement de la façon dont nous nous étions rencontrés, et de la gêne et surprise que cela occasionnait. Au bout, d’une heure, Frank me demanda si nos échanges sur Internet ne m’avaient pas choquée. Je craignais la question, mais redoutais encore plus ma réponse, sachant que j’allais ouvrir la boîte de Pandore.







Je me sentais partir à nouveau, inondée de questions indiscrètes et rouge de honte, de peur de découvrir que notre discussion pouvait être écoutée par une table voisine.







Malgré mes faibles protestations. J’acceptai finalement de le suivre en voiture jusqu’à chez lui. Je m’engageais alors dans le parking au-dessous de son immeuble, et me garais sur un emplacement libre.




Quand je sortis de mon véhicule, il se tenait près de moi, se rapprochant jusqu’à sentir son corps effleurer mon corps. Il me plaqua contre ma voiture, et m’embrassa avec passion. Sa langue força l’entrée de ma bouche, et nous échangâmes un baiser vigoureux Ses mains avaient remonté le long de mes cuisses, redressant ma jupe, afin de divulguer mes porte-jarretelles. D’autorité il baissa ma culotte, écarta mes cuisses et me pénétra de son sexe libéré. Il me souleva du sol maintenant mes cuisses au-dessus de sa taille, tout en gardant ses mains posées sur mes fesses. Sa langue toujours occupée à fouiller ma bouche, je ne pouvais émettre aucune protestation. Il me laboura méthodiquement, ne me laissant pas reprendre mon souffle. Son sexe était immense et d’une raideur peu commune, je me sentais remplie, par quelque chose d’irréel. Quand enfin je pus reprendre mon souffle, je lui dis :







Il me prit par la main, et me traîna vers l’ascenseur. Une fois dans l’ascenseur. Il appuya sur le 4ème étage, mais arrivé au second il appuya sur le bouton stop. «Suce-moi maintenant ». Il me prit par les cheveux et dirigea ma bouche vers son sexe, qu’il me força à avaler. « Vas-y, applique-toi, suce-moi comme on suce une bonne glace ». Je passai ma langue autour de son bâton de chair, compressant mes lèvres contre sa hampe, ou mordillant son gland. « C’est bien, tu es une bonne petite butineuse, les bourgeoises comme toi adorent sucer des grosses queues comme les miennes » . La vulgarité de ses commentaires ne faisait que renforcer mon excitation. Il enfonça son sexe entièrement dans ma bouche, dont il se servit comme d’un sexe, me baisant la bouche tout en me maintenant par les cheveux, afin que je ne puisse refuser cette fellation. Pendant que je le suçais, il découvrit ma généreuse poitrine, devant laquelle il s’exclama admiratif. «Tes seins sont comme je les avais rêvées, gros et tellement appétissants, je veux que tu me branles la bite avec. Je lui pris son sexe entre mes seins, et m’appliquai à le masturber. Au bout d’un certain temps, il me releva et me dit «arrête on va finir chez moi ». Il relança l’ascenseur. Arrivés à l’appartement, je fus entraînée dans le salon, et couchée sur le canapé. Sans aucune attente et préliminaire Frank me pénétra. Ma chatte était tellement humide, que je me retrouvais empalée sous mon nouvel amant sans aucune résistance. Il enchaîna des va-et-vient rapides et lents, m’emmenant au bord de l’épuisement tellement ma jouissance était rapide et intense. Quel amant magnifique ! Il n’avait même pas besoin de me caresser pour éveiller mes sens, son énorme pieu dur comme de la pierre qui me labourait la chatte suffisait à me faire atteindre le septième ciel. J’étais couchée sous lui yeux fermés, l’imaginant me fixant du regard, de ses yeux troublants.







Il continua, remonta entièrement mes jambes au-dessus de ses épaules afin de mieux me pénétrer, tout en me maintenant par les hanches pour mieux coulisser au plus profond de mes entrailles. Mon souffle et mes cris s’accentuant, il sortit de sa poche ma culotte, dont il m’avait promptement débarrassé dans le parking, pour me l’enfoncer dans la bouche. Il jouit une première fois au fond de moi. Ivre de désir et de fatigue, je pensais que c’était la fin, mais sans aucune pose, il me retourna et pénétra à nouveau sa queue dans mon sexe, me prenant en levrette. Son sexe était toujours aussi raide et me besognait toujours aussi fort. Une fois de plus, il alterna les mouvements lents et les accélérations, comme un exercice physique bien préparé. Il continua encore et encore, pour enfin sortir son sexe et se soulager en éjaculant sur mes fesses, répandant son sperme sur ma croupe. Avec son sexe il étala les traînées de sperme, tapotant sa verge sur mon cul, peut être pour me faire sentir la dureté de son appareil.




Je m’effondrai sur le canapé, épuisée, je sentais Frank couché derrière moi me caressant tendrement le corps. Quelques minutes passèrent sans bruit simplement nos souffles haletants. Je pris l’initiative, étant très en retard, je devais repartir immédiatement avant que mon mari ne s’inquiète.







Je me relevais du lit, et me rhabillai rapidement, remettant de l’ordre à mes affaires qui étaient froissées des caresses et nombreux attouchements de mon amant. Une fois habillée entièrement, et prête à partir, je regardais Frank encore nu sur le canapé qui était pensif. Je m’approchais de lui pour l’embrasser en guise d’adieu.







Je me relevais et sortis, non sans m’apercevoir de la vigueur de son sexe. Frank me suivit, et une fois dans l’entrée, il m’attrapa par derrière et passa ses mais sur mes seins tout en m’embrassant dans le cou. Il me maintenait fermement contre lui, me laissant sentir la raideur de son sexe. Il semblait infatigable.







Cependant la pression de ses mains de nouveau parcourant mon corps, et sa langue fouraillant mes oreilles ou me léchant le cou, m’excitait de nouveau, me remémorant tout le plaisir reçu, quand il m’avait, 10 minutes auparavant pris de son sexe gluant.







Ne pouvant résister à ses caresses, j’empoignais mon téléphone et composais le numéro de mon mari.







Tout en discutant, Frank avait relevé ma jupe et me malaxait avec sa main le sexe, rendant la conversation très difficile. De son autre, main il me caressait à nouveau mes seins, me glissant à l’oreille:







Frank m’avait pénétré de ses doigts et me dit :









Frank continua à me prendre par derrière debout dans l’entrée, c’était irréel et si bon, je me faisais prendre par mon amant et avais fait jouir mon mari au téléphone, je devenais folle de plaisir. Sentant sa jouissance proche, Frank me retourna et se masturba sous mes seins, avant de libérer une fois de plus des quantités de liquide incroyables, qu’il s’efforça de diriger vers ma bouche afin que j’avale sa semence.




Comme promis, je partis promettant de garder le contact par Internet, ce qui me laissait l’initiative de nos rencontres, et comme promis une fois à la maison je retrouvais mon mari qui, pour ce soir-là avait fait preuve de beaucoup d’imagination.






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n° 08968Homme de 38 ans, vivant en couple27/04/05
Samia s'offre
critères:  fhh hplusag inconnu grossexe grosseins train telnet fsoumise hdomine voir exhib lingerie fellation fgode fdanus jeu attache yeuxbandés
11177 caractères      
Auteur : Allan


A la suite de notre aventure au cinéma (récit n° 8947), je découvris le penchant de Samia pour l’exhibition et l’abandon, en particulier au contact d’hommes d’un certain âge.

Je lui proposai alors d’explorer ces terrains inconnus, toujours en ma présence, car j’avais par-dessus tout aimé la voir se laisser peu à peu aller, s’offrir, guidée par mes demandes, et la voir jouir de ces moments.

Je voulais voir son corps magnifique offert, s’abandonner totalement au plaisir, se laisser guider.

Nous en avons parlé à plusieurs reprises, en nous remémorant l’expérience du cinéma.



Je me mis alors en quête, dans différents chats, d’un homme d’un certain âge, idéalement la soixantaine, assez dominateur mais en même temps doux et respectueux, capable d’être attentif aux désirs et au plaisir de Samia.

Après de longues soirées de recherche sur le net, et après avoir éliminé nombre de prétentieux, plaisantins et autres originaux, j’entrai en contact avec Alain, un retraité vivant dans le 17ème arrondissement de Paris. Vivant seul, il était assez disponible. Il m’avoua qu’il désirait depuis très longtemps diriger une femme plus jeune que lui, une « débutante » dans l’art de la soumission, être en fait son initiateur. Je lui expliquai précisement ce que j’attendais de lui.

Il me demanda de lui décrire Samia. Je le fis volontiers, faisant tout pour susciter son désir. Je lui parlai de son corps fin, de sa poitrine avantageuse – un 85D absolument envoûtant – de sa peau mate, du soin qu’elle prenait à se maquiller, se coiffer, s’habiller pour toujours être à son avantage.

Nous nous sommes rencontrés une fois, pour que je sois sûr que le feeling serait bon. L’homme était distingué, sensible et nous décidâmes de vivre l’expérience.

Il me proposa de reprendre contact avec moi par mail dans les prochains jours, pour nous inviter.


Je rentrai chez moi, racontai cette entrevue à Samia qui en fut toute émoustillée. Je lui détaillai l’homme : grand, cheveux poivre et sel, visiblement bien conservé. Je crois que le compte à rebours a commencé dans sa tête à ce moment-là.


Une semaine plus tard, je reçus un message d’Alain, assorti d’un document joint : il nous invitait chez lui le lendemain soir vers 19 heures. Nous devions confirmer notre disponibilité par mail et n’ouvrir le document que si nous étions d’accord pour venir.

J’attendis alors le retour de Samia. Quand elle rentra, je lui montrai le message. Nous n’avions rien de prévu le lendemain et décidâmes de confirmer notre venue. Quand ce fut fait, nous ouvrîmes le document joint, qui contenait un certain nombre de directives :

Nous devions nous rendre chez Alain en utilisant les transports en commun ; il avait pris soin de noter le trajet et l’heure à laquelle nous devions être dans le métro.

Il précisait également la tenue que devait porter Samia : imperméable, jupe évasée, chemisier, bas et porte-jaretelles, chaussures à haut talons, pas de culotte, pas de soutien-gorge. Elle devait rester debout dans le métro, regarder droit devant elle quoiqu’il arrive. Une fois arrivés dans le 17ème, nous devions aller prendre un verre et sonner chez Alain vingt minutes plus tard. Aucune information sur ce qui se passerait chez lui, mis à part que Samia devrait avoir les yeux bandés en arrivant à sa porte.


Samia et moi avons passé ce soir-là un long moment à faire l’amour, prélude à la soirée du lendemain.

Nous sommes allés travailler. La journée fut longue, très longue pour nous deux. Nous nous sommes retrouvés chez nous à 17 heures, nous sommes préparés pour être à l’heure à la station de métro. Il était 18 heures quand nous sommes arrivés sur le quai noir de monde, avec les sorties de bureau.

A l’arrivée de la rame, nous nous sommes frayés un chemin jusqu’à la porte opposée, tournant le dos à la foule. Samia tenait ma main, nous avions une dizaine de stations à parcourir. J’étais persuadé qu’Alain était dans le wagon mais décidais de jouer le jeu et de rester, comme Samia, le nez collé à la vitre. Il ne se passa rien jusqu’à la troisième station. La rame repartit et je sentis Samia serrer ma main. Je la vis me regarder dans le reflet de la vitre, et fermer les yeux de temps à autre. Alain était entré en action, et Samia semblait apprécier ; je la sentais onduler du bassin, je l’apercevais se mordant les lèvres…

Arrivés à destination, nous entrâmes dans le premier bar venu et commandâmes à boire.



Je la sentais excitée par la situation, impatiente de savoir ce qui allait se passer. Nous avons donc rejoint l’immeuble de notre hôte. Arrivés devant sa porte, je passai un loup sur les yeux de Samia, et ouvris son imperméable, laissant ressortir ses tétons gonflés à travers son chemisier blanc en satin.

Je sonnai et après quelques secondes, Alain vint ouvrir, vêtu d’un peignoir. Il nous fit rentrer dans le vestibule, ôta l’imper de Samia et nous invita à entrer dans son salon dont le centre semblait avoir été dégagé de ses meubles, mise à part une simple chaise. Alain guida Samia jusqu’à la chaise et la fit asseoir, je m’installai pour ma part sur un canapé lui faisant face. Alain s’assit à côté de moi.

Samia était belle dans ce silence, les jambes serrées, les mains posées sur les genoux, le rouge à lèvres sur sa bouche ressortant sous le loup.



Je vis alors ma belle s’exécuter, ouvrir lentement ses cuisses jusqu’à ce que nous puissions apercevoir sa chatte aux poils coupés très courts.



Il nous confirmait alors qu’il était bien présent dans la rame de métro…

Il se leva, s’approcha de Samia qui ne bougeait plus, mise à part sa respiration qui s’accélérait.

Il sortit alors une petite corde de la poche de son peignoir, en attacha une extrémité au poignet droit de Samia. Il lui mit les mains dans le dos et ligota enfin son poignet gauche.

Les seins de ma chérie ressortaient encore plus dans cette position et tiraient maintenant sur le tissu de son chemisier. Alain y fut sensible et commença à le déboutonner, laissant apparaître les seins gonflés de Samia. Il avait l’air d’apprécier la vue, car je vis sa queue sortir de son peignoir et grossir peu à peu. Elle me semblait énorme, veinée. Alain la prit dans sa main, et l’approcha de la poitrine, frôlant les tétons tout durs, remontant jusqu’au cou de ma belle. Il se mit face à elle, me cachant alors la vue, et je devinai qu’il prenait ses gros seins dans ses mains pour plaquer sa bite entre eux et commencer un lent va-et-vient.



Je me déshabillai, surexcité par la situation, et commençai à me caresser.

Alain se retira, me laissant voir Samia, haletante de désir, des traces humides du désir de l’homme entre les seins.

Il la fit se lever, acheva de lui ôter ses vêtements, la laissant en bas et talons.



Samia s’exécuta, exhibant ainsi son cul magnifique à notre vue. Alain l’examina sous toutes les coutures et dit :



Il commenca par sortir d’un tiroir un gode assez gros, le posa sur les lèvres de Samia.



Elle ouvrit sa bouche, Alain lui fit prendre le gode assez profondément et recula pour la regarder.



Il retourna alors vers son tiroir pour prendre un autre gode doté d’un énorme gland. Il se plaça devant le cul de ma belle, passa un peu de lubrifiant sur ses fesses et sa chatte en me regardant. Il mit ensuite l’engin à l’entrée du sexe de Samia et le fit entrer, malgré sa taille, avec beaucoup de douceur. Samia gémissait, et je voyais de la salive couler le long de la bite en plastique qu’elle avalait littéralement. Ses mains enserrées dans les liens se crispaient de plus en plus. Alain faisait maintenant aller et venir le gode dans sa chatte offerte et entreprit de travailler son cul en même temps. Il caressa l’œillet brunâtre et enfonça un doigt, arrachant un petit cri à Samia. Après quelques va-et-vient dans ses fesses, il ajouta un second doigt. Ma chérie était totalement ouverte et son bassin allait et venait au rythme des caresses d’Alain.



Samia lâcha alors le gode qu’elle suçait depuis de longues minutes pour crier son plaisir sans aucune retenue. Elle jouit intensément, les cuisses écartées devant un homme qu’elle n’avait jamais vu.

Alain se releva et vint s’asseoir par terre devant son visage. Il enfila un préservatif et attrapa Samia par les cheveux.



Samia avait compris ce que notre hôte attendait d’elle et offrit sa bouche au sexe qu’elle devinait devant elle. L’homme la prit par les cheveux et approcha son gland. Il était gros et Samia eut du mal à le prendre. Il força doucement le passage et je vis ma belle l’avaler profondément.

Alain s’enfonçait dans cette bouche et caressait maintenant les seins de Samia, tirant sur les pointes, la faisant gémir. Après plusieurs minutes, Samia accéléra le mouvement, sentant Alain prêt à venir. Au moment fatidique, elle l’avala presque entièrement et Alain jouit dans un râle sans fin, rendant hommage au talent de ma belle.


Après un instant, il me regarda et me dit :



Je remis alors ses vêtements à Samia, et nous sortîmes. Je lui ôtai le loup et elle vint m’embrasser fougueusement.. Je la serrai dans mes bras, heureux de son plaisir, et lui proposai de rentrer faire l’amour. Elle ne répondit pas et m’entraîna dans les escaliers en riant.



C’est mon deuxième récit, imparfait peut-être, mais je serais heureux de recevoir vos commentaires, idées et autres.




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n° 08977Jeune demoiselle essayant l'écriture28/04/05
Entracte au concert...
critères:  fh jeunes couple grossexe boitenuit toilettes amour fmast intermast facial fellation préservati pénétratio
13511 caractères      
Auteur : Sofie


Ce soir, tout va bien. Mon copain vient de faire sonner mon portable, je regarde par la fenêtre et j’aperçois sa voiture. Je prends une petite veste et je descends rapidement les escaliers pour le rejoindre. D’autant plus que nous ne voulons pas être en retard pour le concert qui nous attend. Je suis dans la rue et monte dans la voiture de mon chéri. Je lui fais un petit bisou sur la bouche et il démarre aussitôt. Au premier feu rouge, il me regarde et m’embrasse sur le front de manière très tendre. « Tu es encore la plus magnifique ce soir ! » Ah ! Merci, il a remarqué tous mes efforts faits pour lui. Une petite jupe courte mettant en valeur mes fines jambes, tout fraîchement rasées. Un petit top rouge en cache-cœur, histoire de ne pas faire oublier ma poitrine moyenne mais ferme. Deux petits melons, quoi ! Avec un petit Wonderbra pour l’emballage. Cheveux tenus en arrière, maquillage présent, mais discret et petites chaussures à talons, pour affiner la silhouette (Toutes les filles essayent d’affiner leur silhouette !). Bref, il avait intérêt à me faire au moins une petite remarque sur mes efforts.


Pendant, le trajet nous parlons de tout et de rien, de notre journée et un peu plus de notre soirée. L’essentiel étant de se retrouver en amoureux, juste à deux…dans une salle de concert ! Sur la route, Mon chéri pose souvent sa main sur ma cuisse et l’on se fait des petits bisous dès que l’occasion se présente, tout en faisant attention à la route. Le trajet, du coup passe vite et nous voici arrivés. On se dirige dans la file devant l’entrée. Il y a foule, chose assez normale vu que le concert est complet depuis belle lurette. Dans la file, mon amoureux me serre dans ses bras, je peux sentir son eau de toilette, légèrement épicée et douce néanmoins. Il m’enserre dans ses larges bras musclés pour me réchauffer un peu. Je suis blottie contre lui qui est si costaud et moi si fragile. Je me sens bien. Après quelques minutes d’attente et de piétinements. Nous voici enfin dans la salle. On prend place dans les gradins. Et nous attendons que le spectacle commence, main dans la main, lèvres sur lèvres et petits murmures aux creux des oreilles pour se dire comme on s’aime. La foule s’impatiente, les lumières s’éteignent, le concert va débuter. La musique POP acidulée se mêle agréablement au cocon que mon chéri et moi créons. On profite du concert, de toutes ces lumières, ces mélodies calmes et poétiques. Parfois, ma tête s’appuie contre sa poitrine et j’entends son cœur battre. Le concert bat son plein, et une petite envie me titille le bas-ventre. L’envie presse mon ventre, il faut que j’aille me soulager. Je me détache un peu de mon compagnon puis lui fais signe que je veux lui dire quelque chose, il se rapproche de moi : « Ca va mon bébé ? Dit-il.


_ J’ai envie de faire pipi…

_ A chaque fois c’est pareil. Vas-y, je reste là.

_ Nan, s’il te plaît, tu m’accompagnes.

_ T’es chiante en plein milieu du concert. Tu peux pas attendre ?

_ Non, allez, mon chéri. Tu sais que j’aime pas y aller toute seule. Je ferai vite. Mon chéri. Je finis ma phrase en mimant une mine à la fois de yeux de chien battu et de petite gamine pour l’attendrir.

_ Ok, on y va. Mais vite fait…Eh, t’es vraiment chiante, mais c’est pour ça que je t’aime ! Dit-il avec le sourire.

_ Je sais ! Je l’embrasse furtivement.


Nous nous levons et quittons les gradins pour aller aux toilettes. Bien entendu les couloirs sont déserts, car tout le monde est dans la salle pour le show. Comme tous les WC, ceux-ci sont au bout d’un long couloir. Mon chéri s’arrête à la porte des toilettes pour filles. « Dépêche-toi, comme ça on va pas rater grand chose du concert. Je t’attends là »Je lui fais un petit sourire et je rentre dans les toilettes. Une fois fini, je sors; mon copain est toujours à la porte adossé contre le mur. Dès qu’il me voit, il me prend par la taille et m’embrasse. Sa langue se fraie un passage pour s’enrouler autour de la mienne. Je dois dire qu’il a toujours très bien embrassé. Ses mains se font un peu baladeuses et amusée me laisse un peu faire, puis je lui demande : « Dis-moi, tu ne voulais pas qu’on se dépêche pour ne pas trop rater le concert ? On ferait peut-être mieux d’y aller, non ?


_ C’est à dire j’ai tout ce qu’il me faut. Toi et une petite jupe sexy… Il complète son idée par une caresse sur mon fessier puis sa main passe sous ma jupe, caressant ma cuisse pour remonter sur mon string.

_ Arrête, pas ici ! Pas dans le couloir. Laisses mon petit string c’est pour plus tard. Je lui fais un petit clin d’œil et passe ma langue de manière très suggestive sur mes fines lèvres.

_ D’accord, je suis okay pour le « pas ici » Mais le « plus tard » ça c’est autre chose. T’étais toute seule dans les WC ?

_ Y’avait personne, ouais… »


Pas le temps de finir ma phrase, mon fougueux compagnon me prend dans ses bras et pousse la porte avec son dos et nous pénétrons ainsi dans les toilettes. Sur la droite une rangée de lavabos et sur la gauche des petites cabines. Je n’ai pas le trop de réagir mais mon compagnon semble le faire pour deux et paraît très inspiré. Nous nous embrassons à pleine bouche, le temps d’aller dans la cabine du bout. Il ouvre la porte et la claque en la fermant à clé. Lorsqu’il se retourne, il se retrouve face à moi. Je vois dans ses yeux un regard de braise. Mes lèvres dessinent un « Viens » qu’il comprend aussitôt.


Notre premier contact est un baiser fougueux et passionné. Ses mains prennent ma tête, il redessine les contours de mon visage. Ses doigts se mêlent dans mes cheveux. Moi, je m’attaque aux boutons de sa chemise. Ils cèdent un par un, découvrant peu à peu un torse que je connais si bien ; mat, musclé et lisse. L’une de mes mains glisse sur sa peau bouillante, je frôle ses pectoraux, je sens son cœur battre. C’est au tour de sa ceinture d’être la cible de touts mes envies. Je défais sa boucle doucement, en contraste avec les baisers que nous échangeons. Je la retire totalement de son pantalon et la passe autour de son cou. Je suis sa femme fatale.


Je lui miaule dans l’oreille « T’arrêtes pas j’ai trop envie maintenant » Il retire sa chemise. Je baisote son torse, j’adore le goût de sa peau. Je sculpte son buste, son nombril, ses abdos. J’arrive à son pantalon, il ne peut pas cacher sa virilité dans cet étroit manteau de tissu, une bosse imposante subit quelques palpations de ma part. Je descends sa braguette lentement, le bout de mes doigts rentre en contact avec son boxer. J’ouvre grand son pantalon et plonge ma main dans son boxer. Je saisis sa verge. Mon chéri qui semblait jusque-là contrôler ses émotions, ne peut pourtant s’empêcher de réfréner un frisson. Je le masturbe fortement, son épaisse tige gonfle dans ma main. J’ai toujours été impressionné par la taille de sa bite. Je le branle fiévreusement.


Pendant ce temps, il soulève mon top découvrant mon soutien-gorge. Il malaxe mes seins à travers ma dentelle. J’ai l’impression qu’il fait de plus en plus chaud dans la cabine et le plaisir et l’excitation d’entendre venir quelqu’un et nous surprendre ainsi ne fait que rajouter du piment à l’histoire. C’est le bon moment de lui montrer la petite trouvaille, pratique, de ce nouveau soutien-gorge. Je délaisse un instant son sexe pour saisir le crochet de mon soutif’ qui se trouve à l’avant, entre mes deux seins. Ainsi, je dévoile ma poitrine devant ses yeux ébahis. Le soutien-gorge toujours accroché à mes épaules, mais la poitrine dévoilée. Il ne tarde pas à se régaler du spectacle, ensuite il met sa tête entre mes seins et se met à lécher mes tétons. Il sait exciter toutes les parties de mon corps et les tétons encore plus, qui ne tardent pas à durcir. Je reprends la branlette de mon petit chéri.


Ma seconde main, elle, s’immisce dans sa poche de pantalon pour saisir son portefeuille. Mon partenaire comprend où je veux en venir, il prend l’objet en question dans ses mains et en sort un préservatif. Je lui attrape son bien et lui donne en contrepartie un baiser. Puis je lui jette un clin d’œil et lui lance « Laisses-toi faire, mon chéri. Je m’occupe de tout » je descends au niveau de sa virilité et baisse son pantalon et son boxer pour être plus à l’aise. Son sexe est maintenant à l’air libre et il paraît encore plus impressionnant à quelques centimètres de ma bouche. Ma langue se rapproche de ses testicules et je leur donne un premier coup de langue après je remonte le long de sa verge et enfin gobe d’un coup son bout rouge. Je le réchauffe et le cajole dans ma bouche. Toute ma langue experte s’active sur son gland et son frein. Je galoche sa verge sans répit. J’y rajoute l’action de ma main pour agrémenter cette profonde pipe. Je n’entends plus que les râles de mon copain et les bruits de ma bouche sur son engin. Je fais coulisser son sexe le long de ma bouche de haut en bas et ainsi de suite.


Parfois, ma main caresse ses fesses ou ses abdos qui se contractent sans cesse. Quand nos regards se croisent c’est pour mieux nous exciter ! Sa verge est prisonnière de ma bouche, ma langue, mes joues creusées par la succion prodiguée. Mon petit string s’humidifie est pendant que le suce, je passe ma main sur mon entrejambe et commencer à frotter celle-ci sur ce fin tissu imbibée de ma liqueur. S’en est trop, j’en veux plus. Je déchire l’emballe de la capote et l’enroule le long de son dard. Je remonte, collant ma bouche sur son torse nu. « Prends-moi, tout de suite » Sa réponse ne se fait pas attendre. Il relève ma jupe dévoilant mon string et mes fesses. Puis il saisit mon string et l’abaisse d’un coup. Ses doigts s’avancent vers mon léger duvet blond. Mon amant peut sentir quelques perles de plaisir aux portes de mon intimité. Mon clitoris est déjà tout tendu par ses simples caresses. Ses phalanges pénètrent en moi, ils rentrent sans problème, tant je suis humide.


Mon amoureux me presse contre le mur de la cabine. Il pose son sexe sur ma petite fente et s’introduit en moi dans un soupir commun de satisfaction. C’est une profonde jouissance qui s’empare aussitôt de moi. Sa large bite remplit mon petit ventre. Il entame son va-et-vient. Sa verge s’enfonce en moi jusqu’à la garde. Ses mouvements de hanches sont profonds, vigoureux et puissants. Il me baise dans un mélange de virilité, de puissance et de douceur. De là où nous sommes, nous pouvons entendre en bruit de fond la musique du concert et l’ambiance de la salle. Nous avons l’impression de faire l’amour au sein de cette foule. Peu à peu, une onde de chaleur et de bonheur monte en moi. J’étouffe un peu en raison de son étreinte mais j’aime cela. Nos souffles se font plus forts, plus profonds. Nos langues ne cessent de s’unir dans des baisers intimes.


Nos corps se frottent dans une danse interdite. Son bassin claque contre mon ventre. Mon compagnon pose ses mains sur mes fesses, il les tâte, les malaxe, parfois il les serre. Il retire sa bite de mon antre et me retourne. Je suis face contre le mur. Il appuie son corps sur le mien. Il enlace mes seins entre ses mains. « J’adore tes petites fesses, je veux les toucher » Après avoir joué un peu avec, il prend son sexe dans sa main et le rapproche de mon vagin. Sa verge fait un mouvement circulaire contre ma paroi et peu à peu m’inonde de plaisir. Mon partenaire reprend un rythme fou. Ses couilles claquent contre mes fesses. Je suis saisie de spasmes et de frissons. Son sexe coulisse en moi aisément. Je gémis et l’encourage à aller plus vite, plus fort en moi. Je sens toute sa virilité en moi, dans mon petit ventre. Je suis toute remplie par cette tige de sensualité. Un flux électrique s’intensifie.


Soudain, mon cuir chevelu me brûle, de ma colonne vertébrale jaillit des éclairs. Une bouffée de chaleur part de mon bas-ventre, ma gorge se noue. Mes mains s’agrippent au bassin de mon partenaire. Je jouis intensément, je pousse un soupir puis un gémissement. Mes jambes flageolent, j’ai du mal à rester debout. Heureusement, mon copain me retient un peu. Je suis pleine de fourmillements et de frissons, j’ai la chair de poule. Mon vagin se rétracte autour de sa verge qui continue son mouvement divin. Mon chéri se sépare de moi après quelques minutes de divines pénétrations. Je me mets à genoux et enlève sa capote luisante de ma mouille. Je prends sa bite dans ma bouche, elle est toute chaude. Je le suce avec autant de plaisir qu’il m’en a procuré. J’imprime une cadence infernale sur sa verge. Mon chéri ne tarde pas à gémir, je sens qu’il va jouir. Du coup, j’accélère ma pipe et le branle énergiquement. Il pousse une plainte grave et son sexe et pris d’un soubresaut. Un premier jet gicle sur mon visage, ma bouche, mes lèvres, mon menton. D’autres giclées atterrissent sur mon cou. Je prends sa bite dans ma bouche pour recevoir le reste de sa semence. Mon chéri est soulagé et ravi de cette petite finition. Je me redresse et caresse une dernière fois son torse ondulant par l’effort fourni. Ma chatte est toute détrempée, je suis épuisée. C’était si intense, j’ai l’impression de ne plus avoir la moindre énergie. Je me rhabille et quitte la cabine pour aller au lavabo afin de me rafraîchir un peu.


Je quitte mon compagnon et lui dis « Rhabilles-toi, mon p’tit homme » Je me réajuste tranquillement. Mon homme arrive par derrière et me prend par la taille. Il me dépose un baiser sur la joue.


« Tu sais mon bébé, dans les concerts, il y a toujours une première partie. Qu’en dis-tu ? ça te dit de passer à la suite…

_ Oui, je suis d’accord mais on verra ça à la maison, là j’ai envie de voir la fin du concert ! »






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n° 09088Cine surprise15/05/05
Ciné surprise
critères:  fhh extraoffre inconnu grossexe poilu(e)s cinéma toilettes voir exhib hmast fellation préservati pénétratio fdanus
16979 caractères      
Auteur : Saxe


Il y a une quinzaine de jours, nous étions au cinéma, ma femme et moi. Le film n’était vraiment pas terrible et je commençais à peine à y prendre un peu d’intérêt, quand elle a penché sa tête vers moi, pour me dire :



J’ai dit :



C’est toujours comme ça : elle a toujours un besoin pressant aux moments les plus incongrus ! J’ai répondu alors, quelque peu agacé :



Nous avons alors dérangé les spectateurs de notre travée, puis nous avons pris le long couloir qui menait aux toilettes. En passant, j’ai pensé que ma femme avait eu raison de me demander de l’accompagner. Vraiment, le chemin qui y menait était réellement long et pas très bien éclairé.


Ma chérie a vite disparu dans la partie réservée aux femmes. J’ai commencé à l’attendre patiemment puis, je ne sais si c’est par mimétisme ou par réel besoin, j’ai soudain eu la même envie de me soulager. À mon tour, j’ai poussé la porte et je me suis dirigé vers les urinoirs. Il y avait déjà quelqu’un. J’ai hésité un bref instant, puis je me suis installé à côté de lui. Je me suis senti tout de suite mal à l’aise, car j’ai vite eu le sentiment qu’il me matait pendant que je me soulageais.


Alors, machinalement, j’ai tourné la tête vers lui et alors là, j’ai eu le plus gros choc de ma vie ! En effet, il regardait effrontément ma bite, tout en se branlant, mais surtout : le morceau qu’il secouait dans sa main était énorme ! Une bite de cheval ! Un cri s’est échappé de ma gorge.

J’ai dit :



Sa main allait et venait sur la tige, tendue maintenant vers moi.



Cependant, je restai les yeux fixés sur l’énorme engin, avec une étrange fascination. À ma grande honte, je me rendis compte qu’à son tour, ma bite s’était durcie.


Soudainement, il a avancé sa main, comme pour la saisir, et il a ajouté :



J’ai alors fait un pas en arrière, avec pourtant les yeux toujours rivés à l’incroyable colonne de chair. J’ai alors rangé avec difficulté mon engin durci et, tout en reculant, les yeux accrochés à sa queue, je suis sorti des toilettes. J’ai retrouvé ma femme, qui venait juste de sortir dans le couloir. Je devais avoir une drôle de mine car, tout de suite, elle a demandé :



Alors je lui ai raconté l’histoire. J’ai dit, en montrant de mes mains :



Vous savez, quand on a assisté à un événement incroyable, il arrive un moment où l’on a envie de le partager avec quelqu’un… Et là, tout soudain, j’ai désiré faire profiter ma femme de l’énorme vision.


Je l’ai tirée par la main en lui disant :



J’ai poussé la porte des toilettes pour hommes, suivi de mon épouse. Le type était toujours devant les urinoirs et, visiblement, il se tripotait encore. Il nous tournait toujours le dos. Sans doute imaginait-il que quelqu’un, comme moi tout à l’heure, allait se mettre à côté de lui pour uriner.


Nous ne savions quelle attitude adopter : nous restions là, plantés, ne sachant pas quoi faire. J’ai toussoté alors, comme pour l’avertir. Ma manoeuvre réussit car il a jeté un oeil par-dessus son épaule. Il a eu l’air surpris.



Puis, remarquant ma femme :



Je m’avançai, en tirant presque ma femme, maintenant très réticente, me sembla-t-il.

Il la contempla avec attention et ajouta



Puis il ajouta, de manière triviale :



Je ne sais pas pourquoi, mais sans doute par bravade, j’ai répondu :



Ma femme m’a alors retourné un regard étonné et outré. J’ai eu un peu honte de ma répartie.

Nous étions presque à deux pas de lui quand il se retourna, exhibant son engin.



J’ai senti la main de ma femme tressauter dans la mienne. Ses yeux se sont exorbités ! Elle a eu la même expression que moi tout à l’heure ; elle a dit :



Il branlait nonchalamment son sexe, maintenant de plus en plus gros et d’une rigidité de plus en plus marquée.



J’ai jeté un coup d’oeil vers ma femme : elle avait le souffle court, le regard fixe et vitreux, rivé sur le bel engin. Inconsciemment peut-être, ses lèvres s’étaient entrouvertes, comme mues par un désir de succion.

Il avançait maintenant son bassin vers elle, se branlant d’une main et caressant de l’autre ses couilles, qu’il avait prestement extirpées de son slip. Deux grosses boules pleines, à la mesure du reste. Moi aussi j’avais maintenant une érection pas possible et surtout, je regardais, fasciné, le visage troublé de mon épouse, tourné vers la verge offerte à sa vue.


Inconsciemment, son corps s’était tendu vers l’objet chéri de ces dames et c’était elle, à ce moment, qui me devançait. Le type semblait s’en être aperçu, car il avait avancé son bassin et sa queue s’était dirigée directement vers elle. Je devinais qu’il allait se passer quelque chose, je l’espérais même. J’avais envie de lui dire : "Prends-la en main, ma chérie."


Il a du le sentir lui aussi car soudain, il a dit, s’adressant visiblement à ma femme.



Mon épouse a alors tourné son visage vers moi, en un regard interrogatif, qui semblait dire : "Tu crois que je peux le toucher ?"

J’ai dit, en accompagnant mes paroles d’un geste la poussant vers l’avant :



Bon sang, qu’est-ce qui m’arrivait ? Qu’est-ce qui me poussait ainsi à désirer voir ma femme caresser la bite d’un autre homme ? A cette seule idée, mon sexe avait pris une vigueur incroyable ! Comme au ralenti, j’ai alors vu la main de ma chérie s’avancer vers la tige de chair tendue. Mon coeur s’est mis à battre très fort quand ses doigts se sont repliés dessus.


Elle a étreint la grosse queue, d’abord avec hésitation. Le type a grogné de contentement.



Elle s’activait maintenant avec plus de vigueur. Ses deux mains, du coup, couraient sur l’incroyable colonne de chair. J’ai reporté un instant mon attention sur le visage de mon épouse. J’ai remarqué alors le trouble profond qui l’habitait : sa respiration était devenue haletante, son regard trouble était rivé sur le magnifique pieu et surtout, ses lèvres, comme entrouvertes, témoignaient de l’envie qu’elle semblait avoir de la sucer.



Excitée par nos encouragements, car moi aussi j’avais ajouté de la voix, elle faisait courir ses doigts à grande vitesse sur l’énorme bite, allant prestement des couilles velues au gland gorgé de sang. Agenouillée maintenant, le visage à la hauteur du gros chibre, la bouche béante, comme prête à l’avaler, elle se déchaînait comme une hystérique sur l’objet de son excitation.


D’un coup de rein, l’homme a porté son gland à l’approche des lèvres luisantes de ma femme. Pendant même un bref instant, il les a effleurées. Par moments, sans interrompre pour autant ses caresses, elle me regardait, le regard vitreux de plaisir et s’écria :



Régulièrement à présent, l’énorme gland venait à la rencontre de la bouche béante de ma femme, visiblement tentée de happer la bite tendue. J’ai extirpé à mon tour mon sexe, dur comme l’acier. Le spectacle de ma femme agenouillée, le regard extatique qu’elle portait à l’énorme engin, m’excitaient au plus au point. À un moment, elle a tourné son visage vers moi et, comme si elle avait lu mes pensées, elle me demanda :



D’ailleurs, d’un ample mouvement du bassin en avant, il avait poussé d’un coup l’énorme bite contre les lèvres humides de mon épouse. Le coeur battant, j’ai vu alors le gland congestionné entrer dans la bouche gourmande de ma chérie !


Quelle sensation curieuse et troublante que d’observer ainsi sa femme, l’être le plus cher et le plus intime, agenouillée de la sorte devant un autre homme, pratiquant sur lui ce qu’il est convenu d’appeler une pipe ! Quels sentiments étranges et complexes peuvent pousser un mari à offrir de la sorte sa femme à un autre, pour y puiser un intense plaisir ! Car je me régalais à l’observer ainsi, la bouche pleine de la colonne de chair!


Plus rien n’existait maintenant pour elle ! Sans retenue, elle s’efforçait d’enfoncer le plus possible de la belle queue dans sa gorge. Plus rien ne comptait, semblait-il, pour elle, que ce plaisir qu’elle prenait à s’enfoncer profondément la bite gonflée. Sa bouche, maintenant distendue, s’efforçait d’en avaler le plus possible, dans un bruit de succion de plus en plus sonore.


Tout en me masturbant frénétiquement, je l’encourageai de la voix.



Il avait empoigné ses seins, maintenant, et les tripotait doucement.


Je m’apprêtai à lui caresser les fesses, quand un bruit sourd de porte a claqué.



Tenant son pantalon de l’autre, il nous a poussés vers les WC et a fermé la porte derrière nous. C’était de vastes toilettes, comme on les conçoit actuellement, prévues pour handicapés. Il y avait une barre d’appui le long du mur. Notre homme y a calé ses fesses et, comme naturellement, ma femme s’est accroupie à hauteur de sa grosse queue.


Pendant que les bruits de pas se rapprochaient dans le couloir, nous avons tous retenu notre souffle. Quelqu’un est entré aux toilettes pour hommes et nous l’avons entendu uriner longuement. Ça a été comme une courte parenthèse car, dès que nous l’entendîmes sortir, ma femme, comme une affamée, s’attaqua à la tige de chair.


Il avait maintenant relevé son pull de soie et avait mis à l’air ses seins gonflés. Il caressait ses tétons dressés. À mon tour, j’ai éprouvé le besoin de la toucher. J’ai glissé ma main sous sa jupe retroussée, jusqu’à sa chatte brûlante. J’ai passé mes doigts sous le léger tissu de sa culotte. Sa fente était gluante de mouille. Ma caresse a dû multiplier ses sensations, car visiblement elle se déchaînait à présent comme une folle sur le gros truc tendu.


Moi aussi, je m’enflammai, du coup. Je criai presque :



Et je la branlai frénétiquement.



Elle m’écouta, elle suça, elle pompa, elle avala les grosses boules velues.

Elle s’interrompait par moment pour me souffler :



J’ai eu tout d’un coup envie de la baiser. Je me suis placé derrière elle et je l’ai prise par les hanches.

J’ai retroussé sa jupe, j’ai fait glisser sa culotte, puis me suis enfoncé sans résistance dans son petit con baveux. Bon sang comme c’était bon ! Elle était trempée ! Je me déchaînai, je la pilonnai sans ménagement. Ça m’excitait de la voir prise par ses deux bouches.



Curieuse requête que de solliciter d’un mari l’exhibition du derrière de sa femme ! Pourtant, sans hésiter, je la remontai très haut, pour bien découvrir le somptueux postérieur. Complaisamment, ma femme, d’ailleurs, se cambrait un peu plus.



Il s’est penché en avant et a caressé les fesses rebondies. Ses mains malaxaient les globes avec une grande douceur. Moi, de mon coté, de plus en plus enflammé, je m’enfonçai de plus en plus profondément dans la chatte douce et chaude de ma garce de femme.


Elle avait maintenant cessé de sucer, tant je la secouais, accrochée simplement à l’énorme pieu de ses deux mains, le visage plaqué contre son bas-ventre. Elle geignait de plus en plus fortement. À un moment, il s’est penché plus avant et, d’une ample caresse, il a écarté les deux globes de ses fesses pour glisser un doigt fureteur sur la petite rosette brune de ma femme. Bon sang ! Nous ne nous contrôlions plus. Nous haletions tous les trois comme des forcenés.


Mon épouse, s’abandonnait sans retenue maintenant à ce doigt qui fouillait sa rondelle, et à mon chibre en feu qui s’enfonçait au plus loin qu’il pouvait. Plus rien ne comptait plus que cette frénésie de plaisir qui nous submergeait !


Qu’elle était bonne à baiser, ma petite femme chérie, tant sa chatte douce et baveuse m’enflammait de sensations merveilleuses ! Je m’insérais avec tant de plaisir dans sa chatte coulante de mouille !

Soudain, le gars s’est redressé, puis a porté la main à sa poche. Il en a extrait un préservatif de taille visiblement XXL, puis l’a enfilé sur sa bite de cheval. Avec autorité, il a ajouté :



Et il s’est porté à ma hauteur, la bite dressée, avec l’intention visible de prendre ma place. Docilement alors, je me suis retiré, un peu à contre-coeur, de l’endroit tout chaud. Il a pris ma femme par les hanches. J’ai eu peur, du coup : n’allait-il pas la déchirer ? Comment un engin pareil allait-il pouvoir entrer dans sa petite chatte juteuse ? Ca ne semblait pourtant pas être une inquiétude pour ma chérie. Au contraire, même : il me sembla qu’elle s’était cambrée davantage, pour accueillir plus aisément l’énorme biroute ! J’ai alors vu avec trouble l’engin écarter les lèvres gonflées du minou de ma cochonne d’épouse. J’ai failli crier !



Mais en même temps, je regardais avec fascination la lente mais certaine progression de la grosse queue dans l’étroit fourreau de ma chérie. Sa chatte gourmande s’offrait sans remord à la pénétration monstrueuse ! Elle hurlait sans retenue maintenant.



Je n’aurais jamais cru la chose possible : il la fourrait avec une facilité surprenante !

Son vagin élastique acceptait sans difficulté l’étonnante pénétration. Ses mains crispées sur les hanches voluptueuses de mon épouse, il s’enfonçait pratiquement tout entier. De mon côté, à voir ma femme ainsi baisée, à l’entendre ainsi hurler son plaisir, je prenais un pied fou. Je me branlais comme un forcené.

J’encourageai notre homme de la voix.



Je stimulai ma femme aussi, la traitant de salope, de chienne.



Je me délectais à observer ainsi l’étonnante colonne de chair coulisser lentement, s’enfonçant d’abord, puis ressurgissant d’entre les lèvres enflées de sa chatte !


Le pubis du gars, maintenant, claquait régulièrement contre les fesses de mon épouse adorée.

Les cris allaient crescendo. De multiples orgasmes semblaient secouer ma femme. Soudain, l’un d’eux, sans doute terrible, l’a secouée toute entière.


Elle sembla trembler de tout son corps. Elle poussa un cri d’extase, comme une déchirure de tout son être. J’ai essayé de glisser ma bite dans sa bouche, mais au contact seul de ses lèvres, j’éjaculai ! Lui aussi semblait s’être laissé aller à jouir. Agrippé aux hanches charnues, il s’épanchait maintenant à longs jets dans l’intimité de ma femme, heureusement protégée par le préservatif.


Pendant un moment, ils sont restés comme soudés l’un à l’autre, comme pour prolonger le fort plaisir qui les avait unis. Puis, comme au ralenti, j’ai vu le sexe encore gonflé s’extraire doucement, comme avec regret, du ventre de mon épouse.

Les choses ont été très rapides, alors. Qu’est-ce qui nous avait pris ? songeai-je, pendant que ma femme remontait sa culotte et remettait de l’ordre dans sa tenue. Je la sentais maintenant honteuse, de son côté.


Le gars a essayé de nous retenir encore, nous invitant à passer boire un verre chez lui.


Visiblement, il aurait bien voulu prolonger la rencontre. D’ailleurs, pendant que ma femme se rhabillait, ses mains ne cessaient de la peloter, comme pour un dernier contact. Nous avons refusé.


Aussi, après l’avoir salué, nous nous sommes enfuis, un peu comme des voleurs.


Je n’en ai pas voulu à ma femme. Au contraire, même : cette expérience a ravivé notre sexualité. Il me suffit de songer à ces moments pour qu’un désir profond s’empare de moi.

De son coté, elle aime, depuis, s’entendre traiter de chatte à grosses bites. Je lui ai offert un gode énorme, copie conforme d’une bite de Black. J’adore le lui enfoncer!

Je ne vous dis pas nos jeux !




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n° 09236Jeune demoiselle essayant l'écriture.07/06/05
Converti sur un convertible...
critères:  fh jeunes copains grossexe hépilé amour massage intermast fellation préservati pénétratio init
19057 caractères      
Auteur : Sofie

Assise par terre, je vois la porte d’entrée de mon appartement s’ouvrir. C’est sans doute Nicolas qui entre, étant donné qu’il a les clefs et que je lui ai dit de venir au téléphone. J’ai vu juste, c’est Nicolas qui se précipite, l’air embêté par la situation. Je me lève et me jette dans ses bras et commence à pleurer :



Il me fait un bisou sur le front et nous nous asseyons sur le canapé. Peu à peu, par le réconfort de Nicolas, mes larmes sèchent. La présence de Nicolas me rassure. Il est toujours là quand j’ai besoin de lui. C’est comme cela depuis le lycée et, dès notre première rencontre, une réelle et profonde amitié s’est créée entre nous. Il est mon premier confident, celui qui me soutient lors de mes galères, comme ce soir. Blottie contre lui, ma déception s’éclipse. Il a ce don de me rassurer dans les mauvais moments. D’autant plus qu’avec Nicolas, c’est une sincère amitié dénuée de tout intérêt. Je sais qu’il est venu parce qu’il est triste pour moi et que c’est mon meilleur ami, car, entre Nicolas et moi, ce n’est que ça, de « l’amourtié » comme on s’amuse à se dire. Surtout que Nicolas est gay. Oui, c’est un peu cliché le coup du meilleur ami gay, mais que voulez-vous ? On ne choisit pas son confident.


Je lui raconte mes malheurs et, comme à son habitude, il trouve les mots qui me consolent. Nicolas est d’une grande douceur quand il le veut, même si à première vue c’est plutôt sa force qui s’impose. Nicolas est très sportif, il pratique notamment le hockey sur glace. Il mesure environ 1 mètre 85, tout en muscle. Une carrure large, des bras et des cuisses musclés, un torse craquant, de beaux abdos et de beaux pectoraux. Bref, mon Dieu du stade à moi ! Nous discutons de longues heures et j’en oublie presque ma peine de cœur. Soudain, il me regarde avec ses yeux bruns, en contraste avec mes yeux bleu azur ressortant sur ma peau blanche.



Je me lève et décide d’écouter ses conseils. Sous la douche, le jet chaud de l’eau a raison de mes soucis et en effet, peu à peu, je me détends. Si je n’avais pas Nico… Je sors de la douche et enfile mon peignoir rose et je reviens dans le salon. Nicolas est en train de boire un verre en m’attendant. Il me gratifie d’un sourire lorsqu’il me voit revenir. Je m’allonge, sur le canapé, la tête dans les bras et pousse dans un long soupir :



Il part dans un éclat de rire, tout content de sa plaisanterie.



Je lui lance un coussin qu’il évite, puis, moi aussi, je ris de sa bêtise. Nicolas se rapproche de moi et se met accroupi.



Il me prend dans ses bras à la cuillère et me porte sans problème pour me poser sur le fauteuil à côté. Ensuite, je le regarde convertir le canapé en lit. Puis, je le taquine en lui faisant signe de se dépêcher, il me reporte pour me lâcher comme un boulet sur le lit !



Je m’installe correctement et lui tire la langue. Il me chatouille et je m’agite dans tous les sens, très sensible à sa torture ! Je le supplie de s’arrêter ; ce qu’il fait après m’avoir donné une tape aimable sur les fesses. Il appose ses mains sur mon dos à travers le peignoir et débute un massage lent et précis comme il sait si bien le faire. Je sens mon corps se détendre et je profite de l’instant présent. De longues minutes, agréables et délicieuses passent. Nicolas continue son massage. Il passe ses mains sous mon peignoir et découvre par la suite mes épaules nues.



J’ouvre les pans de mon peignoir et le descends jusqu’au haut de mes fesses. Je suis dos nu, mais sans aucune gêne. Cela fait bien longtemps qu’entre Nicolas et moi, il n’y a plus de pudeur. Je pousse un léger soupir au premier contact de ses mains sur mon dos nu. Il sait vraiment y faire en matière de massage. Nicolas est au-dessus de moi à genoux entre mes jambes légèrement écartées pour qu’il puisse s’asseoir. Son parfum épicé, ses doigts sillonnant mon corps me procurent une grande dose de réconfort. La soirée se poursuit de cette manière comme un charme. Mes paupières se font un peu plus lourdes et je ne peux retenir un bâillement.



Sur ces mots, Nico me fait un tendre bisou sur la joue et se lève. Je le retiens en lui prenant la main.



Il me regarde, le visage rassurant.



Il met sa main dans mes cheveux bouclés, comme un grand frère apaisant sa petite sœur après un mauvais rêve. Je me faufile dans le lit et défais mon peignoir me retrouvant nue sous les grandes couvertures. Nicolas pendant ce temps éteint les lumières. Nous sommes dans le noir, je n’entends que le bruissement de ses vêtements. Puis il rentre dans le lit. Par habitude, je me blottis dans ses bras, la tête sur son torse. Il me serre dans ses bras. Je suis apaisée. Son corps musclé et robuste me sert d’armure. Il ne porte que son boxer, je suis nue. Pourtant, tout est calme, tout est simple, et tout a toujours été parfait avec lui.


Nous restons ainsi, je sens son souffle régulier disparaître sur ma nuque. Je tourne la tête. Je vois la lueur de ses yeux malgré l’obscurité. Je le contemple. Au fond de moi, j’ai une sensation étrange. Nicolas est TOUJOURS là. Il ne m’a jamais déçu et il est le seul à me connaître autant. Dans la pénombre, je le trouve beau, mais ce soir il a quelque chose en plus. Il m’attire. Dans ma tête, il se passe un je ne sais quoi. Un doute m’assaille ou plutôt un trouble. Je m’aperçois que le seul élément de ma vie qui est resté stable, c’est Nicolas. Lui m’accompagne dans la joie et la peine et il me comprend si bien. Si j’osais, si j’écoutais ce sentiment qui me parcourt… Sa sculpture d’athlète est si belle, il me fait rire tout le temps et surtout il me respecte et me comprend. C’est vraiment mon homme idéal, celui que je cherche en vain.


Tout se bouscule dans mon esprit et aussi tout devient plus clair. Je suis consciente de ce qui m’arrive. Ce n’est pas cette déception amoureuse, c’est bien plus que cela. Cette attirance ne cesse de grandir. Et si ? Et si…



Il me regarde, déjà attentif au moindre de mes soucis.



Je le dévisage. Je ne vois que le profil de son visage s’agiter lorsqu’il me répond.



Comme pour compléter sa réponse, son étreinte se fait plus fort.



Mon geste est insensé, je cède à une pulsion. Mais que sommes-nous censés faire pour aimer quelqu’un ? Nous lier à lui et nous donner à lui corps et âme sans le moindre doute. Je m’approche de sa fine bouche et pose mes lèvres sur les siennes. Juste lèvres contre lèvres… Puis, je mets une légère pression sur ses lèvres. Il ne réagit pas, je passe ma main derrière sa nuque. J’appuie plus fort, j’entrouvre mes lèvres. Ma langue bute sur ses dents. Il ne m’embrasse pas. Mon cœur s’emballe. C’est lui que j’aime, j’en ai la certitude. Ai-je fait une bêtise ? J’ai peut-être brisé l’élément fondamental de notre relation. Pourtant, je ne regrette rien. Je l’attends.



Je sens son corps qui se détache de moi de quelques centimètres. Tout un gouffre. Je l’arrête avant qu’il n’en dise trop.



Je repars à l’assaut de sa bouche. Nos lèvres rentrent en contact. Ma langue avance vers l’inconnu. Soudain, tout bascule, sa bouche s’ouvre. Nos langues s’unissent dans un baiser. C’est un baiser à la fois fougueux et d’une grande tendresse. Tous fourmillent au plus profond de mon être. Ses grands bras m’enserrent, l’étreinte la plus folle de ma vie. Il s’ouvre à moi.



Ces mots résonnent dans le silence qui nous entoure. Il me l’a dit comme un aveu ou peut-être une délivrance.



On s’embrasse et nous nous enroulons, il est sur le dos, je le domine.



Je prends son visage entre mes mains et je l’embrasse à pleine bouche puis à pleine langue. Cette foi-ci, il ne résiste pas. Je n’ai jamais éprouvé tant de désir pour une personne. Ses mains se collent sur mes fesses, il les caresse doucement comme pour mieux apprécier leurs formes. Nos baisers se multiplient, on ne peut plus revenir sur nos pas. Nous avons franchi un cap dans notre relation vers un je ne sais quoi, mais j’ai l’impression que c’est ce que j’ai toujours recherché. Ma bouche descend le long de son menton, de son cou, son buste, ses pectoraux gonflés. Mes doigts sculptent son torse, sa poitrine lisse et musclée. Je profite pleinement du fait que Nicolas s’épile intégralement le corps. Ma bouche s’arrête un instant sur son nombril puis se pose sur l’élastique du boxer légèrement déformé de mon partenaire. Je me saisis de son boxer, je regarde Nico, il reste figé dans mon regard. Nous restons comme cela un instant qui semble s’éterniser. Nous savons tous les deux que la suite de mon geste va nous plonger irrémédiablement vers un non-retour. J’en ai tellement envie, mon cœur ne bat plus que pour ça. J’abaisse son boxer, le descendant jusqu’à ses pieds. Je contemple son sexe, je ne le vois pas pour la première fois pourtant : contrairement aux autres fois, je le vois comme un sexe, un organe de plaisir. Il n’est pas encore tout à fait dur, pourtant il paraît déjà de taille plus que raisonnable. Je m’en saisis et le décalotte calmement. Je veux que tout aille lentement pour profiter de chaque instant. Je le masturbe un court instant et l’effet ne se fait pas attendre, je sens son sexe prendre de l’ampleur dans ma main. Il devient un véritable bambou, long et surtout très large. J’avoue que Nicolas ne m’avait jamais confié cette particularité.


Je désire le goûter, connaître la saveur de sa peau. J’approche mes lèvres de sa verge et j’y dépose un baiser, puis je la lèche et je l’avale enfin. J’ai peine à la mettre correctement dans ma si petite gorge pour une si grande érection. Tant mieux, cela m’oblige à m’appliquer encore plus, à prendre soin de mon partenaire. Je tiens à ce qu’il apprécie chaque moment de mon offrande. Je ne veux pas le « pomper », simplement savourer sa chair, son bout, le câliner avec précaution. Seuls, quelques bruits de succion et le souffle devenu irrégulier de mon homme troublent notre silence. Son sexe se réchauffe entre mes lèvres, ma langue lui sert de manteau. Je dégage mon bras pour tenir la main de Nico. Main dans la main, je le suce avec amour. Parfois, ses doigts s’entremêlent avec les miens, on se parle à travers nos échanges tactiles. Ma tête se balance un peu plus vite sur son engin toujours dans une excellente forme. Mon Nico a du mal à contenir des grognements. Il est à point. Je remonte me blottir dans ses bras, une main entourant son sexe pour ne plus le quitter. Il me caresse timidement, n’osant pas aller au-delà des contours de mes seins. Une fois encore, nous nous embrassons. Je saisis pendant ce temps ses poignets et le guide vers moi, sur ma poitrine aux tétons déjà durcis et sur mes hanches. Il empoigne ma poitrine et la masse gentiment. Il tend sa figure vers ma poitrine et l’embrasse, il ose passer sa langue sur mes mamelons. Ses gestes sont empreints de timidité et cela ajoute une pointe d’érotisme à ses caresses. Mon désir monte encore plus et je l’invite à aller plus loin.



Ses phalanges se perdent dans ma légère pilosité. Elles s’arrêtent au toucher de ma vulve trempée. Nicolas me caresse le sexe de la paume de sa main et ses doigts commencent à titiller mon clitoris et entrer dans mon sillon intime. Je suis une vraie fontaine, et son doigté se fait plus coquin en moi. Je pousse des gémissements aigus pour l’encourager. Je suis proche de l’orgasme. Je le désire en entier.



Je me love autour de lui. Ma voix se fait minaudante. Je frotte mon sexe contre le sien. Je remonte un peu du lit et sors le bras de l’encadrement du lit pour atteindre le tiroir de la table de chevet. J’en sors un préservatif et je reviens face à lui. Les yeux dans les yeux. Je sens qu’il se contracte, il a l’air un peu nerveux. Je tente de le rassurer par de nombreux baisers. Puis après une profonde respiration il me dit :



Il m’embrasse. C’est le premier geste venant de sa part. Un baiser profond. Nos langues paraissent ne faire qu’une.



Je lui lance un grand regard, plein de passion et de promesses. Ensuite, je glisse le long de sa peau et je prends en bouche sa verge. Je la branle uniquement avec la bouche. Je l’aspire entre mes joues. Elle est bien dressée, dure et impressionnante. Mais pas le temps de l’observer, je déchire l’emballage de la capote et lui enfile d’un geste. Elle se déroule sans problème le long de sa chair. Je roule sur le lit pour me mettre sur le dos et j’attire mon compagnon à se mettre au-dessus de moi. Je saisis son pénis et le dirige droit vers mes lèvres. Je sens le latex toucher ma vulve. Nos bouches sont à quelques centimètres l’une de l’autre, entrouvertes, prêtes à s’embrasser.



Nicolas me pénètre lentement. Son sexe avance en moi dans une divine progression. Je m’ouvre à lui sans résistance, mouillée par le désir. Elle est vraiment de taille impressionnante. Mon vagin est rempli par son pénis. Je suis comblée. J’entame un mouvement de bassin pour nous faire jouir. Nicolas bouge progressivement. Sa bite monte et descend dans mon allée secrète. Ses mouvements se font plus amples, plus intensifs. Le rythme de nos hanches s’intensifie au rythme de nos respirations. Nos corps deviennent moites. Nicolas semble avoir perdu toutes ses craintes. Maintenant, il s’emballe, son étreinte est puissante, pourtant, elle garde une certaine sensualité, une douceur qui lui est propre. Toute sa musculature s’agite pour notre plus grand bonheur. Mon sexe bouillonne de l’intérieur, mes parois paraissent s’enflammer d’une flamme intense. Nicolas me prend dorénavant avec fougue, sa cadence devient soutenue. Ses reins se collent aux miens, son sexe me pilonne sans excès. Il me fait l’amour comme je l’aime avec ferveur et passion. C’est un amant merveilleux. Mes cheveux longs se cicatrisent sur mon visage. Un éclair électrique se profile en moi, je le sens, c’est irrémédiable. Nos jambes se mélangent tout comme nos baisers. Nicolas se saisit de mes jambes, il les lie autour de sa taille. Nos chairs sont en parfaite communion. D’une dernière saccade du bassin, j’explose dans un râle long et puissant. L’onde de plaisir se disperse dans tout mon être. Je gémis, m’agite. J’ai l’impression que mon sexe se transforme en rivière et ma gorge en un désert. Mon regard se perd dans le visage de Nicolas. Ma vue se brouille, j’atteins l’extase… Je me relâche, vaincue par le bonheur qui circule dans mes veines. Mon chéri se plaque contre moi et, d’un dernier soubresaut de sa part, il m’accompagne dans ce merveilleux voyage.


Écrasé sur moi, Nicolas me prend la main. Pas un mot, pas un bruit autre que nos souffles ne troublent le silence. Son cœur bat vite, le mien je ne l’entends même plus. Il se détend à côté de moi. On se regarde, aucun de nous ne regrette ce qui s’est passé, cela se voit dans nos yeux. Je viens de lui offrir la seule chose que je ne lui avais pas encore fait partager, mon désir et ma chair. Un dernier baiser parachève ce moment de vérité. Nos peaux se frôlent. J’ai un peu froid et je frissonne. Nicolas m’enlace. Nous passons le reste de la nuit à nous observer. Notre câlin nous borde jusqu’au matin, jusqu’à un sommeil paisible où seule l’image de mon amour habite mon esprit…





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n° 09242Toutou08/06/05
Le dénouement
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23477 caractères
Auteur : Toutou      Série : Pierre et son destin - 02

Pierre et son destin

(Partie 2 )



Lucio a raison. Chaque déplacement me rappelle la sodomie du matin. Plus qu’une douleur, c’est une impression de vide qui m’assaille. J’ai une terrible envie qu’il s’introduise à nouveau en moi, qu’il me redonne le plaisir intense que j’ai pris. Toute la journée nous avons travaillé sans qu’à aucun moment l’on fasse allusion à ce qui s’était passé dans la cabine.


Je souffrais un peu de cette indifférence. Le boulot, c’est le boulot. Vivement ce soir, soupirè-je.


Mon travail avance plus vite que prévu, la comptabilité est bien tenue et je ne trouve rien à redire des écritures. À ce rythme, j’aurai fini dans une semaine… Qu’est-ce que je vais faire pendant les quinze autres jours ?


En attendant mon Maître dans la cabine, je ne peux m’empêcher de regarder la cassette du supermarché. Je revois Alain et Abdou, et c’est avec beaucoup de nostalgie que je revis ces ébats. Qu’ai-je fait pendant ces huit années ? Je suis passé à côté de beaucoup de choses, surtout dans le domaine de l’amour. Je comprends à l’instant que je ne me suis marié que pour la galerie. Il en est certainement de même pour Lucienne. Après cette mission, il faudra que l’on prenne des décisions… Le divorce, peut-être… Je n’ai plus envie de cacher ni ma féminité ni ma soumission.


Mon Maître arrive, j’ai juste le temps d’éteindre la télé et de retirer la cassette. À peine entré, il se jette sur son lit, il a l’air épuisé.



Et je me précipite pour exaucer le vœu de mon Maître.


Je commence par les chaussures, puis les chaussettes et je ne peux m’empêcher de lui lécher les pieds. Je m’attaque ensuite à son pantalon. Je prends mon temps pour dégrafer les boutons de la braguette et j’en profite pour dessiner les contours de son sexe. Il soulève le bassin et je fais glisser en même temps le pantalon et le slip. Il ne reste plus que la chemisette. Son sexe suit le bassin dans les mouvements qu’il a pour sortir les bras des manches. Il est entièrement nu maintenant. Je m’assois sur le rebord du lit, attendant ses instructions. Il se met sur le ventre et, m’intimant l’ordre de me déshabiller, il ajoute qu’il souhaite un massage. Je dois prendre les huiles essentielles dans la salle de bains.


Je m’installe de part et d’autre de ses jambes, je verse l’huile sur les cuisses et les fesses et mes mains, instinctivement, trouvent les mouvements qu’il attend.



Mes pouces frôlent sa rosette, ses fesses s’ouvrent et viennent au-devant de mes doigts.



J’avance les pouces. Je suis surpris de trouver aussi peu de résistance à son œillet, mes doigts s’y enfoncent sans difficulté. Son trou est dilaté comme le mien l’était ce matin.



Elles sont larges, fermes et musclées. J’aime sentir mon Maître s’abandonner à mes caresses. D’un brusque coup de reins, il se retourne et me voilà assis sur ses genoux. Il se redresse, m’empoigne les fesses et me fait remonter jusque sur son vit, qui a pris de la vigueur.

Il pose ses mains sur ma poitrine, ses doigts se referment sur la pointe de mes seins. Il les pince avec force, les tord. Mon corps s’électrise, je suis sur la berge avec Alain, quand il m’apprenait à pêcher. Une onde de choc arrive à mon sexe. Je bande dur. Mon Maître s’en aperçoit et accroît la pression, il les tire comme s’il voulait les arracher, je suis aux anges.

Il me prend les mains et les pose sur ses seins. Je comprends que chez lui aussi, c’est une zone érogène. Je constate rapidement que plus je serre et plus il apprécie. Le mandrin que j’ai entre les cuisses en est la confirmation. Il aime. Je m’applique alors à le faire souffrir. Des petits râles sortent de sa bouche. Je tords, je caresse, je presse, je titille. Son sexe est dur.


J’ai envie qu’il me prenne. Je me soulève, une de mes mains empoigne son vit, je l’approche de mon œillet et me l’enfonce jusqu’à ce que ses couilles l’obstruent. Aucune douleur, je suis rempli(e) par le sexe de mon amant.

Ca y est, je suis femme ! Une femme lubrique, faite pour le plaisir. Je sens les contractions de sa hampe chaque fois que je tords la pointe de ses seins. Je suis "à la manœuvre", pour employer les termes de marins. Mon Maître s’abandonne, c’est moi qui le domine, car je domine sa jouissance. J’accélère mes mouvements de bas en haut, je vais jouir…

Mon sexe, après l’intromission, a retrouvé toute sa vigueur, il crache maintenant sa semence sur les seins de mon Maître. Je m’empresse de l’étaler, poursuivant ainsi le massage commencé. Une folie me prend soudain, je ramasse ma semence sur un doigt et la porte à la bouche de mon Maître. Sa langue le fait disparaître avec avidité. Sa respiration s’accélère, la jouissance est proche. Ses mains s’emparent de mes hanches, il adapte le rythme, soudain il se fige et je sens de longs spasmes secouer sa verge. Il se déverse en moi et c’en est trop ! Je jouis pour la deuxième fois. Je ramasse mon sperme avec les doigts. Il le lèche avec avidité. Je me penche sur lui, il m’enserre de ses bras, mon corps toujours rivé à son sexe. Je ne peux m’empêcher de lécher les restes de ma jouissance. Je me lève et rejoins mon lit.



Je m’endors heureux, il n’y a plus de dominant ni de dominé entre nous.


Les jours qui suivent sont une succession d’échanges amoureux harmonieux. Je me sens bien avec Lucio. Le travail se termine et j’appréhende la fin de la croisière. C’est décidé, je me sépare de Lucienne et je veux vivre pleinement ma vie d’homo.



Alors que nous en étions aux préliminaires, Lucio me demande de le baiser, lui, le mâle d’entre les mâles, et sans attendre une réponse, il se jette sur mon sexe et entreprend une fellation à laquelle je ne m’attendais pas. Sa bouche avale mon sexe, sa langue s’enroule autour de lui… Quelle douceur… Quelle volupté ! La taille de mon sexe atteint son paroxysme, j’ai envie de m’enfoncer dans Lucio, comme je m’étais enfoncé dans Alain. Brisant toutes mes attentes, Lucio se met à quatre pattes et frotte sa corolle sur mon nez. C’en est trop, ma langue fouille déjà son intimité, s’y fraie un chemin. Je n’ai qu’une envie, c’est de le baiser.


Je me place rapidement derrière lui, le sexe fièrement dressé et, sans ménagement, comme pour lui rappeler la première fois, je m’enfonce en lui. Je suis surpris de la facilité et de la souplesse de son œillet. Je me souviens de mes doigts s’engouffrant en lui sans difficulté. Je redeviens homme et sans attendre, cherche mon propre plaisir. Lucio gémit. Son gros sexe a perdu de sa superbe, il ballote au gré de mes mouvements. Lucio hurle :



Et je sens ses sphincters se contracter au rythme de ses éjaculations. Je redouble d’efforts et soudain je me sens fondre en lui, mon sexe agonise et crache les souffles de vie dans Lucio.

Nous nous écroulons et tombons dans un profond sommeil, toujours unis.


La croisière touche à sa fin, mon rapport est bouclé et je vais le présenter ce soir au commandant. Il m’a invité à souper avec Lucio et quelques autres membres du commandement.

Lucio me paraît fébrile, il tourne en rond dans le bureau, il lit et relit mon rapport. Tout est prêt. Dans une heure, nous serons dans l’appartement du commandant. Il sera heureux des conclusions : une gestion rigoureuse, claire et sans erreur. Je ne comprends pas que la compagnie m’ait envoyé pour cet audit, elle a les doubles des documents que j’ai contrôlés.

Mais je ne regrette pas d’être venu… Suis-je amoureux de Lucio ? Est-il amoureux de moi ? Que de questions, alimentées par son changement brusque d’attitude envers moi depuis le deuxième soir !


Nous pénétrons dans la cabine pour nous changer, le commandant est intraitable sur la tenue. Lucio me tend un string en dentelle blanche.



Le ton est sans appel et il part dans la salle de bains. Je regarde ce morceau de tissu et mon cerveau se met en ébullition. Pourquoi un string ce soir pour aller chez le commandant ? Je ne vais que lui remettre mon rapport. Pourquoi cette fuite dans la salle de bain s? Pourquoi cet air effaré ?


De retour, Lucio ne m’adresse mot, je prends sa place dans la salle de bains et après quelques minutes, en ressort nu. Je prends du temps pour ajuster le string sous le regard de Lucio. Puis j’enfile mon uniforme blanc. Lucio ajuste mon col de chemise, ses gestes sont tremblants. Je m’apprête à ouvrir la porte quand Lucio interrompt mon geste. Il se dirige vers son placard, en sort un dossier, le glisse dans mon sac.



« Pigé », c’est le seul mot qui me soit venu à la bouche, bien que j’aurais voulu bondir pour prendre connaissance de son contenu.



Le commandant nous accueille tout sourire et nous pénétrons dans la salle à manger. Quel luxe ! Une table de six couverts est dressée et n’a rien à envier à celle de Maxim’s. Trois hommes sont déjà présents, en uniforme impeccable.

Le commandant nous dirige vers eux.



Les trois hommes ont des carrures d’athlètes, à croire que la compagnie les recrute dans les salles de sport. Ils me dévisagent tour à tour.



Nous nous dirigeons vers un grand bar, en acajou lui aussi, Lucio, comme s’il en avait l’habitude, passe derrière et prend les commandes. C’est le whisky qui a la faveur de tous.

Lucio est généreux, les verres sont presque pleins à ras bord.



Ils ont la descente rapide et Lucio remplit sans attendre les verres vides, il me fait signe de vider le mien et me verse à nouveau un grand trait. La discussion va bon train, on parle de tout et de rien, les voix se font plus fortes sous l’effet de l’alcool, nous devons en être à notre troisième verre.


Deux jeunes serveurs font leur entrée poussant une table roulante. Nous passons à table et les serveurs rythment le repas suivant un cérémonial initié par le maître des lieux.


Nous retournons au salon, Lucio reprend sa place derrière le bar. Le commandant me propose un fauteuil, il s’assied dans l’autre tandis que Luc, Rodolphe et Rachid restent accoudés au bar.

Est-ce l’ambiance de la pièce, l’effet de l’alcool (le vin ayant coulé à flot), la présence de tous ces mâles ? Je sens monter en moi un fort désir de sexe. Je regarde Lucio, mais il baisse les yeux. Les trois hommes au bar, tout en discutant, ne cessent de me fixer. Ils ont largement ouvert leur chemise à cause de la chaleur, laissant voir les toisons sombres, symboles de leur virilité. J’étouffe. Chaque fibre de mon corps réclame… que se passe-t-il ?

J’ai envie de me donner ici, à ces hommes. Je réalise tout à coup que j’ai croisé les jambes bien haut, comme une femme, et je sens soudain la finesse du string que m’a donné Lucio.

Lucio nous apporte un cognac. Il sert le commandant puis, s’approchant de moi, me chuchote d’ouvrir ma chemise et de découvrir ainsi un sein imberbe. Le ton de sa voix ne me laisse pas le choix, il est redevenu mon Maître.


Il retourne derrière le bar et éteint la lampe principale. Il ne reste que l’éclairage du bar qui fait bien ressortir le blanc des uniformes et la petite lampe entre le fauteuil du commandant et le mien. Obéissant à Lucio, mais surtout à l’envie que j’avais d’ouvrir ma chemise, je retire les boutons un à un, puis j’écarte le tissu de façon à mettre en lumière mon torse imberbe. (Depuis ma rencontre avec Alain, je ne garde aucun poil sur moi, je trouve que c’est plus esthétique et hygiénique, Lucienne, ma femme, surprise au début, a fait sienne cette religion. Maintenant que j’y pense, cela n’a pas provoqué de remarque de la part de Lucio.)


Les trois hommes du bar se tournent résolument vers moi. Ils glissent une de leurs mains sur leur poitrine, l’autre commençant à réveiller le sexe lourd retenu dans leur pantalon. Leur attitude est sans équivoque, ils m’attendent, ils me veulent. Lucio a disparu, je ne le vois plus…


Le commandant pose une main sur mon genou, il le caresse.



Mon visage s’empourpre, je ne sais si c’est de honte ou de colère envers Lucio. Comment le Commandant pouvait-il connaître ce nom ? Lucio ne l’avait prononcé qu’une seule fois ! Je fais face et, sans hésitation, je réponds :



J’entre dans le jeu. L’alcool aidant, toutes mes inhibitions tombent. Ce soir, je serai Dolly, Dolly la pute, puisque Lucio me donne à eux.



Rachid s’avance vers moi. C’est un black trapu et massif. Il s’agenouille et me retire chaussures et chaussettes. Il va même jusqu’à déposer un baiser sur chacun de mes pieds.


Je suis maintenant Dolly, la danseuse aux pieds nus. Sur une musique orientale, j’ondule mon corps, je suis femme. Je me couche sur la moquette et tout en basculant en rythme mon bassin, je fais glisser mon pantalon. Je me relève et c’est dans un string de dentelle blanche que je me présente devant les hommes adossés au bar.


Ils ont sortis leur sexe du pantalon qui ne pouvait plus le contenir et s’ils ont des proportions imposantes, ils sont différents dans leurs formes. Celui de Rodolphe est long et fin, Celui de Luc est plus court mais plus épais. La palme revient à celui de Rachid : non seulement le noir d’ébène tranche avec la blancheur du pantalon, mais ce sont surtout les proportions harmonieuses qui le qualifient. Son sexe est long et épais. Les veines qui parcourent la verge laissent bien augurer des capacités de l’engin.

Je virevolte autour d’eux comme une danseuse égyptienne, laissant mes mains et mes fesses effleurer leur sexe. Les hommes évitent de me toucher, attendant je ne sais quel signal.


La musique s’arrête et Lucio pénètre dans la pièce. Il est nu, ses mamelons sont enserrés dans des pinces, une chaîne les relie à son sexe. La douleur doit être importante car son visage est crispé, chaque pas entraînant un rictus. Il se dirige vers le commandant et s’assoit entre ses jambes.

Le signal est donné, Rodolphe me saisit, m’oblige à me mettre à genoux, je comprends. Je prends son sexe dans ma bouche et j’entreprends une fellation. Son vit durcit rapidement mais, si la longueur croît, il reste fin et c’est sans peine que mes lèvres se referment sur lui. Il me prend la tête pour permettre à son sexe de s’enfoncer profondément dans ma gorge. Je parviens à regarder Lucio. Le commandant lui caresse la tête, alors que Lucio semble lui caresser le sexe à travers le pantalon.

Rodolphe se retire et cède sa place à Luc. Je dois forcer ma mâchoire à s’ouvrir, le gland épais et turgescent m’emplit à lui seul la bouche, je dois respirer par le nez. Heureusement que mes lèvres atteignent déjà la base de la verge, car il me serait difficile d’aller plus loin. Lui aussi se met à bouger, il me baise la bouche. Rodolphe me prend par la taille, me redresse sans que j’arrête de pomper Luc, ses mains me malaxent les fesses, il tire sur mon string et parvient à le déchirer, libérant mon anus et mon sexe, ce n’est plus qu’un chiffon qui pend autour de ma taille. Il m’écarte les fesses et y glisse sa langue. Il me lèche la corolle, la titille, la force.



Luc se retire et c’est l’engin de Rachid qui le remplace dans ma bouche. C’est un pieu qui me force, j’ai du mal à respirer. Heureusement qu’il ne cherche pas à me pénétrer entièrement, il frotte son énorme gland à l’intérieur de ma joue. Je saisis son sexe, ma main à du mal à en faire le tour, je caresse la verge tandis que mon autre main se saisit de ses bourses. Elles sont lourdes et pendent bien en-dessous de son bâton de chair. Luc a rejoint Rodolphe. Tour à tour, ils me lèchent l’anus, puis leurs doigts me pénètrent, écartent ma corolle, je me dilate. Mon anus est une chatte qui secrète son jus, je mouille comme la vraie salope que je suis.

Ils me tournent sur le côté et je vois Lucio en train de tailler une pipe au commandant. Celui-ci a un sexe turgescent de forte proportion et, malgré la lumière, une couleur violacée. Le commandant a empoigné les pinces qui emprisonnent les tétons et il les tire l’une après l’autre, arrachant à Lucio des râles de douleur.


J’ai l’impression que mille doigts sont entrés dans mon corps, ils tirent mes chairs, me pénètrent pour mieux se retirer, entraînant avec eux une sécrétion encore plus abondante. J’ondule mes fesses pour mieux retenir les doigts.



Une poussée. Rodolphe s’est enfoncé complètement, son gland frotte ma prostate. Aucune douleur, que du plaisir ! Luc, pendant ce temps, me presse les couilles, cherchant à extirper leur jus. Il me frappe la verge, qui ne cache rien de mon désir. Rachid accentue lui aussi ses mouvements, son sexe bute au fond de ma gorge, entraînant des spasmes.


Rodolphe se retire un instant, mais mon cul est aussitôt rempli par Luc, mes sphincters se dilatent pour mieux se mouler à ce cylindre. Je le prévoyais : Luc est plus large, mais sa bite est plus courte. Ses couilles frappent les miennes, suivant ainsi le balancement frénétique de son bas-ventre. Rodolphe m’a saisi pendant ce temps les tétons, qu’il tord sans ménagement.


Je tourne la tête. Le commandant est en train de chevaucher Lucio, il lui a passé les chaînes derrière les épaules. À chaque pénétration, il tire dessus, ce qui a pour effet de remonter les tétons de Lucio vers le haut.


C’est au tour de Rachid. Son énorme sexe se présente devant mon conduit déjà bien malmené et, sans coup férir, s’enfonce profondément, m’obligeant à crier.

Il entreprend alors ses va-et-vient rapides qui font ressortir son gland à chaque passage, Luc s’est emparé de ma bouche et commence à se masturber à l’intérieur. Rodolphe n’est pas en reste : d’une main, il martyrise mes seins, de l’autre il entreprend une énergique branlette.

Ma tête est vide. Mon corps est tout entier au plaisir qui monte. Je jouis en même temps que Rachid, pendant que Rodolphe m’inonde le dos de son sperme et que Luc s’épanche dans ma bouche.


Un bref regard à Lucio. Le commandant est en train de se vider sur son dos, les mains arc-boutées sur les chaînes.


Le silence qui suit est rompu par le commandant.



Je me relève et me dirige vers lui. Je sens le sperme qui coule le long de mon dos, tandis que celui de Rachid glisse le long de mes cuisses. Lucio me sourit, il m’attrape la tête et m’embrasse fougueusement, amoureusement. Il retire les pinces de ses tétons et les place sur les miens. La douleur est vive mais elle s’estompe rapidement. Il libère son sexe des chaînes pour mieux me les enrouler autour des couilles. Je prends sa place. Le commandant approuve d’un mouvement de la tête. Après quelques caresses, Lucio me fait prendre la position qu’il avait précédemment. Quelques coups de langue et deux ou trois succion ont remis son sexe dans toute sa vigueur. Il se place derrière moi et c’est sans effort qu’il s’enfonce en moi. Je ressens la douleur des pinces qui tirent à chaque mouvement mes seins, mais elle est remplacée rapidement par des sensations intenses qui suscitent à chaque fois un orage de plaisir.



Sa vigueur retrouvée, Rachid se place derrière Lucio et pénètre la porte déjà bien ouverte, Luc trouve place dans ma bouche tandis que Rodolphe s’adjuge celle de Lucio. C’est une frénésie des sens qui terrasse l’un après l’autre les participants. Nous nous écroulons les uns sur les autres, les corps couverts du produit de nos ébats.


Luc, Rodolphe et Rachid rajustent des uniformes bien défraîchis, qui portent la trace de l’orgie qui vient d’avoir lieu. Après m’être essuyé avec ce qui restait de mon string, je retrouve mon uniforme. Lucio disparaît pour revenir peu après dans un uniforme impeccable.



Nous nous dirigeons vers un large panneau qui s’efface après la pression exercée sur un bouton. Des dizaines d’écrans apparaissent.



Je suis pétrifié, mais le bonheur m’envahit aussi vite : ce n’est pas Lucio qui lui a parlé de nos relations !



Passant près des toilettes passagers, j’y pousse Lucio et lui rapporte ma conversation avec le Commandant.



De retour dans la cabine, Lucio me montra combien il m’aimait.


C’est décidé : je divorce. J’espère une mutation sur le Star,comme intendant… mais d’abord il faut changer de commandant.


Fin


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n° 09261Epicurien12/06/05
La balade irlandaise
critères:  fh hplusag grossexe facial fellation
20811 caractères      
Auteur : Balou      Série : La balade irlandaise - 02

Il n’est pas toujours aisé de travailler dans une multinationale, Balou le savait. Mais il arrive parfois au fil de la vie professionnelle que l’excès de dépenses, de stress, de manque de reconnaissance par la hiérarchie, engendre un mal être certain vers les salariés.


Balou broyait du noir. Sa direction lui avait refusé une promotion, et la pilule était difficile à avaler, sachant qu’une autre personne avait été élue au poste convoité. De plus, la candidature de Marie pour le service export n’avait pas été retenue par la DRH.


Cette accumulation de déceptions pesait sur lui. L’envie d’aller voir ailleurs si « l’herbe est plus verte » le démangeait, mais le remords également le taraudait, dans la mesure où il avait toujours été loyal et fidèle envers la firme.


Marie s’était installée chez lui depuis un mois. Le relookage de l’appartement avait débuté. Balou avait laissé carte blanche à sa compagne, en plus il était nul en bricolage.

Marie ne travaillait plus chez l’oncle Freddy le week-end, et ce, d’un commun accord avec Balou. Elle recherchait toujours un job stable, mais les travaux dans l’appartement accaparaient tout son temps dans l’immédiat.


Magali, la filleule de Balou, le fuyait. Plus de deux mois s’étaient écoulés depuis ce baiser qu’elle lui avait furtivement volé. Il commençait à comprendre son attitude engendrée vis-à-vis de Marie. Il ne pouvait évidemment en parler ni à sa compagne, ni aux parents de Magali.

Il était peiné de la voir ainsi. Il fallait absolument qu’il trouve un moyen de la rencontrer seul. L’envoi de mails, de messages laissés sur son téléphone portable, rien n’y faisait. Cette petite peste faisait la sourde oreille.


Il décida de quitter son bureau vers 15h pour rejoindre l’école où étudiait sa filleule. Il fit le pied de grue pendant un bon quart d’heure devant le portail d’entrée. L’air respirait déjà le printemps, les températures en ce mois de mars frôlaient les 20°. Les femmes commençaient à changer de tenue, dévoilant leurs charmes cachés par les vêtements d’hiver.

Balou admira les passantes, les étudiantes portant des jupes, il appréciait le galbe des jambes ainsi que la courbe des fesses.


Magali vit son parrain avant qu’il ne la voie. Son ventre se tordit. Instantanément, une bouffée de chaleur remontait dans ses entrailles, ses joues rosirent.

Enfin, il était venu, se dit-elle. Le bonheur de voir Balou la ravissait complètement. Elle se dit en souriant que son manège avait fonctionné.

Tout en marchant vers lui, elle se rappelait les séances de plaisir solitaire qu’elle s’octroyait chaque soir, les rêves érotiques, voire pornographiques qui l’assaillaient. Magali se voyait avec Balou. Lui, son visage embrassant sa blonde toison, elle, le chevauchant telle une amazone.

Elle détailla la tenue vestimentaire de son parrain. Il portait un costume gris anthracite superbement bien coupé, une chemise rose pâle avec cravate assortie. Sa brune chevelure coupée court, ses tempes grisonnantes, le rendaient irrésistible.




Balou se retourna.

Une déesse blonde sortie de nulle part lui faisait face.

Il resta sans voix quelques secondes, puis prit la parole :



Ils se firent la bise.

Magali portait une tenue complètement différente de celles que Balou avait l’habitude de voir. Il la détailla de la tête aux pieds.

Elle portait une jupe écossaise, des bas couleur chair, un spencer assorti à sa jupe, de mignonnes bottines rouges. Ses cheveux blonds coiffés en queue de cheval laissaient voir son cou fin et gracieux.



Magali rougissait en se mordant sa lèvre inférieure. Elle frétillait d’aise devant cet homme, elle avait envie de se jeter dans ses bras, mais retint son élan par pudeur.



Elle accepta de bon cœur.


Ils se retrouvèrent attablés dans un petit troquet sympa.

Magali sirotait son coca light en écoutant parler son parrain. Celui-ci lui posa des tas de questions sur ses études. Bien évidemment, il aborda le sujet brûlant du moment.



Magali posa sa main fine sur celle de Balou et dit :



Balou la regarda intensément. Il était sidéré par cet aveu.



La situation semblait surréaliste, se dit Balou. Il faut absolument que je me sorte de là, pensa-t-il.


Magali souriait. Son intimité commençait à dégager une douce moiteur. Elle caressait maintenant de ses doigts fins la main de son parrain.

Balou la retira vivement comme s’il s’était brûlé.



Cette gamine avait le feu aux fesses. Il ne reconnaissait plus du tout la petite fille, il avait devant lui une femme amoureuse qui le désirait.



Balou espérait que personne n’écoutait leur dialogue. Il ne savait plus que faire. L’unique solution consisterait à partir en courant. Cependant, il craignait que Magali colporte des ragots infâmes à son sujet, du genre « mon parrain m’a touchée et caressée »… Bonjour la réputation se dit-il.

Comme si elle avait lu dans ses pensées, Magali lança :



Un blanc, un ange passa.


Ils éclatèrent de rire ensemble.



Balou se sentit rougir, une pointe d’exaspération le traversa également. Et malgré son sang-froid, une érection se développait. Il se tortilla sur sa chaise.



Balou ne répondit pas. Il fixait cette fille blonde.



L’érection de Balou était maintenant au summum de son développement. Il était à l’étroit dans son pantalon. D’autant plus qu’il voyait la langue de Magali lécher la lèvre supérieure de sa bouche, elle le regardait également droit dans les yeux.



Magali l’observait. Elle se sentait femme, une femme capable de séduire ce trentenaire mûr. Elle savait qu’ils avaient franchi une certaine ligne jaune. Elle ne pouvait pas s’arrêter ainsi, il lui fallait continuer à rassurer Balou. Elle devait le conduire hors du temps pour le déculpabiliser. Le fait qu’il bandait pour elle la rassura aussi.


Balou réfléchissait. Ses méninges turbinaient à plein régime. Cette femme l’emmenait vers un interdit qu’il avait refoulé très loin en lui.

Des souvenirs affluèrent immédiatement et s’insinuèrent dans son esprit.

Lorsque Magali adolescente, se baladait en maillot de bain devant lui, ou lorsqu’il l’accompagnait dans les cabines d’essayages, il avait bien vu ses formes féminines, ses cuisses de gazelle, ses adorables fesses bien fermes, ses petits seins hauts placés…..Il tenta de chasser ces pensées qui accentuèrent davantage son érection.

La sueur perlait à son front.


Magali le voyait transpirer. Cela devait être difficile pour lui d’accepter, ou plutôt de s’accepter ainsi. Accepter de désirer sa filleule, même si aucun lien de parenté ne les unissait puisqu’elle était la fille unique de ses parents, amis de Balou. Elle ne voulait absolument pas le brusquer, mais elle désirait l’amener petit à petit dans les mailles de son filet. Elle était une sirène désirant son Ulysse.


Balou vit la bouche de Magali sucer la paille de son coca. Une langue rose taquina le bout de la paille. Puis les lèvres aspirèrent et pompèrent le liquide.

Il ferma les yeux, serra ses poings dont les phalanges blanchirent.

C’en était trop pour lui. Il se vit dans la bouche de Magali agenouillée entre ses cuisses. Sa bouche engloutissait sa hampe, ses doigts fins le masturbaient doucement. Il voyait les lèvres distendues par l’imposant diamètre de sa verge. Ensuite, la chevelure blonde remonta vers le sommet et lécha le gland violet.

Magali lui souriait maintenant. Il vit ses doigts enserrer la base de sa hampe, la langue rose titiller son gland.

Les doigts le branlaient, la bouche le pompait. Il vit ensuite des jets de sève blanche asperger le visage de la poupée blonde. La fille ferma les yeux en recevant la chaude délivrance de son amant.



Magali était toujours assise en face de lui et le regardait amoureusement. Soudain, il fut à nouveau assis dans le bar. Il ne sut jamais si c’était la « vraie » Magali qui avait posé cette question.



Balou avait la nette impression de perdre pied. Sa santé mentale lui jouait des tours. Il mourait de soif et but sa bière en quelques gorgées.


En allumant une cigarette, il dit :



Balou souffla la fumée vers le plafond.



Cette fois-ci, il ne retira pas sa main. Il sourit à sa filleule. Et ajouta :



Magali était heureuse de constater le changement d’attitude de son parrain adoré. Elle le voyait qui commençait à fondre pour elle.

Elle vit la main de Balou caresser la sienne. Quelle douceur charmante émanait de cet homme. Sa poitrine se souleva lorsqu’elle respira un bon coup et elle se pencha vers lui pour déposer un doux baiser sur sa bouche.


Balou vit Magali se pencher vers son visage, il ne bougea point. Des lèvres de velours se déposèrent sur les siennes.

Il savoura cet instant magique qui l’emportait loin de ses préoccupations professionnelles. Mais il se rendait bien compte que cette situation n’était pas saine du tout. Que devait-il faire ? Était-ce de l’amour ou du désir qu’il éprouvait pour Magali ? Les souvenirs érotiques enfouis en lui revenaient à la surface, comme le bruit du tonnerre. Un orage se préparait, il en était certain.

Comment pouvait-il aimer deux femmes à la fois ? Marie le comblait, ils s’aimaient d’un amour très fort. Quant à Magali, l’affection qu’il lui portait se transformait en amour et, en désir, c’était indéniable. Il voulait de toute son âme refouler ses pulsions, les jeter aux orties et fuir devant cette fille tentatrice. Mais ne risquait-il pas de provoquer un autre cataclysme en agissant de la sorte, en la laissant tomber ?


Telles étaient les questions que se posait Balou.


Depuis un mois, Magali vivait seule, en fait elle avait repris le studio de Marie. Les amis de Balou, les parents de Magali payaient le loyer de leur fille.


Balou raccompagna Magali chez elle, il conduisait sa voiture en tenant le volant de la main gauche, la droite étant glissée sous la jupe de sa filleule. La chaude moiteur de son entrecuisse le ravissait. Magali gémissait, assise à ses côtés.

Dès qu’ils furent montés en voiture, la petite peste blonde avait d’autorité posé sa main sur la cuisse de son parrain. Les doigts étaient remontés pour flatter la bosse érectile.



Les pensées de Balou se télescopaient dans sa tête. Certes, ils ne pratiquaient par l’inceste, mais, tout de même, ils franchissaient allègrement la ligne jaune.

Il dut retirer sa main de sous la jupe, car le pilotage de la voiture nécessitait toute son attention.


Magali prit le relais, elle se caressait joyeusement. Elle regardait l’homme qui conduisait. Celui-ci jetait de brefs regards dans sa direction.

La hampe de Balou était en elle. La simple présence à ses côtés lui avait déjà déclenché un orgasme, dès que les doigts masculins s’étaient posés sur son minou mouillé.

Magali se caressait pour lui, elle couinait doucement. Son ventre brûlait d’un feu géant. L’incendie se propageait vers chaque parcelle de son corps.


Balou, malgré la circulation importante, avait une terrible érection. Elle le faisait délicieusement souffrir. Près de lui, la « peste blonde » jouissait comme une folle. C’était dingue de voir ça. Il voyait sa bouche ouverte aspirant l’air, sa langue rose, ses dents blanches mordant la lèvre inférieure. De blonds cheveux étaient plaqués contre le front de Magali par la sueur qui perlait.



Balou n’en pouvait plus. Arrêté à un feu, il vit que Magali lui présentait ses doigts mouillés. Il les suça avidement. Il avait basculé du côté sombre……..


Arrivés tous deux dans l’appartement des désirs inavouables, la petite peste se jeta immédiatement à son cou pour l’embrasser violemment. Elle se colla à lui, sa langue violait sa bouche. Balou laissa ses mains partir à la découverte de ce jeune corps de femme. Il caressa ses flancs, ses fesses encore adolescentes.

Ensuite, il quitta sa bouche pour se perdre dans le cou qu’il embrassa délicatement. Magali, tête renversée en arrière, se laissait faire. Elle gémissait des « je t’aime » à profusion.



Balou insista pour déshabiller complètement sa filleule. Il prit son temps. Il dégusta cet effeuillage, huma chaque vêtement en se délectant de l’odeur. Il admira le corps, la douce peau qu’il découvrait vraiment. La volupté de l’instant le faisait gémir lui aussi.


Magali était maintenant couchée nue sur le lit. Il l’admirait.

Elle le regardait avidement et, devant lui, elle se remit à se masturber. Balou voyait la toison blonde, la fente rose aux petites lèvres s’ouvrir comme une fleur. La rosée étincelait cette belle orchidée.

Les doigts de Magali la pénétraient, elle titilla également son pistil dressé. Elle se livrait entière aux regards de cet homme qu’elle aimait profondément.


Balou, le regard rivé vers cette douce toison, se jeta entre les cuisses de sa jeune amante. Il voulait la boire, respirer son parfum, la découvrir avec sa bouche.


Magali hurla dès que les lèvres de son aîné se posèrent sur son intimité. Sa langue taquina son pistil. Ensuite, elle la sentit la pénétrer. Son ventre se crispa, elle connut un orgasme fabuleux. Elle appuya la tête de son amant contre le centre de son plaisir en jouissant comme une damnée. Son ventre déversait un feu de joie qui la foudroya.

Oui, damnée elle était, elle le savait. Le pêché de chair, le fait de braver un interdit accrut encore davantage son extase. Elle cria sans retenue aucune le prénom de son parrain.


Balou suça, lécha, pénétra cet antre du plaisir dont le miel coulait sur son menton. Il écoutait Magali hurler, il la sentait jouir. L’orchidée accueillit deux doigts qu’il fit rapidement coulisser en elle. Il se rendit vite compte que les va-et-vient ainsi activés déclenchèrent une seconde vague orgasmique dans le corps de sa petite amante.

Il se releva légèrement et il la regarda avec tendresse jouir sous ses caresses.



Il s’exécuta de bonne grâce, son amante le regardait faire, allongée maintenant sur son ventre, ses deux mains sous son menton.


Magali le vit enfin nu. Ses yeux bleus ne quittaient pas l’objet démesurément allongé qui tressautait au bas-ventre de son aîné. Les lourdes bourses se balançaient comme le balancier d’une horloge comtoise. Les cuisses musclées et velues, la toison pubienne noire d’où émergeait ce dard, attirèrent aussi son regard.

Elle se leva, s’approcha de Balou. Timidement, ses doigts se posèrent sur sa poitrine velue.


Balou était debout nu face à son amante. Elle se leva et lui caressa la poitrine. Puis il vit les blanches mains de Magali se poser sur sa hampe. Dès cet instant, il perdit toute notion de la réalité des choses. Le vertige de l’interdit l’attira, il se laissa tomber pour toujours dans ce puits de luxure.


La petite peste s’agenouilla devant lui. Ses mains caressaient les cuisses. Puis Balou vit les lèvres roses se poser sur le gland. Une bouche chaude se mit ensuite à le sucer timidement.



Balou tremblait. Il dut s’agripper à la commode. Il se regarda disparaître dans la bouche amoureuse et gourmande. La langue douce s’enroula autour de lui. Son tronc rigide laissait voir des veines bleues gorgées à souhait. Les petites mains de Magali allaient et venaient sur sa hampe.

Quelle douceur. Magali le fellationnait très doucement, avec la même tendresse qu’il avait montrée en la caressant avant.



Magali sentait cette verge palpiter dans sa bouche. Elle se dit que c’était un être vivant à part entière. Heureusement que Balou appréciait sa caresse, car elle n’était pas une experte en fellation, mais elle savait qu’il aimait qu’on lui prodigue cette douceur. Ce sexe était dur et si doux, le gland avait la forme d’un casque violet et elle aimait sa texture et sa saveur.

Elle était également impressionnée par les grosses veines bleues qui couraient sous la fine peau de ce menhir érigé pour elle.


Soudain un cri.


Magali vit devant ses yeux les jets de sève être expulsés par le gland. Elle lâcha la verge.

Elle sentit la chaleur de la semence sur elle, sur son menton.

Elle vit aussi Balou prendre sa hampe en main et se masturber au-dessus de son visage. La main allait et venait à une vitesse vertigineuse.


Un autre cri, plutôt un hurlement et, horrifiée, elle vit qu’il l’aspergeait de toute sa semence.

Magali resta agenouillée devant son amant sans oser bouger, elle ferma les yeux. Elle avait l’impression que des centaines de jets chauds s’abattaient sur son visage, sur ses épaules, dans ses blonds cheveux.


Agenouillée, la tête relevée face à la hampe, mais, les yeux clos, elle se faisait oindre pour son premier baptême du plaisir.


Balou hurla en éjaculant. Il dirigea sa verge vers le visage de poupée. Il l’aspergea. Elle avait fermé ses yeux, mais gardait la tête relevée vers lui. Cette vision décupla son orgasme et lui aussi ferma ses yeux tout le temps que dura son bonheur.


Les secondes s’égrenèrent.


À bout de souffle, il rouvrit les yeux. Magali ne bougeait toujours pas. De grasses traînées de semence coulaient sur ses joues. D’autres ruisselaient entre ses lèvres qu’une langue rose recueillait. D’autres encore dégoulinaient de ses épaules et dans ses cheveux.



Les yeux bleus le regardèrent passionnément, amoureusement. Magali léchait la sève qui refroidissait déjà en la recueillant avec ses doigts.






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